
9*8 H O P
691. b. droits honorifiques des fiefs, 697. «• du fondateur
d’une églife, VII. 73. b. du patron d’une églife. XII. 104- b-
— Voyez DROITS*
H O N O R IU S , empereur. Ÿoyc^ A rCADius.
H O N T A N , ( Baron de la) fes entre tiens fur la religion avec
un Hanadien. II. 581. b. Précis de fes voyages dans 1 Amérique
feptentrionale & des relations q u il en donne : crédibilité
qu’elles méritent. Suppl. I- 356- a > 357' a >
3 îH O i)T E D S IS .^ « « K J (Hnaom.'l V I I I . a$ j, n f o
Génération6*Génitales, (parties)
Honteuses, (Artères) les anatomiftes en diflinguent
trois la honteufe interne , la honteufe commune ou
moyenne , & la honteufe externe. Defcription de ces vaif-
feaux. V III. *93. a. , , , r _ ,
Honteufes, artères. Suppl. III. 486. a. Suppl. IV . 2.80. b.
.Veine honteufe. Suppl. III. 487. a. Suppl. IV . 280. b. 281. a.
H O O F T , hiftorien hollandois. Suppl. III. 430. a.
H O O G S T R A T E , (Géogr.) petite ville des Pays-Bas ,
patrie du dominicain Jacques Hoogftraten , inquifiteur général
en Allemagne au commencement du feizieme fiecle.
Obfervations 8c anecdotes fur ce dominicain. VII I. 293. b.
H O O K , ( Robert ) fa balance hydroftatique. II. 27. « .D o c trine
de ce philofophe fur la légèreté. IX. 353. b. Obfervations
fur fa vie & fes ouvrages. X V I I .6 1 3 .« , b. — 615. a. Suppl. I.
390. .1. Suppl. IV . 331. b.
H O O RN ou Horn, ( Géogr.) ville desProvinces-UnieS.
Commerce & pâturages de cette ville. En quel tems elle fut
commencée. Obfervations fur Hadrien Junius ne a H o o rn, 8c
fur fes ouvrages. VIII. 293. b.
H o orn , (Jean Van ) phyfiolcfgifte. Suppl. IV . 334- a-
H O O R N B E C K , ( Jean ) théologien. VIII. 49. b.
H O P ITA L . ( Gramm. Moral. Polit. ) C e qu’étoient autrefois
les hôpitaux. Soins que l’on prit des hôpitaux dans les
premiers tems de l’églife. VIII. 293. b. Vues générales fur
la maniéré de rendre ces établiflemens dignes de leur fin.
Il faut travailler à diminuer le nombre des pauvres. Diftinc-
tion à faire entr’eux. Les vrais pauvres doivent être dans
les hôpitaux le mieux qu’il eft poflible. O ù doivent être
établis les hôpitaux des pauvres fains & ceux des pauvres
malades. D e l’archite&ure des hôpitaux. Réfervoir général
des aumônes, d’où devroient parrir les diftributions particulières.
Ibid. 294. a. Etat exaCt qu’il faudroit publier des revenus
de tous les hôpitaux & de leurs dépenfes. Ouvrage à
confulter fur l’adminiftration des hôpitaux. Ibid. b. Viye{ aufii
H ôtel D ieu 6* C h a r it é .
Hôpital. Efpece d’hôpitaux chez les anciens ou l’on éle-
vo it des enfans. I. 270. a. Réflexions fur l’établiffement des
hôpitaux. V . xi;, b. Note. VIT. 73. b. To rt que 'Conftàntin
fit à l’état en élevant des hôpitaux où tout le monde fut
reçu. X. 331. b. Les hôpitaux établis pour remédier à la
mendicité produifent un effet contraire. XIII." 102. a. Du
gouvernement des hôpitaux. Commendataires a qui 1 on
avoit accordé les revenus des hôpitaux. III. 203". a. Reflexions
fur la maniéré dont les hôpitaux font gouvernés.
VII . 73. b. Des infirmiers qui fervent dans les hôpitaux.
