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caraélere de ftyle que l’on' obferve dans la bible. 91. a. Premier
tradu&eur de la bible en langue gothique. V II . 749. a. Comment
les anciens traducteurs de la bible ont pu réuflir dans
leur ouvrage : une traduction toute nouvelle feroit impof-
fible aujourd’hui. VII I. 91 . b. Raifons que nous avons de-
croire que les auteurs des premières verîions ont trouvé le
véritable fens du texte. 91 . b. 92. a. Des verfions de la bible.
X V I I . 165. b. — 168. a. D e la verfion dés Septante.XV. 66.
a , b. Verfion g recque de l’ancien teftament par Aquila. X V .
217. b. 218. a .U e la vulgate. X V II . 376. a , b. Manufcrits de
la bible dans la bibliothèque de Bade. X VII . 758. b. Bible d’Ori-
gene. VIII. 197. a , b. Editions hébraïques de la bible , par
Bomberg', 625. a. par Robert-Etienne, 626. a. par Elie Hutte-
rus. X V II . 374. b. Editions latine & hébraïque , par G ry-
phius. VII I. 627. a. Bible latine in-folio & in - quarto de
Vitré. 629. a. Editions polyglottes; XII. 939. a , b. Bible qui
fe trouve dans l’abbaye de Cîteaux. Suppl. II. 445. a , b. Les
livres faints furent écrits fans diftinélion de phrafes , ni
même de mots. XIII. 15 . a , b. D e la divifion qui en a été faite
par chapitres & par v erfets. XVII . 163. a , b. — 163. a. Voye£
T estament.
Plan d’un traité qui renfermerait tout ce qu’on peut déférer fur
les queftions préliminaires de la bible.
Première partie de ce traité. Critique des livres & des auteurs
facrés.
Section I. Queftions générales qui concernent tout le corps
de la bible. Ie. queftion; des différens noms donnés à la bible,
& du nombre des livres qui la compofent. 2e. D e la divinité
des écritures. 3e. D e l’authenticité des livres facrés. 4e. Des
différentes éditions & verfions de la bible. 5e. D u ftyle & des
différens fens de l’écriture. 6e. D e la divifion des livres en
chapitres & en v er fe ts , & des différens commentaires. II.
226. b.
Seélion II. D e chaque livre en particulier & de fon
auteur.
SeElion I l ï . Des livres cités dans l’écriture, des apocryphes
en général, des monumens qui ont rapport à l ’écriture.
Seconde partie de ce traité. Connoiffances générales qui font
néceffaires pour une plus grande intelligence des livres facrés.
i e. traité de la géographie facrée. 2e. de l’origine & de la divifion
des peuples. 3e. d e là chronologie facrée. 4e. de l’origine
ôc de la propagation de l’idolâtrie. 3 e. de l’hiftoire namrelle
relative à l’écriture. 6e. des poids, des m efures, & des mon-
noies des Hébreux. 7e. des idiomes différens des langues principales
dans lefquels les livres faints ont été écrits; 8e. abrégé
de l’hiftoire du peuple hébreu. II. 227. a. Idée d’un théologien
, de l’étendue de fes connoiffances ', & des talens qu’il
doit pofféder. T h e fe forbonique , éloge de cet exercice.
Ibid. b.
BIBLIOGRAPHIE. ( Littér.) Ouvrage publié fous ce titre
par M. D e bu re , libraire à Paris. I. 887. a.
B IB L IO G R A PH IQ U E , Syftême , méthode félon laquelle
doit être difpofée une bibliothèque, ou dreffé tin catalogue
de livres : exemples de deux différens fyftêmes bibliographiques.
II. 739. b. 760. a , b. &c.
B IB L IOM AN E , homme poffédé de la fureur des livres.
Caraétere du bibliomane. II. 228. a.
B IB L IOM A N IE , ce que Defcartes difoit de la leélure.
Comment on doit regarder une grande colleélion de livres. La
bibliomanie e ftune des pallions les plus ridicules. En quels cas
l’amour des livres e fteftimable. II. 228. a. Moyen de fe faire
une bibliothèque ehoifie fans occuper beaucoup de place. Singulière
avarice de quelques bibliomanes. La bibliomanie eft
comme lapafiion des beaux tableaux, ceux qui les poffedent
n’en jouiflent guere. Ibid. b.
