7i 6 f e v
Article t. Des lhatïeres dont on compofe les feüxj
Article 2. D u falpêtre. Ibid. 640. b.
Article 3. D u foufre.
Article 4. D u charbon. Ibid. 641. * . .
Article <. D e la poudre. Réfultats des eflais de I auteur
pour déterminer les différens degrés de la force de la poudre
félon les différentes proportions du charbon, du foufre & du
falpêtre. Ibid. 641. b. Table des eflais qui ont indiqué la meilleure
proportion pour compofer la poudre. Ibid. 64a. b-.
Article 6. D u fer. Ibid. 643.
Article 7. D u carton. Ibid. 643. b.
Article 8. D e l’étoupille.
Article 9. D e l’amorce.
Article 10. O utils les plus néceffaires. Ibid.644. a, b. Ditteren*
tes efpeces de feu d’artifice.
Article 1/. D e la mânierfi de communiquer le feu d’un artifice
mobile à un artifice fixe. Ibid. 645. a ,b .
Article 12. D ’une pâte dont les Chinois fe fervent pour
repréfenter en feu des figures d’animaux & des devifes. Ils
s’en fervent encore pour repréfenter des raifins. Ibid. 646. a.
Feux d‘artifice.1. 740. a , b.— 744. b. Balles à feu. II. 40. b.
Chevelure de feu. III. 316. b. Coffres à feu. 603. a, Fontaines
de feu. V II . 104. b. Feu chinois roug e, chinois b lanc, ancien ,
commun & nouveau. 388. a. Feu guilloché.668. b. Jet de feu.
,VHI. 327. <z, L Pluies de feu. X II. 797. a , b. Spectacles de
feux d’artifice. V I . 60a. a , b. V o y e z les planches de l’artificier
à la fin du I. volume. .
Feu grégeois, ( Hijl. du moyen âge.) matières dont il étoit
compofé. Tems pendant lequel les Grecs s’en font fervis;
Inventeur du feu grégeois ; première oceafion dans laquelle
il fut employé. V I. 646. a. Sentiment de Scaliger fur la date
de cette découverte. Les fucceffeurs de Conftantin Pogonat
eurent le bonheur d’en garder le fecret jufques vers le milieu
du dixième fiecle. Le feu grégeois mis au rang des fecrets
de l’état par Conftantin Porphyrogenete. Les Turcs l’ayant
d é cou v er t, en firent un terrible ufage au fiege de Damiette
en 1249. Examen de l’opinion où l’on étoit que ce feu brû-
lo if dans l’e au | & qu’il étoit inextinguible. L’invention de la
poudre a fait oublier celle du feu grégeois que nous ne
devons pas regretter : repofons-nous en fur les hommes polic
é s , ils ne manqueront jamais des arts les plus propres à
fe détruire, 8c à joncher la terre de morts & de mourans.
Ibid. b.
Feu. ( Théologie ) C e qu’on doit penfer de la réalité du
feu de l’enfer : v o y e z Enfer. O n croit que ce monde fera
détruit par le feu. Dieu s’ eft manifefté plufieurs fois fous
l ’apparence du feu. La charité eft appelle© un feu divin. Feu
facré des Perfans, des Hébreux, des Grecs & des Romains.
.Vulcain honoré comme l’inventeur du feu. Boerhaave a cru
qu’il étoit le Tubal-Caïn d es Hébreux. VI. 647. a.
Feu purgatif. XII. 251 .a . _
F eu. (Mythol. Lin. ) Fable .de Prométhée. Comment les
hommes peuvent avoir eu la première connoiffance du feu.
Sens hiftorique de la fable de Prométhée. Pourquoi Vulcain,
premier roi d’E g yp te , fut regardé comme le dieu du feu.
Ufâge que les Romains faifoient de fon temple à Rome.
Les Romains préfentoient aux nouvelles mariées du feu &
de l’eau. V I. 647. a. Citation de quelques vers de Stace &
de Valérius F kccus fur ce fujet. îbid. b.
