yBo F R A
F o y e r , ( Architect.) celui d’une cheminée. V I I . 263. b:
Foyer. Profondeur, à donner au fo y er des cheminées. 11*-
a8 1. a. Foyers en marbre. V o l. V . des planch. Marbrerie.
Foyer. ( Hifi. anc. ) Ufage des fupplians par rapport aux
foyers confacrés aux dieux lares. X V . 673- b.
F R
F R A C A S T O R , { / * *> » ) X V IL 89. J. .Son:Même_fur
les crifes. IV . 475. b. Sur l’origine de divers rollues. v i l .
1 * F R A CH E T T A , ( Jérôme) fa patrie, fes ouvrages. X IV .
4°F R A C T IO N , ( Gramm. ) aélion de brifer ùn corps. VH.
263. b. „ . r
Fraction. ( Arithm. Algèbre ) D eu x termes dans une traction
; le dividende & le divifeur. Le dividende eft dit numérateur
i le divifeur eft dit dénominateur de la fraétion. C e qu on
appelle fraétion mixte , fraétion p u re , fraétion fimplement
par expreflion. V II . 263. b. Deux maniérés d’énoncer toute
fraétion. Des, fraflions prifes finguliérement. La valeur abfolue
d’une fraétion eft d’autant plus grande , que fon numérateur
eft plus grand & fon dénominateur plus petit. Maniéré de
doubler, tripler, &c. la valeur d’une fraétion. La valeur
d’une fraétion n’eft point changée , foit qu’on multiplie , foit
qu’on divife fes deux termes par la même .grandeur. Moyen
de réduire un entier en fraétion d’un dénominateur quelconque
, fans altérer fa valeur. Fraétion réduite à fes plus funples
termes. Méthode pour trouver la valeur d’une fraétion , rela- •
rivement à un entier d’unè efpece déterminée. Ibid. 264. a.
D e la comparaison des fraflions pour découvrir le. rapport
qu’elles ont entr’elles. Moyen de découvrir ce rapport. Du
calcul des fraflions. Addition. Souftraétion. Ibid. b. Multiplication
& divilion. Remarques fur la divifton des fraélions les
unes par les autres , ou des entiers par des fraélions. Ibid, j
263. a. Autres détails fur les fraétion? qui fe voient au mot
Divifeur & au mot Expofant. Une. fraétion élevée à une puif-
fance quelconque, donne toujours une fraétion. Un nombre
entie r , qui ria point pour racine un entier, ne fauroit avoir
une fraétion pour racine. D e la réduétion des fraélions de
fraétion : c’eft à .la multiplication qu’on doit la rapporter, &
non à la ditifion. On peut tranfpofer entr’elles les fraélions,
& échanger leurs termes comme on v ou d ra, pourvu que le
numérateur refte numérateur ,*& le dénominateur, dénominateur.
Elévation & extraélion. Fraélions décimales. Obfer-
vations fur les diffèrens fignes dont on a diftingué les fractions
des entiers. Ibid. b. Fraélions fexagéftmales. Fraélions
continues. Ibid. 266. a.
Fraflions continues. Auteurs qui ont inventé & perfectionné
la théorie de cette efpece de fériés. Ouvrages à confulter.
Expreflion à laquelle ori a donné le nom de fraétion continue.
Explication de cette théorie. Suppl. III. 110. a.
Fraflion rationnelle, nom que l’on donne à des fraélions
algébriques qui ne renferment point de radicaux. Méthode
donnée par M. B ernoulli., pour intégrer en général toutes
fraélions différentielles rationnelles. Cette méthode perfectionnée
enfuite par plufieurs géometres.Expofé de ce qu’on trouve
fu r ce fujet dans une differtation intitulée , Recherches fur le
calcul intégral. V I I . 266. a.
Fraflions décimales périodiques. Définition. Suppl. III. 110. b.
