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paroiffent fe mouvoir félon l’ordre des lignes , décrivant
•un degré de leur cercle dans l’efpace de 71 ou 7a ans. Q u e lques
uns ont imaginé que quand elles auront fini leur grande
révolution, les cieux demeureront en repos. Tems ou doit
finir le monde félon différons aftronomes qui font partis de
•ce principe chimérique , voye^ Précession des Equinoxes.
La latitude des étoiles fixes eft toujours fenfiblement la
même j mais leur longitude augmente fans ceffe. Diverfes
©bfervations fur la longitude du coeur du lion en différons
tems. Ibid. 64. a. Eftimation de divers aftronomes fur
ce mouvement en longitude. L a longitude d’une étoile étant
donnée , il eft aifé de la déterminer pour une année quelconque.
Ce tte longitude eft fujette à une petite équation.
Principaux phénomènes qui viennent des mouvemens appa-
rens des étoiles fixes. La méthode donnée au mot Afcenjion
pour trouver l’afcenfion droite , n’a lieu que pour le foleil.
Pour trouver l’afcenfion droite des étoiles, voyer les Institutions
astronomiques de M. le Monnier. Du nombre
des étoiles qui forment chaque conftellation. Ouvrages à
-Cônfulter. Ibid. b.
Etoile , mouvement des, ( Aftron. ) quelques-unes en très-
petit nombre ont un mouvement propre , un dérangement
phyfique dont on ignore la caufe , Suppl. II. 890. a. & qui
prouve en général l’immobilité refpeélive des étoiles en-
tr’e lle s , ce font les alignemens obfervés autrefois, & qu’on
retrouve conftamment les mêmes. Exemples d’étoiles q u i,
prifes trois à trois paroiffent conftâmment en ligne droite.
Obfervations de trois principales étoiles , fyrius, ordure &
aldebaran dont la latitude a changé depuis le tems de
Ptolomée dans un fens contraire au changement de toutes
les autres , & contraire à ce qu’exige la diminution de l’obliquité
de l’écliprique. Ibid. b. Autres variations en latitude
découvertes dans rigel , l’épaule orientale d’orion ,
regulus , la chevre & l’aigle. Ouvrage à cônfulter fur ces
variations. Leur caufe. Conféquence tirée par l’auteur fur
l ’attenrion que doivent avoir les aftronomes dans leurs recherches
fur le mouvement des planètes.— Parallaxe annuelle
des étoiles fixes. Quoiqu’il foit démontré actuellement
que la parallaxe annuelle eft abfolument infenfible &
comme nulle dans les étoiles fix e s , l’auteur a cru nécef-
iaire d’en donner ici une courte explication, puifque la
«jueftion a été agitée fi fouvent. I l démontre d’une maniéré
plus fimple qu’on ne l’a fait jufqu’à préfent la loi des v a riations
qui devraient en réfulter. Ibid. 891. a. Inégalités
obfervées dans quelques étoiles, qu’on avoit attribuées d’a-
'Lord à la parallaxe annuelle , & qui étoient l’effet de l’aberration,
Ibid. 892. b. Méthode pour reconnoître les étoiles &
les conftellations , fans les cartes céleftes , & par le moyen
des catalogues. Ibid. 893. b. H eures du paffage au méridien des
étoiles aldebaran , la chevre , « d’orion, fyrius , procyon ,
regulus, l’é p i , aréture, antarès, la ly r e , fomahan, & d e
$v pour le premier jour de chaque mois, avec leur hauteur
méridienne pour Paris. 1762. Ibid. b. D e la méthode desaligne-
mens pour reconnoître les principales conftellations, voÿe^
ee dernier mot. Moyen de connoître dans le ciel le pôle
•boréal de l’écliptique. Inftruétion qui peut mettre à portée
•le leéleur d’eftimer en degrés les diftances des étoiles. Méthode
pour trouver l’heure par le moyen des étoiles. Ibid.
