84 A P O
A P H Y E , ( Ichth. ) petits poiffons de mer. Pourquoi ils font
ainfi nommés. Defcription de l’aphye vraie. Autres poiffons
de ce nom. I. 323.A
A P I , petite pomme. Sa defcription. Hiftoire naturelle de
l’arbre qui la produit. I., 526. a.
Api fauvage, voyc{ Sardoine.
A pi-api , (Botan. ) nom maffacare d’une plante parafite de
la famille des orchis. Sa defcription , Suppl. I. 483. b. fes quar
té s 8c ufages. Ibid. 484. a.
A P IC IÜ S , voyc^ Gourmandise. VIT. 754. a.
A PIN FI. a ( Botan. ) racine d’Amérique. Son utilité contre
les ferpens. I. 5 26. a.
Apinel, il eft parlé de cette racine. X V I I . 662. b.
A P IO S , defcription & hiftoire naturelle de cette plante.
I. 526. a. Ses ufages en médecine. Ibid. b.
A P IS , ( Myth. ) divinité célébré des Egyptiens. L ’ame
d’Ofiris s’étoit retirée , dit-on, dans le boeuf Apis. Caraéteres
auxquels on le reconnoiffoit. C e qui fe pratiquoit lorfqu’on
l’ avoit trouvé. Cérémonies obfervées à fa mort. I. 526. b.
Conduite de Cambyfe à l’égard de ce dieu & de fes prêtres.
Comment on le confultoit. Ibid. 527. a.
A p is , ornement de tète de ce dieu. X V I . 202. a. Ses
temples à Memphis. 218. <*. Roi d’A rgos de ce nom. Suppl. I.
APIUM riflis, (Botan.') effet de cette plante. IV . 1060.
Voyez Sardoine , Renoncule.
A P L U S T R E , (Hifl. anc.) ornement qu’onmettoit au plus
haut des poupes. Sa defcription. I. 527. a.
A P O C A L Y P S E , ( Théolog.) fujet de ce livre. L ’enchaînement
d’idées fublimes qu'il contient a toujours été un écueil
pour la plupart des commentateurs. D ivers fentimens fur
l’auteur de cet ouvrage. Raifons pour lefquelles on doit
l’attribuer à l’apôtre S. Jean. I. 527. b. Sa canonicité conteftée.
Apocalypfes fuppofées.Ibid. 328. a.
Apocalypfe de S. Jean, attribuée par quelques-uns à Cérinthe.
II. 844. b. Doutes élevés fur l’authenticité de ce livre. 223.
a. Sentiment de Zwingle. X V I I . 616. a. Commentaire de
Alcafar fur l’Apocalyple. X V . 133. E Ouvrage de Newton
fu r ie même livre. X V I I . 6 3 3 .a.
A PO C R IS IA IR E , ( Hifl. anc. ) officier établi pour intimer
les ordres ou déclarer les réponlês d’un prince. Etymologie
de ce mot. C e t officier devint chancelier de l’empereur.
Obfervations fur fes noms & fa charge. Les patriarches donnèrent
ce nom aux diacres qu’ils députoient pour les intérêts
de leurs é glifes, & c. Ils étoient ce que font les ambaffadeurs
ordinaires des fouverains 8c les nonces du pape. Bornes de
leur jimfdiétion. Ils avoient rang après les évêques. On a
donné le même nom aux chanceliers, que l’on appelloit auffi
référendaires. Tems où les papes commencèrent à avoir leurs
apocrifiaires. I. 528. b. A leur imitation, les monafteres eurent
auffi les leurs. Les empereurs de Conftantinople ont auffi
donné quelquefois le même nom à leurs ambaffadeurs. A b o lition
de l’ulage où la cour de Rome étoit d’avoir un apocri-
fiaire à Conftantinople. Ibid. 5 29. a.
A pocrisiaire, charge établie par Charlemagne, dans fon
palais. IV . 3 6. b.
A PO C R Y PH E , (Théolog.) on nommoit apocryphe, tout
écrit dérobé à la connoiffance du public. Àinfi un livre pouvoit
être en même tems apocryphe & divin. Différence entre les
canoniques & les apocryphes. Signification différente qu’on a
aujourd’hui attachée à ce mot. I. 329. \a. L ’églife feule a droit
de décider fi un livre eft canonique ou apocryphe. Difputes
des catholiques & des proteftans fur cette matière. Livres
reconnus pour apocryphes par l’églife catholique. Ibid. b.
