318 C I C
YHléneuve. X . 272. 6. Secours que la chymie prête ail
ininéralogifte. X . 542. b. Comparaifon de la chymie avec la
poéfie. I. 247. b. D efcription d’un laboratoire de chymie. IX.
143. a , b. Voyeç les planch. de chym ie , vol. III.
C H YM IQ U E .D e s caraôeres chymiques. II. 649. b. 630. a.
Vfiÿskaufli vo l. III. des planch. article Chymie, pl. 1. 2 , 3 8c 4.
Inftrumens chymiques. VIII. 803. a. Vaiffeaux chymiques.
X V I . 802. b. 803. a , b. Cuvettes & vafes chymiques repré-
fentés vo l. VII I. des planch. article Potier de terre , pl. 3.
Poêles & fourneaux chymiques , pl. 4. D e la fabrication de
quelques vafes chymiques. Suppl. IV . 518. b. Opérations
chymiques. XI. 499. a , b. — 501. b. Procédés chymiques.
X ÏII. 402. b. Analyfes chymiques. I. 403. a , b. Produits chymiques.
XIII. 424. b. Des végétaux. XVI. 869. b. 870. a , b.
Des animaux. X V . 385. b.
CH YMISTE. Auteurs chymiftes : voyc%_ l’hiftoire de la
chymie. III. 421. a , b , & c. Négligence des chymiftes qui
ont écrit avant Geber. V I I . 248. 1. a. Différence entre les
procédés du naturalifte 8c du chymifte. VIII. 228. a. Médecins
chymiftes , diftingués en humoriftes 8c fermentateurs.
.VI- 3x9. a , b. V I I I . 353. a. Voye^ aufli Médecins.
C H Y N D O N A X , ( Hifi. anc. ) nom d’un chef des druides.
Monument trouvé dans ion tombeau , découvert auprès de
Dijon en 1 398. Son épitaphe. Suppl. II. 427. a.
CH Y PR E ou C'Ypre , ( Géogr. ) culte qu’on y rendoit à
Vénus. Lieux de cette ifle célébrés par les poètes. Ses produirions.
Nom de Fortunée que les Grecs lui donnèrent, &
qu’elle n’a plus mérité dans la fuite. 111. 437. b.
Chypre. Cette ifle anciennement nommée Ceraflis. II.
832. b. Chancelier du roi de Jérufalem & de Chypre. III. 101.
a. Voye[ CYPRE.
C I
C I , particule poftpofitive en françois. X II. 102. a.
C I A C O L A , ( Géogr. ) obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 427. a.
C 1B A U D IE R E , terme de pêche ; efpece de filets. On en
diftingue de deux fortes, les cibaudieres flottées & les non-
flottées. D efcription 8c ufage des unes 8c des autres. III. 438. a.
Voyèr Rieux.
C IB O IR E , defcription.du ciboire facré : comment on le
gardoit autrefois. III. 438. a. Lieu où On le place aujourd’hui.
Autres applications de ce mot: critique faite à ce fujet de
l’efpecè .de ciboire qu’on vo it fous la coupole du Val-de-
Grace. C§rigine du mot ciboire. C e mot employé par Horace.
■ Ibid. b.
C IBO U LE , ciboulette y ( Jardin. ) cara&ere de cette p lante,
qu’on feme tous les mois de l’année? &c. On lui donne fou-
ven t de l’eau. Trois efpeces de ciboules. III. 438. b. Voyeç
O ig n o n .
C IC A T R IC E ( Chïrurg. ) formation de la cicatrice. III.
'438. b. Cicatrice légère & peu fenfible. Cicatrice large réful-
tant de la perte ou abceflion d’une grande partie de chair.
Signes de la cicatrice naiffante. Remedes cicatrifans. Conditions
d’où dépend la beauté de la cicatrice. Moyens de procurer
une belle cicatrice. Ibid. 439. a. Souvent on ne peut
empêcher qu’il ne refte une cicatrice creufe 8c profonde.
Pourquoi le chirurgien doit éviter les cauftiquès, les ftypti-
qu es , les aftringens. Comment on doit chercher à détruire
les bords de la chair fongueufe près des extrémités de la peau.
