Exemple.- VIII. 402. b.
HY P ER BO L E , {Géom.} une des lignes courbes formée
par la feétion du cône. Définition de l’hyperbole. Formation
de cette courbe. A x e conjugué de l’hyperbole. Centtc
de l’hyperbole. VIII. 402. b. .Tangente à cette courbe.* Ses
afymptotes. Puiffance de l’hyperbole. Ses propriétés. Ibid.
403. a , b. Sur la quadrature de l’h yperbole, voye^ Q uadrature.
Hyperboles à l’infini, ou du plus haut g en re, voyt^
HyperbOLOÏde. L’hyperbole du premier genre a deux afymptotes
; celles du fécond peuvent en avoir tro is, &c. Dénominations
des différentes hyperboles du fécond genre, voye^
C ourbe. Hyperbole du premier genre ou d’Apollonius.,
voyez A pollOMEN. Pourquoi cette forte de courbe eft
appellee hyperbole. Equation d’une infinite de courbes afymptotes,
que l’on nomme aulîi hyperboles. Trois différentes*^
maniérés dont elles peuvent avoir leurs branches dilpofées
par rapport à leurs afymptotes. Ibid. 404. a.
Hyperbole, comment fe forme cette fe&ion conique. III.
873. a. Deux deferiptions de l’hyperbole. 876. b. 877. a. Définition
des termes qui lui appartiennent. 876. b. Àbfciffe de
l ’hyperbole. I. 39. b. Afymptotes. I. 793. b. Axe . 905. a.
Diamètre tranfverfe & conjugué. IV . 931. b. Propriétés de
cette courbe. III. 877. a. Hyperbole ambigene. 1. 321. a.
Hyperbole anguinée, 467. a. apollonienne, 331. b. circonf-
icrite. 111. 463. b. Hyperboles conjuguées , 877. a. oppofées.
884. a , b. Deux hyperboles oppofées paroiffent ri’avoir rien
de commun, & appartiennent cependant à une feule &
même courbe. Ibid. a. L e fyftême des hyperboles conjuguées,
& des hyperboles oppofées, ne forme pas un feul
& même fyftême de courbes, comme quelques-uns l’ont
penfè, ibid. b. Hyperbole convergente. IV . 163. a .D éfe â iv e.
733. b. Equilatere. V . 872. b. Hyperbole pitre. 373. b. D e
la quadrature de l’hyperbole. 641. a. XVII . 631. a.
Hyperbole, ( Rhét. Logiq. Poéfie} étymologie du mot.
Hyperboles dans la feule diâion. Hyperboles dans la penfée.
Tra it d’Agéfilas à un homme qui relevoit hyperboliquement de
fort petites chofes. VII I. 404. a. En quel cas l’hyperbole eft
une beauté. Cette figure appartient aux pallions véhémentes ;
•elle eft aulîi permife dans le comique; exemple. D e l'hyperbole
dans les chofes férieufes. Celle de l’orateur Démades,
lorfqu’un particulier eut annoncé dans Athènes la mort d’A lexandre.
D e l'hyperbole en poéfie : exemples tirés de Virgile
& de Malherbe. Réflexion générale fur cette figure. Ibid. b.
Pour avoir pris certaines hyperboles trop à la lettre, on a fait
de la morale un tas de paradoxes abfurdes, & de maximes
outrées. Ibid. 403. a.
Hyperbole, {Bell. lett. ) l’hyperbole ne doit être fenfible
que pour celui qui écoute , & jamais pour celui qui parle.
.Celui qui exprime une chofe comme il le fent n’exagere
point, il rend fidèlement fon fentiment ou fa penfée. Ainfi
dans l’excès de la paflion, l’hyperbole la plus infenfée eft
elle-même l’expreflion de la nature & de la vérité. Suppl. III.
402. a.
Hyperbole fréquente dans la langue hébraïque , eft u n e .
preuve de fa pauvreté. VII I. 90. b. Hyperbole de diminution.
X V . 893. a.
HYP ER BO L IQ U E , {Géom.} branche h yperb olique.il.
393. a , b. Solide hyperbolique aigu. X V . 321. a.
HYP ER BOLU S , l’ufage du ban de l’oftracifme aboli à fon
occafion, XI. 694. a , b.
HYPERBORÉENS, ( Géogr. anc.) peuples qui énvoyoient
à Délos chaque année les prémices de leurs fruits, pour être
cotîfacrés à A po llon,en faifant paffer leurs offrandes de main
en main chez différens peuples. En quelle contrée les anciens
plaçoient les peuples hyperboréens. Le commun des hommes
croyoit ce. pays tellement fous le no rd , que le vent du nord
H Y P
n’y pouvoit fotifHer. P remier auteur de cetté fiéRôn. Tableau
de la félicité que les Grecs attribuoient aux peuples hyperboréens.
