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, r a . b. L’nnalyfe perfectionnée par M. Newton. T. 2.62: a.
XVII . 631. a. Efpece d’analyfe appelléepar Leibnitz , anf ly jf
de Jîtuation. X V . 232. a. Obfervations fur le mémoire de M .
Fontaine, fur l’analogie. V . 85 3. a , b.
A nalyse. ( Gramm. ) I . 401. b.
Analyfe , conftruélion analytique. Voye^ CONSTRUCTION,
& v u . 845. a. I M
A nalyse , ( Logique') avantages de cette méthode. Dans
l ’expofition ou la recherche de la vérité , il fout commencer
par les idées les plus fimples. Divers fentimens des philofophes
fur ces idées fimples. I. 401. b. Avantages d’une analyfe fage
& H o rdonnée. L ,Marche de l'efprit félon cette méthode,
eft Pins naturelle que celle R B I S j H 9 R S S Incon-
véniens de cette derniere méthode , lorfqu elle eft employée
par les géomètres. L’analyfe n’eft pas moins préférable ,
lorfqu’il s’agit de communiquer nos découvertes aux autres.
Exemple tiré de l’application de l’analyfe à l’étude des
mathématiques. Ibid. 402. fl.Le même ordre d oitetre fuividans
celle des autres fciences. Avantages qui en refulteront. D ou
viennent les défauts des raifonr.emens des plulofophes. Ibid, b.
Analyfe , en quoi confifte la méthode analytique. I. 403. é.
Sciences auxquelles elle convient le mieux. Ses avantages.
V 4çk a Utilité 8c ffireté de cette méthode. X . 752. b.
Comment nous parvenons à analyfer les objets. Suppl. I.
67. b. De l’analyfe des idées & des penfees pour en donner
le développement. Suppl. II. 708. a. Réglés à fuivre , en
remontant de l’effet à la caufe. V . 405- b- Développement
de la méthode analytique que doit fuivre le phylicien en
étudiant la nature. V I I . 614. a , b . - 6i 2.b . D e l’ufage de
cette méthode en mathématique. Suppl. 111. 917. a , b. en
aftrohomie. Ibid. b. enphyfique. SuppL IV . 321. b. S u r lan a -
i y f e , voye^ Méthode. .
A nalyse d’un liv r e , dun ouvrage. En quoi conlute
l ’art de cette forte d’analyfe. Modèles d’analyfe. I. 403- a-
Analyfe, efpece d’index. I. 403. fl. . . .
A nalyse , ( en Chyme) le feu en eft le principal agent.
Principes que fourniffent les corps analyfés. L’analyfe des
végétaux & des animaux plus aifée que celle des minéraux.
L ’analyfe des plantes par diftillation n’en fait point con-
noître les vertus. C e qui rend celle de quelques minéraux
ïmpratiquable. I. 403. a. Comment on eft fouvent trompe
par de prétendus chymiftes qui fe chargent d’analyfer certains
remedes fecrets ou certaines eaux pour en connoitre la
compofition. Difficulté d’analyfer une eau minérale. Ibid. b.
Analyfe chymique. Analyfe menftruelle. X . 342. b. Analy
fe des fubïlances animales. X V . 58$. b. Des végétaux.
X V I . 869. b. 870. f l , K Suppl- II. 31 . b. Opérations pour
les effais, qui font les mêmes que celles de la chymie analytique.
V . 989. b. Exa&itude de l’analyfe. XIII. 373. a. ■
A quel point de décompofition l’on a pu parvenir par l’analyfe.
l l l . 4x8. b. Quelle a été l’utilité de l’analyfe produite
par une diftillation ponffée par degrés jufqu’à la plus
grande violence du feu. IV . 1056. a. Remarque fur l’ancienne
méthode d’analyfe & fur une nouvelle. X V I .
870. a , b.
Analyfe des hazards , voyez HAZARD.
