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imprimés dans les fibres par les objets. Suppl. III. 37. a.
C ’eft à la force de l’attention que l’on doit celle de l’imagination
& les tableaux qu’elle crée. 567. fl. Perception lumi-
neufe qu’elle nous donne de l’objet auquel nous l’appliquons.
D iv e rs maux caufés par une attention trop foutenue.
X V . 3 a. b. Effets finguliers d’une attention profonde. 46. a.
Effets de l’attention fur les mouvemens & l’économie du
corps. 33. b. Voyez MÉDITATION, RÉFLEXION.
A t ten t ion , ( Belles-lettr. ) fes heureux effets dans le
poète & dans l’artifte. En quels cas elle prend les noms de
réflexion 8c de méditation. Suppl. I. 683. B.
Attentions , égards , ménagemens , circonfpctfion : ( Synon. )
.V. 413. A
A T T ÉN U AN S , ( Mèdec. ) d iverfes claffes de ces remedes.
Attenuans appellés fondans 8c apéritifs; ceux qu’on nomme
expettorans. Les attenuans font encore divifés à- raifon de
leur origine ; favoir ceux du régné v é g é ta l, du régné animal
, & du minéral. I. 843. a.
A t tenu an s , ( Médcc.) critique de cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 684. a.
Atténuant, voyez fur cette forte de remedes. XI. 328. b.
Apozeme atténuant. I. 542. a.
A T T É N U A T IO N , ( Jurifpr. ) défenfe par atténuation.
IV . 737. a.
A T T ÉN U E R , broyer, pulvérifer, ( Synon. ) différences
entre ces mots. I. 843. b.
A T T E S T A T IO N S , I. 117. a.
A T T I -A L U , ( Botan. ) efpece de figuier du Malabar.
Différens noms fous lefquels on l’a défigné. Defcription de
cet arbre. Suppl. I. 684. a. Ses qualités 8c ufages. Erreurs
de Linnæus. Ibid. b.
A T T IC ISM E , ( Littcr. ) fineffe, politeffe de langage.
Origine de ce mot. Définition de l’urbanité. I. 844. a.
A t t i c US , ( Pomponius) Hifl. rom. Hifl. de la philoflophie ,
fut le plus grand philofophe des Romains , puifqu’il fit fervir
fes connoiflances, non à contenter une curiofité ftérile &
fu p erb e , mais à fe rendre meilleur. Hiftoire de fa vie.
Suppl. I. 684. b. '.
A t t icu s , ( Titus Pomponius ) choix de leâures qu’on •
faifoit à fa table. IX. 334. a.
A t t icu s , ( Hérode 3 pere & fils : leur patrie : anecdote
fur le pere : obfervations hiftoriques fur le fils. X . 69. b.
Principes philofophiques d’Hérode - Atticus le pere. X lII.
6x6. a.
Atticus, patriarche de Conftantinople : fa tolérance & fa
charité. X IV . 832. a.
A T T IG N Y , ( Géogr.) ville de France en Champagne,
& chef - lieu d’une petite contrée , appellée la vallée du
bourg. Evénemens qui l’ont rendue remarquable. Suppl. I.
686. b.
A T T IG O U V A N T A N S ou A t t ig o u v a n t a i s , ( Géogr.)
peuple de l’Amérique feptentrionale , à l’occident du lac
des Hurons. Ses habitations. Sa police. Sa religion, yfa ge s
qu’il obferve dans les funérailles. Suppl. I. 686. b. Elpece
de médecine pratiquée chez ce peuple. Obfervations fur les
femmes. Ibid. 687. a.
A T T I L A , ( Hifl. des Goths ) titres que prenoit ce roi des
Goths. Hiftoire de fa v ie. Suppl. I. 687. a. Portraits qu’en
ont tracés quelques auteurs modernes. Ibid. .689. b. La
monarchie dont il avoit été le fondateur divifée. après fa
mort. Ibid. 690. a..
Attila , obfervations fur ce prince 8c fur fes conquêtes.
V I . 689. a y b. VII I. 354. b. X IV . 338. a. B a s - r e lie f de
l’algarde , repréfentant Attila. X IV . 60. b. 829. a.
A T T 1L IA , loi. IX. 653. a. Tu tele attilienne. X V I .
764. a .
A T T ILU S , ( Hifl. de Suede ) roi de Suede , célébré feulement
par fon avarice. Suppl. I. 690. b.
A T T I -M E E R -A LU , ( Botan.) figuier du Malabar. Ses
différens noms. Defcription de cet arbre. Suppl. I . 690. b.
