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408 P E I lives p:ir les Grecs. Coque nous avons de plus que les anciens,
c e ll les platbnds & des coupoles. Ou rcgardolc, comme
ruijourd'liiii, les crudes & les premieres pcnlées des ar-
tidos, l'ouvait au-üerious des ouvrages terminés, bc toujours
d’un carailere plus piquant. Ib id . b.
P eintu re de.! G recs. Réflexions lur la peinture des anciens.
S u p p l. 1. 418. U , b. S u p p l, il. d j I. b. &c. l lidûlre de la peinture
chez les Grecs. S u p p l. lU. 256. b. &.c. Supériorité des
Grecs dans cet art. S u p p l. 1. 382.
P e intu re des R o m uins. (Pri.’U. .du rit/.) C e futenviron 304 ans
avant Jeliis-Clirill qu'on vit pour la prciuiere fois un jeune
Romain prendre le pinceau. XII. 271. b. Pline nous apprend
qu’une branche de la famille des Fabius avoir rire le liir-
nom de P itlo r de fon goût pour la |)eintiire. Tableau que
Valerius Meifala fit faire de fa viélolrc <le Sicile en 264. Cet
c.xemple fiiivi par Lucius Scipion. Statues &. tableaux tranl-
portés d’Ambracic à Rome par Fulvius Nobilior. Tableau
des combat.s des gladiateurs peint à Rome l’an 180. Le peintre
Méirodorc emmené d’Athenes à Rome en 168. Pacu-
v iu s , poète & peintre, culiivolt ces arcs vers l’an 134. IhiJ.
272. Premier tableau étranger qu’on ait expofé eu public ,
tianfporté par Miimmius de Coiintlte à Rome. L’art de la
fciilpture , plus cultivé par les Grecs & par les Romains,
que celui de 1a peinture. État de la peinture à Rome dans le
ftecle qui précéda la naiffance de Jclus-Clirift. Collebcion que
fit Lucius Lucullus d’ouvrages en peinture. Divers autres
Romains qui travaillèrent dans ce fiecle à enrichir Rome
de tableau.v , & à faire fleurir la peinture. Ib id . b. Contrariété
apparente entre la chronologie de Cicéron 6c celle de
Pline , fur le teins oii vivoit Timomaclius de Byzance.iZitV.
273. a. Ulage de plufieurs peintres anciens, de peindre les
déciTos d'après les femmes cju’ds aimoient. Il n’otoit point rare
non [)liis de voir des flatues d’hommes toutes femblabies à
celles de quelques dieux. Et dans le chviflianlfme , nous avons
pins d'ime vierge peinte par les modernes d’après leurs propres
amnnres. ib id . b. C e fut fur-tout Augufle qui orna les
temples de Rome & les places publiques, de ce que les anciens
peintres de la Grèce avoient fait de plus précieux.
Agrippa , gendre d'Augufte, fe dillinguoit par le même
goût. Ludiiis, qu'il ne faut pas confondre avec Ludius d'Ar-
d e a , rétablit à Rome , dans le même tems, l’ufage de la
peinture à frcfquc. Autres artilles du tems d’Augullc. Ib id .
274. .1. Deux tableaux précieux que recueillie Tibcre. État
de la pcincurc & des peintres du teins de Pline ranc lui,
fous les empereurs Cams, Claude 6c Néron. Époque de la
peinture lur toile, übl'crvations fur Ainelius , jicintie romain,
& fur fes ouvrages. Ib id . b. D u peintre Turpiliiis:
Pline dit qu’avant lui on n’avoit jamais vu de peintre eau-
ch e r , & il pr.roit admirer cette particularité, übfcrvation
fur Jouvenet qui fe trouva dans le meme cas fur la fin de
fa vie. Peintres qui vivoienr fous Vclpafien. C ’efl jufqii'à ce
tems que Pline a conduit fon liifloire lur la peinture. Éloge
de cet ouvrage. Ib id . 275. a.
