3 °8 C H I
Hippocrates inoperibus. Principaux traits d e là vie d’Hippocrate.
m . 3 5 3 .* Obfervations fur fes ouvrages & leurs com-
nientaires. Ibid. b.
Magatus , de ram médications vulnerum.
Nu ck , opérations & expérimenta chirurgica.
Palfyn > anatomie chirurgicale. |
P a ri y ( Ambroife ) oeuvres. Ibid, b.
Peccettii chirurgia.
Severini trimembris chirurgia,
Vefalïi chirurgia magna.
Pïg° , { J oh. de) prafiica in arte chirurgica.
Wifcman , chirurgical trtatifes.
Énumération des principaux auteurs qui ont donné des
•’obfervations chirurgicales. III. 3 34. a.
Autres ouvrages que les étudians en chirurgie doivent
connoitre. Ibid. b. Académie, royale de chirurgie établie
depuis 1731. Son préfident. Ses affemblées. Prix qu’elle pro-
jpofe chaque année, Ibid. 333. a.
Chirurgie. Hippocrate habile dans cet art. VIII. a 12. b.
Suppl. III. 428.,a. Inflrumens de chirurgie. VIII. 802. b. 803. ■
a- ™XPK. les planches de chirurgie, vol. III.
CH IR U R G IEN , trois différens états où l’on a vu la chirurgie.^
Premier état, celui où elle fe trouva après la renaif-
lance des lettres en Europe. On v it alors dans les mêmes
lav an s , des chirurgiens admirables & de très-grands médecins.
Mais ces hommes illuftres abandonnèrent infenfiblement les
ronchons de la chirurgie pour celles de la médecine, & la
première dégénéra. Second état. Les médecins-chirurgiens ,
en qutttam.l exercice de l’art retinrent le droit de le diriger
& commirent aux barbiers les fondions de la çljirurgie. III.
f- . iprte qu’après la mort de ces médecins , Tarr de
la chirurgie fut p refque éteint. La clùrurgie françoife ne fut
.point expolee aux mêmes inconvéniens. Troijîeme état. Celui
ou elle s eft vue en France. Long-tems avant François I , la
chirurgie taifoit un' corps favant, mais uniquement occupé
a la culture de la chirurgie. Mais la faculté de médecine
étant parvenue à faire unir les barbiers au corps des chirurgiens
, la chirurgie fut dégradée, &c. Cependant par une efpece
de prodige , malgré les lettres prefque éteintes dans le nouveau
corps, la théorie s’y conferva. O n en fut redevable au
précieux relie de 1 ancien corps de chirurgie. Ibid. b. Cepenr
d a n t , les diétées & les leéiures. publiques étant interdites,
en faveur des é lev e s, la chirurgie fe v o yo it toujours fu r ie
penchant de lam in e ; torique le gouvernement prit foin de
la relever. Enfoliflèment de cinq démonfirareurs en 1724.
ïo n n aB o n de 1 academîferoyale Se chirurgie dans le corps
e 5. tom e en 1731. Loi mémorable qui affure à jamais
ta conleryanon & les progrès de la chirurgie. Ibid. 336. a.
Conteftations entre les médecins, l’univerfité & lë corps
des chirurgiens fur le droit d’enfeigner, dans lefquelles la
caufe de la chirurgie fut viélorieufe. Ibid. b. Difpofitif de
1 arrêt du confeil a’état8 rendu en 1730 pour terminer ces
comeltationsj ^ roi preferit par cet arrêt, i° . un cours com-
plet d études ; 2 . il institue une école pratique d’anatomie
& d operations chirurgicales; 3 M e roi preferit les conditions
fous lefquelles les étudians pourront être reçus à la maitrife,
& accorde a la faculté de médecine la part qu’elle doit avoir
a 1 aéte public que les éleves foutiennent. 40. Sa Majellé
s explique fur les droits & p rérogatives dont les maîtres en
chirurgie doivent jouir. 3°. Elle met à ces droits les reftriétions
convenables. Ibid. 337. a.
