des provinces fe rendent indépendans. Commencement de
l'empire des Fatimites. Les querelles de religion préparent
la ruine des califes. Ibid. b. Millionnaires mufolmans qui fe
vouent à la converfion des peuples épars dans les déferts de
l’Afrique. Commencement des rois d’Afrique , qui prirent
le nom de Miramolin. - Motamafem , huitième calife Ab-
baflide. 11 confie fa garde à des étrangers nommés Turcomans,
dont la valeur frava enfuite à leurs chefs, le chemin aux
premières dignités. - Moélader, dix-humeme calife Abbafiide.
Foiblefle de fon empire. - Régné de fon fuêceffeur Kâder.
- L e califat n’eft plus qu’une ombre fans réalité , fous le
régné de Rliadi, vingtième Abbaflide.
Pouvoir qu’acquierent lesTurcs. Fin du califat de Bagdaten
12 58 , 8c de celui d’É gypte en 15 17. Ibid. 131. a.
Califes. Hiftoires des califes , îucceffeurs de Mahomet. IX.
865. b , Sic. Voyei Ommiades 6* A bbassides. Maniéré dont
le peuple prêtoit ferment au nouveau calife. Extinélion du
califat : califat nélif ou imaginaire qui fuivit. IV . 300. a.
Califes Fatimites. V I. 429. a. Califes Samanides. X IV . 592.
a. Difpofitions des califes Arabes , à l’égard des fciences. 664.
« J M M K Ë i C A LIFO RN IE. Moeurs 8c religion des Californiens. II.
560. a.
C alifornie , ( Géogr. ) recherches fur la pofition géographique
du fameux détroit qui fépare , vers le nord , TAfie
de l’Amérique , 8c auquel les anciens ont donné le nom de
détroit d’Anian. Suppl. II. 131. b. Paflages tirés de divers
anciens auteurs fhr la Ca lifornie, fur le tems où elle fut
découverte , fes habitans , fes produirions, l’étendue de ce
pays. Ibid. 132. a. Prolongation de cette prefqu’ifle , félon
d’anciennes cartes, jufqu’au détroit d’Anian. Quelle en eft
la vraie étendue. Erreur de quelques géographes, qui la con-
fidérerent comme une ifle. Cette erreur redreffée en 1702,
par la carte du P. Kino. Ibid. b. Obfervations qui montrent
qu’en rétabliflanr la Californie en prefqu’ifle , conformément
aux anciennes cartes, il falloit en corriger la longitude & le
giflement des côtes. Navigateurs qui ont fait des découvertes
dans ce pays , & aux relationis defquels il faut recourir.
Nouvelle carte de la Californie, communiquée à l’auteur
par un magiftrat de Lucerne. Tranfcription de ce quife trouve ■
dans un manufcrit efpagnol, fur la fituation de ce pays. Ibid.
133. a. Obfervations fur le pays décrit dans la carte du P.
K ino , depuis la. riviere d Hiaqui, jufqu’à celle de Hila &
Azul. Des provinces feptentrionales reconnues autrefois par
le s Efpagnols, 8c des vaftes pays au nord-oueft.de l’Amérique;
L’authenticité des cartes anciennes rétablie. Ibid. b.
Cô te s de l’Amérique , depuis la mer Glaciale, jufqu’à la
Californie. Leur étendue juiqu’au cap le plus méridional de
c.ette prefqu’ifle. D e l ’emplacement de Q u iv ir a , & des pays
de To lm ou Téguajo. Réfutation des raifons fur lefquelks
M. Buache juflihe la defcription qu’il donne de ces côtes 8c
de ces pays. Ibid. 134. a. Réponfe à une objeétion contre le
giflement des pays à l’ouefl de la Californie, tels que les
anciens les ont repréfentés. Ibid. b. Relations de quelques
voyageurs , 8c particuliérement de François Drake , par
lefquelles l’auteur confirme fon fentiment fur le giflement
de ces côtes , 8c tâche de rendre aux cartes & relations
efp gnoles, les droits, dont les géographes poftérieurs les
avoient privées fans raifon. Ibid. 133. b.
