930 H O R
avantages d’une fociété ou académie d’horlogerie. Pofition
critique où l’horlogerie fe trouve actuellement en France. Il
faut aujourd’hui confidérer cet art , principalement dans ion
rapport nu commerce qu’on peut faire de l’horfogerie avec
l’étranger. L ’auteur montre ici que c’eft de l’établiffement
d’une fociété ^horlogerie que l’art acquerra le plus de confiance
de l’étranger. Ibid. 310. a.
Horlogerie. Toutes les parties de cet art réduites a deux
points effenticls, la conitruéhon & l’exécution. V . 858. b.
£ nimération de quelques outils d’horlogerie ; différentes
, I. 391. a. bruniffoirs',
. b. cui-
s horlogers nommées arbre«
, 338. b. difféi
451 6.
...... s IV . C47. b. eftampes, V . 999. b. fraifes,, VVII.
a. différentes fortes de limés , IX. 538. b. tenailles , X V I .
124. b. tours, 455. b. & vol. X. des pi. T o u rn eu r , pl. 48—
5 2. Planches d’horlogerie , v ol. IV . des planch. à la fin. Divers
détails fur les ouvrages & opérations de l’art de l’horlogerie,
aux articles M o ntre & Pendule.
HORMIN , ( Botan. ) Defcription de l’hormin fauvage.
Lieux qui lui conviennent. Ses propriétés. VII I. 310. a.
HO k MISDAS , voyc{ O ro smad e. ,
H O RM U S , ( Art orcheflriq.) danfe circulaire des. jeunes
garçons & des jeunes filles de Lacédémone. Origine de cette
elpece de danfe. Les chants de ces danfes ètoient divifés
en ftrophes & aoti-ftÿophes.. Mouvemens qui s’exécutoient
dans ces deux fortes de chants. VIII. 310. b. Les hormus fe
trouvent chez soutes les nations. Homere ne les a pas oublies
dans la defcription du bouclier d’Achille. Ibid. 3 1 1 . a.
Hormus, v o y e z fur cette danfe. IV . 626. a.
H O R N , (Géogr.) v ille d’Allemagne dans le cercle de
Weftphalie. Son ancienneté. Suppl. 111. 455. a.
H o rn , ( Géogr. ) Obfervation fur le paffage 'dans la mer
du fu d , fans doubler le cap Horn. X V I . 181. a.
HORNE , ( Jean Van ) anatomifte , Suppl. I. 397. a. 8c
phyfiologifte. Suppl. IV . 350. b.
H0 RNSTE1N , ou Pierre cornée. VIII. 466. b. 467. b.
H O R O D IC T IQ U E , quart de cercle. XIII. 666. b.
H O R O LO G IO G R A PH IE , art de faire des cadrans. Observations
fur le Traité d’horologiographie du P. de la Madeleine.
V I I I . 31 1. a.
H O R O L O G IO N , ( Théol. ) livre eccléfiaftique des G rec s,
où font marqués tous les bons offices. Les Grecs ont un grand
nombre de livres confacrés aux ufages des églifes. Recueil
fait par Arcudius, pour fuppléer à tous ces différens livres.
C e recueil a été rejetté des Grecs. VII I. 31 1 . b.
Horologion. Sur ce bréviaire des Grecs , v o y e z II. 415. u.
H O R O P T E R E , ( Optiq.) Ligne appellèe de ce nom. Explication
de la caufe qui fait quelquefois paroître les objets
doubles. Auteur qui a fur-tout fait ufage de l ’horoptere. VIII.
3 H O R p SC O P E . (D iv in . ) Eiym. de ç em o t .V f f l. 311. J.
Ses divers ufages. C e qu’on entend par horofeope lunaire,
Ibid. 312. a.
Horofeope. D u calcul des horofeopès. IV . 1028. b. Tireurs
d’horofeope dans l’ancienne Egypte. V I . 437. b. Origine &
fondement de la fcience des horolcopes. VII I. 732. a. Forme
que l’on donnoit au thème de nativité. Suppl. III. 833. a.
Horofeope confirmé par l’événement. VII I. 733. b. Tirer
l ’horofcope de quelqu’un étoit autrefois un crime en Angleterre.