Obfervations de pratique. Dans les grandes plaies, il eft inutile
d’appliqüer les remedes corrofifs fur toute leur furface.
L a perte d’une partie du corps ne fauroit être réparée que
par les fluides propres à cette partie. Combien eft vaine la
promeffe de ceux qui prétendent guérir toutes fortes de
plaies fans cicatrice. Ibid. b. Fomentations fréquentes qu’il faut
faire à la cicatrice : emplâtre qu’il faut y appliquer.-Exemple
d ’une cicatrice de la tête au travers de laquelle une portion
du cerveau fut pouffée par les efforts d’une toux violente.
La marque blanche d’une cicatrice eft ineffaçable, &c. Ibid.
44®- 4. _
Cicatrice y les bride» que forment les-cicatrices profondes
à la fuite de certaines plaies, laiffent des engorgemens pâteux
qui fubflftent long-tems.VlII. 702. a. Remedes. Ibid. Pourquoi
les cicatrices de la peau ne s’effacent pas. Suppl. I V . 73 .a.
C IC A TR ISA N S , remedes. Voye3; D eSSICATIFS.
C IC A T R IS A T IO N , maniéré dont elle fe fait. VII I. .643.
a y b. Rëmedes qui la procurent. I. 407. a. IV . 893. a.
CIC ER E IU S , trait de modeftie de ce romain. X IV . 812. à.
C IC É R O , ( Fond, en carafl. ) proportion de ce corps. Ce
caraftere eft le plus en ufage dans l’imprimerie. III, 440. a.
Voye3; CARACTERE.
C IC É R O N , obfervations fur la v ie , le cara&ere, l’éloquence
& les ouvrages de Cicéron. XI. 570. a , b. 371. a , b.
Maifon de plaifance où il naquit, 8c dont il chériffoit le féjour.
X V I I . 273. b. Maifons de plaifance qù’il poffédoit. IX. 892.
a. Sa maifon de campagne appellée académie. I. 51. b. Son amitié
pour Atticus, Suppl, I, 685. a , b. 8cc. Sa reponfç à ceux
C I E
qui lui reprochoient d’être un homme nouveau. VIII. 279. a.
XI. 9. a. Son genre dé v ie à Tufculum. X V I. 762. b. Découverte
qu’il fît du tombeau d’Archimede. X V . 769. a. Repas
qu’il donna à Céfar dans fa jnaifon de campagne pendant les
faturnales. X V I I . 468. a. Cara&ere faux qu’il fit paroître fur
la fin de fa vie. Suppl. I. 705. a. Mort de Cicéron. IX: C02. b.
X V I . 6 7 + a. ■ >
Philofophie de Cicéron. X IV . 340. a. Immortalité à laquelle
il afpiroit. X V I . 86. b. Paflage de ce philofophe fur l’influence
dé la religion dans la fociété. I. 813. a , b. Il fe moquoit de
la divination. IV . 1071. b. C e qu’il penfoit de la fpiritualité de
Dieu. VIII. 570. b. Sa doctrine fur la mort. I. 340. a.
De l éloquence de cet orateur. Bel exemple d’éloquence dans
fon plaidoyer pour Milon. X V . 568. b. Obfervations fur fes
philippiques. XII. 306. b. Pourquoi Cicéron l’emportoit fur
Démofthene dans le genre délicat & tendre. X II. 147. a. Son
éloquence dans les peroraifons. XII. 391. a. V . 32i . b. Cas
qu’il faifoit de l'arrangement des mots. V . 322. a , b. A rt avec
lequel il dèveloppoit un objet, foit pour en affoiblir l’im-
preflion, foit pour la renforcer. Suppl. II. 708. a.
De fe s ouvrages. Ses oeuvres de morale. X. 701. a. Ses
philippiques. XII. 306. b. A r t d’écrire en notes abrégées,
connu de Cicéron. X V . 8 1 3 .0 ,6 . Ses tufculanes. X V I . 761. b.
Ses lettres. V . 816. a , b. IX. 4 1 1 . a , b. Ses lettres de recommandation.