Apocryphe, réglés de critique à fuivre pour diftinguer les
livres authentiques des apocryphes.il. 837. b.
A P O C Y N , ( Botan. ) genre de plante à fleurs monopétales
, en forme de cloche. Différences qu’on remarque dans
les diverfes efpeces de ce genre. I. 3 29. b. Reffemblance de
l’apoçyn à l ’ipècacuana. Ibid. 330.a.
Apocyn, efpece d’apocyn bâtard du Méxique. X V I . 2. b.
A P O G É E , (Aflron.) point de l’orbite d’une planete le
plus éloigné de la terre. Son oppofé eft le périgée. Il eft
moins queftion chez les modernes d’apogée 8c de périgée
que d’aphélie & de périhélie. Comment on détermine la
quantité du mouvement de l’apogée. I. 530. a. Mouvement
de celui de la lune ; grandes inégalités auxquelles il eft fujet.
La caufe de ce mouvement eft encore inconnue. Ibid. b.
Apogée de la lune : mouvement de l’apogée. IX. 729. a.
X . 840. b. 841. a. Voye{ auffi A psides & Perigée. Méthode
pour déterminer l’apogée du foleil. Suppl. I. 482. « , b. Libration
de l’apogée de la lune. Suppl. III. 740. b.
APO LL INAIRES, ( Hifl. eccl. ) anciens hérétiques. Sentiment
de leur chef. Différence entr’eux & les anciens, félon
Péarfon.I. 3 30. b. Progrès de cette héréfie en Orient. Conciles
qui l’ont ànathématilee. Ibid. 331. a.
Apollinaires, pourquoi ils turent appellés Djjnoeritcs. IV .
i o n . a.
Apollinaires , Jeux, ou en l’honneur d’Apollon , célébrés
A P O
chez les Romains. Prodige arrivé à la première célébration
de ces jeux. I. 53x. a.
A PO L L 1N A R IS , Sidonius, évêque & célébré écrivain
du cinquième fiecle. IX. 777. b.
A PO L LO D O R E , obfervations fur ce peintre & fur fes
ouvrages. XII. 236. a , b. Sinalion fit la ftatue de cet artifte
reprèfentè dans un accès d’emportement auquel il étoit fujet.
X IV . 826. b. *
A P O L L O N , (Myth. ) Cicéron diftingue quatre Apollons.
Caufes de fon expulfion du ciel par Jupiter. Ses aventures
fur la terre. I. 331.
A pollon, i °. ce dieu diftingué du foleil. X V . 313. a. Ses
attributs. 729. b. Le fphynx lui appartenoit. 734. a. Sa viéloire
fur le ferpent Python. 7 1 . b. Symboles des villes où il étoit
adoré. 729. a. Siégé fur lequel il eft affis dans les médailles
des rois de Syrie. 730. a. C e dieu repréfenté en femme dans*
quelques monumens. Suppl. 1. 488. a,b. Comment lès Etrufques
le repréfentoient. Suppl. II. 902. a , b. Oracle merveilleux
qu’il rendoit dans le temple de la déeffe Syrienne. X V . 772.
b. Comment il rendoit fes oracles à Delphes. Suppl, I.
489. a.
20. Surnoms de ce dieu. Apollon Archegetes. I. 6x0. b.
Amycléen. XIII. 343. b. X IV . 817. a, b. Carnien. II. 690. b.
Comeus. III. 679. a. Çortinipotens. Suppl. 488. b. Delphinien.
IV . 793. b. Epidelien. V . 787. b. Hyfius. V I I I . 419. a. Mufagete.
X. 877. b. Parnopius. XII. 73. a. Pataréen. 161. b. 162. a.
Polius. 922. a. Pythien. 662. b. XIII. 632. a. Sandarius. X IV .
609. b. Sarpédonien. 662. b. Sminthien. X. 836. a. X V . 240. b.
Palatin. X V I . 67. a. Theoxenius. 261. b. Thymbreus. 309. b.