P e in tu r e moderne. RennilTance de la peinture
en 1240 à Florence, fous le pinceau de Cimabué. Dcii.x
cens ans s'éroient écoulés depuis cette époque, fans qu’elle
fe tilt perfeflioniiéej XII. 27^. b. mais à la fin du quinzième
fiecle, elle marcha tom-à-coup vers fa perfeélion à pas
de géant. . . . Malheureulcmcnt, ces prodiges ne fc foiitinrent
pas ; les écoles de Venife & de Florence dégénérèrent, 8c
s'anéanriient en foixante ou quatre-vingts ans; 8c fi la peinture
fc maintint plus long-tems à Rome , ce fut fur-tout par
des étrangers. T e fingulicr c f l, que ce fut dans des tems de
profpérité que les écoles d’Italie tombèrent en décadence.
Ib id . i-j6. >1. Hiftoire de l’école de Flandres, de l'école fraii-
çoife ; obfervations fur celle des Hollandois. État de la peinture
en Angleterre. Ib id . b. Obflacles à la perfeftion de cet
art dans ce royaume. Caraflere de la peinture chinoife. Trois
fiedes remarquables dans les annales du genre luitnain,
dont les produéfions en peinture ont été admirées par tous
les fiecles fiiivans. Di/Férentes fortes de peintures en ufage.
Secret trouvé par un moderne, de tranfportcr fur une nouvelle
toile les ouvrages de peinture qui dépérilTcnt fur une
vieille. Ib id . 277. a.
P e intu re urabefqtte a n c ie n n e , {^P ein t. a n c .) elle Confiftoit à
repréfemer à frefque fur les murailles, des figures de caprice
, ou des compofiiions d’architcéture, pourfervir d’ornement.
Morceaux exiflans de ce genre de peiniurc. La perf-
S:élive obfervéc avec foin dans ces fortes de décorations.
ans quel but les peintures arabcfques ont été mifes en ufa-
ge. En quoi les Romains faifoient confifler la magnificence de
leurs meubles. La décoration des édifices publics étoic'lc
fini objet des foins 6c de la penfée des Grecs. XII, e - j .b .
l'o y e i A rabesq u e.
P e in tu re arabej 'qiic moderne ; XII. 277. b. vuye^ GROTESQUE.
PeintH re f^othique. V i l . 745. b.
Pe in tu re li h u ile , {^P cint. n o d .') Jean de Bruges, flamand,
inventeur de cette pcimure. XII. 'r-'JJ.h. Avant cette
découverte, les grands ouvrages fe failôiem eu mofaVque,
P E L
ou à frcfquc , ou en détrempe. A.v.ancages de la peinture à
huile fur toutes les autres maniéré .. Inconvénient tic la [>ein-
Hire à frefque. Celui de la peinture ù huile , efi de nous faire
perdre l’.ivantage de la conferv.irion , d’altérer les couleurs,
de les écailler, 8cc. Obfervation fur le paflel. Ibid. 27S. .1,
Piiniiue X huile, qui en fut l'inveiueiir ; comment fon fe-
cret fc répandit. V. 313./». 328. />. 331. b. X. 408. a. Nouvelle
façon de peindre à l’huile , inventée par M. de Cay-
lus. V. fi 10. b.
Peinture chinoife. Caraéfere de cette peinture. XII. 278.
Peinture des Mexieains Jitr les bois : dcfeiiption de la maniéré
donc CCS peuples fc fervent des couleurs pour peindre
fur les b o is , Si pour travailler les cabinets, Si autres meubles
de cette efpecc. Vernis dont ils lé fervent pour coii-
l'erver l’éclat des couleurs. XII. 27S. b.
Pein tu r e pailomlc. (^Pàm. mod.) Obfervation furiesott-
vr.iges de Benediéli Caiuglione , artille du dernier fiecle, qui
a le mieux réiill'i en ce genre. XII. 278. b.
P e in tu r e des toile.!. {Peint, nne.) Paflage de Pline, où
il nous apprend la l'açoii dont les Égyptiens faifoient des
toiles peintes. XII. 278. b. État de fplciulcur de l’Égypte ancienne
, mis eu parallèle avec fon cc.at aéluel. Caufé de Ion
dépériflément. Ibid. 279. .1.
P e in tu re fur verre , ( Peint, wui/.) inventeur do cette peinture.
