
ç)6 A R C
à fa maniéré toutes les impreflions avantageufes que la beaute
d’une contrée peut exciter. Efpece de perfection queTarchi-
teCte doit mettre dans tous les bâtimens qu’il veut conftruire.
Suppl. I. 537. b. L a nature eft fa véritable école. La perfection
dans l’art de bâtir fait autant d’honneur à une nation que les
autres talens qu’on y cultive. On peut même dire que l’archi-
teéhire influe autant fur les moeurs, que la mufique y influoit au
jugement des anciens Spartiates. Effet du bon goût en matière
de bâtiment. Ibid. 538. a. L’origine de l’architeéture remonte
aux tems les plus reculés. Si l’on pouvoit raffembler les principaux
genres de goût en fait d’architeCture, on en pourrait
tirer bien des échiirciffemens fur le caraCtere national des
difterens peuples chez qui ces genres ont été cultivés. Ce t
art fut apporté de l’Egypte & de la Phénicie en G r e c e , où
il atteignit à fa perfection. Il reçut fucceffivement diverfes
.modifications en Grece & en Italie : de-là l’invention des
cinq ordres qui fervent encore de réglé aujourd’hui. 11 n’efl
plus à préfumer qu’on puifïe inventer un nouvel ordre, qui
différé réellement des anciens , & qui foit bon. Ibid. b. A l’ex-
tinraon de la maifon de C é fa r , l’architeéhire romaine commença
à décliner. Hiftoire de cet art depuis cette époque.
Edifices d’architeClme gothique. Egiifes de S. Marc & de
fanCta Maria-Formofa qu’on voit à V e n ife , dans lefquelles on
retrouve quelques traces de l’ancien bon goût. Autres édifices
d’Italie qui montrent que le bon goût ne s’eft jamais entièrement
éteint. Ibid. 339. a. Renaiffance de l’art au quinzième
fiecle. Principaux architectes de ce tems-là. Progrès du bon
goût. Réflexions fur la théorie de l’architeélure. Réglés effen-
tielîes & de première nèceffité, qu’il faut fuivre dans toute
e fpece de bâtiment. Ibid. b. Réglés açpeffoires, dont l’obfer-
"vation p rocure à l’édifice la grâce 8c la beauté. Examen de la
quéftion, s’il eft permis de s’écarter des proportions établies
par le commun des architeéles, pour la conftruCtion des
colonnes; 8c des réglés qu’ils ont établies pour les ornemens
•des difterens ordres. Ibid. 340. a. Confeil à ceux qui veulent
écrire fur la théorie de l’architeélure. Principaux articles que
cette théorie embraffe. Ibid. b.
Architeflure, but de cet art. Suppl. J. 386. a , b. Son antiquité.
Ibid. 392. a. Bon goût de l’architecture grecque. VII.
764. a. Architeélure des Lacédémoniens. IX. 139. b. Ce t art
moins ancien que la fculpture. X IV . 837. a. Premières inventions
d’architeCture pratiquées à la conftruCtion du temple
d ’Ephefe. V . 773. b. Monumens d’architeCture ancienne, Voye[
Antiquités, v ol.1 des planch. Architecture gothique. VII . 749.
a , b. 763. b. Réflexions fur l’architeClure grecque 8c l’archj-
•teCture gothique. V II . 763. b. 764. a. D u goût en matière
d’architeCture. IV . 492. b. Beauté dans les ouvrages de cet art.
Suppl. I. 839. a , b. Des proportions. IV . 31. b. XIII. 468. b.
Décorations d’architeCture. IV . 702. b. Corruption du goût en
fait d’ornemens. XI. 637. b. D éfauts choquans en architecture.
Suppl. II. 406. a , b. Défauts de convenance. Ibid. 383. b.
' 7. b. G enre fan(af-
ole d’architeCture.
Ouvrages du caprice en archite&ure. IL
tique employé dans cet art. V I. 682. é. !
V . 313. é. 314. <ï , b.Ac,adémie d’architei
D e la critique 8c du gclût en matière d’s
b. Ouvrages d’archirefture de Jacque:
Suppl. IV . 683. b. 684. a. Sur l’architeâut
i Paris. I. 37, «
L i v .
nerie, Bâtiment, & les pk.