XI. 37. b. Méthode de reélifier l’horofcope. X V I . 828. b.
Voye[ A st r o lo g ie 6* A st r o lo g u e .
H O R R E A , {H ijl. anc.) Diverfes fortes de magafins que
les Romains défignoient par ce nom. Origine des noms de
grange, de la grange, des granges , G/c. donnés à plufieurs
villages & familles. VII I. 312. 4.
H O R R E BOW . Obfervations fur la defcription que cet
auteur a donnée de l’Iflande. V IIL 916. a. Ses tables de réfractions
aftronomiques. Suppl. IV . 899. b. D e la parallaxe annuelle
fies fixes. 920. a , b.
H O R R EU R , ( Gramm. ) D ivers ufages de cette expreflion.
D ’où vient l’horreur de la n u it , la fainte horreur des temples
8c des lieux facrés. VII I. 312. a.
H o r re u r d u v u id e , ( Phyfiq. ) principe imaginaire dont
on fe fervoit pour expliquer l’afcenfion de l’eau dans les
pompes, & d’autres phénomènes femblables. Autre principe
établi par la faine phyfique à la place du premier. VIÏI.
312. b.
H O R R IP ILA T IO N , ( Médec. ) forte de friffonnement.
Quelle en eft la caufe. En quoi l’horripilation différé du tremblement
proprement dit. V I I I . 312. b.
HORS. Obfer varions fur cette prépofition. XIII. 303. b.
H o r s , mettre hors, ( Groff. forg. ) Dans les fourneaux à
fondre la mine de fer , il fe dit de la difconrînuation du
travail d’un fourneau de fufion. VIII. 312. b. Caufes de la
rnife hors. Remedes à cet accident. Moyens de le prévenir.
Combien il eft préjudiciable. Ibid. 313. a.
H O RSTIU S , ( Jacques 6* Grégoire ) médecins. X V I .
'426, a.
H O R T A , ( Mythol. ) déeffe qui préfidoit fur la jeuneffe
H O S
Romaine , 8c l’excitoit au bien. Cette déeffe eft Herfiîie
déifiée fous le nom de Horta. Q u i étoit cette Herfiîie. Pourquoi
fon temple ne fe fermoit jamais. VIII. 313. a-
H O R TA G IL IER ,{H ijl. mod.) tapiffier du grand-feigneur;
Comment le grand-feigneur eft logé lorfqu’il campe. VII I.
313. a. Fondions des tapifliers qui font à fon fer vice au-delà
de quatre cens; Ibid. b.
PIORTENSJA , loi. IX. 662. b. ,
Hortenfia, fille de l’orateur Hortenfius : fes talens dans
l’éloquence. XI. 570. a. Suppl. I. 706. a. Sa harangue aux
triumvirs en faveur des dames Romaines. X V I . 676. a , b.
HORTENSIUS , ( Quimus) orateur Romain. XI. 569. b.
H o r ten s iu s , ( Lambert) littérateur. : fa patrie , fes ouvrages
, fes malheurs. X. 686. b.
HORUS & Harpocrate, (Ajlron. & Myth. ) divinités E g yptiennes.
Origine de la conftellation des gemeaux. Suppl. III.
4:5 >• a-
H O RU S -A PO L LO N , grammairien : lieux ou il enfeigna:
édition de fes hiéroglyphes. XI. 823. b.
H O SAN N A , ( Théol. ) priere que les Juifs récitent à la
fête des tabernacles. C e mot fignifie aufli les branches de
faule que les Juifs portent en cette fête. But de la fête des
tabernacles félon Grotius. Hommage que le peuple reudoit
à J: C . en portant des rameaux devant lui. Il y a plufieurs.
hofannas récités chacun dans le jour de la fête qui lui eft
propre. Hofanna rabba, on grand hofanna, nom que les Juifs
donnent à la fête des tabernacles. Durée de cette fête. L e
même nom donné au feptieme jour de la fête. VII I. 313. b.
HOSIES , ( Antiq. ) lacrificateurs prépofés dans le temple
de Delphes. Palpitation qu’ils exigeoient dans la viélime avant
que d’inftaller la pythie fur le trépié. Signification de leur
nom. Obfervatioris fur ces miniftres. VIII. 314. a.
