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préfet du prétoire qui choififfoit les chanceliers des gouverneurs
des provinces.-Loix à confulter.Ibid. A..
Chanceliers de Rufiie. Grand-chancelier.: chancelleries particulières.
O uvrag e à confulter. III. 106. b.
Chancelier du fous-viguier de Narbonne. Lettres où il en eft
parlé. III. 106. b. ,
Chancelier 4e Suède. Confeil de la chancellerie ou ilprélide,
fes fonffions.Il y a au-defliis de lui le droffart ou grand jufli-
cier. Il V a un chancelier de la cour different de celui de
juftice. Ouvrages à confulter. III. 106. b.
Chancelier dans les univerfitès. Il y en a deux dans celle de
Paris. III. 106. b. Chancelier de l’étude de médecine de Montpellier.
Celui de l’univerfité de Caën. Arrêts du parlement de
Paris, concernant le chancelier. Arrêt de celui de Touloufe,
concernant le chancelier de l’upiveriité de Cahots. Chancelier
de l’univerfité de Valence. Lettres de Charles V I , où il eft
parlé du chancelier de l’univerfité de Touloufe. Chancelier
de l’univerfitè de Dijon. Celui de l’univerfité de Cambridge.
Celui de l’univerfitè dOx ford. Ouvrages à confulter. Chancelier
de l’univerfitê d’Alcala. Ibid. io j . a. Celui de l’univer- ,
fité d’Upfal. Ibid. b.
CH AN CEL LERIE , ( ÂrchitcSl. ) définition. III. 107. b.
C hancelleries , ( Jurifp. ) on les diftingue en civiles &
cccléfiaftiq-ues. Chancellerie, corps des officiers pour le fer-
v ic e de la chancellerie. III. 10y. b.
Chancellerie, confeil de chancellerie : objets qui en dépendent
: par qui font nommés ceux qui y affiftent. IV . 19. b.
Lettres de chancellerie. IX . 417. b. Etymologie du mot chan-
093. o.
C hancellerie de France, ou grande chancellerie. Son établiffement
auffi ancien que la monarchie. Elle n’a point emprunté
ion nom du titre de chancelier de France. C e ne fut
que fous la fécondé race que ceux qui faifoient la fonftion de
chancelier du roi commencèrent à être appellés grand-chancelier.,
archi-chancelier, Scc. Lorfque cet office fe trou voit v a cant
, on difoit que la chancellerie étoit vacante. C e terme fe
prenoit aufîi pour l’émolument du fceau. III. 107. b. Le chancelier
avoit un clerc ou fecrétaire particulier. Il y avoit déjà
depuis long-tems plufieurs fortes d’officiers pour l’expédition
des lettres..,.. Sous la troifieme ra c e , l’office de garde des
fceaux fut quelquefois féparé de celui de chancelier. Comment
fe forma infenüblement le corps de la chancellerie. Trois
chancelleries établies enfuite dans le royaume. Réglement
général de Philippe-le-Long, en 1321 , pour ces chancelleries.
Ibid. 108. a. Dès l’an 13 58, il y avoit des regiftres en la
chancellerie, 8c le lieu où fe tenoit le fceau s’appèlloit l ’audience
de la chancellerie. Gages des clercs-notaires, dès 13 20.
Ancienneté de l’ufage de la diftribution des bourfes. Depuis
quel tems la chancellerie de France a été appellée grande chancellerie.
Les petites chancelleries des parlemens 8c préfidiaux
font des démembremens de la grande. A qui appartient le
fe e l, lorfque la garde des fceaux eft féparée de l’office de
chancelier. Création & augmentation des officiers des chancelleries.
Ibid. b. Voyei GARDE DES SCEAUX DE FRANCE.
V n .4 9 5 .A-&C,
Chancellerie de France. Greffiers de cette chancellerie. VII.
926. b. Gardes des rôles des offices de France. V II. 494. a , b.
