52 A L P
A LO N ZO d’E rcillay cunega, {D o n ) obfervations fur la ,
y ie 8c l’ouvrage de ce poëte efpagnol. XII. 821. b.
A L O P E C IE , ( Médec.^) maladie qui caufe la chute des
cheveux. Sa caufe. 'Obfervation fur le traitement de cètte
maladie. I. 293. a. Voyez C a l v it ie . I .
A L O IE , (ichtky. ) defcription de ce poiffon. Qualité de
■ fa chair. I. 293. a, '
Alofe , maniéré de pêcheries alofes au filet appelle/emt/err.
V I . 465. a , b. rTTT
A LO S IE R E S , {Pê che ) IV . 421. a. X V I I . 91. h. VII I.
vo l. des p lanch.-Pêche, pl- 33* AïosT, ( WIÊSÊËBËfflEmm Am& y sx • capitale du comté du même nom. Ses révolutions. Préfectures
& feigneuries renfermées dans ce comté. Ses productions.
SUP& 1o u I t T Ê , ( Ornitb. ) cara&ere qui ^ diftingue les
îiaire. 1. 293. b.
Alouette, efpeces d’alouettes appellees farloufes. VI. 414. a.
Cochevis. III. 560. b. Calandres. Suppl. II. 113. b. Comment
on attire les alouettes par le miroir. X. 572. a. Voy*i aufli
vol. I II des planches, article chajfe, planche II. Traîneau
pour la cliaffe aiix alouettes. Ibid. ChalTe des alouettes à la
tonnelle murée. Ibid. , ,
Alouette de bois, fa defcription. En quoi elle différé de
ralouette-ordinaire. I. 294. a.
Alouette de mer, fa defcription. 1. 294. a. Cmq maniérés de
prendre les alouettes. Ibid. b.
Alouette, vie d’ {Botan.) XII. 559. a.
A LO U S IE Sainte, ferpens de cette île. X V . 107. a , b.
A L P A G N E , ( Hifi. nat. ) animal à laine. Ufages que les
habitans du P érou en tirent. I. 294. b.
A L P A M , ( Botan. ) plante indienne. Sa defcription. Lieux
o ù elle croît. Ses ufages. I . 294. b. . . . . . . . c ...
A lpaM ,_{Botan. ) piante peu connue jufqu ici, delà famille
:des anones. Ses autres noms. Defcription, qualités. Suppl. I.
319. a. 8c ufages de cette plante. Ibid. b.
A L P A R G A T E S , fortes de fouüers qui fe font avec le
chanvre. Maniéré d e les faire. I. 294. b.
A L P E S , les P yrénées , l’Apennin, &c. ont été quelquefois
appelles Alpes. III. 477. b. Élévation de quelques montagnes
des Alpes au-deffus de la mer. VU . 691. a., Haute pointe des
Alpes S avoyardes, nommée Bonaife. Suppl. IL 1 1. a. Hauteur
à laquelle la neige commence à être permanente fur '> les
Alpes. Suppl. III. 230. b. Diftribution des différentes chaînes
de montagnes qui partent des Alpes. X. 676. b. D u paffage
des Alpes par Annibal. Suppl. III. 958. a. Paffage le plus aifé
des Alpes. XIII. 77. a. Efpece de pierres appellées poudin-
gues qu’on trouve dans ces montagnes. X III. 187. b. Cavités
dans les A lpes où l’on v a tirer le cryftal. V I I . 968. a. Alpes
Rhétiennes. X IV . 230. a. Alpes maritimes, Graïennes,Cot-
•tiennes 8c Pennines. Suppl. IV . 8. b.
A lpha & Oméga , ( Théol. numifm. ) Jefus-Chrift appellé
l ’alpha 8c l’omega. Monnoies où fe trouvent ces lettres.
Armes de Conftantin où elles furent gravées. Suppl. I.
3 19 . b.
A L PH A B E T , comment on eft parvenu à former cette
table o u lifte qui porte ce nom. Étym. du mot. Définition.
