87^ G R E
Grenoble. Des fa vans nés dans cette villi?. Suppl. III. 265.«*-
Grenoble. Origine de cette ville. Suppl. IV . 11 . a. S011 territoire.
V I I . 838. a. Origine da fon parlement. IV . 5. a.
Hiftoire de ce confeil fouverain. XII. 56. a. Doyen du parlement.
V . 97. a. Courier de l’évêque de Grenoble. IV .
392. a. Veheries de Grenoble. X V I. 873. a,
G R EN O U IL L E , ( Hift, nat.) deux fortes de grenouilles,
favoir les grenouilles aquatiques & les rainettes. Defcripnon
de la grenouille. L a grenouille eft amphibie, 8c n a pas befoin
de prendre l’air fouvent. Cet animal à la vie tres-dure. \ IL
042. b. Portion de fa chair qu’on mange. Deux cris difterens
des grenouilles. Cri particulier aux mâles lo r^ u ’au printemps
ils cherchent les femelles'pour s’accoupler. Comment fe fait
cet accouplement. Sa durée prodigieufe. Defcription de la
maniéré dont fe fait la ponte des ceiifs. Le nombre de ces
ceufs c il d’environ onze mille. Dès que la ponte eft fa ite ,
le mâle quitte la Femelle. Defcription des oeufs. Suite des
progrès des oeufs jufqu’à la fortie du foetus, fous la forme
de têtard. Ibid. 943. a. Sa première nourriture. Defcription
du têtard ; développement de la grenouille. La grenouille
n’ell propre à la génération qu’au bout de deux ou trois ans.
Ibid. b.
Grenouille, (Hift- nat.) il ne s*agit dans cet article que
des mètamorphofes de cet animal. Etat du frai de la grenouille
nouvellement rendu. Suppl. III. 265.(1. Premier rudiment
de l’embryon. Développement des têtards. Grenouille
devenue parfaite. Changemens que fubit la grenouille d’Am-
boine. Métamorphofe par laquelle celles d’Amérique perdent
leurs pattes, prennent une queue, 8c deviennent poiflbns.
Ibid. b. Voyez pl. I. hift. nat. Suppl.
Grenouilles. D e leur génération. Suppl. I. 123. a. D e leurs
teufs 8c de leur fécondation. Suppl. 111. 64. b. Leur foetus
appellé têtard. X V I . 198. a. Des mètamorphofes que fu biffent
différentes efpeces de grenouilles. Suppl. 1. 436. b. Obfcr-
vations fur le coeur de ces animaux. Suppl. II. 495. a , b. De
la matrice des grenouilles. Suppl. III. 197. b. D e leur tibia 8c
de leur cubitus, 8c des fondions de ces parties dans les fauts.
Suppl. IV . 941. b. 942. a , b. 943. a. Proportions des différentes
parties dont l’aélion contribue aux fauts de l’animal.
943. a , b. Expériences fur la reproduélion des os des grenouilles.
943. b. 944. a. Chaleur des grenouilles. III. 38. a.
Comment la grenouille aveugle le brochet. II. 431. b. Efpece
de grenouille appellée rainette. X IV . 107. b. Grenouille mu-
giffante, vo l. V I des planch. Regne animal, pl. 26.
Grenouille, ( Mat. méd. Dicte) les gynouilles font très-
'rarement employées en médecine. Diverfes prétendues v er tus
attribuées à la grenouille par Juncker. Bouillons de grenouilles
dans les maladies chroniques. Propriétés attribuées
à une eau retirée par la diftillarion du frai de grenouille. Les
grenouilles entrent dans l’emplâtre de Vigo. Ragoûts de
cuiffes de grenouilles. VII . 943. b.
Grenouille, ( Blafon ) animal repréfenté dans quelques
écus. Etymologie de fon nom. Suppl. III. 266. a.
G renouille , ( Imprim. ) defcription de cet infiniment.
Foyer Crapaudine.
