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'poitrine.Les côtes. L e fternum. Cartilage xiphcïde. D it bafl'm.
Os-innominés : pieces dont ils font compofés, l’iléon, lifchion
8c le pubis. Ibid. b. Des extrémités; l’épaule, le bras, l’nvaUt-
Lras, le g en ou , le Canon, Ibid.$82. uv le boulet, le,paturon,
l a couronne & ‘le pié. Des extrémités poftérieures : fe c infle,
l e grafiet ou la rotule, la jambe convpofée du -nbia ÖC du
1 Ibid. b. le jarret compofê de pe fix o s ,la v o ir 1 os du
:t proprement d it , îo s de la poulie , le grand 6c le petit
caphoïde, l’os difforme 8c. l’eiur’offeùx : le Canon, le boule t,
e paturon
D e l'oftéol
Cartilag
chiée. I
la coui■ onne&le pié. Ibid. '■(■ 83., a.
\0„je tpi■ àcle. De la chondrolc ou {les ce.tr tilages.
es de la tête ou fupérpharin;gieris de la nlâchoire
Ceux de; foreîlle .C e u x du n Ibid. b. I ,’onglée.
l’oeil qni fôrinê Une pouliiî q:u’on appielle tro-
:artilages du tron c : ceux du !lary nx , de la trachée
côtes icelfti qui tient les fi:x pieces ofte ufes du
es en fofnble. Des cartilages des extrémitès. Ibid.
De la fyndeflnologie , ou traité des ligamens. Des ligamens
de la tète. Des ligamens du tronc, favoir des vertebres, des
cô te s , du baflin, des os pubis. Des ligamens des extrémités
«intérieures, favoir de l’épaule, ibid. b. de l’humerus, du
g en o u , de l’os du canon, de l’os coronaire, de l’os de là
hoîx. Des ligamens des extrémités poftérieures : ceux qui
unifient le fémur au baflin, le fémur au tibia, ceux du jarret,
des os feaphoïdes. Ibid. 385. a. Des os péronnés, du boule
t , du paturon, de la couronne 8c du pié.
Myologie ou traité des mufcles. Des mufcles peaufliers. Des
mufcles du bas-ventre: grand oblique, ou oblique defeen-
dan t, petit oblique ou afeendant, mufcle dro it, tranfverfe,
pfoas des lombes. Ibid, b. Des mufcles de la face : favoir , du
n e z , des le v re s , des paupières, des yeux 8c des oreilles.
Ibid. 386. a. D es mufcles de la mâchoire inférieure. Des
mufcles de l ’os hyoïde. Des mufcles de la langue. Des mul-
cles du pharynx 8c du voile du palais. Ibid. b. D u larynx 8c
de fes mufcles. Des mufcles de la tête. Ibid. 387. a. Des
mufcles du col. Des mufcles du dos 8c des lombes. Des
mufcles de la refpiration. Ibid. b. Des mufcles de la queue.
Des mufcles de la verge. Des mufcles des tefticules. Des
mufcles de l’anus. Ibid. 388. a. Des mufcles du vagin. Des
mufcles des extrémités antérieures: favoir de l'épaule, du
bras, ibid. b. de l’avant-bras, du g en o u , du canon, du paturon,
ibid. 389. a. du fanon , de l’os coronaire 8c de l’os du
pié. Des mufcles des extrémités poftérieures, favoir de la
cuiffe ou du fémur , ibid. b. de U jambe, du jarret, du canon,
du paturon, ibid. 390. a. du fanon, de l’os coronaire 8c du pie.
De T angeiologie, ou traité des vaiffeaux. D e l’artere aorte
8c de fa divifion. Divifion du principal tronc de l’aorte afeen-
dante en particulier. Ibid. b. Divifion de l ’aorte defeendante
ou poftérieure. Ibid. 391. a. Des veines. D e la veine cave.
Veines axillaires. Veine brachiale. Veines paturonhieres.-^
Veines pulmonaires 8c veine-porte, voye^ ci-après la def-
cription du poumon 8c du foie en particulier. Ibid. b.
• De la névrologie. D e l’origine des nerfs 8c de leur divifion.
Ibid. 39a. a. D u nerf intercofta! 8c de fes divifions. D es nerfs
de la moëlle de l’épine 8c de leurs divifions.
