5 8 A M E
iicur desêtfiimteHigeiis.,Ibîd. ». iDVéletfrs la mon èfiine
ame fenfitive n’eft que la fouftraélion d’un bien qui n etoit
I &F0fuic.n de P- BoUBeam.
Son hypothefe fur la nature de l’aine des betes. iwa. b.
Ame des béres, aine fenfitive que les Péripatèticiefis leur
■ donnoieut. VIII. 793. «. Formes fubftanrielles imaamees par
les Schoîaftiques pour expliquer l’ame des betes. V i l . i jb .b .
Opinions des modernes ïu r cette ame. 177. a. Sentimens des
Sociniens. X V II . 50c,. b. Cette am eu ’eft ni
tuelle. V I . 364. a. Réflexions philofophiques fur lame des
bêtes. II. 214. b. D e la faculté de comparer dont elles lont
douées. III. 744. b. Différence de l’intelleff de la bête oC de
celui de l’homme. VII I. 806. a. .
Ame du monde, ce que les anciens pliilofophes entendoient
par-là. VII I. 570. n. XII. 961. n. D om ine des Stoïciens fur
ce fuie*' X V 3-8. a. Cette doélrine admife chez les Celtes.
I I 810 I Le fyftême de l’ame du monde favorifoit les extiftjîccs
VI. 329 .a . L e dogme de-l’ame du monde a de grands
rapports aveefe foinofifme. X V . 4 6 3 ^ ame eft 1 archée
des pliilofophes -fpagyriques. Suppl. I. 534- .
AME des plantes, 'divers fentimens fur fa nature & Ion
fiege dans la plante. Elle n’ell regardée que comme végétativ
e. I. 3 53. b. Voyez P lante.
A me de Saturne , {Alchym.) I. 353-^
-Am e , ( Archit. Dejfm ) A m e , {Stucateur ) I. 333. b.
Ame d'-une médaille. X. 239. a.
A m e , terme d’artillerie , de manne , d artificier, de bOii-
ïe lie r , cfe commerc-e de tabac. I. 354. a.
A me , ( Fonderie) voyei NOYAU. XI. 267. a , b. 26«. a.
A me , ( ArtilL ’) arrondiffement du fond de i ’ame des pièces.
A . 1 É , mot ordinairement joint à celui de féal. V I . 46 t. a.
Premières lettres où fe trouve cette adreffe , à nos amês 6*
féaux. XI. 590. a. Voyez ci-deffous A m ÉS.
A to é , princes de ce nom qui ont régné en Savoie. A 1V .
7 ' Ï m ED ÉE V I I I , duede Savôte, té jêu rq ifiH ità R ipaille;
heimitage qu’il ave-it fondé. X IV . z f j . b.
•Amid é e , IX. X V I . 296. b.
AM E L A N D , ( Géogr. ) petite ifle des Provinces-urnes, &c.
SU{A ^ iÊ l l4TBotan. ) plante du Malabar. Ses autres noms. Sa
defeription* Suppl. I. 342. *. Ses qualités & ufages. Deuxieme
efpece : Gorallo. Ses différens noms. Lieux où croît cette
plante. Sa defeription. Remarques. Ibid. b.
• AM E L IA , ( Géogr. ) ville d'Italie dans le duché de Spolette.
Diverfes obfervarions fur ce lieu. Suppl. I. 342. b.
AM E L 1N , ( Jean d’ ) obfervations fur cethomme de lettres.
X IV . 660. b. I H , .
AM É L IO R A T IO N , ( Jurifp. ) on en diftingue de trois
fo rtes ; d’indifpenfables, d’utiles, de voluptueufes. I. 3 3 3. <z.
AM É L IO R E R , ce mot n’eft appliqué ici qu’à l’art du jardinage.
Moyens d’améliorer une terre. I. 3 54. a.
AM ELIUS-, philofophe écieâique. V . 276. a.
AM E LO T de la Boujfaye, obfervations fur ce favant &
fes ouvrages. X I . -652. a.
A M E L O T T E , ( Denis) fes ouvrages. X IV . 522. b.
-ÀMELPO , ( Bot an. ) arbre du Malabar. Ses autres noms.
Suppl. I. 342. b. Defeription, qualités & ufages de cette plante.