C e genre aujoui criuii négligé. Pin quoi il confific. Ve rres
de diflérentes couloms, dont on faifoit ulligc pour cette
l'ortc de peinture. Seaec de peindre à l’huile fur veirc. X tl.
'Peinture fur verre. I. b. XVII. 361. b.
P e in tu r e , ( ArJui.) Gtilués de la peinture dans les bàcl-
mens. Trois lories tie peintures qu’on y pratique. X ll.
279. b.
P itn TURK, double, {Püéfie , Artor.it.) celle qui conlifie
à préfenter deux images oppofées, qui jointes enfemble, lé
relèvent nmtuellcmciu. Exemple tiré de Virgile. Tradudions
françoil'e & italienne du même morceau. Autre E.xeinplo
tiré de Corneille. XII. 279. b. Voyc^ C o n t r a st e .
Pe in t u r e , {Rhét. Po èf & Mufuj.) voye^ D e s c r ip t io n ,
E squisse , H y p o t y p o s e , Im a g e , T a b l ea u x . D e l’art de
pciadre eu poéfie. Suppl. IV . 424. , i , b. 423. a. D e l’art
de peindre les détails. Suppl. III. 642. b. De l’alTortimeiu
du fiyle à la chofe qu’on doit peindre. Suppl. IV . 539. b.
Gradation d’images en peignant les palfioiis. V l l . 806. b. D e
l'art de peindre dans b nnifique. Suppl III. 568. a , b.
Pein tu r e d’imprcffion, {P eint.) imprelfion à huile ou à
détrempe. XII. 2S0. n.
PEJOR , ( Lin^. lutin. ) étymologie de ce comparatif. III.
750. a.
PEIPUS, ( Geo^r. mod. ) lac de Ruffle : fon étendue ; flotte
que Pierre I. fit confirnlre fur ce lac. XII. 280. a.
PEIRESC, {NicoLis-Clattde-F.ibri, f-ignaer de) favant du
fcizicme Sc dix-feptieme fiecles ; fa patrie , fa vie , fon ca-
raélere , fes ouvrages. X llI . 510. a. Son é lo ge , fa vie écrite
par M. Gaffendi, V ll. 704. a. fes obfequcs célébrées dans
l’académie des humorilles. VIH. 333.
PEISSONNEL, fes recherches fur lu nanire du corail 8c
fur les plantes marines. XII. 721. b. On ne doit pas lui attribuer
la découverte des animaux du corail. Suppl. II. ^qfi.
b. Cet auteur confuléré comme phyliologifte. Suppl. IV.
361. b.
P E K IN G , {Gèogr.) ville capitale de ha Chine. Auteur
qui en a donné la defeription. Magnificence des portes de
cette ville. XII. 280. a. Etendue du palais de l’empereur.
Longit. & latit. de Peking. XII. 280. a.
Pi:iélNG,obfervatoii-e de cette v ille.XI. 324. b.
P E-LA-CHU , ou drier de la Chine, {B o t.) la cire de cet
arbre jfius belle que celle des abeilles. Deux efpeces de ci-
riers à la Chine. Suppl. IV. 273. a. Manière de les multiplier.
Ufage qu’on en tire. Comment ou les rend propres à
porter la cire. Obfervations fur les infeéles qu’on applique
à ces arbres dans ectte vue. Ibid. b. Comment ils s’y inC-
mtent. Détails fur la maniéré dont la cire fc produit, Si fur
fa récolte. Car.aélcrcs, ufages & préparations de cette cire.
Ibid. 274. a.
P E LA G E , roi de L é o n , {Hifl. d'E fpagn.) fils de FaVi-
b , l’im des principaux feigneurs Goths. Il chaffe les MaliO-
mêtans des Afturies , Ck fonde fon royaume , qui fut le coin-*
nienccmcnt de la monarchie Efpagnolc. Hifioite de fon règne.
Suppl. IV. 274, b.
PELAGIENS, (rZ/rb/og.) anciens hérétiques. Hifioirc do
Pelage, leur chef. Doélrine des Pélagiens fur le péché orig
inel, fur les forces du libre arbitre, fur la nature; l’cxif-
tence & la néceffité de la grâce. XII. 280. h. Prinemaux
difciples de Pelage. Condamnation de fes héréfics. Combien
elles occupèrent l’éelife dans le cinquième fiecle. A u teurs
qui ont réfuté les Pélagiens. Ibid. 781. j.
