5 5 8 E C U
tition. Divifion des écus en quartiers. Suppl. IV . 558. •
Maniéré d’expliquer les pièces & meubles de 1 écu en termes
propres & convenables. Suppl. I. 91 v. b. Ecu bandé, UP P ','
790. a. bandé de huit p ièces, Suppl. IV . 368. <1. ure » PP "
II. 84. b. Suppl. IV . 369. *. chevronné , S u Pvl. W 39*- *•
Suppl. IV . 368. contre-vairé , Suppl. II. 385. a. coticé ,
623. b. Suppl. IV . 369. a écartelé, Suppl. II. 74»- ^ «cullon
po?é fur urfécu écartelé. Suppl. IV . 849. b. Ecu échtque ,
Suool II 7 ( t b. Suppl. IV . 369. a. émanché, Suppl. U.
7 ^ 1 e n Æ p o i n t e f g H H I I H | W M
de huit pièces , Suppl. IV . 368H frété , Suppl. III. M7- ■
d n m é / a i . #. S r a t t IV . 369. i.lo fa n g é , Suppi. I J L 7 » .« .
% p p t IV . 369. 1 nébulè , £ ■ p elé . H 9 1 B D f f l g
pièces , 368. a. papelonné , 133. a , é. plein , 414. raille ,
9 , j . ». .« r s e à ê . ,3«9. u.983: à.‘ 7 ô)*{lM planches du Sup-
plément.
' É c u , ( Comrn. ) piece d’argent, qui a maintenant cours en
France. V . 378. a. . . .
. Écu. Écus de F rance. Suppl.ll.764. b .TM e des principaux
écus qui ont cours en Europe. Leur poids , leur titre , 8c leur
valeur en argent de France. Autre table des principaux ecus
qui ont cours en Europe, avec les années de leur date, leur
poids, leur titre , & leur valeur en grains de poids de marc
françois, en matière pure. Ibid. 765. a. D u nummus des anciens.
Sa valeur en argent de France. Ibid. 7 66. a.
Écu , voyei LOUIS (Targent. IX. 699. b. 700. a. Quart
d’érn XTTT. îH S h. Léeende fur la tranche des écus. X V I .
531 c ü BIER , ( Marine ) plomber les écubiers. XII. 780. b.
ÉCUEIL , voye{ Bancs , Brisans 6* D angers. Signal
qu’on met fur les écueils, I. 316. b. 8t fur la cote pour Ies
faire éviter. 356. b. Écueil près de laeôte du canton de Jederen
en Norwege. Suppl. III. 347; b. -
ÉCUEL LE , de Cabeftan. Écuelle , en terme de géométrie :
comment on trouve la folidité, de celle-ci. V . 378. a.
ÉCUELLE d’eau hydrocotyle. ( Bot and) Caratleres de ce genre
de plante. V . 378.,b. . -
Écuelle d’eau. Efpeces de ce genre , nommées acancoba,
Suppl. I. 104. a. codagen. Suppl. II. 484. a , b.
É C U M E , ( Médec. ) humeurs extravafées ou évacuées du
corps humain. La qualité écumeufe des différentes humeurs
eft un ligne diagnollic ou prognoftic dans diverfes maladies.
Écume dans le crachement de fàng. Bouche écumante dans
certaines maladies. Veines écumeules.* Déje&ions de matière
écumeufe. V . 378. b.
ÉCUME de mer. ( Botan. ) V . 378. b. Voye^ A lCYONIUM.
Écume de. nitre., efpeee de nitre dont les anciens font mention.
V . 378. é. '
Ecume. ( Manege ) Bouches toujours feches. Pour y
faire entrevoir de la fraîcheur , les maquignons donnent du
fel aux chevaux. Le défaut de fraîcheur provient fouvent
de la main du cavalier. Càufes qui produifent de l’écume
fur la fuperficie du corps du cheval eh lueur. V . 379. a.
Ecumes , ( Rajfineur) Mal-propretés tirées du fucre en
le clarifiant. Faire des écumes, c’eft en féparer les fyrops
qu’on a levés avec elles. Maniéré de les faire. V . 379. a.
