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904 H E N H E P
Henri I , ( Hifl. de France ) roi de F rance , fils 8c foccef-
feur de Robert, Principaux événemens de fon regne. Suppl, j
III. 33 a. b.
Henri I I , roi de France, fils & fucceffeur de François I.
Hiftoire de fon regne. Suppl. III. 333 .a .
Henri I I , roi de France. Lieu dé fa naiffance. V I I . 643. a.
Sa mört. IX. 138. a. Caraâere de fa cour. VIII. 872. a.
Henri n i roi de P ologne, 8c enfuite roi de France. P rincipaux
événemens de fa vie & de fon regne. Suppl. III.
333- b- H
Henri I I I , roi de France. Obfervation fur fon regne en
Pologne. X II. 927. b. Etat de la France ; hiftoire de la ligue,
fous l'on regne. IX. $27. b.. 528. a , b. &c. Anecdote fur ce
prince , lorfqu’il approchoit à main armée de la v ille de
Livron. IX. 621. b. Mignons de Henri. X. 498. a. C e roi
aggrégé à une confrérie de pénitens. XII. 306. a. Particularité
fu r c e roi , rapportée par Sully. X IV . 374. a. Son goût
pour la chaffe. III. 331. a. L a France infeâée de farceurs fous
fon regne. 671 . a. Raifon des fêtes qui amuferent la cour dans
ce même tems. V I . 580. a. Sa mort. IX. 3 29. b. Rapport fait
fiir l’ouverture de fon corps. X III. 807. a. Code Henri. III.
5 76. a , b.
Henri IV , roi de France & de Navarre. Hiftoire de fa v ie
8c de fo n regne. Suppl.lli. 334. b.
Henri I V , roi de France. T raité à fa naiffance en Spartiate.
JX- 156. b. Abrégé de fa vie .X II . 189. b. — 192. a. Parole
de Henri à fes troupes, à la bataille d’Iv ry. V I. 42. b. VII I.
42. a. Article fur cette bataille. Suppl. III. 677. b. 678. a.
Comment il fut vainqueur de la ligue. IX. 329. b. Comment
il fe vengea des libelles que Mayenne avoit répandus contre
lui. 460. a. Difcours qu’il tint à l’ouverture de l’affemblée
des notables en 1596. I. 899. b. Lettre qu’il écrivit à R o fn i,
dans laquelle il examine quelle femme lui conviendroit. X II.
iq i . a , b. Lettre de ce roi dans lé château de G rancey. Suppl.
III. 252. b. L’agriculture encouragée par ce roi. Suppl. I.
216. a. Obfervations fur fon caraâere. XII. 190. b. Comment
il répara une faute qu’il avoit commife à l’égard de Sully.
X IV . 373. b. Exemple de ce monarque où brillent en même
tems la douceur 8c la fermeté. 1. 900. a. Evénemens merveilleux
à fa mort. Suppl. III. 906. a , b. Rapport concernant l’ouverture
de fön eörps après fa mort. XIII. 807. b. G oût des fêtes
fous Henri IV . V I. 581. a. Sa ftatue équeftre érigée à Paris.
XI. 934. b. Code de ce roi. III. 577. a.
Henri I , ( Hiß. d’Anglet. ) duc de Normandie, 8c enfuite
roi d’Angleterre. Précis de fon regne. Suppl. III. 340. b.
Henri I I , fils de G eoffroi, comte d’A n jo u , & de M athilde,
fille de Henri I. Principaux événemens de fon regne. Suppl. III.
Henri II. Son caraâere. Divifion qu’il fit du royaume en fix
parties. III. 466. b.
Henri I I I , fils 8c fucceffeur de Jean Sans-terre. Principaux
événemens de fon regne. Suppl. III. 341. a.
Henri III . Vexations qu’il exerça fur les Juifs. IX. 3. a. 25. a.
Obfervations for ce roi. X V H. 622. b.
Henri I V , fils du duc de Lancaftre, troifieme fils d’Edouard
I I I , foccéda à Richard I I , qu’il avoit fait dépofer. Tableau de
fon regne. Suppl. III. 341. a.
Henri V , fils du précédent. Précis de fon regne. Suppl. III.