. C A L lG U L A , Caïus , ( Hifi. rom. ) fils, de Germanicus &
d’Agrippine , fuccefléur de Tibere à l’empire. Hiftoire de fa
v ie & de fon régné. Suppl. II. 137. b.
Caligula. Régné de cet empereur. X IV . 333. a. Son
amour pour Drufille. Honneurs qu’il lui rendit après fa mort.
X V I . 607. b. Son caraàere cruel. IV . 318. a. Caufe de fes
défordres, félon Juvenal. VIII. 216. b. Pont de bateaux
qu’il bâtit fur le golphe de Pouzzol. XIII. 7 1 . b. Suppl. IV .
523. a. Grandeur 8c magnificence de fes vaifleaux. X V I. 803.
b. Ses edais pour faire de l ’or. I. 249. a. Académie qu’il inflitua
dans Lyon. Suppl. I. 233. b.
C A L IN ,compofition dont l’ufage vient de la Chine. Ufage
qu’en ont fait les faux monnoyeurs. Celui qu’on en fait dans
ies royaumes orientaux de l’Afie. IL 3 60. a.
C A L IN D A , danfe des negres créoles en Amérique. D e fcription
de cette danfe. II. 360.11. Voye^ T amboula.
C A L IP IQ U E , période de 76 ans , qui fixoit le retour des
nouvelles lunes , félon Calipus , qui l’introduifit en corrigeant
celle de Méton. Défaut de la période calipique : elle fe
trouve plus bornée de 19 ans que la période métonique. II.
5.60. b.
Calipique , période. Voye{ fur ce fujet. X II. 361. a.
C A L ISTO , ( Myth. ) fille de Lycaon , 8c l’une des compagnes
favorites de D iane. Amour de Jupiter pour Califto. Sji
jnetamorphofe. Fondement de cette fable. Suppl. IL 140. a.
Calisto. Hiftoire de cette nymphe. X I. 7 16. b.
C A L IX T E I I , pape. Suppl. IV . 360. a.
Calixte I I I , pape. X VII. 630. h,.
, Calixte , ( George ) de Helmftadt ; théologien. VIII.
107. b.
C A L IX T IN S , ( Hiß. eccl. ) fe&aires de la Boheme au
quinzième fiecle. Ils prétendoient l’ufage du calice néceffaire
au peuple. En quoi eonfiftoit leur doélrine. Accord appellé
compaétatum , que fit avec eux le concile de Balle. Leur réunion
aux luthériens. Il fe trouve ‘encore quelques calixtins en
Pologne. II. 360. b.
Calixtins : leurs inftances contre le retranchement de la
coupe, mal fondées. III. 73 2. a. Condefcendance dont l’églife
ufa envers eux. Ibid.
Calixtins, Luthériens mitigés qui fuivent les opinions de.
George Calixte. Ils font regardés comme femi-pélagienS.
Doélrine de Calixte. II. 361. a. .
C A L L A F , defcription de cet arbrifleau. Eau de callaf
qu’on prépare à Damas. Ses propriétés. Huile de callaf. IL
H 1
C A L L A IS , pierre qui imite le faphyr. Lieux où on la
trouve. Sentimens de Boot & d eLaetfur cette pierre. II. 361 .a.
C A L L A O , ville d’Amérique, renverfée par un tremblement
de terre. IX. 334. a.
C A L L E O , (Lang, latin.') fens propre 8c métaphorique
de ce verbe. X. 438. b.
C A L L E U X , ( Anatoih. ) corps calleux , defcription & fituation
de cette partie. II. 361. a.