Chirurgien. L e chirurgien doit joindre à l’art d’opérer
d autres connoiflances pour juger fainement de la maladie &
pour la traiter. IL 386. a. Qualités néceffaires dans un chirurgien
comidere comme opérateur. XI. 496. b. 497. a. 408
« J » ? * V t v d ép^ UVes, pour les afPirans à la maîtnfe de chi-
o g M b- Maître en c'1‘ rurgie. IX. 002. ■
503. a. JunfdiChon du premier chirurgien du roi. 73. b. Gref- B appartiennent. VII. 926. b. Chirurgiens du Châtelet.
111. 246. a. Chirurgien major ; fes fondions. Suppl. III.
44°- a > b- 449- a- Chirurgiens experts jurés : de leurs rau-
ports, ,o yK Expert, médecine légale rapport. Chirurgie,.*
(Zm o n , Z s te B8MM1BMarticlB de Ejgüfg B
CH IT A R R O N E , (Luth. ) efpece-de théorhefort ufité à
Kome pendantles feue & dix-fepiieme f ie c te . Sa defcription
ouppl. 11. 403. b. r •
C H I T E S ( Çomm. ) mouireliné* ou toiles de coton des
M e s orientales, imprimées & peintes, dont t e couleurs
m a n H B , * c . L ieux H elles vien-
M W B « d M 1 ° " B ’= rouge. Comment t e Hol-
B n ,. les Flamands t e contrefont. III. 357. i . Etoffes & ;
taffetas légers de foie qui nous viennent suffi des Indes, que
les Européens ne peuvent contrefaire. L e trait du deffm des
B avec des planches de
b “ ffoUande' “ Franc e, f e .
C H (E
CH IT -S E , arbre des plus eftimés à la C liine , 6-c. Campagnes
qm en font couvertes. Defcription du fruit. Defcription
du du fauvage. 111. 338. 4. Culture de ces arbres. Avantages
que les Chinois leur reconnoiflènt. Maniéré dont ils prépa-
rent ïe fruit pour qu’il foit de garde. Moyen de s’affurerde
la v en té des relations fut cet arbre en le cultivant en Europe,
ce qui leroit tres-pratiquable. Ibid. b.
C H L AM Y D E , vêtement militaire qui fe portoit fur la
tumque. Defcription. A qui ce vêtement convenoit. III. 338.
b. Quatre ou cinq efpeces de chlamydes. Noms modernes
que nous donnons à ce vêtement. Ibid. 3 39. a. Voyez Cotte
D ARMES.
CH L AN ID IO N , manteau des femmes grecques aufÏÏ
appel e hymation. Sa longueur. Ufage qu’en faifoient les
.Babyloniens. III. 339. a.
CH L EN E , ancien habillement. Ufage qu’on en faifoit. III.
359- *•
CHLOIES. Obfervation fur cet article Suppl. de l’Encyclopédie; II. 403. b. j r •
CH LO R O S E , ( Médec. ) voye^ Pales couleurs
II (? MEiLNIZKI ’ (B°Sdan ) des Coliques!" Suppl.
C H O , {Botan. ) efpece de bambou. Suppl. L 771 /.
C H O C , en méchanique. III. 339. 4. 77
Choc , les loix du choc des corps durs & des corps élafH-
ques déterminées par un feul principe, par M. de Mauperè
tpis. IV . 296. a. Examen de la queftion fi ces lobe font telles
qu il ne peut pas y en avoir dfautres. V . 873. b. Un corps
qui communique une partie de fon mouvement à un autre
en doit garder le plus qu’il eft poffible. 874. a. Sur le choc
des corps, voye{ Communication, Impulsion Percussion.
