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î86 MA R M A R
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contrat ch il que les parties peuvent rompre. Cauies pour
lc(qi:cllcs une femme peut demander d’êtreféparée de ion
mati. A quoi cil obligé le mari qui veut le leparer de ia feny
me. A quoi il ell emulamncloi lqu'il veut la reprendre. Trois
fortes tic femmes tpi’il cil permis d'avoir. Détail des formalités
ufitécs dans les mariages des Turcs. X. !i5 - m Du
tlütiaire des femmes. Des cérémonies de mariage pour les
femmes que l'on prend liinpkmcnt en pcnfion. Des k'uiucs
ck'lavcs. De la fucceffion des entans piovenus de ces dilte-
rens mariages. UiJ. b.
j\Lin.igcs des Coptes. Suppl. U. 593. “ , b.
M.iruc,e des M.iurcs de f- c t lk de Maroc. 111.903-0.
M.vUlAGr , ( Med. Diete) le mariage compris dans la claire
des eliofcs non naturelles. Quatre cliofes eonfidcrées dans
l'aeliou du mariage. 1°. L'c-vcrétion de la femence , a", k
ir.eclianifmc de cette excrétion, 3“. les plailirs qui y font aita-
c i t é s , . l e s fu i r c s qu’elle a dans les femmes.
l'é rsé'cdllté de rc.vcrction de la femence, loifqu’e lk a etc
perfeftionnée par l'on féjour & fon accumulation dans les véfi-
culcs fénnnales. Maux ou accitlcns qui réfultcut du trop long
féjour de cette humeur dans les vaillêaux qui lui font pro-
]>rcs. X. 116. U, Ces maux plus dangereux dans les pcri'on-
nes du fexe. Enuméiraion de ces maux dont le mariage Icul
cil k vrai remede. Hcuieufc témérité de Roltânk , qui pour
guérir une iilk dangereufement malade , le fervit d un moyen
artilicielj S: la çuérit entièrement. Ibid. b. Dans tous les
icm s ,le s loix politiques ont encourage k mariage par des
réconipenfes, & puni ceux qui fe foullrayoient à fon -oug.
Avantages de l’aélion nioJerée du mariage. Iiiconvéniens attachés
à fon excès. D e fàge propre au mariage dans les hommes,
//■ .'j'. 117. U. & dans les femmes. Exemples de qucl(|iies
vieillards qui ont eu des enfaus dans uu âge très-avance. Ibid,
b. 1". Réflexions particulières fur k méchauifmc de l'excrétion
<]•. la femence, fur l'état de conUriélion, de refferrement,
(le faififl'ement général qui la précédé, l’accompagnc & la
détcrn.me, E.'-f'ts faU::airesde cette forte de mouxemens con-
vulfif. En quels cas ils peiivcm être dangereux. 3“. Les bons
elî'ets protluits par le mariage,dépendent principalement des
plaifus qu’on y gciire. Defcription de rhciireux état d’un
homme qui en a joiu Ibui. 118, j . Les perloiincs du fexe
plus feiifibles aux imprellions du niaifir, en reffentent aiiil
davantage les bons eriets. Souvciu le mariage les rend plus
b-llcs. Les plaifirs du mariage plus délires des veuve-, que des
filles- 4h üburvations fur les maladies de 1a groffelle , Clc lur
les effers de cet état fouvem heureux pour la famé. IbiJ. h.
D e la famé des femmes qui ont fait hc.iuctmp d'eihans. Les
accouchcinens des femmes trop jeunes fouvem difficiles 8c
danoereux. Des femmes chez qui certains def.uits de confor-
mau'-n rendent les acconchemens très-dangereux , ou même
impolTiblcs. Des cas où l'opéraiion céiarienne eû indifpenla-
b k . Raifons qui doivent engager une mere à allaiter fon enfant.
Ibid. 1 19. J.
A / j’-iu?e,du tems k plus propre à remplir k s devoirscon-
jugaii.x. X. 196. U. Préceptes de Cclfe pour k s gens mariés.
tspo.b. Plaisirs de l'a.moub 8c Coït.
