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G ERONTHRÉE S. ( Myth.) O bservations fur cet article
de rEncyclopétlie. Ifle Gerontia. Autre lieu appellé Geron-
thre. Suppl. III. 222. b.
G E R T R U ID EN B E R G , ( Géogr. ) ancienne & forte ville
■ des Pays-Bas. Différais maîtres qu’elle a eus depuis le quinzième
fiecle. Signification de fon nom. Pêche qu’on fait aux
environs de la côte. V I I . 65,0. a.
G ER YO N . ( Mythol. ) Defcription de cet homme mon-
flreux : lieu où il faifoir fa demeure. Ibid. 650. a. Ses troupeaux.
Sa défaite par Hercule. Explication de la fable de
Géryon. Détails dans lefquels Héfiode eft entré fur fa généalogie.
Oracle de G éryon prés de Padoue. Ibid. b.
Geryon. ( Myth. ) Obfervations fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. III. 222. b.
Gcrion , le chien de ce géant , tué par Hercule. XI.
■ 671. b.
G E S A L IC , roi des Vifigoths, (Hijl. d’Efpagn. ) fils natur
e l & fucceffeur d’Alaric. Evénemens de fon régné. Suppl.
III. 222. />.
G E S A T E S , peuples du Languedoc. X V . 121. b.
GESIER. Des oijèaux.XI. 437. a. 440. a.
G E SN ER , ( Conrad) furnonnné le Pline de l’Allemagne.
X V I I . 746. b. Colleélion qu’il a faite de divers traités de
chirurgie. III. 332. b. Ses travaux dans l’ornithologie. Suppl.
IV. 187, o.
G E SN ER , ( Salomon ) poète ; éloge de fon poème de la
mort. d’Abel : beau morceau de ce poème. X IV . 479. a , b.
&c. Obfervations fur le même ouvrage. Suppl. II. 708. a.
■ Suppl. IV . 437. a.
GESSE, (Bot.) caraéleres de ce genre de plante.VII. 650. b.
Defcription de la geffe commune, lathyrus Jatyvus. On cultiv
e dans les jardins des curieux, diverfes efpeces de geffe. Maniérés
de les multiplier. Ornement auquel elles fervent. Elles
viennent dans toutes forte? de terreins. Ornement que donne
dans un jardin la petite geffe à grande fleur. Celle que les An-
glois nommentr/ir fweetjcenter peas }mènte le plus d’être cultivée.
Vraie méthode pour bonifier toutes les variétés de geffe.Ibid. b.
Gesse , ( Dicte ) ufage alimentaire de la femence de cette
plante. VII. 631. a.
G ESSOR IACUM . ( Géogr. anc. ) port des Romains d’où
l’on paffoit des Gaules dans la Grande Bretagne. Où étoit ce
port. VII. 631 . a.
G E S T A T IO N , (Gymnaf. mêdic. ) exercice d’ufage chez
les Romains pour le rétabliffement de la fanté. En quoi il
confiftoit. C e t exercice vanté par les anciens médecins. V II .
<631. <z. Comment nous devons le pratiquer. Ibid. b.
Gestation , ( Hijl. nat. ) les femelles qui ne produifent
qu'un petit nombre de foetus, portent le plus iong-tems.
VIT. 96o. a.
G E S T E , une des premières expreflions du fentiment données
à l’homme par la nature. Les geffe s ont été la fource
primitive de la danfe. Ibid. b.
Geste , { danfe. ) L a danfe eff l’art des geftes. Voye[ Danfe.
I l eff certain que les mouvemens extérieurs du v ifag e , font
les gefles les plus expreffifs de l’homme. Raifon pour laquelle
les Grecs & les Romains fe fervoient du mafque fur les
théâtres. Ibid. b. Dans la fituationoù nous nous trouvons, le
mafque nous nuit toujours, & n’eff utile prefque jamais.
Les danfeurs ont oppofé i° . que la danfe demande quelquefois
des efforts qui influent défagréablement fur le vifage
; 20. qu’ils n’ont point appris* d’enrance àajuffer les traits
de leur vifage avec les grâces qu’il faudroit avoir. Réponfe.
Les cara&eres qui exigent le mafque font en petit nombre.
L ’art des Laval oc des M a r c el, qui ont fenti, l’un & l’autre,
ce que la danfe devoir ê tr e , eff un aide fur pour la belle
nature ; le geffe qu’elle anime trouve dans leur pratique mille
moyens de s’embellir. Ibid. 632. a.
