ac>3 G H E
commune. Papillon qui en provient. Nids que le s femelles arrangent.
Tems où les oeufs1 éclofent. Comment les petites
chenilless’arrangentoour manger la feuille oit elles fe trouvent
en naiffant. Ibid. b. Nids 8c toiles qu’elles fe forment. Tems
ou elles s’y retirent; celui où elles en forcent. A u commencement
de juillet elles forment des coques pour fe transformer
en chryfalides. Chenilles qui vivent dans 1 e a u , Sc
qui s’y formeht en chryfalides. Chenilles qui viv ent dans
les -tiges le s brandies , les racines, les fruits des arbres.
Chenille’ai” v it Hans le klé. dbld' a 9 4 ‘ a- L ’averfion que
quelques perfonnes ont pour ces infeéles n’eft que l'effet
de la prévention. Q uel eil le feul rifque à courir en lés touchant.
Ujage dit perfil contre la démangeaifon que quelques
unes eaufènt. Les nids dans lefquels elles font entrer de
leur poil , font encore plus à craindre. Les chenilles raies
ne peuvent faire aucun mal. à.eeux qui les touchent, pas
même à ceux qui les avaleroient. Fauffes chenilles,• infeéles
qui leur reffemblent à certains égards , & dont il vient des
mouches au lieu de papillons. En quoi elles different des
chenilles. Ibid' b..
C heniijLE'.' ( Infeélol. ) On a lieu de foupçonner que plu-
lieurs efpeces de chein!les5'-& peut-être même toutes celles
dont les Papillons font phalènes, peuvent provenir d’oeufs
non fécondés ou pondus fans accouplement^ ^ Obfervations-
fur lefquelles cette conjeéture eft fondée. Suppl. II. 387. b. Si
les expériences entreprifes d’après ces .obfervations n’ont pas
toujours eu le même fuccès, c’e ftque peut-être une même
fécondation fert pour deux ou trois générations, 8c n’a plus
d’efficacité au-delà de ce ternie : peut-être auffi les effais in-
fruétueux ont-ils été faits fur des papillons diurnes. Ibid. 388.
a. Au relie , quelqu’un qui n’a pas voulu croire qu’un papillon
puiffe produire des oeufs féconds fans accouplement,
a convenu du moins qu’il y en a d’hermaphrodites pour les
couleurs. C ’eft un point qui invite à des recherches ultêrieu-
Chenilles, nombre des jambes de celles qui fe convertif-
fent en papillons. XI. 871. b. Rampement des chenilles. XIII.
787. a. Stygmates & refpiration de ces infeéles. X V . 518. b.
Ve rs que les chenilles nourriffent quelquefois dans leurs
entrailles. X V II . 41. a. Chenille de pin. XII. 634. b. Obfervatio;
ns fur la petite
Chen
chenille épineulè qiîi eft en fociété fur
l’ortie•• 79<$-V lilles que M. Tillet a trouvées fur le
grain ergotté. V . .90'7. a. D<es chenilles qui fe logent dans
’uits. III. 357/ a- Chenilles arpenteufes. Suppl. I. y68. a.
Clien iile qui e efpece de: banannier. 780. a.
Chen illes des papille èpidopteres. Suppl. III. 729. «.
Une bonne 0bforvat ion du changement du v er à foie peut
donmsr une id èe. gène:rale des; changemens de toutes les chenilles
. X V II . 40. a.. ExpériLences qui prouvent qu’on peut
faire du pap'usr avec la foie de la chenline commune. XI.
B47- a. Ufageî de la houille pour tuer 1es chenilles qui s’atnt
aux hsgumes • VIHv <124. b. Arrofemens qui détruifent
1ces infeé tes, 5a,•>;•/. L 5;të. a , b.
C eÏENILLE,! (Concm m le vrai.no:m de ce coquillage
repré fenté vo 1. V I d-es pl. d’liift. nat. pl. C>y. eft Popel. Suppl.
II. 3!?8. b. Vo
C e[EN ILLE j ( Botaig . Garaléleres de ci2 genre de plantes.
III. 294. b.
C eÏENILLE, ( Ruban. ) petit ouvrage en foie, &c. III. 294. b.
