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Franconie, origine du nom de ce cercle d’Allemagne. VII .
646. «î.Ducde Franconie. IV . 68. a. Articles fur ce pays. 70.
4. Suppl. I. 31 1 . a.
F R A N CO W I T Z , ( Matthias ) théologien proteftant. VIII.
9'32- ‘z- I i ,
FRANEKER , ( Géogr. ) capitale de la Frife. Tems ou elle
fut bâtie : celui où elle fe joignit à l’état des Provinces-unies.
V IL 287 .1.
F R A N G E , ( Rubann. ) étymologie tlè ce mot. Origine des
franges. Celle des franges feftonnées. Différentes fortes de
frangés. Obfervations fur les différentes maniérés de les
faire. Parties dont la frange eft compofée. C e qu’on entend
par mollet, crépine , franges coupées. Ouvriers qui ont droit
de fabriquer les franges. Elles font partie du commerce des
merciers. VII. 287. b.
Frange. Métier à franges , XII. 130. b. vol. IX des planch
e s, Paffementier, planche 1 5 .” “ 17. Defcription de l’our-
diffoir des franges & de la façon d’ourdir. XI. 714. b. Retords
pour les franges. XII. 133. a. X V I . 423. b. Maniéré de fabriquer
la frange fur le moule. 353. a. Donner la derniere
main à la frange guipée. VII. 1010. a.
F R A N G É , ( Blafon ) v o ye z vo l. II des planches. Blafon ,
planche 18. Suppl. III. 133. a.
F R A N G E T , capitaine, fa punition pour avoir rendu Fon-
tarabie. III. 230. a.
F R A N G IPAN IE R , plumeria, ( Hift. nat. ) caraéteres de ce
genre de plante. Defcription de cet arbre de l’Amérique. Il y en
a de trois couleurs , le frangipanier blanc, le m ufqué, & l’ordinaire
, qui eft jaune. L ’odeur de ces fleurs eft fort agréable.
Lait qu’on tire de cette plante. U fage auquel quelques habitans
l ’appliquent. VII . 248. a.
FRAN K EN AU , ( Géogr. ) gros bourg d’Allemagne, dans
la Franconie. Fabriques & métiers établis dans ce lieu. Religion
des habitans. Suppl. III. 133. a.
FRANKENBERG ou Fr amont, (Géogr.) la plus haute
montagne de la Vofge. VJI. 288. a. Plufieurs prétendent
que Pharamond a été inhumé fur cette montagne. Ibid. b.
Frankenberg , ( Géogr. ) v ille d’Allemagne dans l’électorat
de Saxe. Sa grandeur. Sa fabrique de baracans. Etendue de
fon reffort. Suppl. III. 135. a. Oblervations fur le village d’E-
berfdorff qui en dépend. Ibid. b.
Frankenberg, v ille d’Allemagne dans le cercle du Haut-Rhin.
Son ancienneté. Son état moderne. Suppl.ïll. 1 3 3. b.
F R AN K ENH AU SEN , ( Géogr. ) ville d’Allemagne dans
îa Haute-Saxe. Sesfalines. C e que cette v ille renferme de remarquable.
Evénement arrivé en 1323 près de Frankenhau-
fen. Suppl. III. 133. b.
FRAN K LIN , fon hypothefe fur l’éleftricité. V I . 622. a ,
b. Ses expériences dans cette partie de la phyfique. Suppl.
II. 292. a , b. Suppl. III. 97. a , b , &c. Ses oeuvres. Suppl.
IV . 322. b.
F R A N T Z IU S , ( Wolfgang) théologien luthérien. XII.
734. b.
F R A N T Z K IU S , ( George) jurifconfulte.VIII.434.il.
F R A N T Z B O U R G , ( Géogr.) v ille d’Allemagne dans l a '
Haute-Saxe. Son origine. Singulier établiffement qu’y forma le
duc Bogiflas fon fondateur. Suppl. III. 13 3.E
FR AN SH ER E , ( Géogr.) erreur à corriger dans cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. III. 133. b.
F R A -P A O L O , voyeç Sarpi.