B IB L IO PO L E , différence établie autrefois entre les libraires
& les bibliopoles. IX. 478. a.
B IB L IO T A PH E , ( Littér. ) enterreur.delivres : labiblio-
taphie eft la bibliomanie de l’avare ou du jaloux : l’Europe a
toujours été infeétée de ces fortes de gens : auteurs qui s’en
font plaints. X V II . 737. b.
B IB L IO TH É C A IR E , talens & connoiffances qui lui font
néceffaires. II. 228. b.
Bibliothécaire , ce fut François I qui créa la charge de
bibliothécaire en ch e f, qui fut appellè maître de la librairie du
roi : foins de ces bibliothécaires à enrichir la bibliothèque
lo ya le. II. 238. a , b. 8cc.
BIB L IO TH EQU E , étymologie de ce mot. Extenfion
qu’on a donnée à fon fens littéral. II. 228. b. Livres facrés des
Hébreux ; comment & avec quel foin ils étoient confervés.
Cette bibliothèque facrée rétablie par Néhemie & par Efdras.
Quelques auteurs prétendent qu’elle fut de nouveau rétablie
par Judas Machabée.Ibid. 229. a. Il y avoit encore une bibliothèque
dans chacune des 430 fynagogues de Jérufalem :
chaque particulier en avoit une. Ecoles & villes fameufes qui
n’étoiènt pas fans doute dépourvues de bibliothèques. Dans
les fynagogues modernes on ne voit plus d’autre livre que
celui de la loi. Bibliothèques de la Chaldée , des Phéniciens.
Celles des Egyptiens. O fymandias fonda le premier une biblio-
B I B
theque en Egypte. Ibid. b. Celle de Memphis où l’on accufe
Homere d’avoir vo lé l’Iliade & l’Odiffee. La plus magnifique
bibliothèque fut celle des Ptoloinées à Alexandrie. Son
embrafement par l’incendie de la flotte de Jules-Céfar. Nou^
v elle bibliothèque du Sérapion. Deftruéiion totale de la bibliothèque
d’Alexandrie en 650 par lesSarrafins. Bibliothèque de
Pergame. Ibid. 230. a. Celle de Suze en Perfe. Fondation d’unc
bibliothèque dans Athènes par Pififtrate. C e lle de l’ifle de
Cnidos. Celle de Cléarque, tyran d’Héraclée. Celle d’Apa-
mée. Ibid. b. Bibliothèque che[ les Romains, publiques , particulières
& facrées. Livres trouvés à Carthage. Bibliothèque
de Perfée apportée à Rome. Bibliothèque publique fondée
par Pollion. Celles de Varrun , de Cicéron, de Lucullus, de
C é fa r , d’Augufte, de Vefpafien, de T rajan nommée la Bibliothèque
Ulpienne. Ce lle que fonda Siinonicus , précepteur de
f empereur Gordien. Ibid. 231. a. Première bibliothèque des chrétiens
; celle de Céfarêe fondée par Jules l’A fricain ; celles
d’Hippone & d’Antioche. Bibliothèques fondées depuis les
premiers empereurs chrétiens. Celle de Conftantin le grand.
Celles de Julien. Deftruéiion des bibliothèques par les barbares.
Ibid. b. Bibliothèque de Caffiodore, miniftre d eT h éo -
doric. Celles du pape Hilaire I. Celles que fonda Charlemagne
à l’Ifle-Barbe près'de L y o n , & à Saint-Gai en Suiffe.
Autres fondées en Allemagne. Celles d’Ang leterre, entr’au-
tres celle d’Y o rck . Celle du monaftere de Saint - Albr.n.
