
86 A P P
Apôtres. D e l’évangile des doute apôtres. V I. 114. 'L
3 15 . a. Hiftoire du combat des apôtres. Suppl. I . 20. b.
Apôtre, ce nom défignoit encore des miniftres -ordinaires
de l’é g lifc , qui voyageoient pour fes intérêts, ou ceux qxu
étoient envoyés par quelques églifespour porter des aumor.es
à d’autres. I. 540. b. Officiers appelles du nom d apôtres chez
les anciens Juifs. Quelques auteurs croient que S. Paul avoit
exercé cet emploi, fe fondant fur les premières paroles de
l ’épître aux Galates. I. 541. a.
Apôtre, livre de la liturgie grecque qui contient les épîtres
des apôtres que les Grecs Tifent pendant Ie^cours de 1 Æn e.
L e nom d'Apofiolus a été en ufage dans l’éghfe latine dans
le même fens. I. 5 4 1 • a- „ _
Apôtres, terme de droit. Lettres dimiffoires ainü nommées.
A pôtres , ( Jurifpr. ) ou libelles appellatoires. IV . 881. b.
A pôtres , ( Onguent des ) autrement unguentum veneris.
Ses qualités. I. 541. a.
A P O Y O M A T L I , (Bot. ) herbe de la Floride. Ufage qu en
font les Efpagnols contre la gravelle. I. 541. b.
A PO Z EM E , ( Phartn. ) différence entre la décoétion &
l ’apozeme. O n le diftingue en altérant & en purgatif. Comment
il fe compofe. Dole félon laquelle on l’ordonne. Ufage
des apozemes. Apozeme tempérant. Apozeme délayant tic
hume&ant. I. 541. b. Apozeme atténuant & déterfif. Apéritif,
hépatique & emmenagogne. Apozeme contre la pleuréfie, la
péripneumonie & la toux. Apozeme antifcorbutique. Apozeme
peéloral & adouciffant. Apozeme laxatif. I. 542. a. Apéritif
6c purgatif contre l’hydropilie. Fébrifuge & laxatif. Obfer-
vations générales fur les apozemes. Ibid. b.
A P P A R A T , (Littéral.) apparat fur C icé ron, apparat facré
de P offevin, apparat poétique du P. Vaniere. I. 542. b.
A pparat , ( Litt. ) apparat facré de Poffevin. Apparat du
P. Vaniere. Suppl. L 490. a.
APPAREIL , ( Chirurg. ) il faut avoir préparé l’appareil
avant de commencer l’opération. Exception à cette réglé.
I. 543. a.
Appareil. D e l’application des défenfifs dans le premier
appareil des grandes opérations. IV . 741 . b. Intervalle entre
l’opération & la levée du- premier appareil. XI. 824. b. D e'
l’application 8c le vé e de l’appareil après l’amputation. 1.382. a.
Appareils pour les fraélures. V II . 267. b. — D e la taille au
haut appareil. V I I I . 68.a , b. A u petit appareil.XV. 847. a , b.
A ppareil , ( Archit. ) bâtiment d’un bel appareil. Pierre
ou affife de bas appareil. I. 343. a.
A P PA R E IL LER , ( Marine ) ce v erbe exprime la réunion
■ de plufieurs manoeuvres d’un vaiffeau, dont le but eft de
quitter l’endroit où i l étoit mouillé, & de mettre à la voile.
Defcription de ces manoeuvres. Suppl. I. 490. a.
A PPA REIL LEU R, ( Archit. ) ouvrier chargé de l’appareil
des pierres. Connoiffances que ces ouvriers doivent poffé-
der. I. 343. b.
Appareilleur, compas d’appareilleur. III. 738. a.
A P P A R E N C E , extérieur, dehors, (Synonymes) différence
entre ces mots. I. 343. b.
Apparence ., divers fens de ce mo t, en philofophie , en
perfpeétive, en optique, en aftronomie, en terme de manege.
1. 343. o.