Choc , en minéralogie, efpece de puits, &c. Ufage de ces
puits. III. 3 39. a. °
N ™ ° . C O L A T ; majtiere dont t e Indiens préparaient h.
botiion du chocolat. C e que c’eft que l’atolle doiÆ ils fe fer-
votent en préparant le chocolat, t e s Efpagnols mépriferent
d abord cette botffon grofliere ; mais chfuite ils s’appliquèrent
a la perleéhonner. C e que c’en que la vanille : el® Sïhauffe
extrêmement , & la plupart s’en abltiemuMt. Cependant
comme il y a encore bien des gens prévenus en faveur de
la vanille , on va employer la vanille dans le chocolat dont
on donne ici la compofnion. III. 3 39. b. Maniéré de préparer
le chocolat. Avantage de ce chocolat en v oya ge ou lorfqu’on
eft preffé. Préparation du chocolat à la maniéré des iftes
françoifes de l’Amérique. Ibid. 360. a. Avantages de ce
Ibid î 1 ’ P° Ur 16 g° Ût’ P° Ur la fanté» Pour l’économie.
Chocolat. Préparation du chocolat fans vanille dans là
Nouvelle-Efpagne. X V I. 831. a.
C ho c cTl a t , ( Diete ) l ’ufage du chocolat eft aflez indiffèrent
pour la fante. Chez les Efpagnols manquer de chocolat
eft une mifere égalé à celle de manquer de pain. Il y
a long-tems qu’on a appellé le chocolat le lait des vieillards
& cette exprefïion n’eft pas fans fondement. Différens effets
qu il produit fur ceux qui n’en ufent que rarement & fur
ceux qui en prennent habituellement. III. 260 b
CH O CO L A T IE R E , ( Econom. domefl, ) obfervations fur
la matière & la forme dont les vafes de ce nom doivent
être faits. Defcription du moulinet qui fert à faire mouffer
le chocolat. Suppl. U. 404. a.
C H O D O L A H OM O R , ( Mjjl. facr. ) roi cte Eliméêns o a
ni-A '-es ’ defcendus d Elam , fils de Sem. Précis de ce que 1 hiftoire facrée nous raconte fur ce prince. Suppl. IL
CHCERILE, poète famien. X IV . 600. a.
CPj!^US ’ .(Bf les-^ures ) dans la poéfie dramatique. La
tragédie n etoit dans fon origine qu’un choeur qui chantoit
des dithyrambes en 1 honneur de Bacchus : degrés de perfection
ajoutés à la tragédie par Thefpis & Efchylei On
nomma epifodes ce que nous nommons aétes. Et ces épifodes
étant devenus la partie principale , le choeur ne fut plus que 1 acceffoire. Le choeur devint partie intéreffée dans M o n
oc ceux qui y concouroient rendoient la tragédie plus régu-
Here plus varié e , plus u tile , & en augmentoient la pompe.
Fonctions du clioryphée. Par ce m oyen le théâtre nedemeu-
roit jamais vu id e , & le choeur n’y pouvoit être regardé
comme mutile, UI. 361. . . Défauts de quelques piecesxiom
t e chants du choeur ne naiffent point du fontfs du fuiet.
Dans la tragedm moderne on a fupprimé les choeurs, &c.
M. Dacier blâme, avec raifon , cet u fag e ......... Principales
raifons qu on, apporte pour juftifier la fuppreflion des choeurs.
Dans 1 ancienne comédie il y avoit un choeur que l’on nom-
moit grex. Comment on l’augmenta peu-à-peu. Caufe de fa
fuppreflion dans la comédie nouvelle. Donner le choeur. C e
que les Grecs entendoient par-là. Ibid. b.
C hoeur , (Belles-lettr. Poéfie dram. ) inconvériiens de l’ufage
du choeur dans la tragédie ancienne. Cet ufage feroit flir-
tout incompatible avec le fyftême de la tragédie- moderne. —
Exemples
C H O
Exemples de l’heilrcuX emploi du chceilr dans lé théâtre
grec : ces exemples font tirés de la tragédie des Perfes. Suppl.
