
7 4 A N I
. Il eft dans ce
*n médecine. I.
: de l’an-
i la fouïue, à la
ANG G LAM -, (B o t ,) arbre du Ma
.pays le fymbole de la royauté. Scs uf:
4 Angolàm, (Sms.) arbre toujours vcrt.1 du Malabar.
Ses différens noms ; lieux où il croît. Sa dcfcripnon. Suppl.
I . 430. b. Ses qualités & nfages. Maniéré de clafler cet arbre.
Remarques fur le nom que Limueus lut donne ; « en général
lur le fyftème de « ’célèbre botanifte. Ihd. 45 1 -g j ANGOUMGÏS, ( Géogr. ) province de brance. ses Bornes.
Ses produélions. Ouvrages de l’art, qui fe fabriquent
dans cette province & dans le Limoiiliii. I. J “ : - ' . ANGOURI, ( Géogr. ) ville d’ATie. Pod de fes chevres.
J. 466. ‘I. „ . ‘
A N G R E C , ( Botan. ) plante parafite qui croit communément
aux îles Moluqucs, fur le tronc dn cocotier, bes dittè-
Tens noms. Sa defcription. Suppl. 1.4^ 1. a , b. Culture ,. qualités
& ufages de cette plante. Seconde efpece. ba c cup
tion. Tjoifienie efpece. Sa defcription & la culture, erreur
tic Linnæus fur cette plante. Ibid. 43 a. a jM 1
AN G U IL LE , (Ichth.) defcription & hiftoire naturel
ce poilîon. Sa chair confidérée comme alime""
guille aux hameçons dormans, «4 l’épinette ,
naffe. 1 . 466. b. . T r r 1
Anguille de fable. Sa defcription. M 466.b.
Anguille Obftrvation fur la circulation du fang dans les
anguilles. III. 469- Les anguilles ne font pas fans écailles.
X u . 800. a. Anguille de mer nommée Babi. Suppl. 1. 741 - "-
b .Anguille èleélrique de Surinam. Suppl. IV . 303.b. Pêche
des anguilles au haveneau. VII . 213. b.
Anguille , animalcule que l’on découvre dans certaines
liqueurs. Celles de la colle de farine , font les plus fmgulieres.
1 . 4 6 7 - , | - ,
A nguille , faux plis dans le drap» 1. 467. a.
A nguille , ifte de l’Amérique. I. 467. a.
AN G U L A IR E , ( Géogr.) mouvement angulaire, I. 467. a.
A ngulaire , ( Anat. ) apophifes angulaires du coronal.
Mufcle angulaire de l’omoplate. Artere angulaire. 1. ^67. b.
A N G U lv I , ( Botan.) nom malays d’une efpece d abutuon.
Ses autres noms. Sa defcription. Culture , qualités & ufages
de cette plante. Erreur de Linnæus. Suppl. 1. 432. b. 8e 433. a.
A N G u S T IC L A V E , ( Hifl. anc.) partie ajoutée à la tunique
des chevaliers Romains. Quels chevaliers la portoient.
1 467. b.
Angufliclave, il en eft parlé, VII I. 13. a. IX. 301. rf.
ANHIM A , ( Ornith. ) defcription de cet oifeau du Brelil.
I. 467. b. Diverfes particularités fur cet oifeau. Propriétés
médicinales de fa corne. Ibid. 468. a.
AN H IN G A , ( Ornith. ) genre d’oifeau aquatique, de la
famille des cormorans. Noms que les ornithologiîles lui ont
donnés. Lieux où il eft commun. Sa defcription oc fes moeurs.
Suppl. I. 433. b. _
A N I , (Ornith.) oifeau de la famille des coucous ou des
perroquets. Auteurs qui l’ont décrit. Différens noms qu’on
lui a donnés. Sa defcription 8c fes moeurs.Suppl. I. 4^4. a , b.
Ani ou AniKAGAÉ , (Géogr. ) v ille de la grande Arménie
en Afie. Obfervations hiftoriques fur ce lieu. Particularités
qui le concernent. Suppl. I. 434. b.