Apparence, caufes qui changent à nos y eu x les apparences
des chofes. V . 83r. b. 832. a , b.
A P P A R E N T , ( Aftronomie) conjonction apparente. Horizon
apparent ou lenfible. Grandeur apparente. La grandeur
apparente d’un objet ne dépend pas feulement de l’angle fous
lequel il eft v u , mais encore de fa diftance apparente. Les
grandeurs apparentes des objets éloignés font réciproquement
comme les diftances. Obfervation qui reftreint l’univerfalité
de cette propofition. I. 344. a. Diamètres apparens du foleil
& de la lune ; de l’anneau de faturne. Regie pour juger des
diamètres réels par les diamètres apparens 8c par les diftances.
Quand les objets font fort éloignés de l’oe i l , leurs grandeurs
apparentes font proportionnelles aux angles fous lefquels ils
-font vus. Diftance apparente ; elle eft fou vent fort différente
de la diftance réelle. Et lorfque l’objet eft fort éloigné, elle
eft prefque toujours plus petite. Ibid. b. Raifon de cette apparence.
Ibid. 343. a.
Apparent , lieu, ( Optique ) comment le lieu apparent eft
différent du lieu vrai. Les opticiens font fort partagés fur le
lieu apparent d’un objet vu par un miroir ou par un verre. Ibid.
343. a. Principes fur lefquels tous les opticiens s’accordent à
cet égard. Ibid. b. Différence entre le lieu apparent & le lieu
v ra i d’un aftre.
Apparent. Les opticiens font fort partagés fur le lieu apparent
d’un objet vu par réfraftion. IV . 1013.0. Diftance apparente.
Grandeur apparente. Voye^ D istance & Grandeur.
A P P A R E N T E , lo i, particuliere à la coutume de Normandie.
IX. 632.b.
A P P A R IT EU R , bedeau d’une univerfité. Ceux qui ont
l ’emploi de citer quelqu’un devant un tribunal eccléfiaftique.
Appariteurs chez les Romains. I. 346. a.
A P P
Appariteur , fergeiït appariteur. X V . 86. b.
A P P A R IT IO N , vifion, ( Synon. ) différence entre ces,
mots. I. 346. a.
A pparition , ( Afiron.) cercle d’apparition perpétuelle. I.
8 3 3 .b. - 1
Apparition, vifion-, différence entre ces mots. XV II . 343. b.
A pparition , ( Magie, Superjl. Myth.) de l’apparition des
fpeétres. XV.' 447. b. V I . 404. a. Origine de la crédulité du
peuple fur ces apparitions. X V II . 367. a. Examen du fenti-
ment de Spinofalur ce fujet. X V . 466. b. Pourquoi les apparitions
d’efprits ont plus fait périr de femmes que d’hommes.
V I . 416. b. Voye{ Revenans. Apparitions de chevaliers
armés qui combattoient de nuit dans les airs. VIII. 106. b.
Divination par l’apparition des monftres & fpeCtreS. X V I .
146. b. D e l’apparition des dieux. X V I . 232.a .l. 320. a. V .
809. a.Les apparitions des d ieu x , félon les Orientaux, étoient
effrayantes. V l . 436. a.
A P P A R T EM E N T , ( Archit. ) vient du latin partimentum.
I. 346.«. C e qu’on entend par ce mot. Réglés à fuivre pour
la bonne difpofition des appartenions de commodité, & pour
ceux de parade. Ibid. b. Voye^ les planches d’architeéhire,
volume. I. •
A P P A S , attraits, charmes, (Synon.) différence entre ces
mots. I. 347. a.
A P P A T , (P ê ch e ) préparation desfeves pour ferv ir d’appât
aux poiffons.V I .6 3 1 . b. Différentes fortes d’appâts. XII.
223. a , b. 224. a,
A P P A UM É E , ( Blafon ) main étendue, les bouts des
doigts en haut. La main droite eft le fymbole de fidélité.
SuppL I. 491. b.
