w s È r m m m oe
840 G L A
confecfores , 111. 846. b. dimacheri , IV . 1007. a. effedarii, ï,
768. a , b.galli. X. 9*4. b. komojjlaci., VII I. 295. a. meridiani,
X. 383. .2. myrmillones, 914. />. ordinarü, X I. 580. b.pegmarcs*
X II. 230. b. reliant, X IV . 203. æ. rudiarii, 429. b. J a,unîtes *
597. <2, J. fecuiores, 884. b.fpe fiat ores.X V . 447. L
Gladiateurs, ( Guerre <&/) que Spartacus excita Tan 680 de
Rome. Hiftoùe de cette guerre. V i l. 697. b. _
G la d ia t e u r expirant, ( le ) fculpture antique. Elle a ete
tranfportée au palais Chigi. Defcription de cette piece admirable.
Vn.~698.2x.
G L A IR E , (Médec.) voyez P ituite* Mucofitè.
Glaires dans l ’ejlomac. X VII . 31. b.
G LA ISE , terreglaife, argille , { Minéral. Agricult.) cara»
ôeres de cette forte de terre. Différentes efpeces d’argilllcs
ou de glaifes en Angleterre. On ne peut établir de différence
effentielle entre la glaife & Targille. Portion plus ou moins
xonfidérable de fer que contient cette terre, & qui,contribue
à fes différentes couleurs , voyeç Fer. Moyen de la dégager
des parties ferrugineufes qu’elle contient. En quel cas il arrive
que Targille faffe effervescence avec les acides. V IL 698. b%
Diffoiution de Targille par l’acide vitriolique aidé de Taftion
du feu , d’où réfulte un véritable alun. Cet acide n’agit que
fur une poriion de Targille qu’on foumet à fon aâion. Pro-.
priétés de la terre 'qui refte, & fur laquelle le diffolvant n’a
plus d’aàion. Particules talqueufes mêlées avec la glaife.
Moyen de f<;parer la glaife d’avec le fable. Plus les argilles
font blanches , plus elles font dégagées de matières étrangères.
Qualités extérieures , auxquelles on peut reconnoître la
glaife. La terre dont on fait les pipes; celles dont on fait les
porcelaines , font de véritables glaifes. Recherches de M.
Pott pour découvrir la nature du gluten, d’où dépend la
"vifeofité de la glaife. Ibid. 699. a. La calcination & les acides
concentrés enlevent entièrement ce gluten. Les terres alka-
lin es ou calcaires , mêlées avec la g la ife , entrent très-aife-
rnent en fufion. Réfultats du mélange de la glaife avec différentes
pierres gypfeufes : réfultat de fon mélange avec les
pierres & les terres vitrifiantes. Ouvrage de M. P ott a con-
fulter fur toutes ces expériences. Propriétés de la glaife eu
égard à l'agriculture. Plus cette terre eft tènace , compacte
Sc p u re , moins elle eft propre à la végétation des plantes.
Moyens de remédier à cette ftérilité. Ibid. b. C ’eft à la propriété
que la glaife a de retenir les eaux , & de ne point leur
donner paffage, que font dues la plupart des fources que
nous voyons fortir de la terre. M aniéré de préparer la glaife
dont on veut fe fervir pour garnir le fond des baffins , dans
lefquels on v eu t retenir les eaux. Expériences par lefquel-
les on donne aux glaifes la dureté des cailloux. Etat des
couches de glaife qui fe trouvent à la furface de la terre 8c
à une grande profondeur. Terre glaife qui fert d’enveloppe
à un grand nombre de filons métalliques. Propriétés des glaifes
à imbiber les matières huiieufes & grades. Caraétere des terres
bolaires , qui font d’ufage en médecine. Obfervarions fur cet
«fage. Ibid. 700. a.
Glaife. D e la formation des terres glaifes. L 646. b. 333. b.
"Cinq fortes de glaifes diftinguées en Angleterre. IV . 561. b.
Leurs propriétés & qualités. 562. a. Ufage de la glaife en
qualité d’engrais. 562. a. 564. a. 365. a , b. 366. a. Mélange
-du fable av e c la glaife , pour la divifer 8c fertilifer. X lV .