Ecumes printanières, filamens qu’on voit voltiger à la campagne
, fur-tout dans le beau tems. V . 379. b.
E C UM E R , opération en pharmacie , deftinée à purifier
certains corps. V . 379. b.
ECUMER. (Fauconn.) V . 379. b.
ECUREUIL. (Hifi. nat.) Defcription de cet animal. Ses
attitudes & mouvemens. Ses alimens. I l habite des creux
d’arbres. Son agilité. Carafteres génériques de l’é cureuil, félon
M. Linnaeus & félon M. Rai. Ecureuil de Virginie. Les
auteurs ont fait mention d’autres écureuils étrangers. Celui
qu’on appelle écureuil volant eft un vrai chat reffemblant à de
certains rats. V . 380. a.
Ecureuil volant. ( Zoolog. ) Autres noms de cet animal.
Suppl. IL 766. a. Lieux où on le trouve. Maniéré de le chaf-
fe r. Sa defcription. Ibid. b.
Ecureuil, efpeee d’écureuil de la nouvelle Efpagne. X V I .
364. a. Ecureuil volant. XIII. 648. a. V o y e z Polatouche.
Ecureuil orangé. Suppl. II. 394. b. 393. a.
ECURIE ; les dimenfions. Les voûtes font préférables aux
planchers. Il faut que le fol foit fec & é le v é , & qu’elles
foient orientées à l’eft. Ruiffeau que doit former le pavé
pour l’écoulement des eaux. O n doit préférer les plates-formes
à un terrein pavé. Defcription de l’auge & des pièces
qui en dépendent. V . 380. b. Defcription du râtelier. Ibid.
381. a. Séparation de chaque place par des barres ou par
ces cloifons. Ibid. b. Diftribution des jours qui doivent éclai-
rèr l’écurie. Ecuries limples & à double rang. Ibid. 382. a.
Defcription de l’écurie dont M. Soufflot, arehiteéle du roi,
a donné le plan. Ibid. b. Avantages de cette conftruétion.
Ibid. 383. b. Inftrumens en ufage dans une écurie. Ibid. 284. b.
Ecurie. Officiers de la grande écurie du roi. V . 387. b.
388. a , b. Etat de l’écurie pour le fervice de la grande
yènérie. X V I . 9 5 t. a. Conftruétion & foin des écuries. Suppl.
E D D
III. 400. b. Contre-mur qu’on eft obligé de faire à Paris »
lorfqu’on bâtit une écurie contre un mur mitoyen. IV . 138»
a. Cloifons d’écurie. III. 543 b. Poteaux d’écurie. XIII. 180.
b. Fourches d’écurie. V II . 225. a. Plan & élévation d’une
écurie. V II . v ol. des planch. Maneg e, planch. 30— 33. M eubles
& uftenfiles d’écurie. Ibid. Planch. 27. 28. Précautions à
prendre dans les écuries , lorfqu’il y eft mort un animal de
quelque épidémie. Suppl. III. 809. b.
ECUSSON , ( Pharm. ) efpeee d’épitheme. I l s’applique
principalement fur l’eftoinac. V . 383. a.
Ecusson , ornement qu’on met à l'arriéré des vaiffeaux,
V . 383. </.
Ecusson , à la monnoie, en terme de blafon. V . 383. a.
Ecusson , ( Blafon ) meuble d’armoirie. Suppl. II. 767. a.
Ecusson , \ Ja rd.fieur.) petite plaque numérotée que
l’on met à côté d’une plante ou fur le pot où elle eft. Ôb-
fervation fur les écuffons d’ardoife. Suppl. IL y 67. a.
Ecusson. ( Botan. ) Voye{ Greffe.
E CU YE R S , gentils-hommes faifant le fervice militaire à
la fuite des chevaliers. Leurs fondions. V . 383. a. Ecuyers en
Angleterre. Dès qu’un jeune gentilhomme a voit atteint l’âge
de fept an s, on le faifoit page. Leçons qu’il recevoit. D e-là
il paffoit au titre d’écuyer. À l’âge de vingt-un ans , il étoit
reçu chevalier. Ibid. b. Confultez là-deffus les mémoires de M .
de Saintc-Palaye , vol. X X . de l àcad. des belles-lettres.
