C OM C OM
s Compagnie d’Ofteude. XI. 600. a , b. Hiftoire
>agnie des Indes orientales en Dancmarck. VIII.
. 'c e. Des privilèges exclufifs accordés aux com-
>es; X I I I . -390. a , b. De ceux qui empiètent fur cès
privilèges. V I i l. 8 31.«.
C o m p a g n ie , ( réglé de ) en arithmétique. La réglé de' trois
répétée plufieurs fois en e!l le fondement. Cette réglé a deux
cas ; il y a différens tems à obferver , ou il n’y en a point.
Réglé de compagnie fans diftinétion de tems. Exemple qui
rendra facile l’opération qu’elle exige. Réglé de compagnie
par tems , c ’eft-à-dire, lorfque le tems de chaque mife eft
différent. I)e quelle maniéré on la doit partager. III. 743 •
a. Ou l’intérêt eft ftmple , ou il eft compofé. Expofition de
la réglé dans l’une & l ’autrefuppofition. Ibid. b. C a sa réfoudre
: un pere en mourant laiffe fa femme enceinte, & ordonne
par teftament que ft elle accouche d’un fils , elle partagera
fon bien avec ce fils, de maniéré que la part du fils foit à
celle de la mere, comme a eft à b , 8c' que fi elle accouche
d’une fille , elle partagera avec la fille , de maniéré que la
part de la mere foit à celle de la fille comme c eft à d.
La mere accouche d’un fils & d’une fille , on demande comment
le partage doit fe faire. Solution du cas propofé. Ibid.
744- I i 1
C O M P A G N O N , ( Arts & Métiers ) adouciffemens quon
devroit procurer aux compagnons. IX. 913. a. Congé dès
compagnons. III. 864. a. D u compagnonage en orfèvrerie.
XI. 628.
CO M P A IR , ( Miifiq. ) tons compairs dans le plain - chant.
Suppl. II. 352. b.
CO M P A R A ISO N , ( Philof. & Log .) comment fe fait
cette opération de l’efprit. Plus les notions font compofées ,
plus il eft difficile de les comparer. Utilité de cette opération
de l ’efprit pour augmenter la mémoire, l’imagination & fortifier
la réflexion. Par la compofition & décompofition des
idées, nous pouvons les comparer fous toutes fortes de rapports.
D e la faculté de comparer dans les bêtes. III. 744. b.
I l n’y a rien que l’efprit humain fàffe fi fotivent que des
comparaifons. To ute comparaifon exige i° . que les objets
comparés exiftent; 20. qu’on ait idée ae l’un & de l ’autre;
30. qu’on apperçoive ces deux idées d’un feul coup. Deux
objets nous peuvent être préfens fans que nous les comparions
: il y a donc un aéle de l’efprit qui fait là compafeilon
8c faifit la relation. Comment les comparaifons peuvent
induire en erreur 8c leur abus rendre l’efprit faux. C e goût
à chercher des rapports fait qu’on en fuppofe où il n’y en a
point : les objets les plus reffemblans ne forment point une
identité, fie ne concluent rien en matière de rationnement.
Ibid. 743. a.
Comparaifon. Caufe du penchant que nous avons à la comparaifon.
II. 173. a. Réfultat de la comparaifon des objets.
Suppl. I. 68. b.
C o m p a r a is o n , ( Rhét.& Poéfie) en quoi elle différé de
la métaphore. C e qu’il faut pour rendre une comparaifon
jufte. Les comparaifons qui ne font pas j uftes, rendent le
difeours ridicule. Autres qualités qu’elles doivent avoir pour
faire l’ornement du difeours. Genre d’écrits en profe où elles
conviennent fur-tout, III. 745- b.