De la fpanchnologic ou traité des vifeeres. Divifion du chev
a l en trois cavités ou ventres, favoir la tête ou ventre
fupérieur,la poitrine ou ventre antérieur, le bas-ventre ou
ventre poftèrieur. Vifeeres contenus dans chacune de ces
cavités. Ibid. b. Obfervations particulières fur l’eftomac. Vers
qui s’y engendrent. Des inteftins 8c des vers qu’on y trouve.
Ibid. 393. a. Pierres qui fe forment dans l’appendice du
cæcum. Deux cfpeces de pierres formées dans les inteftins.
Obfervation fur les lavemens qu’on adminiftre au cheval. D e
l ’épiploon. D u foie : vers qui s’engendrent dans le conduit
cholidoque. Ibid. b. Autres vers qui fe trouvent dans le canal
pancréatique. Ceu x qu’on voit répandus dans la capacité du
bas ventre , 8c errans fur les vifeeres. Pierres dans les reins
& dans la veffie.
• D e Tadénologie, pu Traité des glandes. Enumération des
glandes contenues dans les différentes parties du cheval.
Ibid. 394. a.
D e pltifieurs points d’hippotomie. D e la digeftion. Defcrip-
tion de l’oreille. Comment le tympan perd fon reffo rt, 8c
l ’animal devient fourd. D e l’céil 8c de quelques maladies de
cet organe. Defcription du nez. Ibid. b. D e l’opération du
trépan lorfqu’il y a colleélion de pus dans quelqu’ une de fes
cavités. Obfervations fur la maladie du cheval appellée la
morve. Defcription de la bouche. D es barres. Ibid. 393. a.
Mauvaife méthode employée par, quelques praticiens pour
guérir du dégoût certains chevaux qui ont le palais élevé
en dos d’âne. D e la peau 8c des poils du cheval. Efpece de
corne appellée châtaigne.
. Seconde partie. De Thygienne , 8c i° . D e la conformation
du cheval. Confidéré extérieurement, cet animal fe divife
en trois parties, favoir en avant-main , en corps 8c en arriere-
main. Enumération des parties contenues dans chacune de
cés divifions. Ibid. b. O n ne peut donner une réglé fure pour
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ftatuer fi un cheval eftconftruit parfaitementtant pour l’ap*
parence que pour la bonté. D ifférence qu’il doit y avoir entre
un cheval de felle 8c un cheval de carroffe. L’animal confidéré
en aftion fous deux points de vue différens , i° . dans
là totalité 8c généralité de fes mouvemens , 1°. relativement
aux mouvemens des jambes , l’animal étant vu de
profil. Des allures des chevaux ; favoir le pas , le trot 8c
le galop. D e la conformation la plus propre à chacune. Ibid*
396. a. Des allures non-naturelles, favoir l'am b le,f entre-pas*
8c l’aubin, 8c des difpofitions du cheval à les exécuter. Autres
allures que les écuyers appellent artificielles. D e s mouvemens
des chevaux vus de profil. Ibid. b. Après avoir confidéré
le cheval dans fon enfemble , l’auteur examine fépa-
rément chacune de fes parties , 8c les défauts 8c qualités
qu’on y obfervc : favoir la tête , la nuque ; le toupet, les
oreilles, le front, ibid. 397. a. les falieres, .les paupières.
Manière la plus fûre d’examiner la vue d’un cheval. Suite
de l’examen des qualités bonnes 8c mauvaifes des parties de
l’animal, favoir l’o n g le t , le nez , les nazeaux, la bouche ,
ibid. b. -les joues 8c la ganache , les avives , l’encolure , le
poitrail, le g a ro t , l’épaule , le bras, l’avant-bras, ibid. 398.
a. le g en o u , les nerfs ou tendons, le b o u le t , le paturon ,
les fabots, la foie. Qualités 8c défauts qu’on remarque dans
le d o s , les r eins , les cô te s , ibid. b. le v e n t r e , les parties
de la génération, favoir le fourreau, les bourfes 8c les tefticules
, les mamelles , la croupe , la queue , les hanches , ibid.
399. a. les fe ffes , la cu iffe, l’aine , le graflet, la jambe, 1®.
jarret, ibid. b. le canon, le paturon , la couronne 8c le fabot
de derrière. Obfervations fur les poils de l’animal, diftingués
en réguliers 8c irréguliers. Parties qui blanchiffeut les premières
quand l’animal vieillit.
