
462 DAT D A T
D A R TR E , ( Médecin. ) Noms grec 8c latin de cette maladie.
Dartres difcretes. Dartres confluentes. Dartre miliaire,
Dartre rongeante. Caufes de ces différentes efpeces de dartres.
IV . 633. a. Celles qui fe manifellent fur le vifage par quelques
pullules Amples ont befoin du fecours de Fart. Difficulté
de guérir la fécondé efpece de dartre : divers remedes
indiques. Traitement des dartres miliaires. D e la curation
de la dartre rongeante. Ibid. b.
Dartre. Il parut à Rtome, fous le régné de Cla u d e , une
dartre lépreufe. X . 343. a , b. Pommade propre à guérir les
-dartres , rubis 8c autres difformités de la peau. II. 502. b.
Dartre des paupières., XII. 207. a. X V I . 506. b. Dartre nommée
ferpigo. X V . 113. b. Dartres de la yeffie. XVII . 207. b.
D artre , ( Maréch. ) forte d’ulcere auquel les chevaux
font fujets. IV . 633. b. V o y e z Suppl. III. 412. a.
D A R Z , ( Géogr. ) prçfqu’ile de la mer Baltique. Villages
8c métairies qu’elle contient. Suppl. IL 684. a.
DASSIER , ( Jean & Jacques-Antoine ) pere & fils , graveurs.
VII. 867. b,
D A T A IR E , ( Jurifp. ) le premier officier de la daterie de
Rome. Cardinal prodataire. Pouvoirs & fondions de la charge
de dataire. Sous-dataire 3 quel eft cet o ffice , quelles en font
les fondions. IV . 634. a.
Dataire ou Revijeur per obiturn, officier de la daterie, dépendant
du dataire général. Fondions de fa charge. IV . 634. b.
Dataire o,u Revijeur des matrimoniales , autre officier dépendant
du dataire général. Fondions de fa charge. Traité
à confulter fur les dataires en général. IV . 634. b.
D A T E . ( Clironol. ) Differtation indiquée nir les dates des
anciennes chartes 8c chroniques , ê t fur les difficultés auxquelles
ces dates peuvent donner occafion. Une des fources
de ces difficultés, ÎV . 634. b.
Date. Eloge de l’ouvrage intitulé, l'art de vérifier les dates.
III. 392. a. ôbferyations fur cet ouvrage. Suppl. III. 244. a.
Son auteur. Suppl. IV . 218. b. Calendrier perpétuel qu’il
renferme. II. 353. a. D ’où viennent les difficultés de fixer
les dates des chartres 8c chroniques. III. 220. b. D e l ’examen
des dates dans lés anciens ades. IV . 1023. a.
D atje. ( Jurifp. ) A d e s dans lefquels elle eft néceffaire.
A d e s dans lefquels elle n’eft qu’utile. Néceffiré de la date dans
les teftamens olographes. Dates exigées dans des ades faits
par des officiers publies. IV. 634. b. Il feroit à propos de marquer
dans tous les ades l’heure à laquelle ils ont été faits. Il
feroit plus à propos de mettre la date à la fin qu’au commen-.
cernent de l’aéle 3 il conviendroit au moins de la répéter.
Les ades authentiques ont une date certaine , à la différence
des ades fous feing privé. Ibid. 635. a.
Date en matière bénéficia^. C es dates font de deux fortes ; les
dates en abrégé ou les peties dates , & celles qui s’appofent
au bas des bulles ou des fignatures. Privilèges des François en
cour de Rome , par rapport aux petites dates. Pourquoi on
ufe de ces petites dates. Pourquoi ceux qui requièrent un
bénéfice retiennent ordinairement plufieurs dates à différens
jours. Autres obfervations fur ces dates. IV . 633. a. Officier
pour les petites dates , ou préfet des dates. Fondion de fon
fubftitut. Comment on s’affure qu’un impétrant n’a point retenu
date du vivant du bénéficier. O n ne retient point date
quand le S. Siégé eft vacant. Abus qui s’étoit introduit à cet
egard. Edit donné par Henri I I , en 1.338 , pour remédier à
cet abus. Ibid. b. Réglé de chancellerie que fit Urbain III en
1634 , pour faire ceffer totalement cet abus. Louis X IV ordonna
en 1646 qu’elle feroit reçue 8c obfervée dans le royau-i
me. Ibid. 63fs..a.
