4 4 A L E
62.4. a .1. 4 1 1. b. 11 cultiva foigneufement la médecine. X.
163. a. Son fentiment fur les caufes de la fanté & de la
maladie. X I. 363. a.
A L C O H O L , - eforit-de-vin reélifié. XVII . 287. a , b. Sa
qualité ftyptique. a V . 558. b. Voye^ A l k o o l .
A L C O R A N , ( Mahoméùfmc ) étymologie de ce mot. D ivers
noms que les mufulmans donnent à l’alcoran. Opinion
commune fur l’origine de l’alcoran. C e qu’en croient les
mufulmans. I. 230. a. Confufion répandue dans ce livre. Toute
la doôrine mahométane peut fe -rapporter à deux points ,
l’un hifiorique , & l'autre B R Fables & ablurdi-
tés mêlées aux premiers dogmes de 1 alcoran. Les iept paradis.
Dodrine (ur les anges qui gardent le paradis. Ibid. b.
Béatitude des croyans. Peines des réprouves. Deux points
fondamentaux établis dans l’alcoran , la prédeftination & la
violence employée contre les incrédules. Comment 1 alco-
rari fut rédigé en un volume. Ufage des points ajoutés au
texte de l’alcoran. Ibid. 251. a. Divifion de 1 alcoran par chapitres
8c verfets. Editions de ce livre chez les mufulmans.
Ses nombreux commentaires. Les mahométans ont encore un
livre de traditions, une théologie, leurs cafuiftes & un droit
canon. Différentes traduûions de 1 alcoran. Culte extérieur
des mahométans. Ibid. b.
Alcoran , diverfes obfervations fur ce livre. Morale qu il
renferme. IX. 864. b. SeCtions de l’alcoran. X V . 683. b. Sectaires
mahométans qui croient que l’aleoran a été créé. VIII.
013. b. X. 765. b. commentaire de ce livre. X V . 638. b. C o pie
précleufe de l’alcoran dans la bibliothèque de Stockholm.
II. 234. a. Le&eurs de l’alcoran dans les mofquées. VII. 676.
b. Confidération dont jouiffent ceux qui apprennent tout l’al-
coran par coeur. VIII. 22. a. Deux elpeces de préceptes diftin-
gués dans ce livre. X V . 660. a. L’aumône y eft formellement
prefcrite. X VII . 686. a. Equité d’une loi qu’il contient fur
les fiançailles. V I . 660. a..
Alcoran, chez les Perfans , fignifie encore une tour fort
élevée , 8cc. I. 231. b. Voye1 Minaret.
A L C O V E , obfervation fur le genre de ce mot. II. iij.
Chambres à alcôves. III. 46. b.
A L C U IN , ( Flaccus ) X V I I . 672. b.
A L C Y O N , ( Ornith. ) I. 232. a. Voye[ MARTIN-PÊCHEUR
6* Rousserole.
A l c y o n , ( Blafon) différentes devifesprifes de l’alcyon.
Suppl. I. 261. b.
A L C Y O N E , ( Myih. ) voye[ C e y x .
A L C Y O N IEN S , ;o w x V I I I . 893.
A L C Y O N IU M , ( Hifl. na t.) fubflance marine qu’on a
mife fort long-tems au rang des végétaux, mais reconnue à
préfent pour fubflance animale. I. 252.11.
ATT) FR A R A N , ( Aflron.) ou oeil au taureau. Suppl.1. 3 66.
a. Singuliers changemens dans la latitude de cette étoile. 890.
b. 891. a. Heures de fon paffage au méridien. 894.«.
A LD E RM A N , "( Hifl. mod. ) magiftrats de ce nom. Leurs
fondions. I. 232. a. D es aldermans de Londres. Aldermans
chez les Anglois-Saxons, 8c chez les anciens Allemands. Ce
titre employé autrefois pour ceux de prince, de comte, 8c
de juge. Ibid. b.
Aldermans, origine de ces magiftrats d’Angleterre. V .
186. b.
A LD O B R A N D IN E , noce, ( Peint. Antiq.) X I. 182. b.
A LD O V R A N D E , ( UlyjJ'e ) anatomifte. Suppl. I. 395.b.
A T.F., ( Géogr. ) royaume des Barbecins dans la Guinée.
Obfervations lur les moeurs, des habitans. Suppl.1. 262. a.