Ses qualités & ufages. Ibid. 691 .a .
A T T IQ U E , ( Géogr. atic. ) province de l’Achaïe. Diftinc-
tion des peuples de l’Attique par tribus. D ’où étoit tiré le
confeil des Prytanes. I. 844. a. Les treize tribus de l’A t-
tique comprenoient cent foixante - quatorze peuples ou communautés
de noms différens. Enumération de ces peuples.
Ibid. b. r
A t t iq u e , (Géogr.) ports de cette contrée. Avantages
que les Athéniens en retiroient. Fontaines de l’Attique. Ses
montagnes. Mines d’argent qu’elles renfermoient dans leur
fein. L’Attique eft aujourd’hui défignée fous le nom de
duché d'Athènes. Suppl.ï. 691. a.
Attique , fes bornes. Suppl. I. 671. b. C e pays policé par
Cecrops. Suppl. II. 476. b. Tétrapole de l’Attique. X v l .
212. a. Magiftrats ou chefs de chaque région de l’Attique.
IV . 806. fl. Promontoire de l’Attique nommé Zofler. X V II .
744. b. Montagne de l’Attique , appfellée aujourd’hui Perl-
deli. Obfervations fui- un monaftere au pied de cette montagne.
XII. 293. a.
A t tique, ( ArchiteElure) étage peu é levé qui fert à couronner
8c exhauffer un bel étage. Pourquoi il eft appellé
de ce nom. I. 844. b. Décorations dont ces fortes d’étages
font fufceptibles. Proportion que l’ordre qui les décore doit
avoir avec l’ordre de l’étage qui les foutient. Forme de
leurs croifées ; leurs baluftrades. Attiques deftinés à recevo
ir des infcriptions. Ibid. 483. a.
Attique, ordre, ( Archit. ) XI. 6 1 1 . a.
A T T IT U D E , ( Pkyfiolog. & Orthopédie ) attitude droite :
propriété par laquelle nous nous tenons fermes fur nos jambes.
XV. 483. a. X V I . 407..,b. V . 802. a , b. Attitude ferme.
V I. 327. a. Comment le rapport de grofieur de ventre
avec celle des feffes , fait que l’homme fe tient plus ou
moins droit en avant ou en arriéré. V I. 339. a. Moyen
de corriger un enfant qui auroit l’habitude d’a»Vancer trop
le derrière, & celui qui auroit celle d’avancer le ventre.
Ibid. — Voyez POSTURE , CONTENANCE.
A ttitude. ( Dejfln ) Attitude dans les portraits. XIII.
134. a. Défaut où tombent les profeffeurs des académies
dans la maniéré de pofer le modèle pour les étudians. III.
363. a . L’attitude droite eft la plus ferme & la plus affurée.
V . 802. a , b. En quoi confifte un beau choix d’attitude. III.
363. a. XIII. 161. b.
Attitudes dans l’efcrime. V . 943. b.
A T T O U C H E M E N T , point d.' ( Géométrie ) on dit ordinairement
en géométrie que le point d’attouchemeift vaut
deux points d’interfeltion. Serfs 8c explication de cette pro-
pofition. I. 843. b. Points d’attouchement qui équivalent à
trois points, à quatre points d’interfeltion. Ibid. 846. a.
Attouchement, ( Phyflol. ) voyez T ac t & T oucher.
A T T R A C T IF S , ( Médecine ) remedes extérieurs. Us ne
different point de ceux qui font mûrir & digérer. Principaux
fimples de cette claffe. Fâcheux effets que peut caufer
quelquefois la matière raréfiée par ces remedes.* I. 846. a.
A T T R A C T IO N , définition de ce mot. I. 846. 'a. Différence
entre l’attraltion newtonienne & celle des anciens.
La caufe de l’attraltion encore inconnue. Diverfes fortes
d’attraltions. Ibid. 847. fl. Elle peut fe d iv ifer , eu égard
aux loix qu’elle obferve , en. deux efpeces. La première
s’étend à une diftance fenfible. Attraction de gravité con-
fidérée comme un des plus grands ' principes & des plus
univerfels de la nature. La fécondé n e s’étend qu’à des distances
infenfibles. Ibid. b. Attraction des parties des fluides ,
de deux furfaces unies. Diftance à laquelle cette attraction
s’obferve. AttraCtion d’un rayon de lümiere par la partie
aiguë ou tranchante de quelque corps folide & opaque.