Feu S. Antoine, ( Médec. ) deux .maladiesbien différentes
connues fous ce nom.. Symptômes de la première qui fit de
grands ravages en France dans les 1 i c. 8ç 12e. fieeles. Précautions
qu’on prenoit contre les malades qui en étoient
atteints. C e fut pour ces malades qu’Urbain I I fonda l’ordre
religieux de S. Antoine de Viennois. Seconde maladie connue
fous le nom de feu S. Antoine. Sa caufe. V I . 647. b.
Feu S. Antoine. Pratiques religieufes obfervées autrefois
pour guérir de cette maladie. Suppl. IV . 6 9 3 .« , b.
Feu perfique, ( Médec. ) efpece particulière d’éréfipele.
Pline l’appelle zofier : elle étoit moins rare qu’aujourd’hui :
fon traitement eft le même que celui de l’éréfipele. V l . 647, L
Symptômes de cette maladie. Quels font les cas où elle eft le
plus clangereufe, Platerus en a traité fous le nom de macula
lata. Inutilité des remedes fi la nature n’eft pas vigoureufe.
Ibid. 648. a. , .......« j :
Feu, ( Littérat.) fynonyme S amour. Feu dans la conver-
fation, dans les écrits. Feu divin dont les poëtps font animés.
On n’a point de génie fans fe u , mais on a du feu fans génie.
.VI. 648. a.
Feu, terre d e , ( GéogrS) VII . 339. b. X V I . 181. a. Suppl.
III. 191. a. Glaces flottantes auprès de cette île. V II . 688. b.
FEVE. ( Botan. )Cara£tere de ce genre de plante. V I. 648. a.
Feve. ( Jardin. ) Boerhaave en compte fix efpeces , &
Tournefort huit. On fe borne ici à la defcription de la
principale. Ses noms en différentes langues. V I . 648. a.
Defcription de ce fruit légumineux. Parties organiques &
fimikires de la feve. L’expanfion de la feve dans fa croif-
iânce eft;fi confidérable , qu’elle peut élever un corps chargé
de cent livres de poids. Ibid. b..
F E U
Fe ve de jardin. ( Botaniq. ) Divers noms qu’elle reçoit des
botaniftes. Defcription de la racine, de la t ig e , des feuilles#
de la fleur , .de la graine- & de l’écorce de cette feve. Le»
feves vertes 8c mûres font des légumes dont on mange
fouvent. Les botaniftes divifés fur la queftion r favoir fi notre
feve eft celle des anciens. Auteurs qui ont traité cette queftion.
V I . 648. b. Obfervations de l’auteur fur .cette queftion. Principes
contenus dans la feve verte. Développement de ces
principes par le defféchement de la feve long-tems confervée.-
On trouve une grande quantité de fels urineux volatils dans
les feves mûres , & elles ne donnent prefqu’aucun fel acide
dans la diftillation. Ibid. 649. a.
Feve de jardin. ( Mat. médic. 6* Diete.) Ufage qu’on en fait
eh cuifine ; celui qii’en font les matelots; Elles conviennent
Élus aux gens de la campagne qu’à ceux qui fönt délicats*
Tages qu’en ont faits les anciens & les premiers hommes*
celui qu’on faifoit de la farine de feves. O n s’en fert peu en
médecine. Ufage de leur farine qui eft une des quatre réfo-
lutiVes. Eau diftillée des fleurs de fe v e : fon ufage. On ne
fait plus ufage aujourd’hui de l’eau diftillée de gouttes de
fe v e s , ni du fel fixe qu’on tiroit des cendres de toute la
plante. V I . 649. b.
Feve. D e la farine qn’on en tire. Suppl. III. 7. a.
Feve de Bengale. ( Mat. médic. ) Q u el eft celui q*ui a fait
connoitre ce remede étranger; D ivers fentimens fur ce fruit.
Dans quelles maladies 8c comment on doit l’employer. V I .
649. M
Feve des Indes orientales appellée couhage. IV . 323. ai
Différentes efpeces de feves de l’île de Maaagafcar. X V IL •
409. a.