Ma r ia g e , {Myth. L in.) dieux du mariage. Hymen &
Talafuis: ces mots. Divinités qui prcfidoient aux fonélions
du mariage. VIII. 636. b. Poeme à l’occafion d’un mariage.
V . 818. a , L
JViARIANA, {Jean) favant efpagnol. X'V. 861. a ,b .
Îy1ARIANES^A( ißes ,{G éo g r.) ou les ißes des L.irrons.
Efpacc qu’elles occupent. HiAoire de ces ifies. Leur population
aiAuclIe. X . 119. b. Agrémens de ces pays. Defcription
& moeurs des infulaires./l’ia'. 120. a.
M.niaaes, vo v ez LARRONS, ißes des. De leurs habitans.
V I I I .34î-^-
M A R IC A , ( A/yr/i. ) déeffie de Minturne. Son bois facré.
On prétend que Mai ica cA la même que Circé. X. 120. a.
MariCA Sylva , ( Géogr. anc. ) bois d’Italie dans la Campanie.
On übfervoit de n’en rien laiiTer forrir de ce qui y étoit
entré. Evénement malheureux arrivé à Marins près de ce bois.
X. 120, U.
M A R IE , chevaliers de faintc M.irie, {Hiß.mod.) X. 120.i.
MARiE,/ji/7fe, (Géogr. ) différens lieux de ce nom. X.
1 20. b.
Marie, /torf ßünte- (Géogr.) XIII. 132.
Marie-aux-mines , /.zi/iK- {Géogr.) mines de ce lieu. I.
638. U.
Marie, amenuir.e de la mer, {Hiß. facr.) foeur de Moyfe
Scd'Aaron. Principaux événemens de fa vie rapportes dans
nos livres faims. Suppl.WX. 830. a.
Ma r ie , reined'Angleterre,fille de Henri VIII. Son cara-
ftere. X. 254. a.
Marie Stuart , reine d'EcoAe, devife qu'elle prit dans
faprifon. X I.79^. u. fur cette reine, l’article Elizabeth,
reine d’Angleterre.
Marie T herese, impératrice d'Allemagne, fon éloge,
VUi. 286. rt. Lö yq fur cette impératrice rarrlcle François,
empereur,
MARIES, (i/z/?. mod.) fèces ou réjouiiî’ances qu’on faifoU
autrefois à Venilc. Leur origine. Comment on les célébroit.
Cérémonie dans laquelle on en a conlervc quelque trace. X.
120. b.
MARIÉE , Rime, ( Po'df. Franc. ) X. 121. a.
Mariée , ou jeu de l.i guimbarde, ( Jeux ) defcription de ce
jeu. Explication des règles qu’on oblervc en k jonaut. X.
121- a.
M A RIÉS , nouveaux, {Jurifpr.) droit de chevet qu Lis
payoient autrefois. 111. 317.^.
M A R I -G A L A N T E , (Gé(igr.)ifle de l’Amérique. Sa Atua-
ilo n , fa forme 8c fon étendue. Defcription de rintéticur du
pay.s. Ses produélions. X, 122. a. — Voye^ Suppl. UL 275. é-
M A R IG N Y , ( Enguerrand de ) furimemlant dos finances :
fa mort tragique. X. 686. b.
M a RIGn\ ' , ( Jacques Carpentier de) poète. XI, 114. u.
M A R IL A N D , {Gêogr.) province de l’Amérique fepten-
trionak. Ses bornes. Le goiphe de Cliofepeak la travede pur
le milieu. Ses proch' Aions. Anim.uix qu’on y trouve, üblcr-
vations fur les naturels du pays. Des poAeliions des Anglois
dans cette province. Son principal lieu. Sa fmiation. Sa tein-
^'’ m A R IL L A C , Cède. III. ■ jSo. b. Condamnation du maréchal
de Marillac. Suppl. IV . 689. b.
M A R IM B A, inArumem de percuAion ,cn ufage
parmi les peuples d'Angola , de Matamba, Se de quelques autres
contrées. Sa defcription. IIL 850. é. ^ ^
MARIN , {Hijl. nat. ) divers corps marins trouvés dans les
lieux k s plus éloignés de la mc r:fyAèmes formes fur ces
obfervations. X. 359..?. Animaux marins; comment ils multiplient.
