33° C L E
«ons. Formule générale pour tranfporter la clé convenablement
à un ton ou mode quelconque. i° . Pour le mode majeur.
JII. 517. a. 20. Pour le mode mineur. Ibid. b.
C lé. A r t . qui apprend à-faire des caraéteres fecrets, &c.
■ ^Pourquoi ces alphabets ffont appcllés des. On entend par clé
tout ce qui fert à éclaircir ce qui a d’abord été préiente fous
quelque voile.-Par la même figure, on dit que la logique eft
la d é des fcicnces. III. 318. <*.
C lé d’OR , ( Gentilshommes de la) grands officiers de la cour
<T£fpaene, o u de celle de l ’empereur. III. 518. a.
C l é , terme de blafon-, — ,( V o y C lef. ) de venenc , de
•fauconnerie, III. s i 8. a.
C lé , ( Arc/ùt.) clé d’un a r c , d’une v o û te , &c. Différences
dans la d é félon les ordres. III. 518. a.
. Clé de la voûte , voyc{ V o u s s o iR 6* V o ûte. C lé d’une
arcade. Boffage de la clé. Suppl. I. 5.3a. b. Têtes dont les clés
font quelquefois ornées. X V I . 203. a. .204. b. ■
Clé, en tenne-de bottier, III. 518. a. en terme de bourreliers,
felliers , carroffiers^ en terme de brafferie. Ibid, b-
Clés , petites & grandes., en terme de charron. I I I , 518, b.
Clé dii trépan. III. 518. b.
■ Cl é , ( Fontainier) c lé , en terme de fermier. III. 3.18. i .
■ Clé ou accordais ? (Luther. ) defçription. III. 518. b. Voyeç
ÀÇCORDOIR. : :i
C lÉ des étains, ( Marine ) clés du guindus., clé de fond de
mât, clé de mât de hutte. III. -519. a.
C lÉ , ,( Memùferie ). III. 5-19.
C lé , en termes d’orfevr-e-bijoutier, de plombier, de relieur
, de manuf. en foie , de tourneur. III. 519, «.
C lés , ( .Jurifpr. ) mettre ou jettes les clés fur la fojfe du
défunt. Explication de cette formalité. Circonfiances dans lef-
quelles la femme perdoit ou xenvoyoit les clés ( comparer
c e t article avec l’article Ceinture ). Exemples de quelques
veuves , qui'., renonçant aux biens de leurs maris, mirent,
fiir fa repréfentation , leurs clés , leu r ceinture ou .leur bourfe
Voyc{ C e s s ion ). III. 519. a. C e privilège qui n’appartenoit
qu’aux* femmes des nobles , fut étendu enfuite aux femmes
des roturiers. Coutumes à confulter. Ibid. b. Voyeç C ommun
a u t é de -biens entre conjoints.
. C L É A N TH E , fécond fondateur du portique. Principaux
événemens de fa vie. X V . 532. a. Hymne de ce philofophe.
V I I I . 396. é.
C L E A R Q U E 3 difciple.d’Ariflote. X V . 320. *.
ClÉarque , tyran d’Héraclée, fonda une bibliothèque
dans cette ville. IL 230. b.
C L É CH É , ( Blafon) divers fentimens fur ce qu’on doit
entendre par une croix cléchéc. IIL 519.. b,
Cléchée. Croix de déchèe. Origine de cette e-xprefîion.
Suppl. II. 439. a.
OE É D O N ISM E , efpece de divination chez les anciens.
'O n .n’eft pas d’accord fur l’objet 8c la maniéré de cette divination.
Diverfes lignifications que les auteurs donnent à ce mot.
III. 319. b.
CLEF , ( Blafon ) meuble qui entre dans plufieurs écus.
Maniérés de la repréfenter. Suppl. II. 439. a. Voyeç C lé.
C lef , petite , ( Mufiq. ) dénomination hors d’ufage. Voyez
C lé.
C lef , ( Archit. navy ) pièces de bois qu’on établit dans les
mailles des varangues & des couples , de diftance en diflance ,
pour l’afferiTnffement des fonds du vaiffeau. Suppl. II. 349.
a. Leurs dimenfions 8c flruéture. Maniéré de les établir. Ibid. b.
