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CO N S E V IU S , ouC o n s iv iu s , ( Myth. ) dieu qui préfide
à la conception des Hommes. IV . 43. a. -Foule de dieux que
les païens avoient placés autour de ceux qui s’occupoient
de i’aéte de la génération. Ibid: b. „
• CO N S ID É R A T IO N , égards, rcfpeft, dvfcrcncc .-différences
entre ces mots. Jufte idée du mot confidération. IV . 43. æ.
CoNSIDÉRATlON , ( Gramm.) étymologie de ce mot. X V I.
« o i : b. Différence entre réputation & confidération. X IV .
•ï 6i . à b. -Différentes fignifications des mots confidération ,
retenue circonjpeflion ,ménagemcns , égards. III. 463. b.
CO N S IG E , ou Consive , ,( Comm. ) ce qu’on entend à
L y o n & en Provence par livre ou regiftre de confige. IV .
^CON S IGN A T IO N , ( Junfip. ) dépôt de deniers que le
débiteur f a i t . . . entre les mains d’un officier public, pourfe
libérer envers celui à qui les deniers font dus, &c. IV . 43. b.
Etymologie du mot configner. Soins des Athéniens & des R o mains
pour ces dépôts judiciaires. C e qui fe pratique en
France à cet égard. C e qui s’y pratiquoit anciennement, &
c e qui s’y pratique encore dans les lieux -où il n’y a point
de receveurs de confignations. La confignation fe faifoit dans
quelques .juftices fubalteimes du tems de -Loifeau, entre les
mains du juge. Ibid. 44. a. Il y a peu de sûreté de la faire
entre Jes mains des greffiers de village. Ordonnances qui
parlent des confignations confiées aux greffiers. Henri III eft
le premier qui ait établi des -receveurs des confignations en
titre d’office. D e quelle maniéré on en ufoit alors pour ces
chofes-là. Ibid. b. Difpofitions de l’édit de Henri III. Nouv
e l édit de Louis X IV pour le même objet ,„6111689. D é claration
de la même année qui s’y rapporte. Quelques fei-
‘gneurs ont acquis l’office de receveur des confignations ;
-dans d’autres juftices on ne peut donner de confignation
qu’eçtre les mains du receveur royal. Déclaration de l’an
1633 , concernant ces receveurs. Q u i font ceux qui font
fujets au droit de confignation. Ibid. 45. a. Quels font les
immeubles pour le prix defquels les receveurs ne peuvent
exiger aucun doit de confignation. Autres réglemens fur les
droits des receveurs. Ibid. b.
C onsignation d'amende, ( Jurifip.) divers cas dans lef-
squels l’amende doit être confignée. IV . 46. a.
Consignation d e là d o t , en Normandie. Nature & but
de cette confignation. C e que dit à cet égard la coutume. IV .
46. a. C e qu’on appelle confignation tacite. Difpofition du
-réglement de 1666 , fur cet objet. Ibid. b.
Confignation en matière de retrait lignager. IV . 46. bi
Confignation des vacations. IV . 46. b.
C O N S IG N E , {Art milït.) ce qu’on entend par la con-
figne. Officier dans les places de guerre appelle le configne.
IV . 46. b.
C O N S IS T AN C E , ( Phyfiq.) définition. IV . 46. b. En quoi
la confiftance différé de la continuité. Ibid. 47. b. ■
C onsistance, {Pkilof.) état de perfeétion où les chofes
fufceptibles d'accroiffement ou de décroiflêment demeurent
pendant quelque tems. C e terme fe dit particuliérement
des arbres. Trois états qu’on diftingue en eux. A g e de*la
confiftance du chêne. IV . 47. a.
C O N S IS T A N T , ( Phyfi.) corps confiftans. Atmofphere
des corps confiftans, félon Boyle. IV . 47. a.
CO N S IS TO IR E , ( Hifi. anc. mod. Junfip. ) confiftoire des
•empereurs romains, des papes, des religionnaires. IV . 47. a.
