I Ç ) 0 C H A
CHASSIS dont fe fervent les graveurs. Defcrlptlon. U fage ffl H 6.
Châssis, (Hydr.) qui fe place au bas dune pompe. 111.
23 a. b. 4 ,
C hâssis de verre, ( Jardin. ) defcription. Plantes qu on y
élev e . Comment on y donne de l’air aux plantes. III. 232. 0.
C hâssis d’imprimerie : affemblage de quatre tringles de 1er
plat. &c. Chaflis pour les différens formats. 111. 23a. 6.
CHASSIS H davier, des êpineU.S I t a . pâme de
mens fur laquelle les touches font montées. 111.232. b. Chaiiis
des clavecins à deux claviers. Ibid. 233. a.
Châssis de lit. Cha f i s , h la monnoie. Chajfis a 1 opéra. 111.
' C h â s s is , ( Dejfin ) pour réduire les figures du petit au
oraud Si du grand au petit ; ou ceux fur lefquels on tend la
toile pour peindre. III. 233. a. Voye^ vo l. III des pl. article
Châssis, terme de plombier, de rubannier. III. 233. b.
ChaJJis , pour le moulage des pièces d’orfèvrerie. V . vol.
des pl. article fonte de l ’or , de l’argent & du cuivre.
CHASSIS ,fa u x . — Machine d’opéra. VI. .443. a.
CH A S SO IR E , infiniment de tonnelier. III. 233.6.
CH A S T E T É . Il eft arrivé parmi les hommes , ce qu’on
n’a jamais remarqué parmi les autres animaux , c eft de tromper
la nature , en jouiffant du plaifir qu’elle a attaché a la
propagation de l’efpece humaine , & en négligeant le but
de cet attrait : telle eft l’impureté. L a vertu oppofée c ’eft
la chafteté. Comment elle a lieu dans le mariage & hors
du mariage. Différence entre la chafteté & la continence.
III. 233.6. En quoi confifte la chafteté preferito au chrétien.
'chafteté. Différence .entre la chafteté & la continence. IV .
X13. a. X V I . 59. a. La chafteté défignée par le nom particulier
de vertu. X V II . 185. «. Les peres de l’èglife ont approuvé
l’aétion de ceux & de celles qui fe tuent pour con-
fe rv e r leu r chafteté. XII. 348 6. Opération par laquelle divers
peuples d’A frique 8t d’Afie s’affurent de la chafteté de leurs
filles. VII I. 259. a. Vçeu de chafteté. X V I I . 4 1 1. 6. Sur la
chafteté , voyez CÉLIBAT.
CH ASU BLE , habillement eccléfiaftique. Defcription de
celle des anciens. La chafuble a fuccédé à la chape. Origine
des chapes. Il paroît que nos ornemens d’églife font,pour la
plupart , les vêtemens mêmes ordinaires des premiers chrétiens
qu’on a confervés par refpeft. III. 234. a.
Chafuble , ancienne chafuble en ufage dans l’églife. IV .
6x4. a.
CH A T . Chats fauvages appellés en terme de chaffechats-
harefis. Defcription de ces chats fauvages , d’après Gefner.
III. 234. a. Quelques cara&eres des chats domefhqucs. Tems
où ils entrent en chaleur. Dans cette elpe ce , la femelle paroît
plus ardente que le mâle. Fruit de l’accouplement d’un
gros rat avec une chatte, au rapport de Boyle. Portée des
chattes. Quelquefois le mâle tue les petits. Durée de la vie
des chats. Animaux auxquels ils donnent la chaffe. Des ca-
reffes des chats : danger de leur haleine. On a dit qu’il y avoit
dans les Indes des chats fauvages qui voloient. Singularité
de leur prunelle , par laquelle lés chats font en état de v oir
la nuit. Ibid. 6. D ’où vient l’é c la t , le brillant qu’on remarque
dans les yeux du chat. Lorfque le chat eft plongé dans l’e a u ,
fa prunelle fe dilate maigre la grande lumière , & l’on ap-
perçoit diftinâement le fond de fes yeux. Explications que
donnent de ces phénomènes MM. Meri 8c de la Hire. Ibid.