413.6. Ouvrages qu’il compofa clans fa maifon dé
Pompeii. XIII. 13. 6. Comment il eft parlé dans fes lettres
des maux de la république. X IV . 138.0.' Ses oraifons De
leg* agrariâ. I. 182. a , b. Cas que nous faifons de fes livres
fur la nature des dieux & fur la divination. ÎV . 1073. a.
Obfervations fur les offices. & le traité des loix. V . 132. 4.
D u livre intitulé de l'orateur. V . 3 30. a. Ses livres fur l’inven-,
tion. VIII. 849. b.
C IC O G N E , vqyeç ClGOGNE.
C 1D A R IS , ou Cittaris , bonnet pointu qu’on portoit en
Perfe & autres contrées de l’orient, &c. Ceu x qu’on portoit
chez les Hébreux. III. 440. b.
C ID R E , boiffon très-ancienne. Etymôîbgie du mot. Cidre
de Normandie. Pommes dont il fe tire. Tems à choifxr pour
la récolte. Comment e lle fe fait. Point de maturité à choifir
pour piler les pommes. III. 440. b. Conftruftion de la pile.
Maniéré dont on en fait ufage. Ceu x qui n’ont pas de grandes
piles à meules tournantes, lé fervent de pilons 8c de maffues,
dont ils pilent le fruit à force de bras. Alors on travaille à
aflèoir le marc fur l'émoi du preffoif. Defcription de cette
machine & de fon ufage. Comment on difpofé le marc fur
l’émoi. Ibid. 441. a. Manière de le preffer, jufqu’à ce que le
marc foit épuifé. Maniéré* de remplir les tonneaux. D ifférentes
qualités qu’on peut donner au cidre : cidre fo r t , cidre paré.
Comment fe fait le petit cidre à l ’ufage du menu peuple.
Celui-ci paie ordinairement les frais de la cueillette. Ulage
du marc tout-à-fi>it fec. Après un certain tem s , on met le
cidre en bouteilles. Gara&ere du bon cidre. Combien de tems
on peut le garder. Trente-fixboiffeaux de pommes font un
muid de cidre. Efpece de croûte à laquelle le cidre eft fujet.
Caufe de cet accident. Ibid. b. Moyen d’y remédier. Cidre
poiré. C idre cormé. Eau-de-vie du cidre pommé. O n en peut
aufli tirer un aigre. Propriétés du cidre par rapport à la fanté.
Ibid. 442. a.
Cidre y defcription & ufage du preffoir à cidre. XIII. 331.
a y b. 8cc. Méthode pour faire du cidre. XV II . 293. a. Cidre
de poires. XII. 881. b. Cidre de pommes. XIII, 6. b. Maniéré
de. faire le vinaigre de cidre. X V I I . 303. à.
C IE L , ( Phyjiq. ) idée populaire du ciel. Ciel des aftrono-
mes. C ’eft ce que Moïfie appelle le firmament, félon quelques
interprètes. Sens du mot hébreu. Les Septante le traduifireht
par le mot p p t w firmamentum, conformément à la philofo-
plîie de leur tems. Divifion du ciel par lés àftronômes. III.
442. a. Réfutation de cette vieille opinion des feâateurs
d’A riftote, qui prétendoient que les d eu x étaient incorruptibles.
Opinion des cartéfiens fur le ciel. Opinion contraire des
newtoniens.Etrange raréfaction de la matière répandue, félon
New ton, dans tout l’efpace planétaire. Divifion du ciel en
deux parties, le c iel aérien, 8c la région éthérée. Ibid. b. !
Ck / , pourquoi le ciel paroît bleu. I. 912. b. II, 281. f>. V f .
819. a. D e la divifion du ciel en conftellations : autre divifion
du ciel en trois parties principales. IV . 39. b. Cartes du ciel.
Suppl. IL 233. a yb. Milieu du ciel. Ibid. III. 939. a.
C iel, ( dans l ’Aflron. anc. ) différens deux que les anciens
âdmettoient: leur folidité, leur forme. Cîeux cryftallins d’A l-
phonfe, roi de Caftille. Ciel empyrée. Les aftronomes ne le
mettoient pas fort en peine fi les d eu x qu’ils âdmettoient
étoient réels £11 non, pourvu qu’ils fatisnffent aux phénor
menes. Lieu où les d eu x 8c la terre fe joignent, félon les
rabbins. III. 443. a.