Grands-audienciers. 850. a , b. Scel de la chancellerie. X IV .
749. a. Sciendum de la chancellerie. 793. b. Commiffions de
la chancellerie. III. 7 1 1 . a. Cires de la chancellerie. 474. a.
Chauffe-cire. 256. a , b.
Chancellerie d’A ix , ou de Provence. C réation de cette chancellerie
par François I. Dans toutes les lettres émanées du
r o i, concernant la P ro venc e , on ne manque pas de lui donner
le titre de comte de Provence, 8cc. Réglement du 18 avril
1 5 3 6 , fur cette chancellerie. III. 108. b. Edits, déclarations
& arrêts, concernant cette chancellerie, depuis 1540 juf-
qu’en 1624. Arrêt du parlement d’A ix , fur le droit de voix
délibérative du confeiller garde des fceaux de la chancellerie.
Création d’officiers en 1692. Création & fupprefiion d’une
chancellerie particuliere. Ibid. 109. a.
Chancellerie d’A lface. Lieu & tems de fon établiffement.
Officiers dont elle fut compofée. Suppreffion de cette chancellerie.
Etabliffement d’une chancellerie près du confeil de
B r ifa ch ,en 1694. Tranflation à Co lm a r ,en 1701. III. 109.a.
Chancellerie de Befançon. Son établiffement en 1692. III.
1109. b.
Chancelleries de Bordeaux. III. 109. b.
Chancelleries de Bourgogne : quatre fortes. C elle des ducs de
Bourgogne ; elle ne fubfifte plus. Celle qui eft près le parlement
de Dijon. Les chancelleries préfidiales. Les chancelleries
aux contrats. III. 109. b. L e chancelier avoit fous lui un officier
qui avoit le titre de gouverneur de la chancellerie. C e gouverneur
avoit des lieutenans dans tous les bailliages, qui gar-
doient les fceaux des fieges particuliers, b c . Dans quelques
villes particulières de Bourgogne, il y avoit un garde des!
fceaux aux contrats. Etat prèfent des chancelleries aux contrats.
Ibid. iiQ . a. Réglement de François I , concernant les
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officiers des chancelleries & ceux des bailliages royaux. L’appel
des chancelleries de D ijon & de celles qui en dépendent, vâ
direftement au parlement de Dijon. Chancelleries aux contrats
dans neuf autres v ille s , qui ne reconnoiffent point le
gouverneur de la chancellerie de Dijon pour fupérieur. Leur
appel va. au parlement de Dijon. A l’égard des contrats qui fe
paffent dans toutes ces chancelleries, on n’y intitule point le
nom du gouverneur. Ibid. b. Ouvrages à confulter fur les
chancelleries aux contrats. Ibid. m . a.
Chancellerie , labour fe de) portion des émolumens du fceau
qui appartient à certains officiers de la chancellerie. Il n’en
eft point parlé avant 13 5 7 , quoique l’émolument fe partag
e â t, mais fous un titre different. La part des clercs fuf-
pendue en 1293. Réglement de Philippe V , for la recette
des émolumens. Les clercs-notaires du roi avoient aufîi des
gages qu’on leur payoit fur l’émolument du fceau. Maniéré
dont on ufoit anciennement pour l ’émolument du grand
fceau. Gages que Charles V , étant régent, attribua à Jean de
Dormans fon chancelièr. III. m . a. Bourfe accordée aux
religieux céleftins, Sc réglée fur celle que chaque fecrétaire
du roi avoit droit de prendre tous les mois fur l’émolument
du fceau. Ordonnance du roi Jean, pour reftreindre le nom*’
bre de fes notaires 8c fecrétaires qui prenoient gages &
bourfes. Réglement de Charles V I , qui impofe une condition
aux fecrétaires du roi pour avoir part à la diftribution
des droits de collation. Difpofitif du feiendum de la chancellerie,
écrit en 1413 ou 1415. Ibid. b. Réglement fait pour les
chancelleries en 1509. Ancien college des fecrétaires du rtû
divifè en bourfiers & en gagers. Bourfes des petites ch an c e*
leries établies près des cours fouveraines. Réglemens for la
confection des bourfes. Droit attribué au fixieme collège des
fecrétaires du roi fur l ’émolument du fceau. Arrêté en 1643
que les droits de bourfe des fecrétaires du r o i, bc . ne pour-
roient être faifis, &c. Réglement fort étendu pour les chancelleries
, donné par Louis X I V , en 1673. Ibid. 112. a. V ariations
fur le nombre des fecrétaires dit roi. Recueil 8c hiftoire
à confulter. Ibid. b.
