A O A IX. 4 I R
Exemple de la rouille du fer ce autres,
volatilife les corps fixes, 3*. Il fixe
$ volatils.
v '. 11 met en aéliou les corps qui font <
Ses effets
dans plnfieurs procédés chymiques. U peut prTOïlïïB “ »x
infinité de changcmens dans les fubftances, par les matières
hétérogènes1 qui s’y mêlent. Ibid. b. Effets des vapeurs qui
s'élèvent de certaines mines. Changement arrivé dans 1 air
•de Tifle de Terna te, lorfque les Hollandois en eurent fait
abattre les girofliers. L’air contribue aux changemens qui
arrivent d’une faifon à l’autre.- Moyen de fertililer le froment.
Comment le forment les météores, laid. 23 $. <>. Chan-
ccmens que la féchcreffe 8c riiujnitKté proilunent dans
Parliinofplicrc. Obfervations faites par rapport à ces chan-
cemens en Guinée ,8t dans l'illc de Saint-Iago. Influences
que ces différences dans l’air ont lur les expériences des
phyficiens & des chymiftes. To us les fels fe mêlent alternent
8t agiffent avec plus de force dans un air épais 8c
humide. Fermentations excitées par certaines lublhinces dont
l ’air ef: imprégné. Dans quel teins’ on peut le mieux enle
ve r des taches faites par le fuc des fubftances végétales.
Ibid. b. Subftance vitale & finguliere répandue dans l’a.r ,
félon Boÿ le. Sels qui paroiffent & s'accrciffent dans certains
corps qui n’en produiroient point du to u t , ou beaucoup
moins, s’ils n’étoient pas expofés à l’air. Effet de l’air
introduit dans les médicamcns antimoniaux. Altération^ de
diverfes fubftances en certains p a y s , étant expofées à l’air.
En s’iniinuant dans le corps avec toutes les qualités, l’air
peut vicier la maffe du fang & des autres humeurs. Il peut
relâcher 8c obflruer tout le fyftême n e r v e u x , gâter les
parties rtobles, félon les qualités dont il eft chargé. Ibid. 236. a.
Roue centrifuge, 8c ventilateur deftinés à renouveller l’air
d’une chambre. Ibid. b.
Air. De la nature de l ’air. Les anciens Ont cru que l’eau fe
changeoit en air , 8c l’air en eau. V I I . 82. a. Expérience
•qui (omble d’abord appuyer cette opinion. Ibid. Acides répandus
dans l’air. XI. 32.2. b. A ir chymique. III. 414. b. Propriétés
de l'air. i° . Sa fluidité. Accélération qu'on lui attribue
en paflant d'un lieu plus large dans un plus étroit. VII.
248. b. Sa réfillance. X IV . 176. b. 20. Sa pefanteur ou
fa gravite. Poids de l’air. I i l. 656. b. Effets qui en réfultent.
I. 820. a. Différences dans le poids de l’air. Ibid. Effets
qu’elles produifent dans notre corps. Pourquoi nous 11e ten-
tons point la preffion de l’air. Ibid. b. Différence entre 1 air
qui eft au fommet des montagnes & celui que nous r e t i rons.
821. b. Les raréfaâions de l’air à différentes hauteurs
ne fuivent point la proportion des poids dont l’air eft chargé.
€22. a. Diverfes méthodes pour trouver fa hauteur. 821.
$82. Phénomènes de la pefanteur de l’air. Suppl. IV . 614. a.
Compreffion de l’air par fpn propre pôids 8c par le fccours
de l’art. III. 776. a. Comment Newton l’explique. Ibid. O b fervations
qui montrent que l’air contient dans fes pores
un grand nombre de molécules pefantes, de l’e a u , de l’huile ,
des fels volatils. X . 19a. a. Preffion de l’air fur la furface
de la terre. X III. 324. a. La preffion de l’air fait monter l’eau
dans les pompes. Suppl. IV . 319. b. Effets de fa preffion
contre un efpace où il eft extrêmement raréfié. 614. <1. Méthode
pour trouver le poids d'un pied ou d’un pouce cube
d’air. XII. 850. <2. 30. Son. ilajlicité. D e l’élafticité de l’air.
Suppl. IV . 613. a. V . 446. b. C ’eft elle qui eft lacaufe immédiate
de la fufpenfiori du mercure dans le baromètre. Ibid.