235. a. Struflure particulière des ongles des chats 8c des
tigres. Leur talon n’étant pas èLoigné du refte du pié , ils
peuvent aifément s’accroupir. Pourquoi les chats 8c plufieurs
animaux du même genre , quand Us tombent d’un lieu é le v é ,
tombent ordinairement fur leurs pattes. Pourquoi l’on voit
luire le dos d’un ch a t , lorfqu’on le frotte à contre-poil. De
la couleur des chats. On dit qu’il n’y a aucun chat mâle de
trois couleurs. Il s’en trouve qui tirent fur le bleu. Ibid. 6.
Chat. Struâure des ongles des chats. X I. 479. a , 6. Suppl.
IV . 150. a , 6. O b i èrvation fur la prunelle de ces animaux.
XIII. 275. a. Defcription de l’iris des chats. Suppl. IV . 628.
6. Les chats ne fuent jamais. IV . 583. 6. Herbe aux chats.
V I I I . 146. a. tmpreflion qu’ils reçoivent de la plante nommée
le vrai marum. X- 170, a , 6. Effet fingulier que la vapeur
du régule d’antimoine produit fur les chats. IL 655. a. Pourquoi
les chats ont des hôpitaux en Egypte. X . 36. 6. Chat
des chartreux. III. 223. 6. Chat fauvage appellé quincajou.
XIII. 714. à. Chat monftre. Suppl. III. 5 53. 6.
Chat , ( Mat. mêd. ) vertus admirables attribuées à différentes
parties du chat , mais qu’aucun des auteurs qui en
parlent , n’a confirmées par fa propre expérience. Enumération
de ces vertus. Auteurs qui fe font là-deffus copiés les
uns les autres. On recommande d’avoir grand, foui de choifir
un chat mâle ou femelle, félon qu’on a un homme ou une
femme à traiter. III. 236. a.
Chat , ( Art méch. ) ufage qu’on lait de fa peau en pelleterie,
III, 236. at
C H A
C hat , ( Myth. ) honneurs qu’on lui rendoit en Egypte;
Il eft à préfumer qu’un chat en danger eût été mieux fecouru
qu’un pere ou un ami. Hérodote raconte que quand il arrivent
quelque incendie en E g y p te , les chats étoient agités
d’un mouvement divin , &c. l l l . 236. a. — Voyes^ Suppl. III.
163. 6. ‘ .. *
Chat , ( Pierre de ) efpece de pierre calcaire. Son ufage.
III. 236. 6.
Ch a t , nom qu’on donne à certaines ardoifes. III. 236; 6.
Chat , ( Marine ) defcription de ce bâtiment dans fes principales
parties , fes dùnenlions : c’eft un mauvais bâtiment
dont on fe fert dans le nord , mais il contient beaucoup d’ef-
pace 8c porte grande cargaifon. Bois dont on le fait. III.
236.6.
Chat , ( Artill. ) infiniment dont on fe fiert pour examiner
fi les pièces de canon n’ont point de chambre ou de défaut.
I n 236. 6.
Chat , ( Art milit. ) efpece de tour qui fervoit anciennement
en France à porter des foldats pour afiiéger des places.
XV II . 762. 6.
Chat d’un plomb : inftrument qui fert à connoître fi une
piece de bois eft à plomb. III. 236. 6.
C hat , à lamonnoie. III. 236. 6.
C hat , ( Bot. ) pié de chat. X II. 359. a , 6. Herbe aux:
chats. VII I. 149. a. _
CH A T -H U A N T , oifeaux auxquels on a donné ce n om , 8c
pourquoi. Chat-huants cornus. III. 5, a.
Chat-huant , voye£ Hibou. Article fur les chats-huants.
III. 5. 6. Chat-huant du Brefil nommé ibijau. VII I. 479. 6.
Chat-huant, attribut de Minerve. X V . 730. 6.
CH A T A IG N E S , diverfes maniérés de les préparer. Q u els
font les marrons les plus eftimés de la France. Peuples à qui
les châtaignes tiennent lieu de pain. Elles caufent des vents
8c font difficiles à digérer. Tempéramens qui doivent s’en
abftenir : tempéramens auxquels elles conviennent. Eleéluaire
contre le crachement de fang compofé de farine de châtaignes.
III. 240. a. Maladie pour lefquelles on les recommande.
Cataplafme pour réfoudre les duretés des mammelles, &c.