Voyeç CLÉ.
. C L E ID O M A N C IE , (D iv in .) divination par le moyen
des clés. Etymologie du mot. On ignore comment elle fe
pratiquoit. Comment elle l’a été dans le ehriflianifme. III.
s * ? ; a- _ m m m
C L E L IE , {Hijl. rom.) fut une des dames romaines données
en otage à Porfenna. Action héroïque de cette femme. Statue
qui lui fut érigée. Suppl. II. 439. b.
CL EM A T IT E . Caraéleres de ce genre de plante. Quelques
efpeces dé ce genre confédérées par rapport au jardi-
nage. Qualités qui doivent leur faire trouver place dans nos
jardins.
ArbrifTeaux grimpans. Clématite commune ou herbe aux
ueux. Origine de ce nom. Obfervations fur cette plante.
II. 320. a. Clématite à feuille entière. Clématite du Canada.
Clématite du Levant. Clématite à fleur bleue. Clématite à
fleur bleue double, l’un des plus beaux arbriffeaux floriilans.
Obfervations fpr fou feuillage 8c fa fleur. Maniéré de le multiplier
& de le cultiver. Eloge de cette plante. Ibid. b. Clématite
à fleur pourprée , clématite à fleur double pourprée,
clématite à fleur rouge , clématite à fleur double incarnate.
Obfervations fur ces quatre efpeces. On peut multiplier de
graine toutes les efpeces de clématite à fleurs fimples.
Clématite à fleur bleue , clématite à fleur blanche , petite
clématite d’Efpagne. Obfervations fur ces trois efpeces. Ibid.
w B Ê
Clématite. Noms de cette plante en différentes langues. Son
caraélere générique. Suppl. II. 439. b. Énumération de fes
C L E
efpeces. Ibid. 460. 4, Leur -défeription. Culture & ufages.
Lieux d’où elles font originaires. Ibid. b.
CLÉMATITE,Ou herbeaux-gueux, (Mat.méd.) n fageextérieur
des différentes parties de cette plante. Pourquoi o n l’appelle
herbe aux gueux. III. 521. a. — -
CLEMENCE , ( Droit polit- ) définitions de cette vertu.
Dans quels cas le fouverain doit ufer de clémence , & faire
grâce. S’il n’y a point de fortes raifons d é faire g râce, le
fouverain doit pencher à mitiger la peine. Q uels font les con-(<
traires de la clémence,, & pourquoi elle efi néceffaire. On
la diflingue aifément de cette foibleffe qui mene le prince au
mépris, paffage de M. de Montefquieu fur cette vertu. IIL
321. b. La-faculté de l’exercer eft une heureufe prérogative
dont les grands jouiffent, & le caraélere d’une- belle am e ,
quand ils en font ufa.ge. Partage de Cicéron dans fon oraifon
pour Ligarius. Ibid. 32 2. a.
C lemence, Mythol. ) divinité païennetë*c. III. 322 .a .
■ Clémence. Figure fymbolique de cette vertu. X V . 731. a.
CLEM EN C E T , ( Dom ) de_ la congrégation de S. Maur.
Ses ouvrages. Suppl. IV . 218. b.
C LÉMEN T, évêque de Rome. Recueil des pièces qui lui
ont été fauffement attribuées. III. 322. a.
C lément d'Alexandrie. Sa doétrine. VIII. 318. a. Examen
de fes ouvrages. XII. 340. b. Son fentiment fur la nature de
Dieu 8c des efprits , VIII. 372. a. fur les oracles des païens
I O / i 33- ! ùr un. feu purifiant, XII- 231. a. fur laprédefti-
nation & fur le franc-arbitre. XIII. 276. b. 277. a. fur l’uni-
verfalité du falut. 874. a , b. Ce pere de l’églife eft un des
premiers qui a tâché d’introduire dans le chriftianifme une
fciencé fecrete réfervée aux parfaits. X IV . 791. a , b. Ses
Aromates. X V . 347. a. C e pere cité au lu jet des traditions.
X V L 309. a , b. Sa-modération à l'égard de la parure des femmes.
