7 8 2 F R A
FRANC tfeau, { Marine ) V II . 2.81. a.
F ranc-étable, ( Marine) Voyeç ETABLE.
Franc 6* quitte , ( Jurifpr. ) différens cas dans lcfquels
on fait la déclaration de franc & quitte. Lorfque cette' déclaration
fe trouve fonffe, on diftingue celle qui eft faite par
erreur, & celle qui eft faite par mauvaife foi. Effets de l’une &
•de l’autre. V I I . 281. a.
Franc-fief. V I . 704. a , b. Nobleffe des francs-fiefs.XI. 172.
b. Droit de francs-fiefs. 176. b.
FRANC-FUtf IN, ( Marine ) V II . 281. a.
Franc-homme, ( Jurifpr. ) VII . 281 .a.
F rancs-maçons , ( Hifi.mod. ) origine du nom de cette
fociété. VII. 281. a. Elle eft actuellement très-nombreufe. Son
ancienneté. T o u t ce qu’on peut pénétrer du myftere des
francs-maçons ne paroit que louable. Ibid. b.
Francs-maçons. D e l’ordre ou de la fociété des francs-maçons.
D e la maniéré de f e reconnoître entr’eux. Sociétés
8c ufages à-peu-près femblables chez les Grecs. Utilité de la
maçonnerie. Suppl. III. 132. b. Objets des obligations qu’on
ÿ contraâe. Des ouvrages imprimés fur cette fociété. D e
l ’origine & du but de ion inftitution. Ibid. 133. a. Hiftoire
d e la maçonnerie. Ses révolutions en Angleterre. Ibid. b. Ses
progrès en France , Ibid, x 34. a^ b. en Allemagne & en Suede.
Ibid. 135.«.
Francs-mançais. V II . 281. b.
Francs-meix. V II . 281. b.
Franc-mariage. VII. 281. b.
Franc-pari fis. VII. 2S1. b.
'.Franc-pris. V I I . 281. b.
Frai^c-quartier , ( Blafon) V I I . 281. b.
Franc-salé. ( Jurifpr. ) C e qu’on entend en France par
pays de franc-falé ; & par droit de franc-falé. V II . 281. b.
Francs-taulpins. V II. 281. b.
Franc-tenant. VII . 281. b.
Franc-tenement. V II . 281. b.
Franc-tillac. VII . 281. £.
Franc-tournois. V II . 281. b.
Franc-viermois. V I I . 281. b.
F R A N C A , ( Botan. ) caraCteres de ce genre de plante.
X V I I . 789. b. 790. a. Origine de fon nom :lieux où on la trouve.
7 9 °• *■
F R A N C E , ( Géogr. ) bornes 8c étendue de ce royaume.
Qualité du pays. Q uel eft le nombre des archevêchés , évêchés
, couvents, prieurés, &c. de la France ; celui de fes par-
lemens, gouvernemens généraux , univerfités , &c. Obfer-
vations générales fur l’hifloire de ce royaume. Pendant 900
an s , les François font reftés fans induftrie, dans l’ignorance
& dans le défordre. V I I . 282. a. Epoque de la naiffance
des arts & des fciences dans ce royaume. CaraCiere de la
nation françoife. Obfervations fu rie s richeffes de la France.
Préjudice que la grandeur de fa capitale apporte au relie du
royaume. Moyen infructueux qu’employa Louis X IV pour
favoriferla population. V II . 282. b.
France. De la nature & qualité du pays. Climat de la
France. X V II . 733. b. Nombre d’arpensde tçut ce royaume.
Suppl. I. 366. b. Lieu de la Francs le plus élevé. Suppl
III. 703. a. Blés de France. Suppl. I. 921. b. V ins de France.
X V I I . 290. b. Divifion de ce royaume. Origine de la divifion
de la Franc e, en occidentale, qui eft la véritable France, &
en orientale , dont la Franconie a tiré fon nom. V IL 646.
a. Divifion de la France du tems de Charlemagne. 280. a.
Son ancienne divifion en langue-d’oui 8c en langue-doc. IX.
