4* A L B
A K lS S A R , ( Géogr. ) v ille de la N atolie en Afie. Safitua-
tion & fa population. Son commerce. Monumens d’antiquité
■ dans les environs. Suppl. I. 2.4a. a. Voye{ T h y a t iRE.
Akifiar, v ille de la Natolie. X V I . 307. b.
A K R A , A cara, Acaro, K m , (Géogr.) petit royaume
d ’Afrique fur la côte d’O r . Suppl. I. 24^ 1 Ses bornes &
fon étendue. Ses principales villes. Occupations des habitans.
Commerce du pays.' Obfervations fur la capitale .nommée
Akra-le-Grand, Ibid. b.
A L
A L , les Arabes emploient fouvent tette particule au
commencement d’un nom, pour marquer l’excellence. Cas
eu’on doit faire de la fcience étymologique. L auteur la
confidere comme moins eAimable que celle qui connue a
marquer les différences délicates des mots pris communément
pour fynonymes. E loge de l’ouvrage de l’-abbé Girard.
' A L A B A S T E R , ( Guillaume ) théologien & poëte. X V .
3A L A B A ST R IT E , efpece d’o n y x , félonie s anciens. XI:
A L A IN S , ( Hiß. ) hiftoire de ces peuples, regardés
comme les plus belliqueux des Scythes d’Europe. Suppl. I.
R Â L A I S , (Géogr. ) v ille de Flandre dans les Cé v en n e s ,
capitale d’une ancienne feigneurie érigée en comté. Devenue
épifcopale fous Louis X IV . Citadelle bâtie dans cette ville
en 1689. Son commerce.. Suppl. I . 244. b. Son premier
évêque. Ibid. II. 459. a.
A L A IT E R , comment le lait fe filtre , & comment il eit
fu c ép a r l’enfant. X. 2. b. 5. b. Raifons qui doivent engager
une mere ä alaiter fon enfant.1 119. a. , b. XI. 261> a. —
Voyez A llaitement.
A L A L C OM E N E , ( Géogr.) v ille de Béotie. Templé &
fimulacre de Minerve qu’on y remarquoit. Suppl. I. 244. b.
A L AM B IC , (Chymie.) defeription & ufage de ce vameau.
Différentes fortes d’alambics. I. 242. b.
Alambic, (on chapiteau. III. 179. b. Sa cucurbitë. IV .
» 2 b.
A L AM O S , ( Balthafar ) -obfervations fur cet homme de
lettres. X. 298. a. ‘ d. • J 4
A LAM P I ou L a y , ( Géogr. ) v ille d?Afrique fur la cote
'd’Or. Sa fituation. Caraétere des habitans. Leur commerce.
5 T l A N D ,4 ( Géogr.) ifle dé la mer Baltique. Sa grandeur.
Scs produilions. Son abord dangereux. O n croit qu’elle fut
entièrement indépendante des états voifins. Suppl. I. 244. b.
A L A N G U E R , ou Alenqucr, (Géogr.) ville de Portugal.
Son origine. Sa population. Fondations religieufes dans cette
■ ville. Suppl. I . 245. a. '
A L A R C O N , ( Géogr.) ville d’Efpagne dans la nouvelle
■ Caftille. Ses révolutions. Son état préfènt. Suppl. I. 245. a.
A L A R D , ( Lambert ) fa patrie & fes ouvrages. IX.
’ À l À R E S , (Hiß- anc.) milice romaine, ou plus-vraïfem-
■ blablement épithete qu’on donnoit à la cavalerie I. 243 a.
A L A R IC t , ( Hiß. des Vifigoths.) roi de Vifigoths. lableau
•tle fa vie & de fon regne. Suppl. \. 245. a. | H
A la r ic , roi dès Vifigoths, vaincu & tue par Clovis.
5,1 A l a r ic I IT roi des Vifigoths. Principaux événemens de
fon regne. Suppl. I . 246. b.
A laric H , fon code. III. 3.70. b- .
