A N T
qui en font voffines ne fe lèvent jamais pour nous. Cercle
antarctique. D ’o ù vient cette épithète. I . 4 9 1- a
A Mar Eli nues , terres. X V Ï . 180. a.
A N T A R E S , ( Aftron.) coeur du fcorpion. Suppl. II. 567. b.
Heures de fon paffage au méridien. 894. b.
A N T É C É D E N T , ( Théologie) décret antécédent. Volonté
antécédente en Dieu. I. 49 r - Æ- ° a n s cWd fejis le terme
antécédent eft appliqué à' Dieu. Ibid. b.
A ntécédent, ( Gramrn.) ce q u on entend par ce mot
dans les propofitions compofées d’une proposition principale
& d’une incidente. VIII. 648. u. 649- a‘ .
A N T E C H R I S T , ( Théolog.) ce qu’on entend par ce mot.
Tems du régné de l’antechrift. Sentimens des Peres fur la
perfonne deTantechrift „ & fur la maniéré dont il régnera.
1 Aqi.b. Abfurdité de l’idée des proteftans qui ont appliqué
au nane' & à leelife romaine tout ce que 1 écriture dit de
Tan cchrift. Sentunent de Grotius. D ivers noms que plufieurs
auteurs ont donnés à l’antechrift. Ibid. 4r - « Citations de
' S L Palfages d’un ouvrage de
matière. Sommaire d’un ouvrage de Malvenda, tlieologien
«fpaenol fur l’anteehrift. Ibid. A E > 1 ,
A ntéchrist, nom de l’antechrift marque parle nombre
666 darfs Tapocalypfe. I. 673. b. 402. a , b. X V I I . 620. a.
C e que les Cocceïens croyoïent de la venue de 1 anteenrut.
ÂN T E C IE N S , ( Géogr. ) peuples placés fous le même
■ méiïd-en 8c à la même diftance de 'l’équateur, les uns vers
le nord, les autres vers le midi. Divers rapports fous lefquels
o n peut les confidêrcr. I. 493. a.
AN T É D ILU V IE N N E , Phïlofophie. Quelq u e s-u ns de
ceux qui remontent à l ’origine de la phïlofophie la vont
chercher jufques chez les anges. Quelques-uns .croient que
D ieu s’eft fervi de leur miniftere pour creer le monde.
•Examen de l’opinion, qui établit que l’efpace entre D ieu 8c
Thoiume eft rempli par des anges. SL 493. a. Connoiffances
attribuées aux mauvais anges. Raifônnemens 'du 'doAeur
Hornius , pour prouver qu’Àdam a été un grand philofophe.
Ibid. b. Réfutation de ces raifônnemens ridicules. Comment
il eft prouvé que les premiers hommes ètoient bien éloignés
de penfer à la philofophie. Ibid. 494. a. Citation du paffage
tiré d e T -M i i fw U mime 6- U venu, qui vient à I appui de
cette propdfition. Les premiers enfans dA d am , philofophes
félon Hornius. Colonnes élevées par les enfans de Seth au
rapport de Jofephe. Ibid. b. St l’on peut conclure de ce que
l’écTitttre nous dit'de Jubal & de Tubalcaïn ,, qu’ils étoient
philofophes. C ’eft au hafard que nous devons la plupart des
arts utiles. C’eft donc inutilement qu’on cherche l’origine de
la philofophie dans les tems qui ont précédé le déluge. Ibid.
Antédiluvienne, philofophie, 8c tems antédiluviens. Si les
hommes avant le déluge s’abftenoient de v in & de viande. I. |
44 a Si l’on doit croire qu’il y ait eu des célibataires dam
■ ce tems-là. II. 802.. k D e la chymie antédiluvienne, l i t
42.2. b. Tubalcaïn confidéré comme chyniifte. Ibid. Des
patriarches qui ont vécu ayant le déluge, voyè[ Patriarche.
D e la taille des hommes avant le déluge.' Suppl. III. 193. b.