Ciel, idée que lés anciens aftronomes s’étoient faite des
deux. XI. 373. a. Cieux de,çryftsl. IV. 327. a. V I. '819. a.
Leur m ouvement de trépidation. X V I. 594. a. Huitième ciel.
V I . 819. a.
C lel? ( Théol.) divers floras que l’écriture lui donne. D É
C I G
443. a. Idée que l’homme èffaié d’en concevoir.' Auteurs
inlpirés qui en font de fuperbes deferiptions. Rapport entre
Platon 8c ces auteurs fur ce fujet. Ciel des anciens Romains,
ciel des mahométans. Ibid. b.
. Ciel. D u royaume des deux. X IV . 419. b. C iel empyrée. V .
601. a r b.
■ Ciel y reine du. X IV . 48; a , b. 30. a.
Ciel , ( Décor, théat. ) un ciel bien peint eft uné des plus
agréables parties de la décoration. Comment on pourroit
augmenter la beauté de l’effet. III. 443. b.
C iel , ( Gramm. ) en quelles occâfions ce mot à ùn pluriel
régulier. XII. 802. bï
CIERGE épineux, ( Botan. ) autres noms de cette plante.
Defcription du cierge épineux du jardin du roi. Défauts des
deferiptions données de cette plante, par les voyageurs 8c les
botaniftes. III. 443. b. Dimenfions de cette plante lorfqu’elle
fut envoyée au jardin du roi. Ses progrès annuels. D ’ou lui
vient le nom de cierge. Defcription très-détaillée du cierge
épineux. D e fa fleur. Ibid. 444. a. D e fon fruit. Ibid. b.
Obfervations fur cette plante, i 10. Elle n’a du rapport qu’à
celle dont Tabernomontanus donne une figure. 20. Cette
efpece eft différente de celles rapportées par Herman & le
P. Plumier. 30. On peut établir le cara&ere de cette plante par
la feule infpe&ion de la figure de la p lante, fans l’examen de
la fleur & du fruit. 4°.-Rapports du cierge avec la roquette
ou opuntia : en quoi il en différé. III. 444. b. O bfervations fur la
culture de ce cierge. Maniéré de le multiplier. Ses cara&eres.
Ses efpeces, rapportées au nombre de treize. Ibid. 443. a.
Remarques fur chacune de ces efpeces 8c leur culture. Inf-
truélion fur la maniéré de multiplier cette plante. Saifon qu’il
.Jaut choifir: foins qu’exigent les boutures. Les v ieilles plantes
‘»ù rniflent toujours de nouveaux jets. Ibid. b. C e que doivent
’faire ceux qui voudront en apporter des Indes. Ibid. 446. a.
Cierge du Pérou, defcription de deux efpeces de ce g en re,
frayées vo l. V I des planch. Hifioire naturelle, pl. 93. Suppl.
[. 427. a. Claflification du cierge. Ibid. b.
Cierge rampant, pl. 93. du vol. V I , Régné végétal.
C ierge, chandelle de cire que l’on brûle fur les autels.
O n fait des ciérges de différentes grandeurs & figures. A ncienneté
de l’ufage des cierges dans les cérémonies religieu-
fes. Origine de cet ufage parmi les chrétiens. Les chrétiens du
cinquième fiecle aimoient fi fort les cierges, qu’ils en repré-
fentoient en peinture dans leurs églifes. Signification myfti-
que des cierges allumés en plein jour. Deux maniérés de faire
les c ierges; l’une à la cuillère, l ’autre à la main. Defcription
de l’unè , III. 446. b. 8c de l’autre. Ibid. Voyeç les planches du
Cirie r, vol. I I I , 8c l’article Cirier.
Cierge, quête qui fe faifoit pour les cierges. 1. 191. b. A qui
appartiennent les cierges. III. 474. b. .Abus fur leur ufage.
XI. 731. a y b.
Cierge pafchàl, dans l’églife romaine. Defcription de cette
cérémonie. Origine de la bénédiction du cierge pafchal. III.