A P P E A U , tons notés pour l’appeau de quelques oifeaux.
V o l. III. des planch. article Chasse , plancli. X V .
A P P E A U X , ( greffier d’ ) VII., 926. a. Juge d’appeaux.
IX . a. b.
A P P E L , en terme de dro it, où fe portent les appels. D ans
quels cas l’appel a la force de fufpendre. Comment l’appel
périt. Condamnation de l’appellant qui fuccombe. Appel fim-
ple , par oppofition à l’appel comme d’abus. Des appels dans
les tribunaux eccléfiaftiques ; gradation qu’il faut fuivre. I.
347. b. Lorfqu’il y a eu trois fentences conformes, il n’y
a plus lieu à l’appel. Il eft ordinairement dévolutif oC
fufpenfif. Appel fimple & appel qualifié. On appelle quelquefois
des jugemens des papes au futur concile : exemples*
Ibid. 348. a.
Appel, différence entre appellation & appel. I. 338. b.
ACtion qu’on obtenoit chez les Romains, pour faire mettre
la chofe au même état où elle étoit avant le jugement : en
quoi cette aftion différoit de l’appel. IX. 20. a. — D e l’appel
comme d’abus. I. 48. a , b. D ivers moyens employés contre
les entreprifes des eccléfiaftiques avant l’appel comme d’abus.
Ibid. a. Origine de l’appel comme d’abus. IX. 77. b. Appel
comme d’abus de la fulmination d’une bulle. II. 463. a. L e ttres
d’appel comme d’abus. IX. 413. a. — On peut exécuter
un ou plufieurs chefs d’un jugement, & appeller des autres.
III. 27 x. a. Pour le reffort d;appel, il n’y a que deux degrés
de juftice feigneuriale^ & trois de juftice royale. IV . 764. b.
Converfion d’appel en oppofition. 166. b. Sentences & jugemens
dopt l’appel n’eft plus recevable. III. 373. b. D e l’appel
au parlement. XII. 23. a. D e l’appel dans les jurîfdiCtions
eccléfiaftigues. IV . 763. a. — Appel comme dé jugé in compétent.
111. 762. b. VIII. 633. b. Appel de dépens. IV . 838. a.
Dépens de caufe d’appel. lV . 839. a. Exécution nonobftant
l’appel. V I . 233 . a , b. Fol appel. VII . 42. b. Chefs d’appel.
943. a. Appel dévolutif, appel fufpenfif. IV . 919. b. Défcr-
tion d’appel. 881. b. Juge d’appel : juge dont eft appel. IX. 9.
b. Lettres d’appel. 413. a. Moyens d’appel. X. 844. b. Relever
un appel. X IV . 64. b. R e lie f d’appel. 66. b. Appel verbal.
XV II . 48. fi.
A ppel , (Botan. ) plante du Malabar. Ses autres noms. Lieux
où croît cette plante. Sa defcription. Ses qualités & ufages.
Maniéré de la claffer. Suppl. 1. 491. b. 492. d.
A ppels du tambour. I. 767. b.
A PPE LLA TIF . ( Grarnrn. ) Le nom appellatif eft oppofé
au nom propre. Origine dés noms appellatifs. I. 348. a. Appel-
latifs de genre , appellatifs d’efpece. Les noms de genre peuvent
devenir noms d’e fpe ce , fi on les renferme fous des
noms plus étendus. Le nom d’efpece peut devenir nom de
genre , s’il peut être dit de diverfes fortes d’individus fubor-
donnés à ce nom. Ibid. b.
Appellatif, joignez à cet article celui du mot générique. VIT.
374. b. 8cc. D es noms appellatifs. Suppl. I. 7 1 . b. Difliuélion
des noms en appellatifs & en propres. XI. 196. a. Recherches
fur l’ordre de la génération des noms appellatifs & des
noms propres. 198. b. 199. a , b. Les noms appellatifs lont
indéfinis én eux-mêmes. VII I. 669. a. Acceptions détci m i-
natives de cette efpece de noms. X V . 16. b. D esnomb ies
des noms appellatifs. XI. 206. b.