273. a. Divifion de ce royaume par généralités 8c élections.
V . 467. a , b. France équinoxiale. 881. b. Voye^ G u y a n e .
Diverfes obfervations fur ce royaume. Etat de fon agriculture
8c moyens de la perfectionner. V I. 329. a , b. — 339. b.
Hiftoire de l’agriculture pratiquée en France. Suppl. I . 213.
b. — 223. b. Etat de fa population , VII . 830. a. celle de fes
différentes provinces. Suppl. IV . 305. b. Etat préfent de fes
finances. X V . 381. b. Confommation & revenus annuels de la
nation. VII . 820. a , b. Réflexions de M. de Beaufobre fur
le nombre de troupes que la France peut entretenir. X V I.
713 . a. Du roi & de la cour de France. Ordre établi pour la
fuccefllon à la couronne. IX. 671 . b. Couronne du roi. IV.
393. b. Enfans de France. V . 633. b. Des enfans de France
& des princes du fang. Suppl. II. 642. a. Rangs obfervés à
la cour de France. XIII. 321. b. Des princes de France.
370. b. AffeClation de la cour de Rome à éviter de' donner
au roi de France le titre de roi de Navarre. XVII .
804. b. — Voyeç R o i DE FRANCE. De l'hifioire de ce royaume.
Principales époques de cette hiftoire. V . 834. a. Première
race des rbis. X. 392. a. La France mifé en intérdit par
Innocent U , par Innocent III. VIII. 816. a , b. Suppl. III.
6 i j . a , b. & par Jules II. VIII. 8x7. a. Ravagée par les
Normands dans le neuvième fiecle. XI. 228. b. 229. a , b.
Etat dé la France lorfqu’Henri IV monta fur le trône. XII.
189. b. Soins qu’il prit pour la rendre floriffante. 190. a.
Hiftoire de la police de ce royaume. XII. 909. a , b,8cc.
Lumière que les archives d’Angleterre fourniffent pour l’hif-
F R A
toire de France. VII I. 223. b. Hiftoire de ce royaume par
Pierre-Matthieu, XIII. 126. a. par Mézerai , X IV . 440 b
par le P. Daniel. 394. Æ, b. par Paolo-EmiÜo. XVII . 90.
“ • D u droit de la France. Caufes qui firent difparoître lès
loix des barbares. IX. 647. b. Introduction de la compilation
de Jufhmen : rédaction des coutumes. Ibid. Les loix
Qc. les moeurs de France répandues depuis Charlemagne dans
toute 1 Europe. V . 128. <1. Dro it de France. IV . 4x4. b. V .
123. b. 123. b. 137. a. Coutumier de France. IV . 419. a.
D u commerce. Hiftoire de fon établiffement & de fes révolutions.
III. 694. b, &c. Etat du commerce en France. VII.
812. a. Reffources de la France pour foutenir fon luxe, i x l
763. A D e la néceflité de croifer contre le commerce an-
glois. X. 124. b. Dépériffement remarquable en France par
la préférence accordée au commerce de luxe. XIII. xoo‘. b.
Balance du commerce de la FA nce 8c de la Hollande. V.*
969. b.
France , iflede , { Géogr. ) origine du nom donné à cette
province. Suppl. IV . 33. b. Mines qu’elle renferme. I.
637. b.
F R A N C E S C O , ( Lobo Rodrigues ) poète portugais. IX.
F R A N C F O R T fur le Mein. Defcription de cette ville.
Elle eft la patrie de Charles-le-chauve. Ses foires & fon commerce.
Eleétion de l’empereur & fon couronnement à France
fort. Bulle d’or de Charles IV que l ’on y garde. Obfervations
fur le concile de Francfort. V II . 282. b. Réformation reçue à
Francfort en 1330. Diverfes religions tolérées dans cette
ville. Nature de fon gouvernement. Son territoire. Ibid.
283. a.
Francfort fur le Mein. Obfervations fur le concile de Francfort
tenu fous Charlemagne. Suppl. III. 117. b. Eglifes que les
catholiques poffedent dans cette v ille. Ibid. 118. a.