Feve ÆEgypte. (.Bot. exot. ) Différens noms fous lefquel®
divers auteurs l’ont défignée. Quelle eft cette fleu r, félon-
nos meilleurs botaniftes ; idée qu’Hérodote en a eue. Elle'
fut préfentée a Hadrien comme une merveille. Plutarque
l’appelle crépufcule. Son fru;t ; comment il eft repréfenté
dans les antiques. Defcription de la plante. V I . 649. b.
Feve d’Egypte appellée abrus. I.- 39. b.
Feve de S. Ignace. (Botan. Mat. médic.') Nom latin de cetté
feve. V I. 649. b. Sa defcription. Quand & par qui elle nous-
eft parvenue. Nom de la plante qui la produit. Defcription
de cette pknte qui vient des îles Philippines, & de toutes-
les parties & produirions de la plante. Maniéré d’adminiftrer
cette fe ve en remede. Propriété de fon huile. Ufage de la
teinture qu’on fait de cette noix par le moyen de l’efprit
de vin. Maladies dans lefquelles on vante la vertu- de fes-
noyaux , 8c leurs diverfes préparations. Détails fur cette-
noix dans une lettre du P. Camclli, jéfuite. Ibid. 650. <z.
Confidérations qui devroient la faire bannir de la médecine.
Ibid, b.-
Feve. ( Hiß. nat. ) Obfervations microfcôpiques fur la
fubftanee farineufe des feves. V I I . 834. a. Obfervations fur
les parties d’une fe ve qui font comprendre le développement
des plantes dans la graine. 835. a.
Feve. (H iß . anc. ) La fe ve refpeôée par quelques peuples,
regardée comme impure par d’autres. Ufage religieux qu’etl
faifoient les Romains. Origine de k coutume de jetter des
feves fur les tombeaux-. Naiffance de k nécromantie. On
évoquoit les mauvais efprits en leur offrant des feVes. Ont
en diftribue dans les pays catholiques le jour de la commémoration
des morts. Divers 'fentimens fur la raifon- de la
défenfe que Pythagore faifoit à fes difciples de manger des
feves. Plufieurs peuples de la Grece fe fervoient de feves
pour l’éleétion de leurs magiftrats. V I . 630. b. Ve rs d’Horace
fur la défenfe de Pythagore. Auteurs qui ont développé 1»
fyftême de ce philofophe. Ibid. 631 . a.
Feve. Ufage qu’on en faifoit pour éloigner les lémures.
IX. 384. a , b. Ufage qu’en faifoient les Athéniens en tirant
au fort pour les magistratures. XII. 63 5. a. R o i de la feve.
X IV , 3z k . a, / , i -
Feve. ( H iß. nat. ) Pierre de feve. IX . 286. a. Mine d®
feves-. Ibid.
Feve, (Maneg. Manch. )maladie de la bouche, aufli conhue
fous le nom de lampas. Gaufe prochaine, fymptômes de
cette maladie. Comment on y remédie par le moyen du
cautère a&uel. Autres moyens qui peuvent difpenfer de
l’ufage du cautere. V I . 631. a.
Feve , germe de, ( Maneg. Manch.) Définition. V I. 6 5 1. b,
Voyc^ Faux-marqué.
Feve. (Pèche) Manière dont les Anglois préparent les
feves pour fervir d’appâts aux poiffons. Comment on emploie
cette amorce. V I . 65 1. b.
y. ) petire v ille d’Angleterre. C e
dans l’hiftoire eccléfiauique d’An-
FE V ER SH AM , ( Géoè
qui la rend remarquable
gleterre. V I 651. b. .. .
FEV IER , ( Bot. Ja/d. ) noms latins & anglois de cette
plante. Son caraélere générique. SuppL III. 31- ^ Enumération
de trois efpeces,- leur defcription, culture & ufage.
Lieux d’où elles font .,originaires. Ibid. 32. a.
