
3 4 * C O J
tlu coignaffier confidéré comme fujet de greffe. Suppl. IV .
457. b. , . •
CO IN , ( Mèchan.) la derniere des-cinq machines fimples.
Sa defcription. 111. 609. 6. D iv e r s fentimens fur le principe
de la force du coin. Propofition dans laquelle eft contenue
la théorie du coin. Dèmonftration de ce théorème. On rapporte
au coin ebus "les inftrumens à pointe & à tranchant,
comme couteaux , haches, épées, poinçons , &c. Parmi ces
inftrumens , qui agi fient comme des coins , il y en a auffi qui
^^CoTn^TÎ) 11 . Ibïd. -6 II
rftf porc ou Yembolon. Difpofirion de
troupes dont les anciens le iervoierit -iAl dans ^*1 les armées,
£ e
•qu’en dit M. de Folard. Différence de fentimens entre V egece
& M. de Folard fur ce fujet. Sens du mot cuneus, chez les
anciens , fuivant ce dernier. Ses remarques fur les paflages
de Tacite , de Tite-Live & de Poîybe , où U eft parlé de
Ycmboloh & du coin. Comment M . de Folard infirme le témoignage
d’Elien , qui prétend , -a-infi que Vegece , que le coin
©toit un triangle. Ammien Marcellin cité fu r ce fu je t , pour
appuyer le l'entiment de M. de Folard. III. 6x0. b.
Coin , ( Art mïlu. ) cette difpofition en ufage chez les
•Grecs , les Scythes , les Thraces & les Macédoniens. D e s cription,
du coin , voye^ Losange , & fig. 10 des pl. Milit.
Suppl. Defcription du coin que fbrmoit l’-armée des Francs
dans la "bataille de Cafiün. Suppl. II. 498. b.
Coin. Efcadrons des anciens en forme de coin. Suppl. II.
S 69. a. C'eft la forme que quelques nations ont donnée, &,
-que quelques-unes donnent encore à leurs efcadrons de cavalerie.
V . 924. a. Difpofition de la phalange qu’on employoit
contre un corps de cavalerie ordonné en forme de coin,
Suppl. IV . 317 .^ , b.
COIN de mire \ ( Artillerie ) III. 6 I I . * .
C oin, ( Archit. ) III. 6 11. *.
COINS* (Diamant.) III. 6 i l . * .
COIN , ( Bouton/:. ) III. 61 1 . a.
COIN , ( Fauconn. ) III. 611. *.
COIN ou couteau de bois , ( Jardin. ) III. 6 1 1. a.
COINS, (Imprint.) III. 6 11. a.
C oin , ( Luther. ) dans la faélure des orgues. III. 6 1 1 . *.
C oins , ( Maréch. ) III. 6 1 1. a. Voye{ Dents.
Coins , (Marine) coins de chantier , d’arrimage , de mât.
IH. 6 11. b.
C oin, àlamonnoie. III. 6 i 1. K
Coin de médailles * appelle quarré. XIÎI. 663. b, Coin de
médailles. X . 239. b.
C oins de cheveux , terme de perruquier. III. 6 1 1. b,
. Coins, ( Relieur) b.
■ Co ins, ( Tablett. ) différentes efpécfcs. IIT. 61 1 . b.
Coin , au triélrac. Regies à fuivre par rapport au coin de
repos. Coin bourgeois. III. 6 1 1 . b.
C O ÏN C ID EN C E , ( Géomét. ) la coïncidence défigne une
égalité parfaite. Utilité du principe de coïncidence ou de fuper-
pofition, pour démontrer plufieurs propofitions de géométrie
élémentaire. III. 612.*. Voyez Superposition.
C O IN G , ( Pkarm. & Die te) qualités & propriétés du fuc
de ce fruit. Moyen de le conferver. ’Préparation du fyrop.
Ufage des confitures faites avec ce fruit. Préparation d’un«
gelée de coing qu’on appelle myva cidoniorum. III. 612. a.
Ufage d’un mucilage de femence de coing contre les ophtalmies.