Francfort fu r l ’Oder, ( Géogr. ) V II . 283. a.
v FRANCH E. ( Marine) Pompe franche. Franche-bouline.'
Franche-AUMONE J {Jurifpr.) lorfqu’un feigneur donne
un fonds pour conftruire un lieu facré , fans y retenir aucun
droit. Diftinélion entre franche-aunxône & pure aumône. A u teurs
à confulter. VII . 283. a.
Franche-fête : privilège accordé à un feignèur pour l’exemption
de tous droits fur les marchandifes qui a rrivent le jour de
la fête du lieu : exemple. V I I . 283. a.
Franche-vérité. V I I . 283. a.
Franche, ville. X V I I . 280. a.
Franches , compagnies , ( Art milit. ) en quoi elles con-
fiftent. Leur ufage. On appelle partifans ceux qui commandent
les corps particuliers. V i l . 283. b.
F R A N CH E -COM T É , ( Géogr. ) bornes 8c étendue de
cette province. Ses productions. Bailliages compris dânsle pays-
uni , ceux du pays de montagnes. Ses rivières. Conquête de
cette province. V II . 283. b.
Francke-comté. Mines de cette province. I. 638. a. Fontaines
remarquables. V II . 100. a. Glacière naturelle qui s’y
trouve. 689. a , b , & c. Salines. X IV . 338. a , b , & c . H i ftoire
de fon parlement. XII. 41 . b , 6>c.
FR A N CH IS E , {FUJI. 6* Morale) origine de ce mot. VII .
283. b. Franchifcs accordées aux François après le fiege de
T o lede dans l’onzieme fiecle. Toutes les villes murées
avoient des franchifes. C e nom a été particuliérement affeélé
au quartier des ambaffadeurs à Rome. Cette franchife ref-
treinte fous Irinocent XI. Les églifes & couvens en Italie
ont la même franchife. Des lieux de franchife dans Paris.
Différence entre parler, agir avec franchi fe , & parler, agir
avec liberté. Ibid. 284. a.
Franchife, fincéritè, naïveté , ingénuité; différences entre
ces qualités. X V . 207. a. La franchife effentielle au bonheur
de la fociété; IV . 1048. b. elle l’eû fùr-tout à un prince. XII.
918. b.
Franchifes, en quoi elles different des coutumes. IV . 4 1 1. b.
Différences entre franchifes, libertés, privilèges, exemptions
& immunités. VIII. 378. a.
Franchise de pinceau ou de burin, {Peint. Gravure) VII.
F R A N C IS C A IN S , cordeliers, ( Ordre mônajliqitc ) v oye z
ce mot. Progrès étonnans que fit cet ordre peu d’années
après fa fondation. Combien il eft encore étendu. La feule ja-
loufie donna lieu à la querelle de cet o rdre avec les dominicains.
Sujet de cette querelle. VII. 284. a.
Francifcains : trois ordres de francifcains; le premier comprend
les cordeliers, les capucins & les récollets : le fécond
les religieufes de fàinte Claire : le troifieme, le tiers-ordre
dë S. François : voyez ces différens articles. Anciennes congrégations
de francifcains , nommées clarenins, III. 304. b',
coletans. 616. b. Congrégation des conventuels. IV. 164. a.
Religieux de l’ordre de S. François appellés foccolans. X V .
230. b. Scholaftiques de l’ordre de S. François les plus diftin»
gués. I. 663. A X I I . 272.b. Cordon-deS. François. IV . 239.
a. Fbyeç FRERES MINEURS. X. 346. b.
F R A
F R A N C ISQ U E , {Hifi. mod. milit J arme dont fe fer-
voient les Francs. En quel tems elle fut en ufage. Anecdote
fur Clovis à l’oceafion de cette arme. VII. 284. b. Voycç_
Suppl. II. 814. a. Note.
F R A N C K E N D A L , {Géogr. ) v ille d’Alface; Prife & démolition
de Cette v ille par les François , qui la rendirent
enfuite à l’éleâ eur Palatin. Abraham Heidanus, grand par-
tifan de Delcartes , naquit à Franckendal en 1397. VII.
