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" „ C p.Hiriiivis i. I» ' ' 111. 79<î., .<. *■ . . .
Rl’ses mUiuircs, (A r tm ilh .) elles le nomment ordinni-
remmt Jh,t,ierms, v o ye z ce mot. On y excelle infiniment
S n s 1.1.1 ri.cq.iis qnc P » le nii.nrcl. Difference qi. on met-
L l t il Lacéilâiione entre les vainqueurs par rnfe, ^ l e s vain-
oiieiirs par force ouverte. X IV. 440-^ n. Homère & Grotius
^ -r..nf 1<>< rules & meme les fourberies militaires. La
louvrage „1. IbU,at scelle q . ^
obtient par la rnic eft miiqucment due au general Eloge
<° i.r;cl'g énéra l. Pourquoi peu de généraux te diHniguent
dans l’art de rufor avec l'cnneim. La lea.irc la plus necel-
ifaire à un général eft celle des ouvrages qu, traitent de cet
art Ikid. b. Voyn SURPWSES. „ ,
Rttfrs iK'liiiiits. Maniéré de ptevotr celles de 1 ennemi.
■ SaJl n . 1 59- L l i f“ ‘" P’ * ' “ “ i“ “ « fe lerv.r des memes
Ze^OEnsfiirK ^ tlâpæ
ouvrages. Paffage de ce tlieologieii fur le dogme de l a i imiic.
^ RUSMA l'.fefr.,;.) for.e de virriol dont on fc fert pour
r U en le mêlant avec de la chaux. Experience de
M ’’ nov|eVdic avec co dépilatoire. Les dépilaloires fort en
ufagcau.rcfois chez les couttilanues grecques & romaines.
^ R U 'S a MEDGI EFFENDI , { Æ jî. om,n ) c’eft en Tut-
qule le titre d’un officier des bnances. bes tonflions, celles
de fes commis. X lV . 441. _ _ . , ■ rr v t n
ndi De la prononciation de la Lingue rude. A l ll .
4158 b Bibles en langue ruiïe , vol. U des planch. Cataftere,
RUSSIE ( Gc’ovr.) vafte pays qui forme mi grand empire
tant en Europe qu’en Afin. Ses bornes Se Ion étendue. Sa
poDulatioit. Divifion de cet empire. Defcnption de chacune
de fes provinces. X IV . ,44'- u, *■ Detarls R t fa population
ItiJ a i ' . n. Obfervations fur les mornes de ce pays SC es
ferfs tiui cultivent leurs terres. Avant le czar Pierre, les
cffiees les vèiemens. les ...murs en Ruine . avo.em tou|onrs
pU.f tenu de l’Alle que de l’Europe chrétienne. Le gouvernement
rclTembloîtà celui des Turcs par la iml.ce dcsftrehts.
o T t i t r e de c z a r , Sc de quelques autres que les fonvera.ns
de cet empire ont portés, fiid. b. Religion de 1 état. Pour
quoi les Rull'es paic-ns montrent plus de probité que les
Ruffes chrétiens. Commencement du chrilliamlnie eu Ruffle.
Premier patriarche de Mofcoii. Ce parnarcl.e lut le feul patriarche
libre & puiffant, & par coulequent roeh Nombre des
fic.es épifeopaux en Ruff.e- lb,d. 444. -Tolerance dont
P iltre I ufa dans fes ét,rts en matière de religion. 11 n > a
jamais eu en Riiffie d'établiffemem pour tes Juris. La Ruffle
mil doit à Pierre I la grande mllueiice dans les atlaires de
l ’Europe, n’en avoir aucune depuis qu elle etoit chrétienne.
Nourrtare des anciens Ruffes. Obferv.tiorrs lut les manages
des anciens czars. Origine do luxe chez les femmes
Ruffes. Ibid. b. Régnés d-Alexis M.kaelovitz , & de Pierre
le Grand. Commerce des Relies avec la Chine. Celui qu.
la courexe.ee. Ibid. 445- Revenus du fouyera.n. Iaie
du militaire dans cet empire. Oblervanous phyf.ques fur la
Ruff.e. Produaions , rivieres de ce pays. Commerce des
Ruffes. Ouvrages à confultcr. Ibid, b .