Préparations dans lefquelles entrent le fuc & la chair
confite du coing. Ibid. b.
Coing. Confiture de coing. IV . 303. b. Ge lée de coing.
9 3 *-
CO IN T E , ( Charles le ) pere de l’oratoire. X V I . 719. b.
C O IP A , ( Botàn.) nom brame d’une plante du Malabar. Sa
defcription. L ieux où elle croît. Ses qualités & ufages. Sa claffi-
ficatiom Suppl. II. 499. a.
C O IR E , ( Géogr. ) obfervations météorologiques faites dans
cette ville des Grifons. Suppl. IV . 417. b.
C O Ï T , ( Phyfiolog. Médec.) les excès avec les femmes,
dangereux dans les pays chauds. III. 335. b. Conditions requi-
Fes dans l'homme 8ï dans la femme, pour qu’ils foient habiles
à la génération. Phénomènes qui accompagnent le coït. V I I .
361. a , b. V . 439, b. Affoibliffement qu’il caufe au mâle.
Suppl. II. 688. a. Suppl. IV . 770. a. Caufe méchanique de
l’excrétion de la femence. Ibid. Accidens qu’éprouvent ceux
qui fe livrent à l’aéle vénérien trop fréquent 8c prématuré.
V L 161. *. Les anciens ont cru être fouillés par le commerce
légitime des femmes. 470. a. D u plaifir attaché à cet afte ,
voyci Plaisirs de l ’amour. Sur le fujet dont il s’agit ic i, voye[
encore, X. 116. a , b. 117. <z, b. 1 1 8 . * , b. 119. a. 8c les
articles Accouplement & Conceptiàn.
CO ÏT AD E , ( Ichthy. ) poiflon des M oluques. Sa defcription.
Suppl. U. 499. a. Lieux où on le pêche. Sa claflification.
Ibid. b.
C O IT IE R , ( Jacques ) médecin de Louis X , roi de
France. Suppl. lV J 688. a.
COJER , ( Ich th y ,) poiflon des Moluques. Sa defcription.
Lieux qu’il habite. Sa claflification. Suppl. II. 499. b.
C O L
C O L , particule prépofitive en françois. X3I. iûf." a'.
C ol , (Anal. ) voyeç C o u .
Col. Sorte de défilés dans les Pyrénées & dans les Alpes,
IV . 74 4. a.
C O L A G E ou Collage, ( Jurifpr. ) efpece de droit que le
-feigneur le v e , 6*c. Etym. du mot. III. 613. a.
CO L A N G E S , ou Coulanges-ies-Vtneufcs, ( Géogr. ) petite
v ille de l’Auxerrois. Diverfes obfervations hiftoriques fur ce
lieu. Produ&ions du territoire. Sa population. Comment on
a remédié au défaut d’eau dans cette ville. Hommes distingués-
dont elle eft la patrie. Suppl. II. 499. b.
r LARBASIENS „ (H ijl. eccl. ) hérétiques du deuxieme
fiecle. Rêveries de Colarbafe , leur chef. Auteurs qui l’ont
confondu. Doéteurs qui en ont parlé. III. 6 13.* .
C O LASSO , •( Botan. ) plante du Malabar. Autres noms
que lui ont donnés les botaniftes: Sa defcription. Suppl. IL
500. „ Lieux ou elle croît. Ses yariétés. Ufages qu’on en tire.
Sa claflification. Ibid. b.
CO L A TU R E ( 7>4™ . ) dans quels cas on pratique cette
filtration. Deux lignifications de ce mot. III. 613. a.
CO L B E R T ,'(Jean-Baptijle ) du miniftere de Colbert. IV .
134. b. Eflèt de ion gouvernement économique. V I I . 8 17 .0 “.
Obfervations fur fes réglemens de commerce. XV II . Syj[ b.
872. *. Comment il favoit fe ménager la reflource des7emprunts
pour les occafions importantes. V . 398 «.Projet qu’il
forma d’affranchir l’intérieur du royaume de tous les droits
locaux. V I. 313. a , b. Réduction de l’intérêt par ce miniilre.