D e tous les corps connus , il n’y en a point qui fe dilate autant
que l’air. IV . 1003. b. Maniéré de condenfer l’air par
art. l u . 833. b. Çe t air condenfè produit des effets directement
oppofés à ceux de l’air raréfié. 836. a. Recherches
des philofophes fur la denfité de l’air. IV . 833. b. Table
des denfités de l’air félon les hauteurs du barometre &
du thermoinetre. Suppl. IV . 901. a. Air qui n’eft point ex-
panfible. V I. 278. b. Infiniment deftiné à mefurer la den-
fité de pair. X. 49. b. Caufe des vents dans fes différentes
condenfations & dilatations. X V II . 20. a. Pourquoi l’air en
fe refroidiffant abandonne une partie des vapeurs qu’il re-
tenoit fufpendues. V IL 676. a. Conjecture fur la concref-
cibilité de l’air. IX . ,370. a. D e l’expankbilité de ce fluide.
IV . 274. b , & c. 283. b. V IL 676. a. 40. Divers ufagts
de l ’air. Effet de Pair pour modérer la force des gouttes
d’eau de pluie dans leur chùte. X l ï . 443. b. 793.
b. L’air favorite la putréfaction. XIII. 387. b. Son influence
dans les fermentations. X V I I . 284. a. L ’air confidéré
comme menftrue & diffolvant. V I . 123. b , 8cc. Comme
vrai diffolvant de l’eau, j 27. a , b , & c . Moyen de favoir
combien un air eft plus chargé d’eau qu’un autre. 283. b.
Influence de l’air fur la‘ fertilité de la terre. Suppl. III. 29.
• b. L ’air néceffaire à la germination. X V I. 954. a. 938. a.
D e u x efpeces d’a ir , contenus dans les végétaux. 938. a.
Expériences qui montrent combien Pair pénétré dans les
plantes. Ibid. L’air néceffaire à leur accroiffemcnt. I-. 437. a.
I l eît auffi néceflaire à l’entretien du feu. V I . 602. b. VII I.
348. b. Et à la combnftion dans les opérations chymiques.
Suppl. II. 3x3. b. Ses effets fur la flamme. V I . 837. b. Effets
de Pair dans les tremblement de terre. X V I . 381. a. Mou-
vcmens extraordinaires dans Pair , qu’on a confondus avec
les tremblemens de terre. 382. b. Divers effets de ce fluide :
inftrumens inventés pour en mefurer les changemens. I.
819. b.
A i r . ( P h y f Chym. ) Profondeur dans la terre , à laquelle,
félon Boerhaave, le poids de -d’air feroit égal à celui de l’or.
Suppl. I. 134. b. Pourquoi le thermomètre defeend de quelques
degrés dans le vuide. Obfervations contre le fentiment
ne quelques phyficiens qui ont cru que le feu confumoit 1 air.
Pourquoi une bougie enfermée fous une cloche de verre y
laiffe un vuide après fon extînêUon. Caufe de cette extinction.
Pourquoi le charbon ne fe confumopas dans les vaiffeaux
c lo s , à quelque feu qu’on les expofe. Ibid. 233. a.
A ir fixe , celui qué l’on croit entrer, co.-.une partie conf-
tituante, dans la compofition des corps les plus foüdes. Expériences
qui conftatent l’exiftence de cet air. La chaux, félon
quelques phyficiens, n’eft que la pierre calcaire privée d’air
fixe. Ibid. 233. a. La putréfaélion n’eft que l'effet de fa diffi-
pation. La faveur 8c l’aûion médicamenteul'e des eaux minérales
eft due à Pair fixe. Obfervations fur la nature de cet air,
Ibid. b. '
A ir fixe. Suppl. I.733. b. V I . 278. b. Obtervatiofis fur une
des propriétés de Pair fixe. Suppl. II. 273.. a. Ce t air fait une
partie principale du gluten qui fort à lier les élèmens terreux
des fibres animales. Ibid. 111. 3?. b. La force de Pair fixe développé
, confédérée comme une des caufes fecondaires du
mouvement du fang. Ibid. IV . 729. b.