Chancellerie de Bretagne, avant la réunion à la couronne:
depuis cette réunion. Edit de Charles V I I I , touchant cette
chancellerie. H enri I I ayant inftitué un parlement de Bretagne,
fupprima l’ancienne chancellerie, & en créa une nouvelle.
Ouvrage à confulter. III. 112. b.
Chancellerieraes bureaux des finances. Création en 1633 d’un
office de tréforier général des finances, garde de feel. III .
m . b. Création d’officiers, en 1636 & en 1707, pour chaque
chancellerie, des bureaux des finances. Suppreffion de ces
offices en 1716. Comment il y eft fuppléé. Ibid. 113. a.
Chancellerie des chambres de l ’édit, mi-parties b tri-parties.'
La premiere fut établie près la chambre mi-partie de Montpellier
, en 1576. Réglement qui la concerne. Autres chancelleries
femblables. III. 113. a.
Chancellerie de Champagne, ou des comtes de Champagne. Elle
fut confervée après la réunion de cette province à la couronne.
Difpofition de Philippe V , fur les émolumens de cette
chancellerie. III. 113. a. Lettres de Philippe V , pour favoir
combien les chanceliers prenoient en toutes lettres de Champagne.
Le feiendum de la chancellerie fait connoître que l’on
confervoit encore à la grande chancellerie l’ufage de celle
de Champagne, pour les lettres qui concernoient cette province
, 8c que le droit de la chancellerie de Champagne étoit
beaucoup plus fort que celui qu’on payoit pour les lettres de
France, c’eft-à-dire, des autres provinces. C e que pay oient
les chartes des Juifs pour la province de Champagne ; 8c
comment fe diftribuoit l’émolument de ces chartes. Le réglement
fait pour le fceau p ar Charles I X , conferve encore
quelque veftige de la diftin&ion que l’on faifoit de la chancellerie
de Champagne. Ouvrage à confulter fur ces diftinc-
tions. Ibid. b.
Chancellerie du châtelet de Paris. Pourquoi établie. III. 113. A.'
Suppreffion en 1594. Chancelleries préfidiales créées en 1674
dans l’ancien 8c le nouveau châtelet. Attribution des droits
8c émolumens du fceau de ces chancelleries. Suppreffion des
deux chancelleries en 1685. Comment il y eft luppléé. Ibid.
114. a.
Chancellerie corqmune ; émolumens du fceau qui fe parta-
geoient entre tous les officiers de la grande chancellerie. IïT.
m m a.
Chancelleries près les confeïls fouverains 6* provinciaux. I IL
114. a.
Chancelleries près la cour des Aides. Etabliffement de la
premiere en 1574 à Montpellier. III. 114. a. D ’une autre à
Mont-Ferrand. Il n’y a pas communément de ces chancelle-;
ries dans les villes où il y a parlement, ni. 114. b.
Chancellerie près la cour des monnoies de Lyon. Son établiffe-'
ment en 1705. Officiers qui la compofent. III. 114. b. -
Chancelleries près les cours fupérieures. Enumération de ces1
chancelleries. Garde des fceaux en l’abfence des maîtres des
requêtes. Officiers qui compofent ces chancelleries. Chancelleries
de cette forte qui ont été fupprimées avec les cours.