284. b-
Franckendal y manufaélure de porcelaine dans ce lieu. Suppl.
IV . 307. *.
FRANCK EN STEIN , {Géogr.) v ille de la Haute-Siléfie.
Gens de lettres célébrés qui y font nés : leurs ouvrages. V II .
284. b.
F R AN ÇO IS ou Français , ( Hifi. Littérat. Morale ) obfer-
vation fur l’orthographe de Ce mot. VII. 284. b. Les François
avoient été d’abord nommés Francs. Obfervation fur le nom
de W e lch s, que lés Allemands donnent aux François. D ivers
peuples qui habitoient la G au le , lorfque’les Francs s’y
établirent. Le nom de Francs commun aux peuples de la
Germanie & de la G au le , jufqu’en 843. On ne connut le
nom de François que vers le dixième fiecle. L e fond de la
nation eft de familles gauloifes. Le caraâere françois rêfùlte
de tout ce que les provinces du royaume ont entr’eiles de
femblable. Caufes du caraéiere nationnal. Comment il arrive
que les peuples perdent une partie de leur caraâeré & con-
fervent l’autre. Caraéiere que d’anciens auteurs attribuent
aux Gaulois; Ibid. 283. a. Différence entre le caraéiere des
Parifiens de nos jours & celui fou% lequel l’empereur Julien
les a peints. Caufe de cette différence. Gomment ce peuple
a paffé des fureurs qui le caraélérifèrent fous plufieurs régnés,
à cette douce facilité de moeurs que l’Europe chérit en lui.
Portrait des Parifiens & dés François; Le gouvernement des
F rançois fut d’abord celui de tous les peuples du nord. Sous
Hugues-Capet, &c. on n’appella François que les peuples
en deçà de la Loire. Les feigneurs particuliers introduifirent
de nouvelles coutumes dans leurs nouveaux états. C e n’eft
que depuis François I que fo n v it quelque uniformité dans
les moeurs & les ufages : quel fut le caraéiere nationnal fous
ce prince & depuis ce prince. Ibid. b. Le royaume de France
s’eft principalement fouteniv par la fageffe des négociations,
l’adreffe 8c la patience. Comment il a gagné plufieurs de fes
provinces. Si la jeuneffe françoife eft légère , les hommes
d’un âge mûr qui la gouvernent, ont toujours été très-fages.
Des anciennes armes des François; Leurs anciens ufages par
rapport à l’habillement. Origine de la langue françoife. C e
langage étoit d’abord le romain ruftique ; 8c la langue tu-
defque fût celle de. la cour jufqu’à Charles-le-chauve. Roman
de Philomena écrit dàhs le dixiem® fiecle. Mots de
la langùe françoife qui viennent- du Celte : Ibid. 286. a.
ceux qui viennent de la langue allemande. Introduélion de
quelques termes grecs dans la langue vers le douzième fiecle.
Francois I abolit Pillage de la langue latine dans la magiftra-
ture 8c le barreau. Caraéiere que prit alors la langue françoife.
Celui qu’elle reçut de divers auteurs, Montaigne ,
Ronfard, Malherbe. Tems où elle acquit fa perfeélion. G é nie
propre de cette langue. Ibid. b.~ Examen de cette quef-
tion ; favoir fi la langue françoife s’eft appauvrie depuis
Amiot 8c Montaigne. Progrès qu’a faits la philofophie dans
Paris 8c dans quelques provinces de la France. Le génie
françois eft peut-être fupérieur à tous les autres peuples
dans la littérature , 8c le premier fans doute pour les d ouceurs
de la fociété. Ibid. 287. a:
François. Pourquoi les François avides de nouveautés en
matière de g ôû t, font en matière de fcience très-attachés
aux opinions anciennes. I. xxjx.- dife. prélim. Efpece de nouveauté
à laquelle le caraéiere françois réfifte avec force.