VIII. 823. b. 826. a , b. Canal du Languedoc conftruit par fes
foins. IX. 273. b. Comment il pourvut à la propagation des
mûriers. X. 872. b. Ses foins à enrichir la bibliothèque du roi.
II. 238. b. Faveur 8c proteélion qu’il accorda au journal des
favans. Suppl. III.656. b.In-promptude Poiflon fur ce miniftre
VIÏI. 630. b.
C O L CH ID E , ( Géogr. ) ce pays paffoit pour être fertile
en poiffons. Différence extrême entre la Colchide de nos
jours 8c celle d’autrefois. Paffage de Montefquieu. III. 613. b.
Voyei MlNGRELIE.
Colchide. Expédition de la toifon d’o r en Colchide. X V I
383. b. 386; a.
C O L C H IQ U E , (Botan.) cara&eres de ce genre de plante
8c de fa fleur. III. 613. b. Voye{ HermodaCTE.
Colchique , ( Mat. médic.) on s’accorde à regarder
toutes les parties de cette plante comme un poifon. Çomment-
©11 remédie aux accidens qu’il caufe à ceux qui en ont avalé.
Propriété de la racine ou de la bulbe appliquée extérieurement.
Exemples par lefquels Wedelius entreprend de prouver.
que cette racine pendue au cou en amulette , préferve
de la pelle Sc de toute maladie épidémique , poùrvu qu’on
joigne encore à cette précaution , l’abftinence de fix chofes
non naturelles. M. Geoffroi a donné un extrait de la differtation
de Wedelius fur cette racine. III. 613. a.
C O L C O T H A R , efpece de terre : ce qui lui arrive lorf-
qu’on la laiffe expofee à l’air. I. 236. a.
CO LD IN GH AM , ( Géogr. ) ville de l’Ecoffe méridionale.
Fameufe abbaye qu’elle avoit autrefois. Suppl. H. 300. b.
C O L D S T R E AM , ( Géogr. ) ville de l ’Ecofle méridionale.
C e qu’elle a de remarquable. Suppl. II. 300. b,.
C O L E B R O O K , v ille d’Angleterre. Son nom ancien. XIII. mm ^ H
CO LEO P TE R ES , (Infeflol.)-inCe£tes. Caraélere des infe-
élçs de cette famille. Suppl. II. 300. b. Maniéré dont Lin-
næus 8c Geoffroi ont divifé cette feéfion. La méthode de
ce dernier préférée. Hiftoire naturelle de ces infeéles. Ibid.
B «• „
Coleopteres, infeEles. VII I. 783 ; a , b.
CO LER E, courroux, emportement, ( Synon. ) différences q ui
caraélérifent ces mots.Suppl. II. 301 .b.
Colere, (Morale) définition de cette paflion. O n diftin-
gue ici la colere couverte , durable , jointe à la haine de
celle qui eft ouverte , ingénue , fans maüvaife intention. La
colère de Coriolan contre fa patrie étoit de la première
efpece. Caufes qui produifent ce défordre. Colere de la
femme. Effets lamentables de cette paflion. III. 614. a.
Remedes contre la colere , indiqués par Charron. Elle jpeut
être cependant quelquefois légitime ; mais elle n’cft jamais
néceffaire. La raifon ne veut point de ces officiers, dit Charron ,
qui font de leur tête , fans attendre fon ordonnance. Ceux qui
prétendent qu’ un meurtre commis dans la colere , ne doit
pas être mis au nombre des injuftices puniffables , n’ont pas
une idée jufte du droit naturel. Il eft vrai cependant que les
allions qui procèdent de la colere font moins odieufes que
celles qui naiffent du.defir des plaifirs. Ariftôte cité. Nous
remuons les autres armes , mais au contraire cette arme nous
remue. Ibid. b.