Maniere de filire de !la chenille,. D ’où dé pendent la groffeur
8c fa beauté. L e meichanifme felon lequ el elle fe travaille,
eft le: même que celui donit on couvre: les groffes cordes
d’inftrumens avec le fil d’argent ou de laiton. Pourquoi cet
ouvrage s’appelle chenille. Ibid. 295. a.
C h en il le , ( Pajfcment.) maniéré de fabriquer la chenille.
X II. 131. a.
CH E N ISQ U E , efpece d’ornement que les anciens prati-.
quoiënt à la poupe de leurs vaiifeaux. Dérivation de ce mot.
L ’étymologie de ce mot place le chenifque à la proue. III.
. a 9 5 - a-
CH EOP S ou Chcmnis ( Hijl. des Egypt. ) premier roi de
la vingt-unieme dynaftie. Son caraélere odieux. Pyramide
qu’il m conflruire. Suppl. IL: 388. b.
CH E P T E L , ( Ju-rifp. ) bail à cheptel. Ce contrat reçoit
différens noms , félon les différentes provinces où il eft
ufité. Etymologie de ce mot. Origine de ce contrat. Coutumes
où il eft ufité. Sa nature. Comment ces fortes de baux doivent
être paffés. On en diftingue deux fortes , le fimple 8c celui de
métairie. C e qu’on appelle bail, à moitié, en fait de cheptel.
11'. 2.93. b. Cheptel affranchi dont parle la coutume de Niver-
n o is , ce qu’on appelle en Berri 8c ailleurs bêtes de fer. Obfervations
fur les effets des différentes efpeces de cheptels 8c
de baux. Ce qui arrive fi le cheptelier difpofe des beftiaux
en fraude du bailleur. C e qu’on entend par le croît & le
profit Dans le cheptel fimple, le croit Sc ie profit fe partagent
entre le bailleur 8c le p*eneur , &c. C e qu’on appelle
droit de moijfon. Dans le cheptel à moitié ou affranchi, la
p»-rte des beftiaux eft fupportée de moitié entre le bailleur
& le preneur, &c. Dans le fimple, la perte tombe fur le
C H E
bailleur, &c. C e que porte l’article v y j de la coutume dé
Bourbonnais. Ibid. 296. a. Ouvrages à coniulter. Ibid. b.
Cheptel, exiguë du bétail donne en cheptel. V I . 2^9, j ;
C H E Q , ou Cherif, prince -ou grand-prêtre de la M ecque.
Préfens qu’il reçoit. Il eft obligé de défrayer pendant dix-
fept jours toute la caravane qui fe rend chaque année à la
Mecque. III. 2.96. b. >
C H E R A S C O , ville d’Italie. XIII. 698. b.
CH E R B U R Y , ( Herbert) fa patrie : fes ouvrages.VII. 448. b:
CH E R -C E N S , ( Jurifpr. ) dans la coutume d’Orléans , fe
dit d’un cens plus fort que le cens ordinaire, &c. Rentes
feigneuriales qui reviennent au même que le cher-cens
d’Orléans 8c le cher-prix de Blois 8c de Dunois. III. 297. a.
CH E R CH E , on donne ce nom , i° . aux différentes courbes
félon lefquelles on pratique le renflement léger qu’on
donne aux colonnes; 20. au trait d’un arc furbaiffé ou rampant
, &c. 30. au développement de plufieurs circonférences
fait félon quelque ligne verticale , &c. 40. au profil d’un contour
courbe découpé fur une planche, &c. III. 207, a.
CH ER CH É E , (A lg . & Géom.) ce qu’on appelle quantité
cherchée. On diftingue dans un problème les quantités
connues 8c les cherchées. En quoi confifte l’art des équations.
III. 297. a.
CR ER CH E -F ICH E , ( Serrur. ) defcription 8c ufage. III.
297. b:
CHERCHEURS , hérétiques : ce qu’ils penfent des diverfes
églifes chrétiennes. Ils font dans le chtiftianifme ce que
les fceptiques font en philofophie. Il s’en trouvé en Angleterre
8c en Hollande. Plus l’incrédulité fera grande, plus le
nombre de chercheurs fera petit. III. 297. h.
CHERTF, ou Sherie , titre fort en ufage chez les Maho-
métans. C e qu’il fignifie en Arabe. Il fe donne au fouverain
de la Mecque. Princes d’A frique auxquels on le donne : de
qui ces princes fe difont defcendus. III. 297. b.