-4^4- a-
G L A IV E , droit d e , ( Hift. mod. ) en quoi il confifte. Pourquoi
Ton ceint du glaive celui qu’on crée comte en Angleterre.
VU - 700. b.
Glaive. Juftice du glaive. IX . 93. a. Porte-glaive. XIII.
140. b.
G L A N D . ( Anatom. ) Defcription de cette partie. L’extrémité
du prépuce eft fùjette à s’étrécir dans les vieillards , au
point de ne pouvoir couvrir le gland. Gland du clitoris. En
quoi il différé du premier. Exemples de quelques enfans
nouvfcaux-nés , dans lefquels le- gland n’étoit point percé.
■ Quelquefois ce trou eft extrêmement petit. V II . 700. b.
Quelquefois on trouve le gland percé de deux trous. Enfin,
i l arrive quelquefois que le gland eft percé ailleurs que dans
l ’endroit ordinaire. L ’imperforation du gland demande, d’abord
qu’on s’en apperçoir, le fecours de la chirurgie. Opération
du chirurgien. Elargiffement du trou lorfqu’il eft trop
petit. Difficultés de remédier à ce défaut de conformation,
qui cçrififte en ce que le gland n’eft point percé dans l’endroit
ordinaire. Ibid. 701. a.
Gland. Sa defcription. Suppl. IV . 279. a. Ufàge des glandes
placées autour de l’union du gland avec les corps caverneux &
fu r ie gland même. XIII. 300. A Defcription de quelques parties
du gland. XVII . 493. a, b. Matière qui fort des petits corps
de la couronne du gland. Ibid.
G l a n d . ( Agricult. ) Choix du gland pour femer ; tems &
maniéré de le femer. III. 284. a. Trois façons de femer le
gland. 283. a. Maniérés de con ferv e r, pendant f b iv e r , celui
qu’on ne veut femer qu’au printems. Ibid. b. Choix à faire &
précautions à prendre pour la récolte du gland , lorfqu’on
v eu t faire des plantations. 286; a. Son utilité pour la nourriture
G L A
de quelques animaui. Ibid. b. Ufages 8c propriétés médicinales
du gland & dé fa calotte. 288. b. De l’ufage de cueillir
les glands, ou de mener les porcs en paiffon pour s’en nourrir.
Suppl. III. 236. a.
G land . ( Econ.dôme fi.Boulang.') Pain de gland 8c de châtaignes.
L e premier pain dont on s’eft nourri en certains p a y s ,
a été fait de glands. Différentes fortes de pains que les anciens
comprennent fous le nom de pain de glands. Goût des glands
en maturité. Maniéré de les employer à faire du pain. Comment
on fait le pain de châtaignes. Suppl. III. 233. a. Différente
qualité des marrons rôtis 8c bouillis. Ibid. b.
Gland de mer, coquille. IV . 189. a. En quoi il différé du
pouffe-pied. XIII. 186. b. G lands de m e r , repréfentés v ol. V I .
des planch. Régné animal, pi. 74.
G land , ( jUlafon) meuble d’armoirie. G land tigé & feuilîé.
Suppl. III. 233. a.
Gland, terme de tabletier-cornerier, de marchand de mode,
de rubannier. V II . 701. a.
G LA N D E . ( Anat. ) Defcription des glandes. D iv ei fes
opinions qu’on a eues fur leur ufage. V I I . 701. a. Sentiment
des modernes. Connoiffance acquifc des g landes, à l’aide de
de la diffeâion & du microfcope. Quelle paroît être leur
formation. Circulation du fang dans le plexus glanduleux.
Ufage des conduits fecrétoires & excrétoires. Différer, tes
parties qui entrent dans la compofition des glandes. On con-
fidere’ les conduits fecrétoires comme les principaux organes
de la glande. Efpece de duvet que M. Wïnflow croit avoir
découvert au-dedans de la cavité. Ibid. è. Différentes efpeces
de glandes : glandes conglobées : glandes conglomérées. L es
liqueurs, féparées par ces glandes, ont toutes différens cara-
fteres. Ufage des conglobées. Efpece de glande qui fépare la
fynovie. Liqueurs qui fortent desarreres exhalantes. Glandes
falivaires , glandes des humeurs muqueufes. Ufage des g landes
fébacées : glandes aventurines ; glandes perpétuelles.