G R EN O U ÏL L E T T E , ( Chirurg. ) tumeur qui fe forme fous
la langue par l’amas de la falive dans fes réfervoirs. To us ceux
qui en ont parlé avant la d écouverte des organes qui fervent
à la fecrétion de la falive , n’ont pu avoir des idees précifes
fu r la nature de cette tumeur. Sentimens de P aré , d’A qua-
pendente,de Dionis fur cette maladie. Munnik en a eu de
jufies idées, mais il n’a pas été fuivi par M. Heißer. Sentiment
de M. Col de V illars. D eu x efpeces de grenouillettes
félon M. de la Faye. Cette maladie ri’eß point rare. Caraéte-
res de la liqueur qui fort de cette tumeur, quand elle n’eft
pas invétérée. Caufe de la grenouillette. VII . 944. a. Diverfes
obfervations fu j la maniéré de la guérir, 8c fur les différentes
méthodes des praticiens dont il a été parlé. Les tumeurs
falivaires font les glandes même 8c leurs tu yau x excrétoires
dilatés par la matière de l’excrétion retenue. Ainfi le nom
de' tumeur enkiflée ne convient qu’improprement à la grenouillette.
Réflexions fur la maniéré d’en faire l’opération.
Ibid. b.
GRESHAM , collège. III. 634. a. 638. a. Libéralités. du
chevalier Thomas Gresham en faveur de la v ille de Londres.
IX. 683. b.
G RES IL , voye^ GRÊLE. V I I . 929. a , b.
GRESSET , ( Jean-Baptifte-Louis) obfervations fur fon
poëme intitulé Vert-V ert. VII I. 181. a.
G R E T Z E R , jéfuite allemand. Suppl. I. 558. b.
G R E V E , place de cë nom dans Paris. XI. 950. a'.
G R E V EN , ( Comm.) monnoie de Mofcovie. Sa valeur.
Anecdote au fujet de cette monnoie. Suppl. III. 266. a.
G R E V IL , ( Foulques) X V II . 590. b.
G reVIL, ( Robert) X V I I . 591 .a.
G R EW , ( Nehemie ) anatomifte. Suppl. 1. 401. a. 8c phy-
fiologifte. Sappl. IV . 353. a.
G k E W IA , ( Botan.) car?£lere générique de cette plante.
Ses deux efpeces connues : lieux qu on les cultive. Ceu x d’où
G R I
elles font originaires. Leur defcription. Maniéré de les cultî*
ver. Suppl. III. 266. b.
G R ljuA N E , ( Marine) efpece de barque ; fa defcription;
Ufages auxquels bn l’emploie. V î l . 945. a.
G R IE F S , ( Jurifpr. ) trois acceptions de ce mot. Les griefs
font quelquefois intitulés ,hors le procès, parce que c’eft une
pièce qui ne fait pas partie du procès par écrit ; à la différence
des griefs qui ont été fournis devant les premiers juges,
lefquels font partie du pfocès, 6*c. VII . 945. a.
G R IF F E , terme d’hiftoire na turelle, de commerce, de
jardinage, de doreur, de bijoutier, de ferrurerie. V i l . 945. b.
Griffes des animaux, voyeç ÖNGLE.
G riffes , ( B laj on * griffes armées. Suppl. III. 896. b.
G R IF FEN H AG EN , (Géogr.) v ille de la Poméranie pruf-
fienne. Hifloire de cette ville. Elle efl la patrie d’André
Muller. Obfervation fur fes ouvrages. V II . 945. b.
GRIF F IE R , ( Jean ) peintre. Ses payfages. XII. 213. a.
G R IF FO N , (Myth. & L itt.) animal fabuleux. Quelques
auteurs femblent avoir cru qu’il exifloit dans la nature. Mais
la plupart n’ont reconnu de griffons que dans la fable. V I I .
945 b. Le griffon n’étoit dans fon o rigine qu’un hyéroglyphe
des Egyptiens. Les Grecs en firent enfuite un animal, 8c les
mythologiftes en tirèrent de belles moralités. A quels dieux
le griffon étoit confacré. Ve rs dans lefquels Claudien nous
repréfente A pollon dans un char traîné par des griffons. D ivers
peuples qui ont mis fur leurs médailles une figure de griffon;
Auteurs à çcnfulter. Comment on le repréfente dans les
armoiries. V I I . 946. a.