Remarque fur la maniéré de la claffer, Ibid. 343. a.
AM E N , les Hébreux avoient quatre fortes d’amen. Origine
que quelques auteurs donnent à ce mot. Racine de ce mot.
M a g e du Deutéronome où il eft employé. Sens de ce mot
d a is le nouveau Teftament, lorfqu’il eft répété deux fois. C e
mot très-fréquent dans S. Jean , ne fe -trouve pas dans S. Luc.
I. 3Ç4. b. ' i
A M E N D E , ( Jurifpr.) il y en a que les loix n ontpas déterminées,
& qui s’impofent fuivant les circonftances & la prudence
du juge. I. 355. a.
Amende honorable, defeription de cette peine, fa ir e amende
honorable à quelqu’u n .!. 3<55. a. .
Amendes, relatives aux chafles. I l en eft parle article X L .
de l’ordonnance de Louis X I V , du mois d’aout 1669. L 3 3 5. a.
Art. X I V , titre des peines, amendes , reftitutions , du mois d’août
s 66p. Article X V . Idem.
Amende,-loi Atérina fur ks-amendes. IX .<$33. a. Amendes
auxquelles les Romains condamnoient. XII. 2 30. a. Amende
nommée W eregild , dans k s loix-d’A lfred . X V II . 587. a. 597.
b. Loix de grands fix fo ls , de petits-fix fols, de -fept fols fix J
deniers. IX. 662. a. Colle&e des amendes. III. 627. b. -Confi- "
gnation d ’amende. IV . 46. a. Contrôle des amendes. 148. b.
Amende coutumière. 4x9. a. L e terme d’exploit joint à celui
d’amende. V I . 308. i. Ferme des amendes. V I. 510. b. Des
condamnations-à l’amende par un juge d’églife. IX . 79. a.
AM EN D E R les terres,{Agriculture) voyqFERTILISATION.
AM E N E R , mener., remerièr., ramener , emmener , remmener ;
^différentes lignifications de ces mots. X. 333. a.
AM ÉN IT É 3 {.Philo/ moral. Belles-Leftr. ) douceur accofli-
AME
pagnée dé pofiteffe & de grâce. S tyle plein d’aménité. Suppl. 1;
3 4 3 .1
AM EN O PH IS , {Hift. d’Egypt. ) roi d’Egypte. Ses cruautés.
L e roi d’Ethiopie en délivre les Egyptiens. Quelques-uns
reconnoiflenten lui le Pharaon contemporain de Moïfe. Suppl. I.
343-. -A. , . v
AM EN TH ÈS , lieu fouterrein, félon k s Egyptiens, ou
vont k s âmes au fortir des corps. Moyens que k s législateurs
ent imaginé pour accorder la providence avec la diltribution
inégale des biens & des maux dans ce monde. I. 333 -b.
AMENU ISER, allégir,aiguifer, {Synon.) termes communs
à prelque touslesarts méchaniques. Différences qui k s caraélé-
rifent. I. 336. a.
AMER -, on ne peut définir les faveurs, qu’en les rapportant
aux fubftances naturelles qui les excitent. Propriétés des
amers. I. 336. a.
Amer, il n’y a point de conformité entre un amer animal
& un amer végétal. V I . j z ’ô. b. Amers confidérés comme
vermifuges. X V I I . 73. b. Eaux ameres de jaioufie. V . 203. b.
AM ER B ACH , ( Jean ) imprimeur. VIII. 624. b.
AM É R IC A IN S , defeription de ces peuples. VIII. 344. b.
347. a , b. 348. a. Doctrines religieufes de quelques fauvages
d’Amérique. X. 48 3. b. 486. a. Ils adorent un mauvais principe
qu’on a cru être le diable. IV . 927. b. Enchàntemens pratiqués
par ces peuples fauvages. V . 618. a. Leurs funérailles. V I I .
373. a , b. Leur fête des morts. V I. 572. b. La médecine cultiv
ée avec beaucoup defageffe chez les anciens Américains. X .
264. a , b. U fage que les Américains font de la mufique pour
ranimer le courage de leurs malades. X. 906. b. Morceau de
mufique Américaine. 902. a. V II . vol. des planch. de mufique
pl. 4. Caraflere du ftyle des fauvages d’Amérique. X. 437. a.