Enumération de différentes fortes de glandes , qui font décrites
dans leurs'articles particuliers. Ibid. 702. a. Glandes
lombaires ; leur lîtuation , leur ufage. G landes mucilagineufes
ou fynoviales. Glandes odoriferes : glandes rénales ; leur fi-
tuation & leur ufage. Ibid. b.
Glande. Différentes acceptions de ce mot. DiftinfHon du
follicule, de la glande conglôbée & de la glande conglomérée.
Il ne s’a g it , dans cet article, que de cette derniere efpece
de glande. Suppl. III. 233. b. Defcription détaillée de leur
ftruâure , des grains qui les compofent, de leurs vaiffeaux ,
de leurs conduits excrétoires , &c. D e l’injeâion des glandes.
Variétés entre les glandes conglomérées. Glandes muqueufes,
placées dans les articulations. Ibid. 234. a. Nerfs remarqués
dans les glandes. Irritabilité des conduits excrétoires. Affinité
particulière entre le thymus , la thyroïdienne Sc les glandes
rénales. Ibid. b.
Glandes de Havers. Mucofitè dont les articulations ont
befoin. Nature de cette humeur. Suppl. III. 234. /». Defcri-
ption des glandes de Hâ ve rs , ou glandes articulaires. Parties
où on les découvre. Ibid. 233. a.
Glandes de Cowper : elles font attachées à l’uretre , dans
Turetre avec le corps caverneux du pénis. Anatomiftes qui
les ont apperçues dans différens quadrupèdes. O n les attribue à
Cotvper, parce que ce chirurgien en a donné une affez bonne
figure. Situation de ces glandes. Variation dans leur nombre.
Suppl. III. 23 3. b.
Glande. Morgagni regarde tout le conduit alimentaire ,
comme formant une feule glande. I. 269. b. Paffage du chyle
dans les glandes. Suppl. III. 698. a , b. Comment fe fa i t ,
fclon quelques phyüologiftes , la filtration d’une liqueur particulière
dans la glande qui lui convient. V I. 808. Syftêmes
oppofés de Malpighi 8c de Ruyfch fur la ftruâure des glandes :
extrait des lettres que fe font écrites fur ce fujet Ruyfch 8c
Boerhaave, défenfeursde Malpighi. V II . 46. b. 4 7. a , b. Ana-
ly fe d’un ouvrage de M. de Bordeu , intitulé : Recherches
anatomiques furies glandes. X IV . 873. b, &c. Glandes de l’abdomen
, qui reçoivent les vaiffeaux lymphatiques. IX. 773. b.
Glandes compofées de fimples. III. 768. b. Glandes conglb-
bées des quadrupèdes à fang chaud. Suppl. III. 818. a. Leur
liaifon avec les vaiffeaux lymphatiques. Ibid. b. Glandes cutanées.
IV . 381. b. Glandes haveriennes. VII I. 63,. b. Glandes
inteftinales , 842. a. mucilagineufes , 63. b. X. 846. b. maxi-
laires , X. 214. a. muqueufes , 863. a. fynoviales. VIII.
261. b. Infenfiblité des glandes. Suppl. IV . 778. b. Voye£
Follicule.
G land e , ( Botan. ) partie faillante fur différentes parties
des plantes. Suppl. III. 233. b.
G landes. (Maneg. Maréch.) Fonction des glandes dans
les hommes & dans les animaux. Tro is fortes de glandes dans
les chevaux. V II . 702. b. Celles qui compofent la première
claffe , 11e méritent pas proprement le nom de glandes ; ell.es
peuvent être envifagées comme des cryptes , des follicules
glanduleux. Le fécond genre comprend les glandes conglo-
blées. Celles de la troifieme claffe font les conglomérées.