895. a. Etoiles nouvelles ou changeantes. Différence dans
le nombre des pléiades. Etoile nouvelle obfervée anciennement
près de l’aigle. Etoile très-brillante obfervée dans
le neuvième fiecle au 15e degré du feorpion. Etoiles nouvelles
obfervées autrefois entre céphée & cafiiopée. La
plus récente & la plus fameufe de toute les étoiles nouv
e lle s a été celle de 1572 f obfervée dans la conftellation
de cafiiopée. Ibid. b. Nouvelle étoile du ferpentaire obferv
é e en 1604. Suite d’obfervations faites fur la changeante
rie la baleine. Des changeantes du cygne. Ibid. 896. a. Chan-
gemens de grandeur & de lumière dans quelques autres j
dans l’étoile Q> de l’aigle , dans la précédente X à la jambe,
gauche du fagittaire, & dans fyrius. Ibid. b. Recherches fur
la caufes du changement des étoiles. Quelques-uns l’ont
attribuée à une obfcurité répandue fur une portion de leur
difque, que leur mouvement de rotation fur leur axe nous
préfentoit en certains tems : D ’autres, comme M. de Mau-
pertuis, leur ont fuppofé un appladffement confidérable ,
•enforte que félon leur inclinaifon par rapport à nous, elles
devront nous paraître plus ou moins lumineufes. Etoiles
■ doubles ou fingulieres. Phénomènes remarquables que préfente
l’étoile v de la lyre. Nouvelle planete qu’on a cru voir
tourner autour d’une étoile de la lyre. Ibid. 897. a.^Parmi
les étoiles doubles on remarque l’étoile 7 à l’épaule de la
vierge , l’étoile « du capricorne, l’étoile 7 à la tête du b elier,
la plus boréale des trois du front du feorpion, la tête précédente
des gemeaux, &c. Ouvrages à cônfulter, fi l’on veut
connoître l'es préjugés des anciens au fujet des étoiles. Des
étoiles confidérées comme objets phyfiques qui ont fervi
d’hiéroglyphes ou d’emblèmes parmi les anciens & les modernes.
Ibid. b.
E T O
Etoiles fixes : de le u r , étincellement. V I . <7. b. Suppl.
IV . 733. a. D e leur diamètre apparent. Suppl. II. 71» a%
D e ieur nombre. X IV . 790. a. Cartes des étoiles. Suppl.
II. 253. a , b. Catalogues d’étoiles. 269. a , b. C om m e t
elles font diftinguées dans les conftellations. IV . 60. a. Suppl.
II. 565. a , b, — 569. a. Etoiles informes, nommées fpora-
des par les anciens. X V . 481. b. Suppl. III. 601. b. Etoiles
nébuleufes. X I . 67. b. Etoiles changeantes. Suppl. II. 318.
b. Moyen de connoître & diftinguer les étoiles dans le
ciel , en fie fervant du globe. V I I . 712 . a. Autres moyens
de connoître les étoiles. Suppl. II. 566. a , b. Obfervations
fur l’étoile polaire. XII. 900. b. Etoiles qui ne fe couchent
jamais. III. 462. b. Etoiles qui 11e fe lèvent jamais. I. 491*,
a. Obfervations de Galilée fur les étoiles. Suppl. III. 173.
b. Leur accélération diurne. Suppl. I. 106. b. Aberration des
étoiles. I. •24.— 23. Suppl. I. a , b. Apparences qui nous
trompent fur leur fituation. V I . 819. a. D e leur latitude.
IX. 304. a. Suppl. III. 710. 'b. Leur mouvement propre,
X V II . 720. b. leur mouvement en longitude & en latitude,
Suppl. IV . 78. 4. leur mouvement en longitude. XIII. 269.
b. Voyc^ Précession des Equinoxes. Grande année des
étoiles fixes. I. 387- a- Moyen de trouver leur longitude.
IX. 68.3. a. Des occultations des étoiles fixes par la lune
ou par les planètes, voye{ O ccultation. D e fa recherche
des longitudes terreftres par les occultations des étoiles par
la lune. IX. 686. b. D e la parallaxe des étoiles fixes. XI.
903. a. Suppl. IV . 920. a , b , & c. Maniéré de trouver
leu r afeenfion droite. Suppl. I. 628. a , b. Afcenfion droite
de vingt principales étoiles pour les années 1742 & 1750.
