s J2 V E S
ij'- il:!
V É S IC A L E , ancre. (^Anai.') Suppl, HI. 48J. b. Suppl,
IV . 180. h.
VÉSICATOIRES. {Médec. Thcrapeuiiq. & Mal. médic.)
C e terme dcfigtie nori-icii!cmcnt les véficatoiies proprement
dits, mnis il s’étend encore à tous les âcres, irritans, Ri-
inulans, cxciians, caufliqiies, & c . , appliques à la furfacÆ
du coips. X V I I .- 191. a. Divers noms donnés à ces reme-
de.s en grec & en latin. Subftances reconnues de tout tems
pour véficatoires, tirées des trois régnés. Relativement aux
degrés de leur vertu échauflame , on a fait plufieurs clafles
de compofitionS pharmaceutiques véficatoires, qu’on a fpèci-
lîées par les titres de rubéfians , de dropaces, de fmapif-
mes &: des caudiques. De l'effet des véficatoires. Le plus
étendu e ff, en opérant fur toute la machine, d’y occafion-
lier un changement falutaire, tel qu’on peut l’obtenir des
toniques &. fies altérans. Ibid. b. L’effet particulier des vé-
licatüires eff de modifier les folides &. les fluides de la partie
où ils font appliqués , de manière que ceux-ci foient
plus propres à être jettes au dehors par l’aftion rétablie ou
.niigmcmée des premiers. Il peut encore aller jufqu’à altérer
très-lenfiblement le tillu même de la partie. Nous entendons
dans cet article par véficatoircs, riHVcmblage de tous
les moyens que la médecine emploie à rextérieur,'à def-
iein d’extraire ou d’attirer à la furface du corps, ou de détourner
d'une partie- fur une autre tout ce qui peut nuire
.à la confervation de la famé, ou s’oppofer à fon rétabliffe-
nient. Tout ce qu’on peut avoir de pofitlf fur l’origine de
CCS remedes, fe rapporte à l'inffitmion de la gymnaffique
médicinale par Herodicus. Ibid. 19a. a. Hippocrate , fon dif-
ciple , a tfinoigné tant d'effime pour cette médecine g ymnaffique,
qu’il s’eff fait foupçonner d’avoir envié à fon maître
la gloire de cette invention. Après Hippocrate, les médecins
qui ont fait le plus d’honneur à la médecine des vé-
ficatoires, font les métliodiques. Au milieu de l'éruption des
fyffcmes, qui ont etc les fléaux particuliers réfervés à la
médecine , il paroic que le traitement par les véficatoircs
s'eff conffaniment foutenu. Enfin, vous trouvez l'iifage de
La médecine épifpaffique établi chez, prefque toutes les nations
tant faiivages que policées. Ibid. b. Élan général de la
conduited’Hyppocrate dans l’ufage desvéficatoires. Ibid. 193.
a , b. En quoi confiffe l’aflion des véficatoirés fur les corps.
Leurs effets diffingués en aélifs & paflifs. Ibid. 194, a. Formation
des veflîes par l’application des épifpaffiques. Du
choix de la partie oii doit fe taire cette application , encon-
•conféquence de la fympathie que la nature a établie entre
certains organes. Ibid. b. Des maladies dans lefquclles on a
coutume d’employer les véficaioires. Ibid. 19^. a. Examen
de la quertion , s’il eff indifférent pour les effets aélifs des
véficatoircs, de fe paffer ou npn, avec folution de conci-
luiiié dans la partie. Diverfes précautions à prendre dans
l ’adminirtrarioii des véficatoires. Ibid. b. Confidérations fur
chaque efpete particulière de véficatoires , fur la nature &
le degré de leurs effets , les cas où ils conviennent, les précautions
à prendre dans l'application de ces remedes , &c.
Des rubéfians. Ibid. 196. a. Fomentations. Ibid. b. Epithemes.
Cucuphes. Ibid. Bains chauds. Bains de vapeurs. Bains de pies.
Ibid. b. Friiffions. Ibid. 198. a , b. Dropaces. Sinapifmes. Ibid.
199. a. Urtications. Flagellations. Ibid. b. Ligatures & comprenions.