Ibid. 703. a. Enumération des glandes contenues dans chacune
G L A
fie ces trois claffes. Glandes qui n’entrent dans aucune de ces
divirions. Ibid. b. Voye^ Suppl. III. 394. a.
G L A N D É , (Maneg. Marcch.) adjeâ if employé dans le
cas de tumêfaâion des glandes maxillaires & fublinguales. Ce
qu’annonce Tétat contre nature de ces glandes. Artifice des
maquignons pour faire difparoître ces glandes , lorfqu’on
examine l’animal. VII. 703. b.
G landée , aller à la , ( Econ. rufliq. ) défenfe d’aller à la
glandée fans permiflion ou fans titre. Obfervations économiques
fur l’ufage de ce droit.Suppl. III. 236. a.
G L AN D E V E , ( Géogr. ) ville de Provence , maintenant
ruinée. Il n’en refte que la maifon de l’é v ê q u e , qui eft fuffra-
gant d’Embrun. M. de Peyrefc naquit dans le diocefe de cet
évêque. Sa vie écrite par Gaffendi. V I I . 703. b.
G L A N D O R P IU S , ( Matthieu-Louis ) médecin & phyficien.
i n . 3 5 3 .1 .
G LAN D U LEU X . ( Anatom. ) Ruyfch prétend qu’il n’y
a aucune glande dans le cerveau , dont on avoit cru la
Lubftance glanduleufe. Corps glanduleux. VII . 704. a. Voyc{
Profilâtes.
Glanduleufe , chair. III. 1 1 . a.
G L A N V IL L j ( Jofeph) obfervations fur fes ouvrages. XII.
7 7 1 . a.
G L A N U M , ( Géogr. ) recherches fur1 ce lieu. Suppl. II.
867. b. Suppl. IV . 703. b. Glanum Livii. Suppl. IV . 12. a.
G L A R E A N , (Henri) fon ouvrage intitulé, Dodécacorde.
Suppl. IL 731 . b.
G L A R IS , ( Canton de ) defcription de ce pays. Son gouvernement.
Affemblées générales du canton dans la ville de
Glaris. Comment v ivent entr’eux les proteftans & les catholiques
dp ce, canton. VII . 704. a.
G L A S C O W , ( Géogr. ) v ille d’Ecofïe. Sa cathédrale.
I l s’y fait un grand commerce. V IL 704. a. Caméron &
Spootfvood nés à Glafcow. Quelques détails fur ces favans.
Jbid. b.
G L A S E R , fe l polychrcjle de. XI. 136. b.
' GLA STEN BU R I ou Glajlon , ( Géogr. ) bourg d’Angleterre.
Son ancienne abbaye. Pyramides antiques qui s’y trou-
.venr. V I I . 704. b.
G L A U B E R , ( Jean-Rodolph. ) chymifte. III. 433 .b.
G lau b e r , Jelde* ( Chyrn. ) repréfenté vol. III. des planch.
C h ym ie , pl. 16. Sel de Glauber qui fe voit dans les tables des
falines où l’on évapore l ’eau de mer. X. 362. b. Sel ammoniac
fecret dé Glauber. X IV . 914. b. X V II . 366. b.
G L A U C H E N , ( Géogr. ) v ille d’Allemagne. George A gri-
cola né dans cette ville. Ses travaux en métallurgie. V II .
704. b.
G L A U C IA , loi. IX. 661. b.
G L A U C IÀ S , médecin. X. 283.. b.
G L A U C OM E , ( Médec. ) étym. de ce mot. Maladie des
y e u x , fur laquelle les auteurs ne s’accordent point. V IL
704. b. Les uns prétendent que c’eft une léfion particulière
du cryftallin ; les autres, que c’eft un v ice du corps vitré.
C e dernier fentiment eft adopté par la plupart des modernes :
c e qui ne paroîtra plus douteux, fi Ton confidere que cette
maladie eft généralement confidérée comme incurable. Comment
on peur diftinguer à la vue la glaucome de la cataraâe.
C e qui rend le premier incurable , c’eft qu’on s’apperçoit
rarement de fon commencement. En quoi nous différons des
anciens fur la maniéré de juger de la cataraâe & du glaucome.