Utilité des alphabets. I. 295. a. Obfervations fur l’alphabet
g r e c , & fur l’alphabet des Romains, qui eft celui que nous
avons adopté. Ibid. b. Conformité qui doit fe trouver entre
la prononciation 8c l’orthographe. Nos peres ont écrit conformement
à leur prononciation. Comment celle-ci eft devenue
infenfiblement différente de l’orthographe. En quoi notre
alphabet eft défectueux. Ibid. 296. a. Avantages qu’on trouv
erait dans l’invention d’un nouvel alphabet. Réponfe aux
difficultés qu’on oppofe à ce fujet. Ibid. b.
Alphabet, origine de l’alphabet. Circonftances qui ont
occafionnè les différens alphabets. II. 643. b. Alphabet des
penfées humaines projetté par Leibnitz. Plan d’un alphabet
univerfel projette par M. Lodwic. 646. 4. Autre plan de même
genre dans le journal littéraire de l’an 1720. Ibid. b. Il n’eft
pas poflïble d’imaginer un corps de lettres élémentaires commun
à toutes les nations. IX. 406. a. Obfervations fur l ’arrangement
des lettres dans la table alphabétique. Principes qui
peuvent fervir de fondement au fyftême d’un nouvel alphabet.
Ibid, a , b. &c. Corrections que.notre alphabet exigerait.
X V I . 736. b. X V I I . 480. a. D e l'alphabet hébreu. V III. 76. b.
Lettres qui furent ajoutées à l ’alphabet de la langue Tudefque.
X V I. 736. b. Lettre que l’empereur C laude vouloit introduire
dans l’alphabet. I. 316. b. Nouvel alphabet que doit fe faire
l ’auteur d’un vocabulaire. V . 639.'4. Alphabet fécret. 1H.
318. a. Jeu de l’alphabet. X IV . 792. a. Ouvrages à confulter
pour connoître l’hiftdire des lettres & la génération des alphabets.
IX. 408. b. V o y e CARACTERE.
Alphabet, en termes de polygraphie ou de ftéganographie.
Etymologie de ces deux derniers mots. Cytalc laconique des
anciens. O n donne auffi le nom d’alphabet à quelques livres
,©ù les matières font écrites félon l’ordre alphabétique. I. 297. a.
AL S
. Alphabet grec & latin , cérétnonie pour la confécration d’une
nouvelle églife. I. 297. a.
Alphabet, regiftre des négocions. I. 297. a.
Alphabet, des relieurs-doreurs. I. 297. b.
Alphabet, aftrologique 8c célefte qu’on attribue aux Juifs.-
Auteurs cabaliftes qui en parlent. II. 479. b.
A L PH É E , fur quoi eft fondée la fable des amans du fleuve
Alphée en Elide avec la fontaine Aréthufe en Sicile. I. 297. b.
Alphée, prétendu mélange des eaux de ce fleuve avec celles
de l’Aréthufe. I. 636. a. V I . 869. a. X V . 767. b.
ALPHESTE ( Ichthy. ) defcription de ce poiffon. Auteurs
qui en Ont donné la figure. Remarque. Suppl. I. 310. b.
A L PH IT A , préparation alimentaire des anciens. L ’alphita
des Grecs étoit le Polenta des Latins. I. 297. b.
A L PH IT OM A N C IE , forte de divination, Ufage qu’on en
faifoit pouç, tirer l’aveu de quelque crime. Origine de ce
ferment; Qite ce morceaupuijfe m'étranglerai. 298. a. \
A LPHON SE I ,{H if l. d'Efpagne) furnommé le Catholique.
Précis de fon regne. Suppl. I. 319. b.
A lphonse I I , III. Suppl. I. 320. a. IV . V . V I . Tableaux
des régnés de ces rois d’Efpagne. Ibid. b.
A lphonse V I , roi de Caftille & de Léon. XIII. 137. b.
Siege de T o lede par ce roi. X V I . 387. b.
A lphonse, le Batailleur, roi d’Aragon. Guerres qu’il foutint
contre Urraque, fon époufe, pour la couronne de Caftille.
Les Galiciens reconnoiffent le fils d’Urraque pour leur fbu-
verain. Il force enfuite le roi d’Aragon à lui refntuer les places
qu’il occupoit encore dans la Caftille. Suppl. I. 3 20. b. ' Voye%
A lphonse, roi d’A ragon.
A lphonse , V I I , V IH , IX , X . & XI. Suppl. I. 321. ai
Tableaux de leurs régnés. Ibid. b.