A N T ED O N E , {Géogr. ).,remarques fur cet article de
l ’Encyclopédie. Suppl. 1. 449- a- . . c ,
. A N T É E , fils de la terre : fon tombeau. X V I . 337. a. Suppl.
III.- 1-92. b. Voye{ A ntHÉE. ^
AN T EN N E S , ( InfeElolog.) différence entre les cornes des
infeéies & les antennes. IV . 245. b. Defcription des antennes
de différentes efpecesî VIII. 781. a. Antennes des mouches.
X . 770. a. Des papillons. XI. 873.' a , b.
A N T EN O R , prince T ro y en : oh l’a Cru fondateur de
Patavium. X V I I . 3 .b . • An À
A N T É O C C U P A T IO N , (Eloquence)ûgare qui conüfte à
s’exprimer de maniéré que la perfonne qu’on inftruit. de
quelque fait paroiffe en être déjà convaincue. Exemple. Suppl.
A N T E P A G M E N T A , terme d’archite&ure ancienne.
X V I I . 7 5 5 / a. • •
À N T E Q U E R A , {Géogr.) v ille d’Efpagne au royaume
de Grenade. Sa defcription. Sel qu’on trouve dans la montagne
qui en eft voifine. Propriété remarquable d’une fontaine
à deux lieues de cette ville. Suppl. I. 449. a.
A N T E R O S , ( Mythol. ) fils de Vénus & de Mars. A quelle
occafion il naquit. Sa ftatue & fon culte. I. 495. b.
A N T E R O S T A & Potrofla, {M yth.) fupplément à cet
article de l’Encyclopédie. Suppl. I. 449. a.
A N T E S , ( Archit. ) pilaftres des encoignures, autrefois
nommés Antes. Temples à antes. II. 623. b. X V I . 61. a.
ANT ESIGNAN , {Pierre) grammairien. XIII. 732.b.
A N T H E D O N , ville <le Béotie. Culte de Glaucus dans
ce lieu. V II . 705. b ., '
A N T H É E , ( Myth.) roi de Lybie , que la fable fait fils
de la terre , b c . Combat d’H ercule 8c d’Anthée. Explication
de cette fable. Suppl. 1. '449.,A Voye^ A ntée.
A N TH E LM I , fa cliffertation fur lefymbole de S, Athanafe.
X V ; 727. b. m (
A N T
A N TH E LM IN T IQ U E S ,. {Mat. médic. ) rehiedes comté
les v ers qui viennent dansle corps humain. Remedes internes..
Remedes externes. Suppl. I. 449. b. W S Ê Ê Ê tÊ I
AN TH EM IU S , ( Hifl. de l'Empire d'occident ) hiltoire d®
cet empereur Romain. Suppl. I. 449. b.
ANTHEMIU S de Tralles. X V I . 537. b.
A N T H E R E , {B o t.) Suppl. IV . 787. b.
A N TH E RM U S , fculpteur. X IV . 816. A
A N TH IA S , Ichthy.) genre de pojffon de m e r , dont ort
diftingue quatre efpeces. L eur defcription. I. 496.. a. .
Anth'uis , poiffon.de ce genre , nommé barbier. II. 73. a , b.
A N T H IR R IN UM , fBotan. ) Defcrip.tion de cette plante.
Obfervations relatives à fa culture. I. 496. a.
A NTHISTERIES , ( Myth. ) fêtes que les athéniens céléV
broient. I. 496. a. Étymologie du mot Anthifleries. Ibid. b.
A N T H Ô L O G E , ( Théolog. ) recueil des principaux offices
en ufage dans l’églife grecque. N ou vel anthologe d’A nto içe
Arcadius. I. 496. b. ■ _
A N T H O L O G IE ,(Z it t .) récueil des épigrammes de divers
auteurs grecs. I. 496. b. ‘ H H | H
Anthologie manuferite de Guyet. Ibid. b. Celle de Méléa-
g re s , natif de Gadare en Syrie. Celle de Philippe de Theffa-
lonique , d’Agathiàs, & enfin de P lanude./A4. 467. a. ^ ;
Anthologie, . correction de cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. I. 450. a.