A N IA N , (G éo er .) nom d’un détroit célébré dont on a
beaucoup parlé, & qu’on n’a jamais bien connu. Diverfes pofi-
tions que les géographes lui ont données. Ouvrages à con-
fulter. On l’appelle communément détroit du Nord, ou détroit
de Bééring. Suppl. I. 434. b. Voye^ fur ce détroit les articles
Bééring , Californie & D étroit.
AN IG R IDE S , ( Myth.) nymphes. Cérémonies qu’ on pra-
tiqûoit, pour en obtenir certaines guérifons. 1 .468. a.
A N IK A , celui par qui la Sibérie fut découverte. X V . 154.
a , b. ^ ■
À N IL , ( Botan. ) pays où croît l’anil. II. 283. a. Comment
on tire de là feuille le bleu d’inde & l’indigot. 28a. b.
A N IL L E , ( Blafon ) meuble de l’écu en forme de deux
croiffans , & c. Etymologie de ce mot. Suppl. I. 43 5. a.
A N IM A L , (Hifl. nat.) difficulté de répondre à la queftion :
Quc fl-ce que 1 animai 1. 468. a. Réponfe de M. de Buffon.
Ibid. b. Les lignes de féparation entre les régnés n’exiftent
point dans la nature. Il y a des êtres organites qui ne font
ni animaux, ni végétaux , n i minéraux. Le partage de la nature
du végétal au minéral, eft brufque. Conséquence qu’en
tire M. de Buffon. Ibid. 469. a. Les animaux tiennent le premier
rang dans la nature , parce qu’ils font capables de plus
de fondions que les autres êtres, 8c qu’ils, ont par leurs fens
plus de rapport avec les objets qui les environnent. Nous-
mêmes, à ne confidérer que la partie matérielle de notre
être , nous ne fommes au-deflus des animaux que par quelques
rapports de plus, tels que ceux que nous donnent la langue
& la main. Pourquoi les animaux ne penfent, ne parlent
ot. ne perfectionnent rien. Ibid. b. Leurs opérations ne font
que des réfultats méchaniques & purement matériels. Caufcs
de la variété que nous mettons dans nos produélions & nos
ouvrages. L’animal eft 1’ouyrage le plus complet du Crér
A N I
leu r; mais fur-tout c’eft dans la fucceflion, le renouvellement
8c la durée des e fpeces , que la nature parûît tout-à-
fait inconcevable. Ibid. 470. a. La matière inanimée n’a ni
fentiment, nifenfation, ni confcience d’exiftence ; l a foeuhé
de penfer & de fentir, s’éteint dans quelque point de la »
chaîne placé, entre le régné animal & le v ég é ta l; point qui
nous échappera à jamais. Les rapports qui nous lient à la
matière en général ne font point partie de notre être ; c’eft
' l’organifation , la v ie , l’ame qui fait proprement notre exi-
ftence. Nous exiftons fans favoir Comment, 8c nous penfons
fans lavoir pourquoi. Inertie de l’ame. Ibid. b. Etat d’un
homme qui médite très-profondément. Raifons pour lef-
quelles nous pouvons nous donner le premier rang dans la
nature ; nous devons enfuitc donner la fécondé place aux
animaux, la troifteme aux végétaux, 8c enfin la derniere
aux minéraux. L ’animal n’a de commun avec le minéral, que
les qualités de la matière prifes généralement. Son individu
eft un centre où tout fe rapporte ; un point où l’univers
entier fé réfléchit. Rapports qui lui font communs avec les
végétaux. Ibid. 471. a. En quoi confifte la différence entre
les animaux 8c les végétaux. C e qu’il faut entendre par la
faculté de fentir, dans laquelle on fait fu r - to u t confifter
cette différence. On croit en trouver une autre dans la
maniéré de fe nourrir. Ibid. b. mais qui eft plus apparente
que réelle. Pourquoi les mouvemens font fi variés dans
les animaux, & fi uniformes dans les végétaux. Il n’y a
aucune différence abfolument effentielle 8c générale entre
les animaux 8e les végétaux. Quelles font les reflemblances
des uns 8c des autres. Ibid. 472. a. Autres comparaifons des
animaux aux végétaux: le nombre des premiers eft beaucoup
plus grand que celui des efpeces de plantes. Il eft plus
facile de diftingüer les efoeces d’animaux, les unes des autres,
que celles des plantes. Dans les plantes, comme dans les
animaux, le nombre d’individus eft beaucoup plus confidé-
rable dans le petit que dans le grand. Chaque efpece dé
plante eft plus abondante que chaque efpece d’animal. Ibid,
b. Réponfe de M. de Buffon , aux objeélions qu’on peut
faire contre cette derniere propofition. Ibid. 473. a. Gom-
paraifon des animaux 8c des végétaux pour le lieu où la
nature les fait fubfifter. Quoique le microfcope ait fait découvrir
un grand nombre de nouvelles efpeces d’animaux,
à peine a-t-on pu reconnoître une ou deux efpeces de plantes
nouv elles, par le fecours de cet infiniment. Comparaifon
des animaux 8c des végétaux pour la grandeur, 8c enfin
pour la forme. Ibid. b. Divifion des trois rtgnes par M.