Richard de Burgen fonda une dans le douzième fiele. Parmi
celles que poffede aujourd’hui l’Ang leterre, il faut diftinguer
fur-tout celle d’Oxford. Ibid. 232. a. Conftantin Porphyroge-
nete fonda une bibliothèque publique à Conftantinople dans
le onzième fiecle. Elle nibfifta jiifqu’au régné d’Amurath I V ,
qui la fit détruire. Bibliothèque du ferrail commencée par le
uiltan Selim, qui conquit l’Egypte. Eftime qu’on fait de la
fcience à la Chine. Deux cens ans avant Jéfus-Chrift, Chin-
gius ou Xius, empereur de la C h in e, fit brûler la plupart des
livres du royaume. Ibid. b. Livres de Confucius & ceux auxquels
ces premiers ont donné lieu. Bibliothèque Chinoife fur
le mont Lingumen. Celles du Japon. Fameufe bibliothèque de
la Sainte-Croix, fur le mont Amara eii 'Ethiopie. Bibliothèques
arabes. Le Calife A lmamon fut le premier qui fit revivre les
fciences chez les A rabes. Ibid. 233 a. Le roi Manzor ne fut pas
moins aftidu à cultiver les lettres. 11 fonda plufieurs bibliothèques
à Maroc. Bibliothèque de Fez. Celles de G a z a , 8c de
Damas; il y avoit anciennement une très-belle bibliothèque
dans la v ille d’Ardwil en Perfe. Un écrivain jéfuite affure
avoir vu une bibliothèque fuperbe à Alger. Leélures auxquelles
fe bornent les chrétiens grecs. Leur bibliothèque fur
le mont Athos. Sur les ouvrages & manufcrits apportés de
chez les Grecs en occident , ou qu’ils poffedent encore, con-
fultez le traité de Poiffevin intitulé, AparatusSacer, 8cc. Ibid,
b. Bibliothèques modernes des états chrétiens de l ’Europe. Celles
de Copenhague, de Stockholm , de la Pologne, de Peterf-
b ourg , de Petershof, d’Amfterdam , des’Pays-Bas , de l’A llemagne,
de Bafle , du duc de W o lfemb u tel, Ibid. 134. a. du
roi de Pruffe à Be rlin, de l’empereur à V ienne. Bibliothèques
d’Italie ; celles de Venife , de Padoue , de Ferrare des
Dominicains à B o lo gne , & à Naple s , de S. Ambroife à
Milan , du duc de Mantoue. Ibid. b. Les bibliothèques de
Florence , de P ife , de Turin. L e pape Nicolas V en fonda
une à Rome , qui ayant été prefque détruite par l’armée de
Charles V , fut rétablie par Six te -Quint. Après avoir été
tranfportée à Avignon , elle fut rapportée au Vatican fous le
pontificat de Martin V- Détail furcette bibliothèque. Ibid. 23 3.
a. Autres belles bibliothèques de Rome. Bibliothèques d’E f-
pagne : celle de l’Efcurial. Ibid. b. Ancienne bibliothèque
de Cordoue. Celle que fonda Ferdinand Colomb. Celle de
Ferdinand Nonius à Salamanque. Celle du cardinal Ximenès
à Alcala. Bibliothèques de particuliers dans ce royaume. Des
bibliothèques de France. La plus riche & la plus confidérable
des anciennes , étoit celle qu’avoit Tonance Ferréol dans
fa maifon de Prufian entre Nîmes & Clermont. Ibid. 236. a.
Chaque monaftere avoit auffi dans fon établiffement une*
bibliothequë. Services que ces bibliothèques ont rendus à la
littérature. Bibliothèques les plus célébrés des derniers tems.
Bibliothèques publiques, & particulières. Ibid. b. Celles de
M. Falco ne t, de M. de Boze. Bibliothèque du roi. Son origine
eft affez obfcure. Charles V eft celui à qui l’on croit en
devoir les premiers fondemens. Ibid. 237. a. Elle fut totalement
dilfipée fous le régné de Charles V II . Soins de Louis
X I , de Charles V II I pour cette bibliothèque. Dans le même
tems deux princes de la maifon d’Orléans fondèrent, l’un à
B lo is , l’autre à Angoulême , deux bibliothèques qfii devinrent
bientôt royales. Louis XII réunit à la couronne la bibliothèque
de B lo is, & s’appliqua beaucoup à augmenter ce
tréfor. François I réunit celle de Blois à celle de Fontainebleau.
Autres foins qu’il donna à fa bibliothèque. Ibid. b. C e
fut lui qui créa la charge de bibliothécaire en ch e f qui s’ap-
pella, maître de la librairie du roi. Comment ces bibliothécaires
travaillèrent à l’enrichir. État de la bibliothèque fous
Henri I V , Ibid, 238« a, & fous Louis XIII. Soins de M.