Auteurs qui fe font occupés de cette efpece de fraétiens.,
Ouvrages à confulter. L’auteur de cet article raffemble ici
les remarques les plus effentielles que cette matière fou rnit,
& fur-tout celles qui peuvent le plus faciliter la continuation
des deux tables fuivantes. Ibid. 1 1 1 .a , b. Première table de fractions
, dont les d ivifeurs font.des nombres p remiers, réduites
en décimales périodiques. Ibid. 114. a. Deuxieme table de
fraélions, dont les d ivifeurs font des produits de deux nombres
premiers, réduites en décimales périodiques. Ibid. 115. a , b.
Fraflion. Dénominateurs des fraélions. Comment l’on réduit
deux fraélions au même dénominateur. IV . 830. a. Di-
menfions dans les fraélions algébriques. 1010. a. Expofans
fractionnaires. V I . 314. a. Additions des fraélions pofitives ,
qui ont le même dénominateur. I. 130. b. Pourquo i, Iorf-
qu’on v eu t comparer entr’elles les fraélions , on change leur
rapport en celui de nombres entiers. III. 690. 4. Opération
par laquelle on fait évanouir .les fraélions. V I . 119. a. Le
quarré , le cube yéw. d’une fraétion eft toujours une fraétion.
V I I I . 652- b. Fraélions décimales. Regies fur le calcul de ces
fraélions. IV . 668. b. &c. Fraétion propre. XIII. 486. b. Fraétion
continue dans la doétrine des fériés. X V . 96. a. Fraétion fexa-
.géfimale, 137. b. Méthode pour in tégrer toutes les fraélions
rationnelles. Suppl. IV . 3 3,7. a. .
Fraction , ( Jurifpr. ) voye^ Effraction.
FR A C TU R E . ( Chirurg. ) Lés fraélures font trarifverfales,
obliques Ou longitudinales. Les fraélures longitudinales Amples
ne Tont point admifes par les praticiens. Différentes
fortes‘de ,fradureS en travers. Deux fortes de fraélures obliques.
Autres différences entre les fraélures. Par rapport aux
F R A
accidens , elles font divifies en fimples , cômpofées & compliquées.
Parmi les accidens des fraélures cômpliquées, il y
en a qui exigent des fecours plus prompts que lés autres fractures.
On diltingue encore lês fraélures en complettes & in-
complettès. V i l . 266. i . Caufes les plus ordinaires des fraélures:
C e qu’on entend par fraélures de caufe interne. Signes
des fraélures. Ibid. 267. a. Prognoftic des fraélures. Curé de
ces accidens. D e la réduétion. Apparéil 8c fituation pour
maintenir l’os réduit : détails très-étèndus fur ce fitje t, fur leS
différentes fortes de fraélures , & fu r les bandages qui leur font
propres. Ibid, b , & 268. a , b. Après avôir mis la partie en fituation,
il faut s’attacher à p révenir les accidens, & à les combattre
s’ils furviennent. Q u el doit êtré le terme pehdàht lequel
on doit continuer l’appareil. D u renouvellement de l’air fous
un membre fraéluré. Ibid. '269. b. Foyer là«-deflus F label-
lation.
Fràflure. Crépitation , figne de fraéluré. IV . 434. b. Anchy-
lofes eaufées par les fraélures. I. 440. a , b. Sue gélatineux
produit par la fraéluré dés os ; formation du cal. Suppl. IV .
194. b. Dénudation des os dans certaines fraélures. IV . 849.
b. Lès os des enfans moins fujets à fe rompre que ceux des
vieillards. V I . 663. b. Differentes fortes de fràflures: celle de la
clavicule. III. 312. b. Fràélures par contre-coup. IV . 134. a.
Fraéluré des côtes. 30a. a , b. Doigts fraélurès. V . 16. a. Fraélures
qui ne font que de fimples hffures. V I . 821. a , b. F raélures
du Crâne. XII. 683. b. Foye\[ C râne . Celle àujlernurri.