Les châtaignes font très-propres à rétablir les convalefcens
des maladies d’automne , Si fur-tout les enfans qui , après
ces maladies , relient bouffis , p â le s, maigres , a vec un gros
ventre 8c peu d’appétit. Châtaignes en chocolat , béchique
très-faluraire : cette préparation n’a cependant aucun avantage
fur les châtaignes bouillies , &c. Les marrons bouillis
font plus faciles à digérer que les rôtis. Préparation qui fe
fait dans les Cévennés des châtaignes féchées, connues fous
le nom de châtaignes blanches : il y a lieu de conjeéhirer
qu’elles feroient très-propres à fournir une bonne bicre. Ibid,
b. — Fbyei MARRONS.
Châtaignes, ( pain de ) Suppl. III. 233. a , b.
CH A T A IG N IE R , ( Bot. ) caractères de ce genre d’arbre.
III. 236. 6. Difpofition & forme des fruits. L e châtaignier eft
un arbre dont on fait beaucoup de cas. Il croît naturellement
dans les climats tempérés de l’Europe occidentale. Sa
defcription. Il tient l’un des premiers rangs parmi les arbres
foreftiers , 8c l’on convient que ce n’eft qu’au chêne feul
qu’il doit céder. On regrette de ne trouver que rarement
à préfent des forêts de cet arbre, qui étoit autrefois fi commun.
Caufe de la perte des châtaigniers dans plufieurs contrées.
Pourquoi il fe trouve à préfent une affez grande quantité
de ces arbres dans des pays plus méridionaux que ceux
où l’on préfume que les châtaigniers ont été détruits. Ibid.
237. a. Pourquoi ces arbres n e fe font pas repeuplés par fuc-
ceffion clés tems. Il leur faut une expofition 8c un terrein
convenables,fans quoi ils s’y refufent abfolument. Les végétaux
ont une forte de migration qui les fait paffer d’un pays
à un autre , à mefure qu’ils fe trouvent contrariés par diverfes
caufes. Expofition 8c terrein que les châtaigniers demandent.
Ils forment de très-belles futaies. Ils font très-bons à
faire du bois-taillis, Si au bout de vingt ans ils forment déjà
de jolis bois defervice. Semence dés châtaigniers. Tems de l’année
qu’il faut choifir pour cela. Ibid. 6. Précautions à prendre
pour conferver les châtaignes jufqu’au printems , pour les
femer dans cette faifon. Plantation en grand. C e que Miller
a écrit fur la façon de faire ces plantations. Ibid. 238. a. Autre
façon de les faire. Semence des châtaignes en pépinière. Maniéré
de lés femer ; tems 8c maniéré de les mettre en pépinière.
Culture que les plants exigent lorfqu’ils font en pépinière.
Après trois ou quatre ans on pourra les employer à
former des avenues. Ibid. b. Ces arbres ne gagnent jamais à
la tranfplantion. O n doit fe difpenfer de les é têter èn les transplantant.
Greffe. Si l’on v eu t avoir de meilleur fruit du châtaignier
, il faut le greffer , Si alors' on l’appelle maronnier.
Maniéré de le faire. Il peut encore fe multiplier de branches
couchées. Ufage du bois. Pour bien des oixvrages il eft auffi
bon que le meilleur chêne , & pour quelques cas. il eft meilleur.
Mais il lui eft inférieur pour le chauffage , Si pour la
qualité du charbon Ôc des" cendres. Châtaignes. L e climat influe
beaucoup fur leur qualité 8c leur groffeur. I l ne faut pas
C H A
attendre qu’elles tombent de l’arbre elles-mêmes. Les châtaigniers
ne produifent abondamment que de deux années
l’une. Comment on conferve le fruit. Maniéré dont les montagnards
l’emploient. Ibid. 239. a. Feuilles. Les infeétes ne
les attaquent point. Ufage qu’on en fait , foit pour garnir
des lits , foit pour la litiere du bétail. Variétés de cette efpece.
L e maronnier : ebntrée où il réuffir. Maronnier à feuilles
{»anachées. Maniéré de le multiplier : terrein qu’il demande.
>etit châtaignier à grappes. Châtaignier de Virginie , ou chin-
kapin. Sa defcription. Terreins où il fe plaît : température
qui lui convient. Ibid. 6. Maniéré de le multiplier. Châtaignier
d’Amérique à larges feuilles 8c à gros fruit. Voy ag eur qui
l ’a découvert. Il eft rare en France 8c en Angleterre. Maniéré
de lé femer 8c de le cultiver. Caraélere dillinélif de cet
arbre. Ibid. 240. a.
Châtaignier , noms de cet arbre en différentes langues.
