92. A R B
l o 0. Avantage de l’ècorcement des arbres poor améliorer
h H du bois. Ibid. b. Défcnfes d ’écorcer les arbres dans
le royaume de France. Cette maniéré -de confolider les bois
n’étoit entièrement inconnue , ni aux anciens , ni aux modernes.
Les arbres écorcês ayant été abattus, leurs foiiches.
recroifloient moins. Il n’eft pas vrai que la ie v e de 1 écorce ,
celle de l’aubier, 8c celle du bo is , nournffent & forment
chacune une certaine partie à l’exclufion des autres. Expérience
pour comparer la tranfpiration des arbres ècoréès 8c
non écorcés. L’écorce empêche l’excès de la tranlpiranon.
m {87 . ». S Â T S
boïs*” cncore 'pliis dur. D e la multiplie Won des arbres par
marcotte ou bouture. Expérience qui démontre la o ltan e e
d’une lè v e afcciiilantc & d’une autre, delcendante qui lert
au développement des
Duhamel pour affiner le fucces des boutures. Ikd . b. Arbres
renverfés dont les branches: ont produit des racines & les
racines des feuilles. Autre expérience fmguliere de M. Duhamel
Extrait du manuel de ce même académicien fur les operations
néceflabps pour é le je r clés hommes a v e c autant de
sûreté & de facilité qu'il c i l poffiblte: Ibid. 588. <t. Pranqïe
pour avoir beaucoup de marcottes du n même arbre. Eonj
. étudier la nature, ce n’eft pas1 a l f a de la ftuvre ■ dans fo u
cours ordinaire & r é g lé ,' il faut quelquefois effayer de la
dérouter pour en coimoître tonte la Fécondité 8c les rel-
fources.Ibid. b. . . .. .
A rbre , ( Botan. Jardin. ) des cara&eres qui diltin^uent
l’arbre des autres végétaux. Diftinétion de quatre différens
ordres d’arbres. Agrémens que leur vue procure à l’homme.
Suppl. I. c io . b. Utilités que nous retirons de leur b o is , «
de leurs différens produits. Leurs effets fur lè fol. Ibid.
c io . § Ils retiennent les terres par l’entrelacement de leurs
racines. D e foibles arbrifleaux croifi'ent fur un ro ch er , 8c
«par le détritus des parties de ces plantes qui tombent ou
le dénu ifent, le rocher couvert infenfiblement d une terre
végétale , deviendra propre à recevoir des efpeces plus
élevées , & à les nourrir. Fécondité que les arbres donnent
à la terre. Certains arbres tirent plus de nourriture de Pair
qu’ils n’en dérobent à la terre. Les arbres fervent a delle-
cher un fol trop humide. Qualités falutaires qu ils donnent
à l’air. Ibid. b. Les arbres raffemblés font aufli une
des fources des pluies bienfaifantes. D e s moyens de reproduction
que la nature leur a donnés. Forme ou propriété
que leurs femeneès ont reçue pour procurer-leur difperfion.
Inftruétions fur Part de les multiplier. i° . Ne les lemez
que dans des terres & des fituations analogues à celles ou
la nature les a fait croître. Ibid. 521. a. 2°. N’enfoncez
jamais tro p , ni les femeneès d’arbres, ni les jeunes arbres
que vous confierez à la te r r e , 8c recouvrez les femences
de ce terreau lé^er 8c végétal que leur a préparé la nature.