D e quelle maniéré Maitre-Jari diftingue ces deux maladies.
Jbid. 70 3 . a.
Glaucome , quelques-uns ont regardé cette maladie comme
étant la même que la cataraâe. I I . 770. b. Mais M. Littré
a montré par un exemple qu’il y a des glaucomes diftinâs
des cataraâes. Ibid. Opinion des anciens fur la caufe du glaucome.
IV . 327. b. Çaufe de Tinfenfibilité de l’iris dans cette
maladie. Suppl. IV . 626. a , b. Précautions à prendre pour
juger de cette infenfibilité, 631. a , b. de Tétat de la prunelle
dans le glaucome. 633. a. Peuple d’Ethiopie fujet à ce-mal.
1VIII. 391. a.
G L A .U CU S , (My tho l.) Q u el eft ce dieu félon la fable.
Dans l’hiftoire, Glaucus étoit un habile pêcheur de la ville
d’Anthédon en Béotie , q u i, s’étant n o y é , pafla pour avoir
été changé en dieu marin. Philoftrate eft prefque le feul qui
mette Glaucus au nombre des Tritons , & qui fe plaife à le
peindre fous cette forme. T emple ôt culte de Glaucus à Anthé-
«jon. Célébrité qu’acquit l’endroit où il périt. La renommée
de ce dieu engagea les poètes & quelques auteurs, à débiter
iu r Glaucus un grand nombre de tables toutes merveilleufes.
C e que racontent fur ce dieu, Euripide , Nicander, Apolli-
nus oc Ovide. VII . 703. b. Divers autres perfonnages du même
n om , avec lefquels il ne faut pas confondre le dieu marin
Glaucus. Ibid. 706. a.
GLAUCUS de Potnies, (Myth.) Sa fin tragique. XIII. 183. a.
G L A Y E U L , ( Bot. ) Caraâeres de ce genre de plante.
V IL 706. a.
G l a y e u l , Flambe , ou Ir is, (B o t .) voyé^ Iris .
G la yeul^pu a n t , (Bot. ) efpece d’Iris-fauvage. D ivers
G L O 841
noms que lui donnent les botaniftes. Defcription de cette
plante. Lieux où elle croît ; tems de fa fleur. Propriété de la
racine féchée & pulvérifée. V IL 706. a.
G l a y e u l p u a n t , (Mat. médite.) Propriétés & ufages de
la racine & de la femence. C e remede eft peu ufité. VII .
706. b.
G L E B E , (Jurifpr. ) efclaves attachés à la glebe chez les
Romains. Serfs attachés à la glebe. Droits attachés à la iilebe.
V IL 706. b.
Glebe. Serfs de la glebe chez les Romains ; en France, X V .
8 i. b. 84. a. 8c en Allemagne. X V I I . 408. a , b.
G L E D IT S CH , ( N. ) Extrait de fon ouvrage fur la nielle.
Suppl. IV . 46. a , b.
GLEICHEN , ( Géogr. ) ancien comté d’Allemagne dans
la Thuringe. Château d’où il tire fon nom. Sa capitale. C e
qu’il paie en mois romains. Seigneurs qui le poffedent. Suppl,
LU. 237. a.. rr
I I I 8 1^ , poète Allemand : caraâere de fes poéfies. Suppl.
G L IC IA , loi. IX . 661. b.
G L IC O N IQ U E S , vers, ( Littér. ) X V I I . 161. a.
G L IS SER , ( Méch.) Différence entregliffer 8c rouler. Lorsqu'un
corps eft frappé fulvant une direâion qui paffe par Ton
centre de gravité , & qui eft perpendiculaire à l’endroit frappé
de la furface du corps, ce corps tend à fe m ouvoir en eliflant.
V IL 706. b. 6
Gliffer, frottement qu’éprouvent deux corps qui gliffent
l’un fur l’autre. V I I . 342. à. 343.b .
G L IS SO N , capfule de, ( Anatom. ) Membrane de ce nom.
Traités anatomiques de Gliffon , doâcur 8c profeffeur en
médecine dans Tùniverfité de Cambridge. V II . 707. a.