CH ERILLE , obfervations fur ce poète grec 8c fur fes
ouvrages. VIH . 468. a.
CH ERM E Z , ( Géogr. ) lieu fitué dans l’éleétion d’Angou-,
lême. Suppl. IV . 783. a. Son ancien nom. Ibid.
CHERN1P S , ( Mythol. ) obfervation fur cet article de
l’Encyclopédie. Suppl. II. 388. b.
CH E R O N D E , article de l’Encyclopédie, life^ C heronée.’
CH E R O N É E , viétoire de Philippe à Cheronée. V II . 9 14.
b. Suppl. IV . 325. a.
CH ER SO N E SE , voyez Presqv’isle 8c Q uersonese.
Cherfonefe cimbrique. III. 452. b. Cherfonefe taurique ,
aujourd’hui Crimée. IV . 470. a. Ses habifans. Suppl. IV .
228. b. Cherfonefe d’or des anciens ; c’eft Tille de Sumatra
félon Maflæi. X V . 6 y8. a.
CH ERSYD RE , ( Hijl. nat. ) defcription très-incomplette
que les anciens nous ont donnée de cet animal. Les anciens
n’ont pomt reconnu la néceffité de décrire avec exaélitude
les objets de la nature qu’ils avoient continuellement fous
leurs yeu x.-III. 298. a.
CH E R T É , des denrées : en quels cas elle eft avantageufe
à l’état. V II . 830. b. Sec.
CH E R U , ( Botan. ) arbre du Malabar. Ses différens noms.'
Sa defcription. Suppl. II. 388. b. Sa culture , fes qualités 8c
ufages. Ibid. 389. a. Seconde efpece. Bibo, en quoi il différé
du cheru. Claftification de ces efpeces. Ibid. b.
CH ÉRU B IN , ange du fécond ordre de la première hiérarchie.
Etymologie du mot. Divers fentimens fur la véritable
origine du mot hébreu. III. 298. a. Comment les peintres
repréfentent les chérubins. C e que dit Jofephe de la figure
des chérubins qui couvroient l’arche. Celle des chérubins
que v it Ezechiel. S. Jean , dans l’apqcalypfe, les nomme
des animaux. But des écrivains facrés en employant ces fym-
boles. Il falloit au peuple hébreu des images fortes pour lui
-peindre des objets incorporels, &c. C e qu’entendent quel-
.ques-uns par le chérubin placé à l’entrée du paradis ter-
reftre. Ibid. b.
Chérubin, ordre militaire de Suede; autres noms qu’on
lui donne. Son inftitution. Il ne fubfifte plus depuis que
Charles IX introduifit dans fes états la confeffion d’Augsbourg.
Ouvrage à confulter. III. 298. b.
C H E R V I , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plantes.'
Qualité très-faine de fa racine fervie à titre d’aliment. Maladies
pour lefquelles elle eft recommandée Ses propriétés. O n
en a retiré un beau fucre blanc. Ouvrages à confulfer. III .
299- a- ■ W Ê ÊM H M H H |
Chervi, defcription de la feule efpece' de ce genre de
-plante, connue deTournefort. X V . 228. Æ. Sucre qu’on en
tire. 617. b.
CH ESAL , Chefeau , Chefeolage , (Jurifpr. ) Etymologie du
mot. Ce s termes fignifioient une habitation en généraï. Application
particulière qu’on en faifoit. Lorfque les feigneurs
affranchirent leurs ferfs , ils fe réferverent les mêmes droits
qu’ils avoient fur leurs tenemens, qui retinrent toujours lis
nom de chéfeaux. Où il en eft parlé. III. 299. a. Il paroît que
les chéfeaux étoient originairement d’une • ■ yaleur égaie.
C H E
■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ p cp i n £ N , ( Guillaume ) fameux, chirurgien anglois:
I ou’il a guéris. I. 872. a , b. X V . 27. a. Ses ouvrages1
anatomiqiies. Suppl. I. 405* b- & phyfiologiques. Suppl. IV .
3 5£ h ÈSIADE ; obfervation fur cet article de l ’Encyclopédie.
