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Defcartcs porta l ’algebre 6c l’analyfe. Ibid. 261. a. I. application
de l’aiialyfc â la géométrie appartient prel’qu’entiérement
à Dcf cartes. Ibid. b. Quoique Newton fut né dans un tems
où l’analyfe paroiffoit preique parfaite, un fi grand génie ne
pouvoit manquer d’y ajouter encore, comme il l’a fait dans
ion arithnrèéique imiverlclle. Autres traités dans lefquels il
a fait l’application de l’analyfe à la géométrie. Les éièmens
tic l’algcbre furent compilés & publiés par K erfe y en 1671.
Additions faites en divers tems à cet ouvrage. Autres traités
fur le même fiujet, où fe trouve l’application de l’algebre à
la géométrie. Ibid. 2.62. «. Autre uiage de l’algebre pour le
«aïeul des infinis. Ibid. b. V o y e z Arithmétique univerfidle, application
de l 'algèbre J la géométrie. . _ , . .
Algèbre. Origine de l’algèbre. I. v . v j. Son état chez les
anciens. I. 677. b. IV . 1014. b. Différence entre 1 algèbre 6c
l ’analyfe. V IL 637, b. On peut appeller l’algebre géométrie
fymbolique ou métaphyfique. Ibid. O n lui donne le nom
o arithmétique fpécieufe. X V . 442. b. Explication des caraco
l e s algébriques. II. 648. «.Notion generale de 1 algèbre 8c
<lc fes opérations. I. 675. b. - 678. b. Méthode qu’on fuit
pour la folution des problèmes. XIII. 748. i . Equations algébriques.
V . 842. « , b. Formules algébriques. V IL 183. b. Elé-
mens d’algebre de M. Clairaut. V . 497 - ° e l’application de
l ’algebre à la géométrie élémentaire. VU . 637. a. Application
de la géométrie à l’algebre. I. 5 51. b. Abus de 1 application
de l’algebre à la phyfique. I. vij.
A L G E R , des algériens 8c de leur commerce. II. 89. b. D e y
<l’Alger. IV . 925. a , b. Gouverneur des provinces d’Alger.
II. 219. b. Des grades militaires chez les algériens. XI. 447. b.
Bâti mens où l’on rend la juftice, 8c où l’on traite des affaires
des provinces. Suppl.IV . 7x9.a.
A L G ID E , fièvre. VI.
A L G O N Q U IN S , idée que ces peuples ont de l’ê
ne. X. 485. b. Leur doélrine 8c leurs pratiques pa
ces génies tutélaires , qu’ils appellent manitous. 4 1 .« . d i v i nation
qu’ils pratiquent par la cendre. X V I. 144- b.
A L H A G I , ( Botan. ) defeription de cette plante. Manne
qu’on en retire. Lieux où elle croît. P ropriété de fes feuilles
oc de fes fleurs. I. 263. a.
A LH A G IN E , manne.X. 44-
A L H A N D A L , trochifques alhandal. III. 657. b.
A L I , ( Hiß. des califi Hifi. des fielt, relis. ) coufin-germain
de Mahomet, q u i , dans la fuite , le choifit pour fon gendre.
Oppofitions continuelles qui l’empêchent de parvenir au
califat. Sa mort. Son portrait. Refpeét qu’infpire fa mémoire ,
pouffé jufqu’à l’idolâtrie. Se&ateurs d’AÎi. Qualifications pom-
peufes qu’ils lui donnent. Sentences qu’il a écrites. Son
commentaire de l’alcoran. Suppl. I. 279. a.
A li , ( Mahométifim. ) obfervations fur la feéfe d’A li. X IV .
763. b. Sa doétrine. X V . 14 2 .« , b. Introdudlion de cette feéie
enP erfe. XII. 418. a. Grand-prêtre établi fur elle dans ce
royaume. X IV . 887. a. Hiftoire d’Ali. IX. 866. a. Suppl. II.
126. b. Culte que lui rendoient les Choisîtes. Suppl. I. 17. b.
A l i , ( Moulla Scherefieddin) auteur qui a écrit l’hiftoire
des conquêtes de Tamerlan. X V I I . 668. a.