FEU1L L A N S , (H iß. «*/.,), origine de ce nom donné a
um
F E U
un o rdre de religieux. Particularités hiftoriques fur cet ordre.
Maifons de feuillans établies en France. Religieufes appellées
feuillantines. V I . 65 1. b.
F e u il lan s , (Géogr. & Hijl. eccl.) village & abbaye en
Languedoc aux frontières du comté de Cominges, chef-lieu
de la congrégation des feuillans. Inftitution de cette congrégation.
Maifons qui en dépendent. Suppl. III. 3 a. b.
FEUILLE , (Botaniq.) diftinélion des feuilles dés plantes
appellées fo lia , 8c des feuilles des fleurs, petala. On con-
fidere les feuilles des plantes par rapport à leur ftruéture
à leur fuperficie, à leur figure, à leur confiftance, à leurs
découpures, à leur fituation 8c à leur grandeur. Par rapport
à leur ftruéture, elles font fimples ou compofées. Par rapport
à la fuperficie, elles font plates , creufes , en b o fle ,
& c . Par -rapport à k confiftance, elles font ou minces &
déliées, ou épaiffes, ou charnues, ou drapées. Par rapport
aux découpures, elles font ou découpées légèrement, ou
découpées profondément. V I . 632. a. Les feuilles compofées
font fou tenues par une queue, ou rangées fur un côté fimple,
ou fur une côte branchue. Par rapport à la fituation, elles
font ou alternes, ou oppofées deux à d eux, ou oppofées en
plus grand nombre. Par rapport à la grandeur, elles font
ou très-grandes , ou médiocres, ou petites, ou très-menues.
M. Linnæus fait trois claffes des feuilles ; fa v o ir , celle des
feuilles fimples, celle des feuilles compofées, & celle des
feuilles déterminées. Ibid. b.
Obfervations fur la diftribution , les ufages , t utilité, la
multiplication, la direction , le retournement des feuilles, leur
infpcélion au microfcope , l ’art de les difféquer & d'en prendre
l'empreinte. Les botaniftes ont tâché de ramener toutes les
diftributions différentes des feuilles à des claffes fixes. M.
Bonnet a établi cinq ordres principaux de cette diftribution.
Premier ordre que ce naturalifte appelle alterne, & qui eft
le plus fimple. Second ordre, à paires croilées. Troifieme ordre,
a feuilles yerticillees. Quatrième ordre, feuilles en quinconce.
Cinquième o rdre, à fpirales redoublées. Ibid. 633. a. On ne
peut que fe livrer aux fentimens d’admiration pour les loix
éternelles qui dans ces divers ordres de diftribution de feuilles,
ont fi merveilleufeaient approprié les moyens à la fin ;
régularité avec laquelle les 'feuilles font pliées avant que de
fortir du bouton j prévoyance de la nature pour les mettre.
à l ’abri de tout accident ; divers foins qu’elle a pris de la
confervation des feuilles. D e l’ufage des feuilles. Celui
d’élever le fluide nourricier eft un des principaux & des
mieux conftatés. Différences qui fe trouvent ordinairement
entre 1a furface fupérieure & la furfece inférieure des feuilles.
Dcftination de la furface inférieure 8c de la pointe des
feuilles., Etroite communication entre toutes les parties de
la feuille, par laquelle les vaiffeaux fe communiquent réciproquement
les files qu’ils reçoivent des pores abforbans
les plus voifins. Ibid. b. Les plantes tirent l’humidité par leurs
feuilles; il y a une étroite communication entre ces feuilles,
& cette communication s’étend à tout le corps de la pknte.
Les feuilles font aux branches ce que le chevelu eft aux
racines, Dans les feuilles des herbes les deux furfaces ont
une difpofition à-peu-près égale à pomper l’humidité. Les
feuilles çaroiffent encore deftinées à introduire dans la
plante beaucoup d’air frais & élaftique. La furface fupérieure
paroît le principal agent de l’afcenfion de la fe ve & de fa
rranfpiration hors de la plante, elle paroît fervir de défenfe
ou d’abri à 1a furface inférieure, & fournir un filtre plus
fin qui ne laiffe paffer que les matières les plus fubtîles.