Geste, (Déclam.) L e geffe au théâtre doit toujours précéder
la parole. L’acteur qui ne fe fent point, & qui voit
des mouvemens dans les autres , croit les égaler par des
mouvemens de b ras, des marches en avant, des reculemens
en arriéré. Baron avoir le geffe du rôle qu’il jouoit. Nous
vo yon s des geftes qui nous entraînent, & que nous trouverions
défordonnés, fi nous avions le rems de réfléchir.. .
C ’eft le fublime de l’agitation de l’a â r ie e , qui fait paffer en
nous tous les fentimens que fon beau défordre nous peint.
V I I . 632. b.
Geste , diverfes obfervations fur cette partie de la déclamation.
IV . 684. a , b. Un aéteur qui a de l’intelligence &
du fentiment, aura difficilement le geffe faux. 686. a. Examen
de la queftion; fi parmi les anciens, l’afteur qui faifoit
le geffe étoit autre que celui qui récitoit. Ibid. b. Le geffe
confidérê comme partie effentielle de l’éloquence. V . 322. b.
Geftes expreffifs. Suppl. III. ?66. b. Q uel eff le plus fur
moyén de réufiir dans le geffe. Suppl. II. 922. a. Voyeç
Gesticuler.
Geste. ( Chant du théat. ) But de l’opéra françois. Si les
refforrs qu’il emploie pour féduire l’efprit font rudes, gauches
, greffiers , l’efprit ne peut être entraîné, la diftraétion
G I B
I fuCcede aux premiers mouvemens d’intérêt. Mauvais effet
des geftes à contre-fens. Les traits du vifage forment les
geftes les plus expreffifs. Mais l’art feul & fans la nature ne
peut rien fur- cette partie de la figure humaine. Merveil-,
leux effet du fentiment dans le geffe. VII. 632. b. Souvent le
talent eff égaré par l’efprit ; alors il fait toujours plus mal
pour vouloir mieux faire. Ibid. 6?3. a.
Geste. Du geffe ou de la danfe affociée au poème lyrique.
XII. 833. b\ &c. De l’art du geffe employé fur le
théâtre de l’opéra. Suppl. IV. 161. b. 162. a.
G E ST ICU LER , faire trop de geftes en parlant. Les fa-
ges, & fur-tout les héros , gefticulent peu en parlant, parce
qu’ils ont le talent de contenir la v iolence de leurs paffions.
Plus on gefticule, moins l’aélion eff noble. Les pédans &
les peres ignorans exercent beaucoup les enfans à gefticu-
le r , en déclamant le poèfie héroïque. Défauts à éviter dans
le geffe. Suppl. III. 223. a. Réglés que l’orateur doit obfer-
Ver. Ibid. b.
G E S T IO N , ( Jurifpr. ) adminiftration de quelque affaire.
La geftion que quelqu’un fait des affaires d'autrui fansfon ordre
forme un quafi contrat qui produit aétion direéle & contraire.
VII . 633.«.
G E SU LA , ( Géogr. ) province d’Afrique. Ses produélions.
Métier des habitans. Foire qui s’y tient tous les ans. V I I .633.^.
GESVRES , (d u cd e ) l'on talent pour les magnificences
thèatralés. V I. 382. b.
G E T A , Scptimius, (Hijloire des empereurs) fils de l’em-
pereur Sévere , &Trcre de Caracalla. Antipathie de ce dernier
pour fon frere. Il le fait maflacrer. Suppl. III. 223. b. Voye?
C aracalla.
Geta, origine de ce nom dans les comédies latines. V II . n s i G ET ES , le s, ( Géogr. anc. ) ancien peuple de Scythes.
Lieux qu’ils habitoient. Plaintes que fait Ovide de v iv re au
milieu d’eux. V I I . 633. a. Détails de Strabon fur ce peuple.
Origine des noms Gela & D avus, communs dans les comédies
latines. Différence entre les Gots & les Getes. Philo-
fophie des Getes. Ibid. b. Voyeç Scythes.
Getes, (H ijl.an c .) peuples qui defcendoient des Huns
appellés Yvechi. Hiftoire, moeurs , gouvernement & ufages
de ces peuples. Suppl. III. 224. a.
G E T T E N B E R G , ( glacier de ) dans le canton de Berne ,
vol. V I des planches. Régné minéral, glaciers, planche 3.
G E V A U D A N , pratique des anciens Gaulois auprès d’un
lac du Gevaudan. IX. 131. b. Suppl. II. 283. a .
G E U M y ( B o un. ) caraéleres de ce genre de plante. D e fcription
du geum ordinaire. Obfervations fur la culture de quelques
efpeces de geum. VII. 653. b.