B o rn â qui la féparent de la Tartane chinoife. Suppl.
R Z A qu'ils font tous les ans fur les tombeaux de leurs parens.
Ufage pratiqué par l’ancien de l’cglife à la veille d'une
grande fête. IX. i i z . a. Leurs bains de vnpQur.Suppl. I.752. a.
I 1,1; a. Aerandifferacnt de cet empire depuis un fiecle.
X '750 b. c L a l ix de la Rliffic. Suppl. IL 18;. b. 1S4. b.
C inal conftrilitde Mofeou h b. Pétersboiirg. X. 751. E Lacs
falés cn R iilù e .ia p p / .llI . 695.4. Des canes geograpluques
de laRuffie. V IL 612. 4. Empeenemens que la cour deRiillie
met à la publication d’une hilloire fidellc de ce pays, Suppl.
IV . J. & h h comioiffiniice d'un padage en Aiic p;u’ le
nord JbiJ. a,b.L<î commerce de la Ruffie étendu par Pierre
le grand. Suupl. L 637. 4 , b. 638. 4. Elpece de pelle re-
queiite dans ce pays. V l l l . 468. « , b. Empereur de Ruffle,
il V 608 .1 Ses armes, vol. i l des planch. Blafoii, pl. 1 5.
Warag es, hommes célébrés qui ont donne des louvcrams
à la Ruffie. XVII . 589. b. Succeffeurs de P,erre le grand.
X IV 437. b. Chanceliers de Ruffie. UL 106. b. Delcr.plioii
des Ruiies. v m . 345. 4. Grands leignei.rs & nonlcs de
certe nation. II. 388. - . X L .6 7 . b. La Lhhuanic lubjuguee
par les Ruffes dans les liecles barbares. IX. 591. i . Leurs
premieres comics fut la mer Glaciale au nord de 1 Afie. Suppl. 1. 636. b. Leur maniéré de faire la guerre. 6 . 1 . E Leurs
progrès dans l’allronomie. I. y y i. Comment lie r re le
grand èiablit chez eux l’iifagc de le rafer. U. 71- Kepas
R us s ie, /’-•/ir«-’ (Ge'ogr.) v o y e zC o SeSQUEs 6 c U k r a in e .
R us s ie , v r m - ( / i i j î . «rfr.; X V II . 102. .r.
R U S T IC l, [Jean-François) fculptcur. XIV. 832. i.
R U S T IQ U E , ufage de ce mot dans l’architeélure. Dieux
ruftiques chez les Romains. XIV. 445. b.
Rnflique, calendrier ruffique. IL 5^^. a. Danfes ruftiques.
IV . 62^. b. Ouvrage ruftique en arcliircfture. X L 724. b.
Servitude rurtique. X V . 124.1!-. Tcffiiment riirtique. X V I,
195. a. V ie ruiHque. X V . 171.U. Defeviptionque fait V ir gile
de celle d’un vieillard de Cilicle. XII. 7 1 1. , b. Douceur
de la vie niftique. X V . 17 1. a. Celle des premiers
Romains. XVII . 254. b. Eloge de ce genre de vie. 368. b.
369. a , h. Defeription poétique des travaux & de la vie
rullique dans tes difficrentes faifons. 734. a, b , tvc. Economie
ruûique. V . 349. a.
RU S TR E . [Blafon) meuble de l’écu. Etymologie du
mot. Suppl. IV. 690. b. , , , . /r
R U T , {c/i.:(fe) tems de i’aiinee ou les bêtes rouiTes,
les lièvres & les loups font en clialciir ou en rut. X IV . 446. a.
Rue. Du c e if en rut. II. 840. a. X V I. 940. a. 945. b.