Ibid. aoo. a. Ventoufes. Succions. Sangfues. Des
véficjiüires proprement dits, ou eoiplâires véficatoires. Ibid, b.
On en peut rapporter l’époque autemsd’Archigene, qui a très-
parfaitement connu les véficatoires cantharides. Compofition
de l’empIàtrc, tel que nous l’employons aujourd’hui. Effet
des cantliarides. Ibid. 201. Ufage des véficatoires dans la
pleuréfie & les maladies de poitrine. Leur influence fur le
pouls. Précautions à prendre pour que ces remedes n’affec-
tent pas la veflie. Ibid, b. De l ’ufage des véficatoires, dans
l’ophthalmie. Diverfes maladies où ces remedes peuvent être
employés. Choix de la partie où ils doivent être appliqués.
Ibid. 202. a. Concr’indications de l’application des véficatoi*
res. Des caufliques. Fonticules ou cautères. Ibid. b. Sétons,
unions. Acupuntffures : Ibid. 203. a. defeription de cette dernière
opération. Ses effets. La faignée. Les fcarifications, —
Voye^l dans leurs articles particuliers les différentes opérations
chirurgicales dont il vient d'etre parlé. Ibid. b.
_ Véficatoires avec levain. Suppl. III. 735. a.
“ V é s i c u l e {A n.u.) Defeription & ufage de ce
vaiffeau. Carnéfere de la bile qu’il renferme, XVII , 204. a. — Voyer^ VI. 717. a , b. V IIL 272. a.
Véficule du fid. Sa defeription. Suppl. H. a. Son état
dans le foetus. Suppl. III .-69. a. Remarques fur cette véficule.
Suppl. I. 894. a. Suppl. III. 8ok a.
VÉSICULE du fiel^ maladies de la , {^ Médec. ) compreflion
blcffiire, obffruélion, inflammation de cene partie. Remedes.
XVII. 204. a,
Véficule du fiel. Mémoire de. M . Petit, fur les tumeurs de
cette partie. L 16. a.
VÉSICULES Icminales. {^Anatom. \ Defeription de ces oar-
ûes leur ufage. X V II . 204. é.
V E S
Véficules féminales. Suppl. II. g88. a, Caufe qtiî y retient
U lemcncc. Suppl. IV . 770. a.
Véficules feminales, maladies des. ( Médec. ) Tuméfaction
& érofion de la caroncule de ces parties. Orifice de
l’émonéloire relâché. Remedes. X V II . 204. b.
V ésicules ùu poumon. (_Anur.') Suppl. IV. ^22. h.
Véficules de l'ovairevoyer^ O vaire.
V K S L IN G , l^Jean) anatomiffe, H. 396. b. &phy-<
fiologiffe. Suppl. IV. 350. 4.
V É SO U L , (Siicrene) fuc provenant des cannes à fucre
écralées au moulin. Préparation de ce fuc , pour en faire
une boiflbn très-faine Ik. très-agréable. XVII . 203. a.
VÉSOUL , {Géogr.) ville de la Franebe-Comté. Motte de
V é fo iil, montagne prés de la ville de même nom. XV II .
203. a.
VE SPASIEN, (^Titus-Flavius) régné de cet empereur.
X IV . 333. b. Il releve le temple de Jupiter Capitolin. IX.
67. a. 11 confultc Sérapis, & fait des mirales en Egypte.
X V . 79. b. Amphitheatre de Vefpafien. III. 6 a i. a. X IV .
350. a. Voi. Id e s planch. Antiquités. Sphériffere du palais
de cet empereur. XV. 436.-^.
VE SPER, {L ittérjt.) nom de l’étoile de v en us, paroif-
fantiefoir. Hesperus. Cependant Horace a employé
le rnot vcfper, en parlant de l ’étoile du matin. Ce poète
juftifié de cette inexatitiidc. XVII . 20,3. b.
VESPÉRIE, (^Faculté de médec. de Paris) aéle public qui
fe fait d.ms les écoles inférieures de médecine, la veille du
jour auquel on doit recevoir un nouveau doéleur. XVII.'
203. a.
VESPILLONS , ( Litt. ) perfonnes de ce nom chez les Ro-,
mains. VII. 370. a.
V E SPU C C I , {America) navigateur. XI. 32. b.