A laric on A lric , (Hiß. de Suede.) roi deSuede. Précis
de fon regne. Suppl, t 24& , , ,
A laric I I , fils d’A gn iu s , g g de Suede. Il partage le
trône avec Ion frere Eric. Leur jaloufie mutuelle. Leur
. mort. Suppl. I. 246. b
A L Â T E R N E , (B o t .) arbriffeau. Ufage qu’on en fait.
Maniéré de l’encaiifer. Propriété de fes feuilles. L 243. b.
A laterne , nerprun, (Botan: ) defeription de cet arbufte.
Ses’ .efpeces & variétés. Suppl. L 247. b.
Première efpece. Alaterne à feuilles o v a le s , crenelees par
les bords Sa defeription. 2. Alaterne à feuilles lancéolées,
profondément dentelées. Sa description. 3. Alaterne à feuilles
pyefque cordiformes & dentelées. 4. A laterne a feuilles o vales,
lancéolées, & non dentelées. Détails fur la culture de cet
arbriffeau de fur la manière de le multiplier. Ibid. 248. a.
A L A V A ou Alabd, (Géogr.) petit pays d’Efpagne. Son
étendue. Ses produirions., fon commerce. Suppl. I. 250. a.
A la vA , C Diego E'quïvel d e ) X V I I . 367. *. •
A L B A H ELVÏO RUM , ( Géogr. ) différens fennmens fur
le nom moderne de ce lieu. Selon M. d’Anville on ne petit
S t refufer à l ’évidence des preuves qui démontrent que ce
Jieu n’ètoit pas éloigné d’un village nommé Aps dans le
A L B
Vivarais. Obfervations de M. L a n c e lo t , qui confirment c e
fentiment. Suppl. ;I. 230. a. Infcriptions trouvées dans le
voifinage de ce lieu. Ibid. b. ■
A L B A D A R A , (Anatom.) l’os féfamoïde de la premier©
phalange du gros orteil. C e qit’en difent les magiciens. Maladie
convulfive cauféé par la diflocation de cet os, 1. 243. b.
Bleffure de cette partie devenue mortelle. Ibid. 244. a.
A L B A N , Saint , . (Géogr.) v ille d’Angleterre dans le
Hertfort-Shire. Diverfes obfervations fur ce heu. Suppl. I .
^Al ban , mont : pluies de pierres tombées dans fon voifinage.
X l t ? « • A '• P ' J J : ■ ?.i
A L B A N E , f François ) peintre. V . 327. a , b.
A L B A N IE , (Géogr.) province de l’ancienne Grece, aujourd’hui
nommée le Chirvan. Ses bornes. Ses villes principales.
Ses fleuves '& lacs. Obfervations fur fes habitans. Cette province
annexée à la Turquie en 1467. Suppl. I. 250. b.
A lbanie , ( Géogr. ) ville d’Amérique dans la nouvelle
Yo rk . Suppl. L 231. a. Cataraâes près, de cette ville. II.
769. b. ~ ‘ • R H H !
A lbanie ou Bmid-Alban, (Géogr.) petit pays de la province
de P e r th , en Eco ffe , avec titre de duché. Ses produirions
& . fon commerce. Suppl. I. 231 .a .
A L B A N O j ' (Géogr. ) v ille d’Italie dans la campagne de
Rome. Sa fituation. Production de fon territoire , & beauté
de fes environs, &c. Suppl. I. 231 .a .
A L B AN O IS , ( Hiji. eccl. ) hérétiques du feptieme fiecle.
Leurs erreurs. I. 244. a.
A L B A S T R E , ( Hifi. nat. ) fes différentes couleurs. D e f eription
de cette pierre. Son poliment. Ufages qu’on en fait.
Albâtre oriental & commun. Ses ufages en médecine. I. 244 .b,
, Albâtre, IX. 8 i6 .a . Examende la queftion fl l’albâtre doit
être mis au rang des gypfes. VII I. 1023. a. Le véritable
albâtre doit être regardé comme une pierre calcaire. Ibid. b.
Formation de l’albâtre d’orient. X V . 490. a. Albâtre oriental
dans la grotte d’Antiparos. V II . 967. b. Va fe d’albâtre. X V I .