G E V R E Y , (Géogr.) village du Dijonno is, entre Nuis &
Dijon. Vins exefellens de fon territoire. T rio let fur le climat de
Beze qui s’y trouve renfermé. Suppl. III. 224. b.
G E X , ( Géogr. ) v ille & pays de ce nom en Bourgogne.
Etendue du pays de Ge x. Ses anciens habitans. Ses p roductions.
Ses révolutions dans le dernier fiecle. Suppl. IIL
224. b.
G H
GHELEN ou Geslen , ( Sigifmond de ) littérateur. XIII.
262. b.
G H E T , ( Hijl. mod. ) aéle de divorce que les Juifs donnent
à leurs femmes quand ils les répudient ; ce qu’ils font
pour des caufes fouvent très-légeres. M oy en que les rabbins
on imaginé pour empêcher les fréquens divorcés. V I I . 634. a.
Termes dans lefquels le ghet e ff conçu. Defcription de toutes
les formalités du divorce. Ibid. b.
G H O L A IT E S , feéte mahométane. Suppl. I. 17. a y b.
G H IAO N S ou Ghiaaurs. Lifez Gkiaours. Obfervations fur
l’ufage de ce mot parmi les Perfans & les Mahométans. Suppl.
III. 224. b.
G H IL C U L , voye^ G ihul , & lifez Ghilcul. Faute à
corriger dans l’article Gigul. Suppl. III. 225. a.
G I
G IA G H ou Jehagh , ( Hijl. mod. ) cy cle de douze ans chez
les Catayens & les Turcs. Chaque année du giagh porte le nom
d’un animal. Divifion qu’ils font du jo\ir en giagh, S i en keh.
VH. 6 ï ?.«.
G IÀM -BO , (Botan. exot. ) deu#. efpeces de ce t arbre des'
Indes orientales. Leur defcription. Teins de la maturité de
leur fruit. VII . 63 3. a.
G IA R E N D E , gerende ou gorende, ( Hijl. nat. ) magnifique
ferpent. Defcription de trois efpeces connues fous ce nom.
Lieux où elles fe trouvent. Moeurs de ces animaux. Suppl. III.
. 22 3, a.
G IB , ( Zoolog. ) fes rapports a vec le condoma. Suppl. II.
538- b.
G IB A , ( Botan. ) efpece de plante. Suppl. I. 369. b.
G I L
G lB B IU S , montagne d’Italie : huile minérale qu'on retire
près de cette montagne. XII. 472. a.
G IB B O N , efpece de finge, vol. V I des planches. Reetle
animal, pl. 19.
G IB B O S IT É , ( Phyfiol. Médec. ) diverfes fortes de déjet-
temens de l’épinè,, qui produifent la boffe , l’enfoncement,
la tortuofité. La gibbofité eff de naiffance ou accidentelle.
La première eff incurable. Caufe d e là fécondé. L ’indication
du remede eff de tâcher d’affoiblir la puiffance courbante,
en augmentant la eompreffion fur la partie convexe de la
courbure , & en la diminuant fur la partie oppofée. Les caufes
de la courbure font externes ou internes. Lès enfans
font plus fujets à devenir bofïùs que les adultes. Quelles
’en font les caufes chez eux. Exemple cité par M . W in flow ,
qui montre que la tortuofité peut arriver à l’occafion de certaines
attitudes & habillemens négligés. V II . 63 3. b. D étail fur
les caufes internes de la gibbofité. Pour fe flatter de réufiir
dans la cure de cette difformité , on ne fauroit la commencer
trop tôt. Moyens de prévenir la gibbofité dans les enfans
qui en paroiflent menacés par quelque caufe externe.
G e qu on doit pratiquer lorfque l’épine du dos voûte en»
dedans. Ibid. 6? 6. a. Lorfque l’épine tend à la tortuofité.
Moyens à employer lorfque la gibbofité tire fon origine de
caufes internes. Defcription de deux fquelettes de b oflùs ,
qui fe trouvent dans le cabinet du roi. Obfervations faites
lur les fquelettes d’enfans tlont les vertébrés étoient cour- 1
bées pendant leur vie. Ibid. b. Autres obfervations fur les
fquelettes des boflùs. Ibid. 637. a. Voye^ Bosse.
G IB E C IE R E , ( A n . méchan. ) étymologie de ce mot. D iverfes
fortes de gibecières & leurs ufages. Gibegieres dont
on fe fert dans le Levant. Ufage de ces gibecières lorfqu’on
veut charger un fufil. Tours de gibeciere. V II . 637. a. Foyer
1 ours 6* Gobelets.