II. 404. a. de celle des Euménides , & de celle d’CEdipc. —
Mais s’il eft des occafions où le choeiir a fait un grand' effet ,
combien dô fois ne l’y voit-on pas ifttuilé, o ifeux, importun
& contre toute vraifemblance. Ibid. b. Ses deux grands iticotf-
véniens étoient, l’un d’exiger néceffairèment pour le lien de
la feene un endroit public ; I’aurre de' rendre îndifpenfàble
l’unité de lieu & de tems. — Réglé qu’il eut fallu ftflvre
pour l’employer avec avantage.— Raifon naturelle qui l’exclut
de nos théâtres. — Nos premiers poètes tragiques , en imitant
les G r e c s , ne manquèrent pas d’adopter le c hoe u r ,&
jufqü’au tems de H a rd i, le choeur étoit chanté. Ibid. 403. a.
Q u elle eft la feule efpece cle choeur qu’admette la feene
françoife. — Dans ce qu’on appelle chez les Grecs la comédie
ancienne, comme ce n’étoit communément qti’nné' fatyre
politique , le choeur repréfentoit le peuple, & il y étoit
très-bien placé. Ibid. b.
Choeurs. Ils faifoient autrefois là partie eflentielle du fpec-
tacle dramatique. Suppl. I. 133. /'. L’ufage des choeurs dans
les tragédies anciennes juftifié. 4 19. a. C e qu’on entendoit par
maître du choeur. Suppl. II. 407. b. Quelles étoient les diftinc-
tions du choeur, 343. a. Les choeurs des anciens confidérés
comme des odes au ton. le plus fublime. Suppl. IV» ^ a.
D e l’ufage des choeurs dans les paftorales. Suppl. I. 882. a.
Choeur, dans les églife's. Sa defcription. Etymologie du
mot. III. 3 61.' b. Q uels font ceux qui doivent faire réparer le
choeur. Des armoiries à la v itre du choeur. A qui appartient
le droit de banc fermé dans le choeur, celui de fépulture. Le
choeur féparé de la ne f depuis Conftantin. Dans le douzième
fiecle on le fermoit de murailles. Choeur des monafteres de
filles. Choeur y aflemblée de ceux qui doivent chanter dans
le choeur. Haut-choeur , bas-choeur, enfans de choeur, Ibid.
362. a. Voyeç ChàNCEL. '
< Choeur. Celui des églifes anciennement deftiné' aux chants
& aux danfes faerées. I V . 624. b. Difpofitions des chaifes dû
choeur dans nos églifes. VII . 179. a.
C hoeur , ( Mujîque ) c’eft le chef-d’oeuvre d’un compofi-
feur. Avantage des François en ce genre. Grand-choeur &
petit-choeur. Petit-choeur dans l’orcheftre de l’opéra. Mufique
à deux ou plufieurs choeurs qui fe répondent, &c. III. 362. a,
Exemples cités de quelques beaux choeurs. Ibid. b.
Choeur d'opéra ; agrémens qu’il procure ; du concert de vingt
v o ix différentes peuvent réfulter les plus grands effets. Sa
vraifemblance; voye\ fur ce fujet l’article D u o . Il arrive
fouvent dans la réalité qu’un peuple entier pouffe' le même
c r i , qu’une foule de monde dit à la fois la même chofe ;
c’eft cë langage unanime d’une multitude que le choeur imite.
— Mais il faut diftinguer dans l’hypothefe théâtrale le choeur
appris, & le choeur in-promptu. L e premier peut paroître
compofé avec art fans détruire la vraifemblance ; mais dans
l ’autre, l’on ne doit vo ir que l’unanimité momentanée des
fentimens dont une multitude eft émue à la fois. Suppl. II.
403. b. Cependant une des plus grandes beautés dit choeur
c ’en le deflein. C e deflein demande quelque étendue pour
fe développer, & quelque fuite pour fe donner de la rondeur
& de Penfemble. — Comment le choeur peut devenir
une feene étendue & développée , 8c qui dans fon imitation,
a toute la vérité de la nature. — Réponle à quelques critiques
qui ont été faites des choeurs de l’opéra françois. Ibid: b.
Choeur. Détails fur les choeurs dans les opéras françois & italiens
: modelé d’ûn choeur d’une efpece nouvelle. XII. 83 2. a , b.
C hoeurs , ( les) ceux qui exécutent les choeurs de l’opéra.
