ïss B O U
l ’article Forêt. L’art d’élever les p lantes, de les améliorer ,
d’enrichir la nature de nouvelles variétés , ;6*c. fera expole
dans l’article Plante, qui doit contenir les premiers principes
, & dans les articles fecondaires, V ariété , Greffe ,
Élaguer , &c. Obfervations fur la taille des arbres-fruitiers.
Ibid. 30» a. Gonfidératiôns fur les vergers, 8c fur ce qui doit
être Vobjet de cet article. Du jardinage. Herbages & légumes.
O b jet de l’article Potager. Des plantes qui font l’aliment du
bétail. Principales opérations qui peuvent faire profpèrer les
prairies, & qui doivent être foigneufement décrites clans cet
article. Objets des articles Engrais , D éfrichement ,
L abour. Ibid. b. Diftérens genres de connoiflances avec
Jefquelles l’agriculture a des relations. IV . D e l’ufage des
plantes. Confidérations fur les plantes alimentaires. Importance
de leur connoiflance. — D e s propriétés des plantes
médicinales & de leur ufage. Ibid. 31 . a. Leur analyfe chy-
inique. Combien la thérapeutique végétale eft encore défec-
tueufe. On ne doit annoncer dans les articles particuliers de
chaque plante que fes vertus les moins équivoques. — D e
l ’utilité des plantes relativement aux arts & métiers. Ibid, b,
C e tte forte d’ufage fera indiquée & détaillée dans les articles
de celles qui les procurent. Recherches de M. Duhamel du
Mon ce au, fur les propriétés du bois. Réfultats Utiles qui font
le fruit de fon travail. Eloge de cet académicien. — Connoif-
fances qui doivent compoler l’article de phyfique & de mé-
chanique B o i s .Ibid. 3a. a. — Les tapis v e rd s , les fleurs , les
arbres 8c les eaux compofent les jardins d’agrément, 8c indiquent
les articles Jardin, Parterre »Boulingrin, Parc
(k Bosquet. D ivers arts auxquels l’entente des bofquets a
rapport. Diftribution des plantes dans un jardin. CoÙeétion
des plantes exotiques ; cet objet doit être traité dans l ’article
JARDIN de botanique. Ibid. b.
Botanique. Hiftoire de la botanique. X I I .7 i7 .fe — 719.3«, L
La botanique & l’hiftoire ancienne ontbefoin dans certains cas
de fe prêter un fecours mutuel. III. 643. a. D e la maniéré de
traiter la botanique. VII I. 226. b. Diviiions des plantes. XII.
7 16 . a , b. On alouv ent multiplié fans fondement les efpeces
de divers genres de plantes. Suppl. I. 713. a. Méthodes pour
la diftribution des plantes. Suppl. IV . 404. b. Diftribution des
plantes, félon M. Ray. XII. y 16. b. Expofition des méthodes
de MM. T ôurnefort 8c Linnæus. 7 18. a3b. 719. a , b. vol. V I
des planches, Régné végétal, pl. 10 3 ,10 4 . V o y e z aufli leurs
articles particuliers. Travaux auxquels oh invite les botaniftes
pour perfectionner les connoiflances des productions végétales,
8c ces productions elles-mêmes. Suppl. IV . 969. b. Projet d’une
foci été pour la perfeCtion de la botanique. Ibid: & c.
BO TAN IST E S . Quels font ceux que Linnæus appelle orthodoxes.
XI. 668. a. Auteurs qui ont le mieux parlé de l’anatomie
des plantes. VII . 646. a. Les botaniftes doivent être
aufli cultivateurs. Suppl. 1. 713 . a. Jardin botanifte. Suppl.
III. 500. b.
B O T A N O M A N C IE , divination par le moyen des plantes.
Comment elle fe pratiquoit. II. 345. a.
B O TH N IE , ( Géogr.) obfervations fur les eaux de ce
golfe. Suppl. III. 242. a.
B O T R ICH E , efpece d’infeCle, vol. V I . des planch. Régné
animal, planche 77.