A L É A T O IR E , contrat, IV . 124. a. On ne doit pas le con-
fondre avec toute forte de gageure. VII . 422. a.
A L E C T O , ( Myth.) l’une des trois furies. Son nom répond
à celui de l’envie. I. 232. b.
A LE C TO R IE N N E , pierre , ( Hifl. nat. ) ou piere de coq. Elle
fe trouve dans l’eftomac 8c dans le foie des coqs. Sa defcription.
I. 233. a.
A L E C T R Y O M A N C IE , {A r t divin.') divination qui fe
faifoit par le moyen d’un coq. Comment elle fe pratiquoit.
C ’eft par elle que quelques devins découvrirent les premières
lettres du nom du fuceeffèur deValens. 1 . 233. a.
ALECTRYOMANCIE, ( Hifl. des fuperfl. ) critique de cet article
de l’Encyclopédie. Suppl. I. 262. a.
A L E IR O N , ( Arts ) description, difpofition & ufage de
cette piece du métier d’étoffes en foie. I. 253.a .
A T.FMRF.RT, ( Jean le Rond d ' ) fon traite de l’équilibre
8c du mouvement des fluides. V IL 115. a. VII I. 3 71. b. 373.
a. XII. 3 24. a , b. Effai d’une nouvelle théorie de la réfi-
ftance des fluides. .VI. 887. b. 888. a. 889. a. 890. a , b. Son
traité de dynamique. V . 175. a. VII . x 15. a. Extrait de la préface
de cet ouvrage. V II . 113. b. Ses recherches fur les vibrations
des cordes. IV . 210. b. Sa differtation fur la caufe des
vents. V I . 908. b. Ses recherches fur le fyftême du monde.
XI. 905. a. Suppl. I. 665. a. Son ouvrage fur la préceflion
des équinoxes. Ibid. Comment il a perfectionné le calcul
intégral. Suppl. III. 619. b. 8c l’a appliqué à la théorie du
mouvement. 624. a. Sa théorie fur les lunettes achromati-
A L E
ques. 814. b. Ses diverfes tables aftronomiques. Suppl. IV .
888. a. Celles du mouvement de la lune. IX. 736. a.
A L EM B R O TH , ( Chym. ) divers fens de ce mot en al-
chymie 8c en chymie. I. 253. b.
A L E N Ç O N , ( Géogr.) v ille de France. Commerce de la
généralité d’Alençon. I . 253. b.
A lençon , ( Géogr. ) la troifieme v ille de Normandie.
Ducs d’Alençon. Quatre pays compris dans cette généralité.
Suppl. I. 262. a. , T ;..
A lençon: chancelier d’A lençon. HI. 90. a. Echiquier
d’A lençon. V . 239. a , b. Étîtes qu’on trouve dans les environs
de cette ville. Suppl. II. 890. a.
A L E N E , ( Arts méch. ) diverfes fortes d’alenes ; maniéré
de s’en feryir. I. 253. b.
A L E N T E JO , ( Géogr. ) province de Portugal. Son étendue.
Ses productions. Sa population. JurifdiCtions, v ille s ,
bourgs 8c paroiffes qu’elle renferme. Suppl. I. 262. b.
A LÉO PH AN G IN E S , ( Pharrn. ) maniéré de préparer les
pillules de ce nom .1 .254. a.
A L E P , ( Géogr. ) v ille de Syrie. L es pigeons y fervent de
couriers. Il eft défendu d’aller autrement qu’à cheval d’Alexan-
drette à Alep. Commerce de cette v ille. I. 234. a.
A lep , pluie qui y tombe annuellement. Suppl. IV . 4 18. a.
ALEPH ,{A lp h . hébreu) ce nom fignifie chef, prince, ou
mille. Ufages que les Hébreux font de la lettre Alcph. I. 254. b.
A L E R iO N , {B la f .) différence entre l’alérion 8c les mer-
lettes. I. 254. b.
A L E S A , {Géogr.) ancien nom d’une ville de Sicile , aujourd’hui
Tofa. Fontaine merveilleufe qu’on v o yo it dans fon
voifinage. V e r s de Prifcien fur cette fontaine. Suppl.1. 262. b.
ALESENSIS , Alfenfis , Alifenfls pagus, ( Géogr. du moy.