30. Obfervation qui prouve l’utilité de l’èlagage. Comment
on connoît que certains arbres font dune même
famille. 40. Principe de toutes les alliances _ qu’on peut faire
contracter aux différentes efpeces ou variétés d arb re , ou
de leur multiplication par la greffe. 30. Comment la nature
nous a fait connoître la multiplication de bouture.« 6 . M arcotte
naturelle qui nous a fourni la méthode de marcotter
le s arbres. Ibid. b. 7 0. Différens faits qui indiquent plufieurs
moyens de multiplier les arbres. 8°. Deux fortes de fruitiers
* qui croiffent naturellement dans les bois ; les uns
agreftes , les autres plus dignes d’être tranfplantés dans les
jardins. Les fruitiers de nos vergers doivent être multipliés
de graines. 90. La greffe eft utile à perpétuer 8c fixer
les variétés obtenues fortuitement. io °. Elle peut contribuer
aü coloris des fruits , à leur grofieur , leur goût , leui
préco cité, leur abondance. 1 1°. Principe de^ l’importantt
opération de la taille. 120. Ôbfervations d’où naiifent les
réglés fur le mélange des terres , 8c l’expofition qui 'Convient
aux arbres à fruit. Ibid. 522. a. Des maladies de:
arbres. Maladies qui attaquent la tige. Leurs egufes. Maladie1
pédiculaires des arbres. Caufe des moufles 8c des lichen:
qui s’y attachent. Pourquoi certains arbres réfiftent plus ;
la <*elée que d’autres. Des arbres des pays chauds qu’01
peut accoutumer à la température de notre climat. Des
moyens dé les y accoutumer. Suppl. 1. 519. 5 23. a.
Arbre. Trois états diftingués dans la -durée des arbres.
IV . 47. a. Defcription de la végétation des arbres 8c des
ufages des différentes parties qu’on diftingue en eux. X V I.
953. a , b. 962. b. Maniéré de compter l’âge d’un arbre,
f . 171. a. II. 300. b. Infiniment qui fert à Faire connoître
la quantité de bois qu’un arbre contient. Suppl. IL 692.
a , b. D e l’accroiffement des arbres. II. 300. b. Les arbres
dépouillés de leurs feuilles 8c de leurs boutons périffent
fans reffource. X VI. 960. b. Caufes qui amènent la mort:
naturelle de l’arbre. 962. b.' Divifion des arbres à fruit.
V IL 356. a. Voye^ FruitiïRS. Des arbres qui contribuent
à l’embellifisnicnt d’un jardin. 835. b. Arbres à raffcmbler
dans un b cfb u e t, voye^ ce mot. Arbres en efpaliers. V .
A R B
954. a.. 8c coritre-efpaliers. IV . 142. a. Arbres de forêts ,
appelles piés-corniers. XII. 558. b. Jeunes arbres de fo rê ts ,
appelles baliveaux. II. 38.' b. Arbres conifères. III. 871. a.
L e plus gros arbre de l’univers 8c peut-être le plus Yivace
Suppl. I. 798. b\ Pourquoi les arbres toujours verds font ■
décréditès en France : qualités de ces arbres qui doivent
engager à les cultiver. Suppl. IL 668. b. Arbres qui dans
certains lieux fuppléent au défaut des pluies. Suppl. III. 476. b.
De la culture des arbres. A r t de les multiplier. X.‘ -859. b.
FoycçMuLTiPLiCATION. Leurculture en pépinière. X II. 320.
b. Suppl. IV . 292. a , b. D e la plantation des arbres. XII.
7 1 o. A , ' &c.v 726. a , b. Voye^ Plantation. La maniéré
de les tranfporter. X V I . 561. a. Voye? T ransport. D e
leur tranfplantation. 560. a. Voyeç T ransplantation.
Opération de tailleries arbres. X V . 833^ à.— 841. b. D e
les effeuiller. V I . 654. a. D e les greffer. Voye{ Greffe.
D e l’engrais qui leur convient. V . 684. b. D ommage appellé
g élivu rè , qui arrive aux arbres par de fortes gelées. V I I .
343. b. Faire jeûner un arbre. VII I. 344. a. Armer un
arbre. Suppl. I. 361. «. Bouillons pour les arbres malades.
578. a. Ârrofement- des arbres. 376. b , 8cc. Arbres cariés.
Suppl. II. 240. a. Opération fur les arbres appellée cautere.
X V I I . 761 . bj. Pourquoi les arbres à haute tige auxquels
on ôte plus de bois qu’il ne fa u t , produifent peu de fruit.
XII. 723. b. Maniéré de rendre à un arbre une vigueur -
qui paroît lui manquer. XIII. 762. a. Moyen de rajeunir
les arbres 8c ■ de hâter la maturité de leurs fruits. Suppl.