V I I I . 707. a , b , 8cc. Mauvais traitement que reçoivent les
malades dans les hôpitaux du royaume. X. 332. a. Confeils
pouraméliorer ces établiflemens. Ibid. Moyen de purifier l’air
des hôpitaux. X V I . 767. b. 768. a. X V I I . 27. b. Différentes
efpeces d’hôpitaux : hôpitaux de S. JLazare fondés pour les
lépreux. V . 503. b. IX. 393. b. 940. a. Hôpitaux pour les
enfans trouvés. V . 633. a. Hôpital de l’hôtel-Dieu. VIII.
319. b. Hôpital de S. Jacques. 431. a. Hôpital à Londres
pour les incurables. 660. b. Fondations de quelques hôpitaux
à Londres. IX. 683. b.’ Hôpitaux de Paris , voyeç l’article
Pa r is , Hôpitaux dans’Conftàntinople. X V I . 738. a.
Hôpitaux pour les chiens, chez les mahométans. III. 331. a.
H ô p ita l , fièvre d’ , ( Médec. ) V I . 73 3. b.
Hôpital militaire. Officiers établis en France pour ces hôpitaux.
Hôpital ambulant. VIII. 294. b.
Hôpital d’armée ou hôpital militaire. L e bon ordre qui doit
régner dans ces hôpitaux, mérite une fi grande attention,
que c’eft delà que dépend la perte ou le falut d’une bonne
partie des foldats. Suppl. III. 447- b. Nouveau plan d’admi-
niftration propofé pour ces hôpitaux , & le foin des malades
qui y font traités. Ibid. 448. a, b. Fondions des employés
au fervicc defdits hôpitaux. Ibid. 449. a. D e l’emplacement des
hôpitaux. D es fournitures. Ibid. 430.^. Chauffage. D e la quantité
& efpeces des alimens. Evacuation defdits hôpitaux. Ibid.
431 .a . D es billets d’entrée & de fortie. Ibid. b. Façôn de fixer
le prix des journées des hôpitaux des quartiers d’hiver. Ibid.
43a. «.Avantages qui réfulteroient de l’exécution de ce plan.
Hôpitaux des troupes allemandes. Ibid. b.
Hôpital ambulant. Nouveau plan propofé pour l’adminiftra-
«tion de ces hôpitaux. Suppl. III. 45 2. b.
Hô p ita l , ( Marine) vaiffeau deftiné pour mettre les malades.
Difpofitions de l’ordonnançe de la marine relatives à ces
'.hôpitaux. VIII. 294. b.
H O R
HÔPITAL, ( Guillaume-François-Antoîné', marquis de t ) fon
mémoire furies forces centràles. II. 822.a , b. Son ouvragé
fur les ferions coniques , III. 878. a , b. fur lé calcul difté-
ren tiel, IV ; 985. b. fui- la méthode de conftruire les lieux
géométriques. IX. 499v<*.
H O P L IT E , ( Lithol .) efpece de pierre ainfi défignée par les
anciens naturaliftes. V I I I . 294. b. v‘ ' ••
Ho p l it e s , ( Hiß. anc. ) ceux qui dans les combats facrés
couroient armés. Racines du mot. Tableau de Parrhafius qui
repréfentoit deux hoplites. V II I. 293. a.
H O P L ITO D R OM E S , (H iß .anc. ) athlètes qui couroient
armés dans les jeux olympiques. Defcription de la ftatue d’un
hoplitodromes. Diverfes obfervations fur cette forte d’athletes.
VIII. 293.«.
HOPPER , (Joachim) jurifconfulte. X V . 246. a.
H O Q U E T . ( Médec. ) Defcription des mouvemens qui
ont lieu dans cette affeCUon convulfive. Des caufes du hoquet.
VIII. 293.«. C e t effort peut être fymptômatique ou critique.
Obfervations qui montrent que c’eft le diaphragme qui
eft principalement mis en jeu dans cette léfion de fondions.
Pourquoi les enfans l’éprouvent fréquemment. Remedes qui
conviennent en ce cas. Ouvrages à confulter fur les caufes
de cet accident. Ibid. b. Efpece de hoquets les plus funeftes.
Des différentes maniérés de traiter l e ‘hoquet félon les eau*
- fes dont il dépend. Ibid. 296. a.