HO SPINIEN, ( Rodolphe) théologien. IX. 127. a.
H O SPITA L IER , ( Mythol. ) Pourquoi Jupiter a été appelle
par les Romains du furnom d'hofpitalier y 8c par les Grecs de
fiv/cj. C e n’étoit pas à Jupiter hofpitalier, mais à Jupiter
olympien , que les Samaritains confacrerent d’abord leui;
temple de Garizim. VIII. 314. a.
H o sp ita l ier s , ( Hijl. eccl. ) religieux établis pour retirer
les pèlerins & les enfans-trouvés : leur habillement. Reli-
gieules hofpitalieres à Paris : leur habillement : leurs voeux.
VIH. 314. 4.
Hofpitaliers, religieux de l’ordre de S. Jean de Jérufalem.'
IX. 951. a , b. &c.
.Ho sp ita l ières , fxurs , ( Hijl. de Malte ) nom primitif
des religieufes de Malthe. Précis de leur hiftoire. Leur habillement.
Preuve de nobleffe qu’elles dévoient faire. V I I I .
314. b.
Ho sp ita l ières , foturs , ( Hijl. eccl. ) oij foeurs de la
fageffe : leur établiffement fondé par Grignon de Mon tfo rt,
décédé en 17 16 : leur habillement : lieux où elles ont des
établiffemens : leur fupérieur. X V I I . 800. b.
H O SPIT A L IT É , {H ijl. Droit nat. Morale ) Doétrine des
Stoïciens fur cette verru. Sur quoi elle eft fondée^ Origine
de fon exercice. Comment elle fut pratiquée par Abraham .
VIII. 314. b. & dans la fuite par les Juifs. Hofpitalité de Job
& de Tobie. Combien les Egyptiens firent cas de cette v ertu :
opinion fabuleufe qui les encourageoit à la pratiquer. Les
Ethiopiens n’étOient pas moins eftimables à çet égard. Pourquoi
les Grecs regardèrent l’hofpitalité comme là vertu la
plus agréable aux dieux. Edifices publics élevés dans la Grec©
en faveur des étrangers. Edit d’Alexandre en faveur de l’hofpitalité.
Avantages que les rois de Perfe retirent de l’exercice
de cette vertu. L’hofpitalité connue en Italie-dès les
premiers tems. Les Romains furpafferent toutes les autres
nations dans la pratique de l’hofpitalité. Solemnité des lec-
tifternes. Ibid. 313. a. Les plus grandes familles de Rome
étoient unies par droit d’hofpitalité avec d’autres familles
étrangères. Paffage de Cicéron fur cette forte d’alliance.
Comment les autres v illes & colonies Romaines pratiquoient
l’holpitalité. Dieux hofpitaliers des Romains. Comment Virgile
annoblit l’épithete de Jupiter hofpitalier. L’hofpitalité
exercée chez diverfes nations. Eloge que Tacite fait à cet
égard dès Germains. Loix des Celtes contre le meurtre d’uh
étranger. Soins des Indiens envers les voyageurs. Ibid. b.
Détails fur les ufages-les plus univerfellement obfervés autrefois
dans la pratique de cette vertu. Contrat d’hofpitalité que
des familles, & même des villes entières, formoient à l’égard
des autres. C e qu’on entendoit par teffera hofpitalitatis. Etendue
des droits facrés de l’ancienne hofpitalité. Quels font les
cas où nous femmes encore tenus aux fervices de l’holpi-
talité. Ibid. 316. a. Pourquoi l’hofpitalité s’eft perdue dans
l’Europe. Obfervations fur le bien & le mal qu’a fait l’efprit
de commerce. Ibid. b.
Hofpitalité. Réflexions fur l’exercice de ce devoir : tefferes
tPhofpitalité. X V I . 188. b. Motifs par lefquels les poètes en
preffoient l’obfervation. z 6 i.'b . Cérémonie pratiquée chez
les anciens lorfqu’un étranger demandoità loger. VIII. 319.
a, X V I . 261. b. Hofpitalité des Cretois 8c des anciens Perfcs.