Date. Maniéré de dater de la chancellerie romaine. VIII.
496. a. En quel tems les papes commencèrent à dater leurs
ade s par l’année de l’indiction : différentes maniérés de dater
qu’emploie la cour de Rome dans une même expédition 2
grandes St petites dates. VIII. 674. b. Provifion fur dates
retenues ou petites dates : fur date courante. XIII. 323. b.
Rétention prématurée des dates. IV . 397. b. Edit des petites
dates. V . 394- b. V I . 291. a.
D A T E R IE , ( Jurifp. ) office 8c jurifdidion des officiers de
la daterie. Q uels font les officiers dont elle eft compofée. D u
ftyle de la daterie. Les ufages de la daterie font fort modernes.
Privilèges des F rançois dans la daterie. Les dates tle
France ne peuvent être étendues après l’année expirée. Re-
giftres de la daterie. IV . 636. a. Extraits des regiftres. C e
que fignifie cette, réponfe des officiers de la daterie ; nihil
fuit expeditum, per diflitm tetnpus. Ibid. b.
Daterie. Pourquoi Fon prend foyvent la voie de là daterie
pour certaines expéditions, plutôt que celle du confif-
toirc. IV. 48. a,
D A T IF , ( Gramm. ) le datif eft communément le cas de
l’attribution & de la deftination 3 cependant il marque non
feulement l’utilité , mais au (fi le dommage. Les latins fe
font fouvent fervi du datif au lieu de l’ablatif avec la *répo-
fitîon 'L IV . 636. b. Comment nous fuppléons au démut du
datif dans notre langue. Autres exemples du datif en latin.
L e régime des mots le tire du tour d’imagination fous lequel
le mot eft confidéré ; enfuite Fufage & l’analogie de chaquè
langue deftinent des fignes particuliers pour chacun de ces-
tours. Exemples. Ces différens. tours d’imagination ne fe cou-
fervent pas toujours les mêmes de génération en génération*.
Les en tans s’en écartent infertfiblçment. Exemples. Pourquoi
les verbes fuccurrerc , favere , fiudere ,■ nubere , régiffent
la datif. Ibid. 637. a. O n examine ici s’il y a des' occafions’
où le datif grec doive être appellé ablatif, comme le prétend
la méthode de P. R. Ibid. b. Origine de l’ablatif chez les>
Latins. Suite de l’examen de la queftion précédente & des.
raifons pour lefquelles Fauteur (e détermine contre l ’avis de<
P. R. Ibid. 638. b. I l eft arrivé en latin feulement que Fufage a
affeété aux propofitions à de , ex , pro, Stc. une teminaifon
particuliere du nom , enforte que cette terminaifon ne paroît
qu’après quelqu’une de ces prépofitions exprimées ou fous-
entendues : c ’eft cette terminaifon qui eft appellee ablatif-
O r dans les déclinaifons grecques , il n’y a point de terminaifon
exclufivement affectée à certaines prépofitions ; d’où
il fuit que. les noms grecs ont une terminaifon de moins que
les noms latins , 8c qu’ils n’ont point d’ablatif. Les Grecs
ont deftiné trois cas pour déterminer le s prépofitions. Les
Latins n’en ont confacré que deux à cet ufage. Ibid. 639. a.
La langue arménienne a jufqu’à dix cas. Ces terminaifons
pourroient être encore en plus grand nombre ; mais il n’a
pas été poffible que chaque vue particuliere de l ’efprië
fut exprimée par une terminaifon particuliere St unique.