Hoquet. Grande vertu de l’éther vitriolique contre les hoquets
violens. V I. 33. a. Ligature employée avec fuccès contre
le hoquet. XVII . 200. a , b.
H O RA CE. ( TIifi. rom. ) Combat des Horaces & des Cu-
riaces. Suppl. III. 434.«.
Horace. Celui des trois Horaces qui tua fa foeur : expiation
de fon meurtre. V I . 303- a. Sa condamnation a paffer fous 1®
joug. VII I. 888. b.
Horace, poëte latin. Son portrait : éloge de fes ouvrages.
XV II . 38. a , b. Maifon de campagne qu’il avoit fu r ie mont
Lucrétile. IX. 714. a. Ce lle qu’il avoit à Tibur. X V I . 3 17.
b. Sa maifon de campagne appellée Uftica. X V I I . 324. « ,
b. Charge de greffier qu’il exerçoit. X IV . 813. a , b. Maniéré
libre dont il paffoit fa journée. XV II . 236. a. Plats de
fon fouper. IX. 173. b. Comment il détourna Augufte du
deffein de relever l’ancienne Troie. V I I I . 334. b. Lettre de
recommandation qu’il écrivit à Tibere en faveur de Septi-
mius. IX. 413. b. Defcription qu’il fait du pays de Tarente,
X V . 908. a. Obfervations fur ce poëte & fur fes odes.
XI. 346. b. 347. «. XU. 846. « , b. Sur l’ode 3 du livre
premier, XIII. 439. b. Suppl. IV . 90. b. fur l’ode cinquième
du même liv re , Suppl. IV . 98. a , b. fur l’ode onzième du
même livre , Ibid. a. fur l’ode dixième du livre fécond, Ibid.
fur quelques odes du livre troifieme, fur la i rc Suppl. IV .
89. a , b. fur la 3e , la 4e & la 3e. Suppl. IV . 90. a , b.
Autres obfervations fur la 4e du même livre. 96. a , b.
TraduCtion de l’ode 4 du 4e livre. Suppl. IV . 92. a. Q u e lques
unes des odes d’Horace ne fauroient être chantées.
Suppl. III. 820. b. A r t avec lequel ce poëte a fçu tranf-
former en ode une penfée , une image , un fentiment,
Suppl. IV . 98. a , b. Sur fon art poétique. XII. 847. b.
Livre d’Horace appellé des épodes. V . 823. b. Obfervations
fur fes fatyres. X IV . 701 . a. 702. b. 703. a. Suppl. IV . 744.
a. Pourquoi il les appelloit du nom de difeours : différence
entre la poèfie de les odes & celle de fes fatyres. IV .
1034. a. Remarques fur fon poème féculaire. XII. 837. a.
X IV . 881. b. Urbanité répandue dans fes ouvrages. XVII..
488. a , b. Parallele d’Horace & de Boileau. Suppl. 1. 417. b.
HORAIRE. ( Aflron. ) Mouvement horaire diurne de la
terre : grandeur de l’arc décrit par ce mouvement. Cercles
horaires aftronomiques. Cercles horaires babyloni.
ques & italiques. Lignes horaires en gnomonique. V I I I .
296. b. . . .
Horaire. Cercles horaires. Angle horaire. Mouvement
horaire. Parallaxe horaire ou d’afeenfion droite. Suppl. I1L
434. b.
Horaire, angle. Suppl. II. 83 2. b.
H O R A T IA , loi. IX . 66a. b. XII. 73 3. a.
H O R A T IU S CO C L È S , (H iß. rom. ) de la même famille
que les vainqueurs des Curiaces. Origine de fon furnom de
Coclés. Son intrépidité fignalée dans la guerre contre Porfennau
Suppl. III. 434- . I , 8 , . , r* t,
H O R D A , nom donné à quelques rois de Danemardç.
Suppl. II. 218. «.2x9. b.
HO RD E. ( Géogr. ) Paffage d’Horace fur les hordes des
anciens Scythes. Etymologie du mot horde. Defcription
d’une horde & de la maniéré dont elle campe. V lIL
^Horde. C h e f de hordes chez les Tartares monguls. X V .
832. b.