F R A P P E , ( Fondeur de caraEl. d’imprim. ) affortiment complet
de matrices. Un affortiment de frappes eft la richeffe
d’un fondeur. Pourquoi ces matrices font nommées frappes.
V I I -288 .b.
Frappe, terme d’ancien monnoyage. VII . 288. b.
Frappe-plaque , terme de bijoutier. V II . 288. b.
FRÂPPÉ. (.Mufiq.) D e la maniéré dont les François & les
Italiens frappent la mefure. Toutes les fyllabes longues doivent
tomber fur le frappé de la mefure, & les brèves fur le levé.
Suppl. 111. 136. a.
FRAPPER. Principales acceptions de ce mot. V I I . 288. b.
Frapper , battre. Différente lignification de ces mots. II.
134. b. Frapper d’eftoc & de taille. V . 1006. a.
F rapper. ( Manuf en fo ie ) V I I . 288. b.
F rapper une manoeuvre. ( Marine) VII . 288. b.
Frapper épingles. ( Epinglier ) Commerit on fait la tète
rie l’épingle. V i l . 289. a.
Frapper carreau. ( Monnoie ) V II . 289. a.
F rapper , ( Ruban. ) Approcher & ferrer par l’aétion du
battant le coup de navette qui vient d’être lancé , ce qui
forme la liaifon de la trame avec la chaîne. Détails fur cette
opération. VII. 289. à.
Frapper , ( Tijferand) battre Sc ferrer fur le métier la
trame d’une toile , &c. Détails fur cette manoeuvre. V II .
289. a.
FRA RESCH E, retrait de, ( Jurifpr. ) X IV . 209. a. 210.
FRARESCH EURS, ou Frarefcheux ( Jurifpr. ) Tous ceux
qui poffedent des biens en commun. Etym. du mot. Ge
quon entend par frérage oufrarefche. Différence entre parage
& frérage. Démembrement qui fe faifoit autrefois d’un fief,
. lorfqu’il tomboit entre plufieurs freres. Ordonnance de Phi-
lippe-Augufte pour empêcher que ces démembremens ne
préjudiciaffent aux feigneurs. Il paroît par quelques exemples
que cette ordonnance ne fut pas fuivie. Diverfes maniérés
dont les coutumes remédièrent à ces inconvéniensdu démembrement.
Ouvrages à confulter. V II . 289. b.
F R A S C A T I , (Géogr.) petite v ille d’Italie en partie bâtie
fur les ruines duTufculanum de Cicéron. Son é vêché, palais
& jardins qui la rendent célébré. VII. 289. b. ’
FRASSEN , (Claude) doéleur de Sorbonne, XII. oqo. b
FR A TER N E L amour. I. 370. b. Voyeç Freres.
FRA TER N IT É. ( Jurifpr. ) Maniéré dont la fraternité doit
être prouvée. C e qu’on entend par confraternité. VII. 290. a.
F raternité darmes, (Hift.mod.) affociation entre deux
chevaliers, &c. Nature, origine & but de ces engagemens.
Ils fe contraéloient quelquefois pour la vie j mais ils fe
bornoient le plus fouvent à quelques expéditions paffageres.
Ancienneté de cet ufage. Cérémonie par laquelle les afiociés
fe juroient fidélité. L e chriftianifme s’étant établi on contraria
les fraternités au pied des autels. V II . 290. a. Autres
cérémonies moins graves que les précédentes par lefquelles
on s’affocioit. Traités de fraternité d’armes que les princes
formoient entr’eux. Fraternité établie entre le connétable
Cliffon & le duc de Bretagne. Les fraternités militaires
donnoient à des feigneurs particuliers le moyen de faire des
entreprifes dignes des fouverains, & même quelquefois de
fe rendre indépendans. Il arriva ainfi que ces affociations
contraélées par des fujets ou des alliés de nos ro is , firent
naître des foupçons fur la fidélité de ceux qui les avoient
formées. Ibid. b. Voyeç Freres d’armes.