A lphonse X , roi de Léon 8c de Caftille. Ses tables aftro-
noiniques. Suppl. IV . 922. a. .
A lphonse , {Hifi. d’Aragon) cinq rois de ce nom régnèrent
dans l’Àragon. O n trouve ici le précis de leurs vies 8c de
leurs régnés. Suppl. I. 3 22. a. Sur Alphonfe I. Voyeç ci-devant
l’article Alphonfe le Batailleur.
A lphonse V , roi d’Aragon. Ses guerres pour le royaume
de Naples. Suppl. III. 166. b.
A lphonse , {Hifi. de Portug.) fix rois de ce nom régnèrent
dans le Portugal. O n trouve ici lès principaux événe-
mens de leurs régnés. Suppl. I. 323. a.
A lphonse I , fo i de Portugal. Obfervations fur ce roi.
V I I . 1007. b,
A lphonse ï ï , roi de Naples 8c d’Aragon. Soins qu’il
donna à l’étude des médailles. X . 229. b.
A L PH O N S IN , ( Chirurg. ) infiniment deftiné à tirer les
balles du corps. Maniéré de s’en fervir: I. 298. a.
ALPHORES , ( Géogr. ) habitans de quelques ifles d’Afie«'
Ceinture dont ils couvrent leur nudité. Suppl. 1. 900. a.
ALPHOR EESE, {Icht.) efpece de poiffon.SuppL IL 148. ai
ALPHURU, {Botan) efpece de bananier. Suppl. 1. 78 1 . à, b.
A L P IN , médecin. X. 135. a, 462. a.
A L P IS T E , ( Botan. ) defcription de cette plante. Ses ufages
en médecine. L 298. a.
A L PU A A R R A S , ( Géogr. ) hautes montagnes d’Efpagne,
dans le royaume de Grenade. Obfervations fur leurs habitans.
Température 8c produirions de ce pays. Suppl. I. 3 23. h.
A L Q U IE R , on nomme ainfi diverfes m efures en PortugaL
Leurs rapports, avec d’autres mefures connues. L 298. b.
A L Q U IF O Ü X , plomb alquifoüx. XII. 779. b. 781. a.
784. b. 789. a.
A LR U N E S , lares ou dieux pénates des anciens Germains,
dont les figures repréfentoient des forcieres. Soins qu’on en
prenoit. Culte qu’on leur rendoit. Leur protection 8c leurs
prédirions. O n dit que les Bas-Allemands , les Danois 8c les
Suédois en ont encore) I. 298. b.
A L S A C E , ( Géogr. ) en quoi confifte le commerce de
cette province. Détails fur les mines de l’A lface 8c fur leur
rapport. I. 299. a. Obfervations effentielles fur les moyens
d’en tirer le parti le plus avantageux. Ibid. 301. a., b. Carrières
renommées de l’A llace. Mines non exploitées. Ibid. 302. b.
Etat de ce que les minés de Giromagny produifoient en 1744,
Ibid. 303. q j
AlJ'ace, étymologie du mot Alface. X V I . 618. a. Hiftoire
abrégée de ce pays fous les Romains 8c fous les Francs. Suppl.
IV . 831. b. Confeil d’Alface. IV . 2. b. Chancellerie d’A lface.
III. 109. a. Détails fur les mines de cette province. L 299—
302. 638. a. Mine d’afphalte en Alface. 739. a , b.
A L S A D O R , ( Botan. exotiq. ) yoye^ SADUR.
A L S E N , {Géogr.) ifle de Danemarck, dans la mer Baltique.
Sa grandeur oc fes productions. Château remarquable
dans cette ifle. Suppl. I. 324. a.
A L S F E LD , ( Géogr. ) ville du haut-Rhin. Obfervations
fur ce lieu. Suppl. I. 3 24. a.
A L SG A U G E N S IS P A G U S , v e l Comitatus, {Géogr.)
l’Elfgow, canton en A lfa c e , Franche-Comté 8c Bâlois. Lieux
qu’il cbmprenoit. Suppig I. 324. a. -
I A LSINE , ( Botipt. ) voyez MORGELINE.
| , • , A L T A D A S ,
A L V
A L T A D À S , {Hifi. anc.) douzième roi d’A flyrie. Q u elques
uns le confondent avec Sardanapale. Suppl. I. 324. b,
A L T A Y , ( Géogr.) montagnes de la grande Tartarie. Leur
fitiiarion géographique 8c leur étendue. Suppl. I. 324. b.