Architeflure en perjpel
A R CH 1TRÉSORIEF
l’Empire , qui eft l’éleCl
a été tranfportée à divc
jour du couronnement c!
gent dans la place publ
Arch
François Blondel;
voye^ aufïi Maçon-r
dies d'Architeflure, vol. I.
ve : architeflure feinte. I. 618. b.
( Hiß. mod. ) grand tréforier de
ur Palatin. Comment cette dignité
s électeurs. C ’eft lui qui répand le
l'empereur des pièces d’or 8c d’ar-
[ue. I. 6x8. b,' : v-
A ire. IV . 67. a . .
A R C H IT R A V E , ( Archit.') principale poutre qui porte
fur les colonnes. Etymologie de ce mot. Différence entre
celle des anciens & celle des modernes.!. 6x8. b. Ornement
des architraves. Architraves mutilées. Architraves coupées.
Ibid. 619. a.
A r c h it r a v e , en marine. I. 619. a.
Architrave , réglés à obferver par rapport à cette partie
de l’entablement. Suppl. II. 808. a,b.,
A R CH 1T R IC L IN U S , fignification de ce mot employé
dans l’Evangile. XI. 9 17. b.
A R C H IV E , gardien des archives fous les empereurs à
•Conftantinople. f i l . 220. a , b. Garde des archives en A ngleterre.
Ibid. b. Garde des litres de la couronne en France. Ibid.
A R CH 1-V IO LE de lyre, ( Luth. ) inftrument à cordes ufité
ci-devant en Italie. Sa defeription. Suppl. I. 540. b.
A R CH IV OLEUR , {H iß . anc. ) ch e f des filous. Coutume
qu’obfervoient les voleurs Egyptiens. I. 619. a.
A R CH IV O L T E , ( Archit. ) ornement des archivoî
Archivolte retourné. Archivolte ruftique. I. 619. a.
Archivolte d’une arcade, ( Archit. ) Suppl. I. 332. b.
A R CH O N T E S , {Hiß. anc. ) magiftrâfs de Ancienne Athe-
nes. -'Etymologie du mot. Ils étoient au nombre de neuf. E
men qu’on faifoit de leur race , de leur religion, de leurs
fervices & de leur fortune, avant de les élire. Leurs enga-
A R D
gemens. Ils dévoient éviter l’ivreffe. Information pour le
fécond officier de ce tribunal. Examen de leur vie privée.
Diverfes révolutions de cette magiftrature depuis Médon qui
fut le premier archonte. Archontes perpétuels, décennaux,
puis annuels. Office du premier archonte appellé Eponyme.
Fondions du fécond archonte appellé Roi. I. 619. b. Fondions
du troifieme appellé Polémarque. Fondions des fix autres
appellés Thefmothetes. Cette magiftrature dura dans A thènes
| tant qu’il y eut un refte de liberté & de vie. Autres ufages
qu’on a faits du mot Archonte. Ibid. 620. a.
Archontes, d’où étoient tirés ces magiftrats. IX. 8 36. b. Leur
gouvernement. Suppl. I. 671. b. Leurs fondions. IX. 836. b.
& XII. 906. b. Les archontes appellés Novem-virs. XI. 238. b.
D u roi archonte. X IV . 321. b.. 322. a. Les fix derniers archon-
; tes appellés Thefmothetes. X V I . 273. a. Gens confommés dans
les affaires, dont les archontes fe faifoient quelquefois affifter.
XI. 93 3. a. Table des archontes d’Athenes. Suppl. IV . 127.
b .— 141 .a. Archontes de Syracufe. I. 377. a.
A R C H O N T IQ U E S , ( Hifl. eccléf.) héré tiques qui parurent
fur la fin du deuxieme fiecle. Leurs erreurs. I. 620. a.
A R C H Y T A S de Tarente. Hiftoire de ce philôfophe : fon
caraCtere : fes principes philofophiques.XIII. 623. b. X V.90a.b.
A R Ç O N , ( Manege ) defeription des parties de l’arçon &
de tout ce qui a rapport à cette piece de l’équipage du cheval.
I. 620. b. -
Arçon repréfenté vol. V II . des pl. manege pl. 24.