Ecu ye r , ( ju r ifp .) titre que les fxmples gentilshommes
ajoutent après leurs noms. Etymologie du mot. V . 383. b.
Ecuyers romains. Sur le déclin de l’empire , deux fortes
de gens de guerre furent en réputation de b ravoure, les
gentils & les écuyers. Les empereurs leur donnèrent la meilleure
part dans la diftribution qui fe faifoit aux foldats,
des terres à titre de bénéfice ; 8c les princes gaulois les imitèrent.
L ’état d’é cuyer n!étoit pas non plus nouveau pour les
germains. Ibid. 386. a. Les premiers nobles en France furent les
gentilshommes & écuyers , dont la profeffion étoit de por«
ter le.s armes. Comment les écuyers étoient diftingues des
chevaliers. Comment s’acquéroient les titres d’écuyer ‘, de
chevalier & de banneret. Solde journalière des é cu y e r s , des
chevaliers, des fimples gentilshommes , 6*c. La qualité d é-
cuyer ne fut pas d’abord le terme ufité pour défigner un
noble ; Ibid. b. mais infenfiblement ce terme a été regardé
comme fynonyme de noble. D è s que la qualité d’e cuyer eut
prévalu fur celle de noble , le titre de noble homme dé-
figna un roturier- La nobleffe qui s’acquiert par les grands
offices ne don'noit point la qualité d’écuyer. T itre quej>re-
noient les confeillers & préfidens de cours fouveraines. Conditions
fous lefquelles l’édit de 1600 permet de prendre le
titre d’écuyer. Ibid. 387. a. Déclarations de 1624 , de 1663
& de 1702 , fur le même fujet. Titres conftitutifs du droit
de nobleffe. Certains emplois militaires donnent le titre d’écuyer
fans nobleffe héréditaire. Auteurs à confulter. Ibid. b.
Ecuyer. Etymologie de ce mot. Suppl. III. 204. b. Hauber
& armure de tète qu’avoient les écuyers. VII I. 64. a.
Lés écuyers autrefois appellés fervtentes. X V . 85. b. 86. a.
F ie f d’écuyer. V I . 703. a.
Ecuyer , grand écuyer de France. Q u elle étoit cette
charge fous les premiers rois. V . 387. b. Il prête ferment
entre les mains du roi. Prérogatives & fondions de fa charge.
Aux entrées que le roi fait à cheval dans les villes , il
marche directement devant la perfonne du roi. Celui d’aujourd’hui
( 17 3 3 ) eft M. le comte de Brionne. V . 388. a.
Ses armes, planche 18 du blafon. V o l. II.
Ecuyer commandant la grande écurie du roi. Celui qui conv
mande en l’abfence du grand écuyer. V . 388. a.
Ecuyer , premier écuyer. Cette charge eft très-ancienne. V .
388. a. Elle eft dans la maifon de Beringhen. Objet & fonctions
de cette charge. Ses prérogatives. Ecuyers de fa dépendance.
Fondions des écuyers du roi fervant par quartier.
Ibid. b. ,
Ecuyer, premier écuyer-tranchant. Tems ou il exerce, bes
fondions telles qu’on les voit dans les ordonnances de Phi-
lippe-le-bel de 1306. Charges de premier écuyer-tranchant
& de porte-cornette-blanche : par qui elles ont été poffé-
dées. V . 389. a.
Écuyer-bouche. Ses fondions. V . 389. a.
Ecuyer. ( Manege ) On proftitue ce titre fans confidérer
les talens qu’il fuppofe. La facilité de fe donner ou de recevo
ir des titres fupérieurs à ceux qu’on mérite, nuit aux progrès
des arts & des fciences. V . 389. b.