341. Æ — Voye{ X . 644. b.
Henri V I , fils du précédent. Précis de fon regne. Suppl. III.
341. a. Voyez X VII . 624. b.
Henri V I I , comte de Richemond , fucceffeur de Richard
III. Principaux traits defon regne. Suppl. III. 341. b. VoyefX.II.
290. b. X lV . 365. a.
Henri V I I I , fils du précédent. Traits qui caraâérifent fon
regne & fa perfonne. Suppl. III.341.6.
Henri VIII. Hiftoire & caraâere de ce prince. VII . 920. b.
X V II . 624. b. Soins qu’il prit d’enrichir fon royaume de bêtes
à laine. IX. 180. a. Commencement de la réformation fous fon
regne. XIII. 890. b. Réglement de ce ro i, appellé flatut de fang.
X V . 505. b._
Henri I , ( Hiß. d'Efpag. ) roi de Caftille. La mort termina
..de bonne heure fes jours , 8c avant qu’il pût exercer par lui-
même le pouvoir de la royauté. On trouve dans cet article
une hiftoire très-détaillée des événemens arrivés pendant la
régence de Dona Berengere, fa foeur. Suppl. III. 341. b.
Henri I I , dit le Magnifique , roi de Léon & de Caftille,
c,onnu auparavant fous le nom de comte de Tranftamare, fils
naturel d’Alphonfe X I & d’Eléonore de Guzman. Hiftoire de
fon regne. Suppl. III. 342. b.
Henri I I I , dit le Maladif roi de Léon 8c de Caftille, fils aîné
de Jean I & d’Eléonore. Hiftoire de fon regne. Suppl. III.3 44. b.
H enri IV , foraommé YImpuijfant, roi de Léon 8c de
Caftille , fils de Jean I I , 8c de Marie , infante d’Aragon.
Speâacle que prèfentent les événemens de fon regne. Suppl.
III. 345.A..
- Henri de Bourgogne, {Hifi.de Portug.) comte de Portugal.
Pjrinçipaux événemens du regne de ce prince, à qui
Alphonfe V I , roi de Caftille 8c de L éon, donna en .propriété
le Portugal, avec la permiflion de faire des conquêtes fur les
Maures. Suppl. III. 343. b.
Henri, fondateur du royaume de Portugal. XIII. ï 37. b.
Henri , roi de Portug al, .fils du roi Emmanuel, 8c de
Marie de Caftille, fa fécondé femme. Principaux événemens
de fon regne. Suppl. III. 346. a , b.
Henri , fils de Gothelfeale 8c de Sygrithe, roi des Vandale
s . Suppl. II. 223. b. 224. fl.
Henri le Superbe, duc de Bavière, mis au ban de l’empire.
Suppl. II. 532. b.
Henri , ( Frédéric-Henri-Louis ) prince de Prüfte. Trait de
bienfaifance de fa part. Suppl. III. 760. a.
HENRIADE. ( Littèr. ). E loge de ce poëme. Lespoëmes épiques
ont,chacun un caraâere qui leur eft propre, 8c qui les
immomlife. VIII. 132. b.
Henriade, efpece de merveilleux employé dans ce poëme.
X. 393. a. Obfervations for la Henriade. V . 828. b. XII. 822.
b. Grandes vues qu’elle embraffe. Suppl. III. 962. a. Heureux
choix de fon fujet. Suppl. I V . 438.b.
HENRICIENS , ( Hifl.eccl. ) hérétiques qui parurent en
France dans le douzième fiecle. Leur chef. Leurs erreurs. V IIL
132. b. Voycç PÉTROBUSTENS.
H E N R IO N , ( Nicolas ) homme de lettres. X V I . 719. b.
HENS1N G , ( Frédéric-Guillaume ) anatomifte. Suppl. I.
410. b.
H EN TE TE.j ( Jardin. ) la plus haute montagne du grand
atlas. Peuple qui l’habite. Neiges de fon fommet. VIII. 132. b.