B O T R Y T IS , ( B 0tan. ) genre de plante qui différé peu
du byffus. Ses qualités & propriétés. Préparations de cette
plante, 8c fes ufages. II. 343. fe
B O T S C O P , ( lchthy. ) poiffon du genre du toua & du
bolam. CaraCteres par lefquels il différé du bolam. Lieux
où on le pêche. Suppl. I. 33. b.
B O T T E , (Manege) forte d echauflùre.Botte forte.Botte
molle. Botte à la houflarde 8c à l’angloife. II. 343. /».Autre
fens du mot botte en terme de manege. Différentes fortes de
'bottes pour chauflùre. Ibid. b.
Botte. Moule fur lefquels on fait la tige d’une botte. I.
<3^2. b. Defcription de l’art du cordonnier-bottier. Suppl. II.
604. a , b. 605. a. Travail des efcarpins de bottes. Suppl.
JV . 8 14 .* .
Botte , tonneau ou vaifleau de bois , propre à mettre des
•liquides : botte pour les huiles, pour les vins. II. 346. a.
C e que contiennent les bottes d’Angleterre, de Bretagne ,
de Portugal, d’Efpagne, de Venife , de Lisbonne; botte,
fe dit d’un fagot ou paquet de pluüeurs chofes de la même
efpece. Ibid. b. •
Botte , ( Efcrime ) voyez Estocade. II. 346. b.
Botte , en terme de fellier. II. 346. fe
B O T T É , juge. IX. 11. 6.
B O T T IN E S , celles que portoient les foldats romains. I.
687. a. X. »508. a.
B O U A Y A , ( lchthy. ) efpece d’hyppocampe, ou de cheval
de mer des ifles Moluques. Defcription 8cmoeurs de ce poiffon.
Qualités de fa chair .Suppl. II. 33. a.
B O U B IE , (Hift. nat. ) oifeau aquatique d’Amérique. Sa
defcription. Qualité de fa chair. II. 347. a.
B O U C , ( Zoolog. ) fon nom latin. II. 347. a. En quoi il
diffère du belier. Qualité qu’il doit avoir pour être boa à
B O U
la dievre. Son fervice par rapport aux clievres. Maniéré de
l'entretenir. À quel âgé on le châtre. On mange rarement
le bouc. Propriétés de fa graille. Préparations des peaux de
bouc pour divers ufages. Suif de bouc» Ibid. b.
Bouc. Pourquoi l’on garde les boucs plus long-tems quei
les chevres : leur popiilation dans les pays du no rd . : caràc«
tere courageux des boucs de ces pays. III. 320. b. Préparation
du fang de bouc : fort ufage en médecine. X IV .
61 f . fe M - /
B o u c s , ( Myth, ) peuples qui les ont facrifiés ou qui le$
ont eus envénération. II. 347. b.
Bouc. Culte des boucs en Égypte : ce culte honteux défendu-
par la loi de Moïfe : facrifice du bouc ordonné au commencement
de chaque mois. V I. 436. a. Cérémonie du»
bouc azazel. I. 910. fe R. Kimchi a écrit que les démons fes
faifoient voir fous la forme d’un bouc. V I. 436.-fl..Ce que
eft confirmé par le témoignage de Delrio. X IV . 456. a , b.
Peaux de bouc enflées : leur ufage pour le paffage des rivières^
Suppl. II. 846. a.
BOUC, barbe de, ( Botah. ) II. 72. fl.
BO U C A G E , ( Botan. ) çaratteres de ce genre de planter
II. 347. b. Deux efpeces qu’il renferme. Lieux où elles croitr
fent. Leur ufage eji médecine. Leurs propriétés. Ibid. 348,
a. Voyez Sa x if r a g e .
B O U C AN E R la chair. Ufage des peuples chaffeurs. Suppl;
I. 384. b. ,
BO U C AN IER , fauvages d’Amérique , qui font fumer
leur viande fur une g r ille , appellée boucan» Autre fens du
mot boucan. Avantage de la viande boucanée. Boucaniee
des Efpagnols, 8c des Anglois. D eu x fortes de boucaniers.
Comment ils font boucaner la viande. Equipage des boucaniers.