I. 749. b. Déclinaifon de quelques étoiles. IV . 696. b. Effets
de la nutation fur la pofition des éto iles , voyeç Nutation.
Utilité des obfervations de lèur hauteur fur l’horizon. Suppl.
III. 312. a. Tables des étoiles fixes, favo ird e leurs noms,
de leurs grandeurs , de leurs pofitions, & de la variation
de ces pofitions, de leurs mouvemens particuliers. Suppl.
IV . 907. a , b. — 921. b. Des étoiles n o u v e lle s , changeantes,
doubles, nebuleufes, &c. 913. b. 916. 4 , b. D u
mouvement féculaire des é toiles, du mouvement particulier
de quelques-unes. 916. b. — 921. b. Quantité dont il
faut que le foleil foit abailfé fous l’horizon , pour que les
étoiles de différentes grandeurs commencent à être yifibles
à la vue fimple. Suppl. I. 328. b. V u e des étoiles fur le
mont Etna. Suppl. H. 887. a.
Etoiles errantes. V I . 64. b.
Etoiles flamboyantes. V I . 64. b.
Etoile tombante, ( Phyfiq. ) tems où ce phénomène paraît.
V I . 64. b. Paffage tiré de Muffchenbrock fur cette matière.
Subftance vifqueufe, &c. qu’on remarque à l’endroit où
l’étoile vient de tomber. Comment on imite ces fortes d’étoiles.
Caufes de ce phénomène. Jéi'd. 65. <x.
Etoile tombante. En quel tems ce phénomène eft fur-tout
fréquent. Quelques perfonnes prétendent l’avoir obfervè
de jour. Suppl. II. 898. a. Matière glutineufe que l’on dit
avoir été trouvée dans l’endroit où l’étoile étoit tombée.
D e la caufe de ces phénomènes. Singulière obfervation
faite par le P. Beccaria, d’où il a conclu que les étoiles
tombantes ne font que des phénomènes éleélriques. Autres
obfervations qui confirment cette hypothefe. Ibid. b.
Etoile tombante ou qui file. X V I I . 7 7 1 . <2, b.
Etoile de mer. ( Hifl.nat. ) Erreur fur cet animal qui fe ✓
trouve dans la traduction des oeuvres d’Ariftote par Ga z a ,
& dans les oeuvres de Pline. Chaleur que l’on a attribuée
aux étoiles de mer. Explication du méchanifme par lequel
elles fe nourriffent. V I . 63. a. Chaque rayon de l’étoilé
eft fourni d’un grand nombre de jambes, dont le méchanifme
eft ce qu’il y a de plus curieux dans cet animal :
détails fur ce méchanifme. Moyens que l’étoile emploie pour
allonger fes jambes & pour marcher. Defcription de l’intérieur
de l’animal. Ibid. é.L’infeéte que Rondelet appelle foleil de mer,
& celui que Gefner nomme lune de mer, paroiffent être le
même que la petite étoile de mer. Comment il peut aller
de tout côté avec une égale facilité. Plufieurs autres efpe-
ces d’étoiles de mer reftent encore à connoître aux natu-
raliftes. C e qui en fait le prix aux y eu x des curieux. Ou*
vrage à cônfulter. Ibid. 66. a.
Etoile de mer, appellée foleil. X V . 318. a. Etoile bleue
d’Amboine. Suppl. I. 912. b. Etoile de mer pétrifiée. V .
634. d. Etoiles de mer repréfentées, vo l. V I des planches.'
Régné animal, planche 62 & 63. Pierre empreinte d’unp
étoile marine. Ibid, Régné minéral, planche II.
Etoile des mages. IX. 849. b.
Etoiles , ( Litt. Myth. ) figures fymboliqijes. XV. 720.'
b. Appartement des étoiles dans un temple des anciens Péruviens.
X V I . 84. b.
Eto il e , ( Hifl.mod. ) marque qui çaraftérife les ordres
de la jarretière & d u bain. Ordre de l’étoile ou de notre-damp,
de l’étoile , inftitué ou renouvellé par le roi Jean en 1332.