831. a. Çarrieres d’albâtre en Bourgogne. Suppl. III. 843: /!.
A L B A T R O S S , ( Ornith. ) defeription de cet oifeau. Lieux
où on le trouve. I. J244. b.
A LB E , cette ville ruinée par Tullus-Hoftilius. X IV . 326.
a. V o ie d’A lbe. X V I I . 419 .a ,
ALBE-JUL1E ou IVeiffembourg , ( Géogr. ) capitale d’un
comté de même nom , en Tranfilvanie. Ses environs. Autres
obfervations fur ce lieu. Suppl. I. 231. a.
A L B E R O Y A L E o u 5 tul-Weiffembourg, (Géogr. ) capitale
d’un comté de même nom en Hongrie. Ses révolutions.
I Suppl. I. 251: a.
A LB EN , ( Géogr. ) gros bourg dans la Carniole , fitué fur
une montagne de même nom , & près duquel une tiv ie re
auflî nommée Alben prend fa fource. Cours de cette riviere.
Suppl. I. 2 c i .'b. «
A L B E N G U A , ( Géogr. ) v ille de l’état de Gênes. Elle a
été détruite par les guerres. Produirions de fes environs.
Mauvaife qualité de l’air. Suppl. I. 231. b.
ALBERGEMENS du Dauphiné, ( Jurifpr.) V . 380. b.
A L B E R O N I , cardinal. Suppl. IV . 393. a.
A LB E R T I , dit le triomphant 6» le borgne, ( HiJl. d’Allem. 1
empereur. Tableau de fon régné. Suppl. I. 231. b. Ses enfans.
Ibid. 232. <*.
A lbert I . Sa conduite envers les Suiffès. X V . 647. a.
A lbert I I , dit le Grave 6' le Magnanime , ( Hifi. d’Allem. 6*
deHùng:) fucceffeur de Sigifmond, empereur , roi de Hongrie
& de Boheme. Tableau de fon régné: Suppl. I. 232. a.
A lbert II. Obfervations fur fon régné. VII I. 28 3. b.
A lbert de Meklembourg, ( Hifi. de Suède.) roi de Suede.’
Principaux événemens de fon régné. Suppl. I. 232. a.
A lbert , Jean, (Hifi. dePologn. ) roi de Pologne. Principaux
événemens de fon régné. Caraétere deceprince. Suppl. 1, 233. a.
A lbert le grand , obfervations fur ce favant & fur fes
ouvrages. III. 4*9- IX. 326. b. XI. 932. b. X IV . 773. b.
A lbert , évêque de Liege. Sa mort prédite par l.es forts.
X V . 380. a. ■ ■
A L B E R T E T , poëte provençal. X V . 229. b.
A L B E R T I , ( Salomon) anatomifte. Suppl. I. 393. b. Phy-
fiologifte,. Suppl. IV .3 3 5 ^ æ. ’
A l BESIE, (Hifi. anc.) nom de certains boucliers dont
fe fer voient les Albiens, peuple de la nation des Marfes. On les
appclloit auflî Décumana àcaufe de leur étendue. SuppLl. 234. a.
A L B I , ( Géogr. ) trois villes de ce nom : l’une capitale de
l’Albigeois dans le liant Languedoc. Suppl. I. 234- a- L’autre
dans le G en e vo is , province de Savoie. La troifieme dans le
royaume de Naples. Diverfes obfervations fur-chacunc d’elles.
Ib id. M * I ,, R
A L B IG E O IS , (Hifi. eccl.) feéle du douzième fiecle , qui
a tiré fon nom de la ville d’A lbi en Languedoc, & qui avoit
pris nailTance en Bulgarie. Erreurs des Albigeois. i° . I ls admet-
toient deux principes. 20. Deux Chi’ifts. 30. Ils nioient la
rélurreérion. 40. Ils condamnoient les facremens. Ils fediftin-
guoient en parfaits & en çroyans. Conciles qui les condam-
A L C
nerent. L2 4 3 . b. La puiffance temporelle employée pendant
dbc-huit ans pour les terraffer. Ils fe joignirent enfuite aux
Vaudois , puis aux Calviniftes. Exécution de Cabrieres & de
Mérindol. L e s Vaudois n’ont jamais adopté leurs opinions.