VIII. 403. a. Les bons auteurs s’en étoient formé
une idée toute oppofée. Divers fenrimens fur le pays que
ces peuples habitoient. En quelle contrée les iavans géogra-
phes modernes les ont placés. Ibid. b.
Hyper bo r éen s , ( Géogr. Hifi. ) première divifion des
anciens peuples du monde. Opinion des anciens ,■ qu’il n’y
avoit fur le globe que les deux zones tempérées qui" puifent
avoir des habitans. En quel teins les Romains furent'que la
Grande-Bretagne étoit une ifle. Suppl. III. 482. a. Différens
peuples que les anciens appelleront hyperboréens. Q uels font
ceux que nous défignons aujourd’hui par ce nom. Conformité
de goûis & d’ufages dans ces différens peuples , qui fait
reconnoître l’identité de leur origine. Ibid. b.
H Y P E R C A T A L E C T IQ U E , { L it t .) .vers foit g re c , foit
latin, où il y a une ou deux fyllabes de trop. Etymologie
du mot. Les vers grecs 8c latins diftingués par rapport à la
mefure en quatre fortes;les acataleéliques,les cataleéliques,
lesbrachicataleûiques; 8c les hypercataleéliques. V III. 406. a.
H Y P ER D U L IE , culte d’ IV . 331.
H Y P E R ID E , o rateur Athénien ; caraélere de fon éloquen-
.ce. a.
H Y P ER IU S , {Gérard-André} théologien. X V I I . 676. b.
H Y P ER SA R ÇO SE , {Chir.} excroiffance charnue dans les
plaies Si. les ulcérés. En quoi cette végétation, différé d’une
excroiffance proprement dite. V II I. 406. a. 11 faut la détruire
avant de pouvoir guérir les plaies où elle fe trouve. Moyen
de la confommer. Efficacité des remedes fondans 8c purgatifs
à l’égard des excroiffances fongueufes, & de celles que
l’amputation 8c l’ufage des cathérétiques n’cmpêchoient pas
de repulluler. Q u el eft le meilleur corrofif pour les liyper-
farcofes. Exemple d’une excroiffance fongueufe à l’oeil fut
la conjeélive plufieurs fois extirpée & reproduite, 8c enfin
totalement détruite par M. Duverney. Ibid. 407. a.
H Y P E TH R E , {Archit. antiq.) temple des anciens découvert
8c expofé à l’air. VIII. 407. a. Etymologie du mot. D e feription
de cette forte de temples, 8c de quelques différences
qui les difîinguoiept eqtr’eux. Exemples de quelques temples
de Jupiter 8c de Junon bâtis de cette forte. Pourquoi il
convenoit que les temples de ces deux divinités fuffent découverts.
Statues qui fe trouvoient dans ces édifices, & en particulier
dans l’hyperhre de Samos. Ibid. b.
Hypeihre, voye[ fur cette efpece de temple, X V I . 6 t. à.
HYPN UM , ( Botan. ) nom que R a y donne à un genre
de moufles fertiles. Leur defeription. La famille de ce genre de
moufle eft fort nombreufe. Ouvrage à confulter. V I I I .
407. b.
H Y P O C A U S T E , {Antiq. ) étymologie du m ot. Fourneau
employé dans les anciens thermes. Defeription, fituation 8c
ufage de ce fourneau. V I I I . 408. a.
Hypocaufie, il eft parlé de ce fourneau. H. 19. a. V I. 97. b.
Son ufage. X V I . 144. b.
Hy p o c a u s t e , {Archit.} efpece de cheminées obliques,,
horizontales, parallèles, pratiquées par les Ruffes fous le pave
de leurs théâtres, 8c introduites enfuite en Hollande oc en
Franc e, pour chauffer la falle des fpeâacles. Danger de ces
cheminées. Moyen d’échauffer les chambres à l ’aide de quelques
tuyaux qui diftribuent la chaleur. A utre invention defli-
née à conferver la chaleur des poêles. Suppl. III. 483. a. Des
poêles à vapeurs. Gomment les Grecs modernes chauffent
leurs appartemens. Des hypocauftes confidérès par rapport
aux arts. Ibid. b.
HY PO CH O N D R E S , ( Anatom. ) étymologie du mot,
Defeription des hypochondres. Vifceres qu’ils renferment.
V I I I . 408. *.
