102 A R L A RM
■ R I
675. a. Ses quatre principales réglés. Dans les deux pre- .
mieres réglés on confidere les nombres félon leurs rapports
arithmétiques, 8c dans les deux autres, félon leurs rapports
géométriques. L e détail des opérations particulières
dépend de la forme 8c de l’inftitution des fignes qui defi-
guent les nombres. Toutes les réglés de l'arithmétique fe
réduifent à deux , l’addition 8c la iouftraélion. Ibid. b.
Arithmétique univerfelle , c’eft ainfi que M. N ewton appelle
l’algebre. Notion générale de l’algebre 8c de fes opérations.
I. 675. b. Addition algébrique. Souftraétion , multiplication ,
divifion algébrique. Ibid. 676. a. Pourquoi cet art eft appellé
Arithmétique univerfelle. Utilité de cet art. Ibid, b L’expreflion
algébrique d’une queftion 11’eft que la traduftion de cette question
en caraéteres algébriques. Exemple. jDeux parties à dif-
tinguer dans l’arithmétique univerfelle , favoir ; le calcul des
quantités, 8c l’ufage de ce calcul pour aller des quantités
connues aux inconnues. C e qu’on entend par équation, Ibid.
67-7. a. 8c par l’art de la réfoudre. D e l’analyfe des anciens.
Ufa®e de l’algebre en géométrie. Equation d’une courbe.
Avaittage des calculs algébriques appliqués à la géométrie.
Ibid. b. Ouvrages fur l’arithmétique univerfelle. Réglés données
par M. N ew to n , fur la maniéré d’appliquer l’algebre à
la géométrie. Ibid. 670. a. n
Arithmétique, origine de cet art. I. v . Celle des caraéteres
qui lui font propres. II. 645. b. Antiquité de l’arithmétique
chez les Indiens. V II I. 661. b. Notation en arithmétique. XI.
S48. a. Principes pour trouver dans toute arithmétique de
quelque «échelle que ce fe it , un nombre quelconque „ou pour
l'exprimer. II. 258. a. Obl’ervations fur le nombre des caractères
employés dans l’arithmétique. IV . 6 1 1 . a. Arithmétique
dont les opérations s’exécutent par le moyen des doigts. Ibid.
Arithmétique exécutée chez les anciens par le moyen de
petites pierres ou de coquillages, 8c en France dans les derniers
fiecles par le moyen des jettons. VII I. 530. a , b. Maîtres
d’arithmétique chez les anciens. VIH. 530 .b. II. 547. a. Application
de la géométrie à l’arithmétique. I. 552. a. Arithmétique
fpécieule. X V . 442. b. Arithmétique des infinis : caractères
dont on fait ufage dans fes opérations. II. 649. a. Arithmétique
des conduéleurs des mines. V II . 638. b. Sur l’arithmétique
, voycq_ Calcul , Calculer , Compter.
Arithmétique politique, celle dont les opérations ont pour
but des recherches utiles à l’art de gouverner les peuples.
Son utilité dans un minière. Premiers effais fous ce titre, du
chevalier P e t ty , anglois. I. 678. b. Obfervations fur les calculs
contenus dans ces effais. Ibid. 679. a. Autre arithmétique
politique de M. Davenant. Ibid. b.
Arithmétique politique, XII. 9 I9* 9 -®‘ a‘ Foytfç POPULATION,
Enfant, (Hift. nat.) Registre des Baptêmes,
V ie, Naissance , Mort.
Arithmétique, pris adjeélivement. T. 680. a.
Arithmétique, adj. baguettes arithmétiques de Neper. XI.
06. a ,b . Progreffion arithmétique. XIII. 430.a , b. 8cc. Pro4
portion arithmétique. 466. b.
Arithmétiques , échelles, différentes progreflîons de nombres,
fuivant lefquelles l’arithmétique auro a être formé . M. de
Buffon donne une méthode fort fimpîe pour trouver tout
d ’un coup la maniéré d’écrire un nombre donné dans une.
échelle arithmétique quelconque. 1 . 680. b.