A L T EM B ER G en Saxe. Mine d’étain dans fon diftriét.VI.5. a.
A L T É R A N T , ( Médeç. ) remedes. altèrans qui'agiflènt
fur le corps humain fans produire des évacuations fenfibles.
Comment leur aélion s’exerce. Suppl. I. 324. b. Enumératioh
des remedes compris dans la claffe des altèrans. L’effet dé la
plupart, examiné de près, fe réduit à fi peu de ch o fe , qu’on
feroifi infiniment plus fondé d’attribuer à l ’expeiff^rion ou à
la nature tout le merveilleux des cures qu’on leur attribue.
Impofiibilité d’expliquer l’aélion méchanique de divers remedes
■ 'ou poifons dont les effets fubits fe font reffentir dans toute
l’économie animale. Ibid. 323. a.
Altèrans , remedes.X. 296. b: '•
A L T É R A T IO N ,- ( Phyfique) changement accidentel 8c
partiel d’un corps. Ses caüfes. I. 303- b.
Altération, en quoi e lle diffère de la corruption. IV . 278. à.
A ltération , terme de médecine", de jardinage 8c de
monnoyage. I. 304. a. Voye\[ A dultération.
A L T E R N A T IO N , méthode pour trouver toutes les différentes
alternations poffibles d’un nombre de ehofes donné.
I. 304. a. Voye£ COMBINAISON 6* PERMUTATION.
 L T E R N E , feuilles alternes d’une plante ^ en botanique :
en géométrie, angles alternes ; râifon alterne. Alterné, terme
de blafon. I. 304. b.
Alternes, angles, XI. 903. b.
A L T E R N E R , ( Agricult.) fe fervir des mêmes terres alternativement
en champs 8c en prés. Suppl. I. 325. a. En quels
cas l’alternative peut Sc doit avoir lieu: i/ . le s prés dont on
v o it diminuer le produit, font dans le cas de devoir être ouverts
8c femés en grain , pour être enfuite remis en prairies
ou en herbages. 20. Lorfqu’on vo it des plantes à feuilles
larges qu i, en fe multipliant, étouffent les plantes fines ; ou
que les racines des bonnes plantes, en s’entrelaçant, forment
un tiffu impénétrable aux bénignes influences de l’air. 3°.Lorf-
qu’on voit diminuer les plantes bonnes 8c fucculentes garnies
de feuilles favoureufes, dont la tige 8c les branches ne deviennent
pas coriaces en fe féchant. Ibid. b. 40. Lorfqu’on
vo it fe multiplier de mauvaifes herbes ou inutiles, ou mal
faines au lieu de bonnes. 50. Lorfqu’on 'vo it un pré ravagé
par les hannetons, q u i, fous la forme de v e r s , dévorent
les racines des plantes, ou les éventent. 6°. Lorfqu’on s’apper-
çoit que fon produit diminue, ou que l e ter rein trop maigre
ne donne pas des récoltes qui dédommagent, année commune
, des frais de culture. Ibid. 3 26. a. 7 0. Si l’on manque
de fourrage, 8c qu’on n’ait pas fuffifamment de fumier pour
les champs, il faut fe procurer des prés en dénaturant une
partie de fes champs, 8c alterner cette culture. Proportion
qu’il doit y avoir entre les prairies 8c les terres labourées ,
dans un domaùie bien monté.
Avantages de l’alternative. Obftacles qui s’y oppofent, 8c
moyens de les lever. Ibid. b.
Réglés de cette alternative dans les pays où elle eft actuellement
fuivie avec fuccès. Ibid: 327. a.
Réglés à fu iv re , félon l’expofition 8c la nature du fol. Ibid.
328. a. Voyeç E s p e c e , changement d ’ {Agricult. )
A L T E S SE , les rois d’Angleterre tk. d’Efpagne n’avoient
point d’autre titre autrefois. Les princes d’Italie l’ont pris en
1630... Altejfe royale... fèrénijfime... électorale. Quels princes ont
commencé de prendre le titre d'altejje royale. I. 304. b. Le
fucceffeur défigné de la czarine a le titre A'altejfe impériale. Les
princes cardinaux prennent celui A’altejfe émincntijjîme. Ib.-îoe.a.