X V II . 221. b. Il défend de manger des viandes facrifiées
aux idoles. 229. a.
Clément I I , pape. Conditions qu’il impofa aux Polonois,
lorfqu’il releva Cafimir de Tes voeux. XII. 931. a.
Clément IV . Obfervations fur ce pape. X III. 389. b.
Clément V . Obfervations fur ce pape. X IV . 361. b. Son,
recueil des décrétales. IV . 720. a. III 322. a.
C lément VIII. Ses foins pour la correétion de la vuleate.
X V II . 377. a. ô ‘
Clément IX. Sa patrie. Caufe de fa mort. X I I , 661. ai
Clément XI. Événemens auxquels il fut intérefle pendant
la guerre de Louis X IV 8c de l’empiyeur. Sa conduite
à l’égard du livre du P. Quefnel. XII. 448. b. X V 1L
381. b.
Clément , ( Profper ) de Modene. Maufolèe qu’il à.
fculpté. Suppl. I. 91. b.
CLÉMENTINES , .( Jurifp. ) recueil des décrétales du
pape Clément V , fait par l’autorité du pape Jean XXII.
III. 322. a.
Clémentines. Recueil de pièces apocryphes attribuées faufiè- '
ment à S. Clément, III. 522. a. Voyeç C onstitutions
apofioliques. &
CLÉOBIENS , ( Théolog. ) feéte des fimoniens dans lé
premier fiecle. C h e f qu’on leur attribue. Auteurs à confulter.
HI. 322. b.
CLÉOBIS 6* Biton , ( Hijl. anc.') piété de ces deux freres»'
Suppl. I. 3 52. b.
C L ÉO B U L E , l’un des fept fages. V II . 91©. a. IX. 334. a.
C L ÉOM EN E , I du nom, ( Hijl. de Lacèd. ) fils d’Anaxan-
dride , dont il fut l’héritier au trône. D étail de fon régné.
Suppl, IL 461. b.
C léomene II , fils & fucceffeur de Léonidas. Principaux
événemens de fon régné. Suppl. H. 462. a.
Cléomene II , roi de Lacédémone. H fait égorger les
éphores. V . 773. a. Sêntimens vertueux que fa femme Àgiatis-
lui infpira. Suppl. I. 206. b. Sort malheureux de c e roi. SuppL
IL 630. b.
CL ÉO N , {Hifl. anc. ) athénien. Suppl. I. 673. b.
C L ÉO P Â TR E , ( Hijl. des Égypuffi fille d’Antiochus, roi
de S y r ie , mariée à Ptolomée Epiphâne. Effets de cette union. .
SuppL II. 463- a.. Son adminiftration après la mort de fon
mari. Ibid. b.
Cléopâtre , fcêur & femme de Philometor. Suites fu-
neftes de fon fécond mariage avec Phifcon, Suppl. IL 463. b.
C léopâtre, femme de Phifcon, fille de la précédente.
Rivalité entre fes deux fils , A lexandre, & Soter , auffi nommé
Ptolomée Lathur. Refpeét de celui-ci pour fa m ore, qui.
n’a pour lui que les fentimens d’une marâtre. Ingratitude d’A lexandre
envers elle. Il eft replacé fur le trône 8c la fait
mourir. Suppl. H. 463. b.
Cléopâtre , reine d’Égypte , fille de Ptolomée Aulete.
Principaux événemens de ion régné. Suppl. II. 464. a.
. CleOpatre , reine d’Égypte. Son caraélere peint par
Horace. X. 99. a. Surnom qu’elle fe donna. XI. 96. h. Son,
arrivée à Tarfe. Comment elle y féduifit le coeur d’A ntoine.
X V . 918. b. "Séjour qu’ils firent à Samos. X IV . 398. b.
Empire qu’elle prit fur Antoine. X V L 680. a. Société de
C L E C L E 333311
pUif.r mi’il« lie«»* H 9 Préfeçç: qû’ÿ è - f r
dans un repas qii’elle donna a Marc-Antoine. IV . 269. a.
Bon mot de Cléopâtre fur ce qu’Qétave , avant la bataille
d ’Aétium, s’étoit empare du porte appellé toryne. X V I . 44q. -z.