HEPAR , ( Chyrnie ) produit de la combinaifon du foufre
a v e c l’alkali , l’antimoine 8c l’arfenic , voye[ Hepar antimo-
n i ï , Hep a R fulphuris , O rpiment. L’hepar p eut être défini
un fel à trois parties. On ne peut fuivre une marche plus
sûre dans l’étude de la nature, qu’en allant des corps fimples
aux corps compofés , de ceux-ci aux corps compofés de trois
autres , 8c fucceflivement. Suppl. III. 347. b. Ainfi, l’acide ,
qui eft un corps fimple, en s’unifiant a v e c l’alkali, qui eft un
autre corps fimple , forme un compofé que nous nommons
fel. Les fieux parties fimples de ce fel s’unifiant au phlogifti-
que* que nous confidérons auflï comme corps fimple, forme
un corps du fécond, ordre chymique , que nous nommons
hepar. Pourquoi la claffe des hepars, beaucoup plus nombreufe
que celle des fels , eft cependant très-peu connue. Quelques
exemples rapportés dans cet article , peuvent faire juger de
l’étendue 8c de l’importance de cette matière, qui offre un
vafte champ aux recherches des chymiffos. Projet formé par
Fauteur, de réunir en un foui tableau fynoptique, tous les
compofés falins de deux 8c de trois parties. Ibid. 348. a. Utilité
qu’offriroit un tel ouvragé. Ibid. b.
Hepar antimonii, ou Foie d ’antimoine. ( Chym. 8c Métall. )
Moyen d’obtenir un véritable hepar d’antimoine. Pourquoi
011 lui a donné le nom d'hépar. Propriétés de cette matière.
Teinture d’antimoine tartarifée. Soufre grofiier d’antimoine.
V I I I . 132. b. Soufre doré d’antimoine. On appelle auffi fa u x
foie d’antimoin e de Rulandus , l’antimoine crud détoné avec du
nitre. Maniéré de le faire. En quoi il différé du premier. Ibid.
133. a.
Hepar ou foie tfarfenic, voye[ ORPIMENT.
Hepar fulphuris ou foie de foufre. Comment on le fait. P ropriétés
de cette matière. Effets de fa diffolution dans' l’eau.
Elle eft le diffolvant de tous les métaux. Stahl dit que Moïfc
s’en fervitpour détruire le veau d’or deslfraélitcs. Maniéré de
diffoudre l’or par ce diffolvant. Moy en de découvrir fi une
fobftance minérale contient du foufre. Eaux minérales qui contiennent
de 1 'hepar fulphuris. VII I. 13 2. a.
HÉPA T IQU E. ( Anat. ) conduit hépatique ; plexus
hépatique. VIII. 133 .b.
Hépatique, conduit. II. 232. b. V I . 7 1 7 . b. Suppl. II I .78 .b.
80. b. Vaiffeaux hépatiques, voye\ Foie.
Hépatique , artere. ( Aneciologie ) Defcriprion dé cette
artere. Ses grandes utilités. Pourquoi les arteres hépatiques
font plus groffes dans l’homme que dans les quadrupèdes.
Sentimens de G liffon, de Drake 8c de C ow p e r , for leur ufage.
V I I I . 133 .b.
Hépatique, artere. Obfervations fur ce vaiffeau. Suppl. III.
348- M '
Hépatique, artere. VIII. 272. fl. Suppl. II. 489. b. Suppl. III.
75 . b. Veines. VIII. 272.0.
Hépatique. ( Médec. ) Diverfes acceptions de ce mot en
médecine , particuliérement dans les ouvrages des anciens.
VII I. 134. fl.
Hépatique, apozeme. I. 342. a. Purgatifs hépatiques.-III.
363. a , b. Vers hépatiques. X V I I . 43. b. Remedes hépatiques,
voye\1 V iscéraux.
Hépatique, flux. En quoi cette maladie différé du flux dyf-
fentérique. Un tel flux eft peu connu par les obfervations des
modernes. Syftême des anciens par rapport à la fanguinifica-
tion , fur lequel étoit fondée la dénomination de flux hépatique.
Sentiment des modernes fur la caufo de ce flux prétendu
hépatique. VII I. 134. a. I l refte quelquefois après la diffen-
terie un flux de ventre encore fanglant, mais fans douleurs.