Moyen rrès-fimple d’augmentèr ou de diminuer la force d’une
branche dans un arbre fruitier. Q u el eft le tems d’éfeùiller.
Si on dépouille, une plante de fes feuilles à mefure qu’elles
paroiffent, elle périra. Ibid. 634. a. Obfervations de pratique
fur l’ufage de laiffer paître les bleds quand ils font trop forts,
fur le danger de laiffer paître de trop près la luzerne , le
fain-foin, le rreffle. But de la nature en donnant à certaines
plantes des feuilles printanières 8c des feuilles d’automne.
Il eft des feuilles deftinées fur-tout à préparer le fuc nourricier
, & à fournir de leur fubftanee, une nourriture à la
tige qu’elles renferment. Importance de retrancher les feuilles
mal-faines. D e la multiplication des plantes par leurs feuilles.
D e la direétion & du retournement des feuilles pour prendre
leur direélion naturelle. Obférvation fur celles qui ont fubi
plufieurs inverfions. L e foleil les détermine à fe tourner de
fon coté , & à rendre leur furface fupérieure concave ; la
rofée produit le contraire. Autres Obfervations fur le retournement
des feuilles. Ibid. b. D e l’infpeélion des feuilles au
microfcope. Ouvrage à lire fur ce fujet. Obfervations mi-
crofeopiques faites lur 1a feuille de 10f e , de fauge, celle de
la mercurielle, celle de rue, & autres. Diffeélion des feuilles:
auteurs qui s’en font occupés. Moyen que B o y le a indiqué
pour prendre l’empreinte grofliere de la figure des feuilles
de toute forte de plantes. Ibid. 633. a.
Feuilles. Leur utilité. 1. 187. b. 383. b. Suppl. II. 43. b. 46. a.
Feuilles alternes. I. 304. b. Folioles des feuilles compofées.
VII . 44. b. Obfervations fur la mutation des feuille# de quel-
Tome A
f e y 717
ques plantes. XI. 286. a. Ufage des feuilles pour l’élabora-
non & la circulation de la feve. XII. 714. Formation des
feuilles. X V I 936. b. Leurs ufages. 937. 96o. b. Caufe de
3 Ch™ dreS f eU1,UeÀ 962- ÿ Partie des feuilles appellée un-
^ ^ b ^ ^ CS ma^ad‘ eS des peuiUes. Suppl. IIL 833. b.
F euilles. (Econ. ruftiq.) O n tire d’affez grands avantages
de certaines feuilles. U fages des feuilles d’ormes , de vignes ,
d ^ û r ie r . V I . 633. a. Fumier qu’on tire des feuilles feches*.
F euille , ( Blafon ) meuble de l’écu. Suppl. III. 3 2. b. Voyez
vol. II des planch. B lafon, pl. 8.
F euille ambulante, (Hijl. des infefl. ) infeéle aîlé des Indes,
singularités qu on en raconte, & fur lefquelles U eft très-permis
de relier encore dans le doute. V I . 63 3. b.
F euille indienne , ( Botan. anc.) voyer TAMALAPATRA.
H Ü f é a l e s . (Botan.) Tems où elles paroiffent ;
leur différence d a v e c les autres feuilles. Leur defféchement.
V I . 635. b.
H B S * f y ,kc- ( I M * Ckimrg. ) Defcription gén&
raie 6c ufage de cet inftrument. Feuille de myrrhe, dont le
manche eft terminé par une pincette. Maniéré de fabriquer
cet inftrument. Defcription de fes parties. V I. 63 3. b
F euilles d’o r , ( Batt.d’or) II. 136 .a , b. &c.
Feuille pétrifiée. (H ijl. nat.) On trouve fouvent dans les
carrières de tu f ou de pierres fofliles ou d’ardoifes, des pierres
qui font vo ir des empreintes de différentes efpeces de
feuilles d arbres , 8c d’autres plantes ou marines pu terref-
c-eS ’ C?i?vent trds-bien confervées & rrès-reconnoiffables.
