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B O URM O N T ., ( Géogr. ) dans le Souloffois. Suppl. IV .
815. b.
BOURR E , poil de plufieurs animaux, &c. Son ufage.
Commerce de bourre à Paris. II. 371. b.
Bourre, (rougede) en teinture. Comment on le fait. II.
371 . b.
Bourre, ou poil de chèvre pour la teinture. X V I . 10. b.
D e la teinture de bourre, a6. *. 31. L
BO URREAU. En Allemagne, on n’a point pour lui la
même averfion qu’en F rance. L’exécuteur eft le dernier des
hommes aux y eu x du peuple; aux y eu x du philofophe, c’eft
le tyran. II. 37a. Voye^ EXÉCUTEUR.
Bourreau. V I . 229. a , b. XI. 4 1 1 . b. En G éo rgie, ce font les
gens de qualité qui exercent cet emploi. V II. 640. b. Droit de
havage que le bourreau poffede ou a poffédé en certains
lieux. VII I. 63. b.
BO U R R É E , danfede ce nom. Defcription de cette danfe.
Pas de bourrée. Pas de bourrée avec fleuret deflus 6c deffous.
Pas de bourrée ouvert. II. 372. a. Pas de bourrée emboîté.
Ibid. b.
Bourrée, ( Mufiq.) forte d’air propre à une danfe du
même nom. Son cara&ere. Suppl. II. 41 . b.
B O U R R E L E T , ( Botan. ) celui qui fe forme en certains
cas fur l’écorce d’un arbre. I. 587. b. XII. 724. b. 723. a.
BO URR ELIER, emporte-piece des bourreliers. V* 593. a.
F il ciré. V I. 789. b. V o y e z les planches de cette profeffion,
vol. II.
B O U R R U , bigarre ,fantafque , capricieux , quinteux , (Syn.)
II. 268. 4 .X I I I . 722.a.
BO U R S D E M A RSEIL LE, ( Comm.) forte d’étoffe moirée.
Lieu x où on la fabrique. Ses différentes largeurs. Suppl. II.
41 . b. Les bours du levant défendus en France. Leur qualité.
Bours de Magnélie. Prix 8c mefure de la piece. Ibid. 42. a.
B O U R S A U L T , ( Edme ) obfervations fur ce noëte 8c fur
fes ouvrages. X. 909. a.
B O U R S E , ( Comm. ) définition. II. 172. a. Bruges eft la première
v ille où l’on fe foit fervi du mot de bourfe dans le
le ns dont il s’agit ici. D iv e rs noms que ces endroits appellés
bourfes prennent en différens lieux. Danger qu’il y a d’en être
abfent. Bourfes les plus célébrés de l’Europe. Dans le tems
des anciens Romains, il y avoit des lieux femblables, foit à
Rome, foit dans les villes les plus confidérables de l’empire.
Paffage fur lequel on a cru qu’il y avoit eu à Rome une
efpece de bourfe. Bourfe des marchands de T o uloufe: tems
de l’éreéfion 8c police de cette bourfe. Bourfe de Rouen.
Ibid. 273. *. Celle de Montpellier. Celle de Paris. Celle
d’Amfterdam : bourfe aux grains dans cette même ville. Celle
de Rotterdam. Ibid. b.
Bourfe, voye^ Change & Place. Hiftoire 8c defcription
de la bourfe royale à Londres. IX. 683. b. X IV . 417. a. Suppl.
II. 318. a ,b .
Bourfe,autres lignifications de ce mot dans le commerce.
Il fe prend quelquefois pour les fonds du négociant. C e
qu’on entend par bourfe commune. II. 373. b. Il fe dit de l’argent
ou bien de quelqu’un. Ibid. 374. a.
Bourse, ( Jurifp. ) bourfe coutumière. IV . 419. b. F ie f de
bourfe : fie f de bourfe coutumière. V I . 700. a.
Bourfe , maniéré de compter fort utile dans le Levant.