Hy p o c h o n d r e s , {Médec.} parties qui forment ce qu’on
appelle les hypochondres. Région hypochondriaque. Réglé
que s’étoient faite les anciens de s’aflùrer de l’état des hypochondres
,dans le cours des maladies. En quoi confifte le
I bon état des hypochondres- félon Hippocrate. Heureux pro-
gnoftic qu’on en peut tirer dans les maladies aiguës. VII I.
408. a. Obfervations fur différens états de maladie dans les
hypochondres; conféquences que la médecine en tire. O uvrages
à confulter pour avoir un plus grand détail fur tout ce
qui a rapport aux fignes prognoltics tirés de l ’état des hypochondres.
Ibid. b.
H Y P O CH O N D R IA Q U E , affeElion {Médec.} efpece de
maladie dont la mélancolie eft le genre. VIII. 408. b.
Hypochondriaques, pourquoi ils font particuliérement fujets
aux hémorrhoïdes. VIII. 126. b. Phtyfie hypocondriaque.
XII. 333. b. Maladies des hypocondriaques analogues à celles
que caufe l’extirpation de la rate. Pourquoi ils font pâles,
& quelquefois provoqués à rire fur des riens. XIII. 823. b.
L’affeéîion hypochondriaque difpofe au feorbut. X IV . 804.
a. Maniéré de guérir les ventofités dans cette maladie. X IV .
427. b. Spécifique dans les affrétions hypochondriaques. X V .
443. a. Quelques fymptômes de cette maladie. 738. b. Enumération
des remedes qui lui conviennent. Suppl. I. 45 4. a.
H Y P H Y P 943
L’équitation falutaire aux hypochondriaques. Suppl. IT. 848.
a , b , &c. — Poye{ VAPEUJtS, MÉLANCOLIE.
H Y P O C IS T E , ( Botan.} plante qui naît fur les racines
ou collets de différentes cfpeees.de ciftes. Sa defeription.
M..de Tournefort a obfervé dans l’ifïe de Crete des efpcces ,
d’hypociftes différentes par la couleur. Comment cette plante
croît. VII I. 409. a. Comment fes graines peuvent pai^enir
au-deffus du collet de la racine où elles s’attachent. Ibid. b.
H Y P O C R IT E , ( Morale } diverfes caufes qui portent les I
hommes à fe montrer différens de ce qu’ils font. Hypocrites
dans la religion. V l l t . 409. b.
H Y P O G A S T R IQ U E , région {A n a t.} VIII. 410. 4.
Hypogafirique, artère, comment elle paroît dans le foetus
& dans l’adulte. La divifion de cette artere varie fi fo r t ,
qu’on n’en fauroit donner une defeription qui puiffe convenir ~
à un nombre même médiocre de fujets. Huit arteres qui
réfultent ordinairement de fa divifion. VIII. 41b. a.
Hypogaflrique, veine, autrement dite iliaque interne. Obfer-
vations fur ces veines. Leur diftribution. Utilité des trous dont
les extrémités de ces veines font percées. Découverte que M.
M o ry a faite de ces trous. Conjeélnre fondée fur cette découverte.
VIII. 410. a.
Hypogastrique & Honteuse Anat. ) cbmme
les vaiffeaux honteux ne font que des branches des hypof
aftriques , ces deux articles ne doivent pas être féparés.
mperfeélions 8c erreurs dans l’article hypogaftrique de l’Encyclopédie.
Difficulté à fuivre ces vaifleaux. Leur defeription
très-détaillée. Suppl. III. 483. b. — 486. a , b.
Hypogastrique , ( Médec. ) maladies dans lefquelles
les médecins ne doivent pas négliger l’examen dè la région
hypogaftrique. VII I. 410. à..
H Y P O G A S T R O C E L E , ( Chir. ) tumeur générale du
bas-ventre, excitée par la dépravation du corps graiffeux,
qui acquiert un volume extraordinaire, 8c une dureté qui
paroît skirrheufe. Fievre lente 8c marafme qui en réfultent.
Ouverture du cadavre d’une femme morte de cette maladie.
Suppl. III. 487. a.
H Y P O G É E , terme d’aftrologie, d’architeélure & d’antiquités.
VII I. 410. b. -
Hypogée, ( Antiq.) tombeau fous terre. Ufage qui fuc-
céda chez les Grecs à celui de brûler les corps. Hypogées
dès Romains. Etymologie du mot. VIII. 410. b.
H Y PO G LO S S E , ( Anatom. ) produétion & diftribution des
nerfs hypogloffes externes ou grandshypogloffes.VIII. 4 10. b.
