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s’ afTemblóiem jjönr U célébration de certaines cérémonies.
XII. soe , ».Bétonde confrairie. II. 144. a- ,
CO N F R A T E R N IT É , v om F ka t e kn it I . ■ ■ ;
CONFRERES ie W f f io n >eij>eoe de comédiens. U l.669. k
C O N F R O N T A T IO N , (Jurifpr.) o a l appelle en Languedoc
1 I H l , een™«»«. ■ « ï * B M fen om o n d e s te-
WSM S m m en matière criminelle. H H H |
S «n^émoin. Moyen à-peu-près femblable employé dans
H concile des Ariens. La confrontation a lieu fuivanr te
droit canon. On la pratiquoit en France des les premiers
tems de la monarchie. Ordonnances qui en parlent. Difpok-
tions de ces ordonnances. H H «. Détailsi fur tout ce
qui concerne la confrontation des témoins. Ibid, b. On observe
les mêmes formalités dansles confrontations des a c h te s
ou-complices les uns aux autres, qui ne doivent être faites,
qu’après celles des témoins. D e la confrontation daccufes
laïques avec des accufés eccléfiaftiques. Ibid 861. a.
Confrontation , différente .de l’acarement. Suppl. 1 105. b.
-Confrontation desaccufés .v o y e z ce qui précédé. 111. 861. a.
Confrontation dîécritures, voye^ COMPARAISON.
Confrontation d’experts, vo y^ vers la fin du mot CONFRONTATION.
i ,, , . S ,, I
Confrontation figurative, confrontation du n témoin à lac-
e u fé , fans néanmoins lui repréfenter le témoin. Comment
elle fe fait. Dans quelles circonftances elle a lieu. Ou il en
eft-parlé, & oà d l e V . * pratiquée. m S 6 i. H Comment
l'ordonnance de té r o tuppolc cette conlrontanon. lb ,i. b.
Confrontation littérale. III. 861. b..
Confrontation en tourbe. Exemple de cette confrontation.
PaS o N F U C IU S , obfervations fur ce-pliilofophe.III. 343- «•
Ses livres II. W M - ® 3-4*- *• Sentences morales de Confucius.
346. a , b. Progrès de fa doCtrine dîins le Japon. V l l l .
^ C O N FU S IO N , ( Jurifpr. ) d’aCtions & de droits. III; 861.
b. Comment elle a lieu. Autorités àconsulter .Ibid, b
Confusion, ( Chymie) ce que les chymiftes modernes
entendent par-là. Comment la confufion différé de g mixtion.
Autres.fens de ce mot adopte par quelques Chymiftes.
Union de diverfes fubfiances que M . Henckel a regardées
comme des confufions, qui cependant rentrent dans la dalle
des mixtions. Quelques anciens ont employé, le mot de confufion
dans le même fens que nous prenons ceux de folutton,
dijfoluthn, combinaifon. 111. 862. a.
Confufion, dans la vue. Pourquoi les objets trop rapprochés
paroiffent confus. X V I I . 568. a. Confufion d’idées.
V I I I . 492. b. trc. Notion confine. X I. 252. b. Image con-
fufe. Suppl. III. 564. a.
C O N F U T A T IO N , ( Met. ) Comment on réfuté les objections
de fon adverfaire & l’on découvre fes faux raifonne-
mens. A rt de répandre du ridicule fur les preuves .d e fon
adverfaire. Voye{ Réfutation.
C O N G E , {.Hiß. anc. Pharm.) mefure desanqens. Un a
diftinguè le conge romain du conge attique. Galon ou conge
des Anglois. IIL 862. b. - , H . ^
C O N G É , {Hiß. Art milit.) on a dffnngue chez les Korn
ai ns comme parmi nous plufieurs fortes de congés J congé
ab fo lu; congé à tems; congé de pure faveur; l l l . 062. b.
congé infamant, exemples. Deux degrés de conge legitime
établis par Augufte. Ibid. 863. n. .