âge) l’Auxois en Bourgogne: ce Pagus tire fon nom de l’ancienne
A life , capitale des Mandubiens, 8cc. Etendue de ce
pays. D ès le neuvième fiecle il eut le titre de comté. Suppl.
1. 262. b. Détails fur ce comté , 8c fur les principaux lieux
qu’il renferme. Ibid. 263. a.
A L E SO IR , {Fond, des canons) machine à forer les canons.
Sa deferiprion 8c fon ufage. I. 233.a .
A lesoir , f Horlog. ) outil d’horlogerie. I. 233. b.
A lesoir , {Doreur ) outil de doreur. I. 236. a.
A T F T , ( Géogr. ) v ille du Bas-Languedoc. Obfervations fur
fon évêché. Rituel d’A let. Suppl. I. 264. a.
AT.F.U, ( Jurifp.) étymologie de ce mot. Suppl. III. 735. A
Te rre appellée autrefois Allodium. IV . 690. b. 691.*/. 694. b.
Franc-aleu naturel. V II . 280. a. Coutume de franc-aleu. IV .
416. b. Franc-aleu noble;franc-aleu par privilège; franc-aleu
roturier. VH. 280. a. Voye[ A lleu.
A L E U R OM AN C IE , ( Divin. ) divination dans laquelle on
fe fervoit de farine d’orge ou d’autres grains. Ce tte forte de
divination s’introduifit parmi les chrétiens. Etymologie du
mot. I. 236. a.
A leuromancie, {Hifl, des fuperfl.) efpece de divination
avec de la farine de bled. Comment elle fe pratiquoit. Suppl.
L 264, a. '
A L E X A N D R E , roi de Syrie. Suppl. I. 264. a. Comment
cet ufurpateur s’empara du trône. Ses vices. Malheurs de la
Syrie pendant fon régné. Les S y riens l’abandonnent. Sa mort.
Ibid. b.
A lexandre , ( Hifl. de Syrie ) frippier d’Alexandrie , qui
eut l’adreffe de fe foire pafler pour le fils d’Alexandre Ba la,
dont il réclama l’héritage. Ses premiers fuccès. Revers qui
Suivirent. Suppl. I. 264. b.
A lexandre I , {Hifl. d’Egypte) fils de Ptolomée P hifcon,
hérite de la couronne au préjudice de fon frere a îné, Ptolomée
Soter I I , plus connu fous le nom de lathyre. Agitations de
fon régné. Sa fin malheureufe. Suppl. I. 265. a.
Alexandre I , fils de Ptolomée Phifcon. Rivalité entre lui
8c fon frere. Suppl. II. 463. b. Sa conduite envers fa mere,
464. a. ■ ' " ;
A lexandre I I , ( Hifl. d’Egypte) fécond fils d’Alexandre I.
Il eft élevé fur le trône par la protection des Romains. Suppl.
I. 265. a. I l époufe fa foe u r , qu’il frit mourir enfuite. Les
Egyptiens le précipitent du trône. Sa mort. Ibid.
A lexandre , roi d’Epire. Ambiguité d’un oracle qui caufa
fa mort. XI. 539. a. ' .
A lex and re-le-G r a n d , ( / C yî. anc.) fils.8c fucceneur de
Philippe, roi de Macédoine. Tableau de fa vie- 8c de fon
régné. Suppl.1. 263. b. Son fiecle regardé comme celui du
génie 8c des arts. Ibid. 272.a.
Alcxandre-lc-Grand, obfervations fur ce conquérant. XII.
283. b. Son hiftoire. V IL 914. b. Ses conquêtes juftifiées. VIII.
222. b. Pourquoi il les pouffa jufqu’aux Indes. 661. a. Paroles
prophétiques adreffées à ce prince par un hellenodice. VIII.
106. b. Exclamation d’Alexandre lur le tombeau d’A chille.
X V . 182. b. Cas fingutier qu’il faifoit d’Homere. V I . 5 57. b.
X V . 244. b. 243. a. Noeud gordien coupé par Alexandre. V IL
742. a. Sa maladie après s’être baigné dans le Cydnus. 328.
b. Réflexions fur la viCloirc d’Iffus. VIII. 930. a. Vafes qu’il
trouva parmi les dépouilles de Darius. X V I . 85 t. b. Richeffes
qu’il
A L E
qu’il trouva dans le château de Suze. XIII. 246. a. Divers
pays conquis par ce prince. IX. 788. b. Lettre qu’il écrivit à
A rifto te , après la conquête de l’Afie. 410. b. Moyens qu’il
fournit à ce philofophe, de perfectionner fes connoiffances
dans l’hiftoire naturelle. I. 4 1 1 . b. Réponfe de Sérapis à ceux
qui le confulterent fur là maladie d’Alexandre à Babylone.