Ouvrages des anciens Américains fur certaines pierres fines.
XII. 376. b. Efpece de bacchanale des fauvages d’Amérique.
X V . 3 58 A . Arme de chaffe la plus ordinaire des Américains.
X IV . 643 . a , b. Leurs enfetenes militaires. V . 712. b. Comment
quelques peuples d’Amérique s’excitent au combat.
Suppl. 1. 807. b. Américains feptentrionaux. V . 949. a. Américains
méridionaux, appelles Moxes. X . 843. b. 844. a. Auteurs
qui ont écrit l’hiftoire des Américains. VII I. .662. b.
AM E R ÎE , ( Antiq. rom.) vo ie d’amérie. X V I I . 419. a.
AM É R IQ U E , ( Gcogr. ) defeription de cette partie du
monde. Ses produirions précieufes. Marchandifes qu’on en
retire. I. 3 56. b.
Amérique, {Hift. & Géogr.) l’hiftoire du monde n’offre
point d’événement plus fingulier que la découverte de ce
j continent. Vouloir que les Phéniciens & les Carthaginois
aient voya gé en Amérique, c’eft une opinion ridicule & aufli
peu fondée que tout ce qu’on a dit des prétendus voyages des
Chinois , vers les plages du Mexique. Suppl. I. 343. b. S’il y a
un peuple en Europe qui ait anciennement fréquenté quelques
côtes de l’Amérique feptentrionale, ce font k s Irlandois & les
N o rv é giens, q u i, avant le quinzième fiecle, firent des éta-
bliffemens au Groenland. Mais le danger de ces parages, & la
rigueur du climat, furent des ohftaeles invincibles aux découvertes
qu’ils auroient pu faire , en dirigeant leur route vers le
midi. Q uand on v o it au contraire Chriftophe Co lomb , découvrir
en 1492 une route aifée , & aller p refque en droite ligne
à Saint-Domingue , on feroit tenté de croire qu’il favoit cette
route d’avance. Ibid. 344. a. Parmi les peuplades répandues
dans ce nouveau monde , il n’eft pas p offibk d’en nommer
plus de deux, qui euffent formé une elpece de fociété politiq
u e; c’étoitles Mexicains & les Péruviens. Leur population a
dû être très-peu confidérabk , puifqu’ils n’avoient ni inftru-
mens, ni aucun animal propre au labourage. — Obfervations
fur l’extérieur & la taille des Américains, des Patagons. Ibid. b.
Race d’hommes appellés Blafards qu’on rencontre à la côte
Riche & à l’ifthme de Darien. Caufe de l’altération de leur
; couleur. Hommes monftrueux dans le nouveau monde, qui
ne font tels que par artifice. D e la caufe du mal vénérien,
dont tant d’Américains étoient atteints, aux Antilles , aux
Caraïbes, dansla Floride, le Pérou, & u n e partie du M exique.
Ibid. 3 4 5. a. C e mal a pu être une affeétion morbifique du tempérament
de ces peuples, comme le feorbut dans les contrées
du Nord. Caufes qui rendoient le climat de l’Amérique mal-
fain dans certains endroits, & beaucoup plus froid qu’il n’au-
roit dû l ’être, eu égard à la latitude refpeâive des contrées.
Peu de progrès que les Américains avoient faits dans la Métallurgie
, & dans quelques autres arts de première nèceffité.
Dépopulation de l’Amérique. Ibid. b. Rien ne prouve mieux
le peu de communication qu’avoient entr’eux tous les
Américains, que ce nombre incroyable d’idiomes qu’y par-
loient les Sauvages de différentes tribus. Etat de dépopulation
& de défolation des terres Magellaniques. La population de
tout le nouveau monde eftimée d’environ quarante millions au
temps de fa découverte. Ibid. 346. a. D e là grandeur de ce
continent. Comment lesEfpagnolsont contribué à la dépopulation
de l’Amérique. La traite des negres employée par la
cour d’Efpagne pour remédier à ce mal. Etat de barbarie où
fe trouvoit l’Amérique au quinzième fiecle. Ibid, b. Recherche
AM E
des Caufes qui ont pu contribuer à l’extrême différence qui fe
trouvoit alors entre les habitans de l’ancien continent & ceux
du nouveau. Obfervations fur l’atlantique des anciens. Ibid.