20. D e la nourriture du cheval. Des différentes qualités du
foin 8c du choix qu’il en faut faire. Ibid. 400. a. Différentes
plantes 8c grains employés à la nourriture du cheval. Diffé-,
rentes qualités des eaux , choix des plus falutaires.
30. D u foin que Ton doit avoir des chevaux. Conftru&ion 8c
foin des écuries. D u panfement des chevaux.
40. Des exercices du cheval. Obfervations fur le travail des
chevaux definies à tirer, des chevaux de b â t , 8c de ceux de
felle. Ibid. b. _ .
Troifieme partie. Hippopathplogie, ou Defcription des maladies
du cheval. Comme celles qui lui font communes a v e c
l’homme, .exigent. à-peu-près le même traitement que pour
l’h omme, elles ne font point l’objet de cet article, dans
lequel il ne s’agit que des maladies particulières au cheval.
D e l’inflammation. Diagnoftic de l’inflammation des parties
internes. Ibid. 401. a. Méthode curative. D u phlegmon. Ses
fymprômes. Son prognoftic. Maniéré de le guérir. Les caufes,
fymptômes, diagnoftic , prognoftic 8c cure de la fuppuration ,
font les mêmes dans le cheval 8c dans l’homme. Il en eft
de même des u lcé rés , de la gangrené , de l’é réfipele, de
l’oedeme 8c du skirre. Parties du cheval les plus expofées à
devenir skirreufes. Caufes de cette maladie dans l’animal.
Les maladies des os en général doivent encore être traitées
dans le cheval comme dans le corps humain.
Des maladies externes. O n trouvera dans cet article ,"fur
chaque maladie , ’ fés fymptômes, fon diagnoftic, fon prognoftic
, fes caufes, 8c fon traitement. Ce s maladies font la
tau p e , efpece de tumeur ; ibid. b. les maladies des y eu x ;
ibid. 402. a. là langue bleffée ou coupée par la longe que
l’on met dans la bouche des chevàux ; la bleffure des barres ;
les tumeurs produites au col par la morfure des ch e v a u x ,
le collier ou quelqu’autre caufe ; le mal de garot ; la tumeur
• inflammatoire appellée co r s , caufée par la compreflion de
la felle ou du bât ; ibid. b. les accidens qui viennent de l’effort
de reins que fait le cheval en tombant 8c en fe relevant ;
le mal de rognon ; la tumeur au-deffus du fternum qn on
nomme avant-coeur ; l’anthrax, mufaraigne ou mufette, qui
fe manifefte par une petite tumeur à la partie fupérieure 8c
interne de la cuiffe ; ibid. 403. a. les hernies ventrales 8c
crurales ; les tumeurs des tefticules ; le phimofis ; le paras
phimofis; l’é ca r t; 1« nerfure , ou nerf-féru; l’effort de la
hanche ; la tumeur appellée v a r ic e , qui fe manifefte en-
dedans du ja rre t , fur ion articulation; ibid. 404. a. la mémar-
chure ou entorfe, diftenfion des ligamens de l’articulation ;
la meurtriflùre ou plaie appellée atteinte , que le cheval fe
fait à une des jambes avec un de fes fe r s , ou qu’il reçoit
d’un autre c h e v a l; le clou de ru e , ou corps étranger qui
pénétré dans la fo ie ; ibid. b. le clou qui ferre la v e in e ,,
c’eft-à-dire qui comprime la chair cannelée , de forte que
les vaiffeaux font refferrés; l’enclouurc, lorfqu’un des clous
fe trouve planté dans la chair ; ibid. 405. a. la rougeur appejlée
bleime qui fe manifefte à la foie des talons ; la foie échauffée,
foulée , enflammée ; ibid. b. la foie battue ou le pié dérobé ;
l’ètonnement du fab o t , ou ébranlement dans le p ié , occa-
fionné par quelque coup ; la compreflion de la foie ; ibid.
406. a. les ébullitions ou petits boutons qui furviennent dans
toute l’habitude du corps ; la morve ; ibid. b. le farcin ; ibid.