A L T H Æ A F R U T E X , {B o ta n .) defcription 8c culture
de cet arbriffeau. 1 . 303. a. Voye^ICe tm ia s y r o r um .
Althata, efpece d’althæa nommé monofpermalt/uea. X. 671..
a. Onguent d’althæa. IV . 937. b. Surl’althæa, voye^ G u im a u v e .
A L T O -B A S SO , ( Luth. ) efpece d’inftruuient de pereuffion
à cordes. Sa defcription. Suppl, I. 3 29. a.
A L T O M A R U S , fes obfervations fur la manne. X. 42. a. 44. b.
A L T O R F én Franconie. Mine de charbon vég é ta l, découverte
près de cette ville. III. 194. b.
A f ,T^IR, ou A l fo r , {Géogr.) v ille maritime de l’Arabie-
Petrée. Ses maifons bâties de corail blanc. Obfervations fur
fes habitans 8c fur fon port. Suppl. I. 330. a.
A L V A R E en Dauphiné. Ses mines de fer. V I . 494. a.
A L U C O , defcription de cet bifeau. I. 303. a. Ufages qu’en
tire la médecine. Ibid. b.
A LU D E L , (Chyrnie) vaiffeau chymique. Sa conftruétion.
Manière de le difpofer pour s’en fervir. I. 303. b.
Alu d el, fourneaux deftinés à cette forte de vaiffeau. V I I
2 3 3 4 WÊÊÊÊj
A L V É O L E S , {A n a t.) cavités où les dents font placées.
Elles ne font pas toutes formées dans le foetus. Leur état dans
un adulte. I. 303. b. Principe de la douleur qu’on éprouve
dans les maux de dents. Ibid. 306. a.
Alvéoles, état des alvéoles dans le foetus. IV . 8 3 4.4. M atière
vifqueufe 8c molle , renfermée dans l’alvéole-, 8c figurée
Tome I,
À M A 53
h-peu-pres comme une dent. Membrane dans laquelle cette
matière eft contenue. Nombre de germes renfermés dans chaque
alvéole. Ibid. b. Arcade alvéolaire: Suppl. I. 332. b. Artère
alvéolaire. Ibid. ï ï . 247. a. N e r f alvéolaire. Ibid: I v . 37. b.
Alvéoles, coquilles fofliles. V Î. vol. Régné minéral, pl! 2 8c 3.
A lvéo le s , .cellules des gâteaux, dé cire. L’abeille rend
par la bouche la cire dont elle forme les alvéoles. Forme.de
ces cellules. L 306. a. Ordre dans lequel elles font rangées.
A lvéoles ;d’un gâteau. Ibid. b. Comment on démontre.que
les abeilles' conftruifent leurs alvéoles de la façôn la plus
avantageufe pour épargner la cire. Solidité de cette conftruc-
tion. Quelles font les parties de l’alvéole que les abeilles
forment les premières: fuite d e - le u r travail. Ufage des
alvéoles dans la ruche. Diverfité de leurs grandeurs fuivant
• ces ufages. Ibid. 307. a. Figure des alvéoles deftinés à fervir de
logement aux v ers qui doivent fe métamorphofer en abeilles
• meres. Ibid. b.
Alvéoles, la cire des alvéoles, eft blanche , quoique les
•pelottesde cire brute , que les abeilles apportent, foient de
differentes couleurs. III. 471. E Ordre que fuivent les abeilles
en remphffant de miel les alvéoles. Efpece de croûte que
forme dans les alvéoles la derniere couche de miel. A lvéoles
deftinés à la-confommation journalière. Les autres font fermés
par un couvercle de cire. X. 496,4;
A L V IL D E , ( Hifi. Myth. ) femme célébré dans les annales
du Nord ,. par fa vertu 8c par fa beauté; fille.de Sivard
roi de Gotland. Aventures d’Àlvilde 8c d’Alfond fon amant, fils
de Sigard, roi de Danemarck. Suppl. I. 330. a. Voye\ A l fond.
A L V IN , ternie tifité en Bourgogne pour celui d’empoiffon-
nement. V . 393 . a,
A LU N , fs 1 foffile 8c minéral, d’un goût acide. I. 307. b.