A L IC A , ( Litt. ) efpece de nourriture dont il eff beaucoup
parlé chez les anciens , 8c cependant peu connue des modernes.
L ’auteur rapporte ici la plupart des paffages ou il en eft
fait mention. I. 263. b.
A L IÉ N A T IO N , ( Jurifip. ) diverfes obfervations 8c maximes
dé droit fur les aliénations. I. 264. a.
A liénation, (Droit volitiq.) réflexions contre le prétendu
pouvoir d’aliéner la couronne. X IV . 418. b. Inaliena-
bilité du domaine. V . 22. b. IX. 667. b. Comment il peut être
aliéné. V . 24. b. Enfaifinement des attes d’aliénation de biens
domaniaux. V . 708. b. Voye^ ENGAGEMENT du domaine. 677.
a , b. Aliénations confidérées comme une des reffources que
les finances procurent. V I . 813 .b.
A liénation , ( Jurifip. ) différentes fortes d’aliénations
comprifes fous le nom de vente. X V II . 24. b. Aliénation dite
abaliénation. I. 8. b. Sorte d’aliénation appellée amortiffement.
367. a. Chambre des aliénations faites par les gens de mainmorte.
111. 46. b. Les biens de la famille ne doivent s’aliéner
que le moins qu’il eft poflible. V . 344. b. Remploi des biens
aliénés. X IV . 100. b. D e l’aliénation des biens de l’églife. V .
423. è. 8c de ceux des fabriques en particulier. V I . 3 51.«.
A L IG N E R , ( ArchiteEl. ) réduire plufieurs corps à une
même faillie. I. 264. b.
A ligner A Jardin.) defeription de la maniéré de tracer fur
le terrein des lignes pour former des allées , des parterres,
des bofquets, des quinconces, 8c autres pièces. I. 264. b.
ALIGN EM EN T en quinconce. XIII. 7 14. é.
A L 1GN O U E T , ( Ou til) in finiment dont on fe fert dans
la fabrication des ardoifes. D efeription 8c ufage de cet outil.
I. 264. b.
ALIMENS , ( en Droit ) fignifient toutes les néceflités de
la v i e , 8c fouvent même ùne penfion deftinée à fournir à
quelqu’un fes befoins. I. 264. b. Â qui les alimens font dus, 8c
par qui. Réglés de jurifprudence fur cet objet. Ibid. 265. a.
A L I
A limens , (Jurifip.) les enfans doivent les alimens â leurs
afeendans qui font dans l’indigence. V . 654. b. Donation alimentaire.
48. a.
A limens , ( Médecine ) confidèrés fous deux points de
vue. I. Des alimens confidéréscomme caufie de maladies. i° .L c u r
quantité trop grande ; a0, leurs qualités vicieufes : ces qualités
font : I. 26 3. a. l’alkalefcence, l’acidité, la qualité rance,
les falures, la vil'cofité 8c glutinofité; 30. le tems où l’on
prend les alimens , peut influer fur leur altération. Cure des
maladies dont la caufe eft produite par les alimens. Ibid. b.
To ut aliment en général peut avoir des qualités ou contraires
ou favorables à la fanté de celui cpii fe porte le mieux. Te ls
alimens qu’on foupçonneroït le moins de contenir .des oeufs
d’infeéles, en font imprégnés. Ibid. 266.«. II. Alimens confidérés
comme remèdes. Alimens les plus convenables à un malade.
Procédés de M. Geoffroi le c a d e t , par lefquels i l a fait l’ana-
lyfe des viandes qui fonde plus d’ufage. Ibid. b. 8c 267. a. Table
du produit de fes expériences fur la chair de boeuf, celle de
veau , celle de mouton, celle de p o u le t , de coq , de chapon ,
de pigeon, de faifan, de perdrix, de poulet-d’inde. Ibid. b.
Alimens,matièresalimenteufes. X I. 261 .b. 8tc. Des alimens
tirés des plantes. Suppl. 11. 31. a. Efpece de fel que la plupart
des alimens renferment dans leur fubftance. XI. '289. b.