F R A TR IC E L L E S , ( Hift. eccl. ) Religieux apoftats & vagabonds
du 13 e. & du 14e. fie c le , qui prêchoient différentes
erreurs. Origine de cette feéte : elle fut occaflonnée par les
difputes des Cordeliers' fur la forme de leurs capuchons &
fur la propriété de ce qu’ils mangeoient. Bulles contradiéloires
de quatre papes fur ce fujer. Hiftoire abrégée de cette dif-
pute q u i, félon un auteur cé lébré , peut être mife au rang
des fottifes paifibles. V I I . 290. b.
FR A TR IC ID E . ( Jurifpr. ) Le fratricide & fes enfans
exclus delà fuccelfion, &c. Auteurs à confulter. V I I . 2 9 1 .a.
F R A T T A , (J ea n ) poète du 16e. fiecle. X V I I . 89. b.
F R A U D E , elle peut fe tro uve r, dans le difeours , dans
l’aélion, & même quelquefois dans le filencl. La mythologie
faifoit de la fraude une des filles de l’enfer & de la
nuit. V IL 291. a.
Fraude, contravention, contrebande. (Comm.) Différence,
entre ces trois cjjpfes. La fraude & la contravention qui
vient d’ignorance eft punie comme celle que l’on commet
de propos délibéré. V IL 291. a: Mauvais effets qui réfultent
de la difproportion qui fe trouve entre le droit exigé & le
prix de la chofe qui eft l’objet de ce droit. Marchandifes
fur lefquelles la contrebande fe commet le plus ordinairement
: coufifcations qui en font la peine. Punitions plus
graves pour certaines contrebandes. Non feulement il n’eft
pas permis de frauder les droits ; mais c’eft un devoir de
confcience de les p ayer. Préjudice que ces fraudes apportent
au commerce. Ibid. b.
Fraude, diftinguée de la contrebande. IV . 129. b. En quoi
elle confifte: le légiflateur n’y doit point donner lieu. 130.
b. Suite d’obfervations fur ce fujet. 13 1. a , b. Punition de la
fraude par les galeres. V II . 443. a. Efpece de fraude nommée
ftellionat. X V . 309. a.
F R A V E N F E LD , (Géogr.) capitale de la T h u rgo vie , les
révolutions, fes privilèges & fon gouvernement. Suppl. Tiw
136. a.
•s FRA V EN STE IN , ( Géogr. ) château , v ille & bailliage,
d Allemagne dans la haute Saxe. Induftrie des habitans des
villages qui en reffortiffent. Château de même nom dans la
haute Carniole. Suppl. III. 136. a.
FRAXINELLE. ( Botaniq. ) Caraélere de ce genre de
plante. V II . 291. b. O n en diftingue cinq ou fix efpeces.
Defcription de la fraxinelle commune. "Veficules pleines
d’huile effentielle, dont les extrémités des tiges & les calices
des fleurs font couverts. Vapeurs fulphureufes qui s’en exhalent
dans les jours d’été. Contrées où la fraxinelle croît:
tems où elle fleurit. Ibid. 292. a. Voyc{ D ictamne.
Fraxinelle, ( Jardin. Agric. ) Elle peut être mile au
nombre des fleurs de la grande efpece. Obfervations fur la
maniéré de la multiplier & de la cultiver. VII. 292. u.
F raxinelle, (Pharm. Mat. médic.) elle porte le nom de
diélamne dans les boutiques. Les feuilles de diftamne en
matière médicale défignent celles du diélamne de Crete. C ’eft
l’écorce de la racine de la fraxinelle qui eft d’ufage en médecine.
Caraéteres de cette écorce. Principes dont elle eft
composée. Propriétés qu’on lui attribue. Sa dofe. Eau diftillée
des fleurs de fraxinelle. VII. 292. b. Voyeç D ictamne.
w F R A Y É aux arst ( Manegi Maréqft. ) en quoi confifte la
maladie
F R E F R Ë
fiialadié .d’un, cheval frayé aux ars. Ses cà-ifes: Comment on
y remédie. VII. 292. b. V o y e z Suppl, III. ^ 3 , ap
F R A Y E R , (Gramm.) acceptions communes de ce mot.
V I I . 2*92. b..