Suppl. I. 123. b. Plantes marines. XII. 821. h. Sel
marin , acide marin, voyeç ces mots.
M a r in s , ifk/zx , ( Myth.) leurs fymboles. X V . 720. a.
M a r in s , gens de mer, {MéJec.) de leurs maladies. IX.
921. J. X. 122. b. I l } , a. Suppl. I- 235. b.
Marins ,{A n n u u ù q . ) nuÿitrcs marines, voy<?{ Montre;
Cartes marines, veysç Cartes.
m a r i n a d e , (Cui/ine) faumure ou fauce de ce nom;
Matières végénaks préparées dans une marinade. X. 122. -•/.
MARINE , ( Marine) livres à confulter pour l’IiiAoire de
la marine. HiAoire abrégée de la marine’ françoife. Les réflexions
fuivantes font tirées d’im ouvrage fort folide 8e fort
rare, intitulé, /^é/?c’X-iona d'im citoyen fur la marine. D é l a teur
de cet ouvrage. Maximes fur les guerres maritimes. D e
lacaufe des maladies fur les vaiAeaux, Si des moyens d’y
remédier. X. 122. b. Du moyen d’avoir des matelots. Ibid.
124. a. D e la néceflité de croifer contre le commerce anglois.
Ibid.b. Des officiers de marine. Ibid. i i } .a ,b . De la proteélioii
du commerce des colonies. Ibid. 126. a. Des invafions. Coa-
clufion. Ibid. h.
Marine, celle des Romains. Suppl. IV. 671. b- Code de
la marine. lU. 580. b. Ordonnance d e là marine. V . 13 1 .
b. Confeil de marine. IV . 13. a. Officiers de la marine. X I.
426. b. Capitaine de marine. II. 630. b. Controleur de la
marine. IVb 1157. L Surintendant & intendant de marine, V I I I .
812. a. X V . 690. U. Garde-marine. VII. 486. b. Prévôt de la
marine. XIII. 348. a. Soldat de marine. X V . 3 i i .u . Nombre
des efeadres de la marine de France. III. 272. b. Academie
de marine à BreA. Suppl. I. 92. a , b. Ephémérides pouiT’u-
fage d e là nv.mns. Suppl. II. 817. é. Oblérvaiions fur la marine
des Chinois. X V . 329. b. Service de marine, voyei
Service. Planches de marine : elles font contenues dans le
volume VII . . r r
M a r in e , {Peinture) principaux peintres qui fe font dil-
tingués dans ce genre de peinture. Les artiAcs d’Angleterre
y excellent aujourd’hui. X. 127. a.
Marine. Tableaux de marine dans Herciilanum. Ill,
3C7, b. 338. a.
MARIN GOU IN , ( Hifl. nat. ) efpcce de coufm fort commun
en Amérique. HiAoire de ces infeéles. Comment on a
travaillé à s’en préferver. X. 127. zJ.
M A R IN I , ( Jean-Bapiijle) ou le cavalier mann. V. 819. <r,
Ma 'r ÎN O , contrée de , ( Géogr. ) pays d’Italie. X. 127. b.
Marino , San, ( Géogr.) bourg d’Itahe. Maifons de campagne
qui écoieuc autrefois dans villa M.iriana, & dans foiï
voifinage. République de S. Marin. X. 127.
MARJOLAINE , ( Botan. ) _ caraftercs de ce genre da
plante. Defcription de la marjolaine vulgaire. X. 127. b.
Lieux où elle croit. Ufages auxquels on l’emploie, Huile
effieu:;?lk qu’on en tire. Lie réfmcufe qu’on obtient en rec*.
lifiant cette huile. Jéii/. 128. ix. v i /- i
Ma r j o l a i n e » {petite) Voyei O rigan. XL 643;
Ma r jo l a in e , ( Pharm. Mat. médic. ) Deux fortes de msN
iolaines dont on fe fert dans k s boutiques. Leurs propn«^
tés. Ufage r/e la poudre des feuilles, & de 1 eau diAil ee.
Propriétés & ufage de l’iiuik cffenticlk. Huile douv e
I chargée des parties aéUvcs de cette plajne. X , 1 28. a.
M A R
M l lU C N , itvocat au p.ulcmcm de Paris. XI.