XI. 540. a. Ses funérailles. V IL 369.a , b. Ses épitaphes. V .
8 17. a. Réflexions fur fon caraCtere. Sa politique admirable.
V I I . 9 1 1 . b. 912. a. Mépris qu’il, faifoit de la diftinClion des
jours heureux 8c malheureux. VII I. 892. b. Sa fobriété avant
fes conquêtes. V IL 754. b. Vénération que les Macriens
avoientpour lui. X V . 867. b. Ingénieurs qui l’accompagnoient
dans fes expéditions. VII . 609. a. Son goût pour la chafle.
X V I . 917. a. Edit qu’il publia en faveur de l’hofpitalité 8c
des gens de bien de tout pays. VIH. 315. a. Complaifance
des oracles pour Alexandre. XI. 533. a , b. Réponfe que lui
fit la prêtrelïè de D elphes. 334. a. C e lle de l ’oracle de Jupiter
Ammon. VIII. 33. b. Julie émulation de la grandeur de ce
prince. V II . 85 6. a. CaraClere de fa phyfionomie. Suppl. II.
229. b.
A lexandre de Paphlagonie, ( Hifl. anc. ) célébré impofteur
qui étonna le vulgaire par, de prétendus prodiges. Hiftoire de
fes împoftures. Süpp/. L 272. a. L e nom d’Alexandre déshonoré
par d’autres impofteurs. A venturier de, ce nom ,q u i fe dit le
fils de Perfée. Ibid. 273. a.
A lexandre , tyran de Phér'es, ( Hifl. de Grece ) hiftoire de
fa vie. Suppl. I. 273.a .
A lexandre Sévere ; il confulte les forts de V irg ile , qui
lui prédirent fo n élévation à l’empire. X V . 378. b. Traits qui
le caraClérifent. XV II . 864. a. 865- a. Grandeur 8c force pro-
digieufe de cet empereur. II. 390. b. Cirque qui porte fon
nom. III. 476. b. .. .
A lexandre II I , pape, établit l’inquifition en France. VIII.
774 . a. Interdit qu’il prononce fur l’Angleterre. 816. a. O b fervations
fur ce pape. , X V . 177. b.
A lexandre V I , fa patrie; fon caraClere. X V I . 812. b.
Ligne de marcation qu’il établit pour le partage des Indes
entreles Efpagnols 8c les Portugais. IX. 325. a. Suppl. I-j3 ç 3.
b. Indulgences vendues par ce pape. VII I. 690. b.
A lexandre V IL Voyeç X V . 177. b. A lexandre VIH.
. J W X V I L 7. a.
A lexandre, {Hifl. de Pologne) roi de Po lo gne , fils de
Cafimir IV . Précis de fon régné. Suppl.1. 273. b.
A lexandre , ( Hifl. de Pologne) fils de Jean Sobieski. Singulier
trait de contradiction dans la v ie de ce prince. Suppl.
A lexandre Farnèse, duc de Parme; fiege qu’il fit
d ’Anvers. IX. 793. b. 796. a , b. 8ce.
A lexandre T rallian , médecin. X. 278. b. Sa doctrine
fur la faignée. X IV . 502. b.
A lexandre de Pleuron , poète 8c grammairien. XII.
765. a.
A lexandre, {le P .) fa pendule à équation. V . 858. a.
Sa pendule pour le tems vrai feulement. 862,. b.
A lexandre , ( Guillaume) phyfiologifle. Suppl. IV . 364. b.
A lexandre , maître écrivain. IX. 908. b.
A L E X A N D R E T T E ; défenfe d’aller d’Alexandrette à Alep
autrement qu’à cheval.!. 254. a.
A LEX AN D R IE d’Egypte. Son origine. Suppl. I. 268. b.
Les différens quartiers de eette v ille appellés Laures. IX.
315 .b . Son mufée .X. 893. b. 894. a. Son phare. XII. 488.-
a , b. 493. b. Sa bibliothèque : hiftoire de cet établiffement.