C ’eft une fomme de cent vingt livres fferlings. C e qui a
donné lieu à cette expreiîion. D ’où vient cette maniéré de
compter des Tu rcs. La bourfe d’or eft de trois mille écus. II.
374 .* .
Bourses , ( Anat. ) voyez Scrotum.
B O U R S E T T E S , ( Orgue) petites parties du fommier dont
la defcription 8c la maniéré de les faire fe trouvent ici don-
néespar figures. H. 374.*.
B O U R S IE R , ouvrier 8c marchand tout à la fois : fes ouvrages
8c marchandifes. Police 8c réglemens concernant ce
corps à Paris. II. 374. b.
Bourfier. A rrê t qui a réglé les limites entre les bourfiers 8c
les peauffièrs de Paris. X II. 221. b. Les planches du bourfier
fe trouvent dans le vo l. II.
BO U S E , ou fiente de vache ( Éconorn. rufiiq.) fes ufagès.
Suppl. II. 42. a.
B O U S IE R , ( Ichthy.) nom donné aux infe&es qui vivent
dans les boufes de vache. Quatre genres d’infeéles de ce
nom ; fa v o ir , le fporas des G re c s , l’hontos d’Ariftote, le
koprion d’Hippocrate, 8c le tambeira, du Brefil 8c du Sénégal.
Carafteres qui les diftinguent. Suppl. II. 42 .*.
Bousiers, elpece d’infeéles repréfentés vo l. IV des planch.
Régné animal, pl. 75.
BO U S SE A U , ( Jacques ) fculpteur. X IV . 829. b.
BO USSER OLE, (Botan. ) détails fur cette plante. VIII.
4^9- b-
B O U S SO L E , inftrument de marine, qu’on appelle auffi
compas de mer. II. 374. b. A qui l’invention en eft attribuée.
Navigation des anciens, privés de cet inftrument. Pourquoi
le Nord eft défigné par une fleur de lys. Les Anglois s’attribuent
la gloire d’avoir perfectionné la bouffole. Étymologie
B O U
1 des mots compas 8c boujfole. Si l’on doit en attribuer l’honneur
aux Chinois. Plufieurs perfonnes ont eu vraifemblable-
ment part à cette invention. Comment il eft probable qu’on
eft parvenu infenfiblemcnt à l’ufage de la bouflo lc, 8c à lui
donner la perfeétion qu’elle a aujourd’hui. Ibid. 37c. a. D e f cription
de cet inftrument par figure. Ibid. b. Lieu du vaif-
feau où l’on place la bohffole. Comment le timonier doit fe
diriger par l’infpeétion de la bouffole. Defcription de celle
qui eft dans la chambre des capitaines 8c officiers du vaille,
m. Il y a toujours par précaution deux boufloles fous les
y eu x du timonier. Maniéré de fe fervir de cet inftrument
pour diriger la route du navire. A utres ufages de la bouffole.
Correétions auxquelles les variations de l'aimant obligent les
timoniers. Ibid. 376. a. Nouvelle méthode de conftruire 8c
cl aimanter les aiguilles, préférable à toute autre. Précautions
à prendre contre les effets de la rouille à laquelle une bouffole
eft expofée fur mer. Maniéré de centrer la bouffole , félon
la nouvelle conftruétion. Ibid. b. D e quelle matière le p ivo t*
n*8t la chape doivent être faits. Exemple de la grande liberté” '
des mouvemens d’une telle bouffole. Ufage de la bouffole
pour les équerres d’arpenteurs. Ibid. 377. *. Comment doiven
t être conftruites les bouffoles dont on fe fert pour trouv
e r la déclinaifon d’un mur. Maniéré de s’en fervir. Ufage
de la bouffole dans la gnomonique, 8c pour orienter des
édifices. Dans la géométrie pratique pour lever des angles
fur le terrein, faire un plan, déterminer le cours d’une riv
iè r e , orienter le plan. Ibid. b. Il faut remarquer que toutes
les pratiques où l’on opéré par la bouffole ne peuvent donner
qu’une méridienne approchée. Pour plus de précifion
l’on a recours aux moyens aftronomiques. Il eft plus avantageux
de fe fervir pour toutes ces opérations, fur-tout p our
celles qui fe font dans l’intérieur de la terre , de grandes
boufloles. Maniéré de s’en fervir pour déterminer dans une
mine de charbon la direéfion d’un lieu à un autre , afin de
creufer un puits par dehors juftement à l’extrémité d’une galerie.