A rçon , outil de chapelier : defeription par figure de cet
inftrument. Son ufage. 1-6 20. b.
Arçon, defeription & ufage de l’arçon dans le travail du
chapelier. III. 163. b.
A R C T IQ U E , {Aftron. ) pôle de ce nom. Cercle polaire
ardique. I l eft décrit par le mouvement du pôle de l’écliptique
autour du. pôle du monde. Obfervations faites fous
ce c e r cle , pour déterminer la figure de la terre. I. 621. b.
Arfliques, terres. VIII. 921. b. X V I. 180. a.
A R G T U R U S , {A flron .)étoile fixe de la première grandeur.
Elle ell nommée dans V irg ile , & dans le livre de Job.
IX. 9. xxxviij. 31 .1. 621. £.
Arflurus , comment on diftingue cette étoile dans le ciel.
Suppl. l l. 366. a. Heures de fon paffage au méridien. 894. b.
Variation dans fa latitude. 890.. b. Suppl. III. 710. b. Dans fon
afeenfion droite 8c fa déclinaifon. Suppl. IV . 919. b. 920. a.
A R CU E IL près de Paris : incruftations qui fe forment dans
les eaux d’A rcueil. VIII. 638. a. Ancien aqueduc d’A rcueil.
XI. 947. a.
A R C Y , gros, v illage de France en Bourgogne. Defeription
des grottes fameufes, voifines du village d’A r c y . I.
622. a. . . .
A R D A V A L IS , ou HardavALIS , {Mufiq. inflrum. des Héb
recherches fur cet inftrument. Suppl. I. 341.4.
A R D E A T IN E , voie. X V II . 4 19. b.
A R D EN N E S , {forêt des ) étymologie & fignification du
mot ardennes. VIII. 132. b- — Voycç A r d u e n n e n s i s .
A R D E N S , mal des ardens, {Médec. ) IX . 921. a. Efprits
ardens, Chym. ) X V I I . 286. b. — 288. b.
A R D E N T , ( Miroir ) verre ardent. I. 623. b. Quelques
auteurs croient que les anciens connoifloient les miroirs
concaves. Paffages qui prouvent que les effets des verres
convexes étoient connus des anciens. Pourquoi la propriété
qu’ont les verres convexes de groflir les objets, leur a échappé.
Ibid. 624. a. Grandeur de l’arc que doit contenir le verre
ou le miroir ardent.^ Les grands miroirs produifent de plus
grands effets , & brûlent à une plus grande diftance que les
petits. Les miroirs de bois doré ou faits d’a,utres matières
polies peuvent brûler. Miroirs ardens d’Archimede 8c de Pro-
clus. C e qui rend douteux les effets qu’on leur a attribués.
Ibid. b. Comment D efcartes a attaqué l’hiftoire d’Archimede,
& comment M. D ufay a répondu au raifonnement de D e f
cartes. Ibid. 623. a. Defeription du miroir polygone 8c à plu-
fieurs plans qu’employa Àrchimede, félon T ze tzes , poète
g r e c , du douzième fiecle. Miroir à-peu-près femblable, fait
par M. de Buffon, qui a brûlé à deux cens pieds de diftance.
Effets merveilleux de divers miroirs ardens rapportés dans
cet article. Celui de T fchirnhaufen. Ibid. b. Ceu x de V ille t te ,
ouvrier françcis.de Lyon. Effets du miroir ardent de l’A ca démie.
Lentille convexe de Tfchirnhaufen. Ibid. 626. a. Ses
effets. Les rayons de la lune ramaffés ne donnent pas le
moindre degré de chaleur. Lentilles d’eau glacée. Un miroir
ardent a moins d’efficace dans les grandes chaleurs, que dans
les chaleurs ordinaires ; 8c dans celles-ci, moins qu’après une
grande pluie. Caufes de ces phénomènes. Maniéré de conftruire,
un miroir ardent avec des feuilles d’or. Ibid. b. 8c
avec un grand nombre de morceaux quarrés de verre.
Moyen facile d’avoir 'un miroir brûlant, dont le fo y er foit
derrière lui à une diftance donnée. Effets de la difpofition
de deux miroirs paraboliques placés à une grande diftance
l’un vis-à-vis de l’autre, fi le fo y er de l’un étoit occupé
par un corps, bien chaud. L’effet fera produit à une beaucoup
plus grande diftance, fi les miroirs font fphériques.