Quelle
H E R H E R 90J
Q u elle en eft la caufo. Obfervations 8c raifonrtemens quî teri-»
dent a prouver la poflibiüté des flux de ventre vraiment
hépatiques. Ibid. ^ Cependant il eft très-difficile d’indiquer les
dignes propres a diftinguer les cas où ce flux vient du foie
de ceux ou il vient des inteftins. On ne peut in férer l’un.
Plutôt que 1 autre , que de ce qui a p récédé. Maniéré d’éta-
bhr le prognoftic du flux appellé hépatique. D u traitement
de cette maladie. JW . 135. a. Voye^ Foie ( Maladies du ),
rh o id ? rV in * i2 /~0nunent 0n le ddlinSue du flux hémorà
trois feuilles, ( Botan. ) Ses caraâeres. D è f-
«ip tion de 1 efpece la plus commune que Boerhaave nomme
hepatica tnfolta , casruleo flore. Pourquoi cette plante eft appel-
■ vîllJI V ? Auteur 3 COnfulter fur la cultUfe des hépatiques.
Hépatique commune ou de fontaine, ( Mat. médic. ) obfervations
for les qualités qu’on attribue à cette plante. VII I.
*3 •>■ />■ ' * i f ? -
V ^ épl Uk Ue S i S i B B 011 belle hépatique. Origine de fon nom. foTûfto. ?rân Eiceik“'
I HÉPATITf ’ ( ) inflammation. ou en général affection
aigue du foi?, Obfervation fur le mot leoaùùs par
lequel les anctens déftguoient ces maladies, l e foie doit être
moins fujet aux inflammation* qu’aux maladies chroniques.
Dtflertatton d Hoffman fur ce Æjet. Cette inflammation fe
uiitmgue en deux efpece* ; fa v o i r , celle, qui i fOn fiege dans
la parue concave i ,& celle, qui s'eft fixée fur,la. partie conv
e x e du foie. Symptômes auxquels on reconnaît la première
qfpece. L eurs cautês. i} 6 . a, Symptômes relatifs à la fécondé.
En,quoi elle différé de la pleurefie. Comment on diftingue
les, douletrrs, qui , (qcompagnent. l'inflammation du foie , de
celles qui font la, colique proprement dite., & de l’inflainma-
non des muicles du bas-ventre à la région épigaftrique. Cau-
fos de 1 inflammation au foie. Ibid. b. Prognoftics for cette
maladie. Differentes fuites funeftes qu’elle peut avoir. Traite-
mentde cette inflammation. Ibid. 137. a.
HÉ PA TOM PH A LE , ( Chir.j hernie du foie par l’anneau
Tbid b V IIL H 7- Exemple d’une telle hernie.
H É P A TO S Ç O P IE , ( Divin. ) divination par l’infpeâion
du foie des viâimes. Etym. de ce mot. Viâimes fans foie.
Gomment les arufoices expliquoient ce prétendu prodige ,
qUl^ enAe^°r1Ttcen ^ue de 1>artifice des prêtres. V IÜ . 137. b.
H É P A T U S , ( Ichthy. ) Defoription de ce poifion de
mer. Qualité de là chair. Propriété, attribuée aux pierres qui
le trouvent dans fa tête. VIII. 137. b.
H É PHOE S T IT E , ( Lithol. j pierre rougeâtre dont les
anciens formoient une efpece de miroirs ardens. Origine du
mot héphoefkte. VII I. 137. b. Efpece de jafpe qu’on peut
employer au même-ufage. Pyrite appellée hépheeflite. Ibid'.
HEPHTHÉM IMERE, (Z i« . ) vers compofé de trois-piés
& une fyllabe. Exemples tirés d’Anacréon 8c d’Ariftophane.
Céfure hephthémimere. VIII. 138. a.
H E P T A C OM E T E S , ( Géogr. une. j peuples qui habitoient
les bords du Pont-Euxin. Origine de leur nom. Moeurs de
ces peuples. Comment ils maffacrerent trois cohortes de Pompée.
VII I. .138. a. Voyeç Mosyniens.