d’Aubenton. Les anciens ont divifé les animaux en deux
clartés; la première comprend ceux qui ont du feng, la
S fécondé, ceux qui n’ont point de fang. Obfervation fur cette
divifion. Elle donne lieu à des fous-divifions qui embraffent
tout le régné animal. Ibid, 474- rf. Autres diftributions qu'on a
faites desanimaux, toutes plus ou moinsdéfeélueufes. Méthode
de M. Linnæus, par laquelle il diftingue les animaux des végétaux
8c des minéraux, 8c les diftribue en fix clartés. Ibid. b.
Animal, obfervations fur les définitions cpi’on a données
de l’animal, 8c fur les caraéteres. par lefquels on a cru le
diftingüer de la plante. O n ne peut regarder le fentiment
comme le caraélere effentiel de l’animal, parce qu’il feu-
droit avoir un caraélere fenfible du fentiment lui-même. Ce rtains
animaux paroiffent 11e point fentir dans certaines cir-
conftances de leur vie. Suppl. I. 433. a. Certaines plantes ont
une irritabilité très-vive. L’animal, nous dit-on, fé meut de
lui-même. Il y a plufieurs plantes qui produifent des mon-
vemens vifs 8c réitérés, fans qu’il y paroiffe une caufe irritante.
La loi de la nourriture ne regarde que les grands animaux
; dans un grand nombre de petits, la nature en fuit
une toute différente. Pour diftingüer donc l’animal de la
plante, il faut fuivre la vie 8c les développemens de l’un 8c.
de l’autre :on trouvera que les mouvemens des plantes font
plus rares 8c plus uniformes, qu’ils durent moins, 8c que le
, repos eft l’état dominant des végétables. Ibid. b. On a cru
que la matière végétale exaltée 8c portée à un certain degré
de pourriture acquéroit du mouvement, 8c paflbit dans le
régné animal. Cette hypothefe eft combattue par des faits
dont de très-bons obfervateurs fe font aflùrés, 8c dont on
trouve ici l’expofition. Ibid. 436. a.
Animal, caraélere diftinélif de l’animal. Suppl. II. 490. b.
Plus il approche de l’adolefcence,plus il croit lentement. 1.
88. a. Accroiflément 8c décroiffement de la force de l’animal.
V II . 110. a. La durée de fa vie peut fe mefurerpar celle du
tems de l’accroiffement. I. 89. a , b. Plus les autres vifeeres
font petits dans un animal, à proportion du fujet, plus la
foie eft grand. VII. 35. b. 36.rf.La dilatation 8c la contraélion
des dimenfions extérieures du corps font effenticUes à la vie
de l’animal. III. 396. b. Chaleur de l’animal ; principaux phénomènes,
qu’elle préfente. III. 31. b. 3%.a. 33. b. Sels qui fc
trouvent dans le corps de l’animal. I , 99. a. La première
notion dans l’animal, la feule commune aux efpeces de tous
ƒ? les g en re s , porte fur la fenfation intime 8c radicale de fou
| exiftence. X V . 39, a. D e l’animal feloq la philofophie de
A N I
Hobbes. VIII. 236. a. Avantages de la plante fur l’animal.
Suppl. II. 4 y a.