Les anciens connoiffoient d eux fortes A'alun naturel, le liquide"
8c le fec. Defcription que donne M. de T o u rn efo r t , d’une
mine d’alun naturel liquide dans l’ifle de Milo. A lun de plume *
on le confond quelquefois av e c l’amiante. Ibid, 308. a.
Autre defcription que donne M. de T o urn efo rt, d’une grotte"
revêtue d’alun fublimé, 8c d’une autre dont le fond étoit rempli
de foufre enflammé* r
Quelles font les mines d’alun les plus ordinaires. Lorf-
que le minéral, qui contient l’a lu n , a écé mis en tas 8c
expofé à l’a ir , on v o it fleurir l’alun à la furface du tas. Ibid. b.
Comment on effaie ces matières. Mines où fe trouve l’alun
de Rome , ou de roche. Gomment on l’en tire. Autre mine
près de Pouzzol' appellée le mont d ’alun. Celles d’Angleterre |
dans les provinces d’Y o rk 8c de Lancaftre. Ibid. 309. 4. Comment
on en tire l’alun, auffrappellé alun de roche. On trouve
en Suede une forte de pierre dont on tire de l’a lu n , du vitriol
8c du foufre. Maniéré dont fe fait ce travail. A lun d eCypfele
en Tlirace. Mine du Dange , près de L iege. Defcription de la
mine , Ibid. b. 8c de la maniéré dont on y travaille l ’alun. Ibid.
310. 4 , b. O n fait auffi l’alun proche les montagnes des
Pyrénées en France. Élémens , ou matières dont l’alun eft ■
compofé. Ibid. 31 1. 4. Ufages de ce fel en médecine , 8c particuliérement
contre les'hémorrhagies. Ibid.-b. Ufage extérieur
de l’alun. Son utilité pour la teinture. Il empêdie le papier
de boire. Alun fucré. Alun brûlé. Alun de plume. L ’alun
clarifie les liqueurs. Ufage qu’en font les naturaliftes pour
conferver les animaux. Opinion fuperftitieufe fur l’effet de
l ’alun. Alun purifié. Alun teint de M ynficht. Ibid. 312. 4. Procédé
de M. Helvétius, par lequel il faifoit par le feu , ce que
Mynficht-faifoit par l ’eau. Ibid. b.
Alun , obfervations fur la nature de ce fel.-I. 98. X V I I .
364. 4. 36s. b. Voyei III. vol. des planches , article C h ym ie
planche 16. Mine d’alun qui s’allume à l’a i r , lorfqu’elle y a
été expofée quelque tem s.lïï. 193. b. A lun formé d’une diffo-
lution d’argille par l’acide vitriolique. V ï ï . 699. 4. A lun tiré
de la folfatara, près de Pouzzol.XIII. 234.4. X V . 3 io . b. A lun
de Rome. X V I. 10. b. Eaux alumineufes. X . 536.4, Travail de
l’alun. V I . vo l. des planch. article de M in ér a lo gie .
Alun , mines d’alun , près de Freienwald , dans la haute
Saxe. Suppl. III. 143. a. Comment on découvre l ’alun contenu
dans l’eau. 474. 4.
A L Y P U M , ( Botan. ) defcription de cet «rbufte. Cette
plante a beaucoup d’amertume. On la trouve en Languedoc.
I. 312. b. Ses ufages en médecine: On ne doit fe fe rv ir d’un
remede fi violent qu’avec beaucoup de précaution.'; Ibid.
3 1 3 .4 .
A M
AM A C O R E , ( Géogr. ) riviere de l ’Amérique. Correftion
de quelques erreurs qui fe trouvent dans cet article de l’Encyclopédie,
Suppl. I. 331.4.
ÀM A CU SA , ( Géogr. ) ifle du Japon. Suppl. I. 331.4. Sa
pofition 8c fa figure. Longitude 8c latitude. Ibid. b. '
A M A D A B A D , { Géogr. ) capitale du royaume de Guza-
rata , dans lë Mogol. Objets de fon commerce.'I. 313. b.
A m à d a b a d , v ille d’Â f ie , capitale du royaume de Guza-
rata. Sa defcription. Garnifon de cette ville. Suppl. L 3 31. b. 6