Suool II. 3? 9- b. -
CH E SN È A U , canal de plomb...» p our recevoir les eaux ,
b c Chefneaux à bavettes, chefneaux à bords. Chefneaux en
terme de fontainier. III. 299. b. H H H H
Chesneau , ( Nicolas) médecin : fes ouvrages. V II j pag. 1.
tleCH £SN EGH lR -B A CH I, im des douze principaux officiers
de la cour du grand-feigneur. Sa dignité, Dérivation de ce;
mot. III. a99- k- ' „ c - \ i c
C H E V A G E , ( Jurifpr. ) fignifioit autrefois le chef-cens.
Autre droit défigné par ce mot. O u il en eft parle, lil.
C H E V A L ; caraélere d u c 1 fauvage. En quels pays il
v m T e u f Chevaux fauvages d'Amérique. D iy e i f e Ü ïm e je i
Sont les auteurs en parlent. III. Q | D e fa ip n o n un en
donne- lenteur de MJloir* O u M u r s , Mantere de le s
prendre. Leur état en. captivité. Maniéré dappr.vo.fer les
chevaux fauvages. Modèle d'un cheval parfait auquel on
peut rapporter MUS les autres chevaux pour ,.« e r de leurs
nertcfUons & de leurs défaits. Ib,J. b. CtfbM x ambu. C e
font de tous ceux que nous connoiffons les plus conformes
à ce modèle. Chevaux barbes > plus communs que les arabes :
leur defcription. Ceux du royaume de Maroc paffent pour
les meilleurs. Chevaux turcs : leur defcription. Chevaux d’E f-
paene. Ils tiennent le fécond rang après les barbes : leur defcription.
Ibid. 301. a. Ils ont rarement les jambes blanches
8c le nez blanc. Les Efpagnols ont en averfion ces taches :
ils eftiment les zaùis. Marque qu’on leur fait à la cuiffe. Ceux
de la haute-Andaloufie paffent pour, les meilleurs. Les chevaux
d’Efpagne ont plus de foupleffe que les barbés .: on les
préféré à tous les autres pour la g u e r r e , la pompe 5c le
manege Chevaux anglois : ils font affez reffemblans aux arabes
& aux bathes : en quoi il en different : leurs qualités. Chevaux
d'Italie : leurs caraéleres : pour quel ufage on en fait cas*
Chevaux danois : on les préféré à toils pour l’attelage. Leurs
caraéleres. Ils font bons pour l’appareil 8c la guerre. Chevaux
■ d’Allemagne : leurs défauts. Les tranfilvaius, les hongrois font
-bons coureurs. Les hongrois , cravates 8c polonois font fujets
à lêtre béguts. Chevaux de Hollande : bons pour le carroffe.
D ’où viennent les meilleurs. Défauts des flamands dans la
conformation. Chevaux de France : les meilleurs chevaux de
folle viennent du Limoufin : leurs caraéleres : chevaux normands.
Ibid. b. D ’oii viennent les bons chevaux de carrofle,
& les bons de tirage. Défauts des chevaux de France.
Des haras. Importance de prendre foin des haras. Maniéré
d ’établir un haras, 8c d’y foigner les chevaux. Des étalons &
desjumenspoulinières. A g e où l ’on peut permettre aux chevaux
d’engendrer. Tems d e 'la chaleur des jumens : qualités de
l’étalon qu’on doit leur donner , félon le caraélere 8c l’ufage
des chevaux qu’on defire. Ibid. 302. a. Qualités des jumens
qu’on doit donner à l’étalon. Obfervations à fuivre pour
parvenir à avoir de beaux chevaux. Sur quoi peut être fondé
l ’ufage de croifer les races , même dans l’efpece humaine.
Eloge de ce qu’ont é,crit MM. de Buffon 8c Daubenton fur
l’hiftoire naturelle du ch e va l, qu’on fera bien de confulter. Il
ne faut point expofer le poulain à naître dans les grands froids
ni dans; les grandes chaleurs. Ufage du cheva l, entier pour
choifir parmi les femelles celle qu’il faut donner à l’étalon.
Soins 8c attentions lorfqu’on donne la jument à l’étalon. Ibid. b.