Colere. Ses fymptômes. X V . 32. a. Aélion faite du premier
mouvement de colere. 111.'233. a. L es mouvemens de colere
comparés par H orace à ceux des Corybantes-.TV. 289.*. C o in - .
menton flatte les perfonnes en colere.Suppl, II I ,48. a. Parole
d'Achille contre cette paflion. 961. b,
C O L
F n r .n r ( M idec.) f e effets phyfiques'fur notre corps.
C J extérieurs par lefquels elle fe manifélle. Malala
fuite. III. 615. «. Exemples
fmauUers de» fcnefle» effets «te-taÿplere fur celui qui eu e ft
poffédé. Remedes à employer a la fuite a une v iolente colere.
^ C O J FRE T , terme de pêche. Defcription de cet infiniment
pour la pêche. Maniéré de s’en fervir. Cette pèche eft
une des plus nuifibles. Quatre efpeces de colerets , voyeç
T raîne , & le vo l. V I I I . des planches, article Pêche ,
^^COL^RETTES , ( Pêche ) forte de courtines volantes &
variables. Defcription de ces filets. Maniéré dont on fait cette
pêche. Courtines à double fond. Différentes maniérés dont on
le s tend. III. 6 16 .* . . _
C O L E T T A , ( Botan. ) plante du Malabar. Ses difterens
noms. Sa defcription. Suppl. II. 301. b. Lieux où elle croît. Ses
qualités & ufages. Sa claflification. Ibid. <02. 0.' . . .
C O L IA R T , poiflon cartilagineux plat 8c liffe , qüi a de
très-grandes nageoires. O n en a vu qui pefoient jufqu’à deux
cens livres. Defcription de ce poiflon. I IL 616. b.
CO LIB RI , oifeau c'ommun dans plufieurs contrées de
l’Amérique. Il y en a de différentes efpeces. D ivers noms
qu’on leur a donnés. Leur defcription. Leur manière de v oler.
Nourriture qu’ils recherchent le matin. Leurs nids. Araignées
qui mangent leurs oeufs. C e qu’ils font lorfquils ne trouvent
plus de fleurs. IIL 616. b. On leur donne le nom de fuce-flcurs
ou à’oifeaux-abeilles. Colibris des Indes orientales. Diverfes
efpeces de colibris dont Edwards fait mention. Defcription du
colibri rouge, d’après cet auteur. Autre defcription du colibri
h u pé , d’après le même. III. 617. *.
Colibri, v o y e z Picca-flor 6* Oiseau-mouche. Araignée
qui mange fes oeufs. I. 374.*.
Colibri , ( Omit h. ) il ne faut pas le confondre avec
l’oifeau-mouche , comme on l’a fait dans l’Encyclopédie.
Defcription du colibri de C a y en n e , qui eft repréfenté vol.
V I . des plànch. Hijl. nat. pl. 42. Sa claflification. Suppl. II.
5 CO L IG N I , ( Gafpard de ) amiral. Son affaflinat. IX.
* aCO L IM B E , oifeau de riviere , à-peu-près de la groffeur
d ’une oie. Sa-defcription. III. 617. b. Voye.1 Plongeon.
C O L IN , Caniart ou Grifart, oifeau de mer plus frequent
fur les côtes de l’Océan que fur celles de la Méditerranée. Sa
defcription. Il prend quelquefois de gros poiffons. IIL 617. b.
Sa maniéré de voler. Sa coürfe. Son cri. M aüvaife qualité de
là chaii:. Ibid. 6x8. «.
C O L IN E S , ( Simon de) itrçprimeur. V I I I . 623. a.
C O L IN I L , (B o ta n .') plante" du Malabar. Ses differens
noms. Defcription de ce fous-arbrifleau. Suppl. II. 302.. a.
Sa culture. Ses qualités & ufages. Maniere.de le claffer.
Ibid. b. - - I
C O L IQ U E , ( Anat. ). qui appartient au colon. Artere colique.
Suppl. III. 909. b.