Infuffifance des petites boufloles dans ces opérations.
Moy en de reconnoître la préfence d’un corps magnétique
dans un fouterrein, 8c de remédier à cet inconvénient. Ibid.
378. b. Compas de variation, efpece de bouffole dont on f e
fert fur mer pour reconnoître, la déclinaifon de l’aiguille. Ibid.
379• a-
Boujfole , de l’invention de la bouffole ; premiers ufages
qu’on fit de cette découverte. V I I I . 848. b. Sa divifiou
en trente - deux parties. Suppl. I. 236. a , b. Balancier de
la bouffole. 761 . a. Efpece de bouffole appellée comors
azimuthal. III. 737^ a , b. Bouffole du mineur. VU . 639.
a. V o l. IV . des planch. Régné minéral, Métallurgie. D e la bouffole
des pilotes chinois. X V I . 807. a. Sur la bouffole, voyez
Compas , A iguille aimantée.
Boussole , (Ajlronom. ) conftellation méridionale. A fcen-
fion droite 8c déclinaifon de fa principale étoile. Suppl I I 42 J>
B O U S SO U K , (Ichthy. ) poilfon d’un nouveau g en re, de*
la famille des remores. Sa defcription. Lieux qu’il fréquente.
Ses qualités 8c ufages. DeüXieme efpece, moron. Caraéleres
qui le diftinguent du bouffouk. Ses ufages. Suppl. II 42 b
BO U S T R O PH E D O N , ( Hifi. anc. ) maniéré d’écrire qui
étoit particulière aux G r e c s , fùr-tout dans les inferipticus.
Étymologie de ce mot. Recueil d’inferiptions de ce genre '
fourni par M. l’abbé Fourmor.t, en 1720. II. 370. a.
B O U T , extrémité, fin ,(Sy n on .) différence entre ces mots.
II. ‘379. a. Voyeç F in .
B O U T -D E -P E T U N , ( Ornith.) defcription de cet o ifeau,
vol.- V L des pL Régné animal, pl. 41.
BO U T -R IM É , maniéré de rimes inventées par Dulot en
1649. II. 379. «. Poème de Sarrafin, intitulé : la défaite des
bouts-rimés. Les lanterniftes de Touloufe les ont relevés de
nos jours. II. 379. b.
B O U T A R D , (François) prieur de Château-Renard, 8c
abbé de Bois -‘Groland. Obfervations fur fes poéfies. X V I .
720. a.
B O U T A R G U E , mets en ufage en P ro venc e ‘8c en Italie.
Comment on le fait. II. 380., a.
B O U T E , (Économ.) peau de boeuf préparée 8c çoufue
pour tranfporter le v in oc d’autres liqueurs, au travers des
montagnes, 8ç des lieux difficilement pratiquâmes. Avantages
de cette 'forte de vaiffeau. Leur préparation. Suppl. IL
B O U T E R O L L E , ( Blafon ) meuble d’armoirie. Étymologie
de ce mot. Suppl. IL 43. a.
B O U T E S , ( Marine ) futailles où l’on met de l’eau douce.
Par .qui elles font fournies dans les navires de guerre. IL
380. *.
BO UT EIL LES d’eau, ( Phyfiq. ) petites gouttes rondes,
pleines d’air, qui fe forment fur la furface d un fluide quelconque.
Elles font dilatables 8c compreffibles , rondes, faciles
à c r e v e r , &c. Bouteilles formées dans une liqueur mife fous
le récipient ; d’où l’onpompe l’air. Celles qui fe forment par
l ’aélion du feu fur un fluide. IL 380 .b.
Bouteilles ; de la verrerie en bouteilles. XVII I. 102. b. —
B O U
. r>v:,iiflon nar des bouteilles pleines d’eau. V IL b.