446. b. Catalogue qu’on faifoit tous les ans des fêtes mobiles,
que l’on écrivoit fur un cierge. C e qu’étoit ce cierge. D ifférentes
matières fur lefquelles on écrivoit les chofes dont on
vouloit conferver la mémoire, félon le plus ou le moins de
durée qu’on fe propofoit de lui donner. Coutume d’attacher
au cierge pafchal le papier fur lequel on écrivoit les fetes
mobiles. Ibid. 447. a.
C ierges d'eau, ( Hydraul. ) defcription : exemple : les
cierges d’eau font plus éloignés les uns des autres que les
grilles. III. 447. a.
C IG A L E , efpece de mouche. Defcription de cet infefte.
O n en diftingue de trois grandeurs différentes ; les grandes,
les moyennes 8c les petites : carafteres qui les diftinguent. III.
447. a. Organes d’où réfulte le bruit qu’on défigne du nom
de chant de la cigale. Ces organes ne font point dans les fe melles.
Ibid. b. Efpece de tariere que renferme le dernier
anneau du corps des femelles. Sa defcription. Mouvement
qu’elle lui donne pour faire des trous dans le bois où elle
dépofe fes oeufs. Qualité du bois qu’elles choififfent. A quoi
o u reconnoît ces trous : maniéré dont ils font arrangés; leur
longueur. Ibid. 448. a. OEufs qu’elles y dépofent : hiftoire
naturelle du v er qui en fo r t , jufqu’à fon état de cigale. Ibid. b.
Cigale y obfervations fur l’efpece repréfentée vo l. V I des
planches, Hifioire naturelle, pl. 79. Suppl. II. 427.6.
t C igales, petits rouleaux de tabac que les Efpagnols de
1 Amérique nomment ainfi, dont on fe fert pour fumer fans
pipe. Nos infulaires les nomment bouts de tabac. Singulière
façon de fumer ufitée chez les Caraïbes des ifles Antilles. III.
448.6.
C IG N A , (J . François') anatomifte. Suppl'. 1. 412. 6. Phvfio-
logifte. Ibid. IV . 362,6. • ■
' C IG N A N I , ( Carlo) peintre. V . 328. a.
C IG O G N E , defcription qu’a donnée de cet o ifeau, M.
Perrault, dans le recueil de l’académie royale des fciences.
III. 448. 6. Nourriture de la cigogne. Ibid. 449. a.
■ Cigogne noire, defcription de cet -oifeau. III. 449. a.
Cigogne j, (Afat. méd.) partie de cet oifeau dont on fe fert
C I M 319
Cigogne , pourquoi elle étoit appellée crotaliftriti. IV .
Cigogne, figure fymbolique. X V . 733.6.
C IG O L I , peintre. Oilvrage eftimé de cet artifte. Suppl. I.
92. a. -
C IG U Ë , cara&ere de ce genre de plante. Cicuta major.
C . B . L a m dlt de Socrate a feule fuffi pour en immortalifei lés
effets. Defcription de notre ciguë. III. 449. a. Sa faveur 8c fon
odeur. Elle contient un fel ammoniacal enveloppé de beaucoup
d’huile & de terre. I l eft prouvé qu’elle n’eft point aufli
venimeufe qu’en G reçe. Ufage de la poudre de fes racines
dans la fievre-quarte pour les skirrhes du foie & du pancréas.
Cependant le plus prudent eft de s’abftenir de l’ufàge interne
de cette plante. Q u e l eft fon meilleur antidote. Elle ne paffoit
point pour venimeufe à Rome : on la regardoit comme un
remede propre a tempérer labile. Perfe & Horace cités fur
ce fujet. Ibid. b. Eloge que Pline fait de cette plante. Salade
de ciguë ordinaire en Lombardie : animaux qui en mangent.
Les autorités qu’on vient de citer ne fauroient cependant1contrebalancer
le poids de celles qu’on leur oppofe. Ufage e xté-^
rieur que nous fâifons de cette plante. Emplâtre de ciguë. Elle
entre dans le diabotanum. Ibid. 430. a.
De la petite ciguë. O n la fubftitue à la grande pour l’ufage
externe. Sa defcription : on l’a nommée le perfil des fous. Obfervation
fur la coupe de ciguë que burent Socrate 8c Phocion.
Ibid. 430. a. Préparation de l’emplâtre de c igu ë , félon la pharmacopée
de Paris’. Ibid. 6.