Colique , (Médec. ) définition. D ’ou dérive le mot^ de
colique. Cette maladie eft tsès-générale. Quels tempérament
elle attaque particuliérement. C e qu’il faut obferver
pour en développer la nature & en formelle prognoftic. Ses
caufes : i° . Des matières inhérentes dans les inteftins. Diverfes
Fortes de matières. Remedes à appliquer en conféquence. IIL
618. a. 2°. Des matières nées d’ailleurs 8c portées dans les
entrailles.' Les humeurs viciées du corps étant portées aux
ïnteftins , y caufent diverfes douleurs de colique. Secours à
employer. 30. La çorrefpondance des nerfs affeétes. Énumération
des différens cas où ces coliques peuvent avoir lieu.
Comment on.les guérit. Ibid. b. 40. Les maladies propres aux
Ïnteftins 8c au mefentere , produifent de viv e s douleurs de
colique.
Efpeces particulières de colique. Quelquefois elles font la
Fuite de plufieurs maladies mal traitées. Colique fpâfmodique
ou fanguine. Q u i font ceux qu’elle attaque fur-tout. Co liqu e
fpâfmodique endémique. Exemples de quelques-unes de ces
maladies. Remedes qui leur conviennent.
Symptômes de la colique. III. 619. *• Prognoftics favorables
8c funeftes. C ure générale , lorfque la caufe de la colique
eft inconnue. Cure préfervative. Obfervations cliniques.
D ivers abus à éviter dans la cure de cette maladie. Ibid. b.
Ancienneté de cette maladie parmi les hommes. On ne peut
douter que fon exiftence ne foit un appanage inféparabie de
l'humanité. Sous quel.nom Hippocrate en a parlé. Pline a cru
mal-à-propos que cette maladie étoit nouvelle du tems de
T ib e r e , parce que le nom en étoit nouveau. Ibid. 620. a.
Colique. En quel tems de l’année les coliques deviennent
épidémiques 8c dangereufes pour les enfans. V . 6 6 1 .* . Coin;
ment on guérit la colique à Java. X. 708. *.
Colique bUicufe. Tems où elle régné » perfonnes qu’elle
attaqué. Ses fymptômes. Maniéré de la guérir. III. 620. b.
Colique de Poitou. Origine de cette maladie , 8c defcription
, de fes fym p tq jn esp ar M. de Thou. Ses caufes. Gens qu’elle
C O L 343
attaque. III. 620. b. Médicamçns qui la produifent. Sophifti-
cation des vins qui la donnent,.encore. Toutes les parties du
plomb , fes exhalaifons, fa poudre , fes préparations, produifent
principalement la colique du Poitou. Symptômes de cette
maladie. Sa cure. Ibid. 62.1, :
Colique, appelle© chordapfus , Iliaque paffion , miferere ,
v o y e z ces mots. 'Colique néphrétique. Remede contre cette
maladie. III. 23.8. b. X V I I . 338> a. III. 238. b. Ufage des
noyaux de-fiipotille dans cette malatlie. XIV.. 63,9» * . — Voyeç
Néphrétique: Colique des-plombiers ou des peintres. Ses
caufes. Ses fymptômes. Son traitement. X II. 776. a.
Colique., f Conchyl.,) iiom impropre d’une efpece de
pucelage nomme communément.monnoie de Guinée. Suppl. H.
302. b.
CO L IR , (Hiji.rnod. ) officier dé l’empire de la Chine. Sa
fonélion d’infpeaeur ou de contrôleur. Comment on, le rend
impartial. Combien il eft redoutable. III. 621. b.
COLISÉE , ( HiJL anc. ) amphithéâtre de Vefpafien. Statue
qu’on y voyoit. ( .Voye^ A ntiquités. I: vol. des pl. )
Autre colifée de l’empereur Severe. Jeux 8c combats qu’on
y donnoit. III. 621. b.
Colifée de V efpafien : il en eft parlé aux articles Amphithéâtre.
I. 377. b. 8c Rome. X IV . 3 30. b.
C O L L , ( Géogr. ) l’une des ifles Wefternes , féparée par
un canal étroit de celle de T ire -Y . Rapport dans les naiffan-
ces des garçons 8c des filles de ces deux ifles, Etendue'de
Tifle de Coll. Ses productions. Seigneurs qui la poffedent.