Animal-, Bêle , B rute, (Synon. ) II. 214. a.
Animal , adjeél. planches d’hiftoire naturelle concernant le
régné animal, vol. V I. planch. 93. Economie animale. XI.
360. a. — 366. b. Subftances animales. X V . 383. b. D e l’acide
animal. 386. b. Corps terreux naturels tirés du régné animal
rieur ufage en médecine. X V I . 173. b. Sels animaux. I.
98. b. Cendres animales. II. 813, a , b. Il y a lieu de croire
. que le fer eft répandu dans le régné animal. V I. 496. a.
Aétion animale. 1. 132. b. Bonté animale. II. 3x8. b. Chaleur
animale. III. 31. a ,b . Mouvement animal. X. 841.rf.Fa-
cultés animales. V I. 363. a. Fonélions animales. VII.. 31. a.
Animaux qui font la nuance entre le régné animal 8c le
régné végétal. XVII , 744. a. Partage du régné animal au
végétal. Suppl. IV . 332. b. Colleétion du cabinet du roi dans
le régné animal. II. 489. b. Soins que demande l’entretien de
cette partie d’un cabinet d’hiftoire naturelle. 491. b.
Animal-fleur. Suppl. I. 136. à , b,
A nimal, A nimaux , (Blafon ) .quadrupèdes volatiles,
portions 8c reptiles repréfentés dans les armoiries. Polirions
particulières des principaux quadrupèdes. Termes qui expriment
ces différentes polirions. Suppl. 1. 436. a.
A N IM A L C U L E , ( Hifl. nat. ) ceux qu’on a découverts à
l’aide du microfcope. 1. 474. b. Syftêine de M. de Buffon fur
ces prétendus animalcules. Nouvelles obfervations microf-
copiques de M. Néedham. Animalcules obfervés fur diffé-
renf*> matières. Ibid. 473. a.
. Animalcules, obfervations microfcopiques des petits animaux
qui échappent à la vu e fiinple. XL. 723. b. Anguilles
qu’on découvre dans certaines liqueurs. I. 467. a. Suppl. IV .
607. <1. Animalcules que Leuwenhoeck a remarqués dans de
l’eau où l’on avoit ietté du poivre. IV . 1073. a. Expériences
de M. de Buffon fur la génération de quelques animalcules.
IV . 278. b. D e la reproduction de quelques animalcules. Suppl.
I. 123. b. Suppl. III. 64. rf, b. Leurs mimvemens. Suppl. L 43 3.
b. Obfervations fur les animalcules de Néedham. 738. a.
Animalcules dans les femences des plantes. II. 343. a. Dans
la femenee du v er à foie. X V II . 40. b. Dans la laite du merlus.
X. 390. b. Animalcules fpermatiques. V I I . 363. b. 8c
Suppl. IV . 769. b. L eur exiftence conteftée. V I I . 366. b. 8cc.
Obfervations de Leuwenhoeck fur les animaux fpermatiques :
maniéré de faire ces obfervations. X IV . 939. a. Les animalcules
regardés par quelques naturaliftes, comme principe de 1
la formation des germes. Suppl. III. 212/rf. Ouvrages furies
animalcules. Suppl. IV . 363. b. 364J b.'
A N LM A LIS JTES , fecle de phyficiens qui doit fa naiflance
à Hartfoeker. Difficultés qui s’élèvent contre leur opinion. I.
473. rf. Découvertes que quelques phyficiens ont faites d’un
nombre prodigieux d'animaux finguliers répandus fur différentes
fubftances. Ibid. b.
A N IM A L IT É , (Zoolog. ) la forme, la maniéré de fe nourr
ir , de croître, de multiplier, la faculté loco-motive, le
fentiment, ne font point des caraéleres diftinélifs de l’animalité.
C ’eft ce que l’auteur de cet article a entrepris de
p ro u v e r , en entrant fur chacun de ces prétendus caraéleres
dans un très-grand détail.
Il n’y a point de forme particulière affeélée à l’animal :
c’eft ce qu’indiquent la variété infinie des formes animales,
8c les formes fucceflives très-différentes les unes des autres
par lefquelles la nature fait parter un même individu. Les
zoophytes font de vrais animaux, dont la forme extérieure
approche plus du végétal que de l’animal. Suppl. 1. 436. a.