Congé dans la milice romaine. X . 513. b. 577. b. Kéhexions
furies congés militaires. X V I I . 83 5. u. Partie de l’habillement,
que les foldats emportent lorfqu’ils ont leur congé. VIII. 8. a.
CONGÉ. {J urifp.) III. 863. a. ■ , H
Congé d’adjuger,]u°enfent portant qu un bien faili iera vendu 6c
adjuge quarante jours après ce jugement. Q uels fontàcet égard
les ufages du parlement & des requêtes du palais. III. 863. a.
Congé faute de conclure. Congé de cour. Congé déchu de
l’appel. Congé faute de venir plaider. Congé faute de fe pre-
fenter. Congé d’entrée. III. 863. *. Congé de remuage. Ibid. b.
Congé, en fait de marine. III- 86.3.A
Congé en fait de louage. Tems. où il doit être donne, ce
terme varie félon différentes circonftances. Un congé donné
verbalement ne fiiffit pas. Quand il y a un bail é crit, il n’eft
pas néceffaire de donner congé à la fin du bail. 111. 863. b.
Congé du feigneur. III. 863. b............ ,
/ Con GÉ, ( Comm. ) permiflïpn donnée de faire un commerce
interdit à d’ autres. D es congés pour la traite du caftor.III.863.é.
- Congé au menu. {Comm.)
Congé, ( Comm. ) celui qu’obtiennent de leurs maîtres les
garçons & compagnons. III. 864. a.
CONGÉ, {aller au) c/ic{ les rubamiiers & autres artifans.
Démarche du maître qui prend un ouvrier, auprès du maître
de chez lequel l’ouvrier eft forti, III. 864. a.
CO N G E L A T IO N , {Phyfiq.) comment les cartéfiens la
définiffent. Principaux phénomènes de la congélation. i° . La
dilatation de l’eau & de tous les fluides, excepté les huiles.
C O N
a°. Les fluides perdent de leur pefanteur fpécifique & de
leur poids abfolu. III. 864. a. Sept autres phénomènes fur la
congélation rapportés. Principes que différons auteurs ont
pofés pour expliquer la congélation. Comment les cartéfiens
l ’expliquent. Sentiment des gaffendiftes & autres philofophes
corpulculaires. Comment ils expliquent In différence entre la
congélation & la coagulation. Particules frigorifiques qu’ils
ont imaginées. Ibid. b. Quelques-uns ont attribué la congélation
à l’intrôduétion de l’air commun dans le fluide, &c. Comment
M. Bo y le a combattu cette opinion. La plupart prétendent
que la matière de la congélation eft un f e l , du
genre du nitre. Comment les particules nitreufes peuvent
faire perdre à l’eau fa fluidité. Pourquoi cet effet n’eft produit
qu’en hiver. Expérience de la glace artificielle qui confirme
cette opinion. Objections que fait contre ce fyftêmé
l’auteur de la. nouvelle conjecture pour, expliquer la nature de la
glace. Ibid. 865. a. Expofition de fa nouvelle théorie. Difficultés.
élevées contre elle. Autre hypothefe par laquelle quelques
uns expliquent d’où vient l’augmentation du volume
& la diminution de la gravité fpécifique de l’eau convertie
en glace; elle eft peu digne qu’on s’y arrête. Pour nous faire
une théorie de la congélation, nous devons recourir , foit
aux particules frigorifiques des gaffendiftes , confidérées avec
tous les avantages que leur a donnés la philofophie de Newton
, foit à la matière fubtile des cartéfiens, avec tous les
correéiifs de M. Gauteron. Expofition du premier fyfiême. Ibid, b.
Tous les corps falins donnent de la roideur aux parties des
corps dans lefquels ils font introduits. Pourquoi les particules
de quelques fels fe foutiennent dans l ’eau lorfqu’eues font
é lev é es , quoique fpécifiquement plus pelantes que l’eau. Pour-
. quoi le volume de l’eau convertie en glace eft augmenté, &
fa pefanteur fpécifique diminuée. Comment l’eau imprégnée
de fou fre , de fels 6c de terre peut être changée en métaux,
minéraux, gommes & autres fofliles. Expofition du fécond
fyfiême. Ibid. 866. a. Pourquoi félon ce fyftême l’évaporation
eft confidérable dans, un tems de gelée. Ibid. b.