Ecuyers , hommes célébrés auxquels la France elt redevable
des premiers écuyers qu’elle a eus. V I . 247. b. Importance
de la théorie de l’art dans les écuyers. 249. b. Lumières
qu’ils devroient acquérir. 230. b.
E D
E D D A , livre qui renferme la théologie & la cofmologie
des anciens Celtes lcandinaves. VII I. 9 16. a , b. & c. Defcrip-
E D I
ËD ËL INCK , ( Gérard ) graveur. VII . 867. b.
EDEN. Quelques-uns croient que cqlieu.de délices étoit
fitué fur les, bords du Jourdain. Eden , ville du mont Liban.
:V. 389. b. \. _ ■
Eden, v o ye z Paradis terreftre. Defcription du jardin d’Eclen
par Milton. V III. 460. a , b. Maniéré ingénieufe dontleP.Har-
.douin explique l ’endroit du texte, facré où il-s’agit des fleuves
«l’Eden. V II . 339. a. Arbres de v ie & de la connoiffance
du bien & du m a l, plantés dans cé jardin. I. 38 9.«.Combien
de tems Adam & E v e demeurèrent dans ce lieu. L 126.
a. II. 801.. b. Chérubin qui fut placé à l’entrée du paradis
terreftre. III. 298. b.
ED EN TÉ , Découpé. Différentes lignifications de ces mots
dans le blafon. IV . 704. b.
ED E PO L , ( Myihol. ) jurement ufité chez les anciens.
Suppl. IL 748. a.
. EDESIUS , philofophe écle&ique. V . 277. b.
■ EDESSE , ( Géogr. ) v ille de la Méfopotamie. Abgare ,
i'oi d’Edeffe, converti par S. Thomas. V . 389. b. V o y . Bambyce.
Edejfe, tems où cette v ille fut fondée. Suppl. IL 767. a.
■ E D G A R D , (Hijl. eTAnglet.) roi d’Angleterre furnommé
le pacifique. Hiftoire de fon régné. Suppl. II. 767. a.
Edgard. Les loups furent détruits en Angleterre fous fon
régné. IX. 181. a,
EDHEMITES , religieux mahométans. Priere que faifoit
leur inftituteur. V . 289. b>
E D IF IC E , v o y e z Bâtiment, Maifon : v o y e z auffi les pl.
d’architefture , vol. I. Enduits ou incruftations dont on cou-
vroit à Rome les différentes parties d ’un édifice. VIII. 638.
a , b..Ufage que les Romains faifoient du bronze pour orner
les grands édifices. XI. 130. a. Pavé intérieur des édifices de
Rome. XII. 193. a , b.
E D IL E , chez les Romains. Fondions de ces magiftrats.
Dépenfes ruineufes que leur charge exigeoit. Tems de leur
création. Ediles.curules. V . 390. a. Trait fingulier qui marque
l’influence qu’avoit Caton dans l’état. Ediles céréaux
créés par Céfar. Ediles des villes municipales. Edile alimentaire.
Ediles de camp. Les édiles fupprimés depuis Conftan-
tin. Ibid. b.
. Ediles. Tems de là création des deux premiers édiles curules.
Suppl. II. 768. a.
Edile. Affemblée où l’on élifoit les édiles. III. 679. b. Ob-
fervations fur cette magiftrature. XII. 907. a , b. Suite de
l’hiftoire de cetté magiftrature fous les empereurs^ 908. a.
Ediles nommés céréales. VII I. 810. b. Ediles des villes municipales.
IX. 13. b. Magiftrats de ce nom dans les autres
villes d’Italie. Ibid. Edit des édiles. V . 392. a.
E D IL IN G , ordre des nobles chez les Anglo-Saxons. V .
E D IM B O U R G , (Géogr.) capitale de l’Ecoffe. La marée
-monte jufqu’à vingt milles de fes murs. Sa fituation. Son
univerfité. V . 390. b.
| Edimbourg. Erreurs dans quelques dates indiquées dans
cet article de l’Encyclopédie. Suppl. II. 768. a.
Edimbourg. Principale prifon de cette ville. X V I . 387. a.
Société d’Edimbourg. X V . 239. b.