RU TEN IHN S, Us ( Gchgr. anc.) peuples des Gaules.
Guerres qu'ils foutinrent contre les Romains. XIV. 446. a.
R U T H , livre de [Théolog.) l’im des livres canoniques
de l'ancien teftament. Rang qu’il occupe parmi cts livres.
Les Juifs modernes, dans leurs bibles, placent ordinairement
après le Pentateiique, les ciiu[ mégilloth. Auteur du livre
de Ruth. But de ce livre. X IV . 446. a. En quel tems il
aéré é c r i t . Foyc^ IhiBoirecle Ruth, Suppl. IV. 55.41,é.
R U T L A N D , ( Gro^’r.) province d’Angleterre. Son étendue.
Ses produaions. Obfervations fur la vie & les ouvrages
de Jacques Harington, né dans cette province en 1611.
Précis du fyûêinc qu’il publia dans fon livre intitulé Oceana^
fur le gouvernement d’Angleterre. X IV . 446. b. Anecdotes
fur la publication de cct ouvrage./I-ttf. 447- Sonanalyfe.
Ibid. b. Abrégé de l’Oceana , donné par l’auteur en 1659.
Rérlexions lur ces ouvrages. Ibid. 448. b.
R U T T Y , (J eu n ) anatômifte. Suppl. I. 406. b,
R U TU P IÆ : [Gcogr.anc.) ville de la grande Bretagne.
Sa fituation. Obfervations fur fon port. Poètes qui en ont
parlé. X IV . 449. <7. , ,
Runipix: c’ell fur les ruines de ce lieu que quelques-uns
croient que Sandwich a été bâtie. XIV. 610. i.
, RU TRUM , [A/inq. gymn.) inllrument avec lequel les
atliletcs s’exerçoient à remuer la terre ou le fable du Bade.
Paffiige (le Feftiis fur ce fujer. X IV . 449. a.
R Ü Y D A L , {Jacob) peintre pnyfigilte. XII, 213. a.
R U Ï S C H , membrane de. {A n a l.) obfervations fur les
ouvrages de Ruyfcb. Quelle ell la membrane à laquelle on
a donné fon nom. X IV . 449. b.
RuYSCH, {Frédéric) obfervations fur ce célébré médecin
& anatomille. V l l l . 24. a. Suppl. I. 399. a. Son fyftême
fur la ftruélure des glandes. V II . 46. b. Suppl. III. 82. b.
Prodiges qu’il a opérés par fes injeclions. VU I. 746. b. Suppl.
III. 601. b. 602. a. Des travaux de cet anatomille. Suppl.
n i . 82. b. Suppl. IV. 351. b. Sa difpuce avec Boerhaave fur
les glandes. Suppl. III. 83. a.
R U Y T E R , {Michel-Adrien) le plus grand homme de
mer qu’il y ait peut-être jamais eu. V I . S52. a.
R u y t e r , {Henri) aélion mémorable de ce généreuxhol- •
landois. IX. 629. b.
R Y
R Y (Gfogr.) village de baffe Normandie, où naquit
Mezerài. Obfervations fur cet liiftorien & fur fes ouvrages.
^ RYE^Îmiatomifle , Suppl. I. 409. 47. & phyfiologiffe. Suppl.
R Y E li . ( André du ) fa patrie, fes ouvrages. IX. 857. a.
RYi'viON ( Emmanuel Philibert de ) Suppl. IL 369. b. ^ _
P Y P (Gévgr.) village en Nord-Hollande; il fe glorihe
d'avo'r donné la naiffance à Adrien Reland, (avant d’une
vaffe érudition, & d’une belle lirtératme. XIV. 449-
l'lo"C de fon caraélere. Enumération de fes ouvrages. Jbld,
’’ ^R'ï'SAGON, (Boren ) 7oyz;CASMmAn
R Y SW IC K \Giogr.) vilhign de hi Hollziitle, ou fe finir
en 1697 le treité qui doniii. h. paix il l’Europe. Quatre triii-
tés de |iaix conclus alors à Ryfuuck dans fix feiiniiiies de
tems. X lV . 450. b.