Air. ( Phyfiolog. Médec. ) D e Pair 8c de fes propriétés relativement
au corps humain. Suppl. I. 733. a , b. Ibid. IV . 613.
b. Qualité falutaire que les arbres lui donnent. Ibid. I. 320. b.
Quantité dont il pefe fur le corps humain. I. 820. a. Suppl. IV .
614. a. D e la preffion qu’il exerce fur nous. Ibid, a , b. Preffion
de l’air1 fur les organes de la vefpirâtion. X IV . x 83. b. Suppl. IV .
614. b. Caufe de mort par privation d’air. X V . 033. b. Suppl.
IV . 6x4. b. Bons effets de Pair des montagnes pour la rcfpi-
ratioii. Ibid. IV . 614. b. Parla refpiration, il perd fon aptitude
à être refpiré de nouveau. Ibid. 613.« . Utilité de Pair que la
refpiration fait entrer dans le corps. Ibid. 622. a. A ir en folu-
tion dans le fang. Ibid. 6 : 4. a. Son milité. Ibid. 620. b,6 2 1 .0 , b.
Mort fnbire que peut caufcr le dégagement de Pair qui circule
dans les luuneurs. Ibid. 842. b. D e Pair confidéré par rapport it
la fanté, comme une des fix cliofcs non naturelles. XI. 218. b.
— 226. b. Combien l’état de Pair influe fur la fanté 8c fur
quelques malades. VIII. 738. a. Comment on pourroit s’affu-
rer de l’état de Pair dans les maladies épidémiques. XI. 322. b.
Néccflité de la bonne conflitution de Pair 8c de fon renouvellement.
X V I I . 27. b. Machines deftinées à le renouveller
8c à le purifier. X V I . 767. b. 768. a. X V II . 27. b. Salubrité d’un
air pur 8c tempéré. VIII. 386. Influence de Pair dans certaines
maladies, 8c par rapport à l’effet de certains remedes.
X V . 47. a , h. Conduite à tenir par rapport à Pair que refpi-
rent les malades. X IV . 15. b. XIII. 737. b. Comment Pair peut
devenir la matière d’un nain médicinal. Suppl. I. 737. a. Effet
de Pair dans le voifinage des mines , des volcans , des marais.
48. tr.
A ir , (D iv in .) divination par le moyen de Pair. I. 133. b.
A ir , ( Géogr. ) montagne d’Arabie proche de Médine.
Suppl. I. 233. b. ...
A ir. ( Marine ) Extrait d’un mémoire de M. le vicomte de
Morogues, fur les moyens de conferver la fanté aux équipages
des vaiffeaux. Suppl. I. 233. b. L’air de la mer femble devoir
être le plus naturel 8c le plus fain qu’on piiiffe rèfpirer. Si
donc les équipages font fujets à plnfieurs maladies, c ’cft que
les vaiffeaux o n t , pour ahifi d ire , leur athmofphere particulière
, 8c qu’ils portent dans eux le principe de la corruption
de Pair que les équipages font obligés de refpirer. Sur les
moyens de renouveller Pair de l’entrepont 8c dés cales, voye^
les articles Manche 6- V ENTILATEUR, D i fl- raif. des Sciences,
8cc. 8c Supplément. Ibid. 23 6. a.
A ir de vent. Divifion de la bouffole en trentè-deux
parties qu’on nomme airs de vent. Suppl. I. 236. a. Maniéré
d’exprimer avec exactitude Pair de vent où l’on a couru.
Ordre qu’on a fuivi dans la nomination des trente-deux airs
de vent. Maniéré d’écrire 8c de prononcer ces noms par
abréviation. Ibid. b. Voye^fig. 3. de la planche I. Architeflitre
navale. Suppl.
A ir , ou A ire. Explication de quelques expreffions en
ufage dans la navigation. Acquérir de Pair ou de l’aire. Vaif-
Jfeau qui a beaucoup d’air. Donner de Pair au bâtühent, 8cc.
Suppl. I. 236. b. +
A ir . Divers fens de ce mot dans le ftyle ’ de l’Ecriture
faintc. I. 236. b.
A ir , ( Myth. ). I. 236. b.
A ir , maniérés, ( Synon. ) différences entre ces mots. L
236. b.
A ir , ( Phyfionom. ) air noble. VIII. 329. a. A ir ignoble.