Peu-à-peu cet ordre tomba dans le mépris. D ’autres prétendent
qu’il fut inftitué p a t le roi Robert en 1022. Mar-
E T O
*ues de Tordre. V I . 66. a. D e vo ir que les chevaliers dévoient
remplir chaque jour. Pourquoi cet ordre tomba dans
l ’oubli. Autre ordre de l’étoile ou du croiffant, dont parle
Juftiniani. Son inftitution. Changement que René , duc d’A n jou
, fit dans le collier de cet ordre. Soin du peuple de M efline
k le relever ; changement qu’il établit dans la marque de
l’ordre. Sa devife. Ibid. b.
ETOILE, chambre de V ( Jurifp. ) III. 31. a.
Etoile , ( Blafon ) en quoi- elle différé de la mollette ou
roue d’éperon; 'Comment elle eft formée. Etoiles employées
comme lymboles dans les médailles. V I . 66. b.
Etoile, ( Fortifient.) efpece de petit fort. V I . 66. b.
Etoile ou pelote, ( Maneg. Marèch.) efpace de poils blancs
placés au milieu du front. Le s chevaux dont le front eft
garni de cette pelote , font nommés des chevaux garnis
en tête'. Souvent cette marque eft artificielle. V I . 06. b. \
Comment les maquignons parviennent à la faire. Ibid. 67. a.
Etoile, ( Artific. ) petit artifice lumineux d’un feu clair
& brillant. Lorfqu’il eft adhérent à un fauciffon, on l’appelle
étoile à pet. Diverfes maniérés de faire cet artifice dans
fa compofition & dans fa forme. D o fe de compofition pour
les étoiles. Maniéré de faire les étoiles à pet ; les étoiles à
ferpentaux. V I . 67. a.
Etoiles dont on garnit les fufées volantes. V I I . 390.^. 391.
a. 6>68. b.
Etoile , ( Horlog. ) fon ufage eft à l’article Répétition.
V I . 67. b.
Etoile. ( Jardin.) Allées à étoile. Oignon de fleur appellé
étoile. V I . 67. a.
Etoile, outil des relieurs-doreurs voyt{ Fers a dorer.
V I . 67. b.
Etoile , ( Manuf. en foie ) piece du moulin à mouliner.
V I . 6 7 .* .
E T O IL E , ( Chirurg. ) efpece de bandage : il y en a de
deux fortes , le fimple & le double. Le premier eft pour
les fraétures du fternum & des omoplates. Maniéré de le
faire & de l’appliquer. Le fécond s’applique à la luxation des
deux humérus, & à la fra&ure des deux clavicules. Maniéré
de le faire & de s’en fervir. V I . 6 7. b.
Etoilé. ( Blafon ) Croix étoilée. V I . 67. b.
Eto il é , ( à /a monnaie ) V I . 68. a.
Etoilées ,plantes , ( Bot an. ) X II. 72 1. a.
Étoilées, coquilles foffdes, vo l. V I des planches. Regne
minéral, pi. 2 & 3. Pierres étoilées , voye^ A sterie 6*
A stroite,
E T O L E , ( Hift. eccl. ) ce que défigne cet ornement faeer-
dotal. Etymologie de ce mot. Etole en ufage chez les anciens
Grecs & Romains. Différence entre l’étole & fo ra -
rium avec lequel on l’a quelquefois confondu. Defcription
de l’étole facerdotale. Il paraît que l’étole des anciens étoit
quelquefois un habit de cérémonie que les rois donnoient
à ceux qu’ils vouloient honorer. Ufage moderne des monarques
d’o r ien t , analogue à celui qui vient d’être cité.
L ’ulage ou le droit qu’ont les curés de porter l’é to le , n’eft
pas uniforme par-tout. Diverfes difpofitions des conciles fur
c e fujet. Explication de l’étole félon les myftiques. V I. 68. a.
Etole, v o y e z O raire 6* Orarium. T o u r d’étole. Suppl.