HO RD ICALE S ou Hordicidies, ( Antiq. rom. ) tète qu on
' célébroit à Rome en l’honneur de la terre. Sacrifices qu op
pratiquoit. Origine de çette fête. Etymologie du mot. VII I.
297. «.
HOREB,
■ h h i
H O R H O R
HOREB. ( Géogr. ) Pourquoi l’écriture confond fouvent
Horeb & Sinàï. Monaftere au pied de l’Horcb. VII I. 297. a.
Voye? Sin a ï .
H O R ISO N , ( Aflron. & Géogr. ) origine de ce mot. Ho-
rifon rationnel. Horifon vifuel. Celui-.ci fe divife en oriental
& en occidental. L ’horifon oriental & l’occidental changent
félon la diftance de l’aftre au zénith. V I I I . 297. b.
Horifon en terme de géographie. Pourquoi on l’appelle
horifon fenftble. L’horifon rationnel 8c l’horifon fenfible fe
confondent par rapport aux étoiles. VIII. 297. b. Mais par
rapport aux planètes plus proches de la te r r e , il faut les
diltinguer. Horifon phyfique. M oyen de déterminer jufqu’où
la vue d’un homme peut s’étendre, en ftippofant la terre
fans inégalités. Ibid. 298. a. Voyeç Niveau.
Horifon y ce cercle appellé finitcur. V I . 818. b. Horifon
rationnel. XIII. 827. b. Horifon apparent ou fenfible. I. .344.
a. Différentes étendues de l’honfon fenfible félon l’élévade
l’oeil au-deffus de la terre. Abaiffement de l’horifon
fenfible. I. 7. b. Points de l’horifon ou du compas. XII.
872. a. Pourquoi les aftres paroiffent plus foiblement quand
ils font près de l’horifon. IV , 1032. b. Pourquoi le foleil &
la lune paroiffent plus grands vers l’h.orifon que lorfqu’Hs
font plus élevés. IV . 1032. b. X V II . 341. b. ■ 366. b. 368.
b. T able qui indique l’étendue de l’horifon terreftre pour différentes
hauteurs de l’oeil. Suppl. IV . 884. b.
HO R ISON TA L . ( Aflron. ) Cadran horifontal. Ligne ho-
rifontale en perfpe&ive. Plan horifontal. Plan horifontal en per-
fpe&ive. VII I. 298. a.
Horifontaux, points. XII. 872. b.
H O R L O G E , (.Art médian. ) définition. VIII. 298. b.
HORLOGE à eau ou clepfydre. ( Littérat. ) Deux horloges à
eau , l’ancienne & la nouvelle inventée par Ctèfibius.
Ufage que les anciens faifoient de la première. Proverbes
auxquels cet ufage avoit donné lieu. Fontaine qui fe trou-
v o it dans le barreau d’Athenes, pour mefurer le tems deftiné
aux procès. Parole de Platon fur cet ufage. Il paffa du barreau
d’Athenes à celui de Rojne fans altération. Expreflions
figurées en latin , dérivées de cette coutume. VIII. 298. b.
Sens de cette parole de Quintiüen, in aElione aqua déficit.
C e qu’on entendoit par clepfydras clepfydris addere, & par
dquam fufiinere. Vénalité de ceux qui mettoient l’eau dans
i’horloge. Injuftices fur la meftire du tems dans les procès.
Rufes inventées pour accélérer ou retarder l’écoulement
de l’eau. Autres ufages que les anciens faifoient des horloges
. à eau. Ibid. 299. a.
HORLOGE à rouages , à refforts , à contrepoids, à fonne-
r ie, (Hifi. de l ’horlog.) ce que dit M. l’abbé Sallier fur l’invention
de ces machinés. Sur les • horloges à fable, voyc^
Sable. VII I. 299. a. Premières horloges à rouages chez les
Romains. Horloges de' Caffiodôre. H orloge envoyée-à Pépiri-
le -B ref par le pape Paul I. Préfent que le calife A aron Raf-
chüdfit d’une horloge a Charlemagne. Origine d e là coutume
qui fe pratique en divers endroits d’avertir de l’heure pendant
la nuit. Imitation des p-emières horloges en Italie par
Pacificus, archidiacre de V é ro n e , dans le. neuvième fiecle.
