1 2 0 A T H A T H
A T E L L A , (Géogr. ) voye{ AVERSE.
A T E L L A N È S , (Littèr. ) pièces de théâtre en ufage chez-
les Romains, & qui reffembloient fort aux pièces fatyriques
des Grecs. Etymologie de ce mot. Par qui elles étoient
jouées. En quoi les atellanes étoient diftinguées des mimes.
I. 797. b.
Atellanes ; voyez fur ce fujet. V I . 267. b. III; 669. a.
A T ÉM A -D Ô U L E T , ( Hiß. mod. ) premier miniftre de
l ’empire des Perfes. Autorité dont il jouit. Forme en laquelle
les loix fe publient fous fon nom. Avantages & revenus de
fa charge. Suppl. I. 667. b.
A TEMPO G IU S T O , ( Mufiq. ) fignification de ces rriots
italiens à la tête d’une piece de nuifique. Suppl. I. 667. b.
A T E R G A T IS , idole que quelques-uns ont confondue
avec Dagon. IV . 6 1 1 . b. Voye^ A dergatis.
. A T E R IN A , loi. IX. 652. a.
A T E RM O Y EM E N T , ( Jurifp.) le débiteur qui a une fois
obtenu atermoyement de fes créanciers, n’eft plus reçu dans
la fuite à faire ceilion. Atermoyement volontaire & forcé.
L 70 8 .
A TH A L IE , ( Hiß. des Juifs ) fille d’A ch ab , roi de Samarie,
8c de Jézabel ; femme de Joram, roi de Juda. Ses crimes
8c fa mort. — Obfervations fur la tragédie de Racine intitulée
Athalie. Suppl. I. 667. b. Voyeç L'article de ce poète.
A TH AM A S , ( Hiß. anc. 6* Mytk. ) roi d’Orchomene. Malheurs
de ce prince. Suppl. I. 668. a.
Athamas. ( Géogr. ) Erreur dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 668. a.
A TH A N A G IL D E , ( Hiß. d’Efpagne ) roi des Vifigoths.
Hiftoire de fa vie. Suppl. I. 668. a.
A T H A N A S E , ( Saint) fes principes dé tolérance. VIII.
844. a. Obfervations fur le fymbole qui porte fon nom. X V .
A T H A N A T E S , ( Hiß. anc. ) corps de foldats chez les
anciens Perfes. Etymologie de ce mot. Origine de ce corps.
L 798. *.
À T H A N O R , ( Chymie ) grand fourneau. Origine de ce
mot. Autres noms de ce fourneau. Defcription de cet inftru-
ment. I. 798. a.
Athanor , defcription des fourneaux de ce nom. V II . 234.
a. 241. b. & c. 248. é.
A TH É A S , {Hiß. anc. ) un des grands princes qui aient
régné dans la Scythie. Tableau de- lön regne. Suppl. 1. 668. a.
A TH E E S , trois dalles d’athées. Source d’athéifme. i° .
L ’ignopance 6» la flupidité. Impoffibilité qu’un peuple entier
pâlie de la religion à l’athéiline. I. 798. b. S'il y a des peuples
abfolument fans religion. D es peuples de la Floride. Des
Hottentots. 2°. La débauche & la corruption des moeurs. Divers
degrés de, Fathéifme pratique. Ibid.. 799. a. Celui du coeur a
conduit le plus fouvent à celui de l’efprit. L e monde, la
c o u r , les armées fourmillent de çes fortes d’athées. Ils fe
trouvent chez les T u rc s , comme chez les chrétiens. 3°.
Athées de fpéculation. Ceux d’entre les anciens. Ibid. b. Examen
de la queflion, fi les lettrés de la Chine font véritablement
athées. Trois principales feiles dans l’empire de la
Chine : leurs doctrines. Ibid. 800. a. Railonnemens de ceux
qui veulent purger les Chinois d’athéifme. Comment plu-
fieurs philofophes anciens & modernes ont pu tomber dans
l ’athéifme. Ibid. b. Pourquoi l’athée elf auffi fermement attaché
à fes opinions,en vertu de fes fpphifmes, que le théifie
croit l’exiftence de Dieu , en vertu des démonftrations qu’il
en a. Il n’elt point indifférent de commencer par l’affirmativ
e ou par la négative , la difeuffion d’un problème. C ’ëft
en prenant cette derniere méthode que.des hommes font parvenus
à fe perfuader,par la voie du raifonnement, qu’il n’y
a point de Dieu. Les philofophes athées ne font pas en fi
grand nombi^i que le fuppofent certaines perfonnes. Ibid.