III. 759. .
Etole , ( Hiß- moi. ) ordre de chevalerie inftitué par
les rois d’Aragon. Obfcurités répandues fur fon origine.
Con je âu re fur les marques de cet ordre. V I . 68. a.
Etole d'or , ordre militaire à Venife. Q u i font ceux qui
peuvent être élevés à cet ordre. V I . 68. b:\
E TO L IEN S , hiftoire de ces peuples depuis l’entrée des
Romains en Grece. V I I . 913. b. Les Etoliens fourniffoient
des troupes à ceux qui vouloient les payer. X V . 12 1. b.
Leur férocité & leur brigandage. Suppl. I. 139. b.
E T O N N EM E N T , ( Morale ) fuites de l’étonnement ,
félon la nature de l’événement qui le caufe. En quel fens
il fe dit en phyfique- V I . 68. b.
Etonnement, efprits auxquels il eft difficile d’en eaufer. I.
14 1 . a. Différence entre etonnemefit & admiration. Suppl.
I, 170. b.
Etonnement de fà b o t, ( Manege , Marèch. ) commotion
que fouffre le pied en heurtant contre quelque corps très-
dur. "Maladies très-graves qui peuvent en réfulter. C e que
fignifie l’expreffion, faufiler au poil. A quels fignes on peut
être affuré de la commotion & de l’étonnement. Moyens
d’y remédier, dès le moment du heurt. V I. 68. b. Moyens
de prévenir les efforts de la matière , qui pourrait fouffler
au poil dans l’inftant même où l’on ne s’y attendrait pas. C e
q u ’on doit faire lorfque les humeurs font extravafées de maniéré
à former une colleâion & à fuppurer ; lorfque cette
matière s’eft déjà ouverte une voie par la corrofion du tiflù
de la peau vers la couronne. Des cas où les progrès font tels
que la chute de l’ongle eft inévitable. Ibid. 69. a.
E T O Q U L A U , {Horlog.) diverfes pièces auxquelles on
donne ce nom. V I . 09. b.
E T O S I , phjlofophe Arabe. X IV . 668. a.
E T R 647
É T O U F F É , ( Docimaftiq. ) effai recouvert de fès feories.
Caufes de cet inconvénient. L’effai y eft fort fujet quand -il
eft mêlé d’étain. Comment on y remédie. V L 69. b.
Etouffé , rapport d’un chirurgien au fujet d’un enfant
étouffé. XIII. 806. a. Défenfe de manger des animaux é touffés.
X V I I . 228. b.
E TO U F F EM E N T , voye^ Suffocation.
E T O U P E S , dans le travail du chanvre. III. 136. b. V I .
7a9- M I , .
E TO U P IL LE , ( Art milit. 6» Pyrotechnie ) efpece de meche
qui fert dans l’artillerie & dans les feux d’artifice. Maniéré
de la faire. Comment on juge de fa bonté. Ufages de l’é-
toupille. V I . 70. a.
Ètoiipille ƒ our les feux d’artifice. V I . 644. a.
E TO U RD IS SEM EN T , ( Médec. ) premier degré du v er tige.
Symptômes de l’étourdiffement. Maladies dont il eft
l’avant-coureur ou le fymptôme. V I . 70. a.
Etourdissement. {Marèch.) Voye^ Erjlepsie.
E T O U R N E A U , {Omithol.) defcription de cet oifeau J
fignes caraélériftiques du mâle. Nid & ponte de la femelle.
Nourriture des étourneaux. Ils vont en bandes, & fe mêlent
avec quelques efpeces de g riv es , 6»«:. Variétés clans les oifeaux
de cette efpece. L’étourneau apprend à parler. V I . 70. b.
Etourneau , efpece d’étourneau de la C h in e , nommé
kaaling. IX. 103. b. Etourneau du cap de Bonne-Efpérance,
vol. VI. des planch. Régné animal, pl. 43.
ETOURNEAU, gris-étourneau. {Manég. Marèch.) Couleur
du poil des chevaux étourneaux. Préventions mal fondées
des anciens contre ces chevaux. V I . 70. b.
E T R A B A R A N I , médecin Arabe. X, 284. a.