Influence de la nature des alimens fur la figure des parties
de l’animal. Suppl. I. 135. b. Alimens convenables aux en-
fans : voyez ce dernier mot. C e font les fubftances farineufes
qui fournilTent l’aliment principal des hommes 8c d’un grand
nombre d’animaux. V I . 412. a. Différentes fortes déplantés
farineufes employées pour la nourriture chez différons peuples.
Ibid. b. Poudre alimenteufe qui nourrit un adulte, 8c le
met en état de foutenir des travaux pénibles , â la clofe de
fix onces par jour. Ibid. D u choix des alimens pour la fanté.
VII I. 380. b. XI. 220. b. 221. a j b. 263. a , b. Alimens les
plus propres à fervir à la confervation individuelle. 289. ai
Comment on peut juger que l’on n’a pris dans un repas que
la nourriture convenable. 222. a. Les animaux fauvages
fourniffent une meilleure nourriture que les domeftiques.
X IV . 728. b. Les alimens n’échauffent que par leur aflaifon-
nement. V . 244. a. Danger de fe nourrir d’aümens trop
chauds par le feu. Suppl. II. 35. a. En quoiconfifte la méthode
de conlerver les alimens. IV . 338. b. 539. «. A rt de rendre
les alimens des deux régnés plus faciles à digérer. Bizarreries
fingulieres qu’on a obfervées par rapport à la qualité
des alimens , que certains eftomacs digèrent préférablement
â d’autres. IV . 1002. a. D es alimens indigeftes. V I I I . 676.
b. 677. a. Effets bien reconnus de l’ufage des alimens farineux
non fermentés. V I . 413. b. Les habitans des pays chauds
aiment les alimens de haut-goût. VII I. 70. b. Des alimens
de mauvaife qualité , 8c qui n’incommodent pas, marquent
une bonne conftitution. V l . 376. b. L’excès des alimens fait
dormir. X V . 332. b. Les alimens regardés dans certains cas
comme caufe d’épidémie. V . 788. b. Defir immodéré de certains
alimens abfurdes, nuifibles, 8cc. V . 735. a , b. Mauvais
effets des alimens vifqueux. X V II . 357. b. Agglutinans. I.
173. b. Alimens aqueux. I. 565. a. A limens doux. V . 91. a ,b .
Alimens fortifians, voyez ce dernier mot. Des alimens par
rapport aux malades. X l v . 14. a. b. 8cc. L ’homme s’eft accoutumé
quelquefois à des alimens pour lefquels il devait avoir
naturellement de l’éloignement. Suppl. III. 247. b. Aucun
aliment n’eft vraiment falutaire, quand fon odeur eft défa-»
gréable. Suppl. IV . 104.-«.
A liment , ) Phyfiologie ) tentatives que les premiers hommes
ont dû faire à leurs dépens , fur le choix des alimens.'
Effais qu’ont faits ceux qui fe font trouvés dans une néceflité
preffante. I. 269. b.
A limens , ( Hifil. ) efpece de nourriture des anciens, appel*
lée alica. I. 263 -b. A utre dite alphita. 297. b. Efpece de bouillie
des anciens appellée griotte. V I I . 949. b. Sauce noire des Spartiates.
X V II . 760. a. Mets les plus délicats des premiers
romains. XIII. <6<. a. 759. a. Ragoût nommé calaiou, que
les dames créoles préparent en Amérique. II. 339. a. Ragoût:
des dames créoles des Antilles, nommé Coufifiecaye. IV . 404.
a. Efpece de fauce que les grecs 8c les latins nommoient
garum. I. 440. a. Aliment des Caraïbes, nommé taumalin. X V .
938. « .Différentes fortes de plantes employées chez les diffé-
rens peuples en qualité d’alimens. V I . 412. b.
A L IM E N T A IR E , (Phyfiologie ) opinions des anciens
médecins fur la compofition des humeurs. Conduit alimentaire.
Morgagni regarde tout le conduit alimantairc comme formant
une feule glande. I. 269. b.