Confifioire des empereurs romains : leur confeil intime.
Q u e ls étoient ceux qu’on appelloit comités confifioriani. IV .
47* a\ - - • Confifioire du pape 3 le pape tient deux fortes de confeils
avec les cardinaux ; le confiftoire public., & le confiftoire
fecret. Bénéfices confiftoriaux. Cédule confiftoriale. Comment
ceux qui font nommés aux bénéfices confiftoriaux
font propofés en confiftoire. Diverfes obfervations fur
la maniéré dont ces bénéfices s’obtiennent. Les abbayes
confiftoriales ne font pas toujours propofées en confiftoire.
Il faut pour expédier par confiftoire, que le. pourvu
ait toutes les qualités requifes. Des expéditions faites hors
confiftoire. IV . 47. i. Pourquoi l’on prend fouvent la
vo ie de la daterie plutôt que celle du confiftoire. Ibid.
‘48.Confifioire, en quoi confifte ce confeil du pape XI. * *.
831. a. Premiers confiftoires des chrétiens. I. 441. a, b.
Confifioire, affemblées que renoient les religionnaires pour
régler leur difcipline, &c. Difpofition de la déclaration de
1684 fur les biens donnés auparavant à ces confiftoires. IV .
48. a.
- Consistoire de la bourfe, ( Comm. ) à Touloufe. IV .
48. ... '
-CONSISTORLAL avocat. I. 132. a. Bénéfice confiftorial.
II. 203. b.
CO N SO L A T IO N , {Moral. ) de la maniéré d’adminiftrer
les .confolations. Attention qu’on doit avoir aux cirçonftan-
ces & aux rapports des- perfonnes intéreffées. IV . 48. a.
Eloge de l’ode de Malherbe à fou ami Duperrier , pour le
confoler de la mort de fa fille. C e qu’on pourroit di re
tous ceüx qui s’affligent de quelque perte. Singulière affliétion
d’un amant. Ibid. b.
Consolation , {Hifi. eccl.) cérémonie des Albigeois,'
par. laquelle ils prétendoient effacer les fautes de la vie.
Effet dé cette cérémonie. IV . 48. b.
Consolation. ( Terne de jeu ) IV . 48. b. '
CO N SO L E , ( Archit. ) énumération de plufieurs fortes de
confoles. IV . 48. b.
Confoles appellées termes & caryatides. X V I . 139. a. IL
734. a. Confoles appellées corbeaux. IV . 198. b.
CO N SO L ID A T IO N des plaies. Comment elle fé fait. VII I.
644. a.
C O N S O M M A T IO N , du mariage, ( Jurifipr. ) Effets civils
de cette confommation. IV . 49. a.
CO N SOM M É de chapon. ÔI. 182.b. La chair de coq
employée dans les confommés. IV . 178. b.
C O N SOM M E R , confiumer, {Synon. ) différentes fignifica-,
fions de ces mots. Suppl. II. 569. a.
C O N S O M P T IO N , {Droit nat.) prêt à confomption.'
XIII. 33<$. <2, b.
Consomption, ( Médec. ) voye{ Phthisie. Signes qui
annoncent la confomption dans un homme qui a été attaqué
de fyncope. V I . 122. b. L e ton grêle de la v o ix paffe pour
un ligne prognoftic de confomption. X IV . 184. b. D e la
confomption commune chez les Anglois : avis fur les remedes
convenables à cette maladie. III. 641. b. Efpece de gelée
recommandée dans la confomption naiffante. V II . 543. a. D e
la confomption dans les enfans. V . 661. a. 663. a. Confomption
uorfale. X V . 797. a.
C O N SO N N A N C E , { R/tét. ) les confonnances ont fouvent
de la grâce en latin. Exemples. IV . 49. a. D ivers noms que
les rhéteurs donnent à cette figure, félon la différente forte
de confonnance & la variété de la pofition des mots. Pourquoi
cette figure n’a pas le même avantage en français qu’en
latin. Confeil aux écrivains françois par rapport à ces confonnances.