548. A I WÉ Ê Ê Ê È I
A ir , ( Beaux-arts) voyc3; A spect.
A ir ,
A I R
A ir , (Peinture). I. 237. a.
A ir. D ivers autres fens de ce mot. 1. 237. a.
A ir , (M ufiq ) étymologie de ce mot. Les Grecs avoient
plnfieurs fortes traits qu’ils appelloient nomes. Diverfes efpeces
d’airs dans la mufique moderne. I. 237t'<i.
A ir , ( Litt. Poéfie fyriq.) Pair eft une période muficale, qui
a fon mo tif, fon deffein , fon enfcnible , fon unité, fa fym-
métrie, 8c fouvent auffi fon retour fur .elle-même. L ’air eft
à la mufique ce que la période eft à l'éloquence. La mufique
vocale a trois procédés différens: le récitatif fimple, le récitatif
obligé8c 1 air. A r t de les placer à propos. Suppl, I, 237. a.
Différens caraéteres de Pair, appropriés aux différentes affections
de Pâme, qu’ils expriment. Ibid. b. D e la forme que le
poète doit donner h la période deflinée à former un air. C e
qu’on entend par motir ou deffein. Q u e l eft le ftyle le plus
convenable à ce genre de compofition muficale. Les airs de
Métaftafe préférés à ceux de Zeno. Les O des de Malherbe 8c
de Rouffeau, peu propres à exercer le muficien. Ibid. 238. a.
Il eft impoffible de faire un air furies vers de Quinault. Mauvais
goût des Italiens dans la compofition de leurs airs. L ’art
d’arondir 8cde fymmétrifer la période muficale, peu connu,
jufqu’ic i , des François. Il feroit à fouhaiter que quelqu’un
rendît les chefs-d’oeuvres de Quinault fufceptibles de cet ornement.
Projet d’adapter une mufique nouvelle aux poèmes de
T h é fé e , de Roland 8c d’Armidc. Obfervations qui montrent
que l’égalité du vers n’eft pas cffenticlle à la fymmétrie du
chant. Ibid. b. Entre les membres fymmétriquement oppofés
d’une période, c’eft une chofe précieufe que l’éealité du
m é t ré , 8c l’identité des nombres. Exemple tiré de Métaftafe.
A v e c une oreille jufte 8c long-tems exercée aux formules du
ch an t , un poète François peut donner ce genre de perfeélion
â fon ouvrage. Avantage que les Italiens ont fur nous à cet
égard. La mufique, pour émouvoir profondément l’oreille 8c
l ’ame, a befoin de graduer, de redoubler, de graver fes
impreffions: voilà pourquoi le retour du mo tif a tant de
charmes 8c de pouvoir. Ibid. 239. a. Circonftances qui permettent
de placer l’air au milieu de la feene la plus v iv e 8c
la plus rapidement dialoguée. C e qui nuit le plus réellement
à la chaleur de l’aélion, ce font ccs longs préludes 8c ces
longs épifodes de fymphonic qu’on nomme ritournelles. Ibid. b.
A i r , différens airs de flûte des anciens. V I . 893. b. 8cc. Air
chinois, vo l. V I I . des planches, Mufique, planche III. Air
perfan, planch. IV . A ir des fauvages de l’Amérique. Ibid.
D e l’air & du récitatif dans l’opéra. XII. 823. a. $26. a ,b .
Style du poète dans.les airs. 827. b. L ’aria des Italiens eft autant
deflinée à l’expreflion du gefte qu’à celle du chant. 833. b.
Caneva s, paroles que les inuficiens mettent fous un air. IL
597. a. Airs caraéterifés. X V I I . 734. b. Variations dont on
orne un air. X V I . 843. b. Sortes d’airs appellés doubles. V . 78.
A 'rs de table. III. 139. b. Sur Xarticle A ir , voye\ auffi Motif.
s 1 * 4 ^ . ’ C Chy,n‘ e ) cuivre jaune, compofé de cuivre fondu
^ 1. ^ am*ne- Maniéré de le faire. Compofition de l’airain,
appellée bronze, dont on fait les cloches. Airain de Corinthe
prtxieuxchez les anciens: on le diftineue en trois fortes. Origine
de ce cuivre. Q ualité diftinélive du cuivre jaune. I. 227. b.