IL 230. a. XII. 483. b. 302. a. IX. 866. a. Son temple de Sérapis.
X V . 78. a , b. 79. a , b. Lieu d’Alexandrie appellé
Phiale. XII. 301. a. Ses monnoies. X. 631. a , b. 652.-7.
Paroiffes de cette y i l l e , du tems de Conftantin. XII. 73.-7.
Le s juifs attirés dans Alexandrie , fous Ptolomée Soter. X V .
6 8. b. Principaux arts qu’on y exerçoit. XI. 849. a. Sa navigation
8c fon commerce. 54. b. 55. a. Patriarchat d’A lexandrie.
XII. 175. a. Cathéchiftes de fon école. IL 773. b.
A lexandrie , dite Alexandrie de la paille.{ Géogr.) Origine
& révolutions de cette v ille du Milanez. Pourquoi ellereçutle
nom d’Alexandrie de la paille. D efcription de cette ville. Ses
foires. Suppl. I. 274. a. ■
A lexandrie , ( Géogr. ) v ille qu’A lex andre-le - Grand fit
bâtir près du Tanaïs. Suppl.1. 274. a. Autre Alexandrie en
Suziane. Ibid. b.
Alexandrie non loin du Tanaïs, fon origine. Suppl.1. 270. b.
A L E X A N D R IN , {Géogr.) petit quartier du Milanez. Sa
capitale nommee Alexandrie de la paille. Suppl. I. 274. b.
A lexandrin , {Poéfle franc. ) forte d evers françois. 1. 256;
a. L e nombre 8c la gravité forment fon caraClere. Pourquoi
c e v er s fut nommé Alexandrin. Ibid. b.
A lexandrin , {Belles-leur. Poéfle ) obfervation fur ce qui
c i l dit dans l’Encyclopédie, que le vers alexandrin françois
répond au vers hexametre latin. Son rapport avec le vers
, afelépiade. Caufes de la monotonie de nos grands vers. Quel
fe r oit le mo yen de la corriger. Suppl. I. 274. b.
Alexandrin, vers.X V n . i6o.$Qn héiïùftiche, VIH, i n . b.
Tome /. ' 4
Pourquoi on a donné douze lyllabes à cette forte de vers.
W ^ e m e n t dans les vers alexandrins. V . 689. b.
r IPrp s des ju ifs ) troifieme mari de Salomé ,
fCeATivTéA°de‘ le-Grand- El°Se 5lu’il mérite. Suppl. I. 274. b.
A L icX lA , circonvallation de Cèfar à Alexin III aA* *
A L E X IN U S , philofophe delafeCle mèeariqué X 20e a
A L E X IO N , regrets de Cicéron, fur « S
cin. X . 278. b. eceme cie-
A L E X IPH A RM A Q U E S , ( Médec. ) qualité de ces remedes.
Leurs effets. Etymologie du mot. I. 256. b. Précautions avec
lefquelles il fout les adminiftrer. Ibid. 257. a. i° . Ils doivent
être proferits dans les inflammations 8c irritations trop graii-
des : 20. Tontes les fois que le mouvement des liquides eft
déjà-.trop grand. 30. Lorfqu’on auroit à craindre de foire
pafler lej> impuretés des premières voies dans les petits vrif-
icaux. 4 II fout les tempérer par la douceur des délayans
7 deso caïmans. 50. Il fout s’en abftenir fila fueur eft à craindre.
6 . Lors même que la fueur eft néceffaire, il faut les
foire précéder par les délayans Sc les apéritifs légers. 7 “.
Autres .ctrconftànces ou il Sm, les éviter. A lex ip h a S n a J es
qui fe trouvent dans les trois régnés. iM .-i-Alexipharnta-
ques. compotes. Il n’ÿ .a point de différence entre lis alexi.
teres 8c les alexipharmaques. Ibid. 258. a.
A lexipharmaques, {Médecine) de l’abus de ces remedes
dans les maladies aiguës. Suppl. I. 274. b. Révolutions dans
la medecme. Différentes méthodes curatives qui ont fuccédè
les unes aux autres. Abus des fpécifiques qu’on fuppofoit
appropriés à chaque efpece de maladie ou de léfion. Ce t abus
ne doit pas nous les foire rejetter entièrement.
Maniéré dont les alexipharmaques agiffent. Suppl. I. 275. a.
D e la maniéré de les employer, 8c des cas auxquels ils font
appropries. Ibid. b.