H O T
X V I I . 478. a. Préfens que les Grecs faifoient à leurs hôtesi
634. a. Hofpitalité de Gélias. Suppl. I. 224. a. Celle des
Arabes. 301.' b. 308. b. Hofpitalité exercée dans quelques
caravanferais d’orient. II. 673. b. VII I. 320. a. Celle des Turcs.
X V I . 738. a. Cette vertu exercée par les habitans de Tobulba
en Afrique. 366. a.
H O S rO D A R , {Hijl. mod. ) fouverains de la Valachie &
de la Moldavie : moyen de parvenir à cette dignité. Princes
célébrés qui l’ont poffédée dans ce fiecle. VIU. 316. 4.
Hofpodar de Valachie. X V I . 8 1 1 . a.
H O S T , {Jurjfpr. ) fignifioit l’armée ou le camp du prince
ou de quelqu’autre feigneur ; quelquefois aufli le fervice
dû au feignetir par fes ïujets. Loix dans lefquelles ce terme
fe trouve en ce dernier fens. Obligation des vaffaux 8c tenanciers
au fujet de l’hoft. Pourquoi l’on confondoit le fervice
d hoft avec celui de chevauchée. Différence entre l'un 8c
l’autre. VIII. 316. b. Par qui ces fervices étoient dus. Sous
les deux premières races , les eccléfiaftiques faifoient le ferv
ice en perfonne. Défenfe de Charlemagne pour anéantir cet
ufage, mais qui ne fut pas long-tems obfervéc. Diverfes obfer- I
varions hiftoriques fur le fervice perfonnel des eccléfiaftiques,
particuliérement en France. En quel tems il fut aboli dans ce
royaume. Ufage auquel on employoit ceux qui n’étoient pas
en état de marcher contre l’ennemi. Poffeffeurs qui étoient
difpenfés du fervice. Ibid. 317. a. Aide ou fecoursque dévoient
fournir quelquefois ceux qui ne pouvoient fervir perfonnelle-
ment. A g e auquel le fervice étoit dû. Exemptions 8c privilèges
dont jouiffoient ceux qui le rendoient. Peine de ceux
qui quittoient l’hoft du roi fans permiflion. L’obligation de
fervir à l’hoft n’étoit pas par-tout femblable. Aux dépens de
qui fe faifoit le fervice. Indemnifation du dommage des vaffaux
qui avoient fervi. Préfentement le fervice militaire n’eft dû
qu’au fouverain. Loix à confulter. Ibid. b.
H O S T E L A G E , ( lurifpr. ) logement. C e qu’on entend par
droit d’hoftelage. Dépens d’hoftelage. VIII. 317. b.
H O S T IE , {Antiq. ) Ori gine de ce mot. Différence que les [
auteurs mettent entre hoftia 8c viflima. Origine de ces deux
mo ts , félon Ifidore. Deux fortes d’hofties qu’on offroit aux
dieux. Hofties pures , biennales, précidanées , indomptées,
hofties d’élite , fuccidanées ou fucceflives, VIII. 318. a. can-
cares ou caviares , ambarvales, amburbiales, hofties d’holo-
caufte , expiatoires , ambiegnes ; hofties appellées mediales ,
ho f i t b harugea. Ibid. b.
Hofliè pacifique. C e que les Juifs entendoient par-là. X IV .
484. a.
Ho stie , ( Thèolog. ) Significations de ce terme co'nfacré
dans l’églife ; pape qui ordonna de fonner au moment de
l ’adoration ; vaiffeaii où l’on garde les hofties. VIII. 318. b.
H O S T IL IA , {Géogr. anc.} ancien village d’I ta lie , où
naquit Cornelius-Nepos. Obfervarions fur cet auteur & fes
ouvrages. VII I. 318. b.
Hoflilia , loi. IX. 662. b.
H O S T IL IT É , ( Ar(. milit. 6* Po lit.} Maximes fur ce fujet.
En quels cas les hoftilités commencent légitimement. Durée
des hoftilités. Toute guerre a fon b u t, & toutes les hoftilités
qui ne tendent point à ce b u t , font illicites. Examen de là
queftion, s’il eft permis de tuer un général ennemi. Hoftilités
qui ont été preferites. VII I. 3x9. a.