A P P E L L A T IO N , Appel, différence entre ces fynonjmes;
1 . 348. b.
S
A P P
Appellation. Des.appellations en cour de Rome, des
fentences rendues par les primats ou métropolitains qui relèvent
immédiatement du Saint Siégé. XI. 832. fi. Maux qu’ont
entraînés les appellations en cour de Rome. IV . 723. b.
A P P E L LER , Nommer, diffé rence entre ces mots. I. 348...
APPEND ICE vcrmiculairc, (Anato/n.) Voyer Intestins
& Cæcum. v
APP EN ZEL L, montagne de ce canton dite Gimmor. VII.
662. a.
A P P E R C E V O IR , Voyci' A ppréhension 6* Perception.
A P P E T E R , d e là faculté d’appeter. VI. 362. b. 363.fi, b
A P P É T IT , ( Morale) les fcholaftiques diftinguent l’appétii
eoncupifcible 8c l’appétit irafcible. 1. 349. a. Appétit fenfitif.
6c appétit raifonnable. Ibid. b.
Appétit, différence entre les appétits 8c les inclinations.
VII I. 631. b. appétits diftingués par les fcholaftiques en irafei-
bles & concupifcibles. III. 832. a. Raifon qui doit nous éloi-
gner des appétits contraires à la tempérance. X V I . 39 .fi, b.
Appétit vénérien, voyer ÉROTIQUE, FUREUR UTÉRINE.
A ppétit, (Phyfiol. Hygien. Médec.) différence entre 1
faim & l’appétit. V l . 373. b. M oy en établi par Sanétorius
pour connoître le moment où il faut mettre des bornes ;
fon appétit. III. 13. b. Quatre différentes maniérés dont l ’appétit
peut être Télé. IV . 736. b. 863. E Dépravations d e l’ap-
pétit. V. 733. b. Appétits dépravés nommés malade. IX. 929.
a. Orexie. XI. 625. a , b. 626. a. 8c pica. XII. 344. b. Con-
fultez fur l’appétit l’article Faim.
A P P É T IT IV E faculté. V I . 362. b. 363. a , b.
APPIENNE , la voie, ( Antiq. rom. ) defcription de ce
chemin. I. 349. b. Voyer ci-deffous A ppius.
APPIUS C L AU D IU S , hiftoire du premier de ce nom :
fon caraétere & celui de fon fils. X IV . b.
Appius Claudius furnommé Coecus : caufe de fon émulation
a embellir Rome , & à conftruire la voie qui porte fon nom.
HL 539- a. Détails fur cette voie. X V I I . 419. a ,b . III. 273.
b. Marché d’Appius. X. 83. b. Anecdote fur fon fils , au mot
Claudius.
A P P L A T IR , difficulté de donner une définition exaCte
de ce mot. I. 349. E Comment cette aéfion doit fe concevoir.
Ibid. 350. fi.
APPLAUDISSEMEN T , (Hifi. anc. ) trois fortes d’applau-
diffemens chez les Romains. Autres maniérés d’applaudir I.
.330. a
Applaudijfemens. Voyeç A cclamations. Gens gagés anciennement
pour applaudir aux pièces de théâtre ou- aux
harangues publiques. IX. 310. b. Maniéré d’applaudir aux fpe-
étaclcs en jettant en l’air un linge appellé orarium. XI. 339.
a. Effet des applaudiffemens du parterre. Suppl. IV . 242.fi. b.
A P P L IC A T IO N , de P algèbre,on de Tanalyfe à la géométrie.
Jufqu’à Defcartes perfonne n’y avoit penfé. Service
qu il a rendu en cela à la géométrie. Nous ignorons fi les
anciens avoient quelque fecours femblable dans leurs recherches.