Gliffon, capfule de. II. 640. a. V II . 29. b. Suppl. IL 227. a .
Obfervations fur François Gliffon, 8c fur fes ouvrages. Suppl.
I. 397- b. Suppl. IV . 350. b.
G L O B E , ( GéométT) Ufage des mots fphere 8c globe. Globe
terréftre : réflexion fur cette maniéré de défigner la terre.
V I I . 707. a.
Globe, étant donné le diamètre d’un globe de quelqu’un
# des fix métaux , trouver le diamètre d’un autre globe, de
même poids, 8c duquel des métaux on voudra. III. 734. a.
Diftance à laquelle il faut être d’un globe , pour en v o if
Thémifpherè entier. VIII. 113. a. Propofitions géométriques
• fu r ie s g lob es, voycç Sphere . Fufeau de globe. V i l . 383. a.
G lobe terrestre , (Phyfiq. 6* Aflron.) voyeç T erre
6* T er r a q u ée .
G l o b e , ( Aflron. 6* Géogr.) Définition des globes terrestre
8c célefte. Cercles décrits fur l’un 8c fur l’autre. Différence
entre le globe 8c la fphere. Antiquité de l’ufage des
globes. Principaux globes connus en Europe depuis le renouvellement
dès fciences : ceux de T y ch o : VII. 707. a. ceux
que le cardinal d’Eftrées fit exécuter 8c dédia à Louis-XIV.
Ceux de Coronelli : ceux de Guill. Delifle : ceux de Senex
en Angleterre : ceux de Gotringue. De la conflruélion de ces
inflrumens. Cette conftruâion eft: ou géométrique, ou mécha»
nique. Efpace fur les globes appellé fufeau. On divife ordinairement
un globe de douze fufeaux. Méthode pour en
déterminer la figure. Ibid. b. Maniéré de tracer fur les fufeaux
les différens cercles du g lo b e , ibid. 708. a. 8c tout ce qui peut
entrer de détail dans la compofition du globe terreftre. Explications
fur la maniéré de marquer le lieu des étoiles fixes
fur le globe célefte : defcription des colures 8c dés tropiques.
Ibid. b. Maniéré de trouver le centre commun aux arcs qui
doivent palier par tes points correfpondans d’un même
fufeau. Defcription des cercles polaires. Divifion qu’on doit
faire de tous les parallèles à l’écliptique, de même que des
longitudes céleftes, de dqgrés en degrés. Maniéré de tracer
les conftellations.
Defcription de la méchanique des globes. Outils néceffaires
pour la main-d’oeuvre d’un globe. Ibid. 709. a. Maniéré de
former une boule. Ibid. b. Comment on achevé de lui donner
fa p erfeâion. Ibid. 710. a. Moyen de s’aflùrer fi elle eft abfo-
lument fphérique. Détails fur la maniéré de pofer les épreuves
imprimées du globe fur cette boule, 8c d’appliquer enfuite
le vernis. Deux fortes de méridiens, favoir de carton ou de
cu iv re , pour la monture du globe. Ibid. b. Choix du carton
pour le méridien 8c pour l’horifon. Defcription de la monture
nouvelle des globes que l’auteur a conltruits par ordre du
roi en 1732. Explication des figures, par lesquelles on a
repréfenté dans les planches d'aflronomie * deux globes foit
cé le fte , foit terreftre, & la fuite des fufeaux qu’on doit
coller fur là boule. Attention qu’il faut avoir pour choifir de
bons globes. Ibid. 7 1 1 . a. Parmi les différens globes anciens
que nous a v o n s , on eftime principalement ceux de Blaeu.
Ufages du globe célefte. Trouv e r Tafcenfion droite 8c la
déclinaifon d’une étoile repréfentée fur la furface du globe.
Trouver la longitude 8c la latitude d’une étoile. Trouver le
lieu du foleil dans l’écliptique. Trou v e r la déclinaifon du
foleil. Ibid. b. Trou v e r le lieu d’une planete avec fon afcea-
fion droite, fa déclinaifon & fa latitude pour un tertis donné.
D D D D D d d d d d