A irain, celui de Dodone. III. 234. a. Ufages facrés que
les k»recs firent de l’airain dans les tems les plus reculés. X v l .
3 3- *• A.ram de Corinthe. IV . 547 .«, b. X. 243. b. Sur l ’airain,
voye? Cuivre.
A IR E , (Géometr.) efpace qu’une figure ren ferm e.! 23 j.b .
Trouver l’aire d’une figure géométrique. Méthode pour
1 terrein terminé par des lignes. En aftronomie,
A IC E 4 1
mefurei
1 elliptiques font proportionnelles aux tems ; ce qui eft
un effet de la gravitation des planètes vers le foleil. Ibid. 238. a.
é ire> V'°yc\ Surface. Démonftration de cette loi dans
1 aftronomie, que les aires font proportionnelles aux tems
U. 823. b Trou v e r l ’aire d’un cercle. II. 834. L e diamètre
<1 un cercle étant donné, en trouver Taire. III. 462. b. Cette
aire étant donnée, en trouver le diamètre. IV . 941. b. Trou-
v c r l aire d’un polygone, XII.941.Z-. d’un quarré, XIII. 6<q.
b. cl un feéleur, X l v . 877. a. d’un fegment, 889. b.
I a 8 Ea ( Archl’ -') divers de ce mot en archite&ure.
„„il I JE’ {Econ- rufiique) comment on fait l’aire d’une grange,
celle des bergeries, celle des toits à porc. I. 238. b.
Ai RE ,1 endroit qu’habitent les grands oifeaux de proie. Dé-
I 2 8 i Par ^0uis de prendre aucune aire d’oifeaux.
A ire des aigles. 1. 193. A
A ire, (Vannier). I. 238. b.
A ire, (Géogr.) villes de ce nom. I. 238. b.
A ire en Artois, (Géogr.) fontaine percée à cent trente-
lept pieds de profondeur fur la grande place de cette ville,
lnlcnption placée fur cette fontaine. Ve rs 8c infeription placés
fur une autre fontaine établie dans le fort S. François voifin
de cette ville. Suppl. I. 239. b.
c ( Géogr,) v ille de France en Gafcogne. Son état pré-
,e ” 5‘ D bfervations hiftorkjues fur ce lieu. Suppl. I. 240. a.
A irelle, ou Myrtille, ( Botan.) autres noms de ce genre
de plante. Ses can&ercs génériques. Defcription de quatre
elpcces dairelle. Diverfes obfervations fur leurs qualités,
uiages, lieux ou elles croiffent, 8tc. Suppl. I. 240. a.
Airelle, voy ez Myrtille. X. 920. b. .
A IR I , (Géogr.) lieu de ce nom près d’Auxerre. Suppl I m e b.
A IR O M É fR lE , ( Phyfiq. ) Elémens de l’airoméuAe %
Wolf. I. 239.a.
A IR S , (Mancge) allures 8t exercices qu’on apprend au
cheval de manège. Quelques-uns les divifenr en bas 8c relevés.
I. 2 j? . a.
Airs b as, ou prés de terre. Airs rele v és , vol. V i l des
planches, Mancge, pl. V I I 8c IX.
f r ^ ^ * c \Mcnuij.Charp. ) manière de couvrir les entrevouts.
U n plafonne prefque toutes les chambres habitées par les
maîtres, ce qui occafionne la ruine des planchers. I. 239, a.
A ïs de bois de batteau. I. 239,
^ B i g 9 | | S | dam B u arts, f ; i i o . b.
A i s A i - L E - n u è ( a v . 5 rfCl, s M t M
eft dit dans 1 Encyclopédie, mais un petit bourg, ltuine«
qu on y voit d un ancien chateau. Suppl. I. 2a i a
AIS SELLE , (A n a t .) danger des abcès dans les aiffelles.
I. 240. a. Comment on peut corriger la puanteur de la tranf-
piration des aiffelles dans certaines perfonnes. Ibid. b.
Aificlle , parties fituées fous Taifielle. I. 906» b.
A isselle, (Jardin. Botan.) aiffelle des plantes. L 240.b.
AISSELIER, (Charp. ) delcription de la picce de bois ainfi
nommée. Bras d’une rou e , nommés aijfcliers. I. 240. b.