II. 348. fl. Ils fe joignent quelquefois aux troupes-
réglées dans les colonies. Ibid. b.
Boucanier, Comment lesboucaniers .de l’ifle Saint-Domingue
brochettent les cuirs. II. 432. b. François, qu is ’ens
gagent avec les boucaniers.XVI. 590.a . Armesboucanieres,
1. 690. fe Voyez A v en tu rier s .
B O Ü C H A R L ) , évêque de Worms : fa collection des-
décrets. IV . 707. fe
BO U CH A RD E , outil de fculpteur. Comment on l’emploie.
II. 348. fe
. B O U C H A R IE , (Géogr.).voyez Buchaïue, 8c IL 740.
fe X V ! 923. a..
B O U C H E , (A n a t.) partie du vifage. Defcription anatomique.
II. 348. b. La bouche des différens animaux eft
exaéfement proportionnée aux ufages de cette partie. Ce lle
des infe&es eft très-remarquable. Celle des oifeaux ne l’eft
pas moins! Defcription des unes & des autres. Ibid. 349. a.
Bouche. Defcription de cette cavité. Suppl. II. 133. a.
Bouche. Defcription de cette partie. V I I I . 628. b. 269.'.
a. L’organe du goût eft répandu dans toute la bouche. VIL,
759. a. Effet de la bouche pour la réfonnance. XIV- 181..
fl. Maladies de la bouche : puanteur. V I . 598. a , fe Ulcérés.
III. 122. fe diftorfion ; IV . 106p. fe gargarifmes pour différentes
maladies de la bouche. VII . 5x5. a. Infiniment d ef-
tinè à ouvrir & dilater la bouche. X V . 748. b. Inftrument
deftiné à contenir la langue pour vo ir plus aifément au fond-
de la bouche. V i l . 72 1. fe
La bouche 8c les mains , fignifie fo i & hommage dans 1»
coutume de Paris. II. 349. fl. Origine de cette expreflion ;
ouvrir & fermer la bouche d ’un cardinal. Ibid. b. . ,
Bouche , (Manege) fenfibilité du cheval en cette partie.’
L e cheval eft le feul quadrupède à qui on donne une bouche.
Epithetes qui en dêfignent les diverfes qualités, foit bonnes ,
foit mauvaifes. IL 349. b.
Bouche du cheval. Suppl. III. 386. a. 395 .fl. 397. fe B ouche
feche. V . 379. a. Bouche égarée. 4x6. a , b.
Bouche dans les tuyaux d’orgue. Largeur entre les deux
levres. Bouche ovale : méthode pour trouver le trait de;
cette bouche. Bouche en pointe. IL 3 50. a.
BO U CH E L , ( le a n ) fa patrie , fes ouvrages. XII. 893. a;
BO UCHEN U de Valbonnais , (leanPierreMoretde) V I I .
942- W j . . . .
BO U CH ER , foins que la' police doit prendre pour I*
viande de boucherie. Les héros d’Homerè faifoient eux-,
mêmes les fonctions de bouchers. D eu x corps de bouchers
à Rome : les enfans dévoient fuivre la profeflion de leue
pere. Police de ces corps. IL 350. a. Dimnétion entre les
marchands bouchers 8c ceux dont l’emploi étoit de tuer les
beftiaux. Leur emplacement dans Rome. D e l’édifice appelle
Macellurn magnum. Deux autres boucheries établies dans la
fuite. La police que les Romains obfervoient dans leurs boucheries
s’établit dans les Gaules avec, leur domination. A ncien
corps de bouchers dans Paris ; qui eft l’origine de la
grande boucherie. Origine des étaliers bouchers , qui dans
fa fuite devinrent maîtres. Ibid. b. Démolition de la grande*
boucherie fous Charles V I. Ses privilèges révoqués, 8c fes,
biens confifqués. La bonne politique confifteroit à divifer
les bouchers, de manière qu’ils ne fonnaffent point corps
enfemblcj
B O U
ÜH MIWW te 1» mm bo!lcKe,ie,; H Sh èïilembl . gs Leur noWbre augmenté confiderablement
a,v e L fuite • leur réunion ert un feul corps : réglemens
aidVurent'îdors, établis. Ibid. H | D e la police des taux.