Calleux , corps ( Anat. Pfych. ) du liege de Tarne. Sen-
tùnent de Defcartes fur ce fujet. Defcription du corps calleux
où Lancifi, Si avant lui Bontekoe a établi le fiege de
Tarne. Obfervation de M. de la Pey ronie , qui femble confirmer
ce fentiment. Suppl. II. 140. a. Lieu que Tarne occupe
dans le c e rv eau , félon Galien. Principes pofés, d’après
lefquels on conclut que le fiege de Tarne doit être dans le
cerveau. Parties de la maffe du cerveau auxquelles il y a lieu
de croire que Tarne n’eft point ùnmédiatement attachée. O b fervations
Si expériences qui l’excluent du corps calleux.
Ibid. b. Expériences contraires à l’opinion qui aflîgne au
cervelet une fonction v itale , & qui le prive de l’empire des
fens. Autres obfervations qui paroiflent prouver que le cerveau
ne fournit pas depuis fa furface, la caufe du mouvement
mufculaire, & que cette caufe ne naît que dans les
colonnes de la moelle allongée, ou dans cette moelle elle-
même : — le fentiment fe perd par une preflion un peu forte
du cerveau ou du cervelet. — Vices trouvés dans le
cerveau des hommes tombés dans une fatuité ftupide ou en
démence. Ibid. 141. a. On a été tenté de croire que le cerveau
avoir fes provinces ; que les impreflîons de la vu e fe
recueilloiéht dans Tune, 8c les impreflîons des fens dans
l’autre; mais l’anatomie ne permet pas d’adopter ce fentiment..—
Où fe terminent les impreflîons des féns félon Boer-
haave. Réfultat des expériences faites fur le principe du
mouvement dans la machine animale. Ibid. b. Il ne paroît
pas que dans Tinfefle & dans l ’amphibie , le fiege de Tarne
fioit borné à la tête & an cerveau. Ibid. 142. a.
Calleux, corps. Voûte médullaire, portion du corps calleux.
XVII . 476. a. L e corps calleux regardé par M. de la
Peyronie comme le fiege de Tarne. I. 342, a.
C A L L IA N A X , médecin. X. 282. a.
C A L L IC L È S , neintre célébré Si fculpteur. XII. 237. b.
X IV . 818. a.
C A L L IC R A T E , fculpteur. X IV . 818. a.
C A L L IÈR E S , ( l e . chevalier de ) gouverneur du Canada^
Suppl. II. 167. b.
Callières, (François de) de l’Académie françoife. X V I .
426. a.
C A L L IG R A PH E , copifte qui mettoit au net ce qui avoit
été écrit en notes. Étymologie de ce mot. Un aéle 8c autres
ouvrages .étoient d’abord écrits en notes, 8c d’autres écrivains
les copioient. II. 361. A
C A L L IM A Q U E , poète grec : caraàere de fes hymnes.,
VII I. 396. a. 8c de fes élégies. V . 488. a. Sujet d’un hymne
de Callimaque, où le poète indique les moyens qu’employe-
rent Vénus & Pallas, pour remporter .le prix de la beauté.
V I . 410. a.
Callimaque , fculpteur ancien. X IV . 818. a.
C A L L 1M U S , caillou qui fe trouve dans la pierre d’aigle.
Ses qualités 8c caraéteres. Sorte de pierre d’aigle qui contient
un caillou dont la fuperficie eft pleine de capfules. II. 361. b.
C A L L IN 1C U S ,' inventeur du feù grégeois. V I . 646. a.
C A L L IO P E , une des neuf mufes. Comment on la repré-,
feilte. C e que la fable nous en apprend. II. 361. b.
C A L L IP fQ U E , période. Voyeç CALIPIQUE.
C A L L IX T E,voy cç Calixte.
C A L L O N , deux ftatuaires de ce nom. X IV . 818. a.
C A L L O S IT É , caufe des callofités, comment on les détruit.
II. 561. b. . ■ . !
Callofités. Comment elles fe forment aux piés, aux mains
8e aux genoux.-V . 172. b. 789. b. Elles agipéchent la fenfa-
tion du taél. V . 172. b. X V . 821. b.
C A L L O T , ( Jacques) graveur. VII. 867. a. V I. 682. b.
Obfervation fur fa tentation de S: Antoine. Suppl. U. 663. a.
C A LM A N T , (Médecine) forte de remedes. Comment ils
agiffent.