Horloge de Walingford qui parut à Londres dans le quatorzième
fiecle. Celle de Jacques de Dondis qu’on vit à
Padoue peu de, tems après. Tranfcription d’un paffage du
fieur de Mezieres, dans fon fonge du vieux pèlerin , où fe
trouve Ja defcription de cette machine. Ibid.- b. Surnom donné
à l’auteur de cette horloge. Etat aéluel des defeendans de
ce méchanicien. Emulation excitée dans toute l’Europe à l’oc-
cafion de l’horloge de Dondis. Horloge de C ou rtray, l’une
des plus eftimées de ce tems-là. Horloge du palais à Paris.
La v ille de Merejnberg fe diftingua- par la variété de mé-
chanique qu’elle mit dans fes horloges. Horloge de M. Far-
doit. Ibid. 300.' a. Emulation foutenue en Italie pour les
ouvrages de ce genre. Horloges remarquables en France fur
la fin du quinzième fiecle 8c dans le feizieme. Celle de la
cathédrale de Lunden en Suede. Des horloges en petit exécutées
fur la fin du quinzième fiecle. Ibid. b.
Horloge , (Machine) il s’agit ici de celles qu’on place
dans les clochers, dans l'es falles & fur les efcaliers. Nom
qu’on leur donnoit au commencement. Epoque depuis laquelle
ces machines ont acquis un grand degré de jufteffe.
VII I. 300. b. Conditions eflentielles à toute horloge. D e fcription
des groffes horloges , ou horloges" de clochers.
M. Leroy pere , ayant inventé les horloges horifontales,
qui font inconteflablement préférables aux autres, on en
donne jc i la conftruélion. Ibid. 301. a. Différences entre
cette forte d’horloges & les anciennes. Ibid. b.
Horloge. Première application du pendule aux horloges
par Galilée. Suppl. III. 172. b. Roues dont lès horloges
font compofées. X IV . 390. a , b. Conduite dans les groffes
horloges. III. 844. a , b. Volans d’horloges. XV II . 442. b.
Décoration extérieure d’une horloge. II. 323. b. Horloge .à
carillon. 683. a , b. Voyc{ l’article Horlogerie & les
planches de cet art , vol. IV des planches. Clepfydre ,
efpece d’horloge. III. 522. b. Bougies d’A lfre d , qui lui te-
Tome I,
noient lieu d’horloge. X V II . 388. b. — Equation de l’horloge.
V . 833. «. 836. «. 868. b. NouveÜes horloges pouf
les longitudes. Suppl. III. 772. b. Pendule.
HORLOGES marines ou montres marines, ( Aflron.) extrême
précifion de celles que MM. Harriffon en Angleterre , Ber-
thoud & Leroy en France , ont confiâmes. Leur defcription
& les procès-verbaux d’expériences de ces montres font
prêts à paroitre. V oyages dans lefquels on a fait ufage des montres
françoifes. Suppl. III. 434. b.
HORLOGE, poudrier , ampoulette , fable. ( Marine ) D e fcription
de cette machine de Verre qui fert à mefuref
l’efpace d’une demi-heure par l’écoulemênt du fable qu’elle
contient. C ’eft de-là que les matelots appellent une demi-
heure une horloge, &c.Horloges d’une demi-minute, 6*c. V III,
'302. al
HO R LO G ER . (A r ts ) Obfervations fur »le corps 8c la
communauté des horlogers de Paris. VIII. 302. a. Précis des
ftatuts ou, loixde certé comihunauté. Sur les maîtres , droits
de maîtrife , apprentiffages -, droits des veuves de maîtres ,
&c. Ele&ion des gardes-vifiteurs * ftatuts de 1344. Ibid.-b.
Convocation d’affemblées & reddition de comptes. Vifites des
gardes-vifiteurs chez les maîtres. Ibid. 303. a.
Horloger. Réflexions fur cette claffe d’artiftes horlogers,
qui nés avec des difpofitions particulières , s’appliquent à
découvrir de nouveaux principes , ou à approfondir ceux
qui ont été déjà trouvés : riioyen d’exciter leur émulation. V .
838. b. Horloger finiflëur. V I . 818. a. Voye? l’article HORLOGERIE.