ÎSe l’achat ries beftiaux. 'Des tueries ou échaudoirs. /^U. b.
Il convient que les boucheries foient dilperfées ; la principale
riifon en e ft tirée de la tranquillité publique 8c du danger
de raffembler un grand nombre de gens violens , mdifcipli-
nables &c D e la v en te des chairs. Comment elles fe ven-
doient en Grèce 8c à Rome. Singulier fort auquel ces ventes
•étoient affujetries à Rome. Etabhffement de quelques officiers
pour faire exercer la ju ftic e , mais qui furent enfuite
fupprimés. Ibid. 35 2. fl. Monument de cette fuppreflion. Comment
les chairs fe vendirent 8c fe vendent aujourdhm en
France. Divers réglemens concernant l'ouverture des boucheries
les dimanches 8c jours de fêtes. Ibid. b. .
Boucher. Comment les bouchers prèfervent leurs viandes
des guêpes. V II . 983. fl. Communauté de bouchers tres-
redoutable du tems de Charles V I. X I. 949* Sur le métier
de b oucher, voyez les planches qui s y rapportent dans-le
* V °BO U CH E R IE , bâtiment élevé a v e c magnificence fous
Néron; c’eft de notre tems une rue i n f e f t é e ^ r l l .^ a . fe Ce
qu’on appelle boucherie dans les maifons de particuliers. Ibid.
^ ‘r OTICHET le , ( Géogr. ) maifon. de plaifance dans
l ’ifle de France ", érigée en marquifat, en faveur d’Abraham
Duquefne un des plus grands hommes de mer que la France
ait eus. Son éloge. Lieu où il fut inhume. Suppl, n . 33. b.
Bouchet, ( le a n ) de Poitiers. Suppl IV . 468. a.
B O U C H O N , de contre-potence, ( Horlog. ) utage de cette
pièce. L e trou de la contre-potence eft rond pour q uon
puiffe y faire tourner le bouchon. II. 353* a-
Bouchon , (Horlog.) efpece de cuivre a employer pour
boucher les trous des pivots. Bouchon excentrique dans les
pendules. Son ufage. Suppl. II. 33. fe
B O U CH O N N IE R , voyez les planches, vo l. H-
B O U C H O T S , (Pêcherie) forte de parcs. XI. 927- fe \
B O U C L E , boucles de plufieurs fortes chez les anciens,
Defcription de ces boucles. IL 333. fe
Boucles, en terme de marine, d’archite&ure, de ferrurerie ,
de rafineur de fucre. II. 333. fe
Boucles , ( Metteur en oeuvre) boucles doreilles » boucles
à quadrille, boucles de nuit, boucles de bracelet. II. 333. b.
Boucle k chape. III. 160. a.
. BO U C L É , (B/fl/on) collier,anneau bouclé. H. 133. b.
B O U C L IE R , comment on tenoit cette armure. Diverfes
formes de boucliers. Dérivation de ce mot. Boucliers a
anics. A u x boucliers des anciens ontfucç édé les ecus , ron-
daches ou rondelles. IL 334. fl.
- Bouclier, celui de la phalange. Suppl. IV . 3 1 6 - ce' l' l.5lTeTs
foldats romains. I. 686. fe X. 307. b. Celui des haftaires.VIII.
62. a. Bouclier ancile, I . 441. b. Albéfie. Suppl. L 234. a.
Petits boucliers nommés cetra. II. 870. b. Bouclier clipeus.
III. 337. a. Difque. IV . 1043. fe Parma. XII. 69. fe Pavois.
202. b. X IV. 844. b. Bouclier pelta, Suppl. IV . 276. a. particulier
aux amazones. XII. 289. /».Bouclier fcu tum .X lV . 844. b. Targe.
Ibid. 8c X V . 9 1 1 . fl. Ecu. V . 377. b. Bouclier des Tu rcs
nommé calean. Suppl. U. 114. a. Defcription du bouclier
d’Achille par Homere. III. 638U. VII I. 31 1. fl. XIII. 607. a , b.