V E SSE LUS, {Jean) théologien. VII. 932. a. Suppl. 1 1 1 .'
267. b.
VESSIE. { A n a t.) Defeription de cct organe. Sa place.
Son ufage. XVII . 206. a. Arteres & nerfs de la veflie. Ufage
du fphiiiéfer de la veflie. Anatomiffe qui l’a découvert. Muf-
cles qui fervent à expulfer l’urine. Caufes de fuppreffiou
d’urine , dans le trop grand relâchement de la tunique imif-
culeufe de la veflîc , 2c lorfquc la vefiie eff trop dilatée par
la quantité d’urine qu’elle contient. Communication entre le
nombril, la veflie & la verge. Effet de la bleffure de l’intef-
lin droit dans l’opération de la taille au petit appareil. Ecoulement
involontaire d’urine à la fuite de quelques accou-
cheinens. Remede, (voyf^; X V II . 310. i . ) Pierre tirée de
la vefïle par le vagin. Ibid. b. Petites pierres arrêtées quelquefois
entre les membranes de la veflie. Examen de ce
problème touchant la v elîie , favoir s’il eff vrai qu’on l’ait
quelquefois trouvée double. Ibid. 207. a.
Vejfie. Sa defeription. Suppl. II. 614. b. Sphinfter de la
veffie. X V . 439. b. Principales connexions de la yeflie dans
l'homme 8c dans la femme. 460. a. Sympathie de la veflie
avec d’autres parties. 739. a. Les véffcatoires afFeflent quelquefois
la- vefTie. XVII . 201, b. Raifons qui font foupçonner
qu’il y a d’autres conduits que ceux des reins qui fe
déchargent dans la veflie. 498. b.
V essie, maladies de la {Médec.) La veflie déplacée &
tombée dans les bourfes , caufe une fuppreflion d’urine.
Endurciffement & épaiffiffement de la velue. Relàchemènt
de cette partie après une trop longue retention d’urine.
Inflammation 8c bleffure de la vefTie, X V II . 207. a. Son irritation
dans le cas de la pierre. Dartres qui y furviennenr.
Excoriation' de la .veflie. Douleur de cette partie provenant
du calcul, de l’acrimonie, d’une méraffafe, d’une inflammation
, d’un ulcere. Suppreflion d’urine par im pifTe-
ment de fang devenu grumeleux. Sphacele, paralyffe , con-
vulfion du fphinfter. Ténacité de la fubftance muqiieufe
qui oint la furface interne de la veflie. Son acrimonie 8c
fon défaut. Pierre engeiidrte dans la veflie. Compreflion de
la veflie dans les femmes enceintes. Courte indication des
remedes appropriés à ces différentes maladies. Ibid. b.
Vejfie, maladies de la. De fa paralyfie. Différens maux
de cette partie qui caufenc des rétentions d’urine. X IV . 201.
a , b. Vers dans la veffie. XVÏI . 44. a. Pierres enkiftées
dans la veflie. V. 691. a , b. Teiiefme de la veflie. 836. b.
V essie , hernie de. { Chir. ) Cc t accident eff affez rare pour
que M. Méry ait cru qu’il ne pouvoit être qu’un vice de
conformation. Cependant les habiles chirurgiens penfent au-
V E S' V E T 853
jourd’luii que cette hernie peut avoir auffi des caufes a
dentelles : favoir la fuppreflion d’urine & les grofleffes. P
ves qu’en donne M. Petit. XV II . 207. b. Signes de cette
maladie. Ibid. 208. 4. Complication de cette efpecé" d'hernie
avec celle de l’épiploon. Ibid. b.
V essie , plaies de la , { Chir. ) les plaies faites dans l’opération
de b pierre, on par une balle d’arme à feu , fe referment.
Précaution à prendre pour que l’abondance de l’urine
n’empêche pas la réunion de la plaie 8c d’autres accidens.
Les corps étrangers féjournant dans la veffie s'incmftcnt de
gravier 8c forment le noyau de la pierre. Dilficulcé de la
^uérifon
guérlfon des plaies de la veflie. Deux exemples de Côtie guéi‘i-
fon. XVII.208. é.