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aimmdles elles appaftenWent. Recueil à confulter. il!. 114.
b Voyez Gardes des fceaux des chancelleries établies près les cours.
Chancelleries près les cours fupérieures. Audienciers. V II . 851.
b. Greffiers. VH. 926. A.
Chancellerie du Dauphiné. Trois différens états fous
lefquels on peut la confidérer en fuivant l’ordre des
tems. Elle ne' fut érigée en titre d’offices formés, que par édit
de 1535. Ses officiers. Leurs fondions 8c émolumens réglés
à l’infiar de la chancellerie de Paris. Réglement de 1646 à
l ’occafion de la chancellerie de Dauphiné. Autre en 1667*
Création de quelques offices en 1692. Déclaration, du 30
mars 1706. Articles du Diétionnaire à confulter. III. 1 1 5 .« .
Chancelleries de Dijon , favoir la chancellerie près, le parlem
en t , 8c celle aux contrats, III. 1 15. A. .
Chancellerie de Dole. Sa création en 1696. III. 1 15 . A.
Chancellerie d’églife. En quoi confifte celle de l’églife de
Meaux. Difpofitions fur cette chancellerie. III'. 1 15. b.
Chancellerie des empereurs romains. X IV . 813. a.
Chancelleries d’Efpagne, tribu naux fouverains. Elles doivent
leur établiffement à dom Henri IL Dom Jean I y fit quelques
changemensi En 1494 la chancellerie fut réglée comme
elle l’eft aujourd’hui. Etabliffement d’une fécondé en 14 9 4 ,
qui fut celle de Grenade. III. 1 15. A. Comment font com-
pofées la chancellerie de Valladolid, 8c celle de Grenade.
Pouvoir de l’une 8c de l’autre. Comment les juges y donnent
> leur foffrage. Ouvrage à confulter. Ibid. 1 16. a.
Chancelleries des grands jours. Chancelleries de Cette forte ,
l ’une à Poitiers , l’autre à Clermont en Auvergne. Elles ne
fubfiftoient que pendant la féance des grands jours. Ouvrages
à confulter. HI. 116. a.
Chancellerie, groffe ; lettres de chancellerie les plus importantes
qui étoient expédiées en cire v erte. Pièce 8c lettres qui
en parlent. III. 1 1 6. a.
Chancellerie des Juifs. Q u e f étoit le feel dont on fe fervoit -
pour les Juifs. Ordonnance de Philippe-Augufte, qui établit
en chaque v ille deux hommes pour garder le fceau des Juifs.
Difpofitions de Louis V I I I 8c de Philippe V fur cette chance
llerie, jufqu’à l’expulfion des Juifs en 1321. Mention indi-
refte de cette chancellerie que fait le feiendum. Ouvrages à
confulter. III. 116. b.
Chancellerie de-Languedoc , celle qui eft près le parlement
de Touloufe. Autres chancelleries. III. 1 1 6. A.
Menue chancellerie par oppofition à la groffe chancellerie.
in. n6.A.
Chancellerie de Met{. Sa création' en 1633. Augmentation
du nombre des officiers en 1661 8c en 1091. IIL 1 17. a.
Chancellerie de Montpellier. III. 1 17 . a.
Chancellerie du palais, Ou petite chancellerie. Elle eft la plus
ancienne des chancelleries particulières établies près les Cours
fouveraines. Pourquoi elle fut appellée du palais. Recherches
fur le tems 8c la maniéré dont elle s’eft formée. III. 1 1 7 . a.
En 1370 Charles V , à la priere du college-de fes clercs-
fecrétairés 8c notaires , leur accorda une chambre dans le
palais, b c . C e fut là le premier «endroit où fe tint la chance
ller ie; mais depuis l’incendie arrive au palais en 1618 ,
elle a été transférée dans l’ancien appartement de S. Louis.