1 D ’oi.
A R E
D ’ où vient cette différence. AffoiblifTement dès rayons caufé
p a r une glace plane interpofée entre les miroirs paraboliques.
Ibid. 6iy . a. D e la paille allumée entre les deux miroirs
en diminue beaucoup TaCtion ; mais un vent violent ne la
■ diminue pas fènfiblement. Autre expérience qui montre
l ’affoiblifîement des rayons d’un charbon, lorfqu’ils paffent
au travers du verre. Image réfléchie d’une chandelle placée
au fo y er d’un miroir parabolique. Expériences faites fur un
miroir elliptique. Utilités qu’on pourrait tirer des obfervations
précédentes, pour échauffer une ferre deftinée aux
plantes, & pour donner aux plaques de cheminée une forme
plus propre à renvo yer ,1a chaleur. Ibid. b.
Ardent, miroir,, pierre dont les anciens faifoient des miroirs
ardens. VIII. 137. b. Efpece de jafpe qu’on peut employer
au même ufage. 138. a. Deux maniérés de faire les
miroirs ardens métalliques. X . 370. a , b. Du foyer de ces
nfiroirs. V II . 262. b. Phénomène de l’étain expofé au foyer
d’un miroir ardent. V I . 7. b. Son effet fur le fer. 407. b.
Pourquoi un miroir enduit de noir brûle moins qu’un autre:
pourquoi les miroirs brûlent mieux en liiver qu’en été; 601.
b. La lumière de la lune ne produit aucune chaleur dans
un miroir ardent. 602. a. Tous les corps font vitrefciblespar
l ’aélion du feu concentré par un miroir ardent. X V I I . 362. a.
A R D E N T E , chambre ardente , (Jurifp. ) III. 47. h
A rdente, fievre, {Médec.) V I . 722. 4 , b. Pourquoi les -
perfonnes phlegmanques ne font pas fujettes à ces fievres.
VU . 323. a.
\ ( GéoSr- ) v°y% A ndra & A ssem.
A RD IC E S de Cormthe , peintre. XII. 270.,b.
A R D G B E . u f a ge „u ’e,, on. fait'les anciens.
Elle en tendre an fortir de la terre.Elle n’eli autre chofe qu’une I
terre phistllire qtuine autre. Plus on c reufe, plus on la trouve '
dure & lèche. 1. 628. a. Comment elle -eft difpofée dans la
carrière. Nos plus fameufes carrières font dans la province
d Anjou , St aux environs d’Angers. Autres carrières connues.
Repréfèmations de poiffons & de plantes dans certaines
ardoifes. C eft avec de grands rifques par rapport à la fortu
ne , qu on entreprend de travailler une carrière d’ardoife
Defeription de ce travail. Ibid. b. Diverfes qualités d’ardoife.
Ibid. 631. b. Les ardoifes confidérées félon leurs échantillons
Ibid. 6 32. a.
M o i f t , bancs d’ardoife; I I ,5 . u. Origine dés ardoifes
* l o n quelques naturaliftes. X IV . 767 . i . Difpofitions des lits
d aistoiie. 76«. a. Divifion des quartiers d’ardoife. IV n i I
« » r e n t e s fortes d’ardoifes déîignées par les noms fuivans '
P u n t f B i h m l b V III. aoo. a. Lavagrm. IX. 308:«. Pierre de
'CaearCarneres aux environs de la v ille d’Angers , ddnt on
tait de lardoife pour couvrir les »batiinens. Ufa«e qu’en fai-
I — IX - » .E fc e c e d’ardoife nSmmée chu.
tU . »«S. b. înltrumens pour la fabrication des ardoifes, nommés
I 264. b & chapu,. III. 183. a. Couvertures
I D B B i WMËÊ planches d’ardoiferie ,
v o l. VI. des planch. vers la fin.
A R D S CH lR I , roi de Perle. Voye^_ Bahaman.
A rdschiR I I , fnrnommé Babegan, {H ifl. de Perfe) fut
le premier roi de la quatrième dynaftie. Tableau de fon
régné. Suppl. I. 341. b.