Leur place. Défaut dans leur inaétion. III. 362. b.
Choeurs de femmes à l’opéra. IV . 896. a.
Choeurs, par qui les poëmes féculaires étoient chantés.
XII. 837. a.
C H O G IA , Codgia, Ilogia, Co^ga ; en langue turque, un
maître, un doéteur, un gouverneur, &c. Emploi dés chogias
dans le ferrail. Codgia des enfans de fa hautefle. III. 362. b.
CH O IS I , ( François-Titnoléon d e ) obfervations fiir fa vie
8c fes Ouvrages. X IV . 393'. b. 394. a. Epigraphe qu’il mit au
frontifpice d’un livre qu’il dédia à madame de Maintenon.
y . 794- . /
CH O IS IR , faire choix , élire, opter, préférer : différencé
entre ces mots. HI. 362. b.
CH O IX , ( Peint. ) en quoi confifte la beauté du choix de
fujet de compofition 8c d’attitude. Les prôfëffeurs des académies
, curieux de la réputation que donne le talent de ce
qtï’on appelle bien pofer le modèle, font un tort confidérable
aux étudians , par l’attention qu’ils,ont à ne les leur préfenter
que par ces côtés de choix. III. 363. a.
C hoix ; éleflion, ( Synon. ) VII I. 631. b. Faire choix ;
choifir, é lir e , opter, préférer. III. 3^2. b. -
C H O L A G O G U E , ( Médec. ) purgatifs cliolagogues félon
les anciens. Etymologie du mot. III. 363. a. Nous avons
quelques îttédicamens auxquels nous fuppofons une efpece
de vertu cliolagogùe ôu même hépatique. Matières indiquées
pour cet ufa^e. Ibid. b.
C H O 3°9
CHOLERA M O R BU S , ( Médec. ) maladie des plus aiguës»
Etymologie du mot. Définition de cette maladie. Ses efpeces t
favbir là fephe 8c l’humide. Sa diftinftion d’avec d’autres
maladies} favoit* la dyflenterie, 8c la diarrhée bilieufe. Ses
différences , en ce qu’elle eft, ou idiopatique, ou fympto-
niatlque. III: 363.- b. Attentions à obfcrver lorfqu’elle eft
fymptomatique. Symptômes du choiera morbus idiopatique»
Il fe déclaré prefque toujours à la fin de l’é té , 8c devient
quelquefois épidémique .‘ il eft plus cruel dans les climats
chauds. Dérangemens qu’on découvre dans la diflëéïion des
fujets qui en font morts. Ibid. 364. a. Son fie g e , les caufes,
fes effets. Son fiege dans le duodénum 8c les conduits biliai-»
reS. Le picotement de la tunique nerveufe qui tapifle l’efto-
mac ,8c les inteftins eft la caufe immédiate du choiera. Là
matière peccante doit être extrêmement âcre 8c cauftique ,
8c tenir quelque chofe des poifons. Caufes procataréliques
qui fe joignent aux'caufes générales 8c particulière« de cettô
maladie. Son prognoftic, Le nombre 8c la violence des fymp-
tomes régleront le prognoftic. Symptômes regardés comme
mortels. Ibid. b. Méthode eu ràtive. Ibid. 363.4. Méthode de trai»
Éementdu doéleur D o u g la s q u i rappelle celle qu’avoient indiquée
Goelius Aurelianus 8c A re té e , 8c la confirme par le
mecès de plufieurs expériences. Ibid. b.
Choiera morbus , efpece de choiera morbus nommée mor-
dexin. X. 707. b. D e l’ufâge des narcotiques dans le choiera
morbus. XI. ^23. a. D e l’ufage des ventoufeS. X V II . 30. a.
Evacuations dans cette maladie. IV . 948, a.
CH O L E R IQ U E , tempérament, { Médec. ) Suppl. IV . 726. a.
CH O L ID O Q U E , { Anatom. ) conduit commun ou cho-
lidoque. Etymologie du mot. Ufage de ce canal. III. 366. a.