Arrêté entre les fecrétaires du roi en 1389 qu’ils feront bourfe
commune de tous les droits de collation des lettres qu’ils
figneroient ou collationneraient, b c . Ibid. A. La première
fois qu’il eft parlé de chancelleries aii p luriel, c’eft dans l’édit de
Louis X I en 1482. On ne peut douter que la chancellerie du
palais ne fut établie en 1490. Avantage de cette chancellerie
fur celle des autres cours. Le procureur général des
requêtes de l’hôtel a droit d’alfifter au fceau de la chancellerie
du palais. Officiers particuliers pour cette chancellerie.
Ouvrages à confulter. Ibid. 118. a.
Chancellerie du palais. Greffier de cette chancellerie. VII .
926. A.
Chancelleries près les parlemens. Etabliffemens fuccelfifs
d e ces chancelleries particulières. Entre les mains de
quel officier eft le fceau. Comment elles font compofées.
Ibid. b.
Chancelleries près les parlemens. Celle qui eft près le parler
ment de Paris. XII. j e . a , b.
Chancellerie, petite. La grande chancellerie eft unique, au
lieu qu’il y a grand nombre de petites. Deux fortes de celles-
ci ; favoir, celles établies près des cours fupérieures, au nombre
de vingt-deux, 8c les préfidiales. Lettres fcellées dans ces
chancelleries. Officiers qui les compofent. Ouvrages à confulter.
III. 118. A.
Chancellerie de Poitiers. Etabliffement de la première à Niort
en 1418 , elle fubfifta jufqu’en 1436. III. 118. A. Etabliffement
d’une chancellerie près la cour des grands jours * en
1634. Chancellerie prêfidiale établie à Poitiers en 115 5 7 , qui
fubfifte encore. HI. 119. a.
Chancelleries préfidiales. Création des premières en 1557.
Suppreffion de quelques-unes dans la fuite. Leur feel particulier.
Officier qui tient le fceau. Créations fucceffives de
leurs officiers, b c . Leur nombre fixé en 17 15. Tous les
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o f t o fupprimésèn 1727, ÎII. 115, O u v f t ïé à ispiiffllt*..
Ibid. A.
Chancelleries préfidiales : leurs gardes des fcealix. V IL
ço8, a , A.
Chancellerie provinciale» IIL 1 19. A;
Chancellerie romaine. L e premier officier dè là chancellerie
étoit connu dans le féptieme fiecle. On prétend néanmoins
que la chancellerie ne rut établie que vers le treizième fieclei
L e vice-chancelier devenu premier officier de la chancellerie
depuis Boniface V I I I ou Honoré Hl. Pouvoir du régent
de la chancellerie, Prélats abbréviateurs : leurs fondions. I IL
119. A. Diftributeur des fignatures, qu’on . appelle auffi fecrétaire
des prélats de la chancellerie. Ses fondions. Il il’y a qu’un
feul notaire en la chancellerie', qui fe qualifie député : fa
fonction. En quoi confident les réglés de cette chancellerie*
Leur renouvellement à chaque pontificat, Il en eft qui ne font
point reconnues en France, & d’autres qui ne le Coût dans
aucun état de.la chrétienté. Ibid. 120.a . Formes ordonnées
pour l’expédition des provifions. Réglé qui ordonne d’exprimer
la véritable valeur des bénéfices, à peine de nullité des
provifions. La réferve des mois apoftoliques j qui n’a lieu que
dans les pays d’obédience, ceffe à lamortdupape. Onn’areçu
en France que trois réglés de chancellerie; on en compte ordinairement
quatre; la première eft c e l l e * viginti diebus, feu
de infirmis refignantibus. La fécondé eft celle de publieandis ref-
gnationibus. La troifieme celle de verifmili notitiâ obitûs. Autres
réglés de chancellerie qui n’ont pas été reçues en France, 8c
que néanmoins l’on y fu it, &c. Réglés de annali poffeffore ,
de triennali poffeffore, de impetrandis beneficiis viventium, de non.
tollendo ju s alteri quafitum , de idiomate. Ibid. b. Auteurs qui
ont fait des notes fur quelques-unes de ces réglés. Ouvrages
à confulter. Ibid. 12 1. a.