Arithmétiques, échelles. Arithmétique binaire de M. Leibnitz
: fon incommodité dans l’ufage commun : dans quel but
M. Léibnirz l ’avoit inventée. II. 257. a, b. Arithmétique décimale
inventée par Regiomontanus. IV . 668. b. 669. b. W e i-
gelius enfeigne comment on pourroit nombrer fans paffer le
chiffre 4. Foyer là-deffus. XI. 282. a. Article fur les échelles
arithmétiques. V . 248. b. 249. a, b.
Arithmétique, ( Machine) la premiere eft celle de
.Pafcal. On en a fait quelques autres qui paroiffent avoir
quelque avantage fur la premiere dans la pratique. I. 680. b.
Expofition du méchanifine de la machine de Pafcal, 8c de la
maniéré de s’en fervir , pour chaque regie de l'arithmétique.
Ibid. 681. b.
A R L E Q U IN , (Z i« .» origine du nom d’arlequin. I. 685. a.
- A rlequin , ( Théâtre comiq. ) l’ancienne comédie italienne
eft une imitation grotefqiie des moeurs .des différentes v illes
d’Italie j 8c chacune d’elles eft repréfentée par un perfonnage
qui eft toujours le même. D e ces perfonnages , celui d’arlequin
eft en même tems le plus bizarre 8c le plus plaifant.
Caraétere qui le diftingue. Qualité que fon rôle exige. Pieces
françoifes où ce perfonnage a été employé le plus heureufe-
ment. En quel cas le rôle d’arlequin devient indifpenfable.
Lorfqu’il eft queftion d’expofer fur la feene un fou férieux
dans tout le ridicule de fa fo lie , le moyen le plus sûr , c’eft
de le faire accompagner d’un bon arlequin. Il n’y a que le
ridicule qui puifle décontenancer un fat de qualité , ou un
fourbe accrédité 8c puiffant. I l y a des hommes affez effrontément
médians , pour fe mettre au-deffus des loix de l’équité
8c de l’humanité : livrez-les à arlequin. Auffi indifférens qu’ils
étoient aux reproches, auffi fenfibles feront-ils aux railleries.
Arlequin faif exaélement fur la feene , ce que Lucien 8c Swift
faifoient dans leurs écrits ; mais il faut convenir que ce rôle
eft très-difficile à traiter , 8c qu’il doit être tracé de main de
maître. Suppl. I. 5 5 9. a , b.
Arlequin , obfervations fur le caraétere de ce perfonnage.
X IV . 703. a. 8c fur fon langage. Suppl. I.88 1 . b.
ARLES , ( Géogr. ) ville de France , fur le Rhône. Sa fitua-
tion. Son commerce. Sieges de juftice qui y font établis. Son
archevêché. Defcription de cette ville. Monumens dont elle
eft enrichie. Infcription qu’on y lit fur une colonne érigée
en l’honneur du grand Conftantin. Diftinétions dont elle fut
honorée par cet empereur. Autres obfervations hiftoriques
fur cette ville. Suppl. I. 5 59. b. 5.60. a,
A rles. Sur Arles ancienne , voyeç Suppl. IV . 10. b. 763. a.
Ancienne conteftation entre l'évêque d’A rles 8c celui de
V ien n e , décidée par le concile de Turin. X. 471. a.
A rles , ( Géogr. ) petite ville de France dans le RouffiUon.
Suppl. I. 560. a.
ARLESHEIM , ( Géogr. ) bourg de l’évêché de Balle.
Obfervations fur le chapitre qui y fait fa réfidence. Suppl. 1.
B |
A R L E T , anatomifte. Suppl. I. 412. a.
A R L O N , ( Géogr. ) étendue du territoire d’A rlon, l’une des
douze prévôtés du duché de Luxembourg. Situation de la ville.
Suppl. I. <60. a.
A R M A D IL L E , ( Hift. nat. ) voyeZ T atou.
A RM A G N A C , ( Géogr.) produétions de ce pays. Anciens
comtes d’Armagnac. Suppl. I. 560. b.
A rmagnac , confeil du comte d’Armagnac. IV . 2. b.