B I D B I E M
c o ibm
m u é de»‘belle# e fcp p e s . qn’d & grwer.. Soins de
M ri. Louvois. 4 9 -Volumes* cHinois que 1 empereur de la :
Cliine envoya au roi en 16 9 7 , dépofés dans la bibliothèque.
Combien 1 9 H H B fous Louis X IV . H B H j i A cqui-
r,rions qu’elle a faites fous le régné aftiiel. Zele de M.
l’abbé Bignon' p ou r la bibliodieque royale. Magnificence des
appartemens qu’elle occupe aujourd hui. M. labbé Sallier,
& M Melot font de tous les hommes de lettres , ceux qui
lui ont-rendu les plus grands fervices. Ibid. b. Acquittions de
l’année 1728. V o y ag e des ab b é s , MM. Sevin & de Four-
mont à Conftantinople pour prendre eonnoiffance de la
bibliothèque du grand-feigneur; M. l’abbé Sevin raffembla
plus de 6eo manufcrits en langue o r ie n t a le ./ ^ . 240. a t t
depuis ce voyage la bibliothèque a reçu de 1 O rien t , prefque
toutes les années, plufieurs envois de manufcrits. Avantages
qu’elle tire de l’établiffement fait par M. de Maurepas des
enfans qu’on éleve à Conftantinople aux dépens du roi.
Soins de M. l’abbé Bignon pour faire venir des livres des
Indes. Autres acquifitions de la bibliothèque depuis 729.
BIBLIOTHEQUE. ( Littér. ) Faute à corriger dans cet ,
article de l’Encyclopédie. Suppl. I. 887. a. ,
Bibliothèque: comment les Egyptiens appelaient: les bibliothèques.
V I. 87. *. Maniéré de .fe former . ^ t h ^ u e .
chôme qui occupe peu de place. II 228 *. Méthode félon
laquelle une bibliothèque doit etre difpofee. II» 73-9. b. M aximes
à fuivre pour fe fervir utilement de la bibliothèque qu on
poffede XVII . 738. a. La bibliothèque d’Alexandrie établie
par les foins de Démétrius de Phalere , félon quelques auteurs.
XII. 483. b. 302. a. Cette bibliothèque brûlée par les Sarra-
fins. V . 913. a. Bibliothèque du-Sérapion. .XV . 78. A. Bibliothèques
bâties près du temple d’Apollon palatin. X V I . 67. b.
Observations fur la bibliothèque de Pergame. X ll. 333.
Bibliothèque de Conftantinople brûlée par Leon d llaune. V.
91 e .a . IX. 893. a. Bibliothèque trouvée chez les Tartares
Kalmouks. IX. 602. Bibliothèque du Vatican X V I . 838. b
Difficulté d’obtenir l’entrée des bibliothèques d Italie. X V 11.
7«8. a. Bibliothèque du roi: du teins qu’un feul homme em-
ploieroit à faire des extraits des feuls livres hiftoriques qu eUe
renferme. Suppl. Il- 928. *. Bibliothèque de Geneve. V i l .
«77. 2. a. Description de celle de Bafle; X V I I . 738. b. 739- f-
Obfervations fur l’ouvrage de Pierre Lambecius, in titule:
Bibliothèque de ficn ne. X V I I . 739. a , b. Hiftoire de la bibliothèque
d eM . dé Cordes. X V I I 738. Tablettes de bibliothèque.
X V . 806. b. 808. b. ^
BIBLIS , ( Géogr. & Myth.) i° . fontaine près de Milet.
20. Biblis & Caunus, enfans de M y le t & d e la nymphe Cya-
née. Amour de Biblis pour fon frère Caunus. Elle eft meta-
morphofée en fontaine. Suppl. l. 887-. a.^
B IB O , ( Botan. ) efpece de plante. Suppl. 11. 389. b.
B IB R A C T E , ( Hi/l. & Géogr. anc,) ancienne & illuftre
v ille de la Gaule Ce ltique, capitale des Eduens: c’eftaujourd’hui
la ville d’Autun. Suppl. 1. 887. *. Monumens d’antiquité
qu’on y trouve. Elle avoit été le féjour des druides. Ibid. b.