Elle caufe la perte d’Antoine. X V I . 080. b. Projet fingulier
«u’elle forme d’abord après la bataille d’Aétium. X V . 633.
1 Moyen inutile qu’on employa -pour la guérir de la pi-
quure d’un afpic. X V . 608. a. Sa foe u r . kxïmot. Suppl, I.
^ C L ÉO PH AN T E -, de Corinthe , inventeur, de la peinture
ânonocliromc. XII. 238. a. 2 7 1 .4- _ . . „
CLÉOPHAS , (H ijl. cccl. ) frere de S. Jofeph , & fils ,
comme lui , de Ja cob, époufa M a r ie , foeur de la fainte
Vierge. Jefus lui apparoît fur le chemin d’Emmaiis. Ses fils.
Suppl. IL 465. é. ..
C L É O S T R A T E , aftronome. XVI. 133. a.
CLEPSIAMBE. Obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
SuppL 11. - , 1 , , . . n
CLEPSIAN GOS , ( Mufiq., injlrum. des anc. ) mftrument
de mufique étranger aux Grecs. Suppl. IL 463. b. : • . ,
C L E P S YD R E , ( Phyfico-mathém.) horloge à eau (Voyc[
çc mot ). Etymologie du mot clepfydre. Clepfydres de mercure.
Q u i font ceux' qui en ont fait ufage. Origine des
clepfydres. Défauts de ces machihes. M. Amontons a pro-
pofé une clepfydre qui n’eft fujette à aucun de ces défauts.
Maniéré de conftruire une clepfydre. III. 322. b. Recherches
<Ie M. Varignon 8c de M. Daniel Bernoulli fur les loix .du
mouvement des clepfydres. En quoi confifte la difficulté.de
les trouver avecprécifion. Ouvrage à confulter. Ibid. 323 . a.
C lepsydre , ( Mufiq. injlrum. des anc. ) infiniment d.e mu-
Jlque à tuyau, efpece d’orgue hydraulique. Son invention. Sa
defçription. Suppl. II. 466. a.
C L ER C , ( Jurifpr. ) étymologie & origine de ce mot.
Origine de la diftinétion des clercs d’avec le refte de l’églife.
Diflerens degrés qui les diftinguent. III. 323, a. Par qui les
Clercs doivent être ordonnés. Leurs fondions ne peuvent
être remplies par des laïcs. D e leurs immunités 8c privilèges.
Occupations qui leur font défendues.De leurs.habits. D e leur
juge. Ibid. b. • .
' Clerc. Dans tes premiers fiecles, il n’y ayoit aucune diftin-
ô io n entre les clercs & les laïcs quant à l’extérieur. X V L
414. a. Défenfe aux clercs de porter de longs cheveux &
de longues barbes. II. 7 1 . a. Pourquoi les laïcs ne pouvoient
ê tre clercs. V IL 300. a. Des habits des clercs. VII I. 13. a , b.
Les clercs qui avoient penfion du roi , ne la çonfervoient
plus dès qu’ils avoient un bénéfice. V IL 418. b. Défenfe
aux clercs de prêter à intérêt. VII I. 823. b. 824. a. Juges
devant lefquels les procès où les clercs étoient impliqués,
dévoient être pourfuivis , félon quelques conciles. IX . 76.
a , b. Congrégations de clercs réguliers , formées- depuis le
commencement du feizieme fiecle. X. 617. b. Obligation
impofée aux clercs de vaquer à l’office. XI. 413. b. Clerc
attaché particulièrement au patriarche de Conftantinople. X V .
746. a.
Clerc. Titre commun à plufieurs offices relatifs à l’admi-
niftration de la juftice 8c de la police. Pourquoi le titre
de clerc , qui fignifie cccléfiajlique, a été tranfporté à ceux
qui exercent ces ionélions.
Rèponfe de Charles V , roi de Franc e, à quelqu’un qui
inurmuroit de l’honneur qu’il portoit aux clercs ou gens, de,
lettres. III. 323. b. Clerc des aides. Clercs des arrêts. Clercs,
d’avocat : leurs fonéüons. Réglemens qui les concernent.