801. a. Faillies apparences fur lefquelles on taxe un homme
d’athéifme. Examen de la queflion , fi l ’irréligion efl pire que
la fuperftition. Combien ce fujet a occupé Bayle. Ibid. b.
A r t avec lequel il s’eft plu à embarraffer cette queflion.
L ’athéifme pratique renferme un degré de malice qui ne fe
trouve pas dans le polythéifme. Ibid. 802.0. Mais l’adiéifmë
fpéculatif efl moins injurieux à D ie u , & par conféquent
un moindre mal que le polythéifme. Plutarque, Boffùet 8c la
Bruyere cités. Comparaifort qui rend fenfible la vérité de
la propofition précédente. Ibid. b. Suite de raifonnemens. qui
la démontrent, Ibid. 803. a. auxquels Bayle en ajoute, un
autre, qui efl que rien n’éloigne davantage les hommes de
fe convertir à la vraie religion, que l'idolâtrie, ƒ&</. b. Réflexion
fur ce raifonnement. Un athée négatif, un homme
|Bj| n ® jamais penfé à Dieu , fe convertira fans doute
plus facilement qu’un p a ïe n ; mais il n’en efl pas dé
même du n athée pofitif q u i, après avoir examiné les.preuv
es de lexiftence de D ie u , finit par les rejetter toutes. Ici
Ion examine & Ion combat le fentiment de B a y le , que
l ’athéifme ne tend pas à la dcjlruElion de la fociété. Ibid. 804.
a. Le fentiment moral & la connoiffance des différences
effentielles qui fpécifient les allions humaines rte fuffifent pas
pour rendre l’athée vertueux. Bayle prétend prouver la
moralité des allions humaines, I fuivant les principes d’un
Stratonicien. Ibid. b. Mais fon argument tombe, fi l’on prouve
qu’il n’y a point de moralité dans les1 aétions humaines, fi l’on
ne reconnoit point d’obligation dans l’homme. O r , dans le
fyflème de l’athéil'me il ne peut y avoir d’obligation. Ibid.
803. a. Fiétion de Hob b e s,po u r que la moralité des aétions
ne refiât pas fans fondement. O n fe propofe d’examiner ici juf-
qu’à quel point le fentiment moral feul peut influer fur la
conduite des hommes, 8c les porter à la vertu. Ibid. b. C e
fentiment ou înflinét moral n’a & ne peut avoir dans l’homme
la meme force que l’inftinél animal dans les brutes. Mais
lorfqu’il efl joint à la connoiffance de la différence effentielle
des çhofes, il efl certain qu’il acquiert beaucoup de force.
Cependant ces deux principes n’ont pas affez d’influence
pour porter les hommes à la v e r tu , indépendamment de la
volonté d’un légiflateur, & de l’attente des récompenfes 8c
des peines. Ibid. 806. a. Bayle fentant que l’expérience &
la crainte font les grands mobiles de nos aélions, a fuppofé
que le defir de la gloire & la crainte de l’infamie fuffiroient
pour régler la çondlûte des athées. Ibid. b. Mais comme on
peut acquérir la réputation d’honnête homme par une hypo-
crifie bien concertée, un athée choifira fans doute cette vo ie
qui ne l’empêchera pas de fadsfaire fes pallions. Dire que les
adiées aimeront la vertu pour elle-même, parce qu’elle a unê
beauté effentielle, c ’efl prononcer des mots vuides de fens.
Ibid. 807. a. Parallèle que feroit un jeune homme athée êntre
le v ice 8c la v e r tu , pour favoir auquel des deux il devroit fe
vouer. L e v ic e , conduit avec un p eu de prudence , l’emporte
infiniment fur une v ertu exaéte qui n’efl point foutenue de la
confolante idée d’un Être fuprême. Ibid. b. Aucun mo tif
temporel n’efl affez puiffant par lui-même pour engager un
homme aux trilles facrifices qu’exige la vertu ; ni la certitude
qu’on fait fon d e vo ir , puifque le d evoir de l ’athée ne confifle
qu à bien ménager fes intérêts pendant une v ie de peu de
durée; ni l’efpèrance d’une belle réputation, puifqu'un tel
avantage procure affez peu de douceurs, & que d’ailleurs ce
n e fl pas à la vertu que s’accorde la réputation la plus brillante.