Cependant il faut remarquer qu’elles font an tort-
fées dans les proverbes. Ibid. b. Voye^ A ssonnance 8c
Homoïoteleuton.
Consonnance, ( Mufitj.') intervalle formé par deux fons
dont l’accord plaît à l'oreille. D e cette infinité d’intervalles
dont les fons font fufceptibles , il n’y en a que très-peu qui
forment des confonnances. Celles que les Grecs admettoient,
celles que nous y . ajoutons. On les diftingue en parfaites &
imparfaites. Le caraétere phyfique des confonnances fe tire
de leur production par un même fo n , ou fi l’on v e u t , du
frémiffement des cordes. Comment s’explique ce frémiffe-
ment des cordes. D ’où vient le plaifir que les confonnances
font à l’oreille. IV . 50. a. Raifon qu’en donnent les pliyfi-
ciens. Obfervation de l’auteur fur leur hypothefe. Ibid. b.
Un écrivain judicieux, qui a donné des principes d’acoufti-
q u e , a rendu raifon du plaifir que les confonnances font h
l’oreille par la fimplicité des rapports entre les fons qui les
forment. Réflexion fur cette explication. Ibid. 31. b. Selon M.
Brifeux, les proportions qu’on doit obferver dans l’architecture
, font les mêmes que celles qui règlent les confonnances.
dans la mufique. Ibid. b. Foye[ Proportion.
CO N SO N N A N C E ,. ( Mufiq. ) accord de deux tons qui
plaifent à l’oreille. Elle tire, fon nom du ton le plus aigu
de l’accord. Suppl. II. 334. a. Suite des tons qui fe fucce-
dent dans un ordre déterminé. Confonnances & difionances
formées par ces tons. L’harmonie décroit à mefure que les
intervalles des tons fe rapprochent. Dans l’accord de deux
inftrumens femblables , la diffonance dévient plus défagréable
à mefure qu’on approche de l’uniffon. Propofitions que l’auteur
établit comme fondement de la théorie des confonnances
& des difionances, expofée dans la fuite de cet article. Ibid. b.
Limites qui font la féparation des confonnances & des difi
fonances. Ibid. 333. a. Pourquoi l’accord de feptieme, quoique
contenu dans l’étendue des intervalles confonnans, fait
une diffonance. Les intervalles plus grands que dans le rapport
de 6 à 7 , font confonnans lorfqu’ils ne fe rapprochent
pas trop du rapport de x à 2. Application des obfervations
précédentes au fyftème des tons, tel qu’il eft ufité dans la
mufique moderne. Ibid. b. Afin qu’un ton quelconque faffe
une confonnance complette avec le fon fondamental, il
faut de plus, qu’il faffe confonnance avec l’o â a v e & la
quinte de ce même fon. Intervalles confonnans. .Confonnances,
parfaites & imparfaites. La propriété principale des
confonnances eft de fatisfaire l’oreille & de produire des
repos. Les difionances, au contraire, inquiètent fouie , &
font defirer des tons qui ramènent le repos. Pourquoi les
accords confonnans forment des cadences. Des fons confonnans
, lorqu’ils font étrangers au mode dans lequel on joue,
forment une efpece de diffonance. Comment il fe peut faire
qu’une piece entière de mufique n’ait que des accords confonnans
, 8c qu’elle conferve néanmoins les grâces de la variété.
Ibid.' 3 36; a, •
Consonnance. ( Mufiq- ) Des eas où certaines confonnances
C O N
stances (ont
Ibnnance à une auttfe Suppl II 5 SP* 4, o r . Confinmnct- Accords confonnans. I. 7«. «. 78. * Inter-
valles confonnans. V I I I . 839. b. Confonnance appellee par
les anciens paraphonie. XI. 920. b. Moyens employés par
miplnues philofophes grecs pour trouver les rapports des
confonnances.XV. 343.æ, b. Lequel eft le plus agréable à l’oreille
, dePunition ou d’un intervalle conlonnant. X V i l. 307. a.