E T R A N G E , ce qu’on entend par un homme étrange,
une affaire étrange. C e qui nous paraît étrange dans un
tems, ceffe quelquefois de nous le paraître quand nous
fouîmes mieux inftruits. V I. 70. b.
E T R A N G E R , ( Droit polit. ) ufages des anciens Scythes
à l’égard des étrangers. Les Romains ont confondu le mot
d’ennemi avec celui d’étranger. Injuftice des Grecs envers
les étrangers. Cette injuftice fut caufe du peu de durée des
républiques de Sparte & d ’Athènes. Admirable édit d’A lexandre
, qui lui mérite fur-tout le nom de grand. Perfonne n’ignore
aujourd’hui que rien ne contribue davantage à la prof-
périté d’un état, que l’accès libre qu’il accorde aux étrangers.
Peu d’endroits qui ne foient affez fertiles pour nourrir
les étrangers qui s’y retirent. Les loix contraires aux
étrangers font desreftes des fiecles barbares. V I. 7 1 . a.
Etranger, exercice de l’hofpitalité envers les étrangers.
VIII. 314. b. Obfervations fur les étrangers établis-à Athènes.
X. 466'. a. Nom que les Athéniens donnoient aux
hommes étrangers parmi eux. X IV . 742. b. & aux femmes
de ces étrangers. VII I. 368. b. X IV . 780. b. Loix des Lacédémoniens
par rapport aux étrangers. XV II . 631. b. 654.
a. Fauxbourgs deftinés aux étrangers dans les villes de l’empire
Ruffien. X V . 237. a , b. D e la naniralifation des étrangers
en divers pays. XI. -39. a , b.>.40. a.
Etranger, {Jurifp.) v o y e z  ubain , Regnicole. C e ft
celui qui n’eft pas de la famille. L e retrait lignager a lieu
contre un acquéreur étranger. V . 7 1 . a.
Etranger, les étrangers nobles dans leur pays font auffî
tenus pour nobles en France. XI. 176. a. Obfervations fur
les ouvriers étrangers qu’on reçoit dans ce .royaume. X V II .
804.' b. Héritier étranger. VII I. 163. b.
. Etrangers, corps, {Chirurg.) v o ye z Corps.
Etrangères, affaires, {Confeildes) IV . 17. b.
E T R AN G LEM EN T , {Chuurg.) différentes fortes d’é-
trangletnens confidérés comme caufe de gangrené. V II . 468.
b. &c. Etranglemens dans certaines plaies. 469. a. Etrangle»
ment par fufpénfion, voye[ Pendu &. Suspension. Expédient
le plus court pour rendre la vie à un homme étranglé.
Suppl. IV . 616. b. D e s fignes d’étranglement. 67. b.
E T R A N G U IL LO N , ( Manege, Marèchv) maladie qui eft
la même que l’efquinancie dans l’homme. Nature de cette
maladie. Parties qu’elle affeâe. Etranguillon externe j
étranguillon interne. Signes & prognoftics de ces deux efpeces
de maladie. V I . 7 1 . b. Caufes de l’étranguillôn, éloignées
& prochaines. Caufe des progrès de cette maladie. Indications
curatives. Traitement de la maladie. Ibid. 72. a. C e
qu’on doit faire lorfque l’efquinancie ayant été négligée,
l’humeur forme extérieurement un dépôt qui ne peut fe
terminer que par la fuppuration. Du cas dans lequel la
tumeur eft interne. Symptômes qui annoncent une dilpofi-
tion prochaine à la mortification & à la gangrené. A quoi
l’on reconnoît que la gangrené eft formée. Alors le danger
eft extrême. Comment l’on doit procéder à la cure. Ibid, b-.
Opération de la bronchotomie, lorfque l’animal eft privé de
la faculté de refpirer. Etat où fe trouvoit un cheval fut
lequel l’auteur entreprit avec fuccès cette opération. Détails
fur la manière dont il la pratiqua. Ibid. 73. a. Soins qu’il employa
enfuite pour en affurer le fuccès. Ibid. b. La nature
opéré de grandes merveilles dans les chevaux, & reôifie