C o m p a r a iso n . ( Belles-lettr. ) O n endiftingue deux efpe-
c e s ; la métaphore ou l’allégorie, 8c la fimilitude ou comparaifon
proprement dite. L e mérite de la comparaifon eft
dans un rapport imprévu 8t frappant. L’intention la plus
commune dans l’emploi de cette figure eft de .rendre l’objet
plus fenfible. Suppl. II. 532. b. Si elle peint vivement fon
o b je t , c’eft affez ; il n’eft pas befoin qu’elle le releve. To ut
ce quon peut e xige r, c’eft que l’image foit noble , c’eft-à-
d ir e , que l’opinion commune n’y ait point attaché l’idée
faétice de la baffeffe. Il faut encore que l’intention du poète
o u de l’orateur j en employant une image, foit parfaitement
remplie, enforte que tout fon objet s’y faffe v o ir , au moins
dans ce qu’il y a de relatif au fentimerit qu’il veut exciter.
C ’eft la plénitude de l’idée qui fait-la beauté de la comparaifon.
— Une épreuve sûre de la bonté ou du v ice des •
comparaifons, c’eft de caéher le premier terme, 8c de demander
à fes jug esà quoi reffemble le fécond: fi le rapport
eft jufté 8c fenfible, il fe préfentera naturellement. Ibid. 333.
a. Il eft difficile qu’un objet v il ait une parfaite reffemblance
a v e c un objet important 8c noble ; 8c l’analogie de l’un à
l’autre eft une preuve que fi l’image a été avilie par le caprice
de l’opinion, c’eft une tache paflâgere que le bon fens
effacera.^- Souvent la comparaifon eft employée à relever
& agrandir fon objet : quelquefois aufli elle eft deftinée à le
ravaler. Enfin, elle fert à raflembler en un tableau Circon-
ferit 8c frappant une colleétion d’idées abftraites, que l’efprit,
fans cet artifice, auroit de la peine à faifir. Ibid. b. Quelquefois
aufli elle eft iriverfe, c ’eft-à-dire qu’elle emploie le terme
abftrait pour mieux peindre l’objet fenfible. — Il eft de l’ef-
fence de la comparaifon de circonfcrire fou objet : tout ce
qui en excedë l’im age eft fuperflu, 8c par conféquent nuifi-
hle au deffein du poète. — D u fage emploi de cette figure.
— Des fources d'où elle doit être tirée. — Exemple de la plus
belle 8c de la plus touchante comparaifon qu’il foit pomble
de tranfmettre à la mémoire des hommes. Ibid. 334. a.
Comparaifon : D ifférence entre comparaifon 8c métapliore.'
X. 437. a. Comparaifon de deux hommes illuftres. XI. 906.
b. Comparaifons qui plaifent davantage. VII. 767. a , b. Voye£
SiMinTUDE 8c Im a g e .
C o m p a r a iso n d’écritures, ( Jurifp.) c’eft une preuve que
l’on peut employer pour connoître l’auteur d’une écriture.
Trois maniérés a’en faire la vérification. La comparaifon d’écriture
eft ufitée en matière civile 8c en matière criminelle.
Ancienneté de cet ufage en matière civile. Loix de Juftinien
où il en eft parlé. III. 743. b. C e que dit Juftinien fur l’incertitude
de cette preuve.^ On voit par la novelle 73 e , que
fon intention étoit qu’on eût peu d’égard à cette preuve, du
moins en matière civile. C e que les interprètes du droit ont
dit fur ce fujet.Ibid. 746. a. D ansl’ufagede France, la comparaifon
d’écriture eft admife, tant en matière c iv ile ,q u ’en
matière criminelle. Comment la forme en eft réglée en matière
civile. Cette preuve étoit aufli admife en matière criminelle
chez les Romains, du moins en matière de faux. Ce.
que dit M. L e V a y e r de Boutign y, contre l’ufage de cette
preuve dans le civil 8c dans le criminel. Ibid. b. Malgré l’érudition
qui reene dans cet ouvrage, cette preuve e ft admife
aujourd’hui. C e que difent fur ce fujet les ordonnances de
1670 8c de 1737. L a fécondé, réglé les formalités de cette
preuve. Pièces qui pourront être admifes pour pièces de
comparaifon. Ibid. 747. a. Procès-verbal qui doit être dreffé
fur la préfentation de ces pièces. Maniéré de procéder à l’audition
des experts. Suite de la difpofition des ordonnances
pour chaque point de la procédure. Ibid. b. La difpofition
même uniforme des experts ne fait jamais feule qu’une femi-
preuve. Auteurs à confulter. Ibid. 748. b.