Suppl. IÏI. 603. b. Comment les François fe confolent de
leurs malheurs : leur caraéiere enjoué, tourné à la fatyre.
Suppl. II. 146. b. D e leur valeur militaire , voyeç l’article
Epee. Suppl. 8c Suppl. II. 813. Note. Suppl. III. 32. b. Af-
femblées générales 8c annuelles de la nation françoife. III.
76. a , b. D ro it françois. IV . 4x4. b. V . 123. £.'123. b. J37.
a. Mépris que les François témoignent pour l’économie. V .
743. b. Les François avoient anciennement des places fortes,
plus propres à fe mettre à l’abri des ennemis , qu’à loger
des habitans. V I . 336. a. Pendant‘ 900 ans , les François font
reftés fans induftrie , dans l’ignorance 8c le défordre. VII.
282. a. Caraéiere de la nation. Ibid. b. Goût des François
pour le joli. VIII. 871. a , b , 8cc. Leur peu de difpofîtiôn
pour la peinture. Suppl. III. 318. b. 319. a. Différentes loix
par lefquelles les François étoient gouvernés dans les premiers
tems : celles fur lefquelles Us fe règlent aujourd’hui.
IX. 93. a. François Saliens. 670. a , b. Caraéiere marqué
des François. X. 36. a. Amour des François pour leurs rois,
v o y e z Entrées, Fefiitis, Fêtes de la ville de Paris, Fêles des
grandes villes du royaume.
F R A N Ç O IS I , {Hifi- de France) comte d’Angoulême «
duc de Va lois , arriere-petit-fils de L ou is , duc d’Orléans 8c de
F R A 783
Valentine de Milan. Hiftoire de fa vie 8c de fon reene. Suppl.
III. 118.a , b. Ä
François I. Concordat entre ce prince 8c Léon X. III. 824.
a , b. La jurifdiétion eccléfiaftique reftreinté par ce roi. IX..
77. b. Titres qu’il fe donna en écrivant à Charles-quint;
X V I . 339. b. Aventure qui lui arriva à la chàffe. 918. a.
François I I , {Hifi. de France) joignoit au titre de roi
de France ceux de roi d’Angleterre, d’Ecoffe 8c d’Irlande, 8c
ne fut en effet roi ni en F ranc e , ni dans la Grande-Bretagne :
les G uife régnèrent fous fon nom. Principaux événemens arrivés
fous ce regne. Suppf III. 121. b.
^ François!!. D e l’état de la France pendant fon regne. X L
F rançois , ! Hifi. d\Àllem. ) grand d u c 'd e To fcane ,
fucceffeiir de Çharles V I I , quarante-quatrième empereur
depuis Conrad I. Hiftoire de fon regne 8c de celui de Marie-
Thérefe d’Autriche fon époufe.Sapp/. III. 122.0 b.
François d’A ffife ,{S a in t) ouvrage fur ce faint, intitulé,
conformité de là vie dé S. François avec celle de Jefus-
Chrift. XII. 637. a , b. Pourquoi il fut appelle' feraphique.
X V . 79. a. Comment il fut marqué des ftigmates de Jefus-
Chrift. 319. a , b. Religieux de l ’ordre de S.Trançois , voyez.
Franciscains. ^
FRANÇOIS de Borgia , {S a in t) malédiélion qu’il prononça
fur les jéfuites, V I IL 3 1 5 .* , *. '
F rançois Xavier , {Saint) il introduifit le chriftianifme
dans le Japon. VII I. 433. b. 312. b. Son tombeau àGo a . V II .
p H ■ I
F R A N Ç O IS E , langue, ( Gramm. ) on trouvera fous cetf
article un abrégé de la grammaire françoife, aufliexaél que
concis , fourni par M . l’abbé Valart. Suppl. III. 123. a. D e l’article.
D u nom. D u pronom. D u Verbe. Ibid. b. C.onjugaifon ■
du verbe avoir, 8c du verbe être. Ibid. 12.6. a. Conjugaifon.
du verbe aimer. Formation du préfent 8c du parfait , tant
du participe que de l’indicatif. Ibid. b. Formation des per-,
fonnes. Formation des autres teHis. Ibid. l î j . a. D e l’ad-
vérbe. D e la prépofitiori. D e la conjonélion. D e l’interjection.