Congélation de l’eau. Suppl. III. 469. a. La congélation
expliquée par les principes de l’àttraCtion. I. 853. b. Caufe
de la congélation félon M. Muffchenbroeck. VII . 313. b.
314. a. 679. b. Dilatation de l’eau par fon changement en
glace. .312. a. 313. b. Eau refroidie au-deffous du.terme de
la congélation fans être gelée. 318. a. Congélations artificielles.
318. b. 319. a. 683. a, b. Expérience dans laquelle
on eft parvenu à geler le mercure. X. 373. a. Comment 011
doit chercher le terme de la congélation pour la conftruftion
des thermomètres. Suppl. I V . 940. a, b. Sur la congélation.
Voye^ G el , G elée , G l a c e .
Congélation , ( Phyfiq. ) phénomènes fiuguliers que préfente
la congelation .de l’eau cuftillée. Suppl. II. 546. b.
Congélation en ch ym ie , fixation d’un fluide. Terme de
congélation dans un thermomètre. III. 866. b.
CO N G E L E R , principes capables de congeler la plupart
des liqueurs. Moy en de produire un degré de froid très-
confidérable. Autre moyen de faire un froid artificiel, indiqué
par M. Homberg. III. 866. b.
C O N G E ST IO N , {Médecine), maladie des humeurs. Amas
de quelque matière morbifique des humeurs dans une partie
du corps. Elle réfulte ou de l’inaClion de la partie foli-
de , ou de la dérivation de la matière peccante déjà formée
ailleu A dans la partie maintenant affeftée. Çaufies de Cette
dérivation. Défordres que produifent les congeftions. Cure
d*e ce mal. Divers termes employés. pour caraCtèrifer les
différentes fortes de congeftions morbifiques, & dorît l’auteur
donne ici. la définition. III. 867. a. Ces termes foqt
ceux de collection, fluxion, dépôt, apofleme, abcès1, delitef-
cence, métaflafe. Ibid. b.
Congédions, elles fe font dans différentes parties du corps,
félon les différons tems de la v ie , par une clifpofition particulière
dans l’écoiiomie animale. VII I. 125. a. Différence
entre congeftion & fluxion. V I . 926. a.
CO N G IA IR E , {Hifl,. anc.) terme de médaillifle, don ou
préfent repréfenté fur une médaille. Etymologie de ce mc>r-
Différence entre les préfens congiaires & les préfens dona-
tifs. D ivers exemples de congiaires donnés au peuple par
les empereurs. U n’eft plus fait mention de congiaires dans
les médailles des empereurs depuis Quintillus. IIl. 867. b.
C O N G O , {Géogr.) fes bornes, fes habitans, commerce
qu’y font les Portugais. Productions du p a y s , marchandifes
quîon y porte. III. 868, a.
Congo, qualité du climat de ce pays. X V I I . 726. b. O b fervations
fur les nègres de Congo. VIII- 337* a- 81 • a.
Prêtres de Congo nommés ngombos. XI. 120. a. r ormalité
qu’obfervent les filles de ce pays , lorfque leurs menftrues
paroiffent pour la première fois. X. 342. b. Oifeau favori
des rois de Congo. XI. 833. n. Inftrumens de mufique en
ufage dans ce pays. Suppl. II. 799. b. Suppl. III. 683. a.
815. b. Suppl. IV. 44- b- 7 l- b; ï 6°- a- . 979: b-
C O N G R E , {Ichthyol.) Defcription de ce poiffon de mer,
Qualité de fa chair. III. 868. a.
c o r *
fVrtJBlU! t P * U J" ) tcmS ° :i ellC fe &it' M“ ere dcla f III 868. a. Part des pêcheurs à cette pêclie. Comment
lair<f fécher ce poiffon. Paquets qu’on en fait enfuite.