Hoftilité. Des détachemens envoyés pour divers a fies particuliers
d’hoftilité. V II . 993. b. Réflexions fur les a â es d’hofti-
l i t é , & l’étendue du droit lur lequel on les fonde. 997. a , b.
&c. Des hoftilités commifes par droit de repréfailles. X IV .
142. <z, b.
H O S T IZ E , {Droit coutum.} Coutume où il eft fait mention
de ce droit. Orig'me de ce mot. VII I. 319. a.
H O S T Y . Sa relation fur l’inoculation. VII I. 737. a.
H O T E , ( Gramm.} cérémonie pratiquée chez les anciens,
lorfqu’un étranger demandoit à loger. A u lieu d'hofpes, les
anciens latins difoient hoftis. VIII. 319.4. Voye^ Hospitalité. I
H ô te , {A n to in e !} Suppl. III. 937. a.
Hôte , fête de l’hôte & de l’hôteffe célébrée en Allemagne.
X V I I . 643. a , b.
H O T E L , différens noms que prennent les habitations des
particuliers félon l’état de ceux qui les occupent. VIII.
319. ƒ .
Hôtels^ des grands de l’ancienne Rome. XI. 773. b. Orne-
mens qu’ils mettoient fur leurs hôtels. V I. 321. b. Hôtel de
Mars a Rome. X V . 796. a. Defcription d’un grand hôtel ,
vo l. I. des planch. Architeéhire. Lieu où doit être placée la
chapelle d’un hôtel. III. 176. b.
Hôtel , {Jurifpr.} Maître d’hôtel. IX . 884. b. Prévôt de
l’hôtel. XI. 4x8. b. XIII. 347. a , b. Prévôt de l’hôtel : grand-
maître de l’hôtel : maîtres de l’hôtel. Suppl. IV . 330. 4 , b.
Requêtes de l’hôtel. X IV . 163. b.
Hôtel-de-ville. Tems de l’établiffement des hôtels-de-ville.
.VIII. 319, b.
Hôtel-de-ville fur la place de Grev e à Paris. XI. 930. a.
Hôtels-de-ville dans Paris , appelles parloirs aux bourgeois.
■ XII. 69. b. Soins & dépenfes que l’hôtel-de-villé de Paris
H O U 931
cônfacre aux feflins que nos rois en ont quelquefois 'acceptés.
V I . 360. 4 , b. Defcription d’un hôtel-de-ville, vol. I.
des pl. Architeéhire.
H ôtel d’un am b a s sad eu r , {Droit des gens} Ces hôtels
regardés comme des afyles pour les ambaffadeurs & leurs
domeftiques. Examen de la queftion, fi ces hôtels font aufli
des afyles pour les leelerats qui s’y réfugieroient : fen riment
de Grotius : auteurs à confulter. VIII. 319. b.
Hôtel-dieu , ( Hijl. mod. ) le plus étendu , le plus riche ,
& le plus effrayant de nos hôpitaux. Tableau que les admi-
riiftrateurs eux-mêmes en ont tracé. VIII. 319. b. Öbfer-
vations hiftoriques. Ibid. 320. a.
H O T E L L E R IE , de Turquie, ( Hijl. mod.} Il y en a quantité
fur les grands chemins & dans les villes d’Afie. Defcription
de celles qui fe trouvent fur les grands chemins, & de
la maniéré dont les voyageurs y font traités. Comtnent on
fe pourvqit de tout ce dont on a befoin dans ces lieux. D e fcription
des hôtelleries des villes. C e qu’il en coûte pour être
reçu & pour v iv re dans ces retraites. Comment la charité
eft exercée dans la religion mahométane. VIII. 320. a.
Hôtelleries de Turquie , voye^ C a r a v a n s e r a i , C aserie ;
Han , & K h a n .
Hôtellerie, taverne, cabaret, auberge. X V . 937. b. Hôtelleries
dans le Pérou. VII. 974. b. X V . 874. b. Sorte d’hôtellerie
connue en Pologne fous le nom de karefma. IX. 113. b.
Bâtimens appelles madams, q u i, dans les Indes orientales ,
fuppléent au défaut d'hôtellerie pour les voyageurs. 840. a.