Suppl. IL 372. a. Son caraétere générique. Enumération de
trois elpeces de châtaigniers. Obfervations fur la maniéré de
les cultiver. Ibid. b. Des marronniers. Ils ne font que des
variétés du châtaignier provenues de graine. Climat qui leur
convient. Marron du Limoufin. Marron de L yon. Comment
on peut fe procurer ces variétés. L eur culture. Efpece de châtaignier
nommé chincapin. Ibid. 373. 6.
Châtaignier : en quoi le marronnier en différé. X. 144. 6.
Culture des châtaigniers en pépinière. XII. 322. 6. Châtaigne
d’eau. X V I , 626. 6. Obfervations fur la greffe du châtaignier,
Suppl. III. 261. 6.
C H A T E A U , ( Archit. ) comment les châteaux étoient anciennement
conftrui ts : comment ils le font aujourd’hui. La
plupart de ceux où fe fait la réfidence des rois de France
n’ont point de foffés , 8c confervent cependant le nom de
châteaux, fur-tout s’ils font en campagne. III. 241. a.
Château d’eau. Deux fortes de bâtimens de ce nom. D é co rations
dont ces édifices devroient être enrichis. III. 241. a.
Château, lieu fortifié pour tenir le peuple dans fon de vo ir,
ouréfifter à l’ennemi. III. 241. a.
Château, ( Art milit. ) attaque des châteaux. I . 834. 6.
Défenfe des châteaux. IV . 739. 6.
Château, ( lurifp. ) principal manoir du fief. Maifons auxquelles
ce titre convient proprement. A qui appartient le
château en fuccefîion de fief. I l y a des feigneurs qui peuven
t obliger les vaffaux à la garde du château. Vaffaux auxquels
a été communiqué le droit de bâtir des châteaux. Conditions
requifes pour bâtir château dans la feigneurie d’un
feigneur châtelain. Ouvrage à confulter. III. 241. a.
C hateav , ( Marine ) château d’avant. Château d’arriere.
, Voye^ Gaillards.
C hateau , ( Blafon ) meuble de l’écu. Château o u v e r t ,
h e r fé , ajouré , maçonné , efforé, girouetté. Suppl. II.
>7 V ar
Château , Suppl.. I. 918. a. château girouetté.
226. 6.
Suppl. III.
C H A 291
Châtelet de Paris : juftice royale ordinaire de la capitale
n roy aume- Pourquoi on lui a donné ce titre. Comment il
eft prouvé que la fortereffe appellée le grand châtelet a été
bâtie par Jules-Céfar. Il établit à Paris le confeil fouverain
des Gaules ; 8c l’on tient que le proconful qui pvéfidoit à
ce confeil , demeuroit à Paris. C e qui paroît par le féjour
qu’y fit Julien, premier magiftrat de T aris , appellé proefciïus
urbis, 8c enfuite comte de Paris. Diverfes dilpofitions faites
du comté de Paris , tantôt inféodé , tantôt réuni à la couronne.
C e comté fous-inféodé à des vicomtes. III. 242. 6.
Le châtelet fut la demeure des comtes Si enfuite des p révôts.
Plufieurs rois y alloient rendre la juftice. Les offices du châ-
telet s’étant donnés à ferme, faint Louis réforma cet abus,
4 inï tu\ un Pr^v ot de Paris. Officiers que nommoit ce pré-
vôt. Prévôté des marchands. Bailliage de Paris réuni à la
prévôté en 1326. Réédification du grand châtelet en 1660.
Erige en préfidial en 15 51. Divifion du châtelet en ancien
Si en nouveau. Leur réunion dix ans après. Jurifdiélions que
comprend le châtelet. Affeffeurs à cette juftice. Attributions
particulières du châtelet. Audiences du châtelet. Ibid. 243. a.
Chambres d’audience. Celle des criées. Celle de l’ordinaire'
Avocats du châtelet. I l y eut de tems immémorial des avocats
attachés au châtelet. Ordonnances où il en eft parlé. Origine
du ferment que les avocats prêtoient à chaque rentrée. I l y
a eu pendant long-tems au châtelet des avocats qui n’a voient
été reçus que dans ce fiege. Cependant ceux du parlement
avoient là liberté d’y aller. Prélentement ils font tous avocats
au parlement. A vocats de l’univerfité, jurés au châtelet.
Avocats du roi du châtelet. Ancienneté de leur établiffement.