Maniéré d’employer l’étalon pendant le tems que dure la
.monte, C e que les Grecs appelloient hippomane. A quels fignes
o n reconnoît la chaleur de la jument. Autres obfervations à
•fuivre pour le bon effet de l’accouplement. Accouchement :
•hippomane du poulain. Maniéré de tirer du haras tout le
produit poffible. Diverfes obfervations fur la fécondité des
jumens 8c des chevaux. Ibid. 303, a. Des poulains. Leur
éducation. A tout âge 8c dans tous les tems les chevaux font
farcis d’une telle quantité de vers qu’ils femblent faire partie
de leur .conftitution : il en eft de même des ânes. Opération
d’hongrer les poulains. En quels pays on ne la pratique point.
•Effet" de cette Opération fur le caraélere du cheval. Dreffer
un cheval. A quel âge on le dreffe. Ibid. b. Maniéré de dreffer
les chevaux' de folle 8c peux de carroffe. Monter un cheval.
Leçon fur la maniéré de commander 8c de> diriger. Les
anciens furent très-bien fe faire entendre fans la bride 8c
l ’éperon. Ils n’ont connu que tard l’équitation. Maniérés
dont ils montoient à cheval. D e l’ufage, de ferrer le s chevaux
parmi les anciens. Différentes maniérés dont ils les
équipoient. Ibid. 304. a. Combien les chevaux de c.ourfe
étoient eftiméç. Comment ils les marquoient. Utilité de la
bride. Maniéré de monter à cheval 8c d’en delcendre. Utilité
de s’exercer fur un cheval de bois. Moyen pour inftruire
C H Ë 299
uh régiment de cavalerie à monter à chevüj.. LeÇ'onS. fur la
manière de fe tenir à chevai. Ibid, b.' Sur celle de le faire
partir 8c d’en diriger les principaux mouyemens.. Des allures
du cheval. D u pas : quel il doit être pour qu’il .ait de la légèr
e té , de. la.fermeté , de l’égalité. Ibid..305. a. Quelle eft l’allure
prdinàire,rdes. quadrupèdes. Moiivement du chevai dans
le pas. Mouvement du , trpt.. Mouvement du galop. Ibid, b-.
I l ferpit à propos d’exercer les..-chevaux à- galoper indifféremment
des deux piés de derrière. Gomment doivent être
le pas, le trot 8c le galop, pour être bons. Des allures non
naturelles. D e l’amble. Aijiire fatigante pour le cheval 8c douce
pourrie cavalier. Quels font les-,chevaux qui Ja,prennent;
Mouvemens de l’entre-pas 8c de l’aubin : quelles en font les
caufes. Obfervations fur la cpnmijfance des. chevaux. Signes
qu’on tire du mouvement, des oreilles, de la forme des yeux
d’une bouche feche. Ibid. 306. a. Obfervations fur. d’autres
parties du cheval. Des/ dents du cheval. Moy en de juger de
l’âge. Depuis dix jufqu’à treize à quatorze ans il n’y a plus
d’indice. Chevaux beguts. Ibid. b. Durée de la vie des chevaux.
Tems de leurs mue. Cinq henniffemens du cheval. D u
dormir ; de la maniéré de bo ire ; de la maladie appellée
morve ; fa caufe. Principales marchandifes que ie cheval fournit
après fa mort. D u cheva l, félon la mythologie: Chevaux
fymboliques. Chevaux facrés des Germains. Il y a peu d’animaux
qu’on ait autant étudiés que le cheval. Il n’y en a point,
après l’homme, à qui l’on reconnoiffe autant de maladies.
Ibid, 307. a. Ouvrages à confulter. Ibid. b.
C heval. I. Defcription de cet animal. D e fa cohformatipn :
confédération de fes parties extérieures. Suppl. III. 393. b;
8cc. La tête. X V I . 203. b. 204. a , b. Le front. V I I . 339. a
Variation dans la couleur des yeux. XI. 389. a, 3 90. a. Qualités
qu’ils doivent avoir. 3 98. a. N e z , parties qui en dépendent.
X. 73 6. a. Bouche. II. 349. b. Dents. IV . 84p. b. Barres*
II. 92. a. Gofier. V II . 747. a , b. Mâcho ire, voye^ ce mot.;
Garrot. 519.. «*, b. Différentes tailles des chevaux. X V . 857.
a. Encolure. V . 630. a , b. Crinière. IV . 471. a. Crins. 470. b.