III. 213. b. A r t de tirer le fuc des arbres en lesiperçant.
X V I . 132. a , b. Culture 8c conduite des arbres étrangers,
des arbriffeaux qu’on recherche par curiofité , des arbres
toujourds verds. XII. 323. b. Culture des arbres délicats.
Suppl. I. 248. b. 247. a , b. Maniéré de les empailler. Ibid,
b. Diverfes inftruétions fur la culture des arbres, à l’article
Branche. IL 394. b. Defcription d’une machine pour arracher
de gros arbres. Voye^ Planches du Jardinage.
vo l. I , 8c l’article Fruitier.
Arbre qui porte des favonnettes , ( Botan. ) genre de plante.1
Defcription de fa fleur 8c de fon fruit. Lieux où il croît.
Ses ufages en médecine. I. 389. a.
Arbre à favonnette. X IV . 723. a , b.
Arbre de vie , arbriffeau, fa defcription , fes qualités. I;
389.’ «/- 1 ‘
A rbre DE vie , ( Botan. ) fes différens noms. Caraélere
de ce genre de plante. D eu x efpeces qu’il renferme : l’une
originaire du Canada , l’autre de la Chine. Defcription de
ces arbres. Leur culture. Ufage qu’on en tire. Suppl. I.
323. b. 324. a , b.
Arbre de vie j arbre planté au milieu du jardin d’Edeu.
I. 389. fl.
Arbre de vie. X V I . 306. b. Suppl. II. 437. b,
Arbre à p a in , qualité 8c ufage de ion fruit. Suppl.'TV.
649. b. -■ V v K .. _ •! .
Arbre de la fcience du bien & du mal. O n difpute fi ce ï
arbre 1 étoit le même que l’arbre de vie. Raifcns pour 8c
contre. I. 389. a. Recherches fur la nature du fruit défendu.
Plufieurs anciens ont pris tout le récit de M oïfe dans un fens
figuré. Sentiment de faint Auguftin fur la vertu de ces
arbres. Rêveries des Rabbins fur l’arbre de vie. Ibid. b.
Arbre de Diane , végétation métallique. Par quel mélange
on fait cette opération. Végétation métallique dont parle
Fureriere. D eu x maniérés de faire cette expérience. I. 300. a.
Arbre de Mars, invention moderne. Comment la decotu-
vrir M. Lemery le jeune. I. 390. a.
Arbre de Diane : arbre de Mars : voye{ Végétations métalliques.
X V I. 871. b. I. 637. b.
A rbre, ( Mythol.) diverfes efpeces d’arbres confacrés à
différentes divinités. I. 390. b.
Arbre. Le culte rendu aux arbres eft de la plus haute antiquité.
Suppl. III. 39. b. Cérémonie qui cônfiftoit à porter des
arbres dans certains facrifices. IV . 824. b. Nymphes qui
préfidoient aux arbres. V I I I . 33. a , b. Arbres confacrés
aux dieux : voyel les articles particuliers de ces dieux.
A rbres , ( Méchanique) partie principale d’une machine qui
fert à foutenir tout le refte. I. 390. b.
Arbre d’une machine à élever les pierres. I. 3 9 a b.
Arbre, chez les cardeurs ; chez les canonniers ; chez les
frifeurs d’étoffe 5. chez les fileurs d’or ; I. 390. b. chez les
horlogers ; différentes fortes d’arbres dont ils fe fervent. Chez
les imprimeurs. Ibid. 391. a. dans les papeteries ; chez les
potiers d’étain ; chez les rubaniers ; chez les tourneurs.
Ibid. b.
A rbres , ( Jurifpr. ) les arbres de réferve 8c baliveaux fut-
taillis font réputés faire partie du fonds des forêts. Plantations
d’arbres fur les grands chemins 8c branches d’iceux.
A qui eft adjugée la propriété d’un arbre fur lequel il y
a conteftation. D ’un arbre qui étend fes branches fur un
fonds étranger. A qui appartiennent les arbres, morts, & -
ceux qui font abattus par le vent. Les arbres en futaie
réfervés au propriétaire : l’ufufruitier peut en demander
pour
■ ■ H H
A R C
pour les réparations. Des arbres qu’un fermier a plantés.
Suppl. I. 323. b.