Conféquences tirées de cette obfervation ; i°> les différentes
dénominations des terminaifons des noms grecs ou latins ont
été données à ces terminaifons à caufe de quelqu’un de leurs
ufages , mais non exclufivement. a0. P. R. fe trompe, eu
difant que les expreffions des différentes vues de l’efpric
peuvent être réduites à fix en toutes les langues. Ibid. b. D ans
les verbes hébreux , il y a trois genres à obferver comme
dans les noms. Ne feroit-il pas déraifonnable d’imaginer une
forte d’analogie, pour trouver quelque, chofe de pareil dans
les verbes des autres langues ? Il en eft de même lorfqu’on
croit vo ir un ablatif en grec , parce que le latin en a uni
Autres raifons. qui montrent que le g énitif grec pe fauroit
être confidéré comme un ablatif, Ibid. 640. a. St que par.
cooféquent on doit tenir le même langage à l’égard du d atif
Ibid. b. Pourquoi nos grammairiens le font accoutumés à
attribuer des cas aux noms de la langue françoife. En chaque
langue particuliere les différentes vues de l’efprit font diftin-t
guées de la maniéré qu’il plaît à Fufage de chaque langue
de les défigner. Exemples tirés du françois , de l’efpagnol &
enfuite du latin, dont les cas retiennent conftamment les
dénominations qui leur.ont été données de quelque maniéré
qu’ils foient conftruits. C e qui montre qu’il en doit être de
même en grec. Ibid. 641. a. La raifon tirée de l’analogie que
la langue grecque doit avoir avec la latine , eft tout-à-fàit
frivole. Chaque langue a fa maniéré particuliere, q u ’il n«3
faut point tranfporter de l’une à l’autre. Il n’eft permis de
raifonner par analogie en matière grammaticale, qu’autant
qu’il ne s’agit que de la même langue ; comme lorfqu’on
voudroit p ro uve r, par exemple , que la fécondé déclinaifon
de la langue latine doit avoir fix cas , quoiqu’elle n’ait que
cinq terminaifons, parce que la troifieme en a f ix , &c. Ibid. b.
L’auteur examine , fi Fon peut conclure de ce que C icé ron
a affocié un datif avec une prépofition latine qui régit l’ablat
if , que les datifs grecs peuvent être confidérés quelquefois
comme des ablatifs. La fuppofition faite par P. R. que la
langue grecque primitive a eu un ablatif, eft fans fondement.
Paffage de Périzonius. P. R. oppofé à P. R. lui-même. Ibid.
642. a.
Datif. Ufage de ce cas. I I. 734. b. 4t
D a t if , ( Jurifpr. ) en France toutes les tutelles St curatelles
font datives, &c. IV . 642. b.
D A T IO N , ( Jurifpr. ) aéte par lequel on donne quelque
chofe. Différence entre dation 8c donation. Dation en paie-*
ment. Elle produit les mêmes droits feigneuriaux qu’une
v en te , du moins quand elle eft faite entre etrangers. L’aban-
donnement de biens qu’un débiteur fait à fes créanciers ,
ne fait cependant pas ouverture aux droits feigneuriaux , &c.
Si on donne à la femme , en paiement de fes remplois, des
propres du mari , c’eft une vente dont elle doit les droits
feigneuriaux, &c. Le propre du mari donné aux enfans,
&c. ne fait point ouverture aux droits feigneuriaux , &c.
Dation ad medium plantum. Dation du tuteur St curateur.
IV . 642. b.
D A T ISM E , ( Littéral. ) maniéré de parler ennuyeufe ,
dans laquelle on entaffe plufieurs fynonymes pour exprimer
une même chofe. Origine du mot datifme. C e qu’en dit
Ariftophane dans fa comédie de la paix. IV . 642. b.