^ ^m a r i o n n e t t e . f-Vfk/iu«.’) anciens auteurs qui en
. . TY( ,* ... ....... 1,1..... /J/' r\n vo. fn TlfYlIi'
Î,1 A R 187
rié. Piulieurs son loi
:onte , de 1 Irak. X.
de comparaifon ]JOur
S. ù. Principaux joueurs de ma-
l ' rance, laid. 129. a.
e k ; Romains uroduifoieilt. X. 16. b.
rk.-mtetes qui ont pai u e.
Marionnecic hideuie qi
Maiionneue, teni
i ^ I J t
M arionnette ,) X. 129..
,
M A R lÜ T f 'E , (Edme) de l'acaJenue royale des foen-
ces: Tes obfervations (ur la (iiia.nu- d e.ai de pluie. V i l.
00. b. Ses ouvrages piiynoloy.iquu». .jup^l. IV. 352. a.
M-MllT.AL, /-‘otivvir. XIII. 35^-
m a r i t im e , 'V illes marilimes. X y i l . 282. a. Commenf
elles font défendues. III- 482. a. Liage nés gakros dansle
Ae^e de ces places. Suppl- III. 169. - i, b. Obfervatlou fur
k s noms de quelques-unes de ces villes. V I. 864. b. Syni-
b o k des vilk,> m.trltiiues. X V . 753. a. 734. a. Service ma-
rùime, SERVICE. Droit maritime. V . 131. i . Contrat
lu ••riiiine. IV. 123. é. Epaves muriiimes. V . 63' '
TeAameiit maritime. X \T . 193. •/. Ufure muitime. XVII.
^^VIARIVAUX, {Pierre Carkl de) afieélation dans fort
Avle. Suppl. I. 181. b. Suppl. III. 302,
^.MARIUS, {Caius) fes aventures près de Minturne oc
d:;ns cette ville. X. 120. u , b. 339. a , h. Précis de fa v k
depuis CCS événemens. 339. b. Sa rèponfe à l’officier de
Sextilius. XIV. 137. b. Temple qu'il bâtit à l’hoiineiir
8c à la vertu. XVI. 80. b. Les trophées de Marius abattus
par Sylla Sc relevés par Céfar. 669. a , b. 706. a.
Marius , ( Cn. ) appelle l'amid’AuguAc ; fon goCitpour kâ
jardins. V ü l . 439. a.
MARLBOkOUGH , voyr^ Churchill.
MA RLiE on Marii, ( Â n d'OurdiJf. & Soierie ) Deux fortes
de inarli, k Ample & k double. Compofition du luarli
groAier 8c du fin. Compofition du marli croifé on façon
d’Angleterre. Travail de ces difiérentes lottes de marii. X.
129. b,
Marli , travail du marli repréfemc cn 13 planches dans le
vclmue XL
M.ARLY. Defcription de la machine de Marly , VIII. 361.
l\ IX. 793. vol. V des planches, Hydranlicpie. GrouppeS
de la Renommée 8c de Mercure dans k s jardins de Marly.
X IV . 830. a. Colonnade de verdure dansées jardins. XVII .
C l. b.
MA RM AN D E,, {Géogr.) ville de France en Guienne.
Ouvrages de François Combefis , dominicain , né dans cctcC
ville. X. 130. U.
MAP«.MARA. {Géogr.) Iflcs de Marmara. Leur produit.
.Ville de ce nom. Mer de Marmara. X . 130. b.
MARMARES , ( Grùgr. anc. ) peuples des fromieres de la
Cilicie. Guerre qu’ils fôutinrent avec Alexandre k grand.
X. 130. b.
M A RM A RIQ UE ou Marotide, {Géogr.) partie de la Ly*
hio. Suppl. 111. 816. b.
MA'RMELADES. 111.856. a. Marmelades d'abricots. 57/y/7/.
I. 36. U , b.
MARMITE. Comment fe prépare le monk d’uhe marmite
à piés 8c à oreilles. V IL 154. b. Comment unfabkur
fait k moule d’une marmite. 13 3 • u. Voye^ vol. IV dos planches
, Forges , planche 4 .— 9.