P^nflnit de cette pèche. Ibid. b.
CO N G R É G A T IO N , {Phyfiq-) le plus petit degré de
mélange des parties d’un mixte. M. G rew penfe que les particules
de tous les fluides fe touchen t, que leur cohéfion
n’eft qu’une congrégation. Comment quelques auteurs ont
expliqué la facilité avec laquelle les particules d’un fluide
cedent au mouvement qu’on leur donne 111. 868. b,
Congrégation, {Hifl. mod.) affemblees défignées par
ce nom. Différons bureaux de cardinaux commis par le pape,
& diftribués en plufieurs chambres pour la direftion de certaines
affaires. La première eft la congrégation du faim
office ou l’inquifition : la fécondé, celle qui a juriuhction
f t r les évêques & fur les réguliers. Lu troifieme eft celle
do l'immunité eccléftaffique. III. 8C8. b. La quatrième eft
celle du concile ; la cinquième celle des coutuiiies, ceremonies
; la iïxieme ceUe de là, fabrique de S. Pierre ; la-fep.
tieme 'celle des eaux; la huitième, celle des foutantes &
rues ; la neuvième » « f c . de Xini^gM dixième , le confetl
d'état; la onzième , ■ B B t V ~ w j WÊÊSÏÏÊÊl
celle de la monnoie ; la treizième, celle des évêq u e s, la
quatorzième,ceUe des matières ÇHhftftortales; laqu umem e,
celle Je propaiandi fid‘ i «■ >&». ceUe des aumônes. U,J.
869C.o nag. régation , . 1 - a , fociété de religieux: quelques-unes citées en
exemples. Lifte des ouvrages confidérables que font ou qu’ont
fait des bénédiÛins aftuellemenr viv ans , &c. Ibid. 869.^«.
Congrégations, origine des congrégations religieuses répandues
en diverfes provinces. X. 039. a. Congrégations régulières.
X IV . 49.. a, b. . .. , .
CO N G R È S , {Hifl. mod. ) affemblée de députés de differentes
cours. I I l. 869. b. . .
Congrès, {Jurifp.) preuve juridique employée autrefois
dans les caufes de mariage. Son introduétion vers le milieu
du feizieme fiecle. A quoi l’on en attribue 1 origine. Abo lition
de cet ufage en 1677. III. 869. b.
C O N G R E V E , ( Guillaume ) poète anglois. X V I . 517. a.
CO N G R IE R , {Jurifp.) terme ufité en A njou , efpece de
carenne à poiffon dans une rivière. Droit de congner. IH.
869. b.
C O N G R U E ,- portion. XIII. 148. &
C O N G R U E N C E , {Métaph.) égalité & fimihtude de
deux chofes, qui établit entre elles identité' des quantités
& des qualités. Exemple tiré de deux triangles femblables
& égaux. III. 869. b. Euclide fe bornant à la notion con-
fufe de la congruence, s’eft contenté de mettre entre les
axiomes cette propofition ; quet fibi mutuo congruunt, ea inter
fe aqualia funt. Il fuppofe cependant dans fa notion la ref-
femblance jointe à l’égalité. Ibid. 870. n. .
CO N G R U ISM E , ( Théol. ) fyftême fur 1 efficacité de la
grâce , imaginé.... pour adoucir celui de Molina. Ordre que
les théologiens qui le fuiv-ent mettent dans les décrets de
Dieu. III. 870. a. A quoi fe réduit tout ce fyftême. Ibid. b.
Congruifme , doftrine des congruiftes fur la grâce. V IL
.802. a. X V . 634* b.
CO N G R U IT É , {Théol.) rapport de la grâce avec la
volonté. Deux fortes de congruités ; l’une intrinfeque, l’autre
extrinfeque. III. 870. b. . .
CO N JE C T U R E , {Gramm.) la force d e là cônjeéture eft
dans le rapport des événemens connus pour , aux événe-
jnens connus contre. C e qui n’eft qu’une foible çonjeélure
pour l’u n , peut devenir une conjefture très-forte pour 1 autre.