Anthologie , auteur de cet ouvrage. V II . 4x4. b. Suppl. III.
165. b. Épigrammes de l’anthologie. V . 793. a , b. Épigram-?
mes de ce même livre en l’honneur de Baçchus 8c d Apollon.
I. x i 4. b. Traduction de quatre épigrammes de l’anthologie
fur la Vénus anadyomene. Suppl. I. 381. a , b. Obfervations
fur l’anthologie manuferite de la bibliothèque du-roi de F rance;
X V D . 755. b. p’oye? Florilège. .
A N T H R A C O S È , ( Chirurg.) charbon des paupières. Caufe
de cette maladie. Sa cure. I. 497. a. . j
A N T H R A X , furoncle. , clou, charbon ; différences dans I3
fignification de ces mots. X V I I . 791 . a.
A nthrax , {Maréchal. ) Suppl. III. 403. a.
AN TH R O PO G R A PH IE , ( Anatomie ) defcription de
l’homme. Ouvrage fous ce tit re , de J. Riolan le fils. Éloge
qu’en fait Boerhaave.. A utres ouvrages fous le même titre.
A N T H R O P O L O G IE , {Théologie) pourquoiI’efpritfaint
fe fert d’expreffions anthropologiques en parlant de D ieu,
Voyei A nthrOPOPATHIE. En terme à'(économie animale,
traité de l’homme.Deux ouvrages indiqués fousce titre. I.497.Z’, .
A N T H R O P O M A N T IE , (D iv in .) divination par l’infpecr
tion des entrailles humaines. Elle fut pratiquée par lempe-
! reur Eliogabale, 8c, au rapport de Cedrene & de Th èodere t,
par l’empereur Julien. 1. 497- A- Autres peuples qui l’ont em-
TJloyée. Ibid. 498. a. .
A N TH R O P OM O R PH IT E , ( Hifl. eccl. ) anciens hérétiques.
Difputes des anthropomorpliites 8c des orthodoxes. Ils
ont été appellés Audiens 8c Vadiens. Erreurs de Tertullien fur
1 l’ame humaine. I. 498- a.
A N T H R O P O P A T H IE , ( Théolog. ) différence entre 1 anthropologie
8c l’anthropopathie. I . 498. a.
A N TH RO PO PH AG Ê S , {Hifl. ) anciens peuples mangeurs
d’hommes. I. 498. a. C ’eft à cetté barbarie qu’il faut rapporter
l’origine des facrifices humains. Les païens en accufoient les
premiers chrétiens. Origine de l’anthropophagie félon queL
ques auteurs. Peuples chez qui e lle étoit en ufage. Annibai
faifoit manger de la chair humaine à fes foldats. C e v ice a
moins été celui, d’une contrée que celui d’un fiecle. Orphée
eft le premier qui en fit fentir l’inhumanité. Caufe de l’antropo-
phagie félon quelques modernes. Ibid. b.
A N T H Y L L E , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
Defcription de fept efpeces de ce genre. Autres remarques de
culture. .Lieux où elles croiffent naturellei^nt. Suppl. I.
4 *ÀN TH Y L L IS ,.{ B o t .) deux efpeces de cétte plante. Propriétés
qu’on lui attribue. I. 499. a.
A N T I , ( Gramrn. ) cette prépofition vient quelquefois de
la prépofition latine ante, quelquefois de la prépofition g recque
anti. Les livres de controverfes 8c de difputes littéraires portent
fouvent le nom d'anti. Remedes antiécliptiques 8c antico-
métiques d’un certain charlatan. I. 499- a:
A n ti, particule propofitive enFrançois. XII. 101. a.
A N T I A , loi. IX. 6<;2. .........
A N T I-APH RO D IS IAQ U E S , ( Mat. médic. ) il n eft pas
certain que les fubftances regardées communément comme
telle s , le foiertt véritablement. Suppl. I. 4S0. b. .