C ’eft à Newton que nous fommes redevables de ces
connoiflances. Ibid. 848. a. Diverfes expériences qui prouvent
qu’il y a une puiflance & une aCtion attraCtive entre
les particules de divers co rps , par exemple, du fel & de
l’e a u , du fer & de l’eau-forte, &c. Caufes de la -rondeur
qu’affeClent les gouttes d’eau & de mercure. Ibid. b. Coagulation
de divers liquides par l’attraftion. Comment, par le
même principe, le fel diffous -dans une grande quantité d’eau
fe réunit en malle à mefure que l’eau s’évapore. Adhélion
de l’air aux corps, fluides & aux folides. Ibid. 849. a. Expériences
qui prouvent que les liquides font attirés par les
corps fondes. Par cette attraCtion entre les particules des
corps, Newton explique une infinité de phénomènes qui
feroient inexplicables par le feul principe de la gravité.1
Par les principes newtoniens on explique tous les mouvemens
qui exiltent dans la nature & la continuation de cës
mouvemens. Ibid. b. Raifons qui nous engagent à fufpendre
notre jugement fur la nature de la force qui produit ces
effets. Quand la caufe eft inconnue, nous pouvons confi-
dérér Amplement l’effet fans avoir égard à la caufe. Dans
la philofophie newtonienne, la recherche de -la caufe eft
le dernier objet qu’on a en vue. Ibid. 830.a . Philofophes
anglois qui ont approfondi les principes ae l’attraltion. Ici
l’on examine fi ces principes font d’une telle fécondité qu’bn
doive chercher à expliquer par eux immédiatement tpus
les phénomènes phyfiques. On joint enfuite les principales
loix d’attraétion qui ont été données par les philofophes.
I. Théor. Outre la force attraltive qui retient les planètes,
&c. dans leurs orbites , il y en a une autre par laqüelle
les différentes parties dont les corps font compofés s’attirent
mutuellement , & cette force décroît plus qu’en raifon
inverfe du quarré de la diftance. Ibid. b.
II. L’attraltion dans tous les corps fort petits eft comme
leur folidité , toutes chofes d’ailleurs égales. Ibid. 831 .a .
III. La force avec laquelle une particule fera attirée par
un corps au point de conta it, fera infiniment plus grande
que fi cette particule étoit placée à une diftance donnée
du corps.
IV . Si la force attraétive qui agit à une diftance afli-
gnable, a un rapport fini avec la gravité , la force attractive
au point de contait fera infiniment plus grande que
la force de la gravité,,
V . Mais fi au point" de contait la force a un rappprt fini
avec
. A T T
avec la g ravité, la force à une diftance. afiigrtable fera infiniment
moindre que la force de gravité.
y ] La force attraétive de chaque particule de matière
au poiry: de contait furpaffe prefque infiniment la force de
la gravité, mais n’eft pas infiniment plus grande.
V IL La force avec laquelle un corputcule eft adhérent
au corps qu’il touche eft proportionnelle à la quantité du
contait.
V I f l. La force de l’attraltioiï croît dans les petites particules
, à mefure que le poids & la grôffetir dé ces particules
diminue. Ibid. b.
IX. La force par laquelle un corpulcule eft attiré ne reçoit .
aucun changement dans fa quantité , foit que la matière du
corps attirant croifie ou diminue , pourvu que celui - ci
confefve toujours la même denfité, 8c que le corpufcule
Demeure à la même diftance. _
X. Les particules d’un corps qui auront été dérangées
par le poids ou l’impulfion d’uii autre, co rps , retourneront
n leur premier état dès que l’altion de cette force aura ccffe.
XI. Dans quel ca5.il ne pourra reprendre fa première
figure.
XII. Un corps plus pefant que l’eau petit diminuer à tel
point qu’il refte fufpendu dans l’eau. Ibid. 832. a.
XIII. Les grands corps s’approchent avec moins de vîtefle
que les petits. '
X IV . Caufe du mouvement ou du repos d’un corpuf-
cule dans un fluide.
X V . Effets de l’attraltion mutuelle des corpufcules nageant
dans un fluide.
X V I . Caufe de la diflblution d’un corps dans un fluide.
X V I I . Celle de la diflblution des fels par l’eau. Ibid. b.
XV II I. Si les corpufcules font plus attirés par les parties
du fluide qu’ils ne s’attirent entr’e u x , ils doivent s’éloigner
& fe répandre çà & là dans le fluide.
X IX . Corpufcules élaftiques , qui nagent dans un fluide
8c qui tendent les uns vers les autres : effets qui en réfultent.
X X . Corpufcules qui s’attirent l’un l’autre dans un fluide ;
effets qui réfultent des diverfes diftances où ils feront
placés. Ibid. 833. a.