408. a. les différentes maladies des y e u x , telles que la lunatique
p
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tique p .îbfd. (>. le relâchement de la paupière fupérieure , 8c
la cataraâe ; le skirre 8c lé cancer des mammelles ; les maladies
qu’on-a'nommées cheval froid dans les épaules, chev
a l pris des épaules , qui font caufées par la fuetir ; ibid. 409.
a. les tumeurs qui viennent de la •compreflion de l ’éponge
fur le coqd e , lorfque.le cheval fe couche en vache • l’enflure
& bouffiffure des jambes ; le jarret enflé'; le veffignôn ou
tumeur molle qui fum en t au jarret ; ilé caplet ou paTTe-carn-
p a gn e , groffenr flottante fur 'la pointé'du jarret ; la molette.,
tumeur q uivient au ^boulet fur lfe tendon, ou entre le tendon
& l’os dù canon ; le ja rdon, autre efjrèce de tumeur * les
poireaux ou fie ; ibid. b. les verrues des paupières ; refftece
de tumeur qui furvjent en devant du b o u le t ,. qu’on appelle
improprement du'nôm de loupe';' la foùrbiire, maladie dans
laquelle le cheval a peine à marcher ; les eaux aux jàhïbes,,
férofité-âcre gui fuinte continuellement des jambes ; lé furos*
éminence dure fnr l’os du canon ; l’éparvin, tumeur qui a
fon fiege'fu’r I4 partie fupérieure interne de l ’os' du canon,
8c qni fait pour l'ordinaire boiter lés chevaux ; ibid. 410, a.
la courbe, tumeur qui entoure le basdu jarret; la fohne,
tumeur qui furvient à la couronne; le pié comble., celui
dont la foie des talons , 8c fouvent même toute la foie eft
bombée ; l’oignon, groffeur qui furvient à la foie ; l’extenfion
du tendon fléchiffeur du pié 8c des ligamens ; ibid. b. la rupture
de ce tendon ; la fraéture de l’os'coronaire ; celle de l’ôs
de la noix ; Sc de l'os du pié ; ibid. 4 1 1 . a. les aphtes ; la
fiftule à la faignée du col; la dilatation de l'anus; la fiftule '
«ux bourfes ; ibid. b. les dartres 8c la galle ; la malandre, cre-
vaffe au genou dont il découle une humeur âfcre; la mule
traverfine, crevaffe aux piés de derfiere , d’où fuinte une
humeur féreufe ; le javart, poriion de pCau qui tombe en
gangrené, 8c fe détache du corps en produifant une légère
lérofité; le javart fimple; le javart nerveux, ibid. 412. a.
le javart enCorné ; le coup de boutoir dans la foie ; la feime, ;
fente ou féparation du làbot, qui arrive à la muraille du "
haut en bas, tant aux piés de devant, qu’aux piés de derrière ; '
ibid. b. la goutte-fereine, maladie des yeux ; le gonflement ■
appellé emphyfeme ou bourfouflure ; l’inflammation accom- !
pagnée de gerfnres, qui paroît en-deffous du poitrail 8c au !
dedans de l’avant-bras , ce que l’on appelle frayé aux ars; là j
crampe au jarret ; l’arrête, place dont le poil eft tombé 8c !
ne revient plus; l’avalure , lép’arâfibn 'de la corne d’avec la :
peau à la couronne ; la fourmilliere , vuide*qui fe fait entre !
îa chair cannelée 8c la muraille, 8c qui régné ordinairement
depuis la couronne jufqu’en bas ; ibid. 413. a. l’encaftelure, :
refferrement de lia partie fupérieure dé la muraille dans tout
fon pourtour ; les poux ou maladie pédiculaire.
Des opérations Jur le corps du cheval. D e la faignée 8c de
fes différentes efpeces. Ibid. b. D e l’opération de la catarafte : 1
defcription des deux-manieres de l’exécuter, favoir par abaifle-
ment 8c par extraction. Opération du trépan : différens cas
qui la rendent néceffaire. Ibid. 414. a. D e la fiftule lacrymale j
& de l ’opération que cette maladie exige. Ibid. b. D e la bron- '
chotomie, opération qui fe pratique lorfqu’à la fuite de la
fauffe gourme, ou de la gourme maligne, Ou autre maladie
i l furvient une inflammation confidérable au larynx 8c à to*lte,
l ’arriere-bouche, qui ôte la refpiration à l’animal. Defcription
des différentes maniérés de pratiquer la caftration. Ibid. 413.
a. Cas les plus ordinaires où l’on deffole. Ouvrage à con- '
fulter- fur cette opération. D u fie ou crapaud , tumeur qui
furvient à la partie inférieure du pié. D eu x efpeces de fie ,
l ’un b én in, l’autre grave. Leur traitement. Ihd. b. Du feu
ou caraClere aéluel : cas où cette opération doit être, emp
loyée : maniérés de la pratiquer. D e la manière d’opérer
pour couper la queue à l’angloife. Ibid. 416. a. Opération
du javart.