Vulturius. X V I I . 378. a.
30. Temples d’Apollon. X V I . 67. a , b. Celui de Delphes.
IV . 793.* b. Temple d’Apollon à Touloufè. X V I . 449. b.
Sur le mont-Geranien. 638. b. Temple d’Apollon Théorius à
Trézene. X V I . 683. 4/ Trône d’Apollon Amycléen. X IV .
8 17. a , b. D e fes ftatues grecques. Suppl. III. 237. a , b. Statue
d’Apollon dans la galerie de Verres. V I I . 442. a. Celle
d’Apollon Pythien à Samos. X IV . 827. a , b. V o l. III. des
planch. article DeJJîn, planch. 33.
40. Prêtreffes d’Apollon Amycléen. XIII. 343. b. Prêtres
d’Apollpn à D idyme en Ionie. II. 396. b.
30. Fêtes d'Apollon. Apollinaires & Apollonies. I. 331. a.
332. a. Daphnéphories. IV . 630. b. Délies. 784. a , b. Épidémies.
V . 789. a. Galaxies. V II . 429. a. Hebdomées. V I I I .
73. b. Hecatombées. 94. a. Fêtes célébrées en fon honneur
auprès du tombeau d’Hyacinthe. 338. b. Jeux Carniens en
l’honneur d’Apollon. 337. b.
A pollon , ( Luth. ) infiniment reffemblant au thuorbe. Son
inventeur. Il n’eft plus d’ufage. Suppl. I. 484. a.
A PO L LO N ID E S médecin. X. 279. a.
A P O L L O N IE , ( Géogr. ) v ille de Sicile. Autres villes du
même nom. I. 3 31. b.
A pollonie , ( Géogr. ) corrections à faire dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. I. 484. a.
A pollonie, obfervations fur un oracle qui fe rendoit
dans une ville de ce^nom. XI. 336. a.
A PO L L O N IE N , ( Géom. ) hyperbole 8c parabole apollo-
niennes ; ainfiappellées d’Apollonius Pergæus, qui a donné un
traité des feélions coniques. Une partie de fes ouvrages fut
perdue p our un tems. Comment elle a été retrouvée. I- 331. b.
A pollonien, ( Géom. ) remarque fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 484. a.
A PO L L O N IE S , (M y th .) fêtes en l’honneur d’Apollon.
A quelle occafion elles furent inftituées. I. 3 3 2.4.
A PO L LO N IU S , ( Hifl. des Juifs ) deux perfonnagès de
ce nom dont il eft parlé clans le livre des Machabées. Suppl. I.
484. a.
A pollonius , le Myndien. Son fentiment fur les cometes.
III. 674. a.
Apollonius de Perge. Obfervations fur ce géomètre & fur
fes ouvrages. X II. 3 3 3. a. V II . 630. a. 631. a. T ra ité d’analyfe
qui nous refte de lui. Suppl. I. 383. b.
Apollonius de Rhodes. Ouvrage de ce po è te , intitulé
ArgonautiqueJSuppl. I. 331. b.
Apollonius de Ty ane . Son hiftoire. Honneurs qui lui ont
été rendus. X V I . 7 7 1 . b. 772. a. Efpece de réfurreétion qu’il
opéra. X. 726. a. Fables débitées fur fon compte. Sa philo-
fophie. XIII. 623. a y b.
Apollonius, fculpteur. XTV. 816. b.
A P O L O G É T IQ U E , ( Théolog. ) fujet de l’ouvrage de
T e r tu llien, intitulé de ce nom. I. 332. a.
A P O L O G IE , (Littér.) celles auxquelles donnèrent lieu
! les perfécutions exercées contre les chrétiens. I. 3 3 2. a. Eufebe
nous a confervé quelques fragmens de celle de Quadrar ,,
évêque d’Athenes. Obfervations fur celles de Juftin, M artyr.
Celle d’Athénagore. Dialogue de Minutius Félix , intitulé
Oflavius. I. 332. b.
A PO LO G U E , (Belles-lett. ) étymologie de ce mot. D iftinc-
tion du P. de Colonia entre lkpologue & la parabole. M. de
la Barre a foutenu que no»-feulement il n’y avoit nulle
Vérité,
A P O
v é r ité , maïs encore nulle vraifembîance dans la plupart des
apologues. I. 3321 b.