X V . 3x3. a , b. Fraéluré nommée trichifmo's : fraéluré pref-
qu’imperÇéptiblè des OS plats. X V I. 633. b. De la cure des
fràflures. Liqueur qui cimente les deux extrémités d’un o s ,
lors même qu’elles font à une diftance confidéràble. XI. 688.
b. Siibftance regardée comme un fpècifique pour le cal des
fraélures. 691. a , b. Médicamens propres à fonder & unir
les os. II. 759. a. Trois intentions principales que comprend
la cure univerfelle des fraélures. V I . 832. b. Quatre opérations
pour remettre une fraéluré. X V . 7 6 4 .A D e l’art de rapprocher
les bouts des os rompus. III. 838. b. Banc d’Hippocrate
pour la réduétion des fraélures. II. 33. a. Infiniment pour
contenir la jambe dans le cas de fraéluré compliquée. 311 .b.
Ufage des édifies pour contenir les membres caffés. V . 300.
b. Ufage des fanons dans certaines fraélures. V I . 402. b. 403. a.
D u prurit qui fuit quelquefois le traitement;-832, b. Renouvellement
de l’air fous un membre fraéluré. Ibid. Efpece de
boîte où l’on place un membre fraéluré. X V . 318 .b.
Fracture. (Maneg. & Maréch. ) Les os peuvent être fra-
élurés dans tous les fens pofiibles. VII . 269. b. Fraélures tranfi
yerfales ; fraélures obliques , fans déplacement ou avec
déplacement ; fraélures longitudinales ; fraélures où l’os a
été brifé ; fraéluré fimple , compofée , compliquée , com-
plette, incomplette. Caufes des fraélures. Quelles en font les
fuites les plus confidérables. Symptômes univoques. Ibid.
270. a. Preuves de la réalité de fiffures. Auteurs qui' ont
propofé des moyens de remédier aux fraélurès. Les fraélures
regardées communément comme incurables. Démonftration
de la fauffeté de ce préjugé. Quelles font celles à l’égard
defquelles les efforts feroiènt inutiles. Ibid. b. Celles dont la
cure peut être fuivie du fuccès. Prognoftics formés félon les
différéns cas. Néceflité d’être parfaitement inftruit de plufieurs
parties de l’anatomie du cheval , pour juger fainement des
fuites du m a l, & fe décider avec certitude fur les moyens
d’y remédier. En quoi coiififtent ces moyens. Détails fur la
réduétion par extenfion , par contre-extenfion , par conformation.
Ibid. 2 71. a. D e l’appareil qui doit fuivre la réduction
: il confifte dans les bandages , les compreffes & les
attelles. D e la maniéré dont on doit fituer l’animal enfuite de
l’application de l’appareil. Ibid. b. Expofition particulière de la
méthode qu’on doit fuivre dans le cas d’une fraéluré à l’un
des membres ; i". l’auteur fuppofe une plaie oblique 8c con-
tufe , de la longueur de quatre tra v é e de doigt à la partie
moyenne fupérieure du canon de l’une des extrémités pofté-
rieures , avec une fraéluré en bec de flûte à ce même os*
Suite des opérations que le maréchal doit exécuter en pareil
cas .Ibid. 272. a, b. 20. L’auteur fuppofe une fraéluré avec déplacement
à l’une des c ô te s , & que cette fraéluré fe p o r te , foit
en-dedans, foit en-dehors. Signes auxquels on la reconnoîtrà.
Réduélion & appareil. Ibid. 273. a. Foye[ HippiatriaquE.
Suppl. III. 401. b. &c.
F R A G A . ( Géogr. ) Erreurs à corriger dans cet article de
l’Encyclopédie. Suppl. III. 113 a.
F R A G IL E , frêle, ( Synon. ) V II . 293. a.
FRAG ILIT E. ( Phyfiq. ) En quoi les corps fragiles different
des corps mous, des corps élaftiques, & des corps durs.
V II . 273. a.