A®DSCHiR.ffl, ce prince, fils de Schirouik, que nous
prononçons Siroès , ne fit que paroître fur le trône. Sa dé-
général. Signification du mot Àrdfchir.
étendue de la forêt des Ardennes. Forêt qui; en cOtifefve
m ■ nom. Dtverfes obfervations fur le pays oit
elle étmt fituée. Infcriptions qui prouvent le culte qu’On y reh-
nott à U iane. E venemens qui le rendent remarquable. Comté :
des Ardennes ; monaâere que Sig ebert, roi l ’Aufirafie , y
fonda. Autres lieux compris dans ce pays. Abbayes de Prum
oc de Saint-Hubert. Suppl. I. 343. a ,b . J
j » (£ ° tan- ) efpece de figuier du Malabar. Ses
différens noms. Sa defeription. Ufages qu’on en retire. Adoration
que lui rendent les gentils du Malabar. Erreur de Lin.
næus. Manière de le claffer. Suppl. I. 343. b. 344. 4 , b.
Arealu du Malabar:en quoi il diffère du figuier de Java
nomme Ants/ac. Suppl. I. 4 7 I . b. g
rnvAS ° t A r bon , ( Géogr.) place de commerce au
royanme de Bénin en Afrique. Defeription de cette ville
L A R F C A dT J P0“ ™ un comptoir- Suppl. I. 344. b. \ '
• A reca (Borrn. ) arbre qui fournit le cachou : fes autres
noms:fa defcr.pnon, II. ,06 i. Celle de fon fruit ; H H
qu en font les Indiens. eo7 . XI. ■ b. Si U mèche l’afec
T , ’ ’ 1 caufe une efpece de vertige & d’ivreffe. Ibid. b.
A reca-ambel , efpece de plante. Suppl. I. 330.4
A » r t^ ’ I GéoSr- ) ille é ’A fie dans le golfe Perfiquè.
B m i f f l i H i i E senre pdmier des Indes- Hifto i«
n a tu re» de fept efpeces renfermées fous ce genre; Première
A R E $7
crindoA “d e ' t l B B f l S S d" f i t * qu’il porte. D e f.
Maniéré d’en manger l e 'f r S Ï S Y S f Ss,<r; ’0n en Bgi 1 SSSj SIHI d»us leseviluèsP* i S '
I. | 4ô. b. Efpece de chaux ^uj fe n,ange avec u L k D &
rentes manières d e préparer, ce fruit. D anger d’en fa ïé uface
tonte la journée, a la maniéré des Indiens. Renlede a i«
H H H B B ■ ü îases médicinaux & autres qu’on
fvmhor d,* re” S ? rodT" ,If d em X M w U 7. c. Expreffions
Ijmhohqiies que les Indiens forment en coupant dive-fc-
ment fraiIS de la rek Culture de cet arbre. Récolte du
fruit. Maniéré de le conferver. Ibid . b. Ufage que les Indiens
font des p.erres d’ai-ek. Efpeces de bezoarîis végétaux v i
H B Cf at D f f l Erreurs de H Deuxieme efpece :
w B È Ê B m H M m S - « le& ^ tk « . Lieux K
Sa defo I I H 548.«. Troifieme efpece : mdbock.
Sa defcnpaoq & fou n S ge. Quatrième efpecV-1 hena-hené
H H H Caraéleres qui la B — de l ’arek H
■ B i c ro „ cet arbre. Quali,és^de fon bois. Ufages
D fr“ “ ' b. Cinquième efpe?e:
M | h B | H R cet H Ses ® r e n s noins.
Defcr.pt,o n , qudités & ufage. Variété de cette efpece Sk îe -
me efpece : opoffy. Ses autres noms. Sa deferiptiom à i f .
S f o ' d e T& H B B eiPe“ : /»'O "- En H
A R E N E , {H ifl. nat. ) diftmguée du gravier & du fable cal-
cmabJe, entre lelquels elle tient le milieu. Sa formation. I. 632
AR™E1VdW'I/ ren'\’ H i r a & marine. I b i lb .
A reke , (/*//. « , . ) partie de l’amphitheatre des RdmainS.