G riffon, (Bla fon ) animal fabuleux. Signification de ce
fymbole. Suppl. III. 267. a. • ■
G riffon , ( BlaJ'on ) animal fabuleux. Suppl. I. 556. b. S es
membres 8c pattes. Suppl. III. 896. b.
Grifon, fils naturel de Charles Martel. Suppl. IV . 288. b.
GRIGRI . (Botan.) Voyez Grougrou. .
G R IL L A G E , ( Métall.) but, 8c utilité de cette opération;
La grande divernté qui fe trouve dans la combinaifon des
différentes mines, fait que les méthodes qu’on emploie pour
le grillage font très-variées. D ’où vient qu’on efl obligé
de griller quelques mines un grand nombre de fo is , tandis
que d’autres n’exigent qu’un petit nombre de grillages.
D eu x efpeces de grillages , celui de la mine 8c celui d e
la matte. Defcriptipn des différentes méthodes du grillage-
.Am ple , qui fe fait à l’air libre , on fous des angars, ou
fous des fourneaux voûtés. V I I . 946. b. Auteurs à con-
fultcr fur cette opération. Réglés générales à obferver pour-
le grillage. Des cas dans lefquels il faut réitérer le grillage
un grand nombre de fois. Lorfqu’on fait griller des
mines, on eft fouvent obligé d’y faire des additions qui ,
jointes à l ’aélion du f e u , fervent à les développer 8c à détruire
les fubftances étrangères qui font unies au métal dans fit
mine. Ibid. 947. a.
Grillage, voyez TORRÉFACTION. Grillage d e là mine. IL
542. b. Grillages des différentes efpeces de mines , voyez
leurs articles, 8c le vol. V I des planches. Article Métal-'
lurgie. Ufage du foufire dans le grillage des métaux. X V .
402. a , b.
Grillage, terme de ferrurerie, de fabriquant de blonde , de
Grillage , ouvrage du cloutier d’épingles , vol. III. des
confifeur, 8c de docimafie. V II . 947. b.
planches.
G R IL L E , fignification commune de ce mot. Grilles de
couvent. V I I . 947. b.
Grille, terme d’hydraulique, de commerce, de blafon i
de bas-au-métier , de doreur , de fonderie, de hdngroyeur ,
de jardinage, d’imprimeur en taille-douce , de monnoie ,
de jeu de paume , de rubannier. V I I . 947. b.
Grilles de fourneaux, voyez Fourneau. Grille s , forte do
ortes, grands ouvrages de ferrurerie. X V I I . 819. b , vol*
X des planches, ferrurerie , pl. 1 3 , 1 4 , 15 , 16 , 17. '
GRIL LON . ( Hift. nat. ) Il y a des grillons domeftiques-
8c des fauvages. Defcription de ces derniers. V I I . 948. <r„
Defcription des grillons domeftiques. Ibid. b.
Grillon. Différèntes efpeces de grillons. VIII. 785. b. Grillons
repréfentés vo l. V I des planches, regne animal, planche
78 , taupe-grill on. IV . 399. b.
G R IM A C E , ( Peinture) confeils aux artiftes , pour les
engager à rechercher la fimplicitè dans les imitations de la
nature, 8c à ne pas faire grimacer les figures , en voulant leur
donner des grâces ou de l’expreffion. V II . 948. b.
Grimace. ( Phyfiolog.) L es Orientaux plus portés que nous
aux grimaces : art grimacier fubftitué à ce défaut de la nature.
X V l i . 799. b. ; ,
GRIMALD I . Connoiffances aftronomiques de Jean-François
Grimaldi. I. 791. a. Ses expériences fur la pefanteur
8c la chute des corps. iV . 875. b. XII. 444. b. Principauté
de Monaco appartenante à la maifon dè Grimaldi : délivrance
de cette v ille par Honoré Grimaldi. X. 635. b.