* C o û t e u x , (Pèche ) voye1 vol. VII I. des planch. Pêche,
Pl BO U T IL L IER , (Grand B . de France) en latin budcularius,I
aujourd’hui grand échanfon.11 étoit un des cmq grands officiers
de la couronne. Prérogatives de cette charge. IL 381. é.
Boutillier. L e grand-échanfon a fuccédé au boutilherde
France. Depuis 1483 il n’eft plus parlé de boutillier. V .2 30. *.
B O U T IQ U E S appellées chez les anciens “dpe/a.AU.493.
„ Boutiques appellées par H o rac e , taberna 8c pila. X V . 795.
b. 706. a. Différence entre boutique; attelier, magafin oc
chantier. I. 839. b. Petites boutiques dites,échopes. V . 263. b.
B O U T O I , ( Blafon) bout de grouin du fanglien Suppl.
B O U TO N . Boutons qui fervent h l’habillement. Diverfes
efneces de boutons quant à la matière. Boutons unis. Boutons
façonnés. Boutons poil 8c foie. Boutons d or. Boutons à
amande. IL 382. *. Boutons à la brochette. Comment on les
rravaille. Bouton à cul de dé. Bouton d’or uni. Bouton d, or fa çonné.
Ibid. b. Bouton à épi. Bouton à garde d epee. Bouton a
limace. Bouton poil 6. fait uni. O n . joint à chacun cte ces
articles quelques détails fur les opérations les plus difficiles
dans la fabrique de ces boutons Bornons a f terre Bornons
m argent j ’or & cuivre. Bouton plane. Details les plus effen-
tiels fur là maniéré de travailler cette forte de boutons. fW .
\Vover Moules. , , „ n
Bouton , ( Chymie & Métallurg. ) globule d argent qui refte
fin- la coupelle ou fourneau d’effai. Comment 8c d ou il le
forme. II. 384. Voye.1 Grain de fin.
Bouton. ( Botan. & Jardin. ) Les boutons renferment
l’ébauche d’une branche. Leur diverfité. Suppl. II. 43.*. Soin
avec lequel la nature les a vêtus. Particularités remarquables
des boutons de pins. Boutons des arbres fruitiers. Ibid. b.
Boutons à fleur. Leur épanouiffement. Ibid. 44. *.
Bouton. (Rot*«.) Boutons appellés fous-yeux. A Y. 422.
a. Etat des feuilles dans le bouton. V I . 633. b. Boütons aux
aiffelles 8c à l’extrémité de la tige. X V I . 937. a. Sucs gommeux
8c réfineux dont les écailles des boutons font enduites
Ibid b. Les boutons qui font à l’origine des feuilles, contribuent
à élever la feve. 960. b. Les boutons une fois faillans
ne peuvent produire que des branches 8c jamais des racines.
Suppl. IL 43. b. L eur utilité dans les boutures. Ibid.
BOUTON , inftrument de chirurgie pour l’opération de la
taille. IL 384. a. Defcription de cet inftrument. Son ufage,
Ibid. b.
B o u to n s , ( Médec.)voyeç Éruptions , Maladies cutanées
, Rubis.
BO U T O N N IE R , celui qui fait 8c vend des boutons. O b fervations
fur le corps des boutonniers. IL 383. *.
Boutonnier. Quelques opérations de l’art du boutonnier.
Bouillonner. IL 338. b. Graver. V IL 866. a. Guiper. 1010.
a. Jetter en foie. VIII. 329. * , b. D ivers inftrumens du
boutonnier. XI. 718. b. 719. *. Boiffeau, II. 310. b. Chevalet.
III. 310. a, Dévidoirappellé chignolle. 337.b . Émerillon. V .
364. é. Moulin du boutonnier en treffe. X. .813. a. Iloiiers.
X IV . 397. b. Support. X V . 677. *. Tas. 932. b. Tournette,
X V I . 484. b. Tracanoir. 302. a. Voye[ lesplanch, vo l. H.