A rbre , ( Blafon ) de l’arbre dans les armoiries. Email qui
lui eft propre. Arbre fu té , arraché , .écoté, éfeuillé. Suppl.
I.32 7. <*.
Arbre, ( Blafon ) Suppl. I. 910. b. Arbre futé. Ibid. III.
164. b. Arbre au pied nourri. Ibid. IV . 62. b. Arbre nourri
Ibid.
A r br e G én é a lo g iq u e , ( Art hérald. ) fon utilité, maniéré
de -le conftruire 8c d’en diftribuer les branches. Suppl. I.
327. A.
Arbre généalogique. C e qu’on entend par rameau dans cet
arbre. Suppl. IV . 3 67. b.
ARBRISSEAU , ( Botan. ) on ne peut déterminer pré-
cifément ce,qui diftingue un arbriffeau d’un arbre. I. 392. a.
Sous-arbriffeau, plantes qui portent ce nom. I. 392. a.
Arbriffeau} difficulté de diftinguer les arbres des arbriffeaux.
I. 380. a. Sous-arbriffeau. X V . 639. a.
ARBRISSEL , ( Robert d‘ ) fondateur de l’ordre de Fon-
tevraud. V II . 106. b. '
A R B U E , (Métall ) fondant de la mine de fer : détails fur
ce fujet. V II . 138. a , . b. D e la qualité des mines venues
de l’arbue & de la caftine : proportions à établir dans l’ufage
de ces fondans : moyens de connoître ce que les mines
portent d’arbue & de caftine. 143. b. D u mélange de l’arbue
8c de la caftine avec la mine de fer. 13 a. bi
A R B U TH N O T , (J ea n ) phyfiologifte. Suppl. IV . 3 3 3. a:
A R C , arme offenfive , la plus ancienne, la plus univer-
felle. Son ufage en Europe avant les armes à fe y. Louis
XI l’abolit. En Angleterre on fait grand ufage de l’a r c , 8c
il y a- même des loix pour encourager les peuples à fe
perfectionner dans l’art d’en tirer. I. 39a. a.
A r c , ( Art. milit.) efpece d’arme. Voye^planche 1. Art
rnilit. A rmes 8c machines dans le fupplément. Suppl. I. 327. b.
A r c , ( Géométrie) arcs de cercle : mefure des angles par
ces arcs. Arcs concentriques. Arcs égaux. Arc s femblables.
Diftance du centre de gravité d’un arc de cercle au centre
du cercle. A r c diurne du foleil. A rc noéhime. A r c du
méridien, mefure de la latitude. A r c de l’équateur, mefure
de la longitude. I. 39a* A r c de progreflion ou de direction.
A r t de rétrogradation , de ftation. A rc entre les centres
dans les éclipies. Ufage qu’on en fait poyr déterminer
la grandeur d’une éclipfe de lune. A rc de vifion. Ibid, a.
Arc , arcs femblables. X IV . 936. b. Supplément d’un
arc. X V . 673. a. Centres de gravité d’un arc 8c d’un fefteur
de cercle. II. 823. b. Corde d’un arc. IV . 204. a , b. Courbure
d’un arc. 390. a , b. Retrancher un arc , de la circonférence
d’un cercle , par le compas de proportion. III. 733.
a . D iv ifer un arc en deux parties quelconques. IV . 204. b.
A r c fémidiurne, ( Aflron. ) table des arcs fémidiurnes j
dans la plupart des volumes de la connoiffance des tems.
Suppl. I. 328. b. Voyeç SÉMIDIURNE.
A r c d’émerfion , ( Aflron. ) quantité dont il faut que le
foleil foit abaiffé au-deffous de l’horizon pour que les aftres
-de différentes grandeurs commencent à être vifibles à la
vu e ûmpie. Suppl. I. 328. b.
Arc en aftronoinie. A rc diurne. IV . 1087. a. A r c noc-
turne. XI. 183. à. Inftrument aftronomique nommé arc
mural. X. 867. a.
A r c de pojîtion, ( Aftrologie ) c’eft la même chofe que
ce q uon appelle, en aftronomie angle horaire. Suppl I
5 io .f l.