Les premières compofirions n’avoient pour bafe qu’une fuite
d ’accords confonnans. Suppl. I. 118. a. Pour qu’une com-
pofition foit parfaite, il faut en effacer toutes les diffonan-
c e s , & que les accords confonnans qui reftent foient encore
un tout bien harmonique. To us les accords confonnans des
trois, parties , naiffent de l’accord parfait. Ibid. b. Accords
qui renferment les trois principaux intervalles confonnans
119 b D u choix des accords confonnans 8c diffonans pour
l’exprcflion muficale. Suppl. II. 926. <*. Des confonnances ,
félon M . Jamard. Suppl. IV . 867. b. 868. a, b. S elon M. Kirn-
berg er, 873. b. & c . Confonnances univoques, 994. a.
C O N SO N N A N T E , ( Luth. ) forte d’inftrument de mufique
, qui particine du clavecin oc de la harpe. Suppl. II. 3 56. b.
CO N SO N N É , {Gramm.) divifion des lettres en v oyelles
& en confonnes. Fondement de cette divifion. Enumération
de plufieurs opérations naturelles que nous faifons fans aucune
connoiffance des caufes phyfiques qui concourent à ces opérations.
Quoique cette connoiffance foit inutile pour notre
confervation, elle eft très-utile pour agir avec lumière, &
connoître le fondement des fciences & des arts qui embel-
liffent la fociété. C ’eft en conféquence'de cette étude que
quelques perfonnes ont appris aux muets à parler, à lire &
à écrire. IV . 31. b. Idée générale de la méchanique de la
voix. Ibid. 32 .a. Comment le forme le fon des voyelles. Ibid. b.
L e nombre des voyelles eft plus grand qu’on ne le dit communément.
Formation des confonnes, modification de 1 org
an e , néceffaire pour cela. Ibid. 33. a. L’union ou combi-
naifon d’une confonne avec une v o y e lle , ne peut fe faire
que par une même émiflïon de v o ix ; cette union eft appell
e articulation. Cette combinaifon fe fait d’une maniéré
fucc effiv e; elle ne peut être que momentanée, & de peu
de durée. Formation des diphtongues. D e s fyllabes: définition
: les fyllabes terminées par des confonnes font toujours
fuivies d’un fon foible. S’il y a dans un mot plufieurs confonnes
de fu ite , il faut toujours fuppofer entre chaque confonne
cet e foible & fort bref. Fondement de la divifion des
lettres en labiales, linguales, palatiales, dentales, nazales^guttu-
rales. Diftinétion des lettres de cette divifion. Ibid. b. Obfervations
fur H afpirée & les gutturales en différentes langues.
Les lettres d’une même claffe fe changent facilement l’une
pour l’au n e , l e i en p , le d en t, & c. Lè nombre des lettres
n’eft pas le même par-tout. Il y a-des peuples qui mettent
en aétion certains organes dont les autres ne font point, d’u-
lage. Il y a aufli une forme ou maniéré particulière de les
faire agir. Modulation particulière à chaque pro vince, &
même à chaque ville. Obfervations fur la langue chinoife ,
fur ie s lettres & les mots de cette langue. Ibid. 34. a. Nous
avons dix-huit confonnes qui ont un fon bien marqué. Nous
devrions donner un caraftere propre, déterminé, unique ,
& invariable à chacun de ces fons. D e l’ufage de nommer les
confonnes par le fon propre qu’elles ont dans les fyllabes
où elles fe trouvent. Utilité de cet ufage. Tableau figuré, où
fe trouvent en première colonne la figure des confonnes, en
fécondé colonne leur nom , & dans une troifieme des exemples
de chaque confonne a vec chaque vo ye lle. Ibid. b. Obfervations
particulières fur la lettre x que l’auteur bannit du
nombre des confonnes, parce qu’elle n’a pas de fon qui
lu i foit propre: elle eft confidérée ici comme une lettre double.