Comparaifon d’écritures, article fur ce fujet. V I . 369. b. 370.
a. Fait qui prouve combien il eft facile à quelques per-
fonnes d’imiter les anciennes écritures. IV . 1022. b. D e l’u-
fage qu’on peut faire de cette comparaifon , pour diftinguer
dans les anciens aéles ceux qui font faux ou altérés. Ibid,
a , b. V o y e z Vérification d ’écritures.
C o m p a r a iso n , degrés de. (Grarnm. ) D egrés de comparaifon
des adjeétifs. I. 137. a. 138. a. Adverbes qui fervent dans
les degrés de comparaifon : adverbes qui fe comparent eux-
mêmes. 149. a. Définition exaéte de la comparaifon. X V .
662. b. Ni le p o fitif, ni le comparatif, ni le fuperlatif n’expriment
par eux-mêmes la comparaifon. Ibid. Nouveau fyf-
tême fur les degrés de comparaifon. 664. b. 8cc. D ’où ces
degrés fe forment en latin. VU . 38^ Les Hébreux ne les
connoiffent point. X V . 663. a.
COM PA R AT IF . ( Grarnm. ) Lorfqu’on qualifie un objet;
abfolument, l’adjeétif qualificatif eft dit être au pofitif. L o r f que
qualifiant un objet relativement à un autre, on trouve
entr’eux un rapport d’é ga lité , l’adjeétif qualificatif eft toujours
au pofitif. Lorfqu’on trouve un rapport de plus ou de
moins dans la qualité des deux chofes comparées, l ’adjeétif
qui énonce ce rapport eft un comparatif, c ’eft le fécond
degré, de comparaifon ; le troifieme eft le fuperlatif qui eft
ou abfolu ou relatif. Superlatifs françois imités du latin. III,
749. a. Comment fe forment en latin les comparatifs & le9
fupérlatifs. Adjeétifs qui n’ont ni l’un ni l’autre ; moyens d’y
fuppléer. C e que dit Cicéron fur le mot piijfîmus, qui étoit
nouveau de fon tems. Comparatifs 8c fuperlatifs des quatre
adjeétifs, bonus, ‘malus, magnus, parvus. Divers fentiniens fur -
l’étymologie du mot melior. Ibid. ^E tymolog ie du mot op-
timus; du mot pejor ; du mot pejjimus : du mot major; du
mot maximus, de minor 8c de minimus. Les adverbes ont aufli
des degrés de fignification. Formation des comparatifs 8c des
fuperlatifs dans la langue angloife. Comment les Italiens les
expriment. Ibid. 730, a.
Comparatif, en grec 8c erl latin, les comparatifs font par-
là-même relatifs. X IV . 53. b. Le comparatif n’exprime par
lui-même aucune comparaifon. X V . 662. <z, b. 663. a. Oble t-
vations fur les comparatifs en françois. Suppl. III. 128. a. .
COM PA RER des équations, ( Àlgeb. ) réduire plufieurs
équations en une feule. Exemple qui fuffirà pour en faire
imaginer d’autres, III. 730. a.
COM P A R O IR , {Jurifp.') comment un bourgeois de Bourges
fe juftifioit autrefois de fon défaut de comparoir par le
moyen du duel. III. 730. b. Louis V I abolit cette coutume ,
&ç. Ibid. b.
Comparoir, refus de comparoir. IV . 138. a , b. Défaut de
comparoir. 73 2. a. Excufe de celui qui ne comparoît pas en
perfonne en juftice, quoiqu’il y fût obligé. V I . 268. b.