Suppl. IIL 32. b. Différentes origines de ces empreintes. Différentes
fortes de plantes qu’on trouve imprimées ou incruftées
dans le tu f ou 1 ardoife. Enumération de ces plantes. O uvrages
à confulter. Ibid. 33. a , b.
F euille de fauge, ( Maneg. Maréch.) inftrument de maré-
challerie. Sa defcription. V I. 636. a.
F euille de f d e , ( Blafon ) VI. 636. a.
F euille, ( Comm.) duplicata des regiftres que portent a vec
eux les cochers, charretiers 8c voituriers, qui leur tient lieu
de lettres de voiture. C e qu’elles doivent contenu-. V I . 636.
a. C e qu’on, entend par décharger la feuille. Ibid. b.
F euilles , ( Arc Ait.) ornement de fculpture. Elles font
connues fous le nom de refend, 8c différentes des feuilles d ’eau.
V l . 636. b.
FEUILLE à dos, (Brodeur au métier) V I . 636. b.
F euil le, ( Eventaillijle) V I . 636. b.
F euille de fer-blanc, (Ferblantier) V I . 636. b.
FEUILLE de refend, (Jardinas.) V I . 636. b.
FEUILLE, (Marquetterie) V I , 636. b.
Feuille 4 mettre fous les pierres, (Metteur en oeuvre) VL 6 56 . b.
F e u il le , (Miroitier) V I . 636 .b.
F eu il le , (Orfevre) V I . 636. é.
F euille de papier, ( Papetier) V I . 656. b.
F euille d ’eau, (Serrur. ) procédés de l’ouvrier pour la faire.
V I . 636. *. v
Feuille de palmier. V I . 637. a.
Feuille. de laurier. V I. 637. a.
Feuille de revers. V I . 637. a.
F EU IL LÉ E , ( le Pere ) fes ouvrages. X . 138. a.
FEU ILLERET , ( Menuif. ) outil de charpentier & de me-
nuifier. Son ufage. Feuilleret à petit bois. Defcription du feuil*
leret. V I . 6 37. a.
F E U IL L E T , ( Comm. ) moitié d’une feuille pliée en deux.
Difpofition des artic. 3 & 4. du tit. iij. de l’ordonnance de
7673 , par rapport aux livres desnégocians & agens de change
& de banque. V I . 637. a.
F euillet , terme de cardeur , terme de cardier. V I .
637- a.
F e u il le t , (Baume de Mademoifelle) IL 16 e. b.
FEUILLETÉES , pierres, ( Hijl. nat. ) III. 190. b. X IV .
767. b.
F E U IL L E T T E , ( Comm. ) elle eft de la contenance d’un
demi-muid de Paris. C e terme en ufage en Bourgogne. Autre
mefure appellée de ce même nom dans certaines provinces.
Etym. de ce mot. V I. 637. h.
FEU ILLE TER la pâte , (P â tijf .) comment fe fait cette
opération du pâtilfier. Suppl. III. 34. b.
FEU IL LE T I , (Jouaill. ) opération qu’on appelle ferrer le
fcuilleti. V I. 637. b.
FEUQUIER.ES , (Antoinedu fia s , marquis de) obfervations
fur ce général 8c fur fes mémoires. II. 132. a , b. C e t
auteur cité dans plufieurs articles fur l ’art militaire.
FEVRE d'Ormeffon, ( Olivier le ) Suppl. IV . 186. a.
FEVRE d’Etaples, (Jacquesle) Suppl. IV . 363. b.
FE V R E S , ( Fontain. Calantes) maréchaux chargés de l’entretien
des chaudières. Comment ils font entretenus. Fevres
des falines de Moyenvie. V I . 637. b.
F E V R E T , (Charles) fes ouvrages. X IV . 949. b.
FÉVRIER. (Hifl.rom. ) Comment on écrivoit autrefois le
nom de ce mois. Etymologie de ce mot ; trois conjectures fut
T T T T t t t t