V essie, {Chir.) des injeffions dans les maladies de cette
partie. I. 239. a. V llI . 730. a. Algalies pour la veffie. L
a38. b. Trocar pour la pontffion de la veille. X V I. 682. b.
Opération par laquelle on l’ouvre pour en tirer ruvine , voyc:^
Boutonniere & Kistitomie.
V essie du cheval, {Maréch.) pierre dans la veffie. Suppl.
III. 3 94. U. VeJJtes formées par l’aiffion dos véficatoires. XVII . 194. b.
Vejfies employées au lieu de feiingucs. X V . 98. b.
V essie aéiicnne des poijjons , { Jehihyolog.) les poiffons fe
foutiennent dans rcau , 8c defeendent .au fond par le moyen
d’une veffie pleine d’air deffinée à cct ufage. Explication de
ce phénomène. X V ll. 209. a. Cette vcilic n’eff pas f.ùtc de
la même maniéré dans tous les poiffons : on en dillingue de
deux cfpcccs. Comment b nanite a fuppléé au défaut de
cette veflie dans certaines cfpcccs. Pltéiiomones que ])vc-
fentent les poiflons dans le viiide. Comment les poiffons
peuvent fe mouvoir dans l’eau do haut on bas 8i de bas en
haut. Ibid. b.
Vefiie de la carpe. IL 696. b.
V essie de mer, ( Botan. marin. ) efpcce d'holoture couvert
d'un cuir rude , & que le vent jette iur le rivage de la mer.
Defeription de b vvlfic de mer. X V I I .210.4.
V E SS IG O N , {Maréch.) tumeur molle qui vient à droite &
à gauche du jarret du cheval. Manière d elà guérir. X V II . 210.
4. VoycT Suppl. 111. 409. b.
VE S’t 'A , ( Myth.) une des plus grandes deeffes dn pa-
ganifme, peu connue cepeiubnt. On a prétendu que par
V e f fa , les pythagorieiens eiuendoient Funivers , à qui ils
atcribtioicnt une ainc. Deux Ycfla félon la table ; l’imc ctoit
la terre, l’antre le feu. Maniéré de reprcfciucr V el'ta. Scs titres.
Son culte futapporté par Enée de Plirygie eu Italie. Chaque
particulier entretint, dans b fuite, le feu de Veffa à b porte
de fa maifon. Etymologie du mot Vefi.i. Ibid. b.
Vefia. Etymologie de ce mot. VIII, 190. a. Feu b eréd e
Veffa. VI. 638. 4. Comment on la confultoir dans la ville
de Phares. XII. 489. b. Veuves qui parmi les Grecs avoierit
foin du feu facré de Veffa. X ll!. 337. 4. Reprcfeiitation de
cette divinité. X V . 730. b. Ses temples. X V I . 80. b. \'afe
appelle futile dont on fe fervoit dans le culte de V c lb .
•VIL 402. 4, b. Du jour où Fou iicttoyoit fon temple chez
les Romains.5 K/ip/. U. 117. a. Miiacle quelle opéra en fav
eur de b veftalc Claudia. 43 4. 4. ^-'oyc^TEBRE.
V E ST A L E , {H ifl.rom.) vierge confacrce au fcrvice de
Veffa. Hiftoire de Fordre des velfales. X V ll. 2 1 1. 4 , /i.Hon-
reu is 8 c privileges par lefqiiels on les dédommagea de leur
continence. Leur habillement. Vanités 8 c diffip.itlons que
quelques-unes d’encr’elles fe permettoient. De 1 extinéfion
du feu facré. Punitiou de la négligence des vcffales. Ibid.
a i2 . 4. Comment ce fcuétoit rallumé. Fonflions des vcffales.
Chofes facrées que les vtffales expofoient dans certains
jours folemncls, après les avoir voilées. C b flè de citoyens
d’oii Fon droit les vcffales. Confiriération dont elles jouif-
foient. Ibid. h. Droit de dilpofer de fon bien , arraché à l'état
de veffale. Hiffoire de la fuite dos veffales lorfqiie Rome
fut attaquée par les Gaulois. Piété d’Alblmis. IbiJ. 213. a.