H Y P O P Y O N , {Chir. ) amas de pus derrière la cornée,
qui couvre quelquefois toutes les prunelles. Etymologie du
mot. Différens fentixnens des auteurs furicette maladie. Ses
caufes.. Conxment on doit la prévenir lorfqu’il y a rupture
des vaiffeaux de la cornée. La nature produit quelquefois
dans l ’hypopyon des effets falutaires que l’art ne peut imiter.
.VIII. 41 ?
H Y PO R CH EM E , ( Littér.} forte de poéfie des Grecs.
Danfe qui en accompagnoit le chant. Inftrumens au fon def-
quels on danfoit. Selon le rhéteur Ménandre, l’hyporcheme
étoit confacré au culte d’Apollon. C ’étoit les poètes qui enfei-
gnoient ces danfes à ceux qui dévoient les exécuter. Auteur
à confulter. Plutarque admet de la différence entre les hypor-
chemes & les péans. Q uels étoient les vers .de la poéfie
hyporchématique. VIII. 412. a.
H Y PO S PA D IA S , ( Chir.} nom que l ’on donne à celui qui
n’a pas l'orifice de l’uretre directement à l’extrémité du
gland. En quoi confifte ce v ice de conformation. Il eft très-
préjudiciable à la génération. Galien appelle aulîi hypofpa-
dias ceux en qui le frein trop court Fait courber la verge
dans l’éreétion. Comment on remédie à ce petit inconvénient.
V I I I . 412. Æ.
HYPO SPAT ISME , ( Chir. des anciens} incifion fur le
front qu’on faifoit pour arrêter les fluxions fur les yeux.
V I I I . 412. a. Etymologie du mot. Opération que quelques
auteurs propofent contre la maladie appellée goutte-roje. Caufe
de la rougeur du vifage félon Bayrus. Moyen qu’il employa
pour y remédier. Ibid. b.
H Y P O S T A S E , ( Théolog. ) étymologie de ce mot. Il lignifie
en théologie perfonne. S. Cyrille paroît être le premier
qui l’ait employé. Selon ce pere , les philofophes ont reconnu
les trois hypoftafes ou perfonnes divines. C e mot excita
autrefois de grands démêlés. Signification' de ce mot dans le
concile de Nicée. Dans les dilputes contre les Sabelliens,
les Grecs choifirent Je terme à'hypofiafe, & les Latins celui
de perfonne, ce qui fut la fouree de la conteftation. VIII.
412. b. Comment elle fut terminée. Détermination fixe qu’on
donna au mot hypofiafe. Erreur dans laquelle quelques-uns
tombèrent fur les deux mots eJTence 8c hypofiafe. Ibid. 413. a.
Hypofiafe, v o y e z T rinité. Hypoftafes de Platon. X V I .
648. a , b. . ,
H Y PO T EN U S E , ( Géom.} étymologie de ce mot. VII I.
413. a. Fameux théorème de Pythagore fur le quarré de l’hy-
poténufe. Q uel pouvoit être le füjet de la joie que ce philo-
ibphe manifefta à cette occafion. Nouvelle déraonftratiion de
ce théorème, plus facile que toutes celles qu’on a données
ci-devant. VIII. 4x3. b.
Hypotenufe, v o ye z Rectangle, trianglé. Découverte
de la propofition du quarré de l’hypoténufe. V I I . 629. b.
H Y P O TH É C A IR E , ( Jurifp.,) de la diftinélionRentre les
créanciers hypothécaires 8c chirographaires. III. 349. a-.
Créance hypothécaire. IV . 437. b. Des préférences entre
créanciers hypothécaires. XIII. 283. a , b. Rente hypothé-*
caire. X IV . 1 17. b.