Chancellerie romaine. Manière de dater de cette chancellerie*
VIII. 496. a , A. Notaire de la chancellerie romaine. XI. 240. bu
Chancellerie de Rouen, établie près le parlement. Son origine*
Création d’une chancellerie particulière près la cour des aides
en 1701 , réunie à celle du parlement ep 1704. Ouvrages
à confulter. III. 12 1. a.
Chancellerie de Rouergut. Lettres où il en eft parlé. H L
121. a.
Chancellerie, ( Sciendum de l a ) Inftruéfion pour les
notaires 8c fecrétaires du roi* b c . Origine de ce nom. T em s
où ce mémoire parut. III. m . a. Expofé fomriiaire des articles
renfermés dans cette inftru&ion. Ibid. b. Les chofes font
changées à plufieurs égards, de maniéré que plufieurs né
font plus fui vis. Ibid. 122. a. Voye[ Sciendum.
. Chancellerie de Touloufe ou de Languedoc, la fécondé des
petites chancelleries. Il paroît qu’elle étoit établie dès l’art
1482. Premier réglement que l’on trouve concernant cette
chancellerie. Charles V I I I , par fon ordonnance de Moulins
en 14 90 , fit quelques réglemens pour elle. III. 122. a. Peu
après il fut établi de femblables chancelleries aux parlemens
de Bordeaux, Dijon , b c . b c . Ibid. A.
Chancellerie de Tournai. Sa création en 168.0. Il y a eu
plufieurs réglemens qui la concernent, bc . Ouvrage à confulter.
III. 122. A.
CH AN C E L L IE R , CH AN C E L LER IE , fautes à corriger
dans ces articles de l’Encyclopédie, Suppl. I I , 318. a.
CH A N C R E , ( Chirurg.) il tient de la nature du carcinome„
Petits ulcérés de la bouche appellés chancres., 8c diftingués
en fimples, feorbutiques 8t vénériens. III. 122. A. Guérifon
des chancres vénériens. Chancres vénériens aux parties fexuel-
les. Sentiment de quelques praticiens fur la maniéré de les
guérir. Ibid. 123. a.
Chancre dans l’eftomac. V . iôo8. A.
Chancre , ( Jardin. ) maladie affez ordinaire aux arbres*
M oy en de la guérir. III. 123. a. Tfoye£ auffi T aille des
arbres.
CH AN D E LEU R , ( Théolog. ) d’où cette fête tire fon
nom. Celui- que les Grecs lui donnoient. Deux fentimens fur
le tems de fon inftitution. III. 123. a.
Chandeleur. Obfervations fur cette fête. XIII. 381.4*. Cou*
jeRure for l’origine de l’illumination de la Chandeleur. IX»
236. a. Parlement de la Chandeleur. XH. j i . A. Parlement des
oclaves de la Chandeleur. 61 . A. âr- -
CH AN D ELIE R , ( Art méchan. ) chandeliers d’églife;
Chandeliers de ménage. Chandeliers d’atteliers. Ce lu i
des tailleurs. Ouvriers qui fabriquent les chandeliers. D iv e r -
fes matières dont on les fait. Ceux des anciens ne différoient
pas des nôtres. O n ne fait fi nous avons emprunté ceux de
■ nos églifes des temples des Païens ou des fynagogues des
Juifs. III. 123. A.
Chandelier d’or à fept branches. L ’un réel ordonné par
Moïfe. Sa defeription. Son u fage. Son emplacement. Salomon
_en fit fondre dix pareils. III. 123. A. Second chandelier fait
au retour de la captivité, enlevé par les Romains, placé
dans le temple de la Paix. L ’autre chandelier étoit myftérieux,
de la vifion du prophète Zacharie : en quoi il différoit du premier.
Ibid, 124. a.