Fragilité , ( Morale ) difpofition à céder aux penchans
de la nature malgré les lumières de la raifon. Pourquoi
la fragilité eft du plus au moins le caraélere de tous les
hommes. Q ui font ceux qu’on appelle particuliérement fragiles.
Caufes de la fragilité, l’oppofition de l’état où l’on
v it avec fon caraélere ; les viciflitudes de l’âge , de la fanté,
des pallions , auxquelles la raifon ne fe prête pas toujours
allez
F R A
affez. Autre caufe de fragilité ; nous nous laiffons fbrehar-
èer de loix inutiles , qu’on ajoute aux loix néceflaires à la
fociété. En quoi l’homme fragile diffère de l’homme foible.
V II . 273. b.
F R A GM E N T , ( Littêr. Archit. Sculpt. ) partie d’un ouvrage
qu’on n’a point entier, &c. VII. 273. b.
FraGMENS précieux , les cinq, ( Pharmaceut. ) pierres auxquelles
les anciens pharmacologiftes ont donné ce nom. P ropriétés
qu’ils leur attribuoient. Préparations faites avec ces
pierres. Ces préparations regardées aujourd’hui comme ridicules.
La pharmacopée de Paris n’a pas banni les hyacinthes.
VII . 274. 4.
F R A I , tems où le pôiffon dépofe fes oeufs ; fes oeufs mêmes
dépofés ; le petit poiffon provenu du frai. Frai de grenouille.
V I I . 274.4. Foye^ Grenouille. Sur le frai du poif-
f o n , voye{ CHEVRON.
F rai , ( Monnoyage ) altération qui n’empêche pas le
cours de la monnoie quand elle n’eft que de fix grains. VII.
274.4. 1
FRA ICHEUR , ( Gramm. ) acceptions de ce mot. Vers
de Virgile dans lefquels il a raffemblé tout ce que deux
êtres peuvent éprouver de fenfations délicieufes. Fraîcheur
de couleur en peinture. Fraîcheur dans un tableau. VII.
274.4.
FRAIS. {Gramm. Jurifpr.) Frais de bénéfice d’inventaire :
frais bien & légitimement faits : frais de contumace. VII.
2 76. 4.
Frais de criées : deux fortes ; les ordinaires & les extraordinaires.
Par qui ils doivent être avancés. A la charge de qui
font lès frais. Quels font les frais que le pourfuivant peut mettre
au rang des extraordinaires. V II . 274. b. Foye{ l’article O rdinaire.
Frais de direflion. V i l . 274. b.
Faux frais. Frais funéraires : objets compris dans ces frais.
O ù ils fe prennent & .à la charge de qui: Leur privilège fur
le s autres créanciers. V II . 273. a.
Frais de géfine ; d’inventaire ; de juftice ; de licitation ;
frais & loyaux coûts ; frais & mifes d’exécution ; frais d’ord
r e ; dépa rtag é; de pourfuite. VII . 273. a. Frais préju-
diciaux. Frais & falaires ; en quoi ils different des dépens.
Ibid, b.-
Frais. Différence entre les frais & les dépens. IV . 837.4.
Mémoire des frais. X. 3 29. a. E fpece de frais appellés impenfes '.
V I I I . 383. b.
F R A IS E , énumération de toutes les acceptions de ce mot.
V IL 273.-À.
Fraise. {Fortifie. ) En quoi les fraifes different des paliffa-
des. En quels cas on s’en fert & quel en eft l’ufage. Pente qu’on
leur donne. V II . 275• b.
Fraise. {ArquebufA L’arquebufier a quatre efpeces de fraifes.
Defcription de la rraife à baflinet. VII . 273. b. D e la frai fe
plate ; de la fraife pointue ; de la fraife à roder. Ibid. 274. b.
Fraise. ( Horlog. ) Diverfes fortes de fraifes; leurs ufa-
ges. V II . 276. a.
Fraife, en terme de marchande de modes. V I I . 276. a.
F raise , ( Fénerie) V I I . 276. a.