Pélagiens. Doélrinc des pélagiens Si des femi-pèlagiens
fur la grace : leurs difputes avec S. Auguftin , VII . 801.
b. leurs fcniimens fur la perfévérancc, ^I I. 427. a. fur lu
volonté
P E L
volonté par laquelle Dieu veut fauver les hommes. XVII .
43 c. a. C om m ent S. Atiguflin & fon ami Alypius vinrent
à bout de faire exterminer de l ’empire l’héréfie pébgicnne.
X V . 830. b. Articles fur les fémi-pélagiens. X IV . 943. b.
^ P ÉLAM YD E ou Thon d'Ariflote, {Ichtkyolog. ) poiffon
de mer. En quoi ilreffemblcait maquereau. Sa defeription. XII.
2 8i.é .
PÉLASGES , {Géogr. anc.) ancien peuple de la Grece.
Auteur qrii a écrit lur l’origine 8c les différentes migrations
des Pébfges. Hifioire de ces peuples rapportée d’après D e nys
d'Halycarnaffe. Leur paffage en Italie ; fuites de cet événement.
XII. 281. b.
Péla/ges. Obfervations fur ce nom des anciens Grecs.
V IL 912. a. Le nom de Tyrrhenes fynonyme à celui de
Pébfges. XVI, 787. a. Caraétercs péblges , vol. II dos pl.
Caraéleres , planche 8.
PÉLÉCOIDE , ( Céom. ) figure en forme de hache. Mefurc
de l’aire du pélécoicic. XII. 2S2. b.
PÈLERIN, {Hijl. mod.) étymologie de ce mot. Ordres
de clievalerie qui étoient établis en faveur des pèlerins qui
alloient à la Terre-Sainte. XII. 282. b.
Pèlerins. Monumens que les pèlerins élevoient dès qu’ils
découvroient le lieu où finiffoit leur pèlerinage. X. 687. a.
Pèlerins turcs. II. 673. a. Pèlerins japonnois ; dureté avec
laquelle leurs guides les traitent. XV II . 648. b.
P èlerin , ( Songe du vieux ) ouvrage qui porte ce titre.
VIII, 46. é. XIII. 421. b.
PÈLERIN on Pé/rgrm , ( 5.J.7J/) premier évêque d’Auxerre.
Suppl. I- 724. b.
P ÈLERINAGE, {Hijl. mod.) autrefois les rois Si les
princes alloient en pèlerinage : aujourd’hui ce ne font plus
que des coureurs de profeffion , qui par fiiperflitlon ou libertinage
, vont vifiter des lieux regardés comme faims en de-
Diaiulant l’aumône fur la route. XII. 282. b.
Pèlerinages de la Terre-Sainte : fpcélaclcs auxquels ils donnèrent
lieu.X. 923. a.
P è le r in a g e de b Mecque , ( Hijl. mod. ) ce pèlerinage
n’efi qu’une ancienne dévotion qui fc piaiiquoit avant Mahomet.
Vénération que les Arabes ont toujours cuepoui IaKabaa
de la Mecque. Mahomet ne fit que changer les rites du pèlerinage
, de même que le but Si l’objet. Les Mahometans
partagés aujourd’hui fur b néceflitè de ce pélcrina"e. XII.
283. a.
Pèlerinage de la Mecque. II. 673. <î. V III, 22. b. X. 338. a ,
h. Magnificence avec laquelle Aaron-Rashid le faifoit. Suppl.
I. 3. a. Fureur où entrent les Mahometans à leur retour
de la M ecque. Suppl. II. icj^.b.
Pèlerinages des fintoiftes du Japon. X V . 219. a. Dureté
avec laquelle certains bonzes du Japon traitent les pèlerins
XV II . 648./-.
Pèlerinage qui s’établit à Rome fur la fin de la république
X V I I . 414. é. ^ '
PELICAN , (O/mù/ro/.) defeription de cet oifeaii, XII
285. é.