E D IT . ( Jurifp. ) Différentes lignifications & étymologie
de ce mot. Son ufage dans l’hiftoire de France. Différence
entre les édits , lés ordonnances & les déclarations. Forme
des, édits. V . 391. a.
. E d it, v o y e z fur ce fujet Code, Déclaration, Lettres, L o i,
Ordonnances , Réglement. Enregiftrement des édits. V . 699. a . b.
Edit d’Amboifei V . 391. a.
■ Edit d ’août'. V . 391. a.
Edit de la bourdaifiere. V . 391. b.
Edit burfal. V . 391. b.
. Edit de Chanteloup. V . 391. b.
. Edit de Château-briant. V . 391. b.
Edit du contrôle , en matière bénéficiale, en matière d’e x ploits
, en fait d’aftes de notaires, pour les a êtes fous-figna-
ture privée , V . 391. b. 8c pour les dépens. Ibid. 392. b.
Edit de Crémieu. V . 392. b.
■ Edit des duels. V . 392. b.
. Edit des édiles. Y . 392. b.
Edit des empereurs romains. V . 392. b.
.E d it des femmes. V . 392. b.
Edit des infinuàtions , de deux fortes , favoir des infinua-
tions eccléfiaftiques , & des infinuàtions laïques. V". 392. b.
. Edit de juillet. V . 392. b.
Edits de Jufiinien. v . 392. b.
Edit de mars. V . 392. b.
Édit de Melun, fur la diicipline eccléfiaftique. V . 392. b.
Edit des meres, ainfi appellé , parce qu’il réglé l’ordre dans
dans lequel les meres doivent fuccéder à leurs enfans. On l’appelle
aufli édit de S . Maur.- Conftitution. de Juftinien fur cette
lucceflion. Difpofition de l’édit des meres, qui ne fut pas reçu
d abord par les parlemens de droit écrit. Conteftations élevées
a ce fujet dans le parlement d’A ix. Edit du roi qui révoque
celui des meres. V . 102. a.
E D O 5 59
É D lT de Nantes donné par Henri IV . en 1 398. Sa révocation
par Louis X IV . en 1693. V . 393. E Foyer Nantes.
Edits de pacification. A quelles oecafions ces divers édits
furent publiés, V . 193. b. 8c enfuite tous révoqués avec celui
de Nantes en 1685. V . 394. a.
Edits de pacification. III. 34. b. XI. 736. b. Chambres de
l’édit. III. é.' 33. a. Chancelleries des chambres de l’édit. 113. a.
Edit. ( Chambres de V ) Comment elles furent établies & fuc-
céderent aux chambres mi-parties. V . 394. a. L eur fuppreftion.
Ibid. b.
Edit dp Paulet, édit des petites dates. V . 3 94. b.
Edit perpétuel. ColleéÜon de tous les édits, tant des préteurs
que des édiles curules. V . 394. b.
Edit perpétuel. V . 133. a. Edit perpétuel d’Adrien. 139. a.
Edit perpétuel. Réglement des archiducs Albert & Ifabelle.
V . 394. b.
Edits des préfidiaux. V . 394. b. Premier 8t fécond ch e f de
cet édit. III. 2 71 . b.
Edit du préteur. Augmentation du nombre des préteurs. C e
que l ’on appelloit album pratoris. Edit annuel des préteurs V .
395*
Edits des préteurs. IV . 991. b. V . 133. a. XIII. 339. b.
Edit provincial.'Ab ré g é de l’édit perpétuel. O n n’en fait
point l’auteur. V . 393. a.
Edit provincial. Fautes à corriger dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 768. b.
Edit provincial. V . 139. a. 393. a.
Edit de Rçmorentin, donné pour empêcher que l’irtqujfition
ne fût in troduite en France. Édit par lequel celui-ci fut révoqué.
V . 393., é . ,
’Edit de S. Maur. Foyeç Edit des meres.
Edit des fécondés noces. A quelle occafion il fut fait. Dilpo-
Etions de cet édit. V . 393. b.
Edit de la fubvention des procès. V . 396. a.