M A RM Ü L , {L o u is ) auteur efpagnol. VÎI. 933.
M.ARM ÜRA , rr.erde, {Géogr.) X. 366. a.
M A R M O T T E , {H iil.n at.Zo o log.) deferlption de cet
animal. X. 131, a. Divorfes obfervations fur k s moiivc-
mens , l’inAine^ Sc k s goûts de cet animal. Pourquoi l’on
ne mange guère fa chair. Lieux où il le plait. Sa retraite.
EngourdilTement qu'il contraéle en hiver. Portée 8: durée
(k la vie de ces animaux. Dilfércnies cfpeces de marmottes.
Ibid. b. Comment les marmottes , 8c k s loirs qui font pliiAcurs
mois fans prendre de nourriture , out cependant k ventre rempli
de grailTe. Ibid. 13 2. a.
M.irmoue, animal de cette efpecc coniui cn Sibérie. 'M il.
543- Y
MARMO UT IER ou AX./iirmK«r/tfr , {Géogr.) petite ville
de France. Sa fondation. Son abbaye. Autre abb.iyc de
même nom , fondée dans la Touraine : diverfes obfervations
fur celle-ci. X. 132. a.
M A RM O U T IER S , monafierc cn Touraine. IX. 53o..r.
M A RNAU X , ( Pèche ) rets_ qui feri à faire la pêche des
osfeaiix. Sa defcription Sc fonul.ige. X. 132. a.
M A RN E , {Miner.& Eton, tujiitj.) Peu d’accord entre les
naturalifics fur la nature de la marne. Propriétés qu’elle acquiert
de fou mélange avec l'argilk. D ’oii vient fa propriété
<ic fertilifer les terres. C ’efl avec peu do raifon qu’elle a
été placée au rang des terres argllkufes. Contradiéflons entre
les auteurs anglois fur cette matière. Comment elle eA
propre à fertilifer les terreins irop pefaiis. Efpcce de marne
propre à fcriilifer les terres maigres £c fablonucufes. X, 132.
b. La vraie marne fora très-propre à bonifier un terrcln humide
oc h.'s. Moyen de s’aU'urer A une marne cft pure, A
elle eft mêlée (l’a r g ilk , ou de glaife , ou A elle u’efi qu’ar-
g llk. L.i manie ne peut coavculr aux icrreins déjà calcaires
8c l'pongleiix. Comment on pourra k s tertllilcr. Variétés
dans la marne i)ar rapport à la couleur. Ibid. 133, .1.
Marne , ( OryHol. Eeonom. rurale ) Caraélere de la marne.
Ses ciiiIereiiLes clpeces : marne à porcelaine : terre à pipes:
marne ciecaeee : marne à foulons : manie cubique : marne
petr.ii.il.de : iiurne vitrifiable. Suppl, lil.830. Djvifiun des
marnes leloa leur.; couleurs. Obfervaiion fur k s marnes
co.quiüiero'.- Nature des terres marneufes. D'où vient leur
propriété de tertihler k s terres. Leur divlfion économique
en lix lortes , leion k s Anglois ; i". l’argilk iriarneule ,
que l’on trouve quelquefois fous des lits de marne créta-
c i e , inutile pour l’engrais ; 2“. de k iiiarne b rute, veinée
de bleu , 8: mélangée de pierres calcaires ; 3”. une glaife
brune, tirant fur k bleu , appellee indift'éreinment argillc
8c m.irne ; 4". le penebaut des collines Sc les terreins marécageux
contiennent quelquefois une marne b ru te , compacte
Sc fort grafle ; ibid. 831. a. 5 ’. une marne brune qui
fe tire , ou du fond des puits , ou fous des terreins fablon-
iieiix ; 6'c. 6“. Une mainc qui fc délite en feuilles minces,
& que l’on trouve prés de certaines mines de charbon.—
Caraéteves de celles qui font propres à amender k s terres.