Ibid. 808. b. La véritable vertu efl forcée de négliger
mille moyens de briller 8c déplaire, que la, faillie vertu fait
très-bien employer. Et qui ne fait que les richeffes & les
dignités procurent plus univerfellement l’eflime populaire
que la vertu même i II n’y a point d’infamie qu’elles n’effacent
8c qu’elles ne couvrent. Ibid. 809. a. Pour prouver enfin
qu’une fociété d’athées peut fe foutenir, B a yle obferve que
les hommes n’agiffent pas conféquemment à leurs principes ,
& ne règlent pas leur conduite fur leurs opinions. Exemples
tirés des chrétiens, des épicuriens , des ftoïciens. Réfutation
de ce raifonnement, fournie par Bayle lui-même. Ibid.b. Un
théifie religieux qui manque à la vertu , agit contre fes principes
, ce qui ne peut arriver que par accident ; mais un athée
qui lui manque , agit conformément à fes principes: ce fera
donc fa conduite la plus ordinaire. Bayle ajoute qu’un athée
agira auffi peu conformément à fon principe qu’un fatalifle
qui nie la liberté., 8c qui agit comme s’il la croyoit. La faufi-
feté de cette comparaifon démontrée. Ibid. 810. a. L e théifie
ne s’écarte de la vertu que parce que fes pallions lui font
oublier fes principes. O r , ce conflilt entre les paffions & les
principes ne peut avoir lieu dans l’athée. Contradillion où
tombe Bayle. Autre inflance de fa part dans laquelle il
prétend montrer que tous les hommes, athées, théifles , de
toutes religions 8c de toutes feétes , n’ont d’autre principe
pratique de leurs allions, que le tempérament, le goût pour
certains objets, une habitude formée, &c. Ibid. b. On répond
en niant cette affertion dans l’étendue que Bayle prétend lui
donner. Ibid. 811. a. L e dogme d’une providence 8c d’un état
futur établi 8c reconnu par les légiflateurs, les poètes g rec s,
Plutarque, Cicéron 8c Séneque. Ibid. b. Utilité du dogme
des peines & des récompenfes d’une autre vie. Cette utilité
en prouve la vérité. Combien l’antiquité a été unanime à
reconnoître cette utilité. Premier paffage tiré de Timée lé
Locrien : autre tiré de P o ly b e , dans lequel il montre que le?
principes de religion faifoient le bonheur de Rome, oc qu’il
ne fàlloit attribuer la décadence de la Grece qu’à la corruption
des moeurs introduite par le libertinage d’efprit. Ibid.
812. a. Changement funefle arrivé chez les Romains du rems
de Céfar..Conduite condamnable des philofophes modernes
8c des efprits forts en publiant leur funefle doélrine. Ibid. ( .
Suite des paffages tirés des anciens, pour prouver l’utilité
d’une religion. Strabon, Pline le naturalifle oc Cicéron cités.
Ibid. 8x3.a. Dernier argument de Bayle tiré de l’expérience,
en montrant qu’il y a eu. des athées qui ont vécu moralement
bien,. & des peuples entiers qui fe font maintenus fans
croire l’exiflence de Dieu. O n lui répond , en examinant les
différens motifs qui engageoient ces athées à être vertueux.
Ibid. b. Le nombre de ceux fur qui le motif de la gloire attachée
à la vertu efl capable d’ag ir, a toujours été très-petit;
comme Pomponace athée lui-même, en fait l’aveu dans un
paffage, où il parle çles divers refforts qu’il a fallu employer
pou't
A T H
pour exciter les hommes à la vertu félon leurs divers carac-
teres. L’énvie de foutenir l ’honneur de leur feéte à pu auffi
maintenir les philofophes athées dans 'la pratique d e la vertu.