Voyé'i F iel. B É j
- Cholidoque , conduit. Suppl. I. 893. b. Suppl. III. 78. b*
CH O L L E T , {Jean) Süppl. IV , 363. b.
CH OM E L , fon diélionnaire économique. Suppl. I. 22o.b*
CH OM M AG E des moulins, {Jurifpr. ) comment l’ordonnance
des eaux 8c forêts réglé 8c fixe le chommage des moulins
établis fur les rivières’ navigables 8c flottables , &c. Par
qui feront réglés les différends pour les droits de chommage
des moulins. Ancienneté de l’obligation de payer ce cliom*
mage. Quand le moulin bannal chomme, ceux qui font fujets
à la bannalité, après avoir attendu vingt-quatre heures ,
peuvent aller ailleurs. Ouvrage à confulter. III. 366. b.
CH OM PR É , ( Pierre-)- nouvelle opinion dé cet auteur fur
les inverfiôns’ grammaticales , & fur la maniéré d’enfeigner
le grec 8c le- latin : cette opinion examinée 8c réfutée. V I IL
832. é, 8cc.
CH O P IN E , étymologie de ce mot. VIII. 88. b.
C H O Q U A N T , ( Beaux-Àrts ) défauts choquans, ceux qui
bleflent les réglés fondamentales de l’art — T o u r ce qui eft
oppofé à la nature d’une chofe eft choquant lorfqu’on l’y
apperçoit. C ’eft ce qu’on remarque fréquemment en archi-
teélure. Suppl. II. 406. a. Dans la p einture, toute faute contre
la perfpeétive eft choquante. — Les ouvrages dramatiques ne
fourniflent que trop d’exemples de défauts qui choquent. — i
Le choquant eft un des défauts les plus eflentiels , en ce qu’il
détruit totalement l’illufion, 8c blefle - l’imagination. - Les
artiftes l’éviteront en confultant foigneufëment la natiire fur
chaque partie de leur ouvrage. Ibid. b.
CH O Q U E ou CHOC, outil de chapelier : fa defcription 8è
fon ufage. Précautions à prendre en s’en fervant. III. 367. a»
CH Ô R A SM IE , ( Géogr. ) voye^ K hovarezm.
CH O R D A P SU S , colique autrement dite volvulfis; paflion
iliaque > mifercre. Etymologie du mot. Définition de Galien.
Celle d’Archigene. III. 367. æ Voye^ Passion iltaque.
CH O R É G R A PH IE , art d ’écrire lad an fe, &c. L é diélionnaire
de Furetiere eft le premier auteur qui en parle. Traité
de Thoinet Arbeau, 1388 j'intitulé O Khifographie. Imperfection
dé cet ouvrage. Enumération des mouvemens ,ufités dans
la danfe : defcription de la falle ou théâtre où l’on danfe.
III. 367. b. Caraâeres de chorégraphie par lefquels on défigiîè
la préfence du corps par rapport aux quatre côtés de la falle.
Despoflions. D ix fortes de pofirions en ufage; on les diviié
en bonnes 8c en fauffes. Defcription de chacune. Du pas.
O n réduit les pas à cinq , qui peuvent deriiontrer routes les
différentes figures que la jambe peut faire en marchant : explication
des caraéteres qui fë ' rapportent au pas. Ibid. 368. a.
Defcription des cinq fortes de pas. Agrémens qu’on pratique
en faifant Tes pas .-figures qui les défignent. Ibid. b. Des faut s 8c
de leurs fignes. Comment font marquées les mefures. Trois
fortes de mefures dans la danfe. Les figures des danfes fe
divifent en régulières 8e irrégulières, Des mouvemens des
bras 8c des mains 8c des fignes qui leur appartiennent. • Ibid.
369; a. Exemples des différentes attitudes des bras. Exemples
des mouvemens des bras. Ibid. b. Explication des cinq premières
mefures du pas de deux lutteurs, darifé par MM.
Dupré8c Javiliers , dans l’.opéra des fêtes grecques 8c romaines,
repréfentéès dans la dernier,e planche de chorégraphie,
Ibid, 370. 4.
31 t i : ;