G R IM A U D , golfe de, ( Géogr. ) en Provence , fon ancien
nom. Suppl. IV . 7 16. a,
G RIM O A LD E
G R O
G R IM O A LD E , maire du nabis du roi d’Auftrafie. Suppl.
II.' 678. b. Suppl. IV . 284. b. 789. b. 790. a.
GRIM P E R E AU , (Ornitkol. ) defcription de cet oifeau.
VII . 949. a. Voyez C a SSE-NOISETTE & PlOCHET.
Grimpereau bleu de Ca yenne , vol. V I des planches , régné
animal, planch. 42. Efpece dè grimpereau de Madagaf-
car. Suppl, li t . 425. b.
G RIMSE L, (Géogr.) montagne de Suiffe entre le Va l-
lais 8c le canton de Berne. Mine abondante de Cryftal que
l’on trouve fur cette montagne. Defcription poétique de
cette montagne par M. H aller. Sélénite appellée fleur de c r y ftal.
Piece de cryftal prodigieufe tirée de cette montagne.
V IE 949B H
GRIMSE LBER G, glacier de. VII. 692. b.
G R IN CEM EN T de dents, préfages que le médecin peut
en tirer. IV . 840. a.
G RIN DELW"ALD , glacier de. V II . 691. b. 692. a. vol.
VI des planches, article G laciers , pl. 1.
G R IN E S , cap de , ( Géogr. ) voyez Gris-NEZ 8c lifez
G R IN G O R E , (Piernt ) poëte. Suppl. F / , 7° 5.£.
G R IO T T E , ( Hift.ro,m.) efpece deboui diedes anciens.VII.
949- 9 H H G R IO T T IE R ., ( Bota ) defcription de cet arbre. Depuis
Lucuilus on le c
ulrive en Europe. VII. 949. b. Voyez C-EGRIS.
R1S1ER.
(Manege. Maréch. ) Gris fale. Gris brun. Gris fan-
guin , rouge ou vineux. Gris argenté. Gris pommelé. Gris
tifonné ou charbonné. V II . 949. b. Gris tourdille. Gris
traité. Gris de fouris. Gris étourneaux. Ibid. 950. a.
. Gris de fouris. X V . 4 15. a.
G ris, petit, (Plumaff.) V II . 950.(Z.
Gm s . ( Teintur.) Gris de rat. XIII. 820. b. D e l’art de
teindre en gris. X V I . 23.'b. Préparation de couleurs grifes
pour les toiles imitées des Indes. 379. a.
Grife, encre. IX. 43 2/é. • -
GRIS N E Z , ( Géogr. ) petite montagne du Boulonois. E lle
eft le point des côtes de France le plus proche des côtés d’A n gleterre.
Obfervations fur les bancs de pierre qui coinpofent
cette montagne. Conjectures fur le nom d'Albion donné à
l ’Angleterre, 8c fur la formation du détroit qui la fépare de la
France. V i l . 950. a.
GRISSARD , oifeau, vol. V I des planch. Régné animal,
planche 47.
G R IS E T T E S , (Hift. nat. 6» Chaffe) defcription de ces oi-
feaux dè paffage. Qualité cle leur chair. Tems 8c lieux
où pn les trouvé. Manier© d’en faire la chaffe. VII.
95°- a- _ ■
GRISETTES, ( Ruban.) XII. 133. b. X V I . 424. b.
G R IP SW A LD , ( Géogr.) ville delà Poméranie. Kuhnius
(Joachim) naquit dans cette ville; Ses ouvrages. V IL
950. A.
G R ISO N S , ( Géogr. ) leur origine. Bornes de leur pays.
Ligues qui le compofent. Son étendue. Origine du nom
de Grifons. Détails hiftoriques fur ces peuples. Leur religion.
Leur gouvernement temporel. Vallée très-étroite renfermant
le comté de Bo rmio , celui de Chiavenne , 8c la
V a lte iin e , qui appartiennent aux Grifons. L’Adda arrofe
cette vallée dàns fon étendue. V II . 950. b. Voyez Ligue. ;
Grifons, pays des. Son ancien nom. Suppl. IV . 642. a , b.