ARC en Barroïs, ( Géogr. ) petite v ille du duché de Bourgogne.
C e lieu.déclaré ville en 1726. Suppl. I. 329. a.
A r c djfyCa r , ; ( Géogr. ) petite riviere de France en
Provence. Defcription de fon cours. Suppl. I. 329. 4.
A r c du colon y ( A n a t.) grande courbure de cet inteftin.
Suppl. I. 3 29. a.
A r c , ( Architeélure ) ufage qu’en font les architeâes:
Arcs circulaires , qui font de trois efpeces. Arcs elliptiques.
Arcs droits. I. 393. a. La doélrine 8c l’ufage des arcs font
tres-bien expofés. par M. Henri Wotron dansles théorèmes
contenus dans cet article de l’Encyclopédie. Ibid. b.
ARC ou ligne courbe de l'éperon, ( Marine ) I. 393. b.
A r c , partie de Ja ferrure d’un carroffe. Maniéré de le
iorger , 8c Ion emploi dans le carroffe. I. 394. a.
Arc-boutant, en architecture, marine 8c méchanique. I.
394. a. ’ _ 1
A ï p , ( iW t f J l o f e . « . 4 4 2 -« p i A r c .d e
fu p p l c n c t IX. 44* . / . X V . 675. Différence « « » . l * .
vmanons de 1 arc tic levée & celles de l’arc de fupplément.
X V . 673. ê. Méchamflne par Jeqttel on borne l ’arc de fimplé-
ment dans les montres. X IV . 123. a. ™
A r c , ( Mufiq. ) ou archet. Suppl. I. <og. b.
C i r e o S b H B I “ fcriPt»>'> * ce météore.
Vircoqftances néceffa,res pour fon apparition. Explications de
ce. pltenomcne données par Antoine de Dontinis, Kénler
^ « u e n E e s à certains égards. I. , L .
« ( « . ï t e s o i a a . a . ■
A R C 93
Arc-en-ciel, extérieur. I. 397. a.
^ Dimc"û»ii de l’arc-en-ciel. C m » , i .
P n .dédutt tci d e la théorie'précédente l’explication de tons
les phénomènes particuliers de l’arc-cn-ciel f PouroiioJ
C<1 t° " ,0!,,S dcr mim<! largeur, a». Pourquoi les
jambes de 1 arc-en-ciel ne font pas toujours contiguës à la
terre. 3®. Pourquoi l’arc-en-Ciel change defituation à mefure
que l’oeil en change. 40. Pourquoi rarc-en-cicl forme une
portion de ce rcle , tantôt plus grande, 8c tantôt plus petite.
3 . Pourquoi il ne paroît jamais quand le foleil eft à une
certaine hauteur. 6°. Pourquoi il ne paroît jamais plus grand
q uun demi-cercle.. Ibid. 398. b. y°. Comment l’arc-en-ciel
peut paraître interrompu à fa partie fupérieure. 8°. Par
quelle raifon il peut paraître quelquefois renverfé. 90. Pour-
quoi il ne paroît pas toujours exaélemem rond , 8c qu’il eft
quelquefois incliné. io°. Pourquoi les jambes de l’arc-en-ciel
paroiiient quelquefois inégalement éloignées. Arcs-en-ciel
extraordinaires. Ibid. 399. a. Arc-en-ciel lunaire. Ibid. b. Arc-
en-ciel marin. Arc-en-ciel blanc. Superftition des prêtres
païens par rapport à l’arc-en-ciel. I. 600. a.
ARG-EN-eua., ( P/,yJ!,i. ) defcription d’une machiné que -
Mufchemoroeck a imaginée .. par le moyen de 'lamielle on
repre ente atfément tons les arcs-en-ciel 8c d'tme maniere
tres-clau-e. /-'oycy pl. i . de phyiique. fig. 1. dans le Sun,,lé-
ment. Ouvrages a confulter. Suppl. I. 327. b.
Arc-en-ciel y inftrument par lequel on v o it les jours 8c les
heures auxquels un arc-en-ciel peut fe former. Suppl. 111
770. b. rr
A rc-en-ciel , ( Poéjîe , Mythol. ) image poétique qu’en a
donnée le chevalier Blackmore. VII I. 903, a. Appartement
84 1/ rC en Ciel danS Un temPle des anciens Péruviens. X V I .