A N A L Y T IQ U E , adje&if. ( Mathém. ) En quoi confifte la
méthode analytique dans la philofophie naturelle. I. 403. b.
Voyeç A nalyse. En quoi confifte la fynthétique. Définition
•de l’une 8c de l’autre employée en géométrie. Ibid. 404. a.
A N AM O R PH O S E , ( en Peinture & PerfpeÜïve ) P rojeffion
monftrueufe de quelque image qui néanmoins paroît régulière
à un certain point de vue. Méthode a fiuvre pour
la faire. Singuliers ouvrages en ce genre. I. 404.. a. Autre
pratique pour faire méchaniquement une anamorphofe.
Maniéré d’en tracer une fur la furface convexe d’un cô n e ,
& fur une pyramide dont la baie feroit un polygone.
Anamorphofes tracées fur deux côtés du cloître des Minimes
de la place royale , à Paris. Ibid. b. Traités latins d iipere
Nicéron & du pere Maignan , fur ce même fujet. Comment
on peut tracer une figure difforme , qui paroiffe de
fa figure naturelle dans un miroir cylindrique. Méthode
pour tracer de telles images qui foient rétablies par- des
miroirs coniques ou pyramidaux. Machine anamorphoti-
que. Ibid. 405. fl. Anamorphofes en dioptrique. Maniéré de
les deffiner. Ouvrages connus en ce genre. Ibid. b.
Anamorphofe. Réglé pour faire une anamorphofe, qui
paroiffe r^uliere 8c bien faite à travers un polyhedre. XII.
4AN AM N E ST IQ U E , ( Médecine ) fignes anamneftiques.
III. 688. b. X V . 188. b. ■ ' , ..
A N AMU L U , ( Botan. ) arbre toujours v erd du Malabar.
Se s différens noms. "Defeription , qualités & ufages de cet
arbre. Maniéré de le daller. Suppl. I. 388. b.
A N A N , ( Géogr. ) Anan 8c Annan ne dévoient être
qu’un feul & même article dansl’Encydopédie.<%?p/.I. 389. a.
A N A N A S , ( Botan. ) cara&eres de cette plante. Miller
en diftingue fix efpeces. Leurs deferiptions. I. 405. b. Fruit
d e l ’ananas. Comment cette plante nous eft parvenue. Qua-
A N A
litè des ananas cultivés en Europe. Tems 8c caraôere de
leur maturité. V in , confiture d’ananas. Ibid. 406. a.
Ananas. Engrais propre aux ananas. X V . 880. h. Ananas
fauvages, appellés karatas. IX . 1x3. a , b. Ananas repréfenté
V I . vol. des planches , régné v ég é ta l, planche 96.
A N AN E L , ( Hijl.facr. ) grand-prêtre des Juifs, fousHé-
rode le grand. Suppl. I. 389. a.
A N A N IA S , ( Hijl.facr.) fouverain facrificateur des Juifs,'
fucceffeur de Jofeph , fils de Camith. Suppl. I. 389. a.
A nanias , ( Hijl. des Juifs ) furnommé le Saducéen ,'
célébré dans la révolte des Juifs contre les Romains. Suppl.
I. 389. a.
A N A N IS A P T A , ( Magie) talifman contre la pefte , qui
confifte à porter fur foi ce mot écrit. C e qu’en dit Delrio.
I. 406. a. Etymologies prétendues de ce mot. Ibid. b.
A N A N T A L I , (Botan. ) plante du Malabar de la famille
des orchis. Noms que les botaniftes lui ont donnés. Sa def-
cription. Suppl. I. 389. b. Ses qualités ,8c ufages. Erreur de
Linnæus fur cette plante. Ibid. 390. a.
A N AN U S , ( Hijl. des J u ifs) g rand-prêtre des Juifs
appellé Anne dans l’évangile. Suppl. I. 390. a.
Ananus, fils du précédent, grand-prêtre, 8c enfuite gouverneur
de Jérufalem. Suppl. I. 390. a.