G R IV E , ( Ornithol.) genre d’oifeau qui renferme quatre
efpeces fort différentes les unes des autres. V II . 950. b.
Defcription de la grive Amplement dite, ou petitemangeufe de
gui. Alimens dont elle fe nourrit. Sa maniéré ae conftruire fon
nid. Defcription de fes oeufs. Lieux où elle fe plaît. Ibid.
S5 1 • a-
Grive. Deux efpeces de grives appellées drennes , V . n o .
a. 8c. litornes. IX. 593. b.
Grive , ( M. l'abbé de la ) fes tables de géographie 8c
d’aftronomie. Suppl. IV . 879. b. 880. a , b. 8 $ i. a , b. 882.
a , b.
G R O D O N , ( Géogr. ) petite v ille de Bretagne. Anecdote
intérêt ante fur la prife de cette; place , en 1594 , par
le maréchal d’Aumont. Suppl. 111. 267. b.
G R O E N L A N D , ( l e ) on ignore les bornes de ce pays
élans fa patrie lëptentrionale. VII . 951. a. Divers animaux
qui l’habitent. Différentes fortes de poiffons qu’on trouve
dans fes mers. Relation imprimée du Groenland par la Pey-
rere. C e qu’il raconte fur la découverte de ce pays 8c les
premiers Norwégiens qui l’habiterent. Dans la fuite il 11’a
plus été poflïble de retrouver l’ancien Groenland que; ces
Norwégiens habitoient. Etendue des côtes les plus connues du
Groenland. Ibid. b.
Groenlan drigueur de fon climat. Suppl. 1, 344. a. Obfervations
fur les habitans de ce pays. VIII. 344. b. Suppl. I.
344- b. Mainmelles prodigieufes des Grocnlandoifes. X.
4. a. Baleines du Groenland. II. 33 • a , b. M er de Groenland :
la côte orientale de ce pays devenue inacctflible par l'accumulation
des glaces. X. 366. a. Couleur de ces glaces. VII.
Tome L,
G R O SJ ~ -, b73
682. b. Montagnes de glaces fur les côtes du Groenland.
X. 678. a. Suppl. III. 232. a. Plantes antifeorbutiques qui
croiffent dans ces contrées où le feorbut eft endémique. XL
082. b. Erabliffemens qu’y formèrent avant le quinzième
fiecle les Irlandois 8c les Norwégiens. Suppl. I. 344. a. Barques
des Groenlandois. 813. b.
G R O LE , ( Ornith. ) obfer vation fur le bec de cet oifeau.
G R OM A , ( Art milit, des Rom. ) efpece de perche, qui
lervoit chez les Romains à mefurer l’étendue d’un camp
pour la diftribution des tentes. A r t gromatique; en quoi il
confiftoir. V II . 951. b.
G R OM B O C A N N O S E , ifle des Indes orientales : magiciens
de otetee ifle. XI. 710. b.
G R O N D E U R , ( Morale ) portrait de cette efpece d’hommes.
XV II . 799. b.
Grondeur , (Ichthy. ) poiffon : defcription de fa mâchoire.
IV . 435. | 5 p
G R Ö N IN GU E , (Seigneuriede) l’une des fept Provinces--
Unies. Ses bornes. Ses produirions. Cette province diflribuée
en deux corps différens, qui eonftituent la fouveraineté .de
la province. Son gouvernement comparé à celui de l’ancienne
Rome. VII . 951. b.
Groningue , feigneurie de. V I . 469. b. '
G roningue, (Géogr.) ville des Pays-Bas. Son ancienneté.
Obfervation fur le lieu o.ù elle a été bâtie. Savans
que cette v ille a produits : on en diftingue trois ; Veffelus ,
(Jean) détails fur cet habile théologien ; Frommius, (Abraham)
lès ouvrages : Schultens, (Albert) éloge de fes ouvrages
8c de fon érudition. V II . 952. a.