Voyez aufii planch. du Suppl. Repréfentation de plufieurs
boucliers dans le vo l. I. des planches , article Armurier, 8c
dans la première planche du b lafon, vo l. II. Boucher que
le comte deSaxe donne aux foldats. Suppl. II. 208. b. Elpece
de bouclier propofé par°MontecucuUi. Suppl. III. 138. a.
Boucliers votifs, ceux que fufpendoient les Athéniens apres
des viftoires remportées fur les Medes 8c fur les Thébains.
IL 334. b: En quoi ils différoient des boucliers ordinaires.
O ù on les fufpendoit. Ufage pareil des Romains emprunté
des Grecs : exemples. Sous lés empereurs cette coutume
dégénéra en flatterie. Noms qu’on donnoit à ces boucliers.
So,us quelle autorité ils étoient placés dans les temples. Voyez
l ’ârflcle V otif. II. 334. fl-
Bouclier, (A r t milit.) M. le Maréchal de Saxe donne
dans fes mémoires à chaque foldat un bouclier de cuir préparé
dans le vinaigre : avantage de cette armure. Suppl. II. 3 4. a.
Bouclier , (Infeflol.) defcription de l’infefte ae ce nom ,
figure 6 , vo l. des planch. pl. 73 d’hift. nat. Suppl. IL 33. b.
Maniéré de le clafler. Ibid. 3 4. a.
B O U D IN , ( Cuifrne) comment on le fait. Boudin noir,
boudin blanc. II." 334. fe n i
BOUÉE, ( M. trinc ^efpece de marque ou d’enfeigne deftinée
à indiquer l’endroit ou l’ancre eft mouillée , 8c pour la relever
lorfque le cable s’eft rompu , ,& c . Comment fe fait cette
marque , 8c comment on s’en fert. Autres ufages; qu’on en
fait. Explication par figure. Des droits à payer pour les bouées,
6-c. II. 335. a. •
BOUFFISSURE emphyfèmateufe. V . 377. fe
BO U F F O N , étym, de ce mot. II. 355* a>-
B O U 189
Boufon, étymologie de ce mot : les Romains nonlmoient
les bouffons falpitones. X IV . 339. a. Danfe des bouffons, IV»
627. a. Efpece de bouffon de théâtre. XII. 913. a. Bouffon
de cour. V I I . 42» a , b. Bouffon, p laifant, comique. Suppl, IV .
W ÈÊBÊÊÊÈÊM l ■ ■
B O U G A IN V IL L E , le jeune. Eloge de fon ouvrage fur le
calcul intégral. IV . 983. fe VII I. 803. fe
B O U G A R Ï , bougeri, bogri, borgi, origine & étymologie
de ces qualifications odieufes. V IL 981.12.
B O U G E A N T , (Guillaume Hyacinthe) jéfuite. Obfervâ-
tions fur ce religieux. XIII. 713» b. Analyfe de fon amufe*
ment philofophique. I» 331. fe:— 333. b.
B O U G H T S A L L IK , ( Ornith. ) elpece de coucou, ainlï
nommé à Bengale. Auteurs qui en ont donné la figure. Ses
différentes dénominations. Defcription. Suppl. II. 34. a. Moeurs
de cet oifeau. Ibid. b.
B O V E N A , ( Géogr. ) obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 34. b.
B O U G IE , deux fortes de bougies , celle de tablé & la
filée. Defcription d e là maniéré dont on les fait.IL 333. a.
Bougie, tête de bougie. X V I . 203. b. Bougie faite av e c
du fperme de baleine. X V . 431. a. Bougies deshabitans de
la Caroline. Suppl. II. 437» a , fe 438. a , fe
Bougie, ( terme de Chirur.) il y en a de deux fortes; les
fimples 8c les eompofées. Maniéré de les faire. II. 336. fe
Bougie, de l’ufage des bougies dans les carnofités. IL 691. fe
Porte-bougie. XIII. 138. fe
B O U G U E R , ( Pierre ) article fur ce favant. Suppl. IV . 7 . a.