HO RLO GERIE . Il ne paroît pas que les anciens aient
eu aucune connoiffance de cet art. Premiers moyens qu’on
a mis en ufage pour mefurer le tems. VII I. 303. a. Epoque
de l’invèntion des horloges à roues & à contrepoids.
Invention de la fonnerie. Progrès de l’art jufqu’au tems
où l’on conftruifit de petites horloges portatives. Nouvelle
perfeâion que l’horlogërie acquit par les découvertes de
Huyghens en 1647. fb:d. b. Application qu’il fit de la Cy-
cloïde au pendule. Quoique le fuccès n’ait pas répondu à
la théorie , c’eft à elle que nous devons la perfeélion de nos
horloges. Pendule circulaire appellé pirouette , auffi inventé
par M. Huyghens. Ces inventions çonteftées à leur auteur.
Comment il répondit à ceux qui lui en difputoient là gloire.
Ibid. 304. a. Inconvéniens attachés à l’ufage de la cycloïde.
Avantage qu’on en a retiré : elle nous a .appris à n’employer
que de petits arcs dans le mouvement du pendule.
Premières pendules faites à Londres , à petits arcs 8c lentilles
pefantes. Ibid. b. Comparaifon des pendules imaginées
par Huyghens à celles qui fe font aujourd’hui. Cette perfection
.que l’horlogerie a acquife n’a rien changé au principe.
L’art de l’horlogerie eft devenu aujourd’hui une
fcience où la main-d’oeuvre n’eft plus que l’acceffoire. Nouvelles
divifions du tems appliquées aux pendules. Différens
méchanifmes inventés par les artiftes, dans la Vue de multiplier
les ufages des pendules. Ufage des pendules à équation.
Ibid. 303. a. Les plus belles machines que l’horlogerie ait
produites, font les fpheres mouvantes & les planilpheres.
Defcription de la fphere mouvante. Archimede en avoit
compofé une. Quelle eft la plus parfaite dont on ait con-
noiflance. C e qu’on entend par planifphere. Ouvrages à
'confulter, pour s’inftruire des diverfes inventions faites en
horlogerie. Connoiffànces qu’il faut réunir pour pofleder
cette fcience. Ibid. b. Directions fur la maniéré de former
un artifte horloger , qui entende les principes de fon a r t ,
& qni puifle y acquérir quelque célébrité. Ibid. 306. a , b.
Deux fortes d’horlogers, favoir l’horloger fimplement ouvrier
, & l’horloger artifte. Comme chaque partie des montres
8c des pendules eft exécutée'par des ouvriers différens,
qui font toute leur vie la môme ch o fe , l’auteur entre dans
le détail de ces différentes fortes d’ouvriers. To ute l’horlogerie
divifée en trois branches, favoir celle des ouvriers
qui font les groffes horloges, celle des ouvriers qui font les
pendules, celle des ouvriers qui font les montres. Détails
fur les uns 8c les autres. Ibid. b. Fondions de l’horloger
artifte. L’horlogerie n’a point encore acquis toute la perfection
dont elle eft fufceptible. Ce t art étant la fcience
du mouvement, tout ce qui concerné une machine quelconq
u e, peut être de fon reffort. Ibid. 308. b. Trois fortes d©
perfonnes qui travaillent , ou fe mêlent de travailler à
l’horlogerie. T alent naturel que doit pofféder l’artifte. Moyens
d’exciter l’émulation des artiftes 8c d’avancer les progrès
de l’art. S’il eft néceffaire de partir d’après des principes
de méchanique pour compofer des pièces d’horlogerie , il
eft à propos d e 'les vérifier par des expériences. Obferva-
tiôns lur les maniérés dont fe font ces expériences. Ibid. 309.
a. Divers artiftes qui fe font diftingués en Frànce. Eloge
du mémoire de M. Rivaz. La perfeClion de l’art à laquelle
l’arcifte fe d é vou e , exige fouvent le facrifice de fa fortune.
Réflexions fur la fociété des arts,. formée fous la proteCUon
de M. le comte de Clermont, & fur l’utilité que le public
a retirée de cet établiffement. Ibid. b. Obfervations fur les.
C C C C C c c c c c c •