A N T I -A PO P L E C T IQ U E , ( Médec. ) compofmon d’un
baume de ce nom.Ses effets.Ildoit être adminiftré avec fagefle.
ANT IBES , comment la fête des Innocens étoit célébrée à
Antibes dans le couvent desFrancifcains.. V I . S76. a.
A N T I -C A C O CH YM IQ U E S , ( Mat. fiidic. ) obfervations
fur le préjugé qui a accrédité l’ufage de ces remedes. Suppl.ç,
| 4 Ï0- b.-
A N T
-ANTICHAM BRE, ( Archit. ) deux fortes d'antichambres
dans un hôtel. Maniéré de les décorer. L 499. b. -,
Antichambre, obfervation fur le genre de ce mot. II. iij.
AN T ICH RE SE , ( Jurifpr. ) forte de contrat oppofé au
Vif-gage. V . 67Ç. b.
A N T ICH TO N E S , mot fynonyme à Antipodes. Autre fignification
de ce mpt dans les auteurs. I .yo o . a.
A N T IC IP A T IO N , { Jurifpr.) lettres d’anticipation. IX.
4 iî--«.
A nticipation , ( Mufiq. ) lorfque le compofiteu.r fiüt entendre
une note ou un accord avant le tems. Différentes
fortes d anticipation; favoir , de la no te , de l ’accord ,.d e la
tranfition , 8c enfin du fauvement des diffonances. On ne pra-
tique guere l’anticipation du fauvement des diffonances',
que fur les accords de neuvième , & fur leurs dérivés. Précautions
qu on y obferve. D es accords de neuvième fur
lefquels on fe fert de l’anticipation. Suppl. I. 4c 1. a. b.
 N T IC Y R E , {Géogr. anc. ) ifle où croiffoit l’ellébore
diftinguée de la ville d’Anticyrrhe , où on le préparait. V . s 14.
a. Obfervations fur ce lieu. Suppl. II. 790. a.
A N T ID A T E R , ( Comm. ) autrefois on étoit dans l’ufage de
laiffer les ordres en blanc au dos des lettres, 8c il étoit facile
de les antidater. L e réglement de, 1673 a pourvu à-cet' abus. I.
500. b.
A N T ID E SM A , ( Botan. ) efpece de plante. Suppl. I.
®44- 4 5 b.
A N T I -D ICOM A R IÂN IT E S , ( Hifl. nat.) anciens hérétiques
qui prétendoient que la fainte Vierge n’avoit pas con-
tinué de v iv re dans l’état de virginité. Paffages fur lefquels ils
le fondoient. I. ^00. b. ' ' ‘ f
A N T ID O T E , voyc{ Contre-poison. Les Grecs 8c les
Arabes appelloient de ce nom toutes fortes d’éleéluaires. V .
401. b. Sous ce terme générique font compris les alexiphar-
maques 6c les alexiteres : voye^ ces mots. Énumération de
divers antidotes. Suppl. IV . 46e,. a , b.
? Peintre célébré de laGrece. X II. 2<<. a.
AN T IEN N E , ( Hifl. eccl. ) étymologie de ce mot. C e
q u on entendoit autrefois par-là. I. 500. b. Sens dans lequel
ce mot le prend aiijourd’hui. L e nombre des antiennes varie
luivant la folemnité plus ou moins grande-des offices, Comment
elles doivent être chantées. O n donne auffx c ë n om à
quelques prières particulières. J . 501. a.
■ N e nm a d ansle 1 —
Suppl. IV . 35. a , b.
t M i M — B M &
- de Pohmce. Sa fin malheureufe. Tragédies dont elle a été
le fu je t . .$ W .L 452. 0
i GéofÇ- ^ erreur à corriger dans cet article
de 1 Encyclopédie. Suppl. I. 4 e2. a.
A N T lG O N U S , {H if l. anc. ) furnommé le Cyclope ou le
jo i g n e ; un des heutenans d’Alexandre-le-Grand. Hiftoire de
la vie. Suppl. I. b.