COM PA R T IM EN T . {Archit. Peint. Sçulpt. &c. ) Comparti-
mens polygones, compartimens de ru es , compartimens de
tuiles, de vitres , de parterre. III. 730. b.
Compartimens de carreaux mi-partis, II. 700.. a. de pàvés en
marbre. X. 78, a , b, 79. a. Vjyeç les planches de marbrerie,
vol. V . D e placages èn menuiferic. XII. 670. a. R ofe de compartiment.
X IV . 365. b. Voûtes à compartiment XV II . 474.
C OM
b. Des compartimens en ferruretie. 818. a, b. Compartimens
de marqueterie, voyeç vo l. IV des pl. article Ebénifie. pl. 8.
Compartimens en mofaïque. X. 743. a , b.
COM P A R T IT E U R , {Jurifp.) juge qui a ouvert le pre-
’ jnicr un avis contraire à celui du rapporteur :c e qui n’arrive
qu’en matière civile ; en matière criminelle il n’y a jamais
partage d’opinion. C e qu’on fait dans les affaires c iviles d’audience
, lorfqu’il y a partage. C e qu’on fait en pareil cas dans
le parlement. III. 730. b.
CÔMPÀRU 1T , aéte délivré par le juge à l’une des parties
, pour certifier fa comparution, au défaut de l’autre.
Coutumes où il en eft parlé. Cedule de préfentation, qui
tient lieu aujourd’hui de cet aéle. III. 730. b.
COM PA RU T IO N . ( Jurifp. ) Comparution en perfonne,
III. 730. b. ou par le miniftere de fon avocat ou procureur.
Comparution devant notaire, ou autre officier public. En
conféquence de quoi fe fait la comparution. Dans les procès-
verbaux , 8c autres aétes, &c. on donne aéte refpeétivement
aux parties, &c. de leurs comparutions, &c. Ibid. 7 3 1 . a.
C O M P A S , inftrument de mathématique. Defcription du
compas ordinaire. Effet de l’envie de Dédale’ contre Talaüs,
inventeur du compas.. III. 731 .a .
Compas h. trois branches ; fon ufage. III. 7 3 1 . a.
Compas à verge ; fon ufage. III. 73 1 . a.
Compas d’artilan. III. 73 1 . a.
Compas à l ’allemande. ÏII. 7 3 1 . a.
Compris à pointes changeantes : III. 7 5 1 . a. fon utilité.
Ibid-, b.
Compas à reflort; fon utilité. III. 73T. b.
Compas à pointes tournantes. Comment ces pointes doiven
t être trempées. III. 731. b.
Compas. Voye£ les planches des artiftes qui fe fervent de
cet inftrument.
Compas de proportion, appellé feEleur par lesAnglois. Son
u fag e , fon grand avantage fur les échelles communes. P rincipe
fur lequel il eft conftruit. Defcription de ce compas ,
félon la conftruétion angloife. III. 73 1 . b.
Ufage de la ligne des parties égales. i ° . Pour divifer une
ligne donnée en un nombre quelconque de parties égales.
20. Pour mefurer les lignes du périmètre d’un p olygone, dont
un des côtés contient un nombre donné de parties égales. 30.
Pour retrancher d’une ligne, divifée en un nombre quelconque
départies égales, tel nombre qu’on voudra. 40. Pour trouver
une troifieme proportionnelle à deux lignes données, ou
une quatrième à trois. 50. Pour divifer une ligne en une
raifon donnée quelconque. Ibid, y 32. b. 6°. Pour ouvrir le
compas de proportion, de forte que les deux lignes des parties
égales faffent un angle droit. 70. Pour trouver une ligne
droite égale à la circonférence du cercle. Ibid. 733. a.
Ufage de la ligne des cordes. i° . Pour ouvrir cet inftrument
en forte que les deux lignes des cordes faffent un angle d’un
nombre quelconque de degrés. 20. L ’inftrument étant ou v e rt,
pour trouver les degrés de fon ouverture. 30. Pour faire un
angle d’un nombre donné de degrés fur une ligne donnée.