D A T T E , ( B 0 tan. ) fruit du palmier-dattier. Détails tirés
de Kempfer. Defcription de ce fruit. Trois fortes de dattes
diftinguees félon leurs trois degrés de maturité. D e la récolte
de ces fruits. Comment on achevé enfuite de les fécher
pour les conferver facilement. Ufage qu’on en fait après en
avoir tiré le fuc au prçffoir. Comment on conferve les
D A U
dattes qu’on ne - preffe point- p iv e r s noms qu’on donne à
ces fruits en differentes langues. IV . 643. a. Comment les
dattes de Syrie St d’Egypte ont été préparées. Le fyrop qu’on
tire de ce fru it, tient lieu de beurre , de fauce & d’affaifon-
nement. Diverfes maniérés de tirer ce fyrop. Nourriture
que fourniffent les dattes. V in qu’on en tire. Efprit qu’on en
diftille- Vertus médicinales de ce fruit. Ibid. b. Préparations
ditferfes où on l’a fait entrer fort inutilement. Ufage qu’on
en doit faire. Comment on doit choifir les meilleures dattes.
Ibid. 644. a.
Dattes fameufes de la v allée de Jéricho. XI. 133. a. Elec-
tuaire fait de dattes. IV . 943. a.
DATTIER-palmier. X I .793. a , b. — 7 98.a. Fécondation
du dattier femelle. Suppl. IV . 223. a.
D A V A N T A G E , plus, ( Synon. ) XII. 803. 4.
D A U C U S de Candie , ( Pharrn. ) coinpontions officinales
où entre la femence du daucus. Maladies pour lefquelles on
la recommande. Daucus vulgaris. IV . 644. a.
D A U D E R Y , fou de l’empereur Théophile. Anecdote à
fon fu jet. V II. 42. a.
D A V E N A N T , ( Charles ) fon arithmétique politique. I.
^79- 9 I ■ |
D A V ID , (H ifi.fa c r .) fécond roi des H ébreux. David &
Suiil. Suppl. TV. 747. b. D e fa femme Michol. Suppl. III.
928. a. Théraphim qu’elle mit dans le lit de David. X V I .
263. a. David St Nabal. Suppl. IV . 1. b, Dav id irrité contre.
Nabal , eft appaifé par Abigaïl. Suppl. I. 28. a. Affaires entre
David St Achis. Suppl. I. 143. b. Son amitié pour Abner.
29. b. Sa danfe en accompagnant l’arche. IV . 623. ^.'Supplice,
qu’il fit fouffrir aux Ammonites pris en guerre. X V . 676. a ,
b. Sa conduite généreufe envers Méphibofeth. Suppl. III.
939. b. David féduit Bethfabé , femme d’U r i , caufe la mort
de celui-c i, & époufe fa v euv e . Suppl. I. 883. b. David St
Nathan. Suppl. IV . 18. b. Son crime & fa repentance. X V .
221. a. Révolte d’Abfalom. Suppl. I. 61. a , b. Confeiller de
David qui fe joignit contre lui avec Abfalom. 143. b. Serv
ice qu’il, reçut de Chufaï durant cette révolte. Suppl. II.
426. a. D avid St Semei. Suppl. IV . 768. a , b. D ouze dépar-
temens de gardes établis par c e roi. X V I . 774. a. La mufique
introduite par lui dans le culte. IX. 396. b. S espfeaumes. X III.
338 .a , b. Comment s’eft accomplie la promeffe faite à D av id,
que fon régné feroit éternel. Suppl. III. 347. b.
David de-Delft, ( George ) Suppl. III. 3. b. Seéte dont il fut
le chef. V I . 390. b.
D A V ID IQ U E S , hérétiques, feétateurs de D avid G eorge,
natif de G an d , qui parut en 1323. Ses principales erreurs. IV .
644. a. Principaux événeinens de fa vie.- Refte$ fubfiftans de
çette fefte. Ibid. b.
D A V IE R , infirument de Chirurg. pour l’extraélion des
dents. Sa defcription. Maniéré de s’en fervir. Autres efpeces de
daviers. IV . 644. b.
D A V I S , détroit de, ( Géogr. ) relations des voyageurs fur
les fàuvages qui habitent les environs' de ce détroit. IV .
<>4 S- m
Davis. Ses habitans. V I I I . 347. a. Leurs canots. II. <$21.4.