A rc-DE-CLOITRE , ( Archit. & Coupe des pierres ) Arc-doublau.
Arc-droit. Arc-rampant. 1.- 600. A . J -"!
^ • f i? C' n ' TrRIOMPHA ’ B ™ defcription & ufage de ces
édifices. Defcription de celui d’Orange qui fait une des portes
de cette ville. L 600. b. Autres arcs-de-triomphe : ceux de
Cavadlon , de Carpcntras , de Tite a R om e; celui qu’on
appelloit de Portugal, le grand 8c le petit arc de Sévere. Ceux
de Gallien. Ibid. 601. a. D e Conftantin, de S. Remi en
Provence. Arc s de triomphe modernes. Arcs de triomphe
d eau. Ibid. , b, a
A rc-de-triomphe, (A r ch it.) les premiers monumens
de ce genre n eurent rien de magnifique. Dans la fu ite , le
marbre y fut employé , 6c l’architeélure fécondée de la
fculpture , les embellit de bas-reliefs 8c d’inferiptions -
Arc-de-tnomphe de Titus. - Pendant un tems ces arcs
eurent la forme d’un demi-çercle. O n leur donna enfuite
une forme qüïrfée , &c. Arcs-de-triomphe de l’ancienne
H U ” 'a paS été parlé dans 1,Eucydopédie. Suppl. I.
Arc-de-tnomphe. Chars élevés fur des arcs-de-triomphe.
V i A r ,c 5? n*aer® Par A ugufte à la mémoire de fon
pere. X IV . 821. A C elui de Titus: 3 31. *2. Celui de Conftantin.
Î P " / • XVI. 633. a , b. Voye.1 A ntiquités , vol. I. des
planch. Arc de Septime Sévere. Ibid.
■ A' ^ \ S { eanne d' ) ou la Pucelle d’Orléans. Précis de fa
vie. x y i . 860. a , 'b. Suppl. I. 329. a , b. Ibid. IL 331.
b. Epee dont elle s’arma. Ibid. IV . 703. a. Droits de nobleffe
accordes a ceux qui defeendent par les femmes de quelqu’un
de fes freres. X I. 180. b. *
A R C A D E , ( Architeélure ) arcade feinte. I. 601. b.
A rcade , (Archit. ) réglé établie par Vignole , 8c affez
généralement fuivie pour la hauteur 8c la largeur des arcades.
Proportions qu’on doit obferver quand les colonnes qui
accompagnent les arcades ont des piédeftaux, 8c quand elles
nen ont point. Des colonnes engagées dans les jambages.
Arcades fans colonnes ni pilaftres. Hauteur 8c faillie des
împoftes. Largeur des bandeaux de l’arç ou archivolte. Boffage
de la clef. M odèles de moulures 8c autres ornemens propres
aux impolies, 8c aux archivoltes des arcades , fuivant les
differens ordres. Portique dorique, 8c portique ionique. Voyeç
pl. 4. d’architeâure dans le Supplément. Suppl. L 331. b.
532. a y b.
Arcade, tympan d’arcades.- XVI. 776 . b. Arcades qu’il y
avoit à ,R om e , appellées Janus. VIII. 432. b. Ceintres pour
la conftruâion des arcades, il- 798. b.
Arcade, en jardinage. Dimenfion de ces paliffades. Soins
qu’elles exigent. I. 601. b.
Arcade, dans les manufa&ures de foierie. Defcriptioh 8c
ufage de cette partie du métier. I. 601. b.
Arcade, en paffementerie. Conftruétion 8c ufage de cette
partie du métier. I. 602. a.
Arcade, en ferrurerie. I, 602. a.
A rcade , ( A n a t.) arcade alvéolaire. A rcade des mufcles
de l’abdomen. Arcade furciliere ou orbitaire. Suppl. I. 332. b.
A R C A D IE , vallon d’A rcadie appellé Bathos. Suppl. I.
827. b. Deux peuples d’A rcadie de moeurs totalement différentes
, parce que l’un cultivoit la mufique , 8c que l’autre