G IB E L , le, (Géogr. ) autrefois le mont Etna. V i l . 637. a.
C e que les poètes ont dit de cette montagne. Signification du
mot gibel. Sa fituation, fon étendue. Son pied eff très-cultivé.
Defcription de fon volcan. Ravages qu’il a caufés. Auteur à
confulter. Ibid. b. Voyeç Etna.
Gibel, éruption de ce volcan en 1669. IX. 31 1. a.
G IB E L IN , ( Hijl. mod. ) faétion oppofée à celle des Guel-
phes. Teins auquel ces faisions commencèrent : quel en
«toit le fujet. Ravages qu’elles cauferent pendant les douze ,
treize & quatorzième fiecles. VII. 637» b. Obfervations fur
Boniface VII I. Hiftoriens qui font entrés dans le détail' des horreurs
de ces deux faélions. Lifez fur ce fujet le Dante. Ibid.
658.
. Gibelin. Obfervations fur lebanniflement auquel le papeBo-
niface V I I I condamna le D an te , qui étoit attaché au parti des
Gibelins. Suppl. III. 223.b.
Gibelins, l’inquifition employée contr’eux par les papes.
V I I I . 774. a. L ’ufage des lettres de change établi paf eux à
Amfterdam. IX. 418. b.
' G IB E RN E , ( Art milit. ) defc ription de cette partie de !
l’équipement du grenadier. En quoi la giberne différé de la
demi-giberne. V II . 63 8. a.
G IB E R T , ( Jean-Pierre ) comment il a concilié les différentes
chronologies de quelques peuples de l’antiquité. III.
393-** >*•
G IB E R T I , (Jean-Matthieu) évêque de Véronne. XI.
G IBIER, ( Chaffe) tout ce qui eff la proie du chafleur.
Cependant ce nom eff plus particuliérement affeétè aux animaux
fauvages qui fervent a la nourriture de l’homme. VII.
638. a. Par rapport à la propriété du gibier , le droit naturel
a depuis long-tems cédé à la force j il eff d’ufage prefque partout
que les leigneurs feuls aient le droit de giboyer. Opprefi
fion du p ayfan, pour la confervation du gibier. La réferve
de la chafle à la clafle des nobles a été une fuite du gouvernement
militaire. Réflexion fur la confervation de cette
exceffive quantité de gibier qui détruit les récoltes. Cependant
certaines efpeces peuvent être confervées avec utilité
6c fans beaucoup d’inconvéniens. On a fait un art de cette
confervation qui a des réglés & qui demande quelques con-
noiflànces : détails fur ce fujet. La deftruélion des animaux
carnaffiers eff le point le plus eflentiel pour la confervation
du gibier. Soins qu’on doit prendre pour la confervation des
perdrix grifes, Ibid. b. des perdrix rouges , Ibid. 639. a. &
des faifans. Ibid. b. Antres détails fur les perdrix grifes St fur les
faifans. Ibid. 66o. a.
Gibier, préjudice qu’il caufeaux forêts. V II . 131 ,b.
G IB R À L T A R , (Géogr.) détails fur lp détroit & fur la
ville. Etymologie du mot. VIT. 660. a.
Gibraltar, (détroit d e ) çourans qu’on y remarque. IV .
î 7 \ -b .y j6 .a.
G lED D E , ( Ove ) amiral & fénateur danois. VIII.
663. b.
GIESSEN , (Géogr.) v ille d’Allemagne dans la Hefle.
Elle eff la patrie de Hertius jurifconfulte : fes ouvrages. VII.
660. b.
G I N 835
. G IF T .M EH L , ( Métal/. ) farine empoifoHnét i poudre d’af-
fèrtic qui s e ff diffipé enfumée ; ufage auquel on l’emploie. V IL
660. b.
G IG A N T E SQ U E ; afin qu’on préfente beaucoup de Vian»
des aux pagodes, les brames les font d’une figure giganrefque
& leur donnent un gros ventre. V II . 66b. b.
GIGUE. (Mufique) La gigue n’eft proprement qu’urtô
efpece de loure dont le inoüvement eff accéléré. Elle eff
tres-commune dans nos opéra. Mefure de la gigue chez les
Italiens. Notre maniéré de la noter & de la jouer. Elle eff quel*
quefois fufceptible de paroles gaies & d’une expreffion très-
heureufe ; exemple. Ufage qu’en font les Italiens. Une erreur
oes François eff de croffe qu’un mouvement v i f ne peut expri*
mer que la jo ie , comme fi la douleur furieufe s’exprimoit lentement.
V II . 6 6 1. a.