Pêche de la baleine v ers ce détroit. 3 3. a.
D A V I T I , (Pierre) X V I . 489.b.
D A U L , (Jnfirum. rnilit. des Turcs ) voyez pl. II. Art milit.
Armes & autr. mach. milit. des Turcs. Suppl. Caiffe militaire que
les tambours portent à cheval. Suppl. II. 684. a. Son ufage.
D A U L IE S , ( Mythol.) erreur dans cet article de l’Encyclopédie.
Suppl. II. 684. b.
D A U N , (B o ta n .) efpece de plante. Suppl. 1. 836.<1, b.
D AU PH IN , ( Ichtyolog. ) poiffon cétacee. Divers noms
qu’on lui donne. Defcription de ce poiffon. TV. 643. a. Maniéré
dont le mâle St la femelle s’accouplent. Terme de la
portée des femelles. Leurs foins pour leurs petits. Durée de
la vie des dauphins. Comment ils dorment. Ils peuvent v ivre
plus long-tems hors de l’eau que dedans. Diverfes autres
obfervations fur ces animaux. Récits fabuleux qu’on a faits fur
les dauphins. Ibid. b.
I ’ ( Afiron.) conftellation. IV . 643.£. Voye^Suppl.
D auphin , ( Hifl. anc. ) arme offenfive ou machine de
guerre chez le ? anciens , peut-être la même que celle qui eft ,
appellee corbeau. Dans quelle occafion les hiftoriens en ont
parlé. IV . 643. b.
Dauphin, ornement des cirques anciens. IV . 646. a.
D auphin , figure fymbolique. XIII. 713-0. X V . 733. A
D auphin , ( Hifi. mod. ) prince qui poffédoit la province
viennoife. Divers fentimens fur l ’origine de ce nom. G uigne ,
premier dauphin , au milieu dy douzième fieeje. Diverfes
mailons o ù .la principauté du dauphiné a été portée. Hum-
I -r t l I donna enfin cette principauté â Charles , petit-fils de
Philippe de Valois , en 1349- Il y a eu vingt-trois dauphins
ddpuis cette époque, 6*c. IV . 646. a.
Dauphin. Conieil du dauphin de Viennois. IV . 3.4. D u dauphin
de F rance. Obfervation fur le titre qu’on lui donne. I.
D E B 4 6 3
Ü I H Couroiirte du <bii‘
phin. IV. 394. a.
D auphin , ( B la fo n ) IV . 646. a.
Dauphin , meuble d’armoiries. Maniérés de le repréfenter.
Dauphin allumé, corré , peautré , pâmé. Suppl. II. 684. b.
Dauphin pâmé. Suppl.IV , 228*b. Queue de dauphin peau-
trée. 204. b.
D auphin , ( Artific. ) IV . 646. a. Voyeç Genouillère.
DAUPHINE. Delcription St divifion géographique de ce,
pays. Ses produélions. IV . 646. b.
Dauphiné. Etats du Dauphiné. V l . 29. b. Merveilles de ce.
pays. X^392. b. 393. a. Ses mines de f e r , I. 106. b. St d’argent,
638. <1. D e là culture 8c de la fertilité des terres du haut-Dau*-
P 1 1 l’i « I ^6. b. Plaine remarquable du Dauphiné , .
appellée Pierrelatte , vo ye z ce mot. Parlement du Dauphiné.-*
B H » J & c - Sa chancellerie. III. n 4. b. Notaires du.
Dauphiné. X L 243. 4. Protonotaire. XIII. 307. Dauphiné
d’Auvergne. X V I I . 4 1 1 .4 .
DAUPHIN S , ( Littér. ) commentateurs fur les anciens
auteurs latins, &c. O n en compte trente-neuf. Leur énumération
par ordre alphabétique. IV . 646. b.
DAÜSQUEIUS.», ( Claude ) chanoine. Ouvrage qu’il a
publié. XI. 469. a.
D A U T H IA U , liotloger. Cadrature d’équation qu’il a
c.onftruite. V . 839,.b.