R Y T H M E , v o yfî R h y t h .me.
R Z
R Z AM B E C C A R Î , phyfiologifte, Suppl. IV . 353. a.
'! ■ 1 .
M '
1 ( Gramm. ) cette lettre tepréfeiite une
articulation linguale, iStHanie & forte ,
dont la foible e(I ^e. Commucabilité
de !’ƒ avec IV. La plus grande affinité
de la lettre s , eff avec I c ^ , tel que
nous le prononçons en françols ; en-
fuite avec rarticulation clic; X lV . 451,
a. trolficmement avec l’afpiration h ;
quatricmement avec les autres articulations
linguales ; enfin Je moindre degré d’affinité de cette
lettre cfl avec celles qui tiennent ,à d’autres organes ; par
e.xeirple , avec les labiales. 11 faut obferver que dans la plupart
des mots que nous avons empruntés des langues étrangères,
& qui commencentpar la lettre j , fuivle d’une autre
tonfonne, nous avons mis e avant s , comme dans efprlt,
fpiriius , 6cc. Ibid. b. Cependant cette profthefe a déplu infen-
fiblement dans pluficurs mo ts, 8c l’euphonie a fait fupprt-
mer l’j elle-même , en biffant l’c. C ’eft atnfi qu’au lieu
d’écrire eflude, comme anciennement, nous écrivons étude.
Obfervations fur la manière de prononcer la lettre Ibid.
452. .7. Signification de cette lettre lorlqu’elle fe trouve employée
comme abréviation dans les ouvrages des anciens.
Quelle étoit fa valeur lorfqu'elle étoit employée comme
caraélere numéral. Monjioies de France marquées d’une s.
Ibid. b.
s , de cette articiilafion. IX. 556. b. Prononciation du figma
des Grecs. V . 63g. c. Rapports entre l’articulation des lettres
5, a: & {. X V II , 685. a. Les Latins ont quelquefois employé
D pour l’A, en adoptant des mots grecs. VIII. 2. h. Coni-
mucabil.itc des articulations r 6c s. X lll. 731. <7. L’accent circonflexe
fubftitué à D dans certains mots françois. I. 67. b.
Obfervation fur les fyllabes où cette forte d'j-étoit employée.
V . 184./-.
S , ( Mufiq. ) ufage de cette lettre en mufique. Suppl. IV .
691. .7.
s , {Cornm.) fignitîe fou tournois. X IV . 452. b.
S , {Ecriture) maniéré de former cette lettre. X IV . 452, h.
S , {A r t méck.) fil de fer recourbé à-peu-près félon la
forme d’une s. X IV . 452. b.
s , {Cloutier d'épingle) mcfurc recourbée en forme d’r
X IV . 452. b. S A
SA AM O U N A , {B oian.) arbre des Indes orientales. Sa
deferiprion, Suc qu’on en tire. X lV . 453. a.
SA BA , ( Géogr. anc. 6- facr.) royaume dont étoit reine,
b princeffe qui vint à Jérufalem pour voir Salomon. Il
pareil qu’il étoit fitiié dans l’Arabie heiireufe. Cependant ü
y a de célébrés interprètes qui le mettent en Ethiopie. Autre
Saba dans l’Arabie déferre, à fix journées de Jérufalem. Port
do Saba en Ethiopie. Iftes de Saba au nombre des petites
Antilles. XIV. 453. a. Ville de Saba en Perfe. Ibid. b.
Sa b a , repos, {H if l .j ’acr.) quatre différentes perfonnes
dcfignces par ce mot dans l’écriture. Hiftoire de b reine de
Saba qui vint auprès de Salomon, Suppl. IV. 691. a. Divers
fentimens fur le pays d’où elle venoit. Ibid, b,
Sa b a , {Reine de) hommage qu’elle vint rendre à Salomon.
iSt/pp/. IV . 715. i7. Pourquoi clic a été repréfentée à la porte
de quelques églifes. X lV . 49. a , b.