H E P T A C O R D E , ( Muflq. anc. ) cythare à fept cordes,
r a- C fon8‘ tems la plus célébré de toutes. Simonide la per-
feâipnna en y ajoutant une huitième corde. VIII. 138-. a.
Ainfi les fons fe trouvèrent dans la fituation la plus favo rable
a une harmonie noble. Cependant cette noble mufique
n eut pas le bonheur de fe foutenir. Ibid. b.
HEP T A G O N E , ( Géom. ) E tym. du mot. Heptagone régulier.
Nombres heptagones. Propriété finguliere de ces nombres.
VII I. 138. b.
, H E P T AM ER ID E , ( Mufla.) nom de l’un des intervalles
du fyfteme de M. Sauveur. VIII. r-38. b.
H E P T A P O L E , ( Géogr. anc. ) contrée d’Egypte. Les fept
Villes de 1 Heptapole, C ’eft dans l’Heptapole qu’étoient les
principales merveilles de l’Egypte. VIII. 138. b.
HEPTAR CHIE , ( Hifl. mod, ) gouvernement des fept
royaumes des Anglo-Saxons. Détails hiftoriques fur la nature
de ce gouvernement, 8c la maniéré dont il s’établit. VII I.
13». Durée de l’hepjarchie. Caufos.de fa diffolution. Ibid.
?39- '
H É R A C L É E , ( Géogr. anc. ) Nom commun à un fi grand
nombre de villes , que dans l’empire Romain on en comptoit
plus de trente ainfi nommées. Lieu d’où Hercule defeendit
aux enfers, & en tira par force le Cerbere. VII I. 139. a
HÉRACLÉE DU PONT, ( Géogr. anc.) v ille d’A fie en Bithy-
tue. Ses fondateurs. VIII. I39. a. Elle a été l’une des villes
T s .P “ s c£foùrées de l’antiquité. Médaille qui marque quelle
etott fii puiffancefur mer. Flotte qu’elle envoya à Ptolomée
apres la mort de Lyfimaque. La cayerne yoifine de cette Tome ƒ.*
Viiie qüi a donné lieu à la fable de la d e fc e n # d ’Hercule
aux enfers , ne fe trouve plus. Hercule a été en grande vénération
dans Heraclee. Médailles par lefquelles les Hémcléens
avoient exprimé la fertilité, de leurs campagnes; Détails hifto-
riques, fur Heraelée. Cette ville réduite en cendres par
Gotta , lieutenant de LucuUus. Son rétablîflement. Tems
auquel elle paffa dans l’empire des Grecs. Ibid. b.. On lui ilB IilM M ltliyM W ill Hllilffliam X « lai>îellem fwf «•'««
H lm lc t du Pont.: biblioflieque fondés dans cette ville paf
Glearque. IL 230. b. ' "
Heraelée de Thrace. XII. 360. b.
r„£!É p^CLl 1 ’ B n f l i n M p fêtes en l’honneur d’H e r -‘
1 o a ym ’ dU m0t herac ées- Auteur à confolcer. V I I I .
H É R A C L É O N IT E S , ( Théolog.) hérétiques de la fo â e
desgnofoques. C e que nous apprend S. Epiphane for la doc-
1H%R^rTaf e n' 7 >°,a r ,n e^ es Héracléonùes. VIII. I4o. a.
HER AC L ID E de Font. Obfervations for ce philofophe.
XII. 372. fl; - r V ■
m m m : , médecin. X. 3 % : e. Sa doStine for la Signée.
‘X-S ? .1 - 1 Sa Phyfiqlogte Suppl. V f M M B 0 i
H ÉH AC LID ES, in i/ h a n c .) deicendans d’H e reule , qui
.régnèrent dans le P élopq rtlÿ e,; Vin. .40. «. Hiftoiré des=
diverfes tentatives qu’ils firent après leur êxpülfidn du Pélo-
ponnefe, pour rentrer dans coipays, Commentiils parvinrent
BQjSG s y rétablir. Leurs droits fur les royaumes de M ycèr.es
& cl Argos. Comment la couronne étoit paffée aux Pélopides
Révolution produite dans la Grec e par les foccès des Héra-
clxdes; Le retour des Héraclides eft le commencement cle
I hiftoire de Grece. Ibid. b.