Obfervation fur le traité d’A rchimede, fur les fpirales,
& fur fes démonftrations. I. 330. b. M. Newton craignant que
l ’ufage trop fréquent de l’analyfe dans la géométrie 11e fît
perdre à celle-ci cette vigueur qui caraétérife fes démonftrations
, fe plaint fouvent de ce que la leihtre des anciens
geometres eft abandonnée. Jufqu’à quel point cette plainte
eft fondée. Ibid. 3 31. a. Il y a des cas où l’ufage de l’analyle ,
loin d’abréger les démonftrations, les rendroit au contraire
plus embarraffées. Ibid. b.
Application de la géométrie à P algèbre. En quels cas elle
a lieu. La confédération des courbes de genre parabolique ,
6c du cours de ces courbes, par rapport à leur a x e , eft
fouvent utile pour démontrer aifément plufieurs théorèmes
fur les équations 6c fur leurs racines. I. 3 31 . b. On peut même
quelquefois appliquer la géométrie à l ’aridimétique. Exemple.
Ibid 332. fi
. Application.On eft redevable aux François de deux grandes
idées qui ont conduit à trouver la géométrie nou v e lle , fa-
■ v oir 1 application de l’algebre à la géométrie , l’application
<iu calcul aux quantités différentielles. V I I . 632. b. La géométrie
aidée de l’algebre eft applicable à toutes les autres
parties des mathématiques. 637. b. L’application de l’analyfe
a la géométrie appartient prefqu’entiérement ta Defcartes. I.
261. b. Ufage qu’en a fait Newton. 262. a. Ouvrages où fe
trouve 1 application de l’algebre à la géométrie. Ibid. On a
tait a 1 auteur de l’article application , quelques queftions qui
ont donné lieu aux remarques qui fe trouvent. V II . 637. a , b.
Application de la géométrie & de l’algebre à la mécha-
nique. En quoi elle confifte. Comment elle eft poflible. L ’article
accélération renferme un exemple de l’application de la
géométrie a la mechanique. I. 332. a.
Application de la méchanique à la géométrie. I. 332. b.
Application de la géométrie 8c de l ’aftronomie à la géographie.
En quoi elle confifte. I. 3 5 2. b.
T . f P P ^ n ° n de la géométrie & cle Panalyfe à la phyfique.
r- ] 1 *?nc^ e filr les mêmes principes que l’application de
t a gebre à la géométrie, Une leule obfervation donne fou-
A P P 87
' H Ï Ï B M B P », l? fecottB de la géométrie &
ffflp" B a Parvient % déterminer la quantité d’un effet
qm dépend d un autre effet mieux coanu. Cependant les
E l S H de. P’Vfiq,“ ?« f?n. pas également fufeep-
tibles de 1 application de la géométrie. I. 552. a. 1
Application de la méthode géométrique à là mètaphv--
| B S i Î 52- b- Abus de cette méthode. C e n’eft point à Va
méthode que la géométrie doit fa certitude; mais à la fun-
plicité de ion objet. Ibid. 353.fi.
Application de la géométrie à la médecine. X. 2 20. a. —
222,. D e la géométrie & des principes mathématiques à
la phyfique. XÎI. 536. b. X V I I . 183. b. I. vj.
Application de la inétaphyfique à la géométrie. La géo-
métrie a une metaphyfique qui lui eft propre. Caraftere
?t1m- i <"°}t/*VOir- Abus qu’on a fait de cette métaphyfique*
Utilité quelle peut avoir. I. 553. Obfervation fur certains
géomètres qui font mauvais métaphyficiens. Ibid. b.
ÀPP L ieA-n cN , Cttéo log . ) celle des mérites de J e fe -
Vmrilt. I. 553. b.
d é c r i t t v ' ’ * ? ? 1’ “ C" ,re contention
terminée par une
courbe, occ. 1. 553. b.
A P P L IQ U E R , (Mathém.) tranfporter une ligne droite
dans une figure , enforte que les extrémités de cette ligne
‘ oient dans'le périmètre de la figure. Appliquer ftgnifie auffi
dtvifer. I. 353. b. 0
Appliquer, tracer l’une fur l’autre des figures différentes,
mais dont les aires font égales. I. e t'i.b .