Auteurs à cqnfulter, Ibid. 246. a.
A lbig eois , ( Géogr. ) canton du haut Languedoc. Ses
produirions. Ses principaux lieiix. Suppl. I. 234. b.
A lbigeois, prenoient le nom de bons hommes. II. 329. a.
Cérémonie appellée Confolation, que quelques Albigeois
pratiquoient. lV . 48. h. Croifade formée contr’eux. Ibid. 303.
a. EreiHon du tribunal de l ’inquifition fcontre les Albigeois.
VII I. 773. a ;'b. Leur perfécution. Suppl. III. 608. a. Voye^
l ’article Vaudois.
A L B IG N I , ( Géogr. & Hifi. anc. ) village près de L y o n ,
qu’on croit avoir tiré, fon nom du long féjour qu’y avoient
fait les troupes d’Albin. Ce t Albin combat, pour l’empire
contre l ’empereur S.evere. Monument que lés Ly o n n o is ,
attachés à la fortune d’A lb in , confacrent a Jupiter. Suppl. I.
H H ' H l 1 1
A L B IN O S , ( Géogr. ) peuples finguliers en Afrique. Leur
defeription. Ils font regardés comme une variété de l’efpece
humaine qu’on pourroit- perfectionner, fi on l’affocioit à
d’autres hommes plus robuftes & plus perfectionnés. Suppl. I.
A lbinos, negres blancs. XI. 79. a , b.
ALBIN US ,(Chrétien-Bernard) anatomifte. Stippl. I. 406. b.
A lbinus , fa piété envers les veftales. X V IL 213. a , b.
ALBINUS, (Bernard Sigefroi) anatomifte. Suppl. I. 466. a.
Ses injeitions. Suppl. III. 602. à. Phyfiologifte. Suppl. IV.
B jË H
A L B IO N , conjefture fur l’orieine de ce nom donné à
l ’Angleterre. V II . 930. a.
À L B IZ Z I , Vo-yei Pise , (Barthelemi de ) XII. 637. æ, b.
A L BO IN , fondateur du royaume des Lombards en Italie.
IX . 681. b. .
A L B O R A , ( Médec. ) efpece de gale. Signes & remedes
de cette maladie. 1/ 240. a.
ALBO U R S , (Géogr. ) montagne près du mont Tau ru s;
le plus fameux volcan que l’on connoiffe dans les ifles de
l ’océan Indien. Suppl. I. 233, d.
A L B R E CH T , ( / . MelchiorFréderic ) phyfloloeifte. Suppl.
IV . 361. b. \ & Jv
A L B R E T , obfervations fur Jeanne d’Albret, mere de Henri
le Grand. XII. 19 2 .'a.
A LBU C A S IS , médecin Arabe. X . 278. b. Sa doCtrine
fur la faignée. X IV . 303. a.
A L BU G IN É E , (A n a t .) troifieme des tuniques propres
du tefticule. -Sa defeription. Suppl. -I. 233. a.
A lbuginée , maladies de cette partie de l’oeil. XVII.
OE | H H
A L B U G O , ou Leucoina, '( Chirur. ) tache blanche fur la
cornée de l’oeil. Il faut diftinguer l’albugo des cicatrices de
la cornée. Remedes. I. 246. b. '
A L B U L A , voÿc^ T ibre.
, A L B U M , ( Ant. rom. 6* Hifi. mod. ) tableau fur lequel on
ecrivoit. Album pratoris. Album decurionum. Suppl. I. 255. b.
Album, livre blanc dont les négociâns & les voyageurs fe
fervent. &c. Suppl. I. 255. A ■
A lbum groecum, efpece de remede. Sa préparation, HI
3.3V W k -
ALBUMINEUX , (. Plyjîol. ) fnc albumineux dans le corps
des animaux. Propriétés fingulieres de c.ette efpece d’huile.