Ses obfervations auprès de la montagne de Chimboraco dans,
le Pérou. I. 836. a. Son hypothefe fur la figure de la terre»
V I . 733. a. 737. a. Suppl. I. 664. fe Son ouvrage fur la navigation.
VIII. 373. fe Ses tables relatives à la géographie 8c
à l’aftronomie, voyez T a b le s .
B O U J A Y A , (lchthy .) efpece d’artguille des Moluques»
Defcription. Moeurs & qualités de ce poiffon. Suppl. IL HPjB _ BO U IL L A N D , (Géogr.) village du Beaunois. Suppl. I.
68 x. b.
B O U IL L A U D , ( Ifmaèl ) obfervations fur ce favant 8c
fur fes ouvrages. IX. 698. fe
Bouillaud, (M .) fes tablesaftronomiques. Voyez T ables»
B O U IL L I , ( Cuifine ) c’eft un des alimens le plus fucculent
8c le plus nourriffant, &c. II. 337. a.
B ou illi, propriété des viandes bouillies. I. 74. fe
BO U IL L IE , ( Médecine Hygienne ) réflexions contre l’ufagé
de la bouillie dont on alimente les enfans dans les deux ou
trois premières années de leur vie. Maniéré dont cet aliment
doit être préparé pour être rendu moins mal-fain. Suppl. IL
34. fe Autre forte de nourriture plus convenable aux enfans.
Précaution de ne leur donner que des alimens fuffifamment
refroidis. Ibid. 3 3. fl.
Bouillie, de l’ufage de la bouillie pour la nourriture des
enfans, V I . 413. a , fe Méthode de faire la bouillie au riz ,
au lieu de farine pour les enfans. X IV . 308. b. Efpece de
bouillie appellée fromentée. V IL 336» b. Elpece de bouillie
des anciens appellée griotte. 949. fe
BO U IL L IR , ( atfion de ) agitation d’un fluide, Occafionnée
par le feu. Comment elle s’opère félon les phyficiens. Pourquoi
en appliquant la main fous une chaudière pleine d’eau
bouillante on ne fe brûlera pas. Caufe de là vapeur 8c de la
fumée. II. 357. a. Pourquoi l’air dilaté par l’aftion du feu
n’enleve pas l’eau avec lui. Caufe de la fluêhiation d e .la
furface de l’eau dans l'ébullition. Pourquoi l’eau froide femble
bouillir dans la machine pneumatique quand on en pompe
l ’air. Ibid. b.
Bouillir , caufe de l’ébullition de l’e a u , félon quelques
phyficiens. V . 217. a. Différens degrés de chaleur de l’eau
bouillante. Ibid. 8c II. 21. fe Suppl. III. 469. a. Suppl. IV .
940. a. D e la force de la vapeur de l’eau bouillante. VI.
607. a. Voyez auffi V apeur. L’application de l’eau bouillante
à un vaifleau ne communique jamais, aux matières qui y font
contenues, une chaleur égale à celle de cette eau. 6 1 1. fl.
Bouteilles qui fe forment fur un fluide par l’aétion du feu.
II. 380. fe Opération par'laquelle on fait bouillirles reme-
des dans une liqueur convenable. V. 309. fe Opérations
chymiques qui s’exécutent au degré de l’eau bouillante. V I .
6 1 1 . À. Incruftation qui fe forme au fond des vaiffeaux—ou
l’on fait fôuvent bouillir de l’eau. VIH. 658. a.
BO U IL LO N , (Médecihè) différentes compofmons de
I bouillon. Bouillons confidérés comme remedes : il y en a de
différentes qualités, félon la vertu des médicamens qui les
compofent. Quels font les plus nourriffans. II. 337. fe Les
malades 8c les convalefcens fe trouvent très-bien de bouillons
de poiffon .Ibid. 338. a.
Bouillon , ( Écon. domeft.) bouillon à faire en une heure
tout au plus ; très-bon, très-nourriflant, 8c très-convenable
aux malades. Suppl. II. 33. a.
Bouillons. D e ceux qu’on donne aux malades. Suppl. I. 66.
a. Bouillon de boeuf pour la nourriture des malades. II. 293. fe
B b b