-giflent Divers noms qu’onlèur donne. Indications de quel-
S e s M » — E Q B 8 Q D : I H H R 1 1 -
a C A LM A R , Cornet. Animal du genre des animaux mous.
Defcription qu’en donne M. Néedliam. II. 5Ö2. a. Animaux
dontétoffe nourrit. Grand 8c petit calmar. Origine du nom1-
de calmar. Ibid. 363. *?•
Calmar. Traitède (H iß . du N ord) Suppl. III. 279. b.
C A LM A N D E , étoffe de laine. Elle fe fabrique particuliérement
en Flandre, Deux efpecesde calmandes. II. 263. b.
CALM ER. Effet des coups de canon dans un combat
naval, IL 363» bv- ' 1 ' 0
C A LM É T . (D . Auguflin) Sa patrie: Ses ouvrages. Son
épitaphe. Suppl. I1L 897.' a , b. . . .
^ \almoucks, dignité de leur grand cham. III. 42. a. Bibliothèque
trouvée chez eux. IX, 602. b. Voyé\[ T artares.
C A L O D Ô T IR O , ( Botan. ) nom brame d’une efpece de
JIramonium. Defcription. Suppl. II. 142. a. Culture 8c qualités
de cette plante. Monftruofité de cette efpece. Erreur
de- Linnæus. ClaîTification du Calodotiro. Ibid, b,
C A LO M E L , (Pharmac. ) mercure d o u x , fublimé quatre
fois 8c plus. Origine de cette dénomination. II. 263. b.
, Calomel, voye^ fur cette fubftance l’article Mercure. X.
.374. b.
C A LOM N IA T EU R S , pourquoi les Athéniens les appel-
loient fycophantes. X V . 7 1 1 . b. La loi du talion obfervée
contre eux chez les Romains. 863. b. Comment ils étoient
punis à Thuriüm. X V I . 303. b.
CA LOM N IE . T e l qui la condamne n’en eft fouventpas innocent.
Le fur moyen de ne pas calomnier, c’eft de ne pas
médire. Idée d’un monde d’où la calomnie feroit bannie. II.
563. b. Nous devons contribuer de notre part à rendre tel celui
où nous vivons. Comment Téglife a févi contre les calomniateurs.
La loi Romaine qui permettoit aux citoyens de s’accu-
fe r mutuellement, prociuifit fous les empereurs une foule de
calomniateurs. Tableau de la calomnie par Apelle. Sens du
mot de calomnie en terme de droit. Ibid. 364. a.
Calomnie, punition du crime de( calomnie chez les Romains.
IX . 22. a , b. Atftion de calomnie fubftituée à l’ufage des
gageures. VU . 421. b. Serment de calomnie que les plaideurs
prêtoient à Rome. IX. 19. b. X V . 103. b. Jugement
de calomnie. IX. 20. d-.
C A L O N I , ( Géogr. ) petite v ille de l’ifle de Metelin ou
Mytilene dans l'Archipel. Sa fituation. C e qu’elle a de remarquable.
Suppl. II. 142. b. -
C A L O T T E , petit bonnet qu’ on porta d’abord par nécef-
fité , & qui devint enfuite un ornement, fur-tout pour les
eccléfiaftiques. II. 364. a. Le cardinal de Richelieu eft le
premier qui en ait porté. Calotte rouge des cardinaux,
Ibi d. b .
Calotte, qu’on portoit avant l’ufage des perruques. XII.
'401. b.
Calotte, en divers arts & métiers. .II. 364. b.
C alotte, (Horlog. ) les Anglois s’en font fends les premiers.
Ufage des calottes. On 11e s’en fert prefque plus.
IL 364. b.
Calotte céphalique, Cucupha. Comment étoient faits ces
fachets. Pourquoi ils ne font plus d’ufage. Voyeç Bonnet.
Calotte, régiment de la (Hifi. mod.) efpece de folie gaie
S i enjouée qui n’eft pas indigné du fage. Suppl. II. 142. b.