Des vices ou défauts de T animal, & des moyens d’y renie- ‘
dicr. Cheval tiqueux , ou qui a contrarié l’habitude de mouvo
ir perpétuellement la t ê t e , ou les jambes, où le corps. '
Cheval arqué, qui a la jambe repliée St recourbée en forme'
d’arc. Cheval qui fait des armes , ou montre le chemin de
S. Jacques. Ibid. b. Cheval qui à le flanc retrouflé. Cheval
huché fur fon derrière. Cheval boulèté , celui dont le tendon
fléchiffeur dù boulet a fouffert 8ç s'eft ret iré , on dont le
tendon extenfeur dù pié s’eft relâché. Cheval épointé qui à '
une hanche plus balle que l’autre. Pié plat. Pié foible ou pié
gras. Refferrement du pié. Quartier ferré. Ibid. 417. a. Pié
altéré , defféchement de la foie de- corne. Quartier'foible.
Quartier défeéhieux.
Des maladies internes. Principes fur lefquels Thippiatrique
ou la médecine dù cheval eft fondée. Symptômes généraux
qui font connoître que cét animareft malade. Ibid. b. Ënumé- ;
ration des fymptômes dangereux. Remcdes généraux qui conviennent
dans toutes les maladies curables.
Des maladies en particulier : on trouvera dans cet article
fur chaque maladie , fes fym p tôm e s fo n diagnoftic , fon
prognoftic, fes caufes 8c fon traitement, du moins amant que
la cônnoiflance de chacun de ces objets fera effentielle au
praticien. Ces maladies font, 1^ fievre ; le vertigo ; ibid. 418'.
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W m m o t l.mal d^ fp a gn e , dans lequel le cheval
a la tête baffe , 8c toujours trifte, ne fe couche que rarement,
: Oc s éloigne de a mangeoire ; le mal de c e r f , dans lequel le
: Cheval eft roide de tous fes membres on d’une partie ; la
g ou rme , écoulement d’une humeur qui fe fait ordinairement
par le nez dans les jeunes chevaux ; ibid. b. la gourme maligne
qui eft accompagnée d’une difficulté de r e t i r e r ; ibid, 419.
a. la morfondure , écoulement de mucofités , qui fe fart
aulli par le nez ; l’aflbupiffement ; l’iinniobilicé , efpece de
catalepfie ; l’épilepfie » que les maréchaux appellent étour-
diilement ; ibid. b. le dégoût ; la falivation abondante ; la
• tGllx i Ja pulmome ; la pleuréfie ; ibid. 420. a. la vomique;
la courbature, inflammation du poumon caufée par un travail
forcé ; la pouffe, difficulté de refpirer, fans fievre ; l’h y-
dropifie de poitrine; ibid. b. la fuffocation qu’éprouvent les
chevaux dans une écurie où le feu vient de prendre ; les
tranchées, ou douleurs très-vives dans les inteftins ; les tranchées
roug es , inflammation de l’eftomac ou des inteflins
portée au dernier degré ; les tranchées d’indigeflion ; celles
qui furviennent au cheval après avoir bu une grande quantité
d eau fro id e , fur-tout étant en fueur ; les tranchées ven-
teufes ; ibid. 421. a. celles que caufem les vers ; les tranchées
de bezoards; la rupture de l’eftomac; le cours de ventre ou
dévoiement ; le gras-fondu , excrétion de mucofité ou de
glaires tamponées 8c épaiffes que le cheval rend par le fondement
; les tranchées hépatiques, caufées par une inflammation
des vaiffeaux ou canauxbiliaires par la préfence des pierres
ou des vers ; l’afeite ou hydropifie du bas-ventre-; ibid. b. la
fuppreffion d’urine; l’incontinence d’urine; la rétention d’urine-
le piffement de fàng ; ibid. 422. *. Les fuenrs auxquelles
les chevaux font fujets au moindre mouvement, 8c même
dans le repos ; le tremblement à la fuite d’une maladie inflammatoire
ou d’une hémorrhagie ; la rag e, efpece de folie ou
de fureur fans fie v r e , dans laquelle le cheval mord 8c ronge
la mangeoire 8c ce qu’il rencontre indiftin&ement; le marafine;
^Ib ™ £tUre dU <Jiaphragrae à la fuite de quelques tranchées.