H O TH E R , ( Hijl. de Suede ) roi de Suede. Quelques é vé nement
de fa vie 8c de fon regne. Suppl. III. 433. a.
H O T T E , ( Gramm. & Art méch. } Différentes- fortes de
hottes. Maniéré de les conftruire. VIII. 320, b.
H O T T E N T O T S , les , {Géogr.} Voyageurs qui en ont
parlé. Defcription des Hottentots, hommes & femmes. VII I.
320. b. Courte durée de leur vie. Leur mal-propreté. Leurs
cabanes. Ils n’ont aucun culte. Origine du nom que les Européens
leur donnent. Ibid. 321. a.
Hottentots. Si l’on doit les regarder comme deftitués de
toute religion. I. 799. 4. Defcription de ces peuples. VIII.
347. 4. Mammelles a ’une groffeur prodigieufe de leurs femmes.
X. 4.4. Chefs de chaque nation des Hottentots. IX. 133.
4. Villages mobiles qu’ils habitent. 137. b. Gouvernement
de cespeuples. 138. a. Efpece de peau que les femmes ont
au-deffus de l’os pubis. XIII. 3 30. a. Lésa aces des Samoyedes
8c des Hottentots paroiffent les deux extrêmes de notre continent.
X IV . 603. b. Divinité des Hottentots. X V I. 434. b.
. Efpece de ventoufe dont ils fe fervent pour les Coliques 8c les
maux d’eftomac. X V I I . 29. b. Ufage qu’ils tirent de certains
boeufs. Suppl. I. 738. b. Quelques-uns de leurs inftrumens de
mufique. Suppl. III. 244. a. Suppl. IV . 930. a.
H O T T IN G E R , ( Jean-Henri} favant, né en Suiffe. X V I I .
746. b.
H O T T O N IA , {Botan.} origine dm nom de cette plante;
Sa defcription. Lieux où on la trouve. VIII. 321. a.
H O U AM E ou Houaine , ( Hijl. mod. ) feéle mahométane.
Moeurs , culte & devoir fcandaleux qu’Us pratiquent. VII I.
32 1.4. Punition infligée à ceux qui fe trouvent à A lexandrie,
Ibid. b.
H O U B L O N , {Botan.} carafteres de ce genre de plante.’
Defcription de la plante & de toutes fes parties. Efpece mâle
& efpece femelle. Lieux où le houblon eft commun. Sa
culture en certains pays. Terreins qui lui conviennent.
Tems où fes épis fe recueillent : comment on les prépare
pour les garder. Principes renfermés dans cette plante. VIII. imHoublon. Province de Suede dont les habitans fe fervent
de la filaffe tirée de cette p lante, pour en faire une toile. Comment
ils préparent les tiges pour en tirer cette filaffe. Q ualité
de la toile qu’on en obtient. V III. 322. a.
Ho u b lo n . ( Diete 8c Mat. médic.} Comment on apprête les
jeunes pouffes de houblon pour les manger. Leurs propriétés.
D es bonnes & mauvaifes qualités que le houblon donne à la
biere. Ufages pour lefquels on pourroit l’employer en médecine.
On trouve dans quelques boutiques un extrait de houblon.
Compofitions dans lefquelles entrent les feuilles de cette
plante. VII I. 322.4.
H O U B O , ( Botan. ) efpece de bambou. Suppl. 1. 774. b.
H O U C H E , Hielte ou Fonanne, {Pêche} houche ufitée dans
le reffort de l’amirauté de B ayonne. Comment on s’en fert au
feu. VIII. 322. 4.
H O U D A N , ( Géogr. ) petite v ille de l ’ifle de France. VIII»
322. b.
Houdan , village à trois lieues de Beauvais, où naquit G u y
Patin. Obfervations fur cet auteur & fur fes ouvrages. VIII. jjjjHHHjl H O U D A R T . {Antoine de la Motte} Obfervations fur fes
opéra & fon Europe galante, II. 4 3 .4 , b .IV . 330. b. Suppl.
IV . .137. b. fur fes ouvrages en général, III. 6 71. a. fur fes fables
, VI. 343.4. 346. b. 3 47. b. 348. a y b. 334. b. Suppl. 1. 182.
4. fur la maniéré dont il a prouvé que les vers n’étôient pas