G o n a t a s fils de Démétrius, célébré par fon
couiage 8c fes malheurs. Principaux événemens. de fa vie.
Suppl, l. 433- b.
W M a M a s i a .„« s i Q M a o « « * » , &it u g u m auc
Acneens.Suppl. I. 14Q. a .b .: ■
A n t ig ° nus , fils d’Ariftobule , roi de Judée. Suppl. I.
Ï^ A n t ig o n u s , auteur de la féfte des faducéens. Sa doéhïne.
A N T I -H E C T IQ U E , de la Poterie, ( Chym. & Médec. )
comment fe prépare ce remede. I. 301. a. Maladies auxquelles
fon auteur lappliquoit. Méthode dont il fe fervoit pour le
taire prendre. t
ü i ^ ferVati° nS ^Ur Ie traitemeiït‘ des maladies longues.
A ntî-h e c t^ ue , préparation du bézoar jovial ou
ce S d e ' v ï " , I ,,,e- “ • 4' Ce 1u'on <1“ ' Penfer de
I h' oma8” e d’Afie- IX. 4 ; 7 . a , «.
m oe t v m LE!> ’ ) ou Caraïbes. Articles'fer tes
£ 6 ? H M r m H I fauvages qui les habitent. II.
thete d f CS d° nt les noms font précédés de l’épiefeanneMe
e X IV - 5=5-A U partie méridionale des Antilles
S l S Î ^ r “ ‘ '’ n leS Efpnsnols. X V . 584. u. Diflinc-
le levant & S T CCS ^ CS ’ de/-la partie de 1>ifle ‘I111 regarde
de ces deufparties Pf rc" ’Pf™ure
tilles YTT i ’ Hauces montagnes des Andes
Antilles. X V I 173 i ’!'’j ^ ' ^ f e s de ‘T ’
tdles. IV . Principaux d'ébouqticmens de cra '"b
■ ü 'Im s ™S»Sent avec les l.abitans des Antilles poni
A N T 79
du ' i £ ,ttér’ ) contradiction entre deux paffages
ou meme auteur. Ouvmopq an ... , * o
antilopes de là bible: I. ,1 7 .™ P ‘ ^ “ aPParenKS
A N T I A !À ( :H IA V K U s r ,: s . ,\ ll o.,S h
A N T IM A C H IE ,.( Myth. ) fête o u 'o n 'a f# ' i 1 i l
de B n 1 J inm Z o n i l s r dms 1 ‘a =
, A f îiTI? y NSE > t m , “ cL 5 nappe confacrée dont 011 u fe
dans^ éghfe grecque. Pourquoi ces linges ont été en ufage.
I n XIMOINE i, (. Hi/Ï. tmnéral métalUque.
A nm o tn e cmd. Pourqnoj;le| alchyinilles l ’ont appellé U plmb
desjages. Différentes fortes d antimoine natif. Le plus fouvent-
B B • ,mêlé do matières étrangères. É ^mq io gie^ u
f . an im°ine. I 30a. a. Lieux où fe trouvent ces mines
b m e X I ° D e n ‘ ,re, M H H S S B fo">*n. 1
H K , <Il,5ls Principes l’antimoine efl compofé. Ses
B H H IH H BW B f f i S S D E g B S g de mêler ce dernier
■ H B B le é o j . a, Vinai.
cité dans Xunkel , pour l t gtiérifon d’un rhummfme “ &
pour une fièvre quarte. Antres maladies pour S é l ï s i i e l
recommandé. Préparations où il entre. S’il eft vïdL-i, ■ Tes
vapeurs forent nmfiblés à k fanrét Ibid. , S’i f f im i™
une matière arfenicale. Ufage extérieur de ’antimoine s i r '
vtee qu’on en tire dans, les arts. Comment on s’e n f a v “ tponr
relever la beauté dnvifage. Divers noms poétiqués que lui
donqe 1 alchymtfte Pliiialethe. Ibid. b. Caraileres’ di, nSilletm
rémi‘r ‘, î e' S E B m ce minéral. O u peut féparer lé
§ B H ■ le. luufie H antimoine par l’eau rénale! Q u o iw
Ê È Ê Ê m B m ■ H
■ H l cependant celle q n y , ont les antres métaux eft
Pbur faiî ? cf l ie i H 1 î * # ® “ !“ “ »yens qu’on emploie
B M E H m m ,d entjmome. Autres préparations, / a n d .