Edit d!union. V . 3 96; a.
ED ITEU R. Quels ont été les éditeurs des peres de l’églifê
8c des conciles. Q ualités effentielles à un éditeur; D e s éditeurs
de l’Encyclopédie : on ne doit ni les blâmer de ce qu’on poitrroit
trouver de foible, ni les louer de ce qu’on y trouvera d’èxcel-
lent, V . 396. a._
Editeur. Obfej^ÉËon fur cet article de l'Encyclopédie*
faute à corriger. 768. b.
ED IT IO N . Abus réfultans de la publication des ouvrages
d’un auteur après fa mort. V . 396. b.
Edition. Premières éditions qu’on v it paroître en divers endroits
peu après l’invention de l’imprimerie; VII I. 698. b.
Ouvrages à confulter pour acquérir la connoiflance des meilleures
éditions des livres en tout genre. 609. a. Editions an-
gloifes. 629. a. Diverfes belles éditions par lefquelles plufieurs
imprimeurs fe font diftingués. 623. a. b. — 629. a. Libraires
auxquels on doit de belles éditions grecques 8c latines. IX.
468- u. Conrrefaéfion d’une édition. IV . 133. b.
Edition des Latins, fpeâacles que le peuple avoit impofés
à certains magiftrats, qu’ils donnpient à leurs frais. Honneurs
réfervés à ces magiftrats le jour de ces jeux. V . 396. b.
EDM O N D I. (Hift. (TAnglet. ) roi d’Angleterre. Hiftoire
abrégée de fon régné. Suppl. II. 768. b.
Edmond II. furnommé côte de fier. ( Hifi. dé Angle t. ) Précis
de fon régné. Suppl. II. 769. b. Foyeç Suppl. II. 218. b.
E D N A N D , ( Géogr. ) bourg d’Ecoue où naquit le célébré
, poète Jacques Thompfon. Obfervation fur ce poète. Anecdote
de fa vie digne d’être connue. Suppl. II. 769. b.
ED O U A R D l’ancien. ( Hifi. (TAnglet. ) T itre de pere de la
patrie qui lui fut donné. Suppl. II. 770. a.
Edouard le martyr. Pourquoi il reçut ce nom. Suppl. II. 770. a.
Edouard le confejfeur ou le débonnaire. Son caraélere. R évolution
arrivée fous fon régné. Sa mort. Suppl. II. 770. a,
Edouard I. depuis la conquête. Principaux évenemens de
fon régné. Suppl. II. 770. a. Voyeç X V I I . 622. b.
Edouard II. fils 8c fucceffeur du précédent. Hiftoire abrégée
de fon régné. Suppl. II. 7 7 1 . b.
Edouard III. Tableau de fon régné. Suppl. IJ. 7 7 1 . a.
Edouard!, dit Cancien , roi d’Angleterre. Raifons qui l’enga-
gerentàfedonnerpourfucceffeurfonfilsbâtard. Suppl.I. i6s).a.
Edouard III. ou V I . roi d’Angleterre. XVII . 624. a. b. Jubilé
qu’il fit célébrer. IX. 2. a. Traité qu’il conclut avec le roi de
France. Suppl. II. 52. b. Comment il récompenfa la valeur
d’Euftache de Ribaumont. 113.Æ.
Edouard IV . fils de Richard , duc d’Y 'o rck , ufurpa la couronne
qui appartenoit à Henri V I . de la maifon de Lancaftre.
Précis de fon régné. Suppl. II. 7 7 1 . b. Voye{ X V I I . 624. b.
Edouard V . fils d’Edouard IV , n’occupa le trône que deux
mois. Suppl. II. 772. a.
Edouard V I . fils d’Henri V I. & de Jeanne de Seymour.
Principaux événemens de fon régné. Il n’exerça jamais par lui-
même l’autoritéfouveraine, étant m onté fur le trône à la g e
de dix ans, & mort f ix ans après. Suppl. II. 772. a.
.Edouard, furnommé le prince noir, fils d’Edouard I IL roi
d’Angleterre. X V IL 636. a.