347. a. Réfutation de l’hypothefe de ceux qui prétendent que
les hommes ne s’étoient introduits que depuis peu en Amériq
u e , en franebiffant la mer du Kamfchatka, ou le détroit
de Tchutzkoi. Obfervations fur les grands os fofliles qu’on a
déterrés en différens endroits du nouveau monde. Ibid..b.
Monumens qui s’y trouvent de quelque grande inondation'
qu’il a foufferte anciennement. Pourquoi les différentes tribus
c e l’Amérique avoient eu peu de commerce & de liaifons
entr’elles. Caufes des fréquentes guerres qui s’élèvent entre
ces peuples. Les peuples véritablement pêcheurs n’exiftoient
que dans les parties les plus feptentrionales du nouveau monde.
Ibid. 348. a. Ufage pratiqué par les peuples chaffeurs de boucaner
la chair. L ’uiage des épiceries plus convenable dans
les climats chauds. Différentes comportions nutritives qu’on
a découvertes parmi les peuples ehaflèurs du nouveau monde.
Ibid. b. Méthode de fe procurer du feu parmi les anciens
Am éricains. Il y a des voyageurs qui ont cru que ces peuples
n’avoient pas la moindre idée de l ’ineefte , au moins dans la
ligue collatérale ; ce qui a fait penfer que les facultés phyfiques
& morales ont dû s’altérer en eux. Ibid. 349. a. Obfervations
fur ce dernier fentiment. Ibid. b. Les moeurs de l’homme fau-
vage le rendent moins robufte qu’on ne feroit tenté dé le
croire. Son penchant à la pareffe. Faffion des Américains pour
les liqueurs fortes. Comment ils en compofent eux-mêmes.
Caufe des ravages que la petite v érole a faits parmi eux. Ibid.
3 30. a. Obfervations fur la longueur de leur vie. Les Américaines
accouchent avec une facilité étonnante. Comment
elles ferment le cordon ombilical de leurs enfans. Pourquoi
on a trouvé peu d’Américains eftropiés ou nés contrefaits.
Quand les Américaines mettent au monde des jumeaux, elles
immolent celui quileurpa roîtle plus foible. Ibid. b. Stupidité
des enfans de ce pays qu’on a e flayé d’inftruire. C e qu’il faudrait
faire pour s’affurer du degré de leur intelligence. Alté ration
qu’on a remarquée dans le tempérament des créoles.
Plus on étendra la culture dans l ’intérieur du nouveau monde ,
en faignant les marais, en abattant les bo is , plus le climat y
changera- & s’adoucira. Ibid. 351. a. C ’eft à tort qu’on a cru
que l’abondance du gibier, dupoiflbn & des fruits provenus
finis culture, avoient retardé les progrès de la v ie civile dans
prefque toute l’Amérique. U paraît au. contraire que la poffef-
fion d’un grain aulfi facile à cultiver que l’eft le maïs, aurait
dû porter lesAméricaùis à renoncer à la v ie ambulante. Cependant
quelques-uns de ceux qui la cultivoient, étoient encore
plongés dans l'anthropophagie. Grand nombre de ces peuples
anthropophages. Ibid. b. S’il eft vrai que quelques fauvages des
Bovinces méridionales d’Amérique adoraient une citrouille.
iferte de mots dans la langue des anciens Péruviens & dans
celle des nations ambulantes. Religion barbare & cruelle des
Américains. Ibid. 332. a. Efpece de jongleurs, facrificateurs
ou médecins qu ils ont parmi eux. L es miflionnaires les perfé»
cutentavec acharnement. Il n’y a proprement que les Quakers
qui fe foient établis au nouveau monde fans y commettre de
grandes injuftices. Les crimes que k s Efpagnols ont commis
f 1 § r°flî«'ement exagérés par Las Cafas. Cruautés
horribles quils exercèrent contre les Péruviens, & les Mexicains.