4°. Pour trouver les degrés que contient un angle donné.
30. Pour retrancher un arc d’une grandeur quelconque de la
circonférence d’.un cercle.
Ufage de là ligne des polygones. 1°. Pour inferire un polygone
régulier dans un cercle donné. III. 753.a . 20. Pour
décrire un polygone régulier. 30. Pour décrire un triangle
ifo c e le , dont les angles à la bafe foient doubles chacun de
l’angle au fommet.
Ufage de la ligne des plans du compas de proportion. Conftruire
un triangle femblable à un triangle donné & triple en furfiice.
Moyen de réduire en triangle le plan propofé , s’il a plus.
de trois côtés. Etant données deux figures planes femblables,
trouver le rapport qu’elles ont entr’elles. Ibid. b. Entre deux
lignes droites données trouver une moyenne proportionnelle.
Ufage de la ligne des folides. Au gmenter ou diminuer des
folides femblables félon une raifon donnée. Etant donnés
deux corps femblables, trouver le rapport qu’ils ont entre eux.
Ufage de la ligne des métaux. Etant donné le diamètre d’un
globe ou boulet de quelqu’un des fix métaux,trouver le diamètre
d’un autre globe d e ’même poids, & duquel on voudra
defdits métaux. III. 734. a. La même opération fe fait
à l’égard de corps femblables à plufieurs faces.
UJagcs des lignes des Jinûs, des tangentes, des fécantes, lorf-
qu i l y en a de tracées fur le compas de proportion. Par plufieurs
lignes placées fur cet inftrument,nous avons des échelles
pour différens rayons ; en forte qu’ayant un rayon donné,
on en trouve les cordes, les finus, &c. 8c réciproquement
Ion peut avoir le rayon dont une ligne donnée eft le fintis,
la tangente ou la fécante.
du compas de proportion en trigonométrie. i° . La bafe
& la perpendiculaire d’un triangle reélangle étant donriéës',,
trouver l’hypothénufe. Ibid. b. 20. Etant donné uù côté d’un
*nangle reélangle fit l’angle oppofè, trouver' l’hypoflïéhûfe.
3 . L hypothénufe 8c la bafe étant données, trouver la perpendiculaire.
40. L’hypothénufe 8c l’angle de la bafe adja-
C OM
cent étant donnés, trouver la perpendiculaire. 30. La bafe &
la perpendiculaire étant données, trouver l’angle oppofé à la
perpendiculaire. 6°. En tout triangle re&iligne, deux côtés
étant donnés avec l’angle compris, trouver le troifieme côté*
70. l’angle au fommet, St l ’un des angles à la bafe étant donnés
avec le côté commun, trouver la bafe. 8°. Les trois
angles étant donnés trouver la proportion des côtés. 90. Les
trois côtés étant donnés trouver un angle. io °. L ’hypothé-
nufe d’un triangle reélangle fphérique étant donné, 8c l’un
des angles adjacens, trouver le côté oppofé à l’angle. 1 1°. La
perpendiculaire 8t l’hypothénufe étant données trouver la
bafe. III. 735. Æ.
^ f jS es Particuliérs du compas de proportion eft géométrie.
i° . Faire un polygone régulier dont l’aire foit d’une grandeur
donnée. 20. Un cercle étant donné, trouver un quarrè
(jui lui foit égal, 30. Trouv er le diamètre d’un cercle égal
à un quarré donné. 40. Trouv e r le côté d’un quarré égal à
une ellipfe, dont les diamètres font donnés. 30. Décrire une
ellipfe dont les diamètres aient un rapport quelconque, &
qui foit égale err furface à un quarré donné. 6°. Décrire
une ellipfe dont les diamètres font donnés. Ibid, b.
Ufage du compas de proportion dans Varpentage. Etant donnée
la pofition refpeétive de trois lieux, a , b , c , c’eft-à-
dire étant donnés les trois angles a b c , b c a , c a b , Sc la
diftance de chacun de ces endroits à ùn quatrième point d ,
pris entr’eux , étant aufli donnée, trouver les diftances ref-
peâ iv e s des différens endroits a , b , c. Le compas de proportion
fert particuliérement à faciliter la projfiftion , tanr
orthographique que ftéréographique.