A pologue , (Belles-lett. ) obfervàtion fur ce qui a été
dit dans l’Encyclopédie, que cette efpece de fable .peut fe
paffer de la vraifembîance des moeurs. Suppl. I. 484. b.
A pologue » voye^ Fable. Différence entre l’apologue &
l’allégorie. Suppl. I. 301. a , b. L ’apologue né en Arabie.
303. a. Récit cîe l ’apologue. X III. 83 2. b. Style qui lui convient.
X V . 332. b. Apologue de Menenius Agrippa. X IV . 886.«.
D e l’allégorie dans les apologues. Suppl. I. 298. b.
A P O M E L I , forte de boifion des anciens. XI. 729. b.
A P O N , particularités fur une fontaine de ce nom. XII.
240. a.
A pon , ( Pierre) ou d’A lbano , doéteur fcholaftique. X IV .
7 7 Ï- <*■
A PO N E V R O SE S , (Anat.) Suppl. III. 978. b.
A PO PH O R E T E S , voyez C érames.
A PO PH Y SE , (A n a t.) éminence d’un os. Étymologie du
mot. Différentes efpeces d’apophyfes. Leur ufage. I. 333. b.
A pophyse, (A n a t.) partie de l’os qui n’en a jamais été
féparée par un cartilage mitoyen. Diftinélion des apophyfes
en originales & adventices. Suppl. I. 484. b.
Apophyfe, la plupart des apophyfes ont été épiphyfes
dans l’enfaiice. Il y a des épiphyfes qui ont encore leur
apophyfe, & des apophyfes qui portent des épiphyfes. V .
A PO PHLEGMAT ISMES & Apophlegmatifans, (Méd. Mat.
médic. ) évacuations de la tête 8c du cerveau , 8c remedes
qui les procurent. Propriétés & ufages des fternutatoires ou
errliins , & des mafticatoires ou fialagogues. Suppl. I. 484. b.
A PO P L E X IE , (Médecine) defcription de cette maladie.
Signes avant - coureurs. Caufes de cette maladie. L ’apoplexie
diftinguée en féreufe ', fanguine &polypeufe. Pronoftic
de l’apoplexie. Diverfitédes fentimens fur la cure. 1. 334.«.
Comment elle dégénéré en hémiplégie 8c paraplégie. Ibid. b.
A poplexie , ( Médcc. ) obfervations fur l ’ufage des émétiques
dans cette maladie. Dans l’apoplexie fanguine, il faut
être plus réfervé fur leur u fage qu’on ne l’eft communément.
Ils peuvent être placés avec plus d’avantage dans l’efpece
d’apoplexie qu’on nomme féreufe. SuppL I. 483. a.
Apoplexie , différence entre l’apoplexie 8c le carus.II. 733.
b. Ceu x qui ont le cou fort co u r t , paffent pour être fujets
à l’apoplexie. IV . 319. «. Maladies qui l’annoncent ordinairement.
Suppl. I. 637. a. Caufe prochaine de l’apoplexie. II.
864. a. En quoi elle différé de l’épilepfie. Ibid. L ’épilepfie
produit fouvent l’apoplexie. V . 796. b. Apoplexie caufée par
un dépôt laiteux. Suppl. II. 700. b. L enteu r'de refpiration
dans cette maladie. Suppl. IV . 6x7. b. Obfervation faite dans
ce ilx qui font morts de ces maladies. II. 864. b. Obfervations
k ite s fur les cadavres de quelques perfonnes mortes apoplectiques.
X. 722.- b. Suppl. IV . 842. b. Ufage des ventoufes
dans cette maladie. X V I I . 29. b. Baume anti-apopleélique. I.
499. b. II. 302. a. Fri étions confoillées dans l’apoplexie. V II .
307. a. D e l’apoplexie caufée par l’ivreffe. X V I I . 680. a.
b. Caufes de certaines apoplexies dans un dégagement
P B j g g qui circule dans les humeurs. Suppl. IV . 842. b,
Obfervations fur le fachet anti-apopleélique qu’un empyrique
vend à Paris. X IV . 473. b.