A limentaires. , ( Hifil. anc. ) jeunes garçons 8c jeunes
filles qu’on élevoit à Rome dans des lieux publics, comme
cela fe pratique à Paris , dans les hôpitaux de la Pitié , des En-
fans-rouges, 8cc. Souvent onappelloit ces garçons 8c ces filles
du nom des fondateurs 8c fondatrices de ces maifons. I. 270.a.
A L IQ U A N T E S , (Arithm. ) parties aliquantes d’une liv r e ,
ou v ingt fols. I. 270. b.
A L IQ U O T E S , ( Arithm. ) parties aliquotes d’une livre î
ou vingt fols. I. 270. bt
A L K
A L IS E , ( Géogr. Hifil. ) ancienne v ille de Bourgogne, métropole
des Gaules , 8c capitale des Mandubiens. Son antiquité.
Q uel étoit fon emplacegflînr. Cette v ille prife par
Céfar.1 Suppl. I. 282. a. Elle fut rebâtie fous les empereurs.
Voies romaines qui tendoient à Alife. Anciennes églifes de
cette ville. Ibid. b. Etymologie que Lemoine donne du nom
d’Ahfe. Son état de décadence 8c de ruine dans le neuvième
ifÀ-'- r “ !iaPelJe & eaux de fiunte Reine. Population du bourg
d’A life. Commerce de ce lieu. Fête de fainte Reine. Établiffe-
ment des cordcliers 8c d’un hôpital dans ce lieu. État préfent
du lieu où éroirbâtie l’ancienne ville d’A life. Monumens d’antiquité
qu’on y a trouvés. Ibid. b. 283. «;
ALISÉ , ( Phyfiiq. 6* Marine) vents alifés , vents de commerce
, mouflons. I. 270. b. Le vent proprement appellé
«///?, régné toute l’année entre les tropiques, de l ’eft à l’oueft;
mais il eft fujet h quelques variations, fuivant la faifon. Ces
vents font fi forts , que les vaiffeaux traverfent la nier du fud
en dix femaines. T raités où l’on peut s’inftruire avec plus de
détail fur ces vents. Opinion finguli.ere du doéleur Lifter fur
leur caufe. I. 271. a. Autre fyftême du doéleur Gordon.
Ibid. b.
Alifié, vents alifés 3 étymologie du mot : ce qu’on entend 1
par ces vents. V I . 30. b. Suppl. IV . 51. a. Leurs caufes. VI.
905. a. XV II . 17. b. 18. b. Voye^ MOUSSONS.
A L ISM A , ( Botan. ) defeription de cette plante. Ses qualités
en médecine. I. 271. b.
A L IS O , ( Géogr.) ce nom commun à une riviere ( la riviere
d’Alme ) 8c h une fortereffe dans le pays des Sicambres , aujourd’hui
dans l’évêché de Paderborn. Alifo eft le premier
endroit de la Weftphalie , où les romains fe font établis.
Détermination de ce lieu. Suppl. I. 283. b.
A L IT E U S , ( Mythol. ) article de l’Encyclopédie ; lifez A li-
terius: furnom donné â Jupiter 8c à Cerès.I. 283. b.
A L IX , ( l ’ordre du Chapitre d‘ ) paroiffe de Marfy-fur-
A n fe , en Lyonnois. M arque de l’ordre. Comment on eft admis
dans ce chapitre. Suppl. I. 283. b.
A L IZ IE R , ( Botan. ) ou lorbier fauvage. Ses autrès noms.
Caraélere générique. Il eft impoflïble d’aflïgner entre les
aliziers, les riefliers , les forbiers 8c les poiriers , des différences
aidez marquées 8c affez invariables, pour qu’on ne
puifle pas les confondre. Il n’eft prefque pas une efpece de
tous ces genres, qui ne puifle fe greffer fur toutes les autres,
■ détailsfur ce fujet.Suppl. I. 284. «.Defeription d efept efpeces
d ’alizier. Obfervations de culture fur ces différens arbres.
Ibid. b .
A L K , ( Ornith. )l:‘oifeau aquatique de la Norwege. Ses
différens noms ; auteurs qui l’ont fait connoître. Sa defeription.