A I T a fie, (terme de palais) ordonnance qui fe met au bas
de quelques requêtes. I. 240. b.
À JU S , (Marine) poeud dont onfe fert pour lier cnfemble
deux cordages qui doivent faire force 8c fe roidir. Suppl.
*• ^ayjil “ ë- 4 > pl- d'Architeflure navale, dans le Stlppl.
A IU S -LO C U T IU S , (M y th .) dieu de la parole. Origine
de fon culte à Rome. Moyen d’accordçr le refpcft qu’on doit
à la croyance d’un peuple 8c au culte national, avec la liberté
de penfer. S’il y a dans cet article quelque chofe qui ne pa-
roiffe pas e xa é t ,o u qui bleffe quelques perfonnes, l’auteur
renvoie à Xarticle Casuiste, où fa penfée eft expliquée d’une
maniéré qui doit fatisfaire tout le monde. I. 241. a.
A JU T A G E , ou A joutoir, (Fontainier) ajutages fini pies
8c compofés. Ajoutoirs à l’épargne. I. 241. b. Quels ajutages
font les meilleurs. Table des dépenfes d’eau pendant une
minute, par différens ajutages ronds, l’eau du réfervoirétantà
douze pieds de hauteur. Ibid. 242. a. Voy. D épense des Eaux.
Ajutage. Règle fur le diamètre du principal ajutage d’un
jet d’e a u , lorfqu’il fe diftribue en grand nombre d’autres plus
petits, 8cfur le diamètre du conduit. VIII» 3 21. b. Rapports des
dépenfes d’eau, félon le diamètre des ajutages, 8c la hauteur
des réfçrvoirs. IV . 839. b. Faifceau de plufieurs ajutages fur la ’
même platine. V IL 642. b.
A IX , ( Géogr. ) petite ville de France clans le golfe de
Gafcogne. Fort que les Anglois y détruifirent en 1737. Suppl.
I. 241. a.
A i x , ville capitale de la Provence. Son fondateur. Ses révolution!
Sa defcription. Suppl. I. 241. a. Son archevêché. Son
commerce. Ibid. b.
A ix en Provence. Fondation de cette ville. X IV . 373. a.
A ix ancienne. Suppl. IV . 11 . a. lliftoire de fon Parlement.
XII. 36. a. D o yen de ce Parlement. V . 97. a. Chancellerie
d’A ix. III. 108. b. Fête qui Te célébré à A ix la veille de la
S. Jean. II. 406. a. Projet d’un canal pour le commerce de
cette ville. Suppl. II. 187. a , b.
A i x , (Géogr.) ville de Savoie. Ses bains. Reftes qu’on y
v o it d’un arc de triomphe. Suppl. I. 241. b.
AIX -LA -CH A P E LLE , ( Géogr.) ville d’Allemagne dans
le cercle de Weftphalie.Son rang furie banc du Rhin. O11 lui,
donne quelquefois la dénomination de v ille impériale par
excellence. Elle eft dépofitaire de l’épée , du baudrier & d i i
livre d’évangiles qui fervent au couronnement des Empereurs.
Affeélion que Charlemagne eut toujours pour cette ville. Religions
qu’on y profeffe. Régence de la ville. Droits qu’y exercent
l’eleéleur Palatin. & Tévêqtie de Liège. Territoire d’Aix-
la-Chapelle. Cérémonie dans laquelle on montre les joyaux
de l’Empire. Population de cette ville. Suppl. I. 241. b. Son
commerce 8c les bains. Conciles qui s’y font affcmblés. Calamités
qu’elle a effuyées. Ses mois romains 8c fa contribution
à la chambre impériale. Ibid. 242. a.
Aix-la-Chapelle, obfervations fur fes eaux minérales. X.
339. b. 540. a. XVI. 268. a.
A IZ O O N , ( Botan. )1 defcription de cette plante. Lieux
où elle croit. Ses propriétés. I. 242. b.
A K
A K A L Z IK E ou A icelska , (Géog r.) v ille déjà Turquie
Afiatique. Ses fortifications. Son gouvernement. Suppl. 1.242. a.
A K E B AR , empereur du Mogol. X. 613. a..
A K E R K U F , ( Géogr. ) montagne de la Turquie Afiatique,
Ruines qu’on y voit. Suppl. I. 242. -2.