Sociétés où Ton affeéloic d’égayer la raifon par les amufe-
mens que cette folie infpiroit. Origine du régiment de la
Calotte. Le colonel Aymon en eft fait le général. But de
cette fociété. Elle fe propofoit de corriger les moeurs , de
réformer le ftyle à la mode en le tournant en ridicule, 8c
d ’érîger un tribunal oppofé à celui de l’académie françoife.
Etendart 8c armoiries qui la1 défignoient. Ibid. 143. a. D efcription
de ces armoiries en ftyle calotin. Sceau 8c médailles que
la fociété fit graver. Obligation de chaque frere de porter
le médaillon, fur-tout dans les aflembiées de la fociété. Ibid. b.
Progrès que fit cet établiflement, malgré le crédit de ceux
qui s’intérefloient à fa deftruétion. Réponfe du général des
calotins à Louis X IV , qui lui demandoit s’il ne feroit jamais
défiler fon régiment devant lui. M. d eTorfac fuccede augéné- ■
ral A ymon. Obfervations fur le difeours intitulé, Eloge hijlo-
rique d ’Emmanuel de Torfac. Ibid. 144. a. Qualités requifes de
ceux qui étoient admis dans le régiment, foit pour y occuper
un pofte d’officiers, fort comme Amples foldats. Brevets
expédiés par la fociété. Arrêt du confeil du régiment contre
la faufle édition des brevets 8c autres réglemens fuppofés.
Ibid. b. Objets de la critique des calotins. Brevet que donne
cette fociété au poète Gacon pour le punir de fa bafieffe à
ne louer que des gens en place. Autre brevet donné à l’abbé
Terraflbn, qui avoit répandu dans le public quelques ouvrages
dans lefquels il prétendoit prouver la folidité 8c l’utilité
du fyftêine de Law. Ibid. 143. a. B revet de contrôleur général
des finances du régiment accordé au fieur Law. Brevet
Tome L
fort plaifant que Gacon décerna à l’académie des inferiptions,
ail fujet de l’infcription de la fontaine du palais royal. Ibid. b.
Licences que la fociété fe donna dans fes brevets 8c fes faty-
r e s , qui cauferent fa fupprefiion. Ibid. 146. a. Brevet des
calotins fur la permiflion qui fut accordée en 1723 d’enrôle
r en France des hommes de la plus haute taille pour la
formation des régimens du roi de Prufle. — Réflexions fur
le penchant naturel des hommes à la fa ty r e .|~ Difpofition
des François à fe confoler de leurs maux par des chanfons
8c des faillies. Ibid. . b. Heureux effets de cette, difpofition.
Agrémens que lui fournit la poéfie. Ibid. 147; a.
C A L O Y E R S , moines grecs de la réglé de S. Bafile, Leur
habitation 8c. leurs fonélions. Ils gardent exaélement leur premier
inftitut. Auftérité de leurs moeurs. II. 364. b. O n donne
particidiérement ce nom aux religieux les plus vénérables.
Étymologie du mot caloycr. Il n’y a que les frer.es qui s’appellent
caloyers, les prêtres s’appellent jeromonaques. Nom
de caloyers donné aux dervis. Réglé des religieufes ealoye-
res. Ibid. 363. a.
C A L P É , courfe de jumens chez les Eléens. Signification
du mot grec d’où quelques-uns ont fait venir le mot
galoper, i l . 363. a.
C A L PH U R N IA , loi. IX. 6^4. a.
CA L P R E N ED E , (Gautier de Colle, fieur de la ) obfervations
fur ce po è te , 8c fes ouvrages. X IV . 660. b.
C A L PU R N IE , (H ifi. rom.) quatrième femme de Jules-
Céfar. Son éloge. Suppl. II. 147. a.
C A L P U R N iU S , poète : obfervations fur fes ouvrages,
XII. 13 9, a.
C A L Q U E R , maniéré de deffiner. Maniéré d e ca lq u e r.il.
563. a.