APPOINTEMENTS (en terme de palais) Les appointemens
des 1 nuances appointées de dro it, ne font point prononcées
à 1 audience; on les le ve au greffe. Plufieurs fortes d’appoin-
tement. I. 554. fi. r i
Appomtement, dit claufion dans certains parlemens. III. <rnr,
fi. Appomtement de conclufion. 820. a. Appointement de
jonction : appomtement en droit 8cjoint. VIII. 874.fi. Appoin-
tement a mettre. X. 473. a. Appointement de contrariété.
IV . 122. fi.
> penfron. I. , ,4 . a. Les appoimèmens font
differens des gages. Ibid. b.
Appointemens, différence entre appointemens gages 8c
honoraires. V II I 291. b. Appointemens que le roi ou quelque
autre feigneur donné à fes officiers. V II . 418. b.
t ^ d k u A P o r ^ . Tran/pmcr. E ,,,fo n „ : lignification
de ces mots. XIII. 145. é. ,
J ( Grarnm. ) figure de conftruétion. L e rap»
eft la raifon de l’appofition. I. <<4. b.
i l f f RÉC IABLE. ^ ( Mufiq. ) Les fons appréciables à notre
oreille font renfermés dans huit oétaves ; mais dans la pra-
tioue , on ne paffe pas communément les bornes de cincr
ouaves. Un fon trop fo r t , celui d’une clo che , par exemple
, dans le clocher, n’eft plus appréciable. Suppl. I. 402 a
roye? Etendue. '
1 P E N S IO N , (Méthaphyf.) opération d e l’efprit qui
lui tait appercevoir une chofe. L ’ame, félon le P. Malebran-
C 1Gj Peut aPPe,'cevoir les chofes en trois maniérés ; par l ’entendement
pur, par l’imagination, par les fens. Obfervation
de l’auteur fur cette diftinilion. I. 555. fi. La faculté de pen-,
fer eft toujours la même, toujours également fpirituelle
de quelqu’objet qu’elle s’occupe. Ibid. b.
Appréhenfton, Alarme, Terreur , Effroi, Frayeur , Épou-
une , Crainte , Peur. (Synon.) I. 277. b.
A PPREND RE, Étudier, s'inftruire, différence entre ces
lynonymes. I. 555. b.
A PPR EN T IF , ( Comrn. ) ftatuts fur les apprentifs marchands
*. 555. à. Autres apprentifs, à quoi ils font aftreints. Apprentifs
qui veulent être reçus à la maîtrife. Apprentifs chez les
v euv e s de maîtres. Ibid. 556. fi.
A PPR EN T IS SA G E , aéfe par lequel un jeune homme
entre en apprentiffage chez un maître. XI. 305. b. Brevet
d apprentiffage. II. 414. b. Greffe des apprentifiages. VII. 921.
a; D e l’apprentiffage en orfèvrerie. XL 628. a. V o y ez à l’article
de chaque profeflion les réglemens concernant les ap-
prentiffages. r
A PPR Ê T des étoffes de foie. Maniéré d’apprêter lin fatin.
Apprêt des petits velours. I. 556. a.
A pprêt, terme de chapelier.I. 556.b.
A pprêt chez les pelletiers. Principales peaux dont on fe
ért pour les fourrures. Maniéré de les paffer en huile. L
156. b. '
A pprêt , (Peintured’ ) peinture fur le verre. I <e6 b
A P P R Ê T E R ,’chez les fondeurs rie carafferes d'imprimé,
9 E U 5 B I
Apprêt de l etain. I. 557. a.
g APPRIVOISÉ 3 p rivé : différence entre ces mots. X I IL
A PP R IVO ISE R , moyens généraux d’apprivoifer les animaux.
V I .4 1 3 .f i .
A PP R O B A T IO N . (Librairie) Il eft vraifemblabîe que,,