A N A P A R U A , ( Botan. ) plante du Malabar. Ses autres
noms. Sa delcription. Suppl. I. 390. a. Ses qualités & ufages.
Maniéré de la claffer. Ibid. b.
A N A P AU OM E N E , ( Hifl. nat. ) fontaine de Dodone.
Phénomènes merveilleux de cette fontaine. I. 406. b.
A N A P E , ( Géogr. anc. Myth. ) fleuve de Sicile. Fiétion
des poètes fur ce fleuve. I. 406. b.
A N A P E S T E , ( Littér. ) forte de pié dans la poéfie grecque
8c latine. Etymologie du mot. I. 406. b.
A napeste , ( Littér. ) daétyle renverfé. Ufage qu’en
faifoient les Grecs. Le récitatif de L u lly a le plus fouvent
la marché de l’anapefte. Cara&ere de l’anapcfte françois.
Suppl. I. 390. b.
A N A PH É , ( Géogr. anc.) ifle delà mer E g é e , aujourd’hui
Nanfio. XI. 12. b.
A N A PH O N E S E , l’exercice par le chant.» Effets d’un tel
exercice par rapport à la fanté. I. 407. a.
A N A P H O R E , ( Gramm. ) figure d’élocution. Etymologie
du mot. Exemple. 1. 407. a.
A N A P L E R O T IQ U E S , remedes qui réparent les chairs
ulcérées. Comment ils agiffent. Précautions à prendre dans
l’ufage de ces remedes. I. 407. a. Voyeç Incarnatif ,
Sarcotique.
A N A P O D A R Ï , ( Géogr. ) cette riviere eft auffi appelléé
Anpadore ou Arpadore. I l eût fallu n’en faire qu’un article dans
l’Encyclopédie. , -
A N A R C H IE , tout gouvernement en général tend au
defpotifme ou à l’anarchie^ I. 407. b. _
Anarchie , efpece d’anarchie appellée autonomie. I. 897. b.
A N A S A R Q U E , ( Médecine ) Différence entre l’anafarque
8c la leucophlegmatie. IX . 437. a.
A N A SCH O R JG EN AM , ( Botan. ) efpece d’ortie du Malabar.
Sa defeription. Suppl. I. 390. h. Seconde efpece : valli-
fehorigenam. En quoi elle différé de la précédente. Ses ufages.
Ibid, 2 01. fl.
A N A S C H O V A D I , ( Botan. ) plante du Malabar. gSes
autres noms. Lieux où elle croît. Sa defeription. Suppl. I. 391.
a. Qualités & ufages de cette plante. Ibid. b.
A N A S T A S E , \ Saint) édition de fes oeuvres. Principal
but de fes écrits. XII. 342. b.
A N A S T A S IE ou A nastasiople , ( Géogr. ) ville de ce
nom. Tranfpofition de cet article dans l’Encyclopédie. Suppl.
1 .3 0 1 .4 .
 N .ASTOM O SE , ( Anat.) excès d’ouverture dans l’orifice
des vaiffeaux. Etymologie de ce mot. Autre fens dans lequel
on le prend. Communication réciproque de deux vaiffeaux.
I. 407. b. Il en eft de plufieurs efpeces. On n’a eu long-
tems que des conjectures fur la maniéré dont les extrémités
des vaiffeaux artériels tranfinettoient le fang aux veines.
Comment on eft parvenu à la connoitre. Ouvrage intitulé
Anajlomojis retefla. Ibid. 408 . fl.
A nastomose , (A n a t. ) ancienne fignification de ce mot;
Signification moderne 8c généralement connue. Les anafto-
mofes régnent dans toutes les claffes des vaiffeaux. Les
grandes fe trouvent principalement dans les veines. Suppl.
I. 391. a. Celles qui' font formées par deux troncs d’ar-
teres qui fe réunifient, font plus rares. Les anaftomofes
médiocres font fans nombre. D eu x arteres voifines fe réuniffent.
conftamment par des branches qui fe rencontrent.