Pélican, voye[ O n o c r OTALE : fa repréfentation dans le
vol. V I des planch. Régné animal, planche 30. Cet oifeau
décrit fous le nom de grand-goficr. VII. 833. Differences
entre le pélican Sc. le cormoran. Suppl. II. 606. b.
PÉLICAN , ( Litt.) figure fymbolique. XII. fioa. b.
PÉLICAN , { Blajbn ) m anière de repréfemer cet oifeau.
Piété du pélican. Signification de cette figure fymbolique.
Suppl. W . 276. a.
PÉLICAN, {C/iir.) infiniment dont on fefert pour arracher
les dents. Defeription de b forme qui paroît la plus avanta-
geufe à I'lilagedc cet infiniment. XII, 283. b. Maniéré de s'en
fervir. Ibid. 284. b.
P é l ic a n , {Chym.) vaiffeau de terre autrefois en ulâf'e.
Vniffeaux qu'on lui a fiibfiitucs. X II. 284. b.
P élican , {A nU l.) X I I .284./».
PÉLIGNES , les, { Gèogr. anc. ) peuples d’Italie. XII.
284. b. Ils curent la gloire d’avoir Ovide pour compatriote.
Ils étoient autrefois compris fous le nom de Samnites. Ibid.
283. a.
PÉLION , {Gèogr àric.) montagne de Thcffallc. Sa liau-
tcur. Les poètes ont feint que IcmontPélion fut mis fur le mont
Offa par les géans. On difoit que les géans 8c les centaures
avoient leur demeure dans cette montagne. Ville de même
nom. X II. 283. a.
PÉLISSON , trait de génerofité de fa part, V . 643. d.
P E L L , ( Jean ) mathématicien. X V . 703. é.
PELLA , ( Gfügr. amr. ) trois villes de ce nom. XII. 283.
r u f f^n’ cufe cft celle de la Macédoine. Sa fituation.
Elle tut la demeure des rois de Macédoine, Si devint en-
luite colonie romaine. Sa décadence. Cette ville fera toujours
célébré par la naiffance de Philippe 8c d’Alexandre
w Philippe. Sa réconciliation avec Arcadion.
Woblefle avec laquelle il répara I’injufilce qu’il faifoit
* fenfibiliié pour l’adulation. Sa mort. Ôb-
P E L 409
fervatioiis fur Alexandre ; comment il fit coniioitre dès fa
premiere jcuiieffe ce qu’il ferait un jour. Ibtd. h. Ce qu’il
_ répondit io rlqu'on lui apprit que Démofiliene le traitoit
d’enfant. Aélions mémorables de ce conquéranr, Ibid, a.
PELLENE, {M y th .) furnom donné à Diane. Imprcf-
fion terrible que faifoit b vue dn vifage de fa fiaciic XII
286. b. ®
Pellene , ( Gèogr. anc. ) ville du Péloponnefe , célèbre par
b fabrique de certaines robes extrêmement chaudes. Cas
qu’on faifoit de fes laines. XII. 286, b.
P ellene , ( Gèogr. anc. ) ville des Spartiates, aujourd’hui
Macropoulo. Defeription des aqueducs qui conduifoient Tenu à
Sparte. XII. 286. b.
PELLETERIE, ( Comm. de peaux ) figiiification de ce mot.
XII. 286. b. D ’où viennent les plus belles pelleteries. Pelleteries
ornes. Sauvagine. Pelleterie apprêtée. Ouvriers qui
ciavaillent les pelleteries. Ibid. 287. a.
Pelleterie, v o jq FOURRURE 6* P ea u . T raite des pelleteries
qui fe fait vers la baie d’Hudfon. VIII. 3 31.
PELLETIER, {Artmèch.) corps des pelletiers de P iris:
tliftérens noms qu’ils reçoivent. Adminifiration de ce corps.
Ancienneté de les fiatuts. Principaux réglemcns qui concernent
les pellctiers.XlI.287.rt.
Pelletier. Détail des opérations du fourreur-pelletier dans
rcxcrcicc de fon art. VII. 234. b , &c.
P e l l e t ie r , {Jeanle) de Rouen : fon fyftéme fur l’arche
de Noé. 1. 608. rt. 609. b.
PELLICAN , ( Conrad) théologien. XIV. 432. a.