’ ‘ “i H P S felpliiircufe qui en (ait le prix dans
H H f 1 Peau 0» d= la poitrine. Précaûtiom à p r e S r e
dans lufag e de 1 antimoine crud. Ibid. ; o S.e. C om m e n t é doit
1 employer dans certaines tifanes. Ibid. b. 6
A n t imo in e { verre d ' ) méthode à fuivre pour le faire Sa
n ! ? ? ' retab f en ré| ule ^’antimoine calciné. L ’rnti-
mome calcine perce les-creufets. Verre d’antimoine fait avec
d e c e vp C J ' 5° S''a ‘ C ° m n e? t 0nIerend de ce verre en.medscine. Ibid. 306. a. tranfparent. Ufa°ges
SO^N7TIMOIÎ,E ’ direrfs! maniérés de le faire I.
m Ê È Ê ê ê B S P° ” obtenir, une poudre
ral. 1. ;o é , a. Fote^e foufre d antimoine, capable de diffou-
drp tous les métaux. Kermès minéral tiré de k leffive du
fafran des imneraux. Ufage du fafcin des métaux en méde- I
B i | | I W r f g t i l c médicinal. C e qui le diftingue dti
A nt imo ine , ( "g u k frnple d ) comment ob le (bit. Ses
uiâges. I. 306. b.
A nti moine A régule martial £ ) maniéré dont on le faitè
R 506. b. Ses ufages. Neige d’antimoine. Régule de vénuS. '
Kegule jovial. Ibid. 307. a. Régule des métaux. Régule violet.
Autres préparations d’antimoine. Ibid-, b.
A nt imo ine , ( teinture d ’ ) méthode à fuivre pour la faire.
Comment on s affure que la teinture eft d’antimoine. Son ufage
en médecine. I. 307. b. 6
A nt imo ine , { foufre doré ) maniéré dont on le prépare.
I. 507. b. Les foufres dorés paffent pour un remede umver-
tel. Dans qxiel mélange on les ordonne. Leurs diverfes
propriétés. Ufage du kermès minéral ou foufre doré lait
par ébullition. Ibid. 308. a. Précautions avec lefquelles-iî faut
1 employer. Ibid. b.
A n t im o in e , {beurre ou huile glaciale d ') comment on le
prépare. I. 308. b. On ne s’en fert qu’à l’extérieur. Teinture
de pourpre antimoine. Poudre d’algaroth. Bezoard minéral I.
509. a. .
A ntimoine , ( cinabre d' ) fa préparation. L 309. a.
A ntimoine , {fleur d' ) ufage de ce remede. I. yoo. b.
ANTIMOINE, { fleurs de régule martiald‘ ) dans quelles mala?
dieS on les ordonne. I. 309. h.
A ntimoine , {fleursfixes d’ ) préparation & ufage de ce
remede. I. 30a. b.
A ntimoine , ( la cérufe ou chaux d’ ) Ses propriétés I
•709. *. . • ■ *
Antimoine revivifié , comment on le prépare. Ses propriétés.
Toutes ces préparations peuvent être gouvernées de
maniéré qu’elles n’operent qu ’infenfiblement I 300 b
A ntimoine , ( magiflere d’ ) fes üfages. I. 309. b. ' •
A ntimoine a p y / f r . ! , „ tablettes. Sa- prépamtiM & feà
ufages. 1. 309. b. - , '
sdàimsint , poiifqiïôMés-ehymiftes iS ïd o iin é lé bom t ie : ■
loup a ce minéral. IX, 703. a. L e fel marin eft le tliffolvam
propre de 1 antimoine. U. 219. a. Ufage de deux creufets