Ibid. 33 .a. Divers ufages auxquels elle eft employée.
Pourquoi l’auteur rejette le *c a raô e re s auxquels un ufage
aveugle a donné le Ton de quelqu’un des quinze rapportés
dans le tableau. A ces quinze fons, on en pourroit ajouter
iquatre autres qui devroienf avoir Un caraétere particulier ;
le ch, le gn, les deux II mouillées,- 8c le mouille foible ye.
Ibid. b. Obfervations fur chacune de ces confonnes, 8c les
mots ou fyllabes où elles entrent. Ibid. 36. a. Divifion des
confonnes foiblcs & confonnes fortes. Exemples des unes &
des autres rangés en deux colonnes. Ibid. b. Obfervations
fur les quatre confonnes m, n, l, r, dont le fon ne change
point du foible au fort. Si une foible vient à être fuivie d’une
fo r te , elle prend aufli lé fon fort. Ibid. 37. a.
Confionnes, principe de la diftinétion des vo ye lles & des
confonnes. IX. 406.- a. Comment les maîtres de leélure
nomment toutes les confonnes. II. 473. a, b. D e s confonnes
confidérées dans leur caufe 8c dans ieur nature. IX. 407. a.
Leur diftinétion en deux fortes. Suppl. I. 604. b. Obfervations
fur les articulations & les confonnes. V II I. i, a, b. & c. Les confonnes
font la partie effenùelle de l’orthographe. XI. 669. b.
Réglés fur la fociabilité de .ces lettres. X V . 717 . a, b. Les,
confonnes comparées aux coups de langue qui font entendre
les fons fur la flûte. X V II . 479. a. S’il eft vrai que nos peres
Tome I.
C O N 389
ont doublé les confonnes pour marquer que la v o y e lle qui
précédé étoit breve. V . 184. b. Troisclaffes de confonnes;
les labiales,les linguales 8c les gutturales. VIII. 2. a. V o y e z
leurs articles. D e la permutation des confonnes. .IX. 400. b.
Confonnes muettes. X. 849. a. Nazales. XI. 31. b. Confonnes
ramiftes. XIII. 783. a. D e la prononciation des confonnes.
Suppl. III. 13 1. a, b. D u choix des confonnes pour l’harmonie
du ftyle. 303. a. b. Sur les confonnes, voyc^_ A rticulation.
CO N SO R T , nom d’une fociété du tiers-ordre de faint.
François, établie à Milan. Fonélion de diftribuer les aumônes
dont elle s’eft chargée. IV . 37. b.
Consorts, {Jurifipr.) ceux qui ont le même intérêt dans
une même affaire , &c. On appelle aufli conforts tous ceux
qui plaident conjointement par le miniftere d’un même procureur
; &c. IV . 37. b.
CO N SO U D E , {B01 an.) caraétere des fleurs de ce genre
de plante. IV . 37. b.
Confioude r o y a le ,o u fpéronnelle. X V . 43i . æ.Grandecon-
fo u d e , ou fymphytum. X V . 741. b. Son ufage en teinture.
X V I . 20. b.
CONSOUDE , grande , {Mat. méd.) propriété que les anciens
auteurs avoienPattrihuée à fa racine. Ufage due certaines
filles en ont fa it, au rapport de Sennert. Maladies dans lef-
quelles cette plante eft réellement utile. IV . 37. b. Manier®
de l’employer. Son ufage dans les applications extérieures..
Préparations du fyrop compofé de grande confonde. Ses propriétés.
Compofirions officinales dans lefquelles entre la racine
de confonde * Tes feuilles & ’fon fuc.Ibid. 38. a. '
CO N SP ICILLUM , ( Ophiolog. ) efpece de (erpsnuSuppl.