SABAISME ou Sa b i ism e , ( T’Aio/og.) première forte d’idolâtrie
qui füit entrée dans le monde. Elle confiftoit à adorer
les étoiles. Quelques-uns croient que le fabaïfme étoit la
plus ancienne religion du monde. Doéirine des Sabéens.
Maimonides remarque qu’Abraham nrofeffoit le fabaïfme
avant qu'il fût forti de la Chaidée. X ÏV . 453. b. M, Hyde
s’eft attacliè à prouver que le fabaïfme étoit fort différent
du pnganifme , 8c que le culte qn’avoit établi Zoroaftre étoit
le fabaïfme reformé. Première origine de l’ancien fabaïfme ,
félon M. Pridcaux. Religion de ce nom qui fubfifte encore
dans l’Orient. Ibid. 454. a. Foye^ Sa biisme.
Sahaifmc. Origine du nom de fabiens : feéle du fabaïfme
ou fabianifmc : fon antiquité. I. 567. b. 568. a. Livres des
Sabiens : leurs principaux dogmes. 569. a. Les fimulaclires
employés dans le fabiifme. X V . 205. b. Toute l’idolâtrie
long-tems partagée entre la fefte des Mages & celle des Sa-
héens. IX. 846. b. Sabéens appelles Chrétiens de S. Jean. III.
379. b.
SABARIE , ( Géogr. ai te. ) ville & colonie romaine dans
la Pannonie, (^fervations for une infeription de cette ville.
X IV . 4^4- ‘7. On croit que c’eft préfentement Sarwar, place
forte de Hongrie. Infeription trouvée en 1508, qui a fait
croire qu’Ovide avoir été enfeveli dans ce lieu. Obfervations
Tome //,
S A B
for b vie de S. Martin, né à Sabarie, 8c for le culte que
lui rend l’églife romaine. Ibid. b.
S A B A S i tS , {Mytholog.) fêtes Sc facrifices en l’honneur
des dieux fab.ifiens. Ce titre a été donné à Mithr.is dieu,
des Perfes^à Jupiter Sc à Bacchus. X IV . 454. b.
S A B A T A , ( Géogr. anc. ) ville de Ligurie. Recherches fur
le heu où cette ville étoit fituée. XIV. 434. b.
SA B B A T . ( Hiß. jud. ) Ce mot eft purement hébreu , 8c
iignifie ceffation , repos. On ne voit pas que les patriarches
aient obfervé le fabbat, ni que Dieu ait eu deffein de les
y affujertir. Mais il en fit un précepte exprès aux Hébreux.
Scrupule avec lequel ils s’abftenoicnt de toute oe uvre ce jour-
là. Le fabbat commence le vendredi foir. Enumération des
trente-neuf chefs au.xquds fe réduit tout ce qui eft défendu
aux Juifs de faire le jour du fabbat. X IV . 455. b. Defeription
de la maniéré dont les Juifs modernes le célèbrent. Les auteurs
profanes qui ont voulu parler de l’origine du fabbat, n’oat
tait que montrer combien peu ils étoient inftruits de ce qui
concernoit les Juifs. C e jour étoit inftitué fur un motif aufli
fimple que légitime , en mémoire de b création du monde,
& pour en glorifier l’auteur. Différentes acceptions du mot
fabbat dans i’ccriuire. Ibid. 456. a.
Sabb.1t ,fè lc du.W\. 564. a , b. Quelle étoit b vraie def-
iination de ce jour. JV. 1008. a , A. Le fabbat étant établi
pour 1 homme , ne doit pa.s lui devenir dommageable. Ibid,
b. Etendue de chemin que les Juifs pouvoient faire !c
jour (iii fabbat. III. 326. A. Ce qu’on entendoit par le couvert
du fabbat. X. 877. A. Portions du pentateuque Sc des
prophètes, qui fc lit le jour du fabbat. VIII. 40. A. XI, 922.