Suppl. I. 283. b. Contrés qu’il fréquente. Lieux où il fait
fon nid. Sa nourriture. I l ne faut pas confondre cet oifeau avec
le pingoin. Ibid. a.
A L K AH E S T , ( Ckymie ) menftrue ou d iffo lvant, q u i ,
félon les alcbymiftes, réfout entièrement les corps en leur
matière primitive, I. 271. b. Paracelfe 8c Vanhelmont affurent
1 exiftence de ce menftrue. Bo y le en étoit fi en têté , qu’il
auroit mieux aimé pofféder l’alkaheft, que la pierre philofo-
phale. L ’idée d’un tel diffolvant n’eft point abfurde. Auteurs :
qui en ont traité. Origine du mot alkahefil , que Paracelfe a
employé le preinier. Quelques-uns l’ont cru formé de alkali
*Jl. Autres opinions fur l’étymologie de ce mot. I. 272. a.
Autres termes employés pour exprimer ce diffolvant. Propriétés
que lui attribue Vanhelmont. Celui-c i, a vec Paracelfe
regardoit l’eau comme l’inftrument uiliverfcl de la cfiymie
8c de la philofophie naturelle , la terre comme la b afe, 8c le
feu comme la caufe efficiente de toutes chofes. Le caraélere
de 1 alkaheft eft de changer 8c de diffoudre tous les corps
fublunaires , excepté l’eau feule. D e quelle maniéré ces change
mens arrivent. Ibid. b. C e qu’il faut penfer de ce menftrue
univerfel. Ibid. 273. a.
ALK ALE SCEN CE , (Médecine ) de celle du fang. Suppl. IV.
724. «. b. 725. a.
A L K A L l , ( Chymie ) tout fel dont les effets font contraires
a ceux des acides. Origine du mot. Il y a des matières qui
îont aJkahnes pour quelques corps , 6c acides pour d’autres.
Tes alkahs fo n t , ou fluides, oufolides j ou fix es, ou volatils.
Comment on peut favoir fi une matière eft alkaline. I. 273. «.
Tes alkahs fe fondent au feu , 8c s’humeélent à l’air. Les
trois régnés en fourniffent. Natrum , alkali fixe naturel , du
jjenre minéral. Méthode de Tachenius , pour faire des alkalis
i n B B B B lin peu de la partie graffç de la
matière inflammable avec laquelle on l’a & . I. a. Il y a'
lteu de foupçonner qite les alkalis font gras au to ich e r ia r
1 k l île qu, y eft fixée Les alkalis fixes Tout en général plus
forts que les volatils. Ceux des plantes font compofés d’ime
petite partie de la terre de la plante. Un alkali peut l’être
plus ou moins , félon ce qu’il a d’acide concentré dans fa
terre. 11 ne faut pas lefliver les cendres des plantes a vec l’eau
S “ 6 ’ P° llr en tirer lesfels- H *74- Les alkalis volatils
rent entr e u x , comme les fixes different entr’eux. Les
A LL LLA 47
S e n t i r S S ™ ' 1“ & de
S'huiles joints cnfemble m J l °“ C“ ” P°f e I “ 8 d aUtalis &
I l ? 1 n I aïkans. I. 98. Suivant les principes de Stahl il nV u •
d alkali volatil formé par fit nature ; niais tous les^ fe s de
X III t l T * f,:l1 011 par la pntréfaftuui.