Fréféanccs réglées emrc les veffales & les magifiracs. L’on-
treprife des tribuns, contre Claudius, rompue par b veffale
Claudia fa femme. La rencontre d’une veffale procuroit b
grace d’un criminel conduit au fupplice. Force qu’avoit en
juffice le ferment 8c le rapport d'une veffale. Ibid. b. A u tres
avani.iges attacliés à la dignité de ces vierges. Galanteries
de quelques-unes. Juges des vcffales. Ibid. 214. a. Formalités
obfèrvées dans les procédures qu'on tenoit au fujet
d'une veffale. Exemples d’une proreffiou miraculeule accordée
par b décile à des veffales aceufées. Divers genres de
fiipplices dont on puniiloit leur incontinence. Ibi.i. b. C'eft
à Tarquin que Fou rapporte l’inffitmion dn fupplice qui
confiffoit à cnierrer vivante la veffale coupable. Defeription
de toutes les circonlbnces de ce fupplice./é;V. 213. a. Prodiges
par lefqiiels le ciel annonçoit (luelqucfols fa colère ,
lürfqu’une veffale impure profaiioit les aîitels de la déefle.
Noms que l'hiffolre nous a confervés des vcffales qui furent
condamnées. Ibid. b. Durée de Fétàbliflemcnt de Fordre des
vcffales. Cet ordre étoitmonté, du tems des enipercius, au
plus haut poùu de confidération où il piit parvenir. Hiffoire
de fa décadence îc de fon abolition. Ibid. 216. a. Différence
entre les veffales romaines 6c nos religieiifes. Ibid. b. Statue
déférée à la veffale Suffétia. Déférence qu’on avoit pour b
médiation des veffales dans les aft'aires contenticiifcs. Elles
ctoieni dépofitaires des teftamens Sc dcs.aéles les plusfecrets.
Le refpeét dont on les honoroit fe montre jiilques dans le
genre de fupplice dont on punifi'oit les veffales coupables. Ibid.
Veflalcs. Obfervations fur ces vierges confacrées au culte
de Veffa. XIV. 78. a. Figures d’homnics qu'elles jettoient
tous les ans dans le Tibre. I. 63d, b. Elles alfiffoient aux
Tome II.
comb.its des gt.idiateurs. V i l. 696. b. Souterrein où l’on
cmerroit vives les veffales condamnées à ce fupplice. III.
76. a.
\'F.STAL1 ES, {M yth .) fête que les Romains célébroient
en Flionneiir de Veffa. En quoi elle confiffoit. X V ll.
217. .7.
'V ESTE, {A rt du t.iilleur) maniéré de faire une veffe. Suppl. IV. 927. a , b.
FESTER , tra , trum , adj. ( L,:ng. latine ) pourquoi cet
adjcftif ne peut avoir de vocatif. X V II . 410, a.
VJ:.SFIBULE, ( Archit.) deux fortes de veflibiiles. Etymologie
du mot. Diftérenies cfpeccs de vcilibulcs. Voflihulc
à ailes , eu périityle, figuré, oitoffyle rond , fimple, tétra-
ftyle. X V ll. 217./».
Vefiibulc. Etymologie de ce mot. X V ll. 210. Différence
enti e le vcffibtile 8c l'atrium dans l’archiicélure romaine. I.
824. 4. Vcllibulesdesancieas Romains.XIU 133.A.
V estibule, ( An.uom. ) panic de l’oreille. Xl. 613,4. 617.
b. Suppl. 1 V. 179. 4.
V E ST IG E S , Traces , {Syrian.) différence entre ces mots.
X V ll. 218.4.
VÉ SU VE , {Géogr.) montagne d’Italie d.uis le royaume
de Naples. X V ll. 218. a. Ce n’eff que depuis Vefpafien que
le mont Véfuve eff devenu un volcan. Mort de Pline Faii-
c ic ii, caiifée par la curiofiié qui le jiorta à examiner de prés
ce prodige. Lieux par lefqiiels on paiî'e pour aller de Naples
au Vcfùve. Defeription de cette montagne. Trajet par lequel
on monte à fon lommcc. Sa hauteur. El'pecc de baffiiî
qu'il forme. IbiJ. b. Defuiption du volcan. Beauté du territoire
qui en eff .1 peu de dilbnce. Caufe de fa fertilité. Ravages
que le feu de ce volcan caufe dans les environs. Ibid.