Ciguë aquatique y caraftere de cette plante. Lieux où elle
c ro ît , tems ou elle fleurit: on l’eftime plus venimeufe que la
ciguë ordinaire. Exemple de trois foldats morts fubitement
pour en avoir mangé ; ravage qu’elle avoit fait dans leur
corps. Ouvrage à confulter fur cette matière. Secours les
plus efficaces contre ce poifon.III. 430. 6 ..
Ciguë aquatique, il eft aifé de la confondre avec l’oenanthe
vénéneufe. XI. 401. a.
CIL IA IR E S , ( Anat. ) fe dit de différentes parties de l’oeil.
Glandes ciliaires. P rocès ciliaires. III. 431.4.
Ciliaire, corps ciliaire. Suppl. IV . 1 1 1 . a. ArterëS ciliaires;
Ibid. II. 248. Ibid. IV . 113.. a , b. Veines ciliaires. 116. a.
Ciliaire, ( ligament) defcription de ces ligamens. D efcartes
a dit que la contraélion des ligamens du çryftallin lui donnoit
un mouvement par lequel il devenoit plus cônvexe pour
voir. Auteurs qui l’ont fuiv.i. D ’autres veulent que l’a&ion du
corps ciliaire foit d’applatir le çryftallin. Porterfields contefte
ce changement de la figure du çryftallin : raifonnement fur
lequel il fe fonde. III. 431. a, Voyeç T unique , ( Anat.).
Ciliaire, couronne, face intérieure de la choroïde continuée;
Defcription de cette partie. Les poiflbns n’ont pas de couronne
ciliaire. Comment la nature a pourvu à ce défaut. Suppl.
H. 427. 6.
C IL IC E , vêtement de poil de chevre & de bouc. Origine
du mot & de la chofe. III. 431. a. Virgile c ité : obfervation
fur ce paflage. Ibid. 6.
C IL 1C IE , pays de l’A fie mineure : fes bornes. On la divi-
foit en champêtre 8c en montagneufe, &c. Cette contrée étoit
très-peuplée. Vêtemens appellés cilices, que ces peuples
avoient inventés. Ufage qu’en faifoient les Hébreux. Cilices
modernes. Ariftote dit qu’en Cilicie on tondoit les chevres.
III. 431. 6.
Cilicie , terre de ( Hifi. nat. ) C e qu’en dit Théophrafte.
Ufage qu’on en faifoit. Sentiment de M. Hill fur la nature
de cette terre. III. 4 31.6.
C IL L EM EN T , monument alternatif 8c fynchronique des
paupières. Nature de ce mouvement qui fe fait fur-tout dans
la paupière fupérieure. Méchanifme de ce mouvement. III.
431.6 . Mufcle élévateur de la paupière: mufcle OrbiCulaire.
Effet de fa contraôion : caufe des larmes : ouverture de la
paupière inférieure. Ufage des petits grains glanduleux placés
fur le bord.cartilagineux des paupières. Différentes parties qui
concourent aux cillemens des paupières : paflage de Cicéron
fur ce fujet. Mouvement involontaire trop prompt ou trop
lent des paupières : quelle en peut être la .caufe. Moyens de
la guérir. Ibid. 432. a. Il ne faut pas confondre le cillement
avec le clignement. Ibid. b.
C IL L E R , ( Maréch. ) fens de ce mot appliqué au cheval ;
figne de vieilleffe: âge où les c lievaüx cillent. Artifice des
marchands des chevaux pour cacher ce figne de vieilleffe.
III. 4 3 2. 6.
C IL S , poils dont le bord des paupières eft garni. Leur
ufage. Glandes d’où ils prennent leur origine. III. 43^. 6.
Cils, il n’y a que l’homme 8c le finge qui aient des cils
aux paupières. VIII. 239.6. Dérangement des cils. XIL 207. a.
X V I .6 3 3 .^ ,6 .
CIM ABU É , (Jean) premier peintre moderne, dans l’ordre
du tems. V . 3 17, b. X l l . 273. b.
CIM BRES, anciens peuples les. plus, ieptentrionaux de
l’Allemagne. Cherfonefê çunbrique. Ce que devinrent ces