Boutonnier en émail, verre & cryfiallin. Obfervations fur la
communauté de ces maîtres boutonniers.il. 383. b.
Boutonnier d’étain. Soudure qu’il emploie dans fes ouvrages,
x v . 393. b. u n .
B O U T O N N IE R E , (Chirurg. ) încifion q uon fait au pennée
, pour pénétrer dans la vefiie. Utilité de cette opération.
Dans quels cas elle a lieu. IL 383. b. Comment on la fait,
Injeéfions par lefquelles il faut enfuite aider la fortie des matières
graveleufes. Quand on eft parvenu à pouvoir fupprimer
la canule, 011 met dans l’uretre une fondé c reufe ou cannelée
, 6>c. La plaie ne tarde pas à fé réunir.
# L ’adminiftration des remedes n’eft pas moins foumife aux
indications dans les maladies chirurgicales , que dans les
maladies internes. L ’art d’opérer ne luffit donc point <1 un
chirurgien. Connoiffances qu’il doit y joindre pour juger
fainement de la maladie, 8c pour la traiter. Ibid. 386. b. Il
y a des circonftances particulières qui demandent qu’on étende
8c qu’on dirige différemment la feélion des parties dans l’opération
de la boutonnière. Opération d’une plaie fiftuleufe au
périnée , faite par M. Petit. Ibid. b.
Boutonnière : fupplément â cet article. X IV . 202. a.
Boutonnière , ( art du Tailleur ) maniéré de la faire,
Suppl. IL 44. b. . :
BOUTONNIERE, ( Art mcch. ) point de boutonnière dans la
couture. Suppl. III. 733. b. Maniéré de faire les boutonnières
d’un habit. Suppl. IV . 926. b.
B O U T U R E , (Jardin.) branche qu’ori coupe à certains
arbres moelleux, 8c qui reprend en terre. Différence entre
la bouture 8c la marcotte. II. 387. a.
Tome I,
B O Y 193
Bouture , ( Botan. jardin. ) avantage dé ia plante fui1 ^
ramifiai, en ce que fon exiftence a , pour ainfi dire , plus
d’ubiquité. Ses voies de génération font en plus grand nom-1
bre , 8c la vie triomphe plus de ce qu’elle combat 8c de ce
qu’elle donné. Caufe finale de cette difpofition. Suppl. IL 43.
a. Méchanifme par lequel les racines des boutures fe forment,
Ibid. b. D ’après la théorie qui vient d’être expofée , l’auteur
établit la pratique générale dés boutures. — On appelle bouture
, un morceau de bois jeune 8c v i f , convenablement
coupé 8c taillé , qu’on deftine à être planté pour lui faire
prendre racine. - Tems le plus propre à faire cette opération.
Ibid. 46.' a. Longueur qu’il convient de donner aux
boutures. Groffeur convenable. Proportion qu’on doit m ettre
entré la partie de bouture enterrée 8c la partie aérée. Des
boutons qu’il faut lui laiffer. Parties qu’il faut enduire de cire.
D e la. coupure inférieure de la bouture. Ibid. b. Choix des
branches pour les boutures les plus rares ou les plus opiniâtres.
Maniéré de les enlever de l’arbre. Comment on peut
les difpofer à pouffei1 des racines. Ibid. 47. a. Soins à prendre
pour certaines plantes délicates ou rebelles j 8c pour celles
qui aiment beaucoup l’humidité. Il convient de hâter les
progrès des boutures par une chaleur moite. Moyens de procurer
cette chaleur. Qualité de la terre , dans laquelle il faut
les planter. D e l’humidité qu’il convient de leur procurer
artificiellement. En quel cas il faut les couvrir de moufle ou
de mentie paille. Ibid, b. Expofition 8c abri qu’il faut leur,
donner. Soins que demandent celles q u i , par leur pofition V
feroient expofées de tomes parts au foleil. Comment on doit
préferver les boutures des taupes 8c des vers. Boutures
faites avec des bouts de racine, enterrés prefque rez-terre.
Maniéré de multiplier de boutures les faules 8c les peupliers,
Ibid. b.