D A V U S . Origine de ce nom emploÿé dans les comédies
latines. V II . 6 3 3. b.
D E
D E , du , des , ( Gramm. ) obfervations fur ces articles. I.
723. 4 , b. 7 2 4 .4 , ê .7 2 7 . 4. D e , particule prépofitive en françois.
XII. 101 .4.
D e , ( Lang. lat. ) obfervation fur Fufage de cette prépofi*,
tion latine. I. 723. b. 724. b.
D É , jeu d e , ( Littér.) antiquité de fon origine. Forme des
dés antiques. Le jeu le plus ordinaire étoit à trois dès. D e fcription
des deux principales maniérés dont les anciens
iouoient aux dés. IV . 647: a. C e que fignifie ce que.dit
Epicharme , que dans le mariage, comme dans le jeu de
dés , on amene quelquefois trois fix 8c quelquefois trois as*
Principe des anciens , que les malheureux méritoient des
peines, par là même qu’ils étoient malheureux. C e que dit
O vide fur la maniéré de jouer aux dés. Ce jeu , fource de
défordres autrefois à Rome. Pourquoi les hommes goûtent
des jeux de cette efpece. L e 'mot jet de d é , vient du vieux
gaulois ju s de d é , qui fignifioit jugement de Dieu. Ibid. b.
DÉ , jeu de, ( Antiq. ) dés 8c cornets en ivoire > trouvés à
Herculanum. Tableau fingulier repréfentant Enée 8c Anqhife
fuyant de Troie , trouvé dans ce même lieu. Dés à coudre
qu’on y a auffi découverts. Conje&ure fur l’origine des dés
trouvés en grande quantité près de Zurzach 8c de Bade en
Suiffe. Suppl. II. 684. b.
D é à douze faces. 363. b. D é dont on a rendu une face
plus pefante que les autres : comment cela fe fait par art St
naturellement. III. 202. b. Efpece de dé appellé tarot. XV»
913-. b. Dés des anciens, appelles tefferes. X y l . 18S. a. C ornet
dont les anciens fe fervoient au jeu de dés. IV . 233. b. Dés
qui fe trouvent près de la v ille de Bade en Suiffe. X V l. 188, a.
Différence entre le jeu de dés 8c le jeu des offelets chez le?
anciens. XI. 686. a. D u jeu de dés des anciens Grecs 8c R o mains.
X V . 860. b.
D É , divination par les dés. 1. 778. a. II. 6 7. a , b. III. .330. A
Divination par les dés à la fontaine d’Apon. XII. 240.4. O racles
par les dés. X V . 376s b.
D É , ( Anal, des hafards ) recherches fur les combinaifons
poffibles avec deux dés , 8c fur le nombre qu’il eft le plus
avantageux de parier qu’on amènera. IV . 647. b.
Dé. Problèmes à réfoudre fur les jeux de dés. VIII. 886*
4. Pari entre deux joueurs. XI. 942. b. Rafle des dés. XIII.
75T
D é , ( Archit.) différens ufages de ce mot. IV. 648. a.
DÉ des ouvrières 8c des tailleurs. Deux fortes de dés. O ù
fe font les meilleurs. A qui en appartient le négoce. IV»
648. 4.
D é à emboutir. IV . 648. b.
D E A , particule ufitée dans l’ancien françois. XII. 102.b.
D E A L , ( Géog. ) ville d’Angleterre dans la province de
Kent. Son commerce. Suppl. II. 683. a.
D E B A R D E R , (Econ.rufiiq.) débarder du bois. En quel
tems les bois doivent être débardés. IV . 649. 4.
D É B A R Q U EM E N T , (Marine) les propriétaires font
obligés de faire enlever à leurs frais, dans l’efpace de trois
jou rs , les marchandées débarquées. IV . 649. a.
D É B A T , (Jurifp.) débats de compte. Débat de tenure,
IV . 649.4.
D é b a t , conteflation, difpute, altercation, (Synon.) IV.
D É B A U C H E , principe d’athéifme. I. 799. a. Femmes