Ibid. 814. a. D e plus, le foin de leur confervation les y enga-
geoit. Obfervation fur les nations fauvages athées qui vivent
dans l ’état de nature avec plus de vertu que les idolâtres qui
les environnent. Dans cet état', les befoins font en petit
nombre & faciles à fadsfaire ; il y aura donc rarement de
difpute. Une fociété policée peut moins fe paffer des principes
religieux, parce que plus la police y efl parfaite, plus
les arts y font cultivés, 6c par conféquent, plus les befoins
imaginaires que les arts font naître y font nombreux, 6c les
defirs qui ont pour objet de les fadsfaire, violens 6c infatia-
bles. I l s’agit de lçs contenir. Ibid. b. Artifice qui régné dans
tous les fophifmes dont Bayle fait ufage pour foutenir fon
paradoxe. Ibid. 813. a.
Athées. Il n’y a jamais eu de nations athées : un peuple
ne peut être athée que parce qu’il n’a pas exercé fa raifon.
IV . 977. a. S elle d’athées à la Chine. IX. 53. b. Athées en
Turquie. X. o u . a. Les athées ne doivent pas réclamer la
tolérance en leur faveur. X V I . 394. a. Examen de la queflion
fi un athée peut être vertueux. X V I I . 179. b. Article fur le
fameux athée Vanini. X V .-942. b. — 944. a.
A TH É ISM E , ( Méthaphyjîq. ) idée exalle qu’il efl important
d’en donner pour ne qualifier perfonne trop légèrement
d’athéifme. I. 813. a. Antiquité de l’athéifme. Ses diverfes
efjpeces. Remarques générales fur l ’athéifme. Ibid. b.
I °. C ’efl à l’athée à prouver que la notion de D ieu e fl contra-
dilloire 6c qu’il efl impoffible qu’il exifle.
20. Loin d’éviter les difficultés, en rejettant la notion d’un
D ie u , l’athée s’engage dans des hypotheféÉfanille fois plus
difficiles à recevoir. Ibid. b.
30. L ’athée ne fauroit éviter les abfurdités du progrès à
l’infini.
40. En fappant la religion , l’athéifme renverfe du même
coup les fondemens de la morale 6c de la politique. Ibid.
8 16. a.
II .réfulte de-là que l’athéifme publiquement profefle efl
puniffable fuivant le droit naturel. Ibid. b.
Athéifme, l’impiété de Fathéifme caufée par la fuperftition.
IX. 923. a. Fatalité qu’admeteent les athées. V I . 423. b. 423. a.
Réponfe à cette objeltion des athées, que la religion efl originairement
une inflitution politique. IV . 1073. a. XII. 933.
a. Réfutation de ce principe d’athéifme, que c’efl la crainte
qui a fait les dieux. Ibid. b. Origine de la croyance des dieux
fielon l’athée Critius. 936. a , b. Réflexion contre l’enchaînement
infini des caufes 8c des effets. X V . 473. a. Avantages
du théifme fur l’athéifme. X V I . 243. a , b. Examen de ce
fentiment de B a y le , que l’athéifme efl moins pernicieux à la
fociété que le polythéifme. XII. 964. a , b. Faux raifonnement
de Cotta contre l’exiftence de Dieu. X V . 364. b. Poème
publié dans le Malabar en faveur de Fathéifme. IX. 923. a.
Athéifme de D émocrite, d’E piciïre, 6c en général des ato-
miftes. I. 822. b. 823. a. VII I. 391. b. Ouvrage de Cudworth
fur Fathéifme de Démocrite. X V . 333. a. Athéifme qui
confifle à croire que tout ce qu’il y a dans l’univers n’eft
que matière 6c qualités d e là inatiere. VIH. 390. a , b..391. a.
Efpece d’adiéifme appellé hylojroïjme. 391. a , b. 8cc. Athéifme
d’Âriftote. I. 639. a , b. 8cc. D e Straton. 661. a ,b . Examen
de l’athéifme de Spinofa. X V . 463. a. — 474. a. Injuftice du
vulgaire dans fes imputations d’athéifme. VIII.- 391. a.
A T H E L IN G , ( Hijl. mod. ) titre d’honneur chez les Anglo-
Saxons, qui appartenoit à l’héritier préfomptif de la couronne.
Étymologie du mot. Premier roi qui l’a donné à fon
fils. Ufage des Saxons de joindre le mot ling ou ing au nom
d’un p e r e , pour défigner le fils. I. 817. a.