Croupe. < 15. a , b. Flancs. V I . 842. b. Côtes. Suppl. II. 623. £,
Reins. X IV . 48-4. Boulet. IL 364. b. Jarrets. V I I I . 462. a.
Hanches. 3 S. b. Jambes. 442. b. Pié. V . 626. b. XII. y6y. a:
Quartiers du pié. XIII. 692. b. Caraéleres d’un beau pié. V I .
450. a. Talons. X V . 869. a. Poil. XII. 8651 b. Suppl. III. 39y*
b. 400. a. Queue. XIII. 707. a. Anatomie du cheval. Suppl. III.
377. b, 8çc. ,
II. Diverfes obfervations d’kijloire naturelle. Eloge du cheval.
V . 883. b. Suppl. III. 374. a , b. 375. a. Comparaifon de la
force du cheval à celle de l’homme. V I I . 122. a. 123. a , b;
Prix confidérable de quelques chevaux de l’antiquité. Suppl,
III. 375. b. Attachement de quelques perfonnes pour leurs
chevaux. Ibid. Ebrouement, efpece d’éternument du cheval.
V . 216. a , b. Pourquoi le cheval vomit & refpire par les
nafeaux. X. 736. b. D u henniffement de cet animal. X V I I .
434. a. D e l’haleine du cheval. VII I. 27. b-. Ecume fur la
fuperficie, du corps du cheval en fueur. V . 379. a. Sa manière
de paître. IV . 838. a. D u fommeil des chevaux. V I . 41 y. m
Moyen d’acquérir la connoiffance du naturel d’un cheval*
VIII. 799. b. Réflexions fur la difficulté de comprendre les
diverfes paflxons du cheval par les fignes extérieurs qu’il en
donne. VIII. 132. a. Examen des défauts 8c des qualités de
chaque partie du cheval. Suppl. III. 397. a , b. Sec. Marques
qui font connoîrre fon âge. I. 17 1. a , b. Suppl. III. 380. b.
Inftruélions très-détaillées fur les moyens de le découvrir*
V I . 44y. a , b. 8cc. Parties qui blanchiffent' les premières
quand l’animai vieillit. Suppl, III. 400. a. Artifice des marchands
de chevaux pour le cacher. HI. 4y2. b. Efpece de
friponnerie des maquignons, appellée contrefmarque. V I . 445*
a , b. Suppl. II. 576. a. ' * .
III. Diverfes qualités des chevaux. IV . 268. b. Caraéleres
des chevaux de différens climats. Suppl. III. 292. a. Qualités
particulières que doivent avoir les chevaux, relativement aux
différens ufages auxquels on les emploie. V I . 810. b. 811. a.
Cheval de cliaffe. III. 229. a. Equipage du cheval de folle i
vo l. IX des planch. article fellier, pl. 3. Rareté des bons 8c
beaux chevaux. V . 753. b. Chevaux béguts. IL 191. b. V I .
447. b. Balzans. IL yo. b. Travats 8c traftravats. X V I . y67. b.
y 69. b. Cheval bouleté, II. 364. b. qui a beaucoup de boyau*
H. 388. b. Etroit de b o yau , Ibid, bien ou mal coeffe. III.
«89. b. Crochu ou jarretté, IV . y-00. b. marqué en tête.
V I 66 b. Chevaux appellés belle fa c e : étoile ou pelotte au
milieu du front : cheval qui boit dans le blanc, dans le lait.
3 y7. b. Cheval droit, V . 147. b. é couteux, retenu,, qui fe
retient : différence entre ces expreffiohs. V . 352. b. Cheval
qui a tiu feu : en quoi il différé de celui qui a de l’ardeur.
V I. 63 y. b. Cheval qui a des marques de Féb. 636. b. Cheval
qui a un beau mouvement, X. 841. b. Ch e va l fage. X IV .
49y. b. Différence entre un cheval de felle’ Sc Un cheval dé
carroffe. Suppl, t l l. 396. a , b. Sec.
IV . Défauts des chevaux. D e s vices 8c défauts des chevaux.,'
8c des moyens d’y remédier. Suppl. III. 416. b. 417. a , b.
G lie y au* qui battent à la main, qui battent la poudre, qui