X X I. Caufe de la coagulation 8c de la précipitation.
XXII. Celle de là cryftalliÇition.
XXIII. Caufe du changement d’un fluide en glace .1
X X IV . Comment un corps en attire un. autre par les
émanations qui fortent de lui. v
Réflexions de l’auteur fur les précédens théorèmes. Son
fentiment fur l’attraltion. Ibid. b. La première idée d’un
philofophe qui cherche la caufe des mouvemens céleftes
eft de les attribuer à l’impulfion d’un fluide. D elà les tourbillons
de Defcartes. Difficultés attachées à la fuppofition
de ce fluide. L e principe qui fait tendre les planètes vers
le foleil refte encore inconnu. On examine fi l’attraltion
11’eft pomt une propriété primordiale de la matière. Fécondité
du principe trouvé par Newton que la . force attraétive
décroît en raifon inverfe du quarré des diftances. Ibid. 834.
•a. Autant que nous devons être portés à croire l’exiftence
<le la force attraétive, autant nous devons être rèferves à
■ aller plus avant , en difant que l’attraltion foit une propriété
effentielle à la matière, Ibid. b. ou en concluant que
l’attraltion foit un principe univerfel. Réflexion fur cette
xjueftion : la loi d’attraltiqn doit-elle être néceflàirement
regardée comme une puiflance de la diftance, ou comme
■ une fonltion de cette même diftance. Ibid. 833. a. Ouvrage
de M. de Maupertuis à confulter fur cette matière. Auteurs
qui ont foupçonné le principe que Newton a démontré;
Attraflion, différence entre traltion 8c attraltion. X V I.
307. a. Attraltion exercée fur les particules de lumière par
les autres corps. IX. 720. b.. M . Euler prétend que l’attraction
, quand on la regarde comme un principe différent
de Pimpulfion , eft contraire au principe de la force d’inertie :
examen de ce fentiment. V I I . 1 12. a. L’attraltion confi-
dérée connue caufe de la cohéfion 8c de la dureté dans
le s corps. III. 606. a. I. 132. fl. V< 172. a. L’attraltion
caufe de l’élafticité. V . 444. b. Vous trouverez divers détails
relatifs à la do&rine de l’attraltion , aux articles Gr avitation
, Gravité , Newtonianisme. Attraltion éleltri-
q u e , voye^ Electricité.
Attraction des montagnes. (Phyflq- ) Dèmonflration de
la poffibilité de cette attraltion. Cette force attraétive de la
montagne fera perdre la direltion verticale à un fil à plomb.
Moyens de s’en aflùrer. I. 833. b. L’auteur renvoie ici au
mémoire de M. B ougner, imprimé à la fin de fon livre de la
figure de la terre. Ibid. 8 36. a.
Attradion des montagnes. Son effet fe remarque fur-
tout dans les opérations par lefquelles on détermine la
■ grandeur des degrés de la terre. D ivers géomètres ont
penfé que leurs opérations avoient pu être troublées par
cette caufe. C elles du P. Bofchowieh en Italie, par l’attraltion
de l’Apennin. Suppl. I. 691. fl. Celles qui ont été faites à
Perpignan par l’attraltion des Pyrénées. C elles du P. Beccaria
A T Y 125
en Piémont , par l’attraltion d<: Monte-rofà . Les opérations
faites auprès de la mer , peuvent auffravoi:r été altérées paf
le défaut d’a ttraltion de ce côté. Moyen de s’en affurer <, feîott
le P. Bofchowieh. Ibid. b.
Attr act ion, (Chy/n..& Métall,) phènomenês observés
dans la fufion des métaux $ & defignés fous ce nom. V IL
399. a. L ’attraltion caufe de diflblution. Suppl-. IL 724. b.
Théorie de l’attraltion adaptée aux phénomènes éhyluiques,
III. 437. a. Attraltion avec effervefcence. V . 404, b.
Attradion , figure de grammaire. IV. 79. b. V I. 768. b.
A ttraction , ( Économ. anini.) confidérée comme caufe
du développement des parties de l’embryon. Suppl. I. 133. a,
134. b. Suppl. III. 72. a . 73. a*
A T T R A IT S , appas s charmes $ ( Synon.') I. 347.4.
A T T R A P E R , s ' j ( Maneg. Maréch. ) différence entre Un
cheval qui s’entre-taille & un cheval qui s’attrape. V . 728. b.
Il eft prefque impoffible de remédier au défaut d’ un cheval qui
s’attrape. 729. a.