A T H É M A D O U L E T , (/#/?. mod. ) principal miniftre du
roi de- Perfe. I. 817. a. Étym. de ce mot. Son autorité ref-
femble à celle du grand vifir à quelques égards. Ses fonllions
& dignités. Ibid. b.
A t H EN AG O R A S , philofophe chrétien. Obfervations
fur fa dollrine 8c fur fes ouvrages. VIII. 318. a. XII. 340.
é. Son apologie en faveur des chrétiens. I. 332. b.
" fH E N É E , médecin, fondateur de la fe lle des pneuma-
tiquesîX. 269. b. Ses principes. 282. a. Sa phyfiologie. Suppl.
IV . 346. b.
A thenée , grammairien. IX. 49. a.
A TH E N E S , ( Géogr. ) ancienne v ille de Grece. Suppl. I.
669. a. Eloge qu’en fait Cicéron. Fondateur 6c premier nom
d’Athenes. Origine du nom qui lui efl relié. Premiers com-
rnencemens 8c progrès de cette ville. Principales chofes qu’on
y remarquoit. Récompenfes que les Athéniens accordoient
aux exploits militaires. Ibid. b. Hiftoire abrégée du gouvernement
d’Athenes 8c de fesrévolutions.Lafouverainetéufurpée
par Pififtrate. Villoire que les Athéniens remportèrent lur
les Perfes à Marathon 8c à Salamine. Guerre du Peloponefe.
Ibid. 670. a. Etat de ce peuple fous Philippe , Alexandre, 8c ,
leurs fucceffeurs ; fous les Romains. Ses révolutions après la
ehute de l’empire. Etat préfent d’Athenes. Monumens d’anti-
Tome /. * I
A T H 121
quité qu on y remarque, / i ü b. Rivières qui a rrofentla plaine
fur -laquelle Athènes efl fituée. Courte indication des grands
atiiénien T b id™ iK ™ ^ ^ VlUe' Carafteredu PeuPle
A t k en e s , (H iß. anc. ) bornes de l’Attique. Hiftoire d’Ath e nes.
Ses rois. Gouvernement des archontes. Suppl. I. 671. b.
Loix de Dracon. Nouvelle légiflation faite par Solon. Ibid.
672. a , b. Regne de Pififtrate 8c de fes enfans. Ibid. 672. b.
Inflitution de la loi de l’oftracifme. Affaires des Athéniens
avec les Perfes. Ibid. 674. a. Diftinltions accordées à ceux
d’entre les Grecs qui périrent dans les combats. Rivalité entre
Athènes 8c Sparte. Services que ThémiflQcle rend à fa patrie.
Ibid. b. Générofité de Cimon envers elle. Révolution dans
Athènes caufée par Périclès. Ibid. 6 7 3. a. Guerre du Peloponefe.
Gouvernement d eCléon. Carallere de Nicias. Vices
^ T e r i!t w d’Alcibiade. Précis de fa vie. Ibid. b. Guerfe de
m j f i J W 670-4-Gouvernement des trente tyrans. Athènes
délivrée par Thrafibule. Grands hommes qui parurent enfuite
dans « «te ville. Ses dernieres révolutions. Religion des Athéniens.
Ibid. b. 0
81A th èn e s , (Géogr.) defcription d’Athenes moderne. I .
I. Athènes. Quartiers de cette ville. XH. 237. b. X . 318. al
XI. 446. b. Colline d’Athenes appellée Mufée.X. 894 .a . Ses
ports. XIII. 130. a. X. 864. b. Lieu du tréfor public. XI. 308.
b. Lieu ou l’on jugeoit les meurtres involontaires. 790. b.
| 1 § aPP , Pny ce > °ù le peuple s’affembloit. XII. 809. *
ü d é e d Athènes. X I 347. * , b. Bâtiment fplendide appellé
Pompeion.X I I I 13. a. Prytanée. Ibid. 336. a. 8cc. Lieux nommés
céramiques. H. 832. b. Bibliothèque. II. 230. b. D e la citadelle
ôc des portiques qui y conduifoient. XIII. 492. a. Le plus con-
fidérable des portiques. XII. 811 . a , b. Théâtre de Bacchus;
f M 234- b. — 237. b. Panthéon. XI. 826. b. Temple de
Théfee. X V I . 79. b. 274. b. D e Jupiter Olympien. 74. a , b.