Il y a un certain point ou nous çeffons de conjectur
e r , & où nous affurons pofitivement ; ce point varie d’un
homme à un autre, & d’un inftant à l’autre, &c. III. 870. b.
I l y a dans toutes les chofes une urnté qui devroit être la
même pour tous les hommes, puifqu’elle eft fondée fur les
expériences, &c. Une connoiffance de cette unité v r a ie , &
, la conformité de la conduite & des fentimens à cette con-
noiffance, font indifpenfables pour conftituer le caraélere
philofophique. Ibid. 8 71. a.
Conjectures-, leur utilité en phyfique. V I . 301. b.
CONIFERE , arbre. {Bot.) Ces arbres font moins fujets à
la pourriture & . à la corruption, que les autres. I l paroit
qu’ils viennent tous d’une; femence. Stapel prétend qu’ils ne
peuvent fe multiplier de bouture. Fruit dés arbres.conifères.
III. 871. a.
C O N IN G , ( Ichtyth. ) nom que les habitans des Moluques
donnent à ùrn uoiffon décrit dans cet article. Lieux où on le
pêche. Sa claffification. Suppl. IL 547. a.
CO N IN G IN N E , ( Ichthy. ) poiffon des Moluques. Sa def-
cription. Lieux qu’il fréquente. Maniéré de le claffer! Suppl.
C O N JO IN T , (Mufit-) tétracorde cônjmnt.TlI. 871. «.Le
fyftême de la mufique ancienne étoit compofée de quatre
tétracordes. C e qu’on appélle degré conjoint dans la mufique
moderne. Ibid, b.
C O N 379
C o n jo in t s , (Jurifp. ) leur état confidèrè avant & après
le mariage. D ivers rapports fous lefquels on,peut confidéref
l ’état des conjoints. IU. 871. b.
Conjoints; ceux qui ont quelque droit ou titre commun»
Ils peuvent être conjoints, re , ver b is , ou re & verbis} III»
8 71. b.
Conjoint, communauté de biens entre conjoints. III. 718»
a, b. Donation entre conjoints. V . 49. Comment le fur*
vivant des conjoints fe rend indigne de fes avantages» VIII»
679, by Ffere conjoint. V I I . 299. a.
C O N JO N C T IF ,( Gramm.) particules conjonfrives. M ode
conjonfrif ; pourquoi le fubjonélif a été appellê de ce nom» 111. 871. b. Pourquoi ce mode eft appellé fubjonClif C e dernier
terme préférable à l’autre. Ibid. 872. a,
ConjonClifs, pronoms ainfi nommés par quelques grammai*
riens. XIII. 452. a. Adjeétifs conjon&ifs. X IV . 55» b. — 61. a,
ConjonClifs, fyllogifrnes. XV» 722. b.
CO N JO N C T IO N . ( Gramm.) La conjonétiort marqué que
l’efprit apperçoitun rapport, ou d’accompagnement,ou d’op-
pofition ,o u de quelque autre efpece , entre deux objets. L es
anciens grammairiens ont balancé s’ils placeroient les conjonc*
tions au nombre des parties du difeours. Si on ne regarde
dans les conjonctions que la propriété de lier un fens à un
autre, on doit reconnoitre que ce fervice leur eft commun ,
III. 872.«. i° . avec' le v e rb e , 20. avec des adjectifs relatifs,
30. avec certains adverbes. Différentes fortes de conjonctions»
D eu x .fortes d’accidens dans les conjonctions ; 1 la fimpli-
cité & la compofirion ; 20. leur fignification, leur effet & leur
valeur. 1°. Conjonctions copulatives, Ibid, b. Suppreflion des
conjonctions pour rendre le difeours plus vif. 11°. Conjonctions
augmentatives. 111°. Conjonctions alternatives. appellées
plus communément d'isjonClives. IV ° . Conjonctions hypothétiques.