Bouture. Maniéré de multiplier les arbres par boutures. 1.’
387. b. Cette maniéré indiquée par la nature. Suppl. I. 321. b,
Extrait du manuel de M. du Hamel , fur les opérations
néceffaires pour élever des boutures avec autant de sûreté
8c de facilité qu’il eftpoflïble. I. 388. a. D e l’arrofement des .
bouturés. Suppl. I. 377. b. 378. a.
B O U V A R T , (Michel-Philippe) phyfiologifte. Suppl. IV*
361 .b ,
B O U V IE R , (Aflron.) conftellation. IL 387.L
Bouvier, oifeau qui fuit les troupeaux de boeufs. Defcription
de cet oifeau. IL 387. b-.
Bouviers , ( Médec, ) efpece de vers qui fe traînent fous la
peau. X V I I . 44. b.
BO U V R EU IL ou pivoine, Defcription de cet oifeau. II.
387. b. Nourriture qu’il préféré. Chant de cet oifeau. Ibid.
388. a.
Bouvreuil d’Afrique, V o l. V I . des planch. régné animal,'
planch. 33.
B O U Z É S , prêtres idolâtres, méprifés à la Chine ; vénérés
au Japon. Leurs différentes feétes. Elles fe détellent mutuellement,
Elles ont un fupérieur général 8c des fupérieurs particuliers.
IL 388. a.
B O Y A R D S ou BojardS , grands-leigneürs de Mofcovie,'
C e qu’Oléarius en dit dans fon voyage de Mofcovie. A u jo u n
d’hui ils ont peu de part au gouvernement. II, 388. a.
B O Y A U , ( Manege & Maréch. ) cheval qui a beaucoup de
boyau. Cheval étroit de boyau ou cheval eftrae. O n le mé-
, prife pour le carrôffe ; mais on l’eftime pour la chaffe. O n
donne le v ert pour faire reprendre du boyau aux chevaux qui
l’ont perdu. IL 388. b.
Boyau. Des cordes à boyau. IV . 203. a ,b .
B O Y A U D IE R , artifan qui prépare 8c file des cordes à
boyau. Corps de maîtrife des boyaudiers à Paris. Comment
ils fabriquent les cordes à boyau. IL 388. b.
Boyaudier. Détail des opérations du boyaudier dans la
fabrication de fes cordes, IV . 203. a. Rouet de fon métier,
X IV . 397. b. Tabliers du boyaudier. X V . 810. a. Voyc^ la
planche du b oyaudier, vol. II.
B O Y E N S , peuples gaulois : leurs émigrations. VII. 328. b.
Voye^ BoÏENS, • j .
B O Ÿ E R & Bouir , (Marine) bateau 911 chaloupe flamande,
Il eft plus propre à naviger fur les rivières que fur mer. De vis
d’un b oyer de 86 piés de long de l’étrave à l ’érambord, de
20 piés de ban dé dedans en-aedans , 8c de 9 * de creux de
deffus la quille au niveau des gouttières. IL 389. *.
Boyer, repréfenté, vol. VII. des planch. MARINE, pl. 12.'
B O Y L E , (Géogr.) c’eft le nom d’une baronnie en Irlande ,
8c de la v ille capitale de cette baronnie, 8cc. Suppl. IL
4 9. A;
Boyle , ( Robert) obfervations fur ce phyficien. III. 433,
a , b. IX. 374. b. Ses ouvragesfur l’anatomie, Suppl. I. 398. b.-
8c la phyftologie. Suppl. IV . 331. a. Ses expériences fur Pair.
I. 226. a. 227. a. 230'. b. 232. *.• Vuide de Boyle. X V IL
373. b. Subftance vitale répandue dans l’a ir , félon ce phyfi-" j
cien. I. 236. a. Vertu qu’il attribuoit aux amulettes. I. 383;
b. Son fentiment fur la chaleur , III. 23. a , b ; fur celle de
I la chaux- v iv e . 30. b. Son traité fur la fubtilité des émanations,
£cc