II. 478. a.
■ C O N S P IR A N T , ( Méch. ) puiffances confpirantes. Il n’y
a de puiffances .véritablement confpirantes que celles qui
agiffent dans la même direétion. Des puiffances qui font
angle entr’elles. IV . 38. a.
CO N SP IR A T ION , conjuration. D ifférence entre ces mots»
IV . 38. «.
Confipiration. Loi qui preferit , fous peine de m o r t , de
révéler les confpiratiôns auxquelles même on n’a pas trempé.
IX. 638. </. Officiers romains qui étoient établis pour arrêter les
confpirarions. X V I I . 790. b. Des peines qui doivent tomber
fur un corps de confpirateurs. IV . 670. a.
C O N S T A N C E , {Morale) on ne peut compter ni fur ce
que dit le menteur, ni fur ce que fait l’homme inconftant.'
Dangereux effets de l’inconftance. Comment la. confiance
devient opiniâtreté & l’inconftance raifon. IV . 38. b.
Confiance. D ifférence entre cette vertu & la fermeté, VI.'
3 27. a. 8c là fidélité. Suppl. III. 37. b.
Constance , divinité des anciens. IV . 38. b. Voye^ Inconstance.
C onstance, {Géogr.) v ille impériale, &c. D u concile de
Confiance 8c de ce qui s’y paffa. D e l’évêque de Confiance.
Etendue du lac de ce nom. IV . 38. b.
Confiance. Ifle du lac de Confiance. X IV . 43. i . D e l’évêque
de Confiance. IV . 68. a. Conteftation fur les annates dans le
concile de Confiance. I. 478. a.
CONSTANCE-CHLORUS , {Ififi. du Bas-Empire) fils d’Eu-
trope & de Clau d ia, petit-neveu, par fa mere , de 1 empereur
Claude-le-gothique. Pourquoi il fut furnommé Chlorus.
Hiftoire de fa vie & de-fon régné. Suppl. II. 336. b.
CONSTANCE II ; {Flavius Julius) fils du grand Conftantin ,
régna conjointement a vec fes dèux freres. Defcription de fon
régné. Suppl. II. 3 37. a. :
Confiance II. Obfervations fur cet empereur. X V . 228. a.
C O N S T A N T , ferme , inébranlable. Différence entre ces
mots. IV . 38. b.
Constant I , ( Hifi. du Bas-Empire^) fils du grand Con-
ftantin , régna conjointement a vec fes deux freres, Confiance
le jeune & Conftantin. Defcription de fon régné. Conjuration
de Magnence. Fin malheureufe de Confiant. Suppl. II.
337. b., 1
Constant II , qui prit quelquefois le nom de Conftantin
I I I , étoit fils d’Héraclius Conftantin, 8c de G régoire, fille du
patrice Nicetas. Principaux événemens de fon régné. Suppl. IL
55^- a- C O N S T A N T E , quantité , ( Géom.) quantité qui ne varie
point par rapport à d’autres qui varient. Caraéteres dont on fe
fert en algèbre pour marquer les unes & les autres. III. 38.Æ.
Quand on a intégré une différentielle , on y ajoute une confiante
qui eft quelquefois nulle, mais qui fouvent aufli eft une
, quantité réelle. Réglé la plus facile & la plus ordinaire pour
bien déterminer la confiante. Ibid. 39. a.
C O N S T A N T IN , CaïusFlavius Falerius Claudius , {Hifi.
du Bas-Empire) fils de Conflance-Chlorus 8c d’Hélene. Hiftoire
de fon régné. Suppl. II. 338. a.
Constantin. Obfervations fur le caraétere & le régné de
cet empereur. XI. 130. b. I31 . fi. X IV . 337. b. Affaires de
Conftantin & de Licinius. Suppl. III. 741 . b. Difcuflion fur la
vifion célefte de Conftantin. X V I I , 348. a , b. — 334, a,
F F f f f