Bibrafle, v ille des Eduens. Supp'l. II. 17S-a- A cadémie dans
ce lieu. Ibid. b. ;■
B IB R O C E S , ( Géogr.) peuples de la Grande-Bretagne.
Suppl. 1. 887. b. ' .
B IC E P S , mufcles divifés par l’une de leurs extrémités
en deux portions diftin&es. Bicèps du coude. Biceps de la
jambe. H. 241. a. _ i
Biceps , (A n a t.) Remarques fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 887. b.
B IC H E , ( Ichthy. ) poiffon de mer. Sa defeription. II. 241. a.
Bich e , defeription de deux biches de Sardaigne. II. 843.
b. Caraétfre du pied de biche. XII: 361. i . Biche qui avoit
un bois comme un cerf. X V I . 919. b. • • / - » •
Biche , ( Myth. ) fymbole de Junon confervatricè. O rigine
de ce Symbole. B iche aux pieds d’airain & aux cornes
d’o r , du mont Menale. Il- 241. b.
Biche , ( pied de) différentes acceptions de ce mot. XII.
5 6 4.^ .36 3.6 .-
B ICH E T ,-( Comm. ) quantité ou mefure de grains. Rédu-
étion des bichets de divers endroits aux mefurës de Paris,
ou à d’autres mefures connues. II. 241. b.
B ICHET TE . ( Infeiïol. ) Voye% CERF-VOLANT.
B ICH OW . ( Géogr. ) Remarques fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. 1. 887. b.
B ID A S SO A , ( Géogr. ) riviere d’Efpagne fur les frontières
de France. Conteilations entre les François & les Efpagnols
fur la poffeffion de cette riviere. Ifle des Faifans. Suppl. I.
887. b. , ' ' 1 ' ' . , ‘
B ID A U X , anciens corps d’infanterie, dont on faifoit affez
peu de cas. Mention qu’en fait la chronique de Flandre , &
Guillaume .Guyart. Armes des bidaux. Origine de ce nom.
Lâcheté de cette troupe. TI. 242. a. « T
B ID EN T ALE S , prêtres chez les anciens Romains. Leurs
fondions lorfque la foudre étoit tombée quelque part. Ce
qu’on faifoit dans le lieu frappé de la foudre. II. 242. a.
B ID E T , ( Manege) cheval de la plus petite taille. IL
242. b.
Bidet de pofle. V I . 8 1 1. a.
B idet , terme de cirier, terme du triftrac. II. 242. b,
BIDJI , (Botan. ) efpece de bananier. Suppl. 1. 782. b.
BID IMA. ( Géogr. ) Obfervation fur cet article de l’Encyclopédie.
Suppl-1. 887. b.
B ID L O O , ( Godefroy) anatomifte. Suppl. 1. 401. b. Phyflor
logifte. SuppLÏ. -333- tt- ,
B ID O B L O , ville d’A frique , dont on a prétendu que tous
les habitans avoient été pétrifiés. XII. 469. a.
BIEN , ( Morale) ce mot fignifie, ou le-plaifir qui nous
rend heureux, ou la caufe de ce plaifir ; c eft le fécond fens
qu’on traite ici. Dieu fe u l, à proprement parler, mérite le
nom de bien. On le donne enfuite à toutes les chofes qui
font les canaux par lefquels il fait couler le.plaifir jufqu’à
l’homme. Fiétion du philofophe Crantor , par laquelle on établit
là p rééminence des différens biens. Réflexion fur les plai-
firs de la paflïon. L’auteur de l’ejfdi fur le mérite & la. vertu,
cité fur ce fujet. II. 243. a. Comment il faut balancer la
fenfatiOn du plaifir avec les maux qu’il peut entraîner, pour
' en connôître la valeur. Ibid. b. Uexpérienee du paffé doit
nous apprendre à choifir pour le prêtent c e qui nous fera le
plus avantageux pour l’avenir. Dans les partis oppofés de la
vertu & du v i c e , il faut en vo ir le réfultat-dans la fuite
générale de la v i e , pour en faire une jufte compenfation.