prodtut HUHi|B ,rngardé HUB I (luit caiautéi inique des fubftances animales. X VcI0 18îl7fu0e ale
S S P ; A b- Les terres M
600 /» r PC J enC a slBn®. ?ntrent aifément en fufion. VII
OU flux blanc. V I 913 a V“ ' 7 °' A k 1 eMemporan4
■ H W H W B g O H i l I V U 6 . a, D e la diflb-
les alkalis, d’im euivre d i f f o u s PdZ BB T fucf.es..de l:î f,I<rolucion du fer dans l’alkali fixe X
o. a. Les alkahs volatils , quoique produits par là mitréY-ie ’ i l l i i ig p lp l
B Propr'étJs communes à la chaux 8c aux alkalis fixes
m m p H O <i;,e 1 M oP«-e fm- ies S
mS H»HH ImB J'o urftuo‘ chaux augmente la caufticité des 7 ,1- "■ Alkali lise tic tartre. X V <,a7 i
Nature de 1 alkah phlogiftiqué Stwol III ^ '
udécccoouuvvrree l alkali Lco ntebn u dans l’eauS. B 47 43.4 a®.- Lomment on
A l k a l i phlogifiliquè , Ufifive fiulfiureufii, ou , pour mrler
qué B i W W H H ne peu, B M I M
réunies & ne cede qu’à l’affiott de quatre affinités
réunies. H précipite tous. les métaux diflous, & ne précioite
C , “ Val‘‘é ‘ C le diftblution d'alun, que l’ouCpfo e
■ B M W ■ ■ dc truffe. Quel eS le priucipii qui
don né I.1 i ’ 91 îperf ces piécipi, allons ? la minière
BniabBles ma S lri’ “ S a8 BH SH avcd des ma'>cfcs inflam- fiuiplement le H I M ;
m i r é X m . ° B E P rapporte ici plufieurs obfervatimts,
qui réfutent atijourd hui à cette opinion. Ibid. b.
- f xKA»iS («es »/confidérés comme remedes. Leurs pro-
M f f l Ê de employer. Si les alkalis fo u tu e s
S I B ’ d,s H I auffi ca" fe tnalatiies. Caufes dé l’alHfanrDf
exBceffHi“ B | ,275 ’ *■ 11 « e r d’une kes„.effe,s H ™ flmc»ce plus difficiles à
guérir que ceux de 1 intempérance. Signes par lefquels fa
manifefte une putréfaéhon alkaline. Ibid. b. Cure des maladies
caufées par 1 alkaléfcence des humeurs. Ibid. ï 76 a
a l k a u s ( M'dtc.) propriétés des eaux diftillées de plantes
alkalines. V . 198. e . Ces alkalis mis au rang des réfoludfs ÉHDB H 9H H B MBS I. aoy. b. Acrimonie alkahne. III. .80. a Eaux ailt.lin,.
W «I- y y - i-E ffe ts ties alkalis f i x l s ^ l e fatig, 8 o; b
oc fur la chair. Ibid. & 806 b ■ 5
m m f f l M H >76. i. Æ L i iTd:em Yüle enriohie par Ia ^
A L IOE K E N G E , ( Botan. ) defeription de cette plante:
^“ >P™ KS en mMecine- Trocltifques d’alkekenge. I. ■ H S ! i p 'o e d’écarlate. Confeffion alkermés. Si-
top alkermes de Montpellier. I. 277. a.
Alkermés. conffiftion alkermés. IIL 847. a , b. Alkermés
P H >8- 4 ,& c . Voye^Keumès.
A L K IN D I , plulofophe Arabe. X IV . 66<j.a.
A L K O O L , ( Chym. ) matière réduite en parties extrêmement
fubtiles. Alkoolifier, purifier 8c fubtilifer. Etymologie
de ce mot. Voye^ A l c o h o l . I. 277. «.
A L -K O S S IR , ou C o ssir , ( Géogr. ) v ille d’Egypte fur
la mer rouge. Deux villes de ce nom ; l’ancienne & la nouvelle.
Stérilité des environs. Suppl. I. 286. b.
A L L A .(G éo g r .) nom d’une ville d u T r e n t ln , & d’une
riviere de Pologne. Suppl. I. 287. a.
A l la , ( Mufiq.) Alla b reve. Alla Capella. Alla francefe.
Alla polacca. Alla femi b reve. Alla zoppa. A lla ottava. Suppl.
I. 287. a. rr
ALLAIS de Beaulieu, maître écrivain. IX. 008. «.
A L L A IT EM EN T ( Médee & Chirurg. ) correfpondance
la matrice 8c les mammelles. Equilibre d’aéiion 8c de
réaction qui s’établit entre ces deux organes durant la grof-
lefie. Caufes de l’accouchemem. Suppl. I. 287. b. Les mam-.