A R M A N D , ( Marèch. ) bouillie qu’on fait prendre à un
cheval dégoûté. Maniérés de la faire 8c de l ’introduire dans la
bouche du cheval. 1 . 685. b.
A R M A T U R E , (Fonderie) affemblaeë de différens m orceaux
de fer, pour porter le noyau 8c le m oule de potée d’un ouvrage
de bronze. Différentes elpeces d’armatures. C e qu’il faut
obferver en les forgeant ,'8c pour les mettre en leur place.*
I. 686. a. ,
A RM E , armure. Différence de ces mots. I. 686. a.
A R M É , ( Hift. anc. ) foldats armés à la légère , 8c pefam-
ment armés. Suppl. IV . 276. a. 31 3. a. 316. b.
A rmé , ( B la fon ) fignifications 8c ufages de ce mot daqs
l’art héraldique. Suppl. 1. 360. b.
Armé, Suppl. III. 896. b.
A rmé en guerre, ( Marine) vaiffeau armé moitié en guerre,'
moitié en marchandife. Comment on obtient la permillion
d’armer u r vaiffeau en guerre. I . 691. b.
A RMÉE , ( Art milit. ) armée de terre 8c armée navale.
1. 691. é. Difpofition d’une armée en ordre de bataille. Principes
ou maximes qui fervent de fondement à l’ordre de
bataille. Ibid. 692. a. 8c obfervations fur ces maximes. Ibid. b.
D e s divifions de l’armée , appellées brigades. Ibid. 693. b.
U n prince en Europe , qui a un million de fuje ts , ne peut
le v e r une armée de plus de dix mille hommes fans fe miner.
Pourquoi on en levoit anciennement davantage. C e qu’étoient
anciennement les -armées françoifes. Ibid. 694. a. Armées de.
l ’empire. A rmées du grand-feigneur. Ibid. b.
Armée d’obfervation , comment elle doit être placée. Armée •
royale. Armée à deux fronts. Ibid. 694. b.
Armée. Armées des anciens Grecs. Voyeq_ Milice DES
G recs, Phalange. Armées romaines. X. 506. a , b. 8cc,
Commandement des armées. XI. 423. b. La totalité de,
l’armée eft compofée de l’avant-garde, du corps de bataille ,
8c de l’arriere-garde. I. 861. a. Ailes d’une armée. I. 213.«.
La chevalerie étoit autrefois le premier degré d’honneur;
dans une armée. III. 312. a. Armée royale. X IV . 416. b.
Inconvénient des grandes armées. II. 134. a. V I . 880. a.
L’iuaétion où l’on laiffe le foldat , funefte aux armées. V I .
244. a. Diftribution d’une armée. IV . 1062. b. Dénombrement
d’une armée. 830. a. Maniéré de juger des forces
d’une armée. Suppl. II. x 5 5. b. Équipage de l’armée. V . 881. b.
Ufages de la cavalerie dans l’armée. V . 922. a. Marches des
armées. III. 634. b. X. 83. b. 8cc. Des moyens de fubfiftance
d’une armée en campagne. X V . 582. b. Ordre de bataille
d’une armée. II. 132. b. 8cc. X I. 603. b. — 609. a. Intendant
dans une armée. VIII. 812. a. Armée d’obfervation. Suppl. II.
133. a. 154. a. Inconvéniens de nos armées par rapport à la
»pulation. XIII. 98. b. Expiation des armées citez les anciens.
303. b. D e s maladies d’armées ; auteur à confulter. V I .
730. b.
Armée navale : ce qu’il faut entendre par efeadre 8c flotte.
Armées navales de la France en 1690. en 1704. Divifion des
armées navales françoifes en trois corps principaux ; l’efcadre
bleue , l’efcadre blanche, 8c l’efcadre bleue 8c blanche. I.
694. b.
Armée navale. Divifion d’une telle armée. IV . 1082. b.
Diverfes utilités d’une puiffante armée navale. V II . 993. fl.
Ses inconvéniens , lorfqu’elle eft trop nombreufe. V I . 880. a.
Confeils fur les moyens de l’établir 8c de l’entretenir. V II .