H Y P O TH E Q U E , {Jurifpr.} étymologie du mot. L a lureté
qui fe trouve dans le gage eft plus grande que celle des
ndéjuffeurs. Deux maniérés dont on oblige les chofes. Les
Grecs inventèrent ces deux moyens d’affurer la dette ; favoir
l’anticrêfe, & la fimple hypotheque. Déclaration qu’ils exi-
geoient du débiteur, lorfqu’ils fe contentoient de l’hypotlle-
que. Marques ou brandons qu’on mettoit fur un héritage
engagé." Paffage de Plutarque qui montre que l’ufage des
hypotheques 8c des brandons étoit ancien déjà du tems de
Solon. VII I. 414. a. Vente fimulée que les Romains avoient
inventée pour affurer une dette. A cet ufage fuccéda celui
de céder ouvertement la poffeflion. O n parvint enfin à fe
contenter de l’hypotheque. Diverfes maximes établies chez
les Romains par rapport à l’hypotheque. La onzième des
douze tables qui traitoit de cette matière a été perdue. Ufa-
ges établis en France touchant les hypotheques. Dans les
commencemens il falloit une ftipulation expreffe. Jour auquel
elle commence à avoir lieu. Moyens employés dans quelques
coutumes pour mieux affurèr l’hypotlieque. Ibid. b. Edits
de H enri III & de, Henri IV pour le contrôlé 8c l’enregiftre-
ment des hypotheques. Greffes établis en 1673 » °ù c.eux qui
prétendoient hypotheque pouvoient s’oppofer pour la confer-
vation de leurs„droits. Etabliffement du contrôle des aéîes
des notaires en 1693. Des perfonnes qui peuvent hypothéq
u er , & des chofes qui peuvent être hypothéquées. Des
effets de l’hypotheque chez lés Romains. Aétion que les préteurs
accordèrent aux créanciershypothécaires.Suivantle droit
romain, les meubles font fufceptibles' d’hypotheques. Créanciers
privilégiés qui paffent avant les hypothécaires. Ibid.
413. à. Selon la coutume de Paris, les meubles n’ont point
de fuite par hypotheque. Loix relatives à cet objet dans les
parlemens de droit écrit. Trois fortes d’aftions hypothécaires.
D e l’aéîion perfonnelle, & de l’aélion pure hypothécaire.
D e l’aâion en déclaration d’hypotheque. Il n’étoit pas
permis chez les Romains d’hypothéquer les biens à deux
créanciers- à la fois. En France il eft permis d’hypothéquer
fes biens fucceflivemenr à plufieurs créanciers. Ibid. b. L’h y potheque
dérive de la convention expreffe ou tacite des parties
: mais parmi nous il faut de plus l’intervention du juge
ou du notaire. Effets de l’hypothequc. Comment fe réglé l’ordre
des hypotheques entr’elles. C e qu’on entend par purger
les hypotheques. L o ix à confulter. Ibid. 4 16. a.
Hypotheque conventionnelle. VIII. 416. a.
Hypotheque expreffe. V I I I . 416. b.
Hypotheque générale : différences entre cette hypotheque &
l’hypotheque fpéciale. VII I. 416. b. ■
Hypotheque légale. Celle que le mineur a fur les biens de
fon tuteur, 8c le tuteur fur les biens de fon mineur. Ce lle
t de la femme pour fa dot. Celles des églifes, hôpitaux & communautés
fur les biens des bénéficiers, 6>c. Celle d’un maître
de navire pour fon fret & les avaries fur • les marchandifes
du navire. Celles du propriétaire pour fon lo y e r , 8c des
légataires pour leur legs. VIII. 4 1 6. b.
Hypotheque néceffaire. VII I. 416. b.
Hypotheque privilégiée : exemples. Comment fe réglé l’ordre
des privilèges. VII I. 416. b.
Hypotheque fimple. V lI I . 4x7. a.
Hypotheque fpéciale. VIII. 417. a.
Hypotheque fiaende feker : efpece d’hypotheque ufttée dans
la Flandre flamande. Détails Fur ce fujet. VII I. 417. a.
Hypotheque tacite. VII I. 417. a.
Hypotheque. D e s hypotheques engagées par contrat. IV .
124. a. Concurrence d’hypotheque. III. 83a. b. Déiaiffement
par hypotheque. IV . 770. a. Hypotheque des dépens. 858.
b. Déclaration d’hypotheques. 692. b. Difcuffion de l’hypo-
theque fpéciale avant la générale. 1033. b. D e la principale
avant la fubfidiaire. 1036. a. Inféodation des hypotheques.
V I I I . 700. a. Lettres d’hypotheque. IX. 424. a. Les meubles
fufceptibles d’hypotheque félon le droit romain. X.
473. a , b. Rentes hypotheques.XIV. 1 17. b. Rente à pro-
meffe d’hypotheque. 118. a. Hypotheque fubfidiaire. X V .
382. a. Suite par hypotheque. 649. b. Confervateur des hypotheques.
IV . 3 3. a , b. Greffe des hypotheques. V II . 921. b.
— Voyez Gage , Éngagement.
H Y PO TH E S E , {Métaphyf} quels font les cas où il eft
permis de recourir aux hypothefes. Leur utilité. Comment
une hypothefe parvient à mériter tout notre affentiment.
VII I. 417. a. C ’eft aux hypothefes que nous fommes redevables
des fublimcs connoiffances dont l ’aftronomie & les
fciences qui en dépendent font à préfent remplies. Comment