L ’obfervation nous démontre encore qu’il n’y a point d’or-
ganifation particulière affe&ée à l’animal, 8c qu’iî y a certainement
plus de diftance à cet égard de l’huitre à l’homme
que du polype à une moufle. La nutrition des animaux fe
fait de tant de maniérés, avec tant 8c fi peu d’organes,
avec des organes fi diflemblables, qu’elle n’offre rien d’aflez
confiant, ni d’aflez uniforme, pour en tirer un caraélere ■
diftinélif. Suppl. I. 437. a. A l’égard de l’acçroiflêment,
il eft le même dans tous les êtres du régné animal 8c du
règne végétal. S’il y a plus de difficulté au fujet de la génération
, c eft uniquement pour le peuple 8c non pour le
philofophe, qui fait que la génération eft à-peu-près uniforme
pour tous les êtres, 8c que la différence qu’il peut y
avoir entr’eux dans la maniéré de fe reproduire, a quelque
point qu’elle foit portée , peut au plus varier l’anima-
lite ; mais elle l’étendra au lieu de la reflreindre à une certaine
colleétion d’êtres particuliers. La faculté loco-motive eft
lin fecours accidentel donné à quelques êtres, pour fatisfaire
leurs befoins, 8c l’état de repos ou la négation du mouvement
n’exclut pas plus l’animalité, que l’état de mouvement
ou la négation du repos. Obfervations qui tendent à prouv
e r que l’animalité embraffe tous les êtres de la nature. Ibid. b.
Voyer fu r ie meme fujet l'article ANIMAL.
A N IM A T IO N ,(Afèrtt'c. légale) moment où l’amc s’unit au
corps de l’embryon dans le foin de la mere. Différens fen-
timeris des plûloibphes fur ce fujet. Suppl. 1. 438, a. Les pro-
A N ï 73
W 1 ES d’affurer s’il eirte tmelmie
ï ' ,î enve!°ppent encore le myflere de la
l dans le germe des hommes, avant le mo.
ment de la conception Mais on efteomme /orcéd’admettre
aune exiftence a | | 1 embryon . dés qu’il commence
■ H 0 n B rdo" c c0“ fW<= envers l’état qu’on prive
a un cito yen, lorfque par des moyens violons on met ob-
aanaU cIèveloPPemen'£ «un germe.Ibid. b.
A N ÏM A U X , analogie entre les végétaux 8c les animaux,
v u . 228. rf. Examen des différentes parties du corps des ani-
maux. Uitterentes proportions du cerveau dans les animaux,
félon leurs efpeces. II. 863. a. Suppl. II. 299. b. Organes différemment
proportionnés aux alimens. Suppl. III. 247./.. A nimaux
qui ne font jamais dans un état de mucofité. 70. a Des
H « « 389. i . 390. u. XII. .06. D e leurs
H H X,1 - 6 l | - 1 7* - * . >• D e leur bouché. II. 340. a.
B 9 ■ oents & de leurs mâchoires. IV . 836. a , b. ~ 838,
J L V 8 o ,’1 ” ■ Dn la langue de quelques animaux. IX 4 7.
4. D u coeur des an,maux : les animaux timides ont le coeur
plus grand que les courageux. III. !9 4. o s dans lc coeui
tW M Ê Êm m a B m »<= Temri.
cule. lh d . D e la flruaure des manuuelles danï les femelles
des amm.ux. X. 5. a. Comparaifon de diverfes parties du
corps de Ihomme aux pâmes analogues de différens animaux.
V II I ado. a. Pourquoi le poumon des quadrupèdes
a plus de lobes que celui de 1 homme. IX. 624. a .' Une des
principales différences entre l’homme 8c les animaux,
confifte en ce q u i l y a beaucoup plus de correfpondance
entre la tu e & le coeur de l’homme, que dans les autres
animaux. III. 600. a. Des fexes des animaux. Suppl. III. ïo . b.