993. b. Mouvcmens d’une armée navale. VI. 201. b. Intendant
des armées navales. V I I I . 8x2, a. Extrait de l’ordon-
A R M
-Mance de 1689 fur-ces armées. III. 306. b. Sur les armées
na va les, voyez Navale , Escadre , Flotte.
A RM EM E N T , ( Marine ) état d’armement. V I . 31. a. État
d’armement d’un vaiffeau. Ibid.
Armement des Troupes : détails fur ce fujet. VII I. 6. b. 8cc.
A RM ÉN IE , ( Géogr.) grand pays d’Afie. I. 693. a.
A rménie , obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 3 60. b.
Arménie , l’ancienne Arménie nommée Ararath. Suppl. I.
314. b. Commencement 8c durée du royaume d’Arménie.
601. a. Figure fymbolique de l ’Arménie. X V . 722. b. Pierre
d’Arménie. XII. 382. b. ^ _
A rménie , ( Pierre d’ )’defcription. Ses propriétés en médecine.
Ufage qu’en font les peintres. 1. 693. a.
A RM ÉN IEN S , ( Hijl.eccl. ) feéte des chréti ens d’orient.
O n croit qu’ils reçurent la fo i de l’apôtre faint Barthelemi.
L ’arianifme pénétra peu chez eux. Leur féparation de l’églife
grecque. Arméniens françois. Arméniens fehifmatiques : leur
ailperfion. Projet 'de les attirer en France. I. 693. a. Altération
que le chriftianifme a foufferte parmi eux. D e quel ordre
font leurs monafteres. L’ancienne langue arménienne que le
peuplé n’entend pas , eft celle de leur culte. Ibid. b. D e leurs
vertabieds ou doéteurs. Vénération qu’ils ont pour eux , plus
que pour leurs évêques. Ibid. 696. a.
Arméniens , obfervations fur ce peuple. VII I. 346. a.
Doéteurs chez les Arméniens. X V I I . 168. b. Année civile
8c eccléfiaftique des Arméniens. X V I . 797. b. 798. a. Motifs
qui les engagèrent à confacrer chez eux l’ufage de l’inoculation.
VII I. 769. a. Liturgie des Arméniens. IX. 398. a. Bibles
arméniennes. II. 226. a. Ufage louable des Arméniens à
l’égard des fêtesreligieufes. V I . 567. a. Ces peuples, obligés
de fe féparer des G recs dans le cinquième fie c le , inventèrent
des caraéteres pour avoir en leur langue des livres liturgiques
8c facrés. X V I . 798. a. Baume facré dont ils fe fervent dans
plufieurs cérémonies. X. 913. b. Adoption qu’ils pratiquent.
Suppl. I. 173. b. Obfervation fur la déclinaifon des noms
arméniens. II. 736. a. IV . 739. b. Caraéteres arméniens, voye^
vol. II. des planches , article Caraétere, planches 12 8c 13.
A RMENTIERES , ( Géogr. ) révolutions de cette ville.
Suppl. I. 360. b.
A RM E R , ( Jardin. ) maniéré d’armer un arbre pour empêcher
les beftiaux de s’y frotter 8c d’en offenfer l’écorce. Attention
qu’il faut avoir d’armer les arbres qu’on tranfplànte d’une
pépinière. Suppl. I. 361. a.
A rmer , ( Artillerie 3 armer un can on , armer un fourneau
de mine. Suppl. I. 361. a.
A rmer la c le f, ( Mufiq. ) Suppl. I. 561. ai
Armer un chevalier. III. 312. a.
A rmer , ( s ’ ), en terme de manege , forte de défaut du
cheval. Remedes pour l’en corriger. I. 696. a.
Armer, ( / ) attitude du cheval défignée par c e mot. V .
606. a.
ARMES , ( Art milit. ) étymologie de ce mot. On croit
que les premières étoient de bois. Premières.armes de fer.
Armes offenfives 8c défenfives des Romains. Armes de leurs
vélites. Celles des piquiers 8c des autres foldats. I . 686. b.