Groningue. Obfervation fur ce qui eft dit de V effelus dans cet
article de l’Encyclopédie. Suppl. III. 267. b.
G R O N O V IU S , ( Jean Frédéric & Jacques) ouvrages qu’ils
ont publiés. IX. 451 . A Ouvrages de Jean Frédéric. VIII.
34- > ' I
GR O PP E R , ( Jean) controverftfte.X V . 267.a.
GROS. ( Gramm, ) obfervations fur la fignification de ce
mot. V II . 952. a.
Gros tournois, (Hift. des monn. ) ancienne monnoie de
France en argent. Il n’eft rien de fi célébré que cette monnoie
depuis S. Louis jufqu’à Philippe de Valois. Divers
noms par lefquels on l’a défignée. Origine du gros tournois.
VII . 952. a. S. Louis paffe pour l’auteur de cette monnoie
avec la bordune de fleurs-de-lys. Poids 8c valeur des gros
tournqjs. Différence de l’argent de nos jours à celui du tems
de S. Louis. Obfervations fur les différentes variations des
gros tournois en poids 8c en valeur. Le nom de gros s’eft
appliqué à diverfes autres monnoies différentes des gros tournois.
Petits tournois d’argent. Auteur clans lequel ori trouve
les rëpréfentations des gros tournois. Différens furnoms que
cette monnoie a eus. Ibid. b.
Gros ou Groat, (Hift. mod.) monnoie de compte en
Angleterre. Autres nations qui ont. auffi leur gros. D u tems
des Saxons, il n’y avoir pas de plus forte monnoie en A n gleterre
que le fou. Edouard III fit le premier fabriquer
des gros : 8c Henri V I I I des felielins. VII. 952. b.
Gros, monnoie étrangère qui répond au gros d’Angleterre.
V IL 9.5.3 . a.
Gros d'Hollande , livre de , ( Comm. Monn. ) IX. 621. a.
Gros , ( Comm. ) droit d’aides établi en France : poun-
quoi on l’appelle droit de gros. En quoi il confifte. V I I . 9 5 3. a.
Gros. (Marine) Gros du vaiffeaii. ‘G ros tems. VII.
943. a.
Gros, (Pierrele) fculpteur. X IV . 8 3 1 .a.
Gros becÀe J a v a , oifeau, vo l. V I des p lanches, Régné animal,
planche 33. Efpece de gros-bec du royaume d’A ngola,
nommé azulam. Suppl. I. 738. a , b. Voyez Bec (Gros).
GROS d'haleine, ( Manege & Maréch. ) cette incommodité
eft plus difgracieufe potir le cavalier que préjudiciable au
fervice de l’animal. Caufes de ce défaut. Il eft impoffible d’y
remédier, à moins qu’il ne vienne d’un polype ou de la
vifeoftté de l’humeur bronchiale : comment on peut le re-
connoître. Remedes à employer. V II . 95 3. a.
GroS-DE-ToüRS, 8c Gros-de-Naples. (Manuf. en fo ie )
Différence entre le gros-de-Tours , 8c le gros-de-Naples.
Différentes fortes de gros-de-Tours. En quoi ils different
du taffetas. Diverfes obfervations 8c détails fur le travail
du gros-de-Tours, Armure du gros-de-Tours broché à
l'ordinaire : démonftration par figure. VII. 953. b. Voyez
T ours.
Gros-de-Tours. Etoffe appelléegourgouran, travaillée en gros-
de-Tours. V I I . 753. £.Gros-de-Tours brochés, defcription
du travail de cette é toffe , vol. X I des pl. Soierie, feélion 3,
GROSCHEN ou Gros, ( Comm:) monnoie ufitée dans
quelques parties de l’Allemagne. Sa valeur. Gros ou grof-
chen de Saxe. Grofchen impérial. Marien-Grofchen. Grof-
chen de Pologne. V II . 954, a.
GROSEILLE i il y en a de blanches 8c de rouges, V I I .
954- ^
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