D e Mars. 73. b. D e M inerve. 76. a. D e Vefta. 80. b. D e Vénus
la populaire. X V I I . 37. b. D e la viftoire. 243. b.
U Caraaere des Athéniens, moeurs & ufages. Defcription du
caraétere 8c des moeurs de ce peuple. XI. 936.*. — 960 a
Soins particuliers qu’on prenoit à Athènes des enfans dont les
peres avoient é té tués à la guerre. X I. 662. *. Humanité des
Athéniens envers leurs efclaves. V . 933. & même envers
les betes. X 1H. 93. b. Leur averfion pour les combats de
gladiateurs. VH. 697. b: Leurs funérailles. V n . 368. b D e
l’ufage de l’oftracifme chez les Athéniens.XI. 693. a . J. Ca valerie
athénienne. V I I I . 210. a.
III. Divifion faite du peuple d’Athenes avant So lo e , 8c
enfuite par lui. XH. 176. b lV . 817. 4. Tribus d’Athenes.
X V I . 619. b. D es citoyens. H L 488. b. Des nobles. XI. 167. a.
Perfonnes d’un rang8c d’une fortune confidérables. IX. 381. a.
Citoyens qui fans perdre leur liberté fe trouvoient forcés par
la pauvreté de fervir à gages. XII. 282. Nautonniers
d Athènes. XI. 62. b. D e la naturalifation 8c de l’état des
à Athènes. XI. 35. i . X . 466. a X IV . 742. i . 780. i .
VIH. 368. b..
IV . Gouvernement. D étails fur ce fujet. X IV . i^ i.a^ b . 8cc.
Carallere diflinltif de la république d’Athenes. VII. 913. a.
Les Athéniens gouvernés auparavant par des rois. X IV . 420!
a. Comment, après avoir détruit la royauté, ils en conferve-
rent l’ombre. X L 380. a. Corruption du principe de la démocratie
chez les Athéniens. IV . 818. a. De s affemblées du
peuple. IX. 4J0. b. Comment ils donnoient leurs fuffrages.
X V . 639 .a . Tréfor public. X V I . 397. a. Faâions dans A thènes.
IV . 931. b. Police des Athéniens. XH. 906.a , b.
V . Confeils, tribunaux, magifirats. A qui appartenoit le foin
de rendre la juftice.IX. 90. b. Des magifirats chez les Athéniens.
836. b. Conditions auxquelles on étoit admis à l’admi-
niftration de la juflice. X. 463. a. Principaux tribunaux. X.
474. b. Suppl. I. 814. b. D eu x tribunaux fupérieurs, celui des
cinq c en s , 8c l’aréopage. IV . 23. b. V . 816. a. I. 634. a .Tribunal
appelléparabyfle. XI. 883. b. Autre appelléphreatis. XII.
330. a. Tribunal des héliaftes, le plus important d’Athenes.
VII I. 100. b. Magifirats archontes. I. 619. b. Sénateur appellé
proédre. XIII. 424. b. Vafes hériffés de pointes, dont fe fer-
voient les juges. Suppl. IV . 306. a. Comment ils puniflbient
l’affaffinat.Suppl. I. 633; b. Officiers confervateursdes v iv res ,'
du marché 8c du commerce. VIII. 810. b. Magifirats appellés
•fitophylax. X V . 23 Ï. b. Phratriarques. XII. 3 30. <z. Phylobafiles.
336. a. Prytanes. XIII. 333. b. Magiftrat chargé du foin des
murs de la ville. XVI. 6. b. Magifirats qui aécidoient des
petites battéries entre particuliers. 187. b. Ûndecimvirs. X V I I .
379. b. Ephetes.V. 774. a. Officiers qui commandoient les
armées. XI. 424. a , b. D e la milice des Athéniens, voyer
Milice des Grecs.
V I. Impof lions. Divifion du peuple en quatre d a lle s , pour
la répartition des impôts. X V U . 833. a. Comment les citoyens
s’impofoient des taxes dans les tems difficiles. XIU. 336. a.
Citoyens aifésqui étoient obligés d’équiper des vaifleaux
pour l’état. X V L 638. b. Tribut qu’un étranger p?yoit pour
le droit d’habitation. X. 466. a.-
H h