Ibid. b. Expévicuccs qui peuvent fervir à reconnoitre la
ni.;rnc , 8c à en faire ufage. Annlyfe qu’on eu a faite. Di-
viiion (jes marnes , félon .M .D u v e rg é , cn marne argiüciife ;
m.inie pirrreufe ; ibïd. 832. a. frduns 8c maiiiers. Sylléme
de M. Mills fur le même fujet. Ouvrage à conuilter, O b fervations
faites fur quelques marnes grifes d’ardoifes. Ebullitions
produites par k mélange des marnes avec quelques
acides. Ibid. b. Conféqucnces qu’on en a tirées par rapport
à leurs cA'cts pour la végétation. Comment elles font propres
à attirer l’efprit univerlel répandu dans ratmofphere ,
â s'en imprégner, & à cn nonrrb les terres. Ibid. 833. a.
Différentes compoAtions des manies. ConcluAon générale
de pratique : dilFérentcs manières de le.s employer ieloa
leurs qualités. Ibid. b. Argilles dans la Touraine qui ont
beaucoup d’analogie avec la marne. Efpcce de foffik nommé
fivon de roche , qui a ra[>parcnce 8c piulieurs propriétés de
la marne. Ibid. 854. a. De la proportion clans laquelle oit
doit employer les marnes , félon leurs différentes cfpeces 8c
celles des terres qu’on veut fertiUler. Ibid. h. Conibinaifon
de la marné avec k fumier , ou d’une marne avéc une autre.
Par-tout Oil l’on a un peu examiné k terrein , on a trouvé
de-, marnes de toute cfpece , Sc l’Angleterre n’a à cet égard ,
comme quelques-uns l’ont cru , aucun avantage fur nos provinces.
Moyen de s’aft'urer A une terre renferme de U
marne. Ibid. 833. a. Diverfes obfervations 6c direfllons fur
la maniéré de l’employer. Ibid. b. C ’ell une erreur de croire
que la marne rende Aériks k s terreins après k s avoir terti-
lifés pendant un tems. Obfervations de pratique faites en
SuilTe Air kl marne. Ibid. S36. a. Ouvrages à confulter. An-,
cienneté de l’ufuge de cet engrais pour les terres, IbiJ. b.
M.irne. La marne 8c la pierre font les deux termes des
matières calcinablcs. II. 534. b. Terres marneiifes d’Angleterre.
IV. 361. a. D e l’iifage de la marne conAdérée comme
engrais. V . 683. a. Efpece de marne appellee terre de Samos.
X IV . 601. b. Diff'érence entre k falim 8c la manie pai;
rapport à l’engrais. V I. 389. b. Efpece de marne appelléé
farine minérale. 414. a. To ut engrais fallu Sc bitumineux
eA préférable à celui que procure la marne, VIII. 323. a.
Marne arfénicale. I. 380. Qualité du blé des terres
marnées. 921. a.
M A R O C , cm/iire , {Géogr.) grand empire d’Afrique,'
Son étendue 8c fes bornes. Places que les chrétiens tieanenc
fur les côtes. X. 133. a. Comment fe forma l’empire de Maroc
dans k dernier Aeck. Diff'érens peuples qui l’iiabitcnc.
Obfervations fur CCS peuples. Ibid. b.
Maroc , roy.turne de, { Géogr. ) fes bornes 8c fon étendue;
Forces de ce royaume. Scs proiduélions. Etat de fa population.
Villages ambulans de ces pvtiplos. Titre que prend
k roi. Sa religion. Etat des efdaves chrétiens ; celui des
Juifs do ce pays. X. 133. é. Du gouvernement du royaumé
8c de la fuccelAon à la couronne. Autorité du iiuiphti. Ibid.
134.-:.
Ma r o c , province de, {Géogr.) de l’ancien état de cette
province. Fondation de la ville de Maroc. Produéllons du tet-
rein. Etat des habitans. X. 134. a.
Maroc , ( Géogr. ) capitale du royaume 8c de la province
de même nom. Par nui elle fut bâtie. Sa populalion. Déca-^.
dcnce decotte ville. X. 134-rt.
Maroc. Des Maures des états de Marrie. Suppl. III. 962;
b. Monnoies des Maroquins. X. 463. Ouvrage de Lancelot
Addiflbn fur k s royaumes de Fez Sc de Maroc. X V IL
602. a.
MARO COST ÎNE S , ( Pharm. ) compoAtic)n des piU.nlç;^
de ce nom. Propriétés ^ dole de ce remede. X, 1 3 4. a.