D e la chaleur des animaux. III. 31. Æ b. — a. 1 7
b . \ I . 601. b. Différentes vîteffes tlu fang dans différentes
elpeces. III. 399. b. Pulfetion du pouls des animaux. XI1L
367. b. D e la yo .x des animaux. X V II . 43 2. r f, b. D e
1 odorat. XL 336. b. 337. b. Mouvement progreflîf des animaux.
AIU. 433 ■ a » La plupart des animaux paroiffent
plus lenfibles que les hommes aux changemens de l’air. X V I.
ï 17. 4. Effets du froid fur le corps dés animaux. V I I 3 1 7 4 "
Pourquoi les animaux ont plus d'afliou vitale & de vigueur
en hiver qu’en été. 3s 3. a. Effets de i grandes chaleuïs fur
le corps des animaux. Ibid.
D e la réproduélion 8c de la nourriture des animaux. Gom-
paraifon entre ce qui fe parte dans la génération des o v ipares
8c des vivipares. VII. 368. b. D es différentes maniérés
dont les animaux fe reproduifent. 360. rf, b. D e leur accou-
plement. Suppl. I. 123. a , b. D e la maniéré de multiplier.
Ibid. D e leur accroiffement. 123. b. Sce. 8cc. Différences par
rapport a la durée du tems de l’accroiffement, entre les ani-
maux qui multiplient beaucoup , & ceux qui multiplient peu.
I. 89. rf. Pourquoi les femelles des animaux 11e font pas fujettes
aux menftrues. X. 338. e. 339. a. D e la nourriture des ani-
maux. XI. 264. rf, b. 263. a. Les animaux qui vivent de
viande s’engraîffent plus difficilement que ceux qui vivent
d’herbes. VII . 839. a. Les animaux auxquels on ne donneroit
jamais que la même efpece de nourriture s’aflimileroient
•.en entier à la forme de cette nourriture. X V I . 943. a. Le
befoinles a quelquefois forcés à furmonter leur inflin«. Suppl.
III. 247. b. Comment vivroient les animaux, fi les alimens"
falubres dégénéroient en poifon. 1. 109. a.
Comment les qualités des animaux peuvent varier félon
les tems 8c les lieux. I. 109. a. Nous appercevons dans les
animaux l’exercice des mêmes fonélions fenfitives que nous
reconnoiffons en nous-mêmes. V I . 133. b. Des forces des
animaux. V IL 120. b. 8cc. 124. a. Pourquoi plufieurs animaux
nagent naturellement. XI. 6. a. Effets de la mufique fur les
animaux. X. 904. b. D e leurs facultés fenfitives. V I . 364. a.
Influence de la lune fur quelques animaux.'VIII. 736. b.
Des animaux châtrés. III. 231. b. Animaux dans le vuicle.
XV II . 374. rf.
D e l’inflinél. Articles fur l’inflinél des animaux. W H
a , b. 8cc. Suppl. III. 608 b. — 610. b. Du principe de leurs
aélions. II. 214. b. Les facilités récordatives ont moins dé
perfeélion dans les animaux que dans les honynes : différence
entre leurs aélions 8c les nôtres , qiii montre que leur
ame n’efl ni lib re, ni intelleéluelle. VI. 364. a. Du langage
des animaux. VII I. 237. rf. yq8. a. 827. b. IX. 233. a. D e s
p.dfions qu’ils manifeftent. VIII. 798. b. 799. a. Jalôüfie que
les mâles manifeftent fur les petits de la même efpece. III,
3 24. b. Voyei A me DES betes.
Diftributions méthodiques. Diflinélions des animaux par
rapport au fexe. I. 86. rf. Diflinélions des animaux en chauds
8c en froids. III. 31. a. 37. b. Animaux carnaciers ou carnivores
, 8c animaux frugivores. V o y \ leurs articles particuliers,
Animaux ovipares 8c vivipares. XI. 709. b. Ahimaüx rumi-
nans.XIV. 434. b. Diflribution des quadrupèdes. XIII. 643'.
bi Sec. Animaux diftingués en amphibies, aquatiques 8c ter-
reflres. I. 373. b. Diftinélion des animaux qiii n’orit point de
fang en grands 8c en petits. VIII. 781. a. Animaux zoophy-
X Y I l, 744. rf, Mémoiyps pour fervir à nUftoire des ani--