Leur nombre en différens tems. Ibid. b. Fonctions des quatre
avocats du r o i , [établis par un réglement de 1683. Leur
robe de cérémonie. Vifire qu’ils font des rues de Paris le
jour de la fête du faint Sacrement; Ereftion du bailliage de
Paris ou confervation , par François I. Cérémonial du châtelet.
Entrées des rois 6* reines à Paris, dans la cérémonie d e s quelles
le châtelet a toujours marché. Ibid. 244. a. Fixation
du rang du châtelet dans ces cérémonies par H enri II. Suite
des entrées des rois & reines a Paris. Ibid. b. Complimens
adreffés par le châtelet. Pompes funèbres où il a affifté après
les cours , 8c avant toutes les autres compagnies. Ibid. 245.
a. Les Te Deum auxquels il a affifté. Publications de paix : le
châtelet y tient le premier rang. Prifes de poffeffion d’évêques
de Paris. Proceffions générales. Ibid. 6. AJTemblées des notables
où s’eft trouvé le lieutenant-civil pour le châtelet. A f-
femblées générales de police. Rédaélion de la coutume. Officiers
appellés certificateurs des criées. Chambres du châtelet.
Châtellenies royales reffortiffantes au châtelet. Chevalier
d’honneur. Chirurgiens du châtelet. Ibid. 246. a. Droits des
officiers du châtelet. Geôliers du châtelet. Huiffiers-audien-
ciers. Lieutenans. Matrones ou fages-femmes du châtelet.
Ibid. b. Médecins. Officiers du châtelet. Ordre dans lequel
ils font employés fur les états du châtelet. Ibid. 247. a. A nciens
offices fupprimés. Payeur des gages du châtelet. Ibid. 6.
Préfident au préfidial. Siégé de la prévôté/ Prévôtés royales
reffortiffantes par appel au préfidial du châtelet. Receveur des
amendes. Receveur & payeur des épices. Réunions faites au
fiege dü châtelet. Subftituts du procureur du roi. Ibid. 248.
a. Tranflation du fiege du châtelet. On a renvo yé plufieurs
articles concernant les officiers du châtelet à la lettre qui leur
eft propre. Ibid, b.
Châtelet de Paris. Confeil du roi du châtelet. IV . 22. a. 31.
a. Saint Louis a fait enregiftrer 8c publier au châtelet plufieurs
ordonnances. V . 703. 6. Regiftre fur lequel les nouvelles o rdonnances
y font inferites; 703. 6. L e châtelet de Paris fut
le. premier fiege qui commença à ufer du feel royal. V IL
309. a. Confervation ou bailliage de ce châtelet. IV . 41. a.
Droit de fuite qui lui appartient. X V . 649. 6. Sa chancellerie.
III. 1 13.6 . Confeillers au châtelet. IV . 23. a. Quatre chambres
entre lefquelles eft partagé le fervice des confeillers.
III. 30. a. Chambre civile. 49. 6. Chambre criminelle. 31. a.
Colonnes du châtelet, divifion des confeillers en plufieurs
fervices différens : diftinélioii des différens fervices : de la
durée de tems pendant lequel les confeillers font employés
à chaque fervice. III. 63 3. a * 6. Il paroît que le châtelet de
Paris èft le premier tribunal où-il y ait eu des places de confeillers
affettées à des clercs. IV . 27. a. Les confeillers au
châtelet font les premiers , après les gens du confeil , qui
ont porté le titre de confeillers du roi. IV .3 1 . t f . Prévô t de
Paris, ch e f du châtelet. XUI. 350. a , 6. &c. D es lieutenans
du prévôt du châtelet. IX. 304. a. 303. 6. 307. a. 308. d.
Confeillers honoraires. IV . 30. a. Commiffaires au châtelet.
III. 703. Juge auditeur. IX. 10. a , b. Notaires. XI. 240. b.—
242. 6. Papier timbré dont ils fe fervent. 867. 6. — 869. a.
Scel du châtelet. X IV . 749, a , 6. Inftitution des procureurs
au châtelet. X III. 413. a. D o y en du châtelet. V . 93. a. G arde
des décrets & immatricules^ot itaefi. V I L 493.a . Sergens du
châtelet. X V . 87; a ,'b .-Chambre du procureur du roi au
châtelet. III. 36.. a. . 'H y j - ’ v i
Châtelet, ( Géogr. ) marquifat'du-Châtejet en Bourgogne»