Les anaftomofes des arteres & des veines font capillaires ,
& il feroit dangereux qu’il y en eût de plus groffes. Ibid.
392. «. Il eft prouvé que le fang des arteres ne s’épanche
point dans la tixnique cellulaire. D e l’utilité des anaftomofes.
Elles fervent à broyer le fang. Mais il n’y a pas lieu de
croire, comme le penfoit Bellini, qu’elles fervent à la fé-
crétion des humeurs. Celles qui font confidérables ont cer-
A N A
tainement pour but de fuppléer aux embarras qui pour-
roient naître dans le mouvement du fang. L ’anaftomofe
émpêche, par exemple, la ligature de l’artere humérale de
devenir mortelle. Ibid. b. D e plus , les anaftomofes donnent
au fang la-fac ilité de fe décharger dàns des fituations &
dans d esJ circonftances où il ne peut pas fuivre fon courant
naturel. On a c ru , & avec beaucoup de probabilité ,
que les arcades & les anaftomofes pouvoient encore fer-
v ir .à rétablir le mouvement d’un amas de globules, qui
fans ce fecours , pourroient arrêter le mouvement du
fang .Ibid. 393. a.
Anajlomoje, celle qui fait la communication des veines &
des arteres. X V I . 875. a. III. 468. b. Premiers anatomiftes
qui l’ont découverte. Suppl. IV . 238. b. C ’eft dans cet endroit
que fe fait la fécrétion des parties huileufes du fang qui
fervent à former la graiffe. V II . 839. a. Anaftomofes entre
les nerfs. Suppl. III. <8. a.
A N A S T R O PH E , ( Gramm. ) v ice de conftruélion. E ty mologie
ae ce mot. Exemples. I. 407. a. -
Anaflrophe, figure de grammaire. V l . 769. a. V II I. 401. a , b.
A N A T A JA N . ( Géogr. ) Remarque fur cet article de l'Encyclopédie.
Suppl. I. 393. b.
A N A T E ou A ttole , ( Hijl. nat. ) teinture qui fe prépare
aux Ind e s , à-peu-près comme 1 indigo. Maniéré dont
on la fait. I. 408. a. i
A N A T H È M E , ( Théolog. ) fens du mot cherem des Hébreux.
Exemples d’anathêmes fous la loi de Moïfe. Anathèmes
prononcés par l’églife chrétienne. Anathèmes judiciaires
& abjuratoires. Dans quel fens faint Paul defiroit
être fait anathème pour fes freres. Il faut remarquer que
ce mot eft pris quelquefois dans un fens favorable, '& qu’a-
Iors il fignifie confacré, dévoué. 1 . 148. b.
Anathêrne. Voye1 EXCOMMUNICATION. V I . 224. b. D e
1’anathême chez les anciens Hébreux. VIH. 503. b. D e l ’ana-
thême prononcé par le mot maran-atha. X. 66. b.
AN A T IF E R E S , conques, ( Conchyl. ) coquilles de mer.
IV . 189. a. Suppl. II. 349. fl, b. En quoi elles different des
pouce-pieds. XÎII. 187. a.
A N A T IL IA , ( Géogr. ) lieu dans la G aule. Suppl. IV . 1 1 . b.
A N A T O L IE , principautés particulières que les Tu rc s formèrent
dans l’Anatolie au commencement du quatorzième
fiecle. X IV . 654. a , b. Voye% Natolie. XI. 37. b.
A N A T O M IE , étymologie & différentes acceptions de
c e mot. But de l’anatomie. Avantages de l’anatomie. I.
409. a . Difpute contre les médecins dogmatiques & les
empyriques fur ces avantages. Parti moyen que prit Celfe
pour terminer la difpute. ic i l’on examine fi là diffeélion
vivante d’un malfaiteur bleffe l’humanité. Ibid. b. Exemple
d’un cas où l’exécution d’un criminel fut tranfiniiée utilement
en opération anatomique. Ibid. 410. a. Dans la quef-
tion fur les avantages de l’anatomie, chacun a pris le parti
qui convenoit à lès lumières anatomiques. Six propofi-
tions bien établies qui démontrent futilité de l'anatomie.