Réglés concernant les adjeélifs. Ibid. b. Formation des
pluriels des noms 8c des adjeélifs. Des comparatifs 8c fuper-
latifs 8c des noms de nombre. Ibid. 128. «.Lifte des'verbes
irréguliers, les plus communs 8c les plus difficiles. Ibid. b.
D e la fyntaxe. Diftinélion de deux fortes de lyntaxe , l’une
de convenance 8c l’autre de régime. Réglés de l’une 8c de
l’autre. Ibid. 129. b. Réglés de prononciation 8c d’orthographe. :
Ibid. 130. b. Remarques fur les lettres majufcules, fur les
accens , Ibid. 132. a. 8c fur l’apoftrophe. Ibid. b.
Françoife, langue, fon origine ; cette langue liée par le
celtique avec l’hébreu. IX. 239. à. C e feroit un ouvrage-
aufli curieux qu’utile que les étymologies françoifes tirées
de la bible.' VIII. 88. a. Son caractère. IX. 262. a , b .z6 ç .-
a. Caraéiere de naïveté de l’ancien françois : on a voulu l’émonder
8c on l’a mutilé. Suppl. III. 838.«. D e l’ufage des
vieilles expreflions. Suppl. IV . 334. a. La langue françoife
eft plus analogue dans fes tours avec la langue grecque qu’av
ec la latine. IV . 963. b. Pourquoi le François eft moins
elliptique que le latin. V . 319. b. Des façons de parler ex-
clufivement propres à la langue françoife. V I I . 430. a , b.
Explication de quelques irrégularités apparentes qu’elle admet.
VII I. 908. b. Utilité de cette langue. IX. 263. b. D e
l’accent 8c de la quantité dans le françois. 1. 66. a. V . 639)
d. Cette langue n’a point d’accent profodique déterminé 8c
invariable. Suppl. I. 108. a. Suppl. IV . 437. a. Pourquoi
l’accent exprèflif eft peu marqué dans1 cette langue. Suppl.
III. 306. a. Dans quels cas il eft permis de le rendre fenfi-
ble. Ibid. D e la profodie de la langue françoife , voyeç
Prosodie. L é François n’a ni déclinaifons , ni cas. I. 92.
Pourquoi nos grammairiens fe font accoutumés à attribuer
des cas aux noms de notre langue. IV . 641. a. Des déclinaifons
françoifes! 093. b. D e quelques divifions des tems particulières
à la-langue françoife. X V I . 106. a , b. — 108. b. Comment
cette langue s’eft perfeélionnée. I. xxj. dife. prélim.
Progrès qu’on peut raifonnablement efpérer qu’elle fera par
celui de la philofophie 8 c .des fciences. V . 636. d. 637. a.
Défauts de cette langue. Suppl. IV . 437. a , b. Son abondance
8c fa pauvreté. 933. a. D es mots nouveaux .introduits
dans le françois, voyez Néologisme. Caufes de fon appau-
vrifferaent. IX. 144. a. Influence du climat fur notre langue.
243. a. Des diétionnaires de langue françoife; IV . 958. b.
Elémens de la grammaire générale' appliqués à la langue françoife.
X. 432. b. En quel tems on a commencé en France
à fe fervir du françois dans les aéles judiciaires. IV . 637. b.
V . 704. b. Voye^ l’article Langue Françoise.
FR AN CO L IN , ( Ornith. ) defcription de cet o ifeau. Pourquoi
lés Italiens l’ont nommé Franco lin. Qualité dè fa chair.
V IL 287. a, .
F R A N CO N IE , ( Géogr. ) bornes de ce pays. Ses productions.
Son étendue. VII . 287. a. Religions qui y fontprofeffées.
Ses rivières. Etats qui compôfent la Franconie. Détails fur
(Ecolàmpkde né dans là F ranconie 8c fur fes ouvrages. Ibid. b.