d i s s e r t a t i o n S û r l e s d i v e r s e s e s p è c e s
n l B iA i Él I
S : ' La m^tam°rphose que les Grecs ont fait su b i à ce mot " ’I f
de/a reçu défiguré dans celui de ^ s avoient
don, | J m à Î E J t ¡ É | * ™ « * | " « » Je « c e « ,
A R T I C L E III.
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la Langue de ces peuples,
nous avons observée en plusieurs endroits. Cet ¿ t r u n u T ^ f a 7 “ ” ’ I
disque, nous a paru être une evmhafo n i • , ' 9UI a la forme d un
de personnages qui ressemblent à des femmes chfs f L ^ T T
Ménandre, cité nar Strahnn ct,on de danser en rond.
q u i se fa iso ie n t c in q fo is p a r jo u r ’,'“« fa 'f em m e s , | R f l | s e p T r
r o n d , f r a p p o ie n t des cvm b a le c M „ Ë „ seP £> fo rm a n t un
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R de BaCchus (4 )- PJutarque en p'aHe
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soit connu. occupe, et nous doutons -qu ïiîl
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mais il est évident que ce w Ê s Ê Î E K i P® ^ m0t KVAlW'01' [kymbalonj;
que ce mot est le meme que celui de de la versiln
( 0 H _ n y a pa s plus d e différen ce dans les c l.a n .e , , ,
mens q u o n t subis tous ces n om s , q u ’il n’y en a dans le " " ull,laba" 1-
changement du nom d e Rachvd v i l l e H’Pen».* , . T „ ' Menand. in ojorem muiîcrnm,
* R o s a u q u e ini o n t d on n é le's França is ' " " " | £ S | T d™ Ie M temple
M l Iib - V I I , p a g .3 5 7 . IvU au tour d u be rceau d ’O ru s , et frappant des cyni--
(3) Sacrificium quinquies in d ie : !*** SOIf aussi au n ombre d e sept.
Çymbalapulsabantseptem ancillce p er orbem - ‘ U \ Com[ tum “ ncrepuere manus.
* u J T rad u c tio n d A m y o t .
des
des Septante, d’après laquelle les Qobtes ont composé la leur, et qu’il n’appartient
point à la langue Egyptienne.
Si nous pouvons en juger par le texte Hébreu et.par la version Ethiopienne,
qui lui est très-conforme, le nom de la cymbale et celui du sistre ne diiféroient
entre eux que par l’épithète qu’on leur ajoutoit pour les distinguer l’un de l’autre.
On appeloit crotale sonore les cymbales (i) , et crotale bruyant (2) , le sistre.
Dans l’un et l’autre cas, on se servoit, en hébreu, du mot [i^ilt^elet] , e t , en
éthiopien, de celui de Mhi\ [tçenacel] , qui, comme nous l’avons déjà fait observer,
représentent, l’un et l’autre, le mot Égyptien cencen; d’où nous inférons que
le mot cencen signifioit, en général, les sons bruyans de tout instrument de métal,
et que le nom des divers instrumens de cette espèce, n’étoit distingué que par
une épithète qui désignoit, ou la forme de chacun d’eux, ou la qualité du son
qu’ils rendoient.
(1) En hébreu, jrotf ’bübïa f b e tfiltçelei chaîna J ; (2) En hébreu , .’“■“ijfVin [be tçîfyeleitherouah] ;
en éthiopien, [b e içenacel 1-écorné en éthiopien , [b e tçenaccl ouava
aalou ] . .......................... bave ] .