_ PÉLOIR , {M èg if.) infiniment du mégillier. Son ufage.
XII. 287. b.
PÉLOPIDAS , il s’oppofe à un facrificc de viéHnie ]iu-
mainc. X V II . 24 2 .« , b. Traitement qu’il reçut lorfqu’il fiji
tohibé entre les mains d’Alexandre de Phercs. Suppl. I. 273.
rt. Sa mort. Ibid. b.
P É LO P ID E S ,(É J^ . anc.) comment b courorme étoit
paffée des Héraclicics aux Pélopides. VIII. 140. b. La G rece di-
viféc par ces deux familles. VII. 912. b.
PÉLOPIES, ( Antiq. grccq.) fête que célébi oient les
Eléens en riionneur de Pelons. Sacrifice qu’ils lui ofl'roicnt.
XII. 287./..
PÉLOPON NÈSE, {Gèogr. anc.) aujourd’hui la Morée.
Figure de cette prefqu’ifle. XII. 287. b. lôifférens noms donnés
fiicceffiveinent à ce pays. Uivifion de cette peninfute
en fix contrées principales ; l’Argolidc , b Laconie , la Mef-
fenie , l’Elide , l’Acbaie propre, Sc l’Arcadie, auxquelles
on ajoute b Corinthie & la Sicyonie. Situation 8c bornes de
chacun de ces pays. Divifion ailuelle dn Péloponnefe : principales
villes de la Morée. En quel tems ce pays paffa
fous la domination des Turcs. Durée de b guerre du Péloponnefe
fi connue dans l’hifioire ancienne. Ibid. 288. a.
Péloponnefe. Caufes de b guerre du Péloponnefe. X. 303.
rt. Hifioire de cette guerre. VII. 913. b. Suppl. I. 670. a.
673. b. 676. b. Funérailles faites aux Athéniens tués la premiere
année. VII. 368. b.
PÉLOPS , fait célébrer les jeux olympiques avec plus de
pompe qu’auparavam. Suppl. II. 391.
PELORIEN , ( Myth.) furnom de Jupiter. X IV . 694.*!.
PÉLORIES, {Antiq. gtecq.) iàto dcs Theffaliens. Comment
on la célébroic. Son origine. XII. 288. b.
PELORÜS , {Gèogr. auc.) promontoire de b Sicile. D i vers
auteurs qui en parlent. Origine du nom de Pèlore donné
à ce cap. Comment on l’appelle aujourd’hui. XII. 788. b.
PELOTE de met, ( Hifl. nat. ) fubfiance qu’on trouve
fur le bord de la mer. Scs caiaélcrcs. Son origine. XII. 288. b.
Pelote. Pelote de fil ou de laine , é-c. Pelote de toilette ;
petit coffret de même nom ; peloteà feu, en terme d'artificiers,
manière de la faire. XII. 289. a.
Pelote, terme de chandelier, de fonxlerie , de maréchallc-
r ie , de paumier, d efoieries, de tailleurs, 6c de verrerie.
XII. 289. rt.
P elote , ( Marèch. ) voye^ E t o il e , VI. 66. b.
P ELO TO N , terme de coutin icrc , de paumier Sc de fabrique
de tabac. XII. 289. b.
P e l o t o n , {Artmiltt.) ufages auxquels on emploie le«
petits corps de ce nom. O rigine dn mot peloton. Du nom bre
d’hommes contenus dans un peloton. XII. 289. b.
PÉLOUSE, ( Econom. grande pcioufe ccmmie dans
les ifles françoifes d’Amérique fous le nom de favane. X IV ,
706. rt.
P E L T E , ( Arm. anc.) petit bouclier rond qu’Iphicrare
fiibfiitua chez les Athériien.s aux grands boucliers. Difiinc-
tion que ces deux fortes d'armes mirent entre les foldats.
Suppl. IV. 276. a.
PELUCHE ou Pluche, ( Fabriq. ) forte d’étoffe veloutée.
Comment elle fe fabrique. Invention de la peluche. XII.
290. rt.
Peluche. Le velours de coton plus avantageux à l’état
que la peluche. XVI. 907. b. Des peluches unies 8c façonnées,
ÏX. laC.b.
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