APOSCE PARNISMOS , (Chir.) fraélure du crâne par un
in finiment tranchant qui emporte la piece. Étymologie de
ce mot. Exemple de la guérilon d’une telle fraélure. I. 334. b,
A PO S IO PE SE , (Belles-lettr.) figure de rhétorique. Étym.
du mot. Exemple. I. 333. a.
A PO S IO PE SE , voye[ RÉTICENCE.
A PO S T A S IE , étymologie de ce mot. C e qu’on entend
ordinairement par apoflafie. Les anciens en diftinguoient trois
fortes. Punition exercée en France contre un catholique qui
embraffe la religion prétendue réformée. I. 333. 4.
A postasie, la foi confidérée comme perfuafion, n’étoit
pas plus grande chez les chrétiens, qui la confeffoient dans
les martyres, que dans ceux que la crainte faifoit apoftafier.
vU . 17. a. Sorte de chrétiens tombés, qu’on nommoit autrefois
Mit tentes. X. 384. b. Nom de libellatiques donné à ceux
qui apoftafioient dans le tems de la perfécution ordonnée par
Decnis. IX. 438. b. Apoftats chez les T u r c s , appellésMor-
dates. X. 707. t. ■ ' ,
A PO S T e ME , (Chir. ) tumeur contre nature, faite de
matière humorale. Différences entre les apoftêines. I. 333. 4.
Il y a autant de différentes apoftêmes, qu’il y a de différentes
liqueurs ; ces liqueurs font le c h y le , le fang , & celles qui
émanent du lang. Ibid. b. Différences accidentelles des apof-
t mes. L es uns fe forment par fluxion, les autres par congeftion.
Laules de ces maladies. Leurs fignes. Leurs tems. Ibid. <%(,. a.
Leur terminaifon. Ibid. b.
A postême , voye^ III. 867. b. Retour fubit de la matière
d un apoftème dans les vaiffeaux. IV . 792. a , b.
APO ST IL LE , différence entre poftille 8c apoftille. XIIL
173. a.
A PO S TO L IQ U E , ( Théolog. ) églife apoftolique. Celles
A P O 3m ,p o n d e« « ùom dm* 1« preniiere fccles. J, j. ()„
H H g S i g f ^ê q u e s le / „m dW flo liq u e s . L m le
B g m S r a D B K B l I « W étant tombés
entre les mains des Sarrafins . le titre (l’/mn/i. /■ c 1 r >
au feul liege de R om e, Z ' a f ' ‘
^ -APOSTOLIQUES, ( Théolog.-) anciens moines répandus aiitre-
fois dans les îfles: Britanniques. L ’origine que leur donnent
Hofpmien & B a lcé, traitée de fabuleule par M . Ca ve. Témoignage
de Bede. Paffage erroné de Bingham fur S. Colomban.
I. 337. 4.
A postoliques , ( Hifl. eccl. ) nom que deux feéles ont
pris. 1 . 337. 4. Les premiers apoftoliques s’élevèrent d’entre
les encratiques dans le troifieme fiecle. Les autres parurent
au douzième. Ibid. b.
ypoftoliquis traditions apoftoliques. X V I . 507. b. Cbnffi»
tutions apoftoliques. IV . 7%. t. Canon s apoftoliques. II. 604. b.
a m m » IX. 4 I ! . cL n b r e a p o f to .
■ B V f m \ ®r e fs “P ° f t °% l« . II. 410. a. Conferva-i
B H 3+ «■ Curîeure apoftoliques. 578. b.
Mois apoftoliques X. «ao. u. Notaire apoftolique. Î*£I. a , 8.
MO. a. .4 5 . i . Notaire de la chambre apoftolique. 240. b.
o u e s T v n 5 ’ P0Â UeSl H I V r a f r « apoftoliques.
X V I I . 2t I. b. Chambre apoftolique de l'abbé deSaiute
Genevieve. III. 4 7..A
A PO S T R O PH E , figure de rhétorique, Exemple tiré d’une
oraifon fùnebre de Boffuet. Autres tirés de l’oraifon de
C ic é ro n , pour M ilon, de l’Enéide. Celle que Démofthene
adrefle aux Grecs tues à la bataille de Marathon. Celle que
Cicéron adreffe a Tubéron dans l’oraifon pour Ligarius. Comment
on doit ufer de cette figure. Étymologie de ce mon
1. 33 7. bi
Apoflrophe, figure dq penfée. V I . 7 7 1 . b. Remarques fur
Suppl‘ 13 2> b' t em p l e b ien placé de cette
figure. XVII. 733. b. — Voyc{ Mouvemens du style.