Clercs des baillifs , fénéchaux, prévôts. Clerc & changeur
du tréfor du roi. Clercs des commiffaires du roi o.u. du par-,
lement. Ordonnance où il en eft parlé. îtnd. 324. a. Clercs
de commiffaires au châtelet , 8c autres commiffaires de
police. Clerc de la commune de Rouen. Clercs ' du .confeil.
Clercs du confeil des officiers 8c ouvriers de la monnoie.
Cle r c de confeiller ou préfident. Clerc du eonfulat. Clercs
des élus. Clerc-examinateur. Clercs-experts. Ibid. b.
, Clerc des foires. Clercs - greffiers ou fecrétaires : diverfes
ordonnances où il en eft parlé. Clercs du greffier : divers,
édits de leurs créations. Clercs des greniers à fel. III. 323.
a. Clerc de la halle de Douay. Clercs d’honneur. Incertitude
fur le fens, de ce titre. Maître-clerc. Clerc de la marchan-
dife de Paris, quant au fait de l’eau. Clercs d,es monnoies
de France. Clercs ou notaires. Clercs des notair.es du roi.
Ibid. b. Clerc de la prévôté de Paris. Ibid. 3 26. 4.
Clercs de procureur : leur origine. Pourquoi le lieu où, ils
travaillent s’appelle Yctude du procureur. Les clercs, doivent
s’inferire fu rie s regiftres de la communauté. C e qu’on, entend
chez les clercs par bafoche , par haut 8c fouverain empire
de Galilée. Les clercs de procureurs h L yon 8c autres
lieux font quelques fonctions de perfonnes publiques.. D é fenfe
aux clercs de porter épée, canne ou bâton. III. 326.
a. Ouvrages à confulter. Ibid. b.
Clercs de procureur. Jurifdi&ion où fe jugent leurs contefta-
tions. Vjyesj Basoche. Jurifdi&ion des clercs de procureurs
de la chambre dos comptes. V . 383.b.
Clercs du roi. C lerc du ro i, juge. III. 326. b.
. Clercs, du fecret : ce -qu’on entendoit par ce titre : leur origine.
Première origine des fecrétaires d’état. Pourquoi ces
clg rcs , furent appellés du fecret. IIL 3 26. b.
Clercs du fecret, il en eft parlé, X . 334. a.
. Clerc du r o i, receveur. III. 3.26, b.
. Clercs des villes de commerce ; ordonnance 8c lettres où
iLen eft parlé. III. 327. a.
. Clercs de chapelle. Clercs du cabinet, en Angleterre, n i .
527. a.
Clercs de la chambre., à Rome. Prix que coûtent ces charges j
revenu qu’elles procurent. Jurifdiétion des clercs de la chambre
apoltolique. III. 32,7. a.
. Clerc du guet, ( Marine ) III. 3.27. a.
Clerc dans les corps, des marchands, 8c les communautés
des. arts 8c métiers. IIL 327. b. -
Clercs de marchands ou communautés. X V II . 763. a.
Clerc, (Sèbàjien le ) graveur. V II . 867. b. Deffinateur.
. SuppL. III. 018, a.
-C lerc, (Jean le ) fon fentiment fur l ’infoiration des auteurs
facrés. V . 363. b.-VIII.Ï793,é. Sur la Trinité. XII. 733.
a. Examen de fa logique. ÎX . 639. a.
Clerc , ( Perrinet le ) -maffacre qu’il caufa dans Paris en
I4 i8 :fta tu e qui lui fut érigée. XIII. 678. a.
. CLERGÉ , étym. du mot. Pourquoi le corps des eccléfia-
ftiques eft appellé de ce nom. Diftinétions que le clergé a toujours
reçues dans l’état. Il eft reconnu en< France pour le premier
corps 8c 1e premier des ordres du royaume.- Honneurs
qui lui ;font réfervés en France , foit au clergéen général ,
foit à quelques prélats en particulier j en Suède, en Pologne.
III. 327,<z. en Angleterre, en Allemagne. D u rang des chapitres,
8c communautés régulières, &c. Haut 8c bas clergé
en France .8c en Angleterre. Des immunités ou exemptions
du clergé : fermeté des évêques 8c conciles à les maintenir.