Pourqiiot elle etoit couverte de fable. Sable d ’or dont la fit
couvrir Néron. I.632. A “ M
„ f f S ^ A. nat- ) , cercIe-coIoré q»i entoure le mam-
S p ^ e . î é 3T ? 7 r£“ arq" e- Su 'on en
c4 éEi r 4 M i s fer¥atiDn rm ceï artidc de i,£ncy-
B W w H H H H n IV . Couleur de c»
cercle. A . i .b . ^.b.
’ poicls. de A ré o le des Romains. VII. 822. b.
AREOMETRE,inftrument qui fert à mefurer la denfité
ou la pefanteur des fluides. Defeription de l’aréometre ordinaire.
1 632. b. Principe fur lequel cet inftrument eft con-
ftruit. Aréomètre de l’invention de M. Homberg. Son ufaee.
Table conftruite à l’aide de cét inftrument, qui montre
tant pour lé té que pour l’h iv e r , les différentes pefanteurs
fpecifiques des fluides dont l’ufage eft le plus ordinaire en
ch} mie. Autre méthode pour connoître le degré de pefan-
leur d’un fliqde ,/èrd. 633. a. préférée par M. Miifchenbroeck
a tonte autre. Imperfeélionstle l’aréometre de M. Hombere
Pourquoi une barque chargée en m e r , enfonce davantage en
paffant en eau douce. Pourquoi l’on voit quelquefois des
ides flottantes. L’exemple de l’aréomètre fait Voir qii’il n’eft
pas befom pour furnager. mie le ebrps fiottant foit d’une ma-
tæte plus légère M Ibid b. Précaution à prendre dans
la conltruéhon 8c l’ufage de l’aréometre. Ibid. 634.4.
Aréomètre. Voye{ PESE-LIQUEUR, BALANCE HYDROSTATIQUE.
A R É O P A G E , {Hifl. anc. ) fénat d’Athenes: d’où lui v ient
ce nom. La Grece n a point eu de tribunal plus renommé.
L e i t le premier qui ait eu droit de vie 8c de mort. Comment
la junfdiéhon de ce corps s’étendit peu-à-peu. Etendue
de fon autorité 8c de fes fonaions.I. 634. 4. Comment cène
cour déchut depuis Périclès. Les auteurs ne s’accordent point
lur le nombre des juges qui compofoient l’aréopage. Il fub-
lütoit neu f cens quarante-un ans avant Sblon. D u lieu 8c du
tems deTes audiences. Il proferivoit l’éloquence des plaidoyers.
Comment les aréopagites donnoient leurs fuffrages .
8c les recueilloient. Ibid. b.
Aréopage. Suppl. I. 673. a. Sénat de l’aréopage. IX. 836. b.
Comment on droit au fort ceux qui dévoient compoler ce
tribunal. Nombre des aréopagites. XU. 63 3. a. T o it de Paréo*
page. IX. 804. a. Efpeces de fieges fur lefquels on failoic
affeoir i’accufateur 8c l’accufé. VIII. 632. b. Serment que
faifoient fur l’autel des furies, ceux qui paroiflbient devant
ce tribunal. VII . 282. a. Maniéré de plaider devant l’aréopage.
V I . 273. 4. XII. 147. a. Suppl. 1. 814. b. 816. 4.
A R ÉO PA G IT E S , portrait qu’Ifocrate a tracé de ces
hommes merveilleux, Sc du bon ordre qu’ils établirent
dans Athènes. I 634. b. Vertus de ces magiftrats. Jugemens
célébrés qu’ils ont rendus. Obfervations fur Denis l’aréopa*
gîte. Mémoires à confulter. Ibid. 633. 4. .
A R E Q U E , ( Botan. ) voyeç A r ÉCA.
A R É Q U IP A , v ille du Pérou : volcan près de ce lieu. X V IL
444. a. — 443. é.
A R E T A , {Géogr.) petit pays d’A f ie , dans la Paleftine,
fous 1 empire Tu rc. Ses bornes : fes habitans. OblèrvationS
iur 1« émirs de cette contrée. Suppl. I. 330. a.
A R É T A S 1 , {Hifl, des Arabes ) chef ou roi d’une tribu des
n u