De la ferrure. D u pié de cheval. O n place trèS-fouvent
dans la jambe , dans lép a u le , ou dans d’autres parties , une
infinité de maladies qui n’ont leur ûége que daris le pié. D e fcription
du :pié du cheval 8c de fes différentes parties; le
fabot3 la muraille; la foie ; la fourchette; la oouronne; la
chair cannelée; ibid. 423. a., l’os du pié , dans lequel on distingue.
l’os coronaire, l’os de la noix ; les cartilages. Enumération
des défauts qu’on remarque ordinairement dans la
ferrure aéluelle. Ibid. b. D e la ferrure des mulets. Il ne faut
pas croire , comme le penfent les muletiers , qu’il faille que
le mulet , pour bien marcher , foit ferré avec des fers grands
& larg es, qui débordent en-dehors 8c en pince de quatre
a cinq pouces. Defcription des fers 8c des cl<i>us de ferrure
a mettre en ufage. pour,les chevaux qui ont bon p ié , 8c qui
n ° r f f aS d®*aut- Ibid. 424. b. Des connoiffances que doit
pofléder celui, qui veut être maréchal. Ouvrage à confulter
fur ce lujet. D es propriétés de la fourchette du ch e va l, &
des propriétés qu’il en retire. Ibid. 423. *. D e la ferrure qui
convient pour aller folidement fur le pavé fe c 8c plombé
tant pour les chevaux de trait que les chevaux de bât ; c’eft-
à-dire pour les chevaux de carroffe, de felle 8c autres, ’ibid b
Des fers qui conviennent aux chevaux qui ufent confidé-
rablement. D e la maniéré de ferrer le cheval qui ufe en p ince :
le cheval Pinçant des piés de derrière, 8c qui eft fujet à fe
déferrer; le cheval qui forge en talon ou en pince ; le cheval
qui le coupe 8c s’entre - taille ; ibid. 426. a. le pié foible ;
les talons b a s , foibles 8c fenfibles ; le quartier ferré en-
dedans*, ren v e r fé , où il y a une rentrée en-dedans, dont
la lole elt bomoee , 8c qui joint à cela un talon foible ; le
pié plat; les piés combles; les feim.es.; la bleime. Ibid. b.
Les piés dont la fourchette eft expofée à fe remplir d’humeur
famcule ; la fourbure; le p ié encaftelé; le pié deflolé à caufe
d’un e ffo r t, d’un étonnement, &c. ou à caufe d’une plaie ;
le cheval qui a été encloué. D e s fers brifés 8c de leur ufage.
Ibjd. 427. a. D e la ferrure des mulets félon les différens"
ufages auxquels ils font employés. D e la ferrure des ânes
Ibid. I . ±
H IP PO C AM P E , { S o t .) des Moluques, nommée bouaya.
Suppl. II. 33. <z. J
H IP PO C EN T A U R E , ( Myth. ) monftre fabuleux. Peuples
appellés de ce nom. C e que la fable nous raconte fur les
Hippocentaures. Origine de cette fable 8c du nom $ hippo-
centaure. VIII. 210. b.
H IP P O C L ID E , anecdote fur cet Athénien. XI. qeS a b
H IP PO C R A TE de C h io , géomètre. V I I . 629. b. *
Hippocrate, médecin,, voyer l’article H ip po cr a t ism e
HIPPOCRATE E S , {A n tiq.) fête en l’h o n m ^ d e Neptune
équeftre. Les anciens croyoiént que ce dieïFavoit fait
préfent du cheval aux hommes. Comment les chevaux par-
ticipoient à la fête des hippocraties. Compofition de ce mot.
Fête femblablè chez les Romains. VIII. 210; b. Vover
C onsuaees. J 1
Z Z Z Z Z z z z z a