HÉRACLIDES: ( L e s ) deux partis célébrés qui agitèrent la
G r e c e , les Héraclides & les Pélopides. V II . W Ê M Refuge
des rforaclides auprès de l’autel de la miféricorde dans Athe-
nes. X. 373. b. Royaume des Héraclides à Corinthe 8c à Lacédémone.
X IV . 420. b,
T, " E R A C L IO N , ou Héraclionas, fils.du premier empereur
Heraclius 8c de Martine , fa fécondé femme. Ambition 8c
crime de cette femme. Sa punition 8c celle de fon fils. Suppl*
111. 3 48. b, _ .
HERAC LIT ISME , ou Philofophie d’Héraclite. ( Hifl. de
la philofoph.) Patrie d’Heraclite. Ses premiers pas dans la
philofophie. L ’homme vulgaire incapable de jouir des pré-
cieux avantages qu’fl poflede. Suite de l’hiftoire d’Héraclite/
VIII. 14 1. a. Caraâere de fa philofophie. Traités qu’il a écrits.
II n’afpiroit qu’aux foffrages d’un petit nombre de leâeurs;
Pourquoi il a été long-tems négligé 8c oublié. Tems auquel
fl vivoit. Logique d’Héraclite. Sa phyfiqne. Ibid, b.-Sa morale,
Ibid. 142. a. Heraclite eut pour difciples Platon, Hippocrate
8c Zénon. Reflexions fur la philofophie d’Hippocrîfte. Sa-
phyfique. Ibid. b.
Hèraclitifme. Comparaifort qu’Héraclite faifoit du corps
humain avec, le monde. X L 363. a.
HÉR AC LIU S , (H ifl. rom.) Hiftoire du régne de cet
empereur. Suppl. III. 348. b.
Héraclius, empereur Romain : eâhefo d’Héraclius. V . 376.
b. Efpece de fort qu’il confulta pour mettre en quartier d’h iver
. fon armée; X V . 377. a. 3 80. a.
Héraclius, fils de l’empereur de ce nom , 8c d’E udox ie,
fut furnommé Conftantin le jeune , ou-le nouveau Conftan-
tin. Il ne gouverna l’empire que pendant un an : fa marâtre #
nommée Martine , l’empoifonna. Suppl. III. 349. a. Voyez
Hér â c l io n . j v
H ÉR A LD IQ U E , ( A r t ) foienee du blafon. Réflexions fur
la vanité 8c la frivolité de cette fcience. VIII. 143. a. Voye£
vo l. IL des planch. les principes généraux du Blafon.
H ÉR A T E LÉ E , (Mythol.) Sacrifice qu’on faifoit le jour
du mariage à Junon. En quoi eonfiftoit ce facrifice. Etvm.
du mot. VIII. 143. a.
H ÉR AU T > (H ifl. anc. ) officier public dont la fonâion
étoit de déclarer la guerre. La perfonne de ces officiers dans
1 exercice de leur Charge, étoit facrée. Pourquoi lès Grecs
< les appelloient conforvateurs de la paix. Re fpeâ avec lequel
Achille traita les hérauts qu’Agamemnon envoya dans fa tenta
pour lui enlever Briféis. Obforvàtions fur les hérauts nommés
féciaux chez les Romains. VIII. 143.. £ '
Héraut. Sa couronne. X V II . 187; a, Voyeç FÉCIAUX.
Héraut , (Gymnafi.) officier employé dans les jeux
athlétiques. Gomment ces hérauts faifoient leurs proclamations.
On les éprouvoit, avant de les élire, fur la force de
leur voix. V IIL 143. b. Voix de Stentor louée par Homerei
Ibid. 144. a.
Héraut, (Hifl. mod.) Héraut <Tarmes. Etym. de ce mot.'
On divifoit- ces. officiers de guerre 8c de cérémonies, en roi
d’armçs , hérauts 8c pourfuivans. Les hérauts, y compris le
roi d’armes, étoient au nombre de trente. Leurs titrés! Leurs
habits de cérémonie. Principaux emplois des hérauts. V I I I .
144. a. Les premiers commencemens de ces officiers ne furent
v v v v \r ............ ..