L’immunité eccléfiafiique eft de deux fortes ; la pCrfonnelle
8c la réelle : en quoi confident l’une 8c l’autre. Ibi'd. 328. a»
L’immunité réelle n’eft point telle que les biens du clergé
(oient exempts de toute charge publique. Droits honorifiques
du clergé. Droits utiles. A ifemblées du clergé de France $
ordinaires ou extraordinaires : les ordinaires font particulières.
ou générales. Ibid. b. Les affemblées générales font ou grandes
, on les appelle affemblées du contrat ; ou petites, on
les nomme affemblées des comptes. T em s, lieu 8c durée des
affemblées. Des députés aux affemblées. Des préfidens, promoteurs
8c fecrétaires de l’affemblée. Les affemblées extraordinaires
font de deux fortes ; ou générales ou particulières. En
quelle forme fe fait la convocation des affemblées extraordinaires
particulières. Quels eccléfiaftiques y font appellés.
Mémoires à confulter. Ibid, 329. a. Réflexions tirées de l’ef-
prit des lo ix , fur la puiffance eccléfiafiique. Ibid. b.
C lergé , voy eç Ecclésiastiques , Sacerdoce, Prêtres:
Comment le clergé étoit entretenu dans les premiers tems
du chriftianifme. IV . 1091. b. Capitulaires par lefquels on
chercha en France à régler le clergé ; mais qui furent infen-
fiblement négligés. II. 633. b. Introduction du clergé awd
affemblées nationales. X lV . 144. a. 143. a. D es fubventions
fournies par le clergé. IV . 6 jo . h, A ffemblées décennales du
clergé.,676. b .. Agens généraux du clergé. I.; 172. b. Ses députés.
IV . 868: a. Elu du cle rgé , ou pour le clergé. V . 331:
b. Dons gratuits du clergé. 38. a ,b . &c. IV . 673. b. & c. Le
nombre fin-abondant des gens d’églife, contraire à l’opulence
nationale : réforme à établir fur cet objet. V . 748. a ,b .
Clergé anglois. X V . 637. b. Autorité que les rois faxong
s’étoient réservée fur le clergé. X V I I . 387. a. A ffemblée du
clergé en Angleterre. IV . 169. a,, b. Défenfe du clergé par
Lancelot Addiffon- X V I I . 602. a.
. Clergé turc. X V I I . 374. a. - , 1
Clergé, dans quelques anciennes ordonnances fignifie les
gens de, juftice. III. 329: b. ‘
. C L E R G IE , ( Junfpr.) anciennément fignifioit fcîence. On-
appellaauffi.de c e jiom les greffes des jurifdiétions. Ordonnances
& mandêmient qui le prouvent. III, 329. b.
C L É R I , (G é o ffi) petite, ville de l’Orléanois. Monument
de Louis XI dans ce lieu. Defçription que La Fontaine en
fait dans une de .fes lettres. SuppL H. 466. a.
CLÉRIC ALE. Couronne cléricale. IV . 394. b. X V I. 4 1 3 .b.
Nobleffe cléricale. XI. 174. b. Titre clérical. X V I . -\6o.a.
CL ÉR IC ATU R E , {Jurifp.) ce qui concerne l’état d * c a ricature
eft expliqué au mot Clerc, Clergé , -Eccléfiafiique. En
quoi confiftent.les privilèges de-cléricature. i° . En ce que le
clergé forme le premier ordre du royaume j 2®.-en matière
criminelle, les elerespeuvent demander leur r en vo i' parde-
vant le juge d’églife, &c. Autres privilèges dans les jùge-
jnens qui les concernent..^0. En matière civile , . . . . . ils ne
peuvent être traduits que devant les juges d’églife , &c. 8c ils
ne peuvent ê tre contraints par corps, &c. 40. Ils'font exemts
détaillé. .3°. Diverfes autres exemptions dont ils jouiffent.
III. 33P. a, 6°. En matière d’aide , ils font rexemts des nouveaux
cinq. fous, pour Jes. vendanges , le vin du crû de leur