Alexipharmaques. Remedes rinfi nommés par les anciens«’
Suppl. IV . 460. a.
A L E X IP P E , médecin. X. 279. a.
A LEXIS Micacloviti. Obfervations fur le régné de ce czar.'
X IV . 445. a.
A LEX IT ER E S , ( médec. ) eau de lait alexitere.Trochifquey
alexiteres. Propriétés de ces remedes. I. 258. a. .
Alexi teres, différence entre ces remedes 8c ceux qu’oit
appelle alexipharmaques. L e nom d’alexiteres donné par quelques
modernes aux amulettes 8c aux charmes. Suppl. I. 275. b.
A L E Y U T , ( Géogr. ) ile de ce nom au nord de Kamtf-
cliatka. Suppl. 1. 639. b.
AL-FAR AB E,ph ilo foph e arabe. X IV 665.-7.
4 EE£ T A K , forêt d’ ( Géogr. ) en Afrique. Suppl. I. 86. a .
A L F E Z , ( J/flflfl); rabbin. V IL 982. a.
A L F O N , {H f t . du N o rd) fils de Sigard, roi de Daner;
maArCIk^ iie de ce Prince- SuPPl- 1- ^76. fl. Voye? A l v ild e '
A L F R ED -L E -G R ÂN D , {Hifl. d ’Anglet.) le plus .illuftre
des ro is , le plus foge 8c le plus éclairé des légiflateurs. Tableau
de. fon régné. Evénemens qui l’agiterent. Sageffe de fes loix
8c de fes inftitutions. Portrait de ce prince. Suppl. I. 276. a. .
Alfred , roi d’Angleterre. Divifion de l’Angleterre par ce
roi. IX. 403.-7. On lui attribue l’invention des lanternes de
corne. 277. a. D étails fur fes lo ix .X V IL 587. a , b. &c. Comment
il travailla à les foire obferver. IX. 655, b. Obferva-
tioris fur fon caraélere, fon régné 8c fa vie. X V I I . ç86 a
b .— 589. a. wm
A lfred , philofophe fcholaftique. X IV . 773. a.
A L G A L ÏE , ( Chir. ) tuyau d’argent qu’on introduit dans
la veflie. Sa defcription. Inconvéniens de cette fonde. Com-
ipent on y femédie. Sondes flexibles dont on fe fert lorfqu’on
eft obligé de laiffer une algalie dans la veflie. Inconvénient
auquel leur ftruélure les rend fujettes. Algalie tournée
en S , dont M. Petit fe fert pour la veille. 1. 258. b. A lgalies
des femmes. Celles dont on fe fert pour foire des injedions
dans la veflie. Ibid. 259. a.
A L G A R D E , fculpteur italien. X IV . 829.,a.
A L G A R O T H , poudre d’algaroth. I. 509. a. X..376. b.
A L G A R O T T I , {le comte ) analyfe de fon effri fur facadémie
de France à Rome. Suppl. 1. 95. a , b. 8cc.
A L G A R V E ou A lg a r b e , {Géogr. ) province de Portugal,
à laquelle ©n donnoit autrefois le nom de royaume. Son étendue.
Ses produirions. Sa population. Nombre des villes, bourgs
8c paroiffes qu’elle renferme. Suppl. L 2,79. a.
A L G A Z E L , philofophe arabe. XIV. 666. b.
A L G E B R E , {Math. Arithm.) étymologie de ce mot. L 2 59,
a. Elle a deux parties ; le calcul des grandeurs, 8c l’ufoge de, c e
ca lcul, pour la folution des problèmes. D ivers noms qu’elle
a reçus. Maniéré de procéder eii algèbre. D eu x algebres ; la
numérale 8c la littérale ou la no u v e lle , autrement dite Jpé-
cieufe. Univerfalité de fes ufages. Explication des lettres qu’on
y emploie. Ibid. b. D e l’origine de cet art. Comment il nous
eft parvenu. Premier livre qui en traite, imprimé en 1494.
Auteurs qui ont fuivi. Ibid. 26b. a. Extrait d’une differtation
de l’abbe de Gua , fur l’hiftoire de l’algebre. Eloge de François
Viete : fes découvertes en algèbre. Ibid. b. Ouvrage
d’H arriot, fur l’art de l’analyfc. Degré de perfection où
M ' ‘