Frayer , ( 4 lu monnoie) en quoi confifte cë crime. Dans
iin paiement où le frai attaque toutes les pièces, il eft permis
d’arrêter l’argent pour être juftifié, par l’ordonnance de Louis
X IV . VII . 292. b.
frayer y s’érailler. V I I . 292. b.
Frayer y terme de pêche: terme de vénerie. V II . 292. b.
F R A YEU R , fés fynonÿmes font allarme, terreur y effroi y
épouvante , craïnt’e , peur, apprèhenfton. I. 277. b. XII. 480. a.
Dernier degré de la frayeur. IV . 66. b. Cas qgi prouvent
qu’on peut mourir dé frayeur. V II . 214. b. Cauie de la
lueur dans la frayéur. X V . 628. à.
. F R A Y O IR , ( Vénerie) lieu 6ù le c e r f bruiiit Ton bois;
Plus il eft v ie u x , plutôt il fraie. Comment on reconnoîf
au frayoir la hauteur de la tête du cerf. V II . 293; a.
Frayoir, v o y e z l’article Vénerie. X V I . 939; b.
FRED EGOND E . Obfervation fur le tombeau de cette
Yeine. V I . 864. a.
FRÉDÉRIC I , dit Barberouffe & le pere de la patrie.
( Hift. d'Allem. ) treizième roi ou empereur de Germanie ou
d’A llemagne. Hiftoire de fon regiie. Suppl. IIL 136. a , b.
137. a y b.
Frédéric 1 , dit Barberouffe, empereur. Il àfliege inutilement
Alexandrie. Suppl. I. 274. a. Il cherche à rétablir
Uladifîas fui' le trôrie de Pologne. Suppl. II. 9; b. Sa mort.
IV . 392. 4. Suppl. II. 667. a y b.
Frédéric I I , de la famille de Souabë, ( HiftM’Allem. ) roi
de Sicile & de Jérufalém, 17e. roi ou empereur de Germanie
depuis Conrad I. 21e. empereur d’occident depuis Charlemagne.
Hiftoire de fon régné. Suppl. III. 138. 4 , b. 139, a t b.
Frédéric I I , empereur, proteéleur des inquifiteurs. VIII.
774. a. Excommunication fulminée contré lui par le pape.
V I . 710. b. Il fait renaître l’anatomie. Suppl. L 394. 4.%
F réd éric I I I , dit le B e l, (Htft.dlAUem.) n’eft point compté
parmi les empereurs par les meilleurs chrohoiogiftes. Evé-
nemens de fon régné. Suppl. III. 140. à,
Frédéric I I I , empereur: ion épitaphe. VIII: 777 . b.
Frédéric I V , fucceffeur d’Albert II. ( Hift. d'Allem. j
vingt-neuvieme empereur depuis Conrad I. Il fut furnommé
le pacifique. Hiftoire de fon régné. Suppl. III. 140. b.
F réDéric AUGUsTe I , éleéteur de Saxe & roi de Pologne.
XII. 934. a.
Frédéric-Auguste I I , ( Hift-. de Pologne) éleéleur de
S a x e , roi dé Pologne. Principaux évéïiemëiis de fon reghet
Suppl. III. 142. b.
Frédéric I i (H f t . de Suede) roi Jde Suede. Tableau dé
fon régné: Suppl; III. 144. a.
Frédéric I , reconnu roi de Prtiffe èn 1713. XIII. 332. b.
Frédéric-Guillaume II» roi de Pru llë , précis cie fori
régné. XIII. 332. b.
Frédéric I I , roi de Pruffe: anecdote fur ce prince. IX.
460. b. Précis de fon régné jufqu’à ce jour. X l i l . 332. b.
Son éloge. 333. a. Celui de fes ouvrages. Ibid. Ufages qu’il
fait de l ’artillerie. Suppl. I. 6 1 1 . b. Son palais à Charlotten-
bourg. Suppl. II. 368. a.
FRÉbÉRic, (Gode) III. 372. b.
FréDéric-Màurice , duc de Bottillon. Suppl. II. 27. b.
38. 4.