Armes propres des Romains. Celles des cavaliers dans les premiers
tems. . . . r
Armes des François au tems de Clovis , au tems de Théo-
doric I. Ibid. 687. a. L ’ufage des cafques 8c des cuiraffes ne
fut introduit que peu-à-peu parmi les François. Comment les
chevaliers françois réuffirent à fe rendre prefque invulnérables.^
Ibid, b, Defcription de toute leur armure. Cette maniéré
de s’armer tout de fer étoit encore en ufage fous Louis XIII
Ibid. 688. a. 6
Armes défenfives 8c offenfives de la cavalerie de nos jours
Armes offenfives de notre infanterie. Inutilité de l’épee , à
laquelle quelques-uns penfent qu’on devroit fubftituer’ le
couteau de chaffe. Armes des officiers de l’infanterie.
ai les anciennes loix d’Angleterre , chacun étoit obligé de
porter les armes. Ibid. 689. b. Articles de quelques ordonnances
des rois de France fur le port des armes pendant la paix. Ibid,
Armes à l épreuve. Armes des pièces de canon. Arme boucaniere.
1. 690. b. Avantage de cette arme. Utilité d’en fournir les
arlenaux. Armes courtoifes. Ibid. 691. a.
Armes à feu , en quoi confifte le fecret de ceux qui fe
difent invulnérables ou à l’épreuve des armes à feu. Exercice
des armes chez les anciens romains. Arma dare arma
deponere arma mutare : cérémonies exprimées par ces pîirafes.
Arma moluta, arma reverfata. 1. 691. a.
Armes affomptives, celles qu’un homme a droit de prendre
AnJiem* d*-. quelques belles aélions. C e qui fe pratique en
Angleterre à cet égard. 1/691. b.
A rmes , ( Efcrime ) tirer dans les armes. Tirer hors les
A R M ° 3
! WaÊÊM m S S B * S mw» I. & H i.
! ■ ont été B D H f f lÊ Ê Ë Ê m ? 81- * Armes
..des Grees , v o w Ph Aia n o e . Armes des fo l£ ts!fômams X.
, ï° 7 : ,a » f ' 5° 8- a‘ Voye^ aufli R o m a in s , Milice des ■ 8c
1 6 ljEGION- Invention des premières armes. XIII 40
b. Ornemens qu’on mettoit aux armes. XI. 637. a b An*
ciennes armes des François. VII. 286. a. Armes courtoifes^
IV . 401. b. Armes modernes. X V I I . 786. a , b, Armes des
cavaliers , des huffards , des dragons 8c des fantaffms. V II I „
o. é. Armes de jet. 321. b. Faifceaux d’armes. V I. 383. a. D u
ffirvice des arnies. X V . 121. a , b. D u maniement des armes.
VI. 240. a , A D e la fabrication des petites armes à feu I.
704. a. Obfervation fur le calibre de ces armes. V II . 307 a
Sur 1 ufage de ces armes. § M F eu. L ’art de fabriquer les
armes divifé en quatre parties , la fourbiffure , l’armurerie ,
arquebuferie, 8c 1 art de faire les canons. X V I I . 784. a. Voyez
es articles de ces arts dans les volumes de difeours 8c dans
A rmu™ P S' armeS’ enco^ l’article
K S ? v e r s ufages de ce mot. Profeflïort des armes
Réflexions fur ce fu,et. VII. 7 2 a a. D e l’honneur rendu en
préfentant les armes. XIII. 316. a. Nobleffe par les arme«
XI. 172. a. Nobleffe de nom 8c d’armes. 177. b. Pourfuivant
d armes. XIII. 249. b. Roi d’armes. X IV . 3 22. a b. Héraut
d’armes. VII I. 144. a b. Sergent d’armes. V II . 300. b. X V .
*VSr ? nt darmes' £ V - I20- Veille des armes.
X V I. 874. b. Freres d’armes. X V II . 790. a b. C r i d’armes
IV . , b. Défi d’armes IV . 7 4 3 . , Fraternité d ’armes!