Ibid. b. Hiftoire abrégée des progrès de cet art. Son origine.
Ibid. 4 1 1. a. Philofophes qui l’ont cultivé. Efquiiie de
fanatomie & de la philofophie d’Ariftote. Ibid. b. Autres
anatomiftes venus après lui. Decouvertes d’Herophile &
d’Eudeme fur les nerfs, Syftême de Phyfiologie d’Herophile.
Ibid. 412. a. On croit qu’Herophile & Èrafiftrate
oferent les premiers ouvrir des corps humains. Dé couvertes
8c connoiffances phyfiologiques de ce dernier. Anatomiftes
qui les ont fuivis. Syftême d’Aretée , Rufus, Galien.
Progrès de l’anatomie retardés. Ibid. b. Ouvrages de Galien.
Soranus. .Traité de .Théophile - Protofpatarius. Nemefius.
Siècles d’ignorance. Ouvrages de Mundmus. Ceu x de Con-
corrigio publiés en 15 15. Epoques dans l’hiftoire générale
de l’anatomie. Auteurs qui ont travaillé Sc écrit depuis
Vé fale jufqu’à nous : découvertes qu’ils ont faites. Ibid. b.
Avantages que nous ont procuré ces découvertes. Ibid. 415.
a . 8c l’anatomie en général. Ibid. b. Anatomie humaine, 8c
anatomie comparée. Divifion de l’anatomie félon les diver-
fes parties que préfente le corps humain. Explication des
planches anatomiques contenues dans l’Encyclopédie. Ibid.
416. a.
Planche I . Fig. x , de V e fa le , repréfente le fquelette, vu
en devant. I. 410. a.
Fig. 2 , repréfente la tête du fquelette , v u e dans fa partie
inférieure. Ibid. b.
Les fig. 3 , 4 , 5 , repréfentent des fquelettes de foetus de
différens âges. Ibid, 417. a.
Planche IL Fig. x. , de V é fa le , repréfente lê fquelette ,
v u de côté.
Fig. 2 , j-eprèfente labafe du crâne. 1. 417. a.
Fig: 3 , repréfente les dents dans leur entier.
£ 8- 4 ’
E‘8 ï> <■ de Clopton Havers. Ibid. 417. b.
Planche. III . Fig. 1 , de V e fa le , reprèfente le fquelette,
ru en arrière
A N A 67
Fig. 2 8 , repréfentent différens degrés d’oflîfications
de lo s pariétal, par ou l’on voit comment les intervalles
entre les fibres offeufes I M remplis par degrés. L 4 1 7 . b.
Planche IV . Fig. .1 , d Albinus. 1. 4x7. b. à
Fig. 2 ;, d’Albiniis. Ibid. 418. a.
Fig. 3 , de Courcelles. Ibid. b.
Planche V. d’A lbinus, deux figures. 1. 418. b.
Planche VI. Fig. 1 , d’Albinus. 1. 419. b.
Fi^ 3* ^ ^ 0urCe^®s- Ibid. 420. b.
Fig. 4 , de Courcelles. Ibid. 421 .a .
Planche VU . Fig. 1 , d’H a lle r ; elle reprèfente le diaphragme.
I. 421. b.
Fig. 2 , d eM . D u v em é y , reprèfente le p ha rynx, v u poflé.
neurement. - 1
Fig. 3 , du même ; elle repréfente le la r yn x , v u antérieurement.
Fig. 4 , d Euftaclii ; elle reprèfente le la ryn x , vu poftérieure-
Fig. 5 du même, repréfente le larynx ouvert 8c vu fu r ie
côté. Ibid. 422. a.
Planche VIII. Fig. 1 , de Drake. I. 422. a.