La vertu eft plus féconde en fentimens délicieux, que le
v ice ; elie eft donc un bien plus grand que lui. C e qui lui
donne cette fupêriorité , c’eft qu’elle eft de nature a îm devenir
jamais mal par un mauvais ufage. Avantages qu elle
nous procure. Combien le fort de l’homme vertueux eft préférable
à celui du voluptueux , aux approches de la mort.
Ibid. 244. a. '
Bien, différence entre un bien honnête & un bien agréable.
II. 319. b. L’homme confond le plus fouvent lesbiens
utiles avec les biens agréables. XII. 143. b. L e plus grand
bien vifible n’excite pas toujours les defirs des hommes à
proportion de l’excellence qu’ils y reconnoiffent : raifon de
cette inconféquence. IV . 883. b. 886. a. Examen de la queftion
, s’il y a fur la terre plus de bien moral que de mal.
IX. 918. a , b. 919. a , b. La fomme des biens & des maux
paroït être la même dans tous les tems. XIII. 90. b.
Bien public: obfervations fur ce fujet. XIII. 330. b. D e la
gloire attachée aux vertus qui contribuent au bien public.
V I I . 7x9. a , b. Pourquoi'nous fommes obligés à contribuer
au bien public. XI. 304; a. D e l’amour du bien public ,
voyez Patrie & Patriotisme. D e l’indifférence pour le
bien public. VII I. 768. a. ■ - ' ' '
B ien , ( Homme de ) homme - d’honneur , honnête homme.
Différence entre ces qualifications. H. 244. b.
Bien, très, fort. Différences entre ces mots. II. 244. b.
Bien , beaucoup, abondamment , copieufement , différences
entre ces mots. IV . 17 7. a. Obfervations fur la maniéré de
prononcer le mot bien. X I. 1. b;
B iens. ( Jurifp.) i° . Les meubles & les immeubles. 2 . Ils
fe divifent encore en propres, p aternels, héréditaires, &c. &c.
Biens de v ille & biens de campagne. II. 244. é.
Biens. Les biens diftingués chez les Romains en res man-
d p i , & res nec mancipi. XIII. 3 1 1 . b. Communauté de biens
entre conjoints. III. 7 18. a,b. 719. a , b. 720. a, b. Biens vacans.
IV . 882. b. de la défenfe de fes biens. IV . 736. a. Délaiffe-
ment de biens. 773. b. Ceffion d * biens. II. 868. a , b. D é -
milfion de biens. IV . 8x4. b. — • Biens communaux, ceux
que poffede une communauté d’habitans. III. 722. é. 723. a,b.
Des biens des différentes efpeces de communautés. Viye%
Communauté & Confrairie. Biens eeclêfiaftiques, leur
féçularifation dans quelques états d’Allemagne.. X IV . 883 .b.
Des modifications ou changemens que notre bien peutTece-
v o ir par le fait d’autrui. Suppl. I. xxo, b. - •
B IE N FA ISAN C E , ( Morale ) motifs à l’exercice de cette
vertu. Maniéré de l’exercer. Comment la difpofition a la
bienfaifance doit fe manifefter envers ceux à qui on ne peut
rendre d’importans fervices. Moyens d’acquérir cette difpofition.
Importance de cette vertu. Suppl. 1. ooo- a-
Bienfaifance, différence entre grandeur dame générofite,
bienfaifance & humanité. VII. J74- «-P^ifir attache a la bienfaifance
XII. 690. b. Il faut toujours compter fur 1 ingratitude
des hommes, & plutôt s’y expofer , que de manquer aux
miférables. V f f l . 745- é- M otifs à la bienfaifance.il. 3 2 9 . ^ .
Soin' des pauvres recommandes dans la loi de Moue. A i l .
209. a. D e la bienfaifance preferite dans l’Évangile. X V II .
.4 , b. Maniéré de former un enfant à cette vertu. VII.
786. u, b. Paffage de Maflillon fur la bienfaifance. Suppl. I.
33. a. Bienfaifance des Arabes envers les animaux. 301. a.
Voyez Humanité.
B IENFA ISAN T. Parole d’A rifto te , fur l’honneur qu’on
doit porter à l’homme bienfaifant. V . 1004. b. C e titre donne
à quelques rois fucceffeurs d’Alexandre. V I. 146. <x.