Y IV m t I Kf-nme dermes, V IH. ï 79, i . Salle d’armes.
b' Pæ d ™ * XIL K
A rmes , ou A rmoiries , (Blafon ) les armes les hl.«
Amples font les plus belles. Pièces des armoiriès. Partitions>
Fn general toutes les pièces 8c meubles dont on comnofe les
armes, , font, très-liQtiorifiqaes. Différentes fortes d’armes!
Armes pures 8c pleines , brifées ,' parlantes. Armes de con-
ceflion. Armes chargées , fubftituées. Armes à enquérir, Origine
des armoiries. Suppl. I. 361. a , b.
_ Armcti, différence entre les armes & le blafon. II. f.
IJu tems ou les noms 8c les armes commencèrent à être
héréditaires. XI. 200. a Gentilhomme de nom 8c d’armes.
VU. 604. fl. Armes.de domaine , de dignité , de coiiceflion .
de patronage , d e fo c ié té , de famille ; armes brifées char-
geeSA . ™ uées » diffamées , fauffes ou à enquérir .Voy ez
ces diftinétions expliquées à l’article Blafon , dans le II. vo l
des planches. Armes à enquere. Suppl. II. 807. a, En quel
tems on commença à mettre des couronnes fur les armes
peintes. 642»
A RM E T , ( Art milit. } efpece de chapeau de fer des
chevaliers , 8cc. Suppl. I. 361. b.
ARMIE)E , de Quinault. Obfervations fur la mufiqüe de
cet opéra. V I . 316. a. Comparaifon de l’effet que produit la
Phedre de Racine, avec celui de l ’Annide de Quinault. X II.
828 b Prologue de cette pitct.SuppLÏV. î3 7 . h. D e l ’aüégorie
de la haine dans cet opéra. Suppl. III. 824. b. Suppl IV
1002. b. . • ■ ■ ■ ■ ■ .. , ç r ! -
tt ^ ^ k L A I R E , ( Aftron.) étymologie de ce mot. 1. 696. a:
Utilité de la fphere armillaire. Sa defcription. Autres fpheres
armillaires. Ibid, b, \
Armillaire fphere ,* X V . 4 34. a.
,,Af 'RM? ! LESr .’. / Aftron. Inftr. ) defcription dés àrmilles l
d Alexandrie. Obfervations faites anciennement avec cet
infiniment. Suppl. I. 361. A
A RM ILU S TR IE , ( Hift anc. ) defcription 8c origine de
cette fete chez les Romains. I. 696. b.
A RM IN IAN ISM E , ( Théolog. ) différence entre les arminiens
oc les autres réformés. Difputes des arminiens 8c des
gomanftes , décidées en faveur dès derniers par le fynodé
de Dordrecht en 16 19 .1. 696. b. Doélrine des arminiens fur
la predeftination , fur l’univerfalité de la rédemption , fur la
grâce , fur la perfévérance , entièrement oppofée à célle de
Calvin 8c des Gomariftes. Ibid. 697. a.
ARMINIENS , auffi appellés Retnontrans. Les derniers
arminiens fe font fort approchés du -locinianifine. I . $97. a.
Comment ils fe défendoient contre les calviniftes. Ils rejettent
l ’autorité que les calviniftes admettent. Ils font tolérés
en Hollande. Leur doélrine nouvelle fur la Prédeftination
fur la Trinité , fur la Tolérance. Arminiens politiques.
Arminiens eccléfiaftiques. Leurs plus célébrés diéoloeiens*
Ibid. b. 6
A rminiens. Voyeq_ Gomaristes. ,VII. 7 3 3 .i . 8cc. D ifputes
entre ces deux partis. Origine des noms de remontrans
8c de contre-remontrans. IV . 140. b. Leur doélrine fur la grâce.
VII. 802. a. Sur les décrets. III. 840. a. Sur la prédeftination.
X 1L1. 273. b. Sur la perfévérance. XII. 427. b. Seéte formée
'*n î ï ï r des arminiens 8c des anabaptiftes. III. 638. b.
A RM IN IU S , ( Jacques ) obfervations fur fa perfonne 8c
fur fes ouvra'ges. X i. 701. a. B elle conclufion par laquelle il