A lbumineux, (A n a t.) la lymph e , humeur albumineufe.
Cara&ere de cette diumeur. Caufes de fon épaiffiffement.
C ’eft la lymphe épalflie qui forme les polyp es , la couenne
du fang ; qui fermé l’ouverture d’une artere , dont elle fort/
avec le fang. Son analyfe chymique. Suppl. 1 233. b.
A lbumineux , préparation des humeurs albumineufes.
SuppL IV . 759. b. 761. a. Voyei L ymphe.
B A L BU N É E , nom d’un bo is , d’une fontaine & d’une
divinité de Tibur. X V I . 317. a.
A L C A Ç A R , (Gcogr.) Alcaçar tTOfal, petite v ille de
*);.ALSàcar O!“ ™ , v ille d’Afrique. Alcacar de guete ,
Ville. d’Efixtgne. Suppl. I. 236. a.
A L C A ÏQ U E S , (Littérat. ) v ers alcaïques. O n en diftingue
ü a a a a M M b i d a y a alcaïque. Ibid. b.
a a ^ L f e lbU? the^ue de X ùnenès à Alcala. II. 236. a . ,
ALCAM EN E ,, ( Hifi. de Sparte) petit-fils d’Archelaüs ,
roi de Sparte, lab leau de fon régné. Suppl. I. 2<6 a
H H H B H x i v . H H
A L C A N A , (Æol.itouleurs qaë l’alcana ou troefiie d’Egypte
tourmt a la teinture. Huile tirée de fes baies. I. 247 b
I^ A l g a n a , poudre faite avec fa feuille. Ses ufages au levant.
A L C A N N A , ( Médec.) lekenna des Turcs & des Maures
Ses ufages. I . 247. b.
A lcanna , (Botan.) arbriffeau de la famille des cilles.
Figures qu’on en a données. Suppl. 2 56..^. . Ses différens noms.
A L C 43
Sa deforipUon. Ihii. I. Ses qualités. Propriété qu’il a de teindre
en rouge les parues folides des corps y i y a i . ü û g e qu’en
fout les peuples d’Egypte ,-dePerfe gt d» Sénégal. Comtrierce
de cette plante & de fes produits. Ibid. a. Sa CI,Itllre.
U n eft pas douteux que l’alcanna ne foit le cyprus des anciens
1A'3a^°Piier dont ù eft parlé dans l’Écriture fainte. Ibid b
A L C A N T A R A , (H ifi. mod.) ancien ordre militaire en
Efpagne. I. 247. a. Les chevaliers d’alcantara portoient aupa- '
ravant le nom de chevaliers du Poirier. Pourquoi ils change-
rent c e nom. La maîtrife de cet ordre unie à la couronne
par Ferdinand & Ifabeile. Autres obfervations fur cet ordre.
1.'248,(2.
j TAR't B ^ Gc°gr. Hifi. mod. ) 1 °. petite v ille d’Eljiagne
dans lEftramadure 20. Ordre militaire en Efpagne. Croix de
cet ordre. Suppl. I, 237. b.
^Æcantara, pont, que les Romains bâtirent dans cette ville.
A L C À S À R , ( Louis d e) X V 133 b
H H 1 w — H de H
delerte. Canal .par lequel elle communique avec la mer.
Autres obfervations. Suppl. I. 2ç 8. a.
a Î ^ T/RAZ’ 0rnit,l\ Hoyei Calao.
A L L E , (Hifi. nat.) différentes deferiptions qu’on a données
ü anmial quadrupède. Il paroît que l’alcé eft le même
que 1 élan. I. 248. a.
A L C E A indien , voyez Bamia.
A L C É E , poëfe de Mytilene. X. 926. a b
A L C t S T Ê (M y t B fille de P i® f & d’Ahaxabie. Son
bliitoire. Suppl. I. 238. a.