FRAISER , acceptions de c e mot. VII . 276. a.
Fraiser un bataillon, { Art milit. ) En quoi confiftoit autrefois
cette opération ; en quoi elle confifte aujourd’hui.
Comment 1,1 colonne de M. de Folard doit être fraifée. VII.
2,76.. 4.
FRAISIER, ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plantes.
Boerhaave compte fix efpeces de fraifiers fertiles. Defcrip»
tion du fraifier vulgaire. Saifôn de fa fleur. Lieux où il croît.
Succès de fa culture dans les jardins. Fraifier du Chili. Comment
le fraifier fe multiplie. Détails fur fa culture. VII . 276.
b. Efpece de v er qui attaque cette plante. C e qu’on doit
faire pour en prévenir les ravages. Détail des foins que
prennent les Anglois pour la culture du fraifier. Ibid,
orjy. a. Defcription de la fraife. Quelle eft la m eilleure efpece.
Autres efpeces de fraifes que l’on cultive. Ibid. b.
Fraifier, obfervations fur fa femence. X IV . 940. b. M oyen
de fe procurer par des ados des fraifes de primeurs. Suppl. I.
I 74- b- - . n Fraisier & Fraise , ( Mat.médic. Pharmac. & Diete ) nature
des fels contenus dans cette plante. Propriétés des racines
du fraifier. Dans quels cas & comment on les emploie.
Si on boit long-tems de la racine de fraifier & d’o-
fe i l le , les excrémens fe colorent en rouge. Vertu vulnéraire
attribuée aux feuilles' & aux racines de cette plante.
V I I . 277. b. Examen chÿmique du fuc contenu dans fon
fruit. Comment on fert les fraifes fur les tables. Exemple qui
montre qu’on doit avoir la précaution de les laver. Maux que
peuvent caufer à certains tempéramens les fraifes prifes avec
excès. Qualités falutaires de ce fruit. Boiffons agréables qu’on
prépare avec le fuc de fraifes. Conferve qu’on fait en Italie par
le m oyen de ce fuc. Cataplafme de pulpe de fraifes contre les
Inflammations & les rougeur-s. Cofmétique préparé avec l’eau
d e fraife. Ibid. 278, a.
Tome I,
F R A 781
FRAISOIR , infiniment de doreur, d’ébénifte, de luthier»
V II . 278.4.
FRAMBOISIER , {Jardin.") defcription de cet arbriffeau.
Tems de la maturité de fon fruit. Expofitions qui lui conviennent.
Qualité du terrein. Moyen de le multiplier. Saifon dans
laquelle on doit le tranfplanter. Comment on doit planter les
framboifiers. Culture de cet arbriffeau. Divers ufages qu’on
tire des frainboifes. Sept efpeces de framboifiers : ceux à fruit
ronge, & à fruit blanc, le framboifier d’automne, le framboi-
fier fans épines ; celui à fruit noir ; celui de Canada , & celui
de Penfylvanie. Détails fur ces efpeces. VII . 278. b,
Framboisier , ronce , ( Botan. Jardin. ) noms de cette
plante en différentes langues. Caraélere générique des ronces
, dont le framboifier eft une efpece. Suppl. III. n e . b. Enumération
de onze efpeces de ronces avec leurs variétés. Lieux
ou elles croiffent. Leur defcription, culture, qualités & ufages.
Ibid. 116. 4 , b.
Framboisier 6* Framboise, {Mat. médic.b D ie te )ufage
médicinal qu’on tire de cet arbriffeau Qualités des framboi-
fes. Eau de framboife, fon ufage. Gelées & fyrops faits avec
le fuc de ce fruit. Ufage du vin rouge framboifé. VII .
279. a.
FR AM L IN GH AM , {Géogr.) ville d’Angleterré dans la
province de Suffolk. Defcription de ce qu’elle offre de plus re*
marquable. Suppl. III. n y .b .
F R A N C , ( Botan. ) fauvageon. Greffer fur franc. V I I .