A T T R EM P E R , -(. Verrerie ) attremper un pot y c’eft le
recuire , & c . Explications 8c détails fur cette forte de travail*
I.83 6. a. ’ •'
A T T R IB U T , ( Métaphyf. ) propriété confiàntè dè l’être
qui eft déterminée par les qualités effentielles. Diftinltion
des qualités effentielles, dès attributs 8c des modes. Il n’y
à guere que les fujets abftraits 8c géométriques dans lefquels
on puifle bien faire fentir ces diftinltions. Attributs propres
8c attributs communs. A u défaut des qualités effentielles 9
ce font les attributs qui fervent à former les définitions, 8c
à ramener les individus à leurs e lpeces, 8c les efpeces à leurs
genres. I. 856. b.
Attribut propre à une efpece. XIH. 486. b. Attributs non
effentiels. Suppl. I. 113. é.
Attribut , ( Gram. Log'tq.) toute propofition eft compofée
du fujet 8c de l’attribut. IV . 81. b. XIII. 472. a , b. 8cc. D e
l’attribut dans une propofition. Suppl. I. 184. b. Dans tout
ouvrage de raifonnement , il faut exalfement déterminer la
condition fous laquelle l’attribut convient au fujet. X. 446. ai
Attributs , ( Théologie ) la conciliation de quelques
attributs de Dieu , foit entr’eux , foit avec le libre arbitre
de l’homme , eft une fource inépuifable de difficultés. L
837. a.
Attributs. Réflexions fur la maniéré d’établir & de défendre
contre les incrédules , les attributs de l’être fuprême* V I .
423. b. Sur les rapports que les attributs divins ont avec nous,
fe fonde principalement l’amour que nous avons pour Dieu*
I. 374. a. Les païens exprimoient les attributs divins par des
figures allégoriques. Suppl. I. 307. a.
Attributs dans la mythologie. Qualités de la divinité que les
poètes perfonnifioient. I. 837. a.
Attributs, chez les peintres & fculpteurs. Symboles confa-
crés pour caraltérifer les divinités de la fable. I. 837. 4 . Voyez
Symbole.
Attributs , ( Peint. ) doiit Ofi accompagne les figures
allégoriques. Suppl. I. 304. b.
A T T R IB U T IO N , ' ( Jurifp. ) juge d’attribution. IX. 9.
b. 10. a. Juftice d’attribution, 93. a. Lettres d’attribution.
413. b.
À T T R IT IO N , frottement réciproque de deux corps.
Exemples de divers corps rendus élellriques par l’attrition.
I .8 ç7 . * . . ' , .
A ttrition , ( Théolog, ) efpece de contrition, ou contrition
imparfaite. C e qu’en dit le concile de T rente. C e nom introduit
par les fcholaftiques vers l’an 1220.1. 857. b. Voyez Contrition.
A T T R IT IO N N A IR E S , ( Théolog. ) -théologiens qui foiï:
tiennent que l’attrition fervile eft fuffifante pour juftifier le
pécheur, etc. 1. 837. b. Voyez Contrition,
A T TU A R IO R UM P Â G U S , ( Géogr. du moyen âge ) canton
j desAttuariens, ou pays de B e ze , dans le Langrois. Attuariens,
au-delà du Rhin. (Jeux qui s’étoient établis dans les Gaules ,
donnèrent leur nom au canton de B e z e , à cinq lieues de
Dijon. Suppl. I. 69Ï . b. Quelles étoient fes limites & fon étendue.
Différens lieux de ce pays dont il eft parlé dans quelques
cartes , chroniques, ou autres pièces anciennes. Colonné
militaire découverte à Saguenai, village de ce pays. Ibid. 692,
a. Obfervations fur la ville de Pontaulier, Ibid, b. & fur le
Village de Norges. Ibid. 693- <?• _
A T T U R , (Géogr. ) ville d’A fiè fu r ie Tig re. Elle n’exifté
lus. Son diftrilt compofoit l’Aflyrie proprement dite. Suppl.
. 693. fl.
A T U N , (Botan. ) arbre des Moluques. Ses différens noms.
Sa defcription. Suppl. I. 693. a. Ses qualités. Lieux où il
croît. Maniéré de le multiplier. Ses ufages, Ibid. b. Maniéré
de le claffer. Autres efpeces d’atun , felôn Rumphe, Ibid.
694. fl.
A T Y S , ( Myth. ) l ’un des prêtres de Cybele. Amour de la
déeffe pour ce jeune homme. Elle le métamorphofe en pin,
Événemeiis fur lefquels cette fiable paroît fondée. Suppl, L
694. a, r. ' . . / . - "