Armees Efpagnoles qui marchèrent contre ces deux
nations. Ibid. b. Pays impratiquables couverts de ronces de
broùffailles & de forêts, que trouvèrent en Amérique ceux
qui en firent la découverte. Vaftes déferts qui féparoient les
petites habitations des Sauvages. La dépopulation de l'Amérique
& le peu de courage de fes habitans, font les véritables
caufes de la rapidité des conquêtes qu’on y a faites. Et ce n'eft
point, comme .011 l’a c ru , l’avantage des armes à feu qui décida
la victoire en faveur des Efpagnols. Ibid. 333. a. Ridicule fen-
tunent de quelques j-urifcoiifultes , qui ont prétendu que les
peuples chaffeurs n’étaient pas véritablement pofleffeurs du
terreui qu’ils occupoient, parce qu’ils ne le cultivoient pas.
Obfervations fur la bulle d’Alexandre V I , qui donnoit au
roi (JEfpagne tout le continent & les ifles de l’Amérique : &-
ïur le iennmeiu de quelques théologiens qui foutinrent dans
v f leiziem£ fiecle , que les Américains n’étoient point des
t h é oW k n ^ f r 1?16 de CeS théologiens fondèrent k u r opinion.P I6b1*id1. *b*.’ M la(ïUelle Ces
Mrf,y.QUE ’ ( Géoër- ) recherches géographiques & criti-
ques fur la pofinon des lieux feptentrionaux de l’Amérique.
Réglés a fmvre pour eft;««* je degré de crédibilité que méri-
tent les relations des voyageurs. Suppl. 1.3 3 4 .* . Pygmées qui,
fe on les rapports de m i e s Sauvages , k,b ite .itle s p m i«
les plus occidentales &. feptentrionales de l’Amérique1. Ibid.
m 1 1 ur)r^enS ’ qiu ?nt dans ces mêmes
contrées des établiffemens, appellés Efprits par ces Sauvages.
JJeupks qui habitent les parties les plus occidentales du nord
F A 1 V- ■ r“î ue- Contrées qui fe trouvent dans l’intérieur de
»Amérique entre les quarante & cinquante degrés de latitude,
«aunans des pays qui font plus à l’oueft. dbfervations qui
prouvent que l’Amérique s’étend plus loin à l’oueft que les
A M I 5 9
— B I ■ f f l m N a t i s n s qu eleb aron
de la H nous H H Diftances ■ donne d e .
IÏul ir lllaM véraIcnitél ‘Id"e '1ce'd c^cvro,ty-aIgbetudr-, Ibid. Obfervatt.ions critim.es
v o y a g e , par Mv le Pave du H H fort à déterminer ia
largeur de 1 Amérique feptentrionale. Ibid. 3 39. * b. Dètermi-
I nauoii de cette largeur du côté de l’oueft. Obfervations eut
mettent hors d é f a i t e , la vérité de la relation de M le Pale
IhJ . -300. ... Idées particulières fur ce. grand nombre de
nattçns. de 1 Amérique feptentrionale, qui ne font que peu
ou: point connues, l e s voyageurs ont trouvé ce s nat'iMS élus '
douces , plus polies, plus mgénieufes, à mefure qu’ils fe font
avancés vers l oueft. Ibid. b. Réflexions qui prouvent que des
nations çmjtfées ne font pas des colonies étrangères. Réfitta-'
non du fennment de M. de Guignes , qui a cru que les Péru
H B B 4'0riSi?e Chinoife. I b id , M a. L ’opinion dû
cet auteur, qui attnlnic aux Mexicains une même origine
l*AUtr ; D i“ ^ ai0n enCre les anciens liabitans
polteés ne.1 Amérique, & c e u x que i’a„ Kur de comlile
etran0ere d origine , ou mêlés avec des naturels du pays.
Hypothefe de 1 auteur fur une tranfmigration de Chinois en
Amérique. Ibid. b. Conjeflures fur l’exiftence de quelques
nanons policées que l’auteur^place vers l’oueft du Canada
1 able figurée contenant la divifion générale du Canada. Ibid
36a. a.
Amérique , qualité des différens climats de cette partie du
monde. X V II . 727. a. Froid exceflif du nord-oueft de l’Amé-
nque. .VII. 313.^. Recherches fur ces mêmes régions, voyez
GIaCeS, trouvent dans fes mers du nord.