FRED E LINGH EN, ou Frïdlingen $ ( Géogr: ) fortereffe
d’Allèmagne , près de Huningue, à trois quarts de lieue de
Bafle. Suites de la viéloire que le marquis de Villars remporta
dans ce lieu en 1702 fur l’armée impériale. SuppL III. 144. b.
F R E D P U Y , ou Fraispuïts, (H ift.n a t.) petite montagne
peu éloignée de Vefoul f qui vomit, & élance quelquefois
de fon lommét autant d’eau quë' ie Vé filv è de flammes;
Defcription de cette merveille. Effets femblàblés que préfente
le puits de Braine , fur le chemin de Befançon à Omans.
Conjeélure fur leur caufe. Suppl. III. 143. a.
F R ED U M , ( Jurifpr. ) droit qu’on payoit pour la pro-
teftion accordée par le prince contre le droit de vengeance.
III. 7 7 1 . 4.
F R É G A T A IR E , ( Comm. ) ce qu’on entend par ce mot
au baftion de France en Afrique. Fondions & gages des
frégataires. V i l . 293. 4.
F R É G A T E , (Marine) efpece de vaiffeau de guerre^ Les
Anglois font les premiers qui ont appellé ces batimeils de
ce nom. C e mot frégate tire fon origine de la mer Méditerranée
: bâtimens qu’on y appellott de ce nom. Defcriptiori
des frégates dépuis .3 2 jufqu’à 46 canons, & de celles depuis
30 jufqu’à 32. VII. 293; 4. Frégate dé 28 canons. Frégate
de 22 à 24 canons. Les frégates au-deffous de 20 font app
e lle s corvetes. D evis d’une fregatede 143 pieds de long de
l’étrave à l’étàmbot, 3 6 pieds de ban, &. 13 pieds de creux. I
Ibid. b.
FRÉGAfE légère. (Marine) V II . 294. a.
Frégate. Conftruéliôn des frégates de différentes grandeurs
Tome I,
781
& rapacités. XIII. 789. & 79a. S im pém iî, éfpecfc de
fregate. X V . 203. a. ' 1
Frégate. ( Omith. ) Defcription de cet oifeau des Antilles.
On prétend qu’il s’éloigne des terres de plus de. 300 lieues:
Chaffe qu’il fait aux poiffons volans. Mette des frégates dans
le petit eul-de-fae de la Guadeloupe. O n les a obligés de la
déierter en leur donnant la chaffe pour avoir de leur graiffe.
Comment on les prend. V II . 294. 4.
^ FH-EIOBERCî-^ (Géogr. ) ville de Mifnie. Auteur qui end
Gens de lettres qu’elle a produits. V II . 204.4.
F R E IENW A LD , ( Géogr. ) t?; petite ville d’Allemagne
clans la I omeranie prulfienne ; 20: petite v ille d’Allemagne
dans la haute Saxe. Obfervations fur les eaux minérales' &
les mines dalun qui fe trouvent dans fon voifinage. Suppl.
i l l . ï4 3. 4, Canal, nouveau fait aux environs de Fréien»
wald a la riviere de l’Oder. Ibid. b.
FR E IG IU S , (Jean-Thomas) Jurifconfulte; V I I . 206. 4.
FREIN. (Gramm: & Manege) V II . 294. b. 3
Freins louvetés dont parlent quelques auteurs latins. V .
338. b.
Frein de la verge. (Ànat. Chirur.) Sa defcription. Jeux de
la nature auxquels ce ligament eft fujet. Moyens de remédier
aux inconvéniens qui en réfultent. V IL 294. b.
Frein. Comment on remédie à ce défaut de conformation
qui fait courber la verge dans l’éreélion; VIII. 412. a.
Frein de la langue (A n a t.) Il arrive quelquefois dans
les enfans riôuveaux-nés, que cetté membrane fe continue
jiifqii’aii bout de la langue. Comment on y remédie. Leçon
que les moraliftes tirent de ce que l’auteur de la nature a
mis un frein à la langue & au membre viril; Suppl. III. 143.
b. Voye[ Filet.
Frein de la langue, voy ez F ilet; Son prolongement contre
nature dans un enfant. Suppl. I. 292’ a.