A. D e la fanélification du fabbat chez les anciens Juifs, X IV .
60Ö. A. Cérémonie en ufage chez les Juifs pour finir le jour
du fabbat. Salutation qu’ils fe donnent le foir de ce jour.
v i i r . 5. J. '
Sa b b a t , {Divlnat.) affeniblée noifturne à haquelle on
foppofe que les lorciers fe rendent, 6cc. Defeription que
D d r io donne du fabbat. X IV . 436. a. Argumens par lefqucls
il prouve b poUïbilité de fe tranfoorter par le vague de l’air
pour affifter au fabbat. To ut ce qu’on a dit de plus raifon-
nablc fur le fabbat, fe trouve dans un paffage ici rapporté’
du P. M.illebranche, qui e.xpliqiie fort nettement pourquoi
tant de perfonnes fe font imaginées avoir affifté à ces affein-
blées noélurnes. Ibid. A. C ’eft parce que l’affiftance au fabbat
ne gir que dans l’imagination , que le parbment de P.iris
renvoie tous les forciers, q u i, n’étant point convaincus d’avoir
donné du poifon , ne fe trouvent coupables que de l’imagination
d’aller au fabbat. Cepeiuhmt plufieurs auteurs ôc jurif-
confoltes, qui ne croient pas plus au fabbat que Je parlement
de Paris , regardent ces forciers comme pimiflafales.
Ibid. A.
Sabbat. Origine de ce que le vulgaire débite for le fabbat.
Suppl. II. 284. a. Cercle magique tracé dans l’affemblée dii
fabbar. II. 836. A. Aceufation portée en 14 59 , contre ptu-
fieurs habitaiis d’A rra s , d’avoir fréquenté le fabbat. X V . 3 70.
A. 371. a. Voye[ SoRCIERS.
SA B B A TA IR E S, {Hiß. ecet.) eesfeélaires nommés tetra-
dites. XVI, 209. A.
SABBATIENS , {H iß . eccl.) hérétiques du quatrième
fiecle, ainfi nommés de Sabbathius leur chef. Hiftoire de ces
hérétiques. X IV . 457. A.
SA B B A T IQ U E , U fleuve, ( Géogr. anc. ) riviere que quelques
auteurs mettent dans la Paleftine,8o dont d’autres écri-
vainsnientrexiftence. Defeription qu’en donne Jofephe. E.xpo-
fition de deux fentimens différens for la maniéré dont on
doit traduire le paffage de cet hiflorien. Aucun voyageur
ni gcogr.iphe n’a jamais fait mention de ce fleuve. X ÎV .
457. A.
Sabbatique , fleuve. V IL 99. a.
Sa b b a t iq u e , jour & année. { Critîq. facr. ) XIV. 458. al
Sdbb.itique, année. I. 391. <7.
SABÉENS, les, {Géogr. anc.) ancien peuple de l’Arabie
heureufe. Paffages de dift'érens auteurs anciens fur ce peuple,
X IV . 458. m
Sabéens, feflateiirs du fabaïfme, ce mot.
S A B E L L l , {Géogr. anc.) diminutif de Sabini , les petits
Sabins ou les defcend.ins des Sabins. Plufieurs favans ont
traduit ce m o t, rapporté dans une des fatyres d’Horace,
par celui de Samnites. Quels peuples étoiem ess Sabelli ou
Samniics. X IV . 458. A.
SA BELL ICU S : { Marc-Antoine Coccius) obfervations fur
cet auteur 6c for fes ouvrages. XVII. 13. a. 240. a , A.
SABELLIENS , {Hifi. eccl.) feôe d’hérétiques, qui parurent
en Orient dans le troiûeme fiecle. Leur doftrine. Hif^
R R R r r r r
^1
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