Calquer, maniéré de calquer les deflïns fur les planches
deftinées à la gravure à l’eau-forte. VII. 880. a.
C A L Q U E R O N , partie du métier des étoffes de foie.
Defcription 8c ufage. II. 363. b.
C A L V A IR E , chapelle ainfi nommée. Calvaire du mont
Valérien. Etymologie du mot calvaire. Mont Calvaire. IL
363. b. Vjye^ GOLGOTHA.
CALVAIRE, ( Congrégation de N . D . du Calvaire) ordre de
religieufes. Hiftoire de cet ordre. II. 363. b.
C A L V IÉ R E , organifte. XI. 629. b.
C A L V IN , réformateur. Suppl. IV . 7 1 . a. Portrait de C alvin,’
obfervations fur fa v ie 8c fur fes ouvrages. XI. 274. a , b.
Lumières de ce théologien, éloge de fon ftyle. Recueil des*
loix pour G e n e v e , dreffé par Calvin 8c le magiftrat de cette
ville. V II . 373. 2. b. Do&rine de ce réformateur, voyez
Calvinisme.
C A L V IN ISM E , fix chefs principaux des dogmes carac-
tériftiques ciu calvinifme, dont la plupart font adoucis par
les calviniftes modernes. Combien leurs ennemis ont exagéré
leurs erreurs. Sort du calvinifme dans les divers pays où il*
s’eft établi. II. y 66. a.
Calvinifme, étendue de Téglife réformée. V . 420. b. D o c trine
des calviniftes fur la g râ c e , V II . 802. a. fur le libre
arbitre, XIII. 277. b. fur la réprobation, X IV . 149. a. fur le
décret de Dieu par rapport au falut des hommes, X V II . 433.
a. fur l’imputation des mérites de Jefus-Chrift, VIII. 640. a.
fur la communion. IX. 397. b. Controverfes des calviniftes
avec les catholiques, fur la préfence réelle. V I . 132. b. D o c trine
des calviniftes fur la nature des peines de l’enfer V
668. A
C A L V IN IS T E S , divers noms qu’on leur donne. II. 366. al
Prédication de Calvin à Geneve. Sort des calviniftes en France
depuis leur premier établiflement. Articles de doélrine que
Calvin a pris des Vaudois, des luthériens, 8c ceux qu’il a
ajoutés lui-même. Dogme de Calvin fur l ’Euchariftie. Con-
tradiélions où les calviniftes font toriibés dans leurs dilputes.
Comment leurs adverfaires en ont tiré parti. Ibid. b.
Calviniftes, rapport entre les épifeopaux d’Angleterre &
-les calviniftes. V . 813. a. Origine des noms d’huguenots 8c de
parpaillots, qui leur forent donnés en France. VIII. 333. a:
X I I . 80, a. Edits rendus en France en leur faveur 8c contr’eux,
XI. 736. b. Synodes des calviniftes. X V . 736. a , A-Calviniftes
appellés terminiftes, X V I . 160. b. S i tropiques. 708. b. Sur les
calviniftes, voye^ Protestans.
C A L V IS 1U S , ( S et h ) obfervations fur la v ie 8c les ouvrai
ges de ce célébré chronologifte. XIII. 6^9. b.
C A L V IT IE , chûte des cheveux. Caufes de cette maladie.
H. 366. b. Voye^ ALOPÉCIE.
C A L U S , dureté à la peau, à la ch air, ou aux o s , naturelle
ou contre nature. Sens reftreint de ce mot. Comment
fe fait la formation du calus. Exemples de calus dont l’urt
avoit parfaitement remplacé yn humérus, 8c l’autre un fémur.
Effets qui réfultent de la difpofition plqg ou moins favorable
du fuc nourricier des os. Comment on corrige les mauvaifes
difpofitions de la lymphe. II. 367. a.
Calus, fa formation après Une fraélure. Suppl. I. 132. a.
Ibid. 194. b. Liqueur qui cimente les extrémités d’un os fracturé
, quoiqu’à une diftance. confidérable l’une de l’autre. X L
I i i