G i HUN , ( Géogr. ) addition à cet article de l’Encyclopé*
die. Suppl. III. 223..A. •
G IT A N , pays d’Afie ; anciens peuples de ce pays. X V .
G IL B E R T IN S , (H ijl. cccl. ) ordre religieux ; leur fondateur
; leur regie ; deux monafteres que bâtit le fondateur, l’un
pour les h ommes, l’autre pour les femmes. Comment cet or*
dre fut peuplé. Son abolition. VII. 661. b.
G IL E A D , baume de. II. 163, b. XI. 3 1 1. b.
G IL G U L , ( Théolog. ) mot qui fe trouve fouverit dans les
livres des juifs modernes: i\ lignifie roulement. C e que les rab-
bins entendent par ce roulement : deux fentimens fur ce fujet*
V II . 661. b.
G IL L E S , f i i t i t , de la N e u v ille , ( Géogr. ) village du pays
de Caux. Aéles de générofité du curé de ce lieu. Suppl. IIL
w m a ■ .
G IL L E T , code-. III* 273. a , b.
G ILO LO , ( Géogr. ) Foye^ XOLO*
GILLE. Pêche a v eclag ille: vol. V I I I des planches j pêche ,
planche 31.
G 1M N IS T A N , contrée d'Arabie habitée par les fées. VI*
464. a.
G IN AN I , (M . le comte ) de Ravenne* Suppl. IV*
M - .
G IN D I ou D gindi, (H ijl. mod.) efpece de cavaliers
turcs 'extrêinement adroits* Tours de force & de fouplefle
qu’on leur attribue. Ces tours imités par un Italien en i?8ç»
V IL 662. a. .......... ' '
GIN GEMBRE , ( Botan. exot. ) caraéleres de cette plante*
Divers noms que lui donnent les botaniftes. Defcription de
toutes les parties du gingembre femelle. V I I . 662. a. Il ne pa*
roît pas qu’elle foit originaire d’Amérique. Autre efpece de
gingembre appellée gingembre mâle* Troifieme efpece nom*
mée gingembre fauvage à larges feuilles. VII. 662. b.
Gingembre, efpece de ce g en re, nommée bangle. SuppL L
Gingembre, (A g r ie .) il fe cultive dans les deux Indes
8c même en Europe. Defcription de la maniéré dont les
habitans de Malabar le cultivent. Soins qu’ils prennent des
racines. Méthodé de culture qu’on fuit dans les ifles Antilles*
V II . 662. é. Soins qu’on y prend des racines. Maniéré dont 011
cultive le gingembre en Europe. Ibid. 663. ai
Gingembre, racine de , (Cornm.) abondance de cet objet
de commerce. V i l . 663* a. Qualité du gingembre que l’on
confit dans les colonies pour le débit ordinaire. On fait dans
les ifles une Excellente confiture de gingembre pour les
gens aifés & les officiers de marine. Méthode qu’on fuit
pour cela- C ette méthode eff très-bonne pour ôter l’âcreré
mordicante de toute forte de racine. Qualité & caraélere dii
gingembre confit de cette maniéré. Prix du gingembre en
nature & confit. Epice blanche faite avec cette racine. Son
mélange avec le poivre. Ibid. b.
Gingembre, (Mat. midic.) defcription de cette racine’
qui fe trouve dans les boutiques. O n nous l’apporte ou fé-
chée , ou confite avec le fucre. Ufages & propriétés de la
racine féchée. V II . 663. b. Ufages & propriétés du gingembre
confit. Ibid. 664. a.
Gingembre , ufage qu’èri- font les Malays. Suppl. I,
79î ; £ _ .
G IN G I , correéfions à faire à cet article de l’Encyélopédie*
Suppl. III. 223. b.
G lN G L IM E , (Anatoni.) efpece de diarlhrofe ou d’artiett*
lation des os : voyc^ ces deux mots. Trois fortes de ginglimes*
VII . 662. a.
Ginglirne, v o y e z fur cette efpece d’articulation. IV» 930,
b. V . 603. a. V I . 8 73. a*
IN G R AS , Gingros OU Girtgrid , ( Mufiq. injlr. 6* danfe des
anciens ) efpece de flûte des Cariens & des Phénicien*.
Ufage qu’ils en faifoient. .Danfe de même nom. Suppl. III.
223. b.
GIN S-ENG , (Botan.exot.) la plus célébré racine médicinale
de toute l’Afie : cas infini qu’en font les Afiatiques»
Defcription de cette racine , & de toute la plante. V II . 664.
a. Lieux de fa naiffance. Appareil avec lequel on recueille,