V ° . Conjonctions adverfatives. V I° . Celles qui marquent
un m o tif,u n b u t, une raifon. Remarques fur d’autant,d’autant
que y d’autant mieux que. Ibid. 873.^ a. V II ° . ConjoilCtionS
conclufives. VIII. Conjonctions explicatives, & les tranfitives,
IX°. Conjonction que , appellée conduClive par M. Girard.
Diverfes obfervations fur fon ufage. S on étymologie. Ibid, b.
Conjonction. D e la conjonction dans la langue françoife»
Suppl. III. 127. b. Deux accidens dans la conjonction. 1. 71»
b. Les adverbes & les conjonctions Ont quelque chofe dé
commun : définition des conjonctions ; différentes fortes dé
conjonctions. X. 759. b. 760. a. Principes qui fervent à donner
des notions claires fur cette partie du difeours» 759. a.
Les conjonctions font la partie fyftématique du difeours» 860. a»
Ufage des' conjonctions. 758. b. Conjonctions adverfatives, I.
149. a. disjonCtives. IV . Ï037. b. Différence entre les adver-*
fatives & les disjonCtives. T . 149. b. Conjonctions qui fuppo-»
fent un terme antécédent. X lV . 61 . à.
C o n jo n c t io n . {Aflron. ) C e qu’on entend pat conjonction
vraie & centrale de deux aftres. Conjonction partiale ;
conjonction apparente. Autre forte de conjonction ; la fitua-
tion de deux aftres, dont les centres fe trouvent avec le
centre de la terre dans un même plan perpendiculaire au
plan de l’écliptique. O n divife aulfi les conjonctions en grandes
& en très-grandes. Celle de faturne & de Jupiter arrivetous
les vingt ans. Celle des trois planètes fupérieures tous les
500 ans : elle arriva en 1743 : ce qui fut obfervé alors. La
conjonction eft le premier des afpeâs. Importance des oljler-
vations des conjonctions des planètes dans l’aftronomie. III»
874. a. Deux fortes de conjonctions des planètes inférieures»
Conjonctions de la lune avec le foleil. Ibid. b.
Conjonction, définition. X IV . 857. b. Conjonction de la lune
au fo le il, l’une des deux fy z y g ie s , voye^ ce mot. Conjonction
apparente. I. 544. 4. ConjpnCtion appellée combuflion. IIL
665. j . Conjonction appellée Jynode. X V . 755. b. Des moyens
de trouver les conjonctions moyennes de la lune au foleil»
Suppl. II. 813. a. Angle de conjonction .Suppl. I. 427. b,
C O N JO N C T IV E , ( Anat. ) première tunique de l’oeil. Son
«origine , fa ftruCture & fori ufage. Le blanc de l’oeil vu dans
de violentes ophtahnies comme une excroiffance charnue
d’un rouge très-vif. Comment M . Woolhoufe guériffoit cette
inflammation. Comment on. guérit la légère inflammation de
la conjonCtive, procédant, du fimple relâchement des vameaux
fanguins. III. 874. b. . . .. 0- , .
C o n jo n c t iv e , defcription de cette membrane oc de la
peau dont elle eft la, production. Suppl. IL 547. a. Sa fen-
fibilité. Ibid. b. . , ,
C o n jo n c t iv e , voye% CEil. XI. 387. b. Union de lap au -
piere avec la conjonCtive. XII. 207. n. Pourquoi fes vaiffeaux
font invisibles darfs l’état naturel. Suppl. 111. 600. b,
CO N JO N C TU R E , circônftance : différence entre ces deux
H m WSÊ H H
CO N IQ UE . {Géorn.) Diverfes fortes de feChons coniques.
Comment fe forment les diverfes feCtions coniques, l’h yr
perbole , l’ellipfe , la parabole. On les examine par leur def-
cription fur un plan., Defcription de l’ellipfe. 111. 875. a. En
quoi elle diffère du cercle. Différentes efpeces d’ellipfes. D é finition
des termes qui lui appartiennent. Ses propriétés indi