219. 4.
Fejuve. Rapports & communications entre cette montagne
8c la Solfatara. XV. 319. b. Vues du V é f iiv c ,v ü l. V I
des planches, Regne minéral , fixicme colledion , planche
I — 4- W tsW E , éruptions du, ( Hifi. des volcans ) l.a plupart des
phyficiens peni'cm que le Véfuve a vomi dus flammes d.ms
tics rems plus anciens que ceux du regne de Titus. X V ll.
2 19.4. Le premier cmbrafuinsnt connu de cette montagne,
fut celui qui l’an 79 de Jefus-Chiiff lit périr Pline , Hercu-
biuim 5 c Pompèil. C:rconffancc.s de ce terrible incendie.
Enumération des incendies ariivés depuis, jufqu’en 1 7 3 4 ,
au nombre de 24. übfcrvaiions pariiculicres tur celui du 16
décembre 163 i , fur celui de Fan 1737 , Ibid. b. fur l’éruption
de l’an 1734. Defeription donnée par M. Edouard Beukley
de Fembrafèment du "V éfuve arrivé en 1717. Ibid. 220. 4. O uvrages
à confultcr. Ibid. b.
Véfuve, éruptions du. Celle qui caiifii b ruine d'Hercula-
niini , VIIL 131. 4. 8c qui fit périr Pline F.Tncicn. 130. a.
X V ll. 87. b. 88. 4. Eruption du V'éfiivecn 1737. IX. 311.
4. Pluies de pierres 8^ de terre caufées par les éruptions de
ce volcan. XII. ,793. b. 796. a. Diffanccs étonnantes où
cendre a été poulTéc. X V lI . 44.1. a. Ses effets fur l’eau de
l.i mer. Ibid. b. Dégâts que ces éruptions ont faits dans les environs
dn Véffivc. Suppl. 1 1 . i (j3.4.
V É T A D A G Ü U , efpece de plante. T. 171. é.
VÊTEMENS des Flébreu.v , { Critiq.Jacr.) les anciens pro-
phetes éioism couverts de peaux de cbevre 8c de brebis. Les
peaux d’animaux ont fait les premiers habits des hommes.
Les particuliers portoient une tunique de lin , 8c par-defliis
une grande piece d’étoffe en forme de manteau. Quand les
Hébreux fe furent répandus , ils prirent les habits en ufage
dans les pays où ils demeuroient. Les riches préféroienc les
habits blancs à tout autre. XVU. 220. b.
VÊTEMENT de Babylone , ( Critiq. facr. ) Achan s’étant
trouve à l.i prife de Jéricho , cacha quelques portions du
butin , 5 c confofTa qu’il avoit détourné un riche vêtement
de Babylone. Les vêtemens de Babylone étoient célébrés
parmi les anciens. En quoi ils confifloient. Les princes en portoient
quelquefois. Variété des couleurs qui en fail'oiciu la.
beauté.XVll. 221. a.
VÈTE.’WENT des chrétiens , {.Hifi. cccl. ) dès que le chriffia-
nifme eut fait des progrès chez les gens du monde, les con-
feils des apôtres fur b parure ne furent plus écoutés. XVII .
221.4. Les femmes rirent bientôt fiiccéder les ajuffemens fomp-
lueiix aux fimples habits blancs qu’elles irouvoienr trop mo-
deffes. S.Clcmcnt d’Alexandrie eff celui de toiislespercs qui a
parlé avec le plus de bon Icns contre le lu.xe îles vêtemens.
Le.s païens , 6c. même leurs poètes comiques, n’avoient pas été
plus heureux à tenter d’arracher du coeur des femmes le goût
de la parure. Ibid. b.
VÊTEMENS, ( Linger. ) pieces du vêtement en lingerie pour
liommc , femme & enfant, voye^ Lingeke.
V É TÉR AN , ( A n milit. des Rom. ) à quel âge finiffoit
le fcrvice chez les Athéniens 8c les Romains. L’origine de la
diftinffion de foldats par rapport à l’âge , remonte au tems de
Servius Tullius. Les vieux Ibldats furent deffinés à lagardede
b v ille , 8c les jeunes alloicnt chercher Fcmicmi. D ansla fuire,
G G G G C Î g g g g g