279. b.
F r a n c . ( Peint.) Peindre franc. V II . 279.b.
•Franc , {Jurifpr.) perfonne libre. Obfervations fur ce
que dit L o y fe l, que toutes perfonnes font franches' en ce
royaume. V II . 279. b.
Franc, par oppofition à ferf. V I I . 279. b.
Franc , Frankis 0«Franquis , ( Hifl. mod. ) c’eft ainfi
que quelques nationsorientales appellent les Européens. Tems
où ce nom a commencé. V II . 279. b.
Franc, libre, exempt de quelque charge. Recherches fur
l ’origine du nom de franc donné aux François & en général
aux Européens. V II. 279. b. Comment on divifoit la France
du tems de Charlemagne. Ibid. 280. a.
Francs,, leur invafion dans la Gaule : fuites de cette inva-
fion. V I . 689. 4 , b , & c . Peuples qui habitoient la G au le ,
lorfque les Francs s’y établirent. VII. 283. a. Le nom de
Francs commun aux peuples de la Germanie & de la Gaule
jufques vers le milieu du neuvième fiecle. Ibid. b. L es Francs
appellés anciennement Sicambres. X V . 162. b. Pays que les
Francs occupoient fous le regne de Pharamond. Suppl. III.
4. 4. Des rois des Francs & de leur autorité. Ibid. b. Moeurs
de cette nation. Ibid. Loix des Francs. IX . 661. a. 668. b.
670. 4 , b , & c . Loi des Francs ripuaires fur la maniéré de
décider les affaires par la preuve du ferment. IX. 69.-
b. Injuftices communes fous les régnés des rois francs. XIII.-
269.4. Repas des Francs. X IV . 127. b. Etat des efclaves chez
les Francs. V . 936. a , b.
F r a n c ou livre, { Comm. Monnoie) V I I . 280. a.
Franc-aleu naturel. V II. 280. a.
Franc-aleu noble. V II . 280. a.
Franc-aleu par privilège. V II . 280. a.
Franc-aleu roturier. V II . 280. a. Foyeç ÂLEU.
F r a n c d'amble, ( Manege ) V II . 280. a.
Francs angevins, monnoie ancienne. VII . 280. a.
Francs-archers : milice d’infanterie établie en France par
Charles V I I , en 1448. Pourquoi ces hommes furent appellés
francs-archers 8c francs-taupins. Ils compofoient un corps
de 16000 hommes en quatre compagnies. C e qu’étoit l’infanterie
françoife avant la création de ce corps. Les francs-
archers fupprimés par Louis XI. Comment ils furent remplacés.
L ’établiffement des francs-archers peut avoir fervi
de modèle à celui des milices qu’on leve dans tout le royaume.
V IL 280.4.
Francs-archers, noblejfe des. XI. 172. b.
Franc-argent : en la châtellenie de Montereau lignifie la
même choie que francs-deniers. V I I . 280. b.
Francs d’argent, monnoie ancienne. VII . 280. b.
Francs £ or. V II . 280. b.
Franc-Barrois ; monnoie fiétive dans la Lorraine & le Bar-
rois. V I I . 280. b.
F ranc-bâtir, ( Jurifpr. ) en quoi confifte ce droit. V I I .
280 .b.
Francs-blancs , monnoie ancienne. VII . 280. b.
Francs-Bourdelois ; monnoie ancienne. VII. 280. b.
Francs-bourgeois. V I I . 280. b.
Franc du collier. {Manege) cheval franc du collier. V I I ;
280. b.
Francs-deniers, claufe appofée dans la v en te d’un fie f ou
d’une rôture. V II. 280. b.
Franc-devoir. Origine des francs-devoirs. Pourquoi ce devo
ir fut appellé franc. VII. 280. b. 11 ne faut pas confondre le
franc-devoir avec le franc-aleu. Différentes lignifications du
franc-devoir. Ibid, 281 .4.
M M M M m m m m n j