Compas à coulijfe ou de réduftion. Defcription 8t ufage. III.
736. a. Ufage de la branche pour les polygones.
Compas de réduction avec les lignes du compas de proportion.
Ufage de ce compas. i° . Div ifer une ligne aans un
nombre de parties égales moindre que cent. 20. Une ligne
étant donnée divifée en cent parties , prendre un nombre
quelconque de ces parties. 30. Un rayon étant donné, trouv
e r la corde de tout arc au-deflous de 60 degrés. 40. La
corde d’un arc au-deffous de 60 degrés étant donnée , trouv
e r le rayon. Ibid. b. 30. Un rayon étant donné, trouver le
finus d’un are quelconque. 6°. Un rayon étant donné, trouv
e r la tangente d’un arc quelconque au-deffous de 71 degrés.
III. 737. a.
Compasfphérique oud’épaiJfeur.V.ûtge 8c defcription.IIT.737,<z.
Compas•_ elliptiques. On en a imaginé de différentes fortes,
dont la conftruétion eft fondée fur différentes propriétés "Re
l’ellipfe. Cette efpece de compas eft affez peu commode.
Q u elle eft la méthode qu’on préféré pour tracer des ellipfes.
Compas afunuthal. D efcription. III. 737. a. Son ufage pour
trouver l’azimuth du fo le il, ou plutôt fon amplitude magnétique
, poujten déduire enfuite la variation du compas. L’amplitude
magnétique étant trouvée^ maniéré de détermines
la variation de l ’aiguille aimantée. Ibid. b ..
Compas de mer. V o y e z B oussole. Points du compas. X lf.
87a. a. Rofe du compas. X IV . 363. <z, b. Armoire du vaif-
feau où l ’on place le compas. VII I. 17 . a. Compas de variation
pour reconnoître la déclinaifon de l ’aiguille. IL 379. a.
Compas d’appareilleur. Defcription. III. 738. a.
Compas d’épaiffeur à l’ufage des arquebufiers. III. 738. a;
Compas à lunette , compas à pointe , compas à tête , compas
à reffort à l’ufage des arquebufiers. III. 738. a.
Compas à quart de cercle , à l’ufage des bijoutiers. III.
7 5 8 . . .
Compas, {grand) à l’ufage des charrons: petit compas. III.
738. a.
Compas à l’ufage des charpentiers. III. 738. a.
Compas à cylindre, par lequel on peut connoître les plus
petites différences des diamètres d’un cylindre fait fur le
tour. III. 738. a. Defcription 8c ufage de ce compas. Ibid. b.
Compas à l’ufage des fondeurs de cloches. III. 739. a.
Compas de conftruétion pour les mêmes ouvriers. III»
759- a' -
Compas à l’ufage des cordonniers. III. 739- a.
Compas à l’ufage des écrivains. III. 739- b.
Compas à l’ufage des épingliers. III. 739. b.
Compas à Tufagè des ferblantiers. III. 739. b.
Compas à l’ufage des gainiers. III. 739. b.
Compas en horlogerie. Defcription de deux efpeces. III.
739: b. ■ .
Compas d'épaiffeur, ou huit de chiffre. Son ufage. En quoï
confifte fa perfeétion. III. 739. b. Pièce qu’on ajoute quelquefois
à ce compas pour mettre des balanciers ou des
roues droites. Le compas fert encore à mettre des balanciers
de pefanteur. III. '766. a . .
Compas au tiers, à l’ufage des horlogers, pour avoir tout
d’un coup le tiers d’tine grandeur. Defcription 8c ufage do
cet inftrument. III. 760. a.
Compas à l’ufage des menuifiers. III. y Go. a.
• Compas d’épaiffeur à l’ufage des orfèvres en grofferié. III;
76«. «,