A postrophe, (Gramm.) ufage de l’apoftrophe. Erreur
3 381 °a t0mbe communément fur le genre de ce mot. L
S3Â P 0 T A C T IT E S , (H ifl. eccl. ) anciens hérétiques ; leur
morale outree. I. 338. a. Ils tombèrent dans l’hèréfie des
encrantes. Aétes apocryphes où il paroît qu’ils avoient puifé
leurs opinions. Ibid. b. *
A PO TH ÉO S E , ( Hifl. anc. ) origine de cet ufage. Il avoit
commencé par la reconnoiffance, 8c il dégénéra en flatterid
lous les empereurs. Cérémonies pratiquées dans l’apothéofe.
330. b. Diverfes perfonnes à qui cet honneur fut accordé.
Comment il fut enfuite avili. Ibid. 339. 4.
A pothéose origine des apothéofes. Comment le culte
rendu aux grands hommes fe confondit avec celui qu’on
rendoit aux aftres. XII. 937. 4 , b. 938. 4. Pourquoi les
apotheofes d Alexandre & de Céfar n’ont pas réuffi? 938. b.
a ' D A4°"ieS P i q u é e s à l’apothéofe des empereurs. IH. 904.
b. Kétiexions fur ces cérémonies. 903. 4. & fur l’épithete de
V iv u s , que la perfonne déifiée acquéroit par-là. Ibid. X V I I .
77o. a- Parole de Velpafien fur fa future apothéofe. III.
903. 4. Les ftatues faifoientpartie des apothéofes. X V . 4Ç8. b.
1 emples élevés en conféquence de l’apothéofe. V I. 404. bi
Des médailles frappées à l’occafion des apothéofes des empe-*
reurs. III. 904. b. X. 232. a. Aigle qu’on faifoit partir du
bûcher ou Ion bruloit le corps de l’empereur. X . 232. 4.
Oppofition des apothéofes des anciens à celles de nos faints!
VJLU. 301. b.
A pothéose d’Homere , (H ifl. antiq.) ce monument eft
1 ouvrage dArchelaüs de Prienne. O n le trouva en 1668
dans un tieu nommé Frattochia3 appartenant aux princes
Colonne. Différentes explications de ce monument qu’ont
données le P. Kircher, M. C u p e r , M. Spanheim, Nicolas
Heinfius, G rono v iu s , M. Welftein & M. Schölt. Suppl I.
483. « , b. 486. a , b. •
A P O T H IC A IR E , ceux de Paris ne font qu’un foui &
même corps avec les marchands épiciers. Difpofitions contenues
dans leurs ftatuts. I . 339. 4.
A pothicaires, poids des apothicaires. XII. 861. 4 , b.
Détails fur le corps des apothicaires de Paris. V. 779. 4. V I .
12. b. Apothicaires chez les anciens. XII. 492. b. 493. a.
A PO TH IC A IR ER IE , ( Archit. ) celle dp Lorette en Italie «
8c celle de Drefde. I. 340. al
A P O T O M E , (Géomit.) I. 340. 4.
A potome , (Mufique) les Grecs divifoient le ton majeur
inégalement de plufieurs maniérés. D e l’une de ces divifions
réfultoient le diefo ou limma d’un côté , & de l ’autre l’apo-
tome. Génération de l’apotome. Les anciens diftinguoient le
majèur & le mineur. I. 340. b.
A PO TR E , ( Théolog. ) fons de ce mot dans les àutëufs
profanes, & dans le nouveau Teftament. I. 340. a. Commene
S. Paul prouvoit fon apoftolat. Symboles ou attributs Ipéci»
fiques des apôtres. D es lieux où ils ont prêché l’évangile.
O n donne le nom d’apôtre à celui qui a le premier porté la
foi dans un pays. L e pape a auffi quelquefois reçu ce noiifi
I. 340. b.
t