A L CH YM IE les’ opérations ont quelque chofe d’admi-
B , de my J e«eux. Antiquité de cette fcience. Étymo-
log e du mot Akhymie L 248. b. L e premier auteur qui
parle de faire de 1 or eft Zozime , qui v iv o it au commencement
du cinquième fiecle. G ebe r , auteur Ara b e, eft le premier
qui a parlé', du remede univerfel. Pourquoi , félon
oiuclas, on ne trouve point de monument plus ancien de
■ l alchymie La-théorie de la pierre philofophale expliquée
dans la table d Hernies. Effais de Caligula pour tirer de* l’or
de 1 orpiment. La chymie peut avoir été portée autrefois, k
nn t a i t point de perfeflion. C e qui s’oppofe aux progrès
de 1 akhymie & de la chymie. Auteurs d’alcliymie. I.
A lc kym ïe , elle doit fa naiffance à l’Egypte. III. 42?. b.
L ’hiftoire de cette prétendue fcience fe trouve liée avec celle*
de la-chymie. 421. a , b. & c. L’influence des aftres rétablie
dans I alchymie par Urbain H ierne. VIII. 732. b. André Liba-
vius , zélé défehfeur de l’alchymié. III. 432. b. Ses ouvrages
fur l’alchymie. Ibid. Voyeç Hermétique. VIII. 169. b. &c.‘
^CHYMISTEjComparaifon deralchymie avec la poéfie.
Diftinétion des alchymiftes en vrais & en faux. I. 249. b. '
A lCHYMISTE, prétendu fecret des alchymiftes pour rajeunir
les hommes & le s animaux. XIII. 762. b. &c. L ’influence des
aftres fur le corps humain 8c fur les métaux , admife par les
alchymiftes. VIII. 73 1 . a , b. Vertus médicinales qu’ils attribuèrent
aux métaux. Ibid. a. Ouvrages de Beccher fur l’alchimie.
III. 433. a. — Voye{ ADEPTES.
A L C IB IA D E , ( Hifi. des Athèn. ) cara&ere de ce prince
Athénien. Principaux événemens de fa vie. Suppl. I. 258. b.
A lcibiade , célébré Athénien. Suppl. I. 673. b. 676. a.
C e qu’il dit à Périclès q'ui fe difpofoit à rendre fes comptes.
X. 317. b. Difcorde entre Alcibiade & Nicias. XI. 694. a.
Caufe de fa condamnation par les Athéniens. X. 923. a. L ieu
de fon tombeau. 317. b.
A L C ID E , (M y th .) ou Hercule. Suppl. I. 260. a. Diodore
compte trois^ Hercules ; un Egyptien , un Crétois & un
Thébain. Cicéron en compte fix. L ’auteur de cet article
prenant quelque chofe de ces deux é crivains, & les corrigeant
l’un par l’autre, en diftingue cinq : TEgyptien , l’A fiicaiii, le
T y r ien , le Crétois & le Thébain. Détails fur ces différens
perfbnnages. Ibid. b.
A L C IN O U S , , ( Myth. ) roi des Phéaciçns dans l ’ifle de
C o r c y r e , aujourd’hui Corfou. Moeurs de ces peuplés. Admirables
jardins. d’Alcinoiis. Suppl. I. 261. a.
A lcinous", roi de Phæacie. Moeurs de fes courtifans
XII. 481. b.
A L CM A E R , ( Géogr.) ville des provinces-unies. Son rang
entre les villes de la Nord-Hollande. Sa defeription. Ses
révolutions. Productions de fon territoire. Suppl. I. 261. a.
A L CM A N , poëte né à Sardes^XIV. 633.4.
A L CM A N O N , phyfiologifte. Son ouvrage. Suppl. IV.
344* ' ,
A L CM EN E , ( Myth. Arts du DeJJin. Peint.) On voit fur
un vafe etrufque deffiné , fig. 1. pL 3. d’antiquités dans le
Supplément, une parodie des amours de Jupiter & d’Alcmene •
compofmon eftimée une des plus fiivantes que l’on connoiffe
& en même temps des plus comiques. Defeription de cet
ouvrage. Suppl. I. 261. a.
A L CM E O N , difciple de Pythagore.. Sa philofophie. XIII.