Fig. 2 , ramifications de la veine-porte dans le foie L
421\ a-
^ Fig- 3 > membranes de la trachée-artere féparées les unes
Fig- 4 > tronc d’une groffe veine difféqué.
Fig. 5 , une partie de l’aorte tournée dedans en dehors.
Fig. 6 , -vaiffeaux lymphatiques.
Fig. 7 , ramifications de la veine-cave dans le foie.
Fig. 8 , de Ruifch ; parties des arteres diftribuées dans le
placenta.
Fig. 9 , l’arjere pulmonaire.
Fig. 1.0 , tronc de la veine pulmonaire. Ibid. b.
Planche IX . Figure x , des tranfaélions philofophiques.
Elle repreiente les troncs de la veine-cave avec leurs branches
dilféquées dans un corps adulte. I. 423.' b. ■
Fig. 2 , les troncs de la veine-porte , difféquès 8c développés.
Fig. 3 , d’Huber ; repréfente la moelle épiniere à gauche;
Ibid. 424. a.
Fig. 4 , du même; repréfente une portion de la moelle
épinière de la partie fupérieure du d o s , 8c confidérée en
devant. Ibid. b.
Planche X . Figure 1 , de Vieuffens. I. 424. b.
Fig. 2 , d’Euftachi. Ibid. 426. a.
Planche X I I . Fig. x , d’Haller ; repréfente les arteres de
la face. I. 427. b.
Fig. 2 , du même ; repréfente une partie de la diftribü-
tion de la carotide externe. Ibid. 428. a.
Fig. 3 , de R u ifch , le pro cès,ciliaire , vu au m'icrofcope.
Fig. 4 , du même ; le globe de l’oeil 8c les nerfs qui s’ÿ
rendent. ...
Fig. 5 » du même ; la langue , vue dans fa partie inférieure’.
Figure 6 , du même ; la choroïde fans fes vaiffeaux,
Ibid.p.
Fig- 7 5 de Cowper ; les mufcles de l’oeil prefque dans
leur fituation naturelle.
Fig. 8 , de Bidloo ; la paupière fupérieure avec fes glandes
8c fes p o ils , vus à la loupe.
Fig. 9 > de R u ifch , la choroïde 8c fes arteres.
Fig.; 10, du même ; la felérotique 8c la rétine.
Fig. 1 1 , du même ; l ’humeur vitrée 8c la criftaline.
Fig. 12 , du même ; lames de la felérotique.
Fig. 1 3 , du même ; l’iris.
Fig. 1 4 , d’Heifter; la langue, vue dans fa face fupérieure.
Ibid. 429. a.
Planche XIII. D e l’oreille. Fig. 1 , de D uverney. E lle repréfente
la diftribution d e là portion dure dans les différentes parties
de la face. I. 429. a.
Fig- 2., d’après nature, repréfente l’os des tempes en fituation,'
8c vu à fa partie latérale externe.
Fig. 3 , d’après nature, l’os des tempes, vu dans fa partie
inférieure.
Fig. 4 , repréfente le même os , vu par fa face latérale
interne. Ibid. b.
Fig. 5 , d’après nature, repréfente les canaux demi-circulaires
8c le limaçon.
Fig. 6 ,.de Valfalva, repréfente les canaux demi-circulaires ,
le limaçon, les offelets de l’oreille ,, 8cc. en fituation.
Fig. .7 ', ae Ruifch , répréfente les offelets de l’ouïe
dans leur état naturel 8c recouverts de leur pèriofte.
Fig. 8 , de Y a lfa lv a , repréfente la diftribution de la portion
molle, dans les canaux demi-circuhires. Ibid. b.
Fig. 9 , 10 , de Bidloo , repréfentent la peau 8c l’épiderme,
vus au microfcope.
Fig. 10 , reprèfente l’épiderme.
Fig. x 1 8c 12 , d’après Ruifch, repréfentent la cloifon des