Frein de la vulve y v o y e z Fourchette. Suppl. III. ia c .b
FR E IN D , (J ea n ) médecin. XI. 230. b. ' .
FRElN SH hMIUS, (J ea n ) favant littérateur. XV II . 374.
b. Supplémens de Freinshemius. X V . 673. b.
FRE1S A C H , ou Friefach, ( Géogr. ) ville d’A llemagne,
dans le cercle d’Autriche. Ses révolutions. Etabliffemens &
fondations dans ce lieu. Suppl. III. 143. b.
FR E IST A D T * ebrreïlion à faire à cet article de l’Encyclopédie;
Supplt III. 143. b.
FREJUS, (Géogr.) forum ju l i i , v ille ainfi appellée de
Jules-Cefar. Elle a été la , patrie d’Agricola , beau-pere dè
Tacite. Pourquoi Pline l’appelle clajfica. Sa fituation. V I I i
*94- h . .
Frefis ancienne. Suppl. IV . 10. 4;
FRÊLE. Différence entre frêle & fragile. V IL 293. a.
FR E LO N , ( Hift. nat. Zoolog. ) infeéte du genre des guêpes:
Dans les tems chauds fa piquure èft très-vive; En quoi les
gâteaux des frelons different* de ceux des guêpes fouterreines.
Defcription de ces gâteaux. Matière dont ils les forment!
Lieux où l’on trouve les nids de frelons. Infeéles dont ils
vivent. Reffemblarice des frelons avec les guêpes. VII. 20c 4
FR EM IN E T , (Martin) peintre. V . 319. 4.
FRÊNE.. (B o t.) Caraéteres de deux genres de plante de
ce nom. Dèlcription de cet arbre. On le met au nombre
dé ceux q u i, par leur v o lum e , tiennent le premier rang
dans les forêts. Obfervations fur fon accroiffement. Terrein
& expofitions qui lui conviennent le plus. VII. 293. b. Quels
font les terreins auxquels il fe refiii’e; Moyens de le multiplier.
C e qui rend difficile fa propagation en grand. Soins
qu’on doit prendre pour faire venir le frêne de femence.
Soins à prendre pour la tranfplantation. Ibid. 296. a. Qualités
de fon bois. Ufages qu’on en tire. Bois qu’on peut fe procurer
en élaguant ou étêtant l’a rb re, quand'il eft dans fa force:
Le dégouttement du frêne endommage tous les végétaux
qui en font atteints. Mais l’égout d’aucune efpece d’arbre ne
lui fait préjudice. Ufages qu’on tire de fon feuillage: tems
où l’on doit couper les rameaux. On pourroit employer le
frêne pour l’ornement des jardins. Inconvénient qui le fait
éloigner de tous lieux d’agrément. Auteur à confulter fur
les propriétés médicinales du frêne. Efpeces de frêne les plus
connues. Ibid. b. L e frêne de la grande efpece. L e frêne
de la grande efpece à feuilles panachées de jaune. Le frêne
à feuilles rondes. Le frêne nain j ou de Montpellier. Le frêne
à fleuts y originaire d’Italie : détails fur cet arbre ; c’eft de
tous les différens frênes y celui qu’on doit le plus employer-
dans les jardins d’agrément. Le frêne à feuilles de noyer:,
le frêne de la nouvelle Ànglèterre : détails fur cet arbre <
fa culture* les lieux où on le cultive. Le frêne blanc d’A mérique
: fa defcription. Vigueur de ces arbres. Ibid. 297. a:
Frêne, ( Bot. Agric. ) noms de cet arbre en différentes*
langues. Soncaraélere générique. Suppl. III. 143. b. Enumération
de huit efpeces. Lieux où elles croiffent. Leurs def-
criptions, culture, qualités & ufages. Ibid. 146. a.
Frêne épineux, v o y e z Fagara. Suppl. III. 1. b. L e chio-
nantho greffé avec fuccès fur ce frêne. 239. b:
Frêne. (Pharm, Mat.médic.) Principes qu’il contient; Pro-
N N N
s qu il contie
N n n n q n
fm m m