088. a. L Amérique plus froide que l’ancien continent. Suppl.
i v . 230. a. Recherches pour d écouvrir la communication de
la mer du nord à la mer du fud par le nord-oueft. X. 368. b.
D u paffage par le nord de l ’Amérique. Suppl. IV . « O Æ b
L opinion de ceux qui la croient con tigu éi.l’A fie , combattue
par un ohicier Suédois. Suppl I. 630. b. Lareeur du détroit
qui la. fépare de l’A fie. Suppl. II. 13 5. .,. Quelques-tms prétendent
que 1 Amérique tenon autrefois à l’Eui ope. XI. b
Ues chaînes de montagnes d’Amérique. V II . 6ao. u X 6-rj a
Fleuves d Amérique. VI. 8y 4 ’* i | e u r s direftions. S ' , '
Uelcriptton poétique de quelques-uns de ces fleuves renfermes
fous la zone torride. X V II . 7 ag. i . Mines d’or d’Améri-
que. XI. m B H M in e s d'argènt. » mercure.'
VII. 9 77. oXomment le nord de l’Amérique a pu être peuplé.
X. ? 68. é. Comment les animaux ont pu paffer eu Amé fi|ù e;
[ ^Ptes. 3e deluge. IV . 802. b. D es tréfors cachés par les anciéns
ce .pays.,
VIII. 358. a. Colonies Européennes fondées en Amérique.
Diverfes oofervations fur ces colonies. HI. 650. a b R é vo lutions
fmgulieres que le climat de ce pays produit fur k s
Européens. VIII. 130. *. F iev re qui attaque les Européens
dans 1 Amérique Etpagnole. X V . 79i . b. D e la permiffion de.
trafiquer dans les ports de l’Amérique Efpagnole. X IV . 19 *
Avantage que procurerait à l’Amérique la fuppreffion dé
1 efclavage des negres. X V I . 333. a. L ’inoculation portée &
pratiquée en quelques endroits d’Amérique. VIII. 736. b.
769; b. 770. a. L’inquifition établie en Amérique. 773. b. De s
Sauvages d Amérique. X IV . 729. a. Voyez aufli Américains.
Comment les dames reçoivent leurs vifites dans les ifles
Françoues. VIII. 33. a.
C ) principe de eette faveur. 1 .336. b.
AMES & Féaux expreffions par lefquelles nos rois diftin-
guoient dans leurs lettres-patentes, k s magiftrats & officiers
qiUA L 356. b. Voyez ci-deffus A mé.
AMESTRIS , {Hifl. de Perfe) femme de Xerxès , roi de
Ferle O u v o it dans fon hiftoireici rapportée, un exemple
dont 1 amour offenfe eft capable. Suppl. I. 362. b.
A M E T H Y S T E , {Hift. nat. ) pierre précieufe de couleur-
violette. Etymologie du mot. Quelles font les plus belles
améthyftes. Objet de comparaifon qui exprime la couleur de
l’améthyfte. Améthyftes orientales & occidentales. Rapports
de cette pierre avec le. cryftal. I. 337. *. Lieux où elle fe
trouve. Ses propriétés en médecine. Ibid. b..
Améthyfe , appeliée pierre de Vénus. XVII . 37. b.
AM EU B L IR , ( Agric. ) fe dit des foins que l ’on prend pour
empêcher la terre de devenir compare. A vantage d’une terre
bien divifée. Caufes naturelles qui contribuent à l’ameublir
^ T iV IE J b l ÎSSEMENT , ( Jurifpr. ) diverfes maximes de
juriforudence fur l ’ameucliffement d’une partie de la dot
ou d’un propre. I. 357. a.
Ameublijfement, voyez MOBILISER. Fruits ameublis. VII.
.358. *.
A M IA , ( Ichthy. ) efpece d’amia nommée Baby. Suppl. I.
AM IAN T E , ( m . b u t.) matière mmérale.Ses différentes
fortes. 1. 330. a. Propriétés de ce minéral. Différens noms
qu on lui a donnés. Meches d’amiante. Ibid. b. Toile d’amiante.
Manière de la faire. Il ne faut pas confondre l’alun de plume
avec 1 amiante. Ses ufages en médecine. Ibid. 3 59,- a.