Suppl, IL 302. b.
C oll , (Guillaume) phyfiologifte. SuppL IV . 332. b.
C O L L A D l , ( Bot.) nom brame d’une plante du Malabar.'
Ses autres défignations. Defcription 8c culture de cet arbre.
Ses qualités 8c ufages. Sa claflification. Suppl. II. 303. a.
C O L L A G E , terme de papeterie derniere préparation
qu’on donne au papier pour le rendre propre à recevoir
l’écriture. Détails fur la maniéré dont elle fe fait. III. 621. b.
. C O L L A T É R A L , ( Géogr. ) points collatéraux : ils fe divi-
fent en principaux 8c en feeondaires. V ents collatéraux. III.
($22. 1
C ollatéral , ( Jurifp. ) on diftingue deux fortes de collatéraux
y fa v o ir , les afeendans , 8c ceux qui font en parité
de degré ou en degré inférieur. On diftingue auffi les fuc-
ceffions directes des fucceffions collatérales. III. 622. a.
Collatéral, degrés en ligne collatérale. IV . 763. é. Defcén-
dans collatéraux. 873. b. Exhérédation des.collatéraux, V I.
257. a. Héritier collatéral. VIII. 163. b. Légitime.'des .collatéraux.
IX. 366. b. Succeffion dès collatéraux. X V . 397. b.
398. b. -
Collatéral à Rom e , juge c i v i l , 8cc. Il y en a deux. III,
. 622. *.
CO L LA T ÉR A LE S arteres , ( Anat. ) trois rameaux qui
naiffent de l’artere brachiale, un peu au-deflùs du pli du bras.
Leur defcription. Suppl. II. 303. b.
C O L L A T É R A U X , ou latéraux y (Ju r ifp r .) les bas côtés
d’une églife. Dans les églifes paroiffiales on diftingue les collatéraux
du choeur Sc ceux de la nef. Q u i font ceux qui
doivent les réparer. III. 62.2, a.
CO L L A T EU R , ( Jurifp. ) différence entre le collateur &
le patron ou préfentateur. Quels font en France les colla-
j teurs des bénéfices. Le collateur ne peut fe conférer le bénéfice.
Comment le droit de conférer paffe du collateur inférieur
au collateur fupérieur, III. 622. b.
Collateur abfolu. Q u i font ceux qui jouiffent en France de
cette prérogative. Les patrons qui font collateurs abfolus ,
n’ont pas communément le droit de donner le v i f a ou infti-
tutien canonique , &c. Exceptions. III. 622. b.
Collateur alternatif. III. 622. b.
Collateur direft. Il'l. 622. b.
Collateur étranger. III. 623, a.
Collateur inférieur. III. 623. a. . . . ✓
Collateur laïc. C ’étoit un principe autrefois, (fue la collation
d’un bénéfice ecçléfiaftique étoit un droit purement
fpirituel. Vénalité 8c rachat des autels , condamnés dans le
onzième fiecle. O n a diftingué enfuite la collation du bénéfice
d’avec l’ordination du bénéficier. Pourquoi la collation
des bénéfices a été accordée à quelques laïcs. Quels font
ceux dont le roi eft collateur. Enumération de quelques col»
. lateurs laïcs en France. III. 623. a. ■ , .
Collateur ordinaire, par oppofition au collateur lupeneur;
III. 623. b, , . . f , . m
Collateur patron. Collateur plein. Collateur fupérieur. 111;
^Collateur , par dévolution. IV . 919. b. Collateur en pays
d’obédience. XI. 297. b. 298. *. Collateur ordinaire. XI.
380. b. Tour des collateurs. X V I . 462. a. D ro it du pape de
prévenir les collateurs ordinaires. XIII. ^43. b. Des induits
accordés par les papes aux collateurs de bénéfices. VII I. 692.
b. C e qui a lieu , lorfqu’un collateur a donné le même bénéi